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L'Hygiène Naturelle Infantile (HNI) : un retour aux sources de la parentalité
L'Hygiène Naturelle Infantile (HNI) : une pratique respectueuse et écologique
Qu'est-ce que l'Hygiène Naturelle Infantile ?
L'hygiène naturelle infantile (HNI), aussi appelée "communication de l'élimination", est une pratique parentale qui consiste à répondre aux besoins d'élimination des bébés sans recourir aux couches jetables ou lavables, mais souvent en utilisant des systèmes de protection adaptés (mini-HNI, ecopants, pantalons ouverts dits chinois, longlegs, etc). L'HNI repose sur la communication entre parent et nourrisson pour répondre à ses besoins naturels et l'observation attentive des signaux de l'enfant.
Les fondements de l'Hygiène Naturelle Infantile
L'HNI se base sur l'idée que les bébés peuvent communiquer leurs besoins d'élimination dès la naissance. Comme ils signalent la faim ou la fatigue, ils peuvent exprimer le besoin de se soulager. Les parents doivent observer attentivement les signaux de l'enfant, tels que des expressions faciales spécifiques, des mouvements corporels ou des sons, pour y répondre promptement.
Les avantages de l'Hygiène Naturelle Infantile
Respect des besoins naturels : l'HNI respecte les besoins biologiques du bébé et favorise une meilleure compréhension mutuelle entre le parent et l'enfant. Le rythme de bébé est respecté, il ne s'agit pas d'une approche coercitive, l'enfant reste moteur de la démarche. Bébé restera connecté à son corps, ses ressentis.
Réduction de l'utilisation des couches : limiter l'usage des couches réduit les déchets et l'impact environnemental des couches jetables. C'est surtout les pipis que les parents vont avoir à gérer. Les selles sont très clairement repérées et récupérées au pot. Ainsi les protections spécifiques utilisées sont plus des "back-up" pour éviter de stresser et rester dans la communication.
Économie financière : moins de couches signifient des économies substantielles pour les parents, en réduisant les coûts directs et les produits associés (lingettes, crèmes). Si certains parents pratiquent sans couches, la plupart utilisent de petites protections, qui sont un investissement moindre, et qui sont lavables.
Prévention des irritations : éliminer le port permanent de couches réduit le risque d'érythème fessier et d'autres irritations cutanées. La peau respire, elle reste au sec.
Prévention des coliques du nourrisson : de très nombreux parents notent une disparition des coliques dès la mise en place de l'HNI.
Comment pratiquer l'Hygiène Naturelle Infantile
Observation : les parents doivent apprendre à observer les signaux de leur bébé. Ceux-ci varient d'un enfant à l'autre et peuvent inclure des gestes spécifiques, des sons ou des expressions faciales. Ces signaux vont évoluer par pallier à mesure que bébé grandit. Il ne s'agit pas de scruter son petit en continu bien entendu, juste au début le temps de mieux se connaitre, puis lorsque bébé passe une étape importante qui génère un changement de rythme et de signaux.
Réponse rapide : une fois les signaux identifiés, il est crucial de répondre rapidement en tenant le bébé au-dessus d'un récipient approprié.
Création d'une routine : le timing : instaurer des moments réguliers pour pratiquer l'HNI, comme après ou pendant les repas ou au réveil, aide à établir une routine et à renforcer l'association entre les signaux et l'action. Cette routine viendra en complément d'autres outils : bien connaître l'évolution physiologique d'un bébé en HNI, repérer les signaux de bébé (comportement, sons, signes, etc), suivre son intuition, et centrer la démarche sur la communication et non sur l'apprentissage de la propreté.
Patience et persévérance : L'HNI demande du temps et de la patience. Les parents doivent être prêts à des essais et erreurs et à s'adapter aux besoins changeants de leur enfant.
Les défis de l'Hygiène Naturelle Infantile
Bien que l'HNI présente de nombreux avantages, elle nécessite un investissement de temps, surtout au début, et peut être difficile à concilier avec une vie professionnelle exigeante. Si bébé est gardé, ce sera peut-être l'HNI à mi-temps : c'est tout à fait possible, renseignez-vous sur les effets que cela peut avoir pour simplement vous y adapter. Si vous venez d'accoucher et que vous souhaitez allaiter : privilégiez la mise en place de l'allaitement car l'HNI peut se commencer plus tard. Lors d'une consultation, nous trouvons une organisation adaptée à votre quotidien, de façon à rendre la pratique simple et efficace, sans tracas.
Conclusion
L'hygiène naturelle infantile est une approche respectueuse et écologique de la parentalité. En combinant observation, communication et patience, elle permet de créer une relation de confiance entre parent et enfant. Malgré ses défis logistiques, ses avantages environnementaux, économiques et de bien-être en font une option intéressante pour de nombreux parents souhaitant une parentalité plus naturelle et durable.
En adoptant l'hygiène naturelle infantile, les parents peuvent non seulement réduire leur impact environnemental mais aussi renforcer le lien avec leur enfant dès les premiers jours de vie. Cette pratique, bien que demandant de l'engagement, offre une perspective enrichissante et respectueuse des besoins naturels des bébés.
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Le Greenwashing (3) : Le retour
Les sœurs Coll quittèrent leur appartement crasseux dans le bloc bleu délabré de la cité bidonville de Carenz Baraques. Le couloir sombre de l'étage ressemblait à un fanal de cauchemars oubliés, où les ombres étaient tapies et où tout espoir était mort depuis longtemps.
"Tina, tu crois qu'on peut laisser maman comme ça ? Peut-être devrions-nous au moins l'allonger sur le canapé ?", murmura Gina, sa voix n'étant plus qu'un souffle dans le sombre silence.
Comme toujours, la génitrice alcoolique des sœurs s'était effondrée en état d'ébriété dans la cuisine de son logement, après avoir longuement vomi. Comme d'habitude, l'odeur du vomi et du désespoir flottait lourdement dans l'air moisi de l'appartement loué, qui ressemblait plus à un tombeau crasseux qu'à une habitation humaine.
"Gina, petit agneau, nous devrions laisser la vieille. Elle recommence déjà à stresser dès que tu la réveilles de ses doux rêves avec 99 jeunes hommes", rétorqua Tina avec un rire amer qui résonnait dans l'obscurité comme le cri d'une âme perdue.
Les sœurs continuèrent à avancer dans le couloir lugubre, leurs pas à peine audibles sur le linoléum graisseux. Elles arrivèrent enfin à la porte de l'ascenseur, dont la vue évoquait le portail d'un enfer pourri, où l'on pouvait abandonner tout espoir.
"Alors, les salopes en chaleur, où va-t-on ?"
Pendant ce temps, Pierre Bélier, affectueusement appelé "Peeping Fuzzy", était sorti d'une des unités d'habitation qui ressemblait plutôt à la grotte puante d'un homme de Neandertal. Conformément à son surnom, ce personnage vraiment peu attirant aimait regarder sans se faire remarquer. Tandis que son regard avide jaugeait les sœurs comme des proies, il passa ses doigts velus dans sa chevelure grasse et étira son corps corpulent d'un air de défi.
"Eh bien, que diriez-vous d'une petite fête chez moi ? J'ai la meilleure came au sud de Port-Réal !", couina Fuzzy d'un ton baveux et avec un sourire dégoûtant qui laissait apparaître ses dents pourries.
"Va te faire voir, voyeur ! Si tu ne pars pas tout de suite, tu vas entamer un voyage dont personne n'est jamais revenu ! Peut-être que je te donnerai aussi une balle en or".
Les mots sifflés de Gina et son regard dur intimidèrent tellement le voyeur qu'il se retira dans son trou puant, tremblant de peur de tout son corps, accompagné par les rires stupides de la dodue Gina.
Tina, elle, est restée silencieuse et a appuyé plusieurs fois sur le bouton de l'ascenseur, qui s'est finalement illuminé d'un jaune vacillant. Pendant ce temps, sa sœur, peu dotée de capacités cognitives, avait largement maîtrisé sa crise d'hilarité et se sentait obligée de commenter cet événement déplaisant avec sa manière habituelle.
"Quel type répugnant ! Je vais devoir dire quelque chose à Big Mike pour qu'il s'occupe de ce type".
"Mon Dieu, cet abruti ! Il n'en a rien à faire du voyeur !", Tina leva les yeux au ciel, agacée.
Gina, une expression exaltée et indignée sur le visage, regarda sa sœur d'un air réprobateur. "Tu es juste jalouse ! Mikey n'aime que moi et pas les 50 autres meufs qui lui courent après. Il va montrer à ce type ce qu'il faut faire ! Tu sais, Tina, Big Mike est tout simplement incroyable. Il a ce charisme brutal, mais en quelque sorte sexy".
Tina poussa un profond soupir et interrompit sa sœur d'un ton qui oscillait entre la résignation et la patience irritée. "Gina, je t'ai déjà dit mille fois que Big Mike est un parfait idiot. Son gang a peut-être un peu de pouvoir, mais lui-même n'est rien d'autre qu'une brute creuse sans esprit, qui saute quand Ma Barker le regarde de travers ! Mieux vaut que je m'occupe moi-même de notre voyeur. On verra bien s'il est toujours aussi insistant sans son zizi".
L'ascenseur arriva enfin à l'étage et les portes s'ouvrirent dans un grincement lancinant. Mais au lieu de l'intérieur délabré d'un ascenseur négligé auquel ils s'attendaient, c'est un paysage étrange qui s'étendait devant eux. Une taïga aux arbres enneigés et à l'air glacial s'étendait, un contraste choquant avec le triste quartier d'immeubles. De ce monde étrange, une silhouette s'approchait lentement, comme si elle venait d'une époque révolue.
Gina fixa la scène devant eux, perplexe, et fit une remarque digne de son niveau intellectuel : "C'est une putain de forêt de sapins de Noël ou quoi ?"
Tina, qui a réagi rapidement, a sorti son couteau à cran d'arrêt et s'est préparée à un éventuel combat, tout en observant l'apparition en silence et à l'affût. Mais avant que la confrontation n'ait lieu, la druidesse fit un geste mystérieux et les deux sœurs se transformèrent en louves surdimensionnées.
La druidesse, désormais définitivement entrée dans ce monde, était fidèlement escortée par les sœurs Coll transformées. Leur présence apportait un calme inquiétant alors qu'elle arpentait les couloirs déserts de la cité perdue des hauts immeubles, à la recherche d'autres âmes à transformer en son armée magique de la nature.
La flamme des ténèbres absolues flambait dans son cœur alors qu'elle affrontait le destin dans ce monde perdu.
Suite à donner
© 2024 Q.A.Juyub
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
Vendredi 29 septembre 2023
SUJET : TROUVER LE REPOS POUR VOTRE ÂME(𝐈).
BIBLE EN UN AN : Esaïe 63, Isaïe 64, Jean 5, Jean 6.
ÉCRITURE DE FEU : Matthieu 11 : 28-30
VERSET DE MÉMOIRE :
Ésaïe 26:3 - "A celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures la paix, la paix, Parce qu`il se confie en toi. "
CITATIONS INSPIRANTES :
Le repos est pour nous l'arme de Dieu que l'ennemi déteste. C’est pourquoi il cherche à vous occuper et à vous stresser.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Vous ferez l'expérience de la paix comme une rivière, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Dans ce contexte, le repos n'est pas seulement une expérience physique mais aussi le bien-être mental, émotionnel et spirituel d'un individu. En un mot, il s'agit du bien-être total. Cela implique que le corps entier, l’âme et l’esprit soient préservés irréprochables selon les Écritures (1 Thessaloniciens 5 : 23). En tant qu’humains, nous ne pouvons éviter d’être inquiets, craintifs ou anxieux. Mais la parole de Dieu est l’antidote parfait à tous ces moments troublés de la vie d’une personne. Pour jouir d’une bonne santé, il nous est généralement conseillé de prendre suffisamment de repos et d’éviter autant que possible le stress. Malheureusement, une personne peut se reposer mais ne pas avoir du repos. Le résultat est que la personne est coupable de stress, ne se reposant pas suffisamment, même si elle est physiquement au lit. C’est une indication claire qu’un repos complet et agréable ne peut être obtenu en dehors du Christ. Quelqu'un a conseillé : «Remettez vos problèmes à Dieu et allez dormir. »
La Bible parle de « la paix n’est pas celle que le monde donne », ce qui signifie que la paix que le monde donne peut être fausse, à court terme et éphémère. Mais comparée à la paix de Dieu, il s’agit sans aucun doute d’une paix contrefaite. Jésus-Christ est le Prince de la Paix ; Non seulement il donne la paix, mais il incarne la paix, la joie et l’amour. Comment alors peut-Il être le Seigneur de votre vie sans une manifestation définitive de Sa glorieuse présence ? Il n’est pas étonnant que la Bible nous conseille de ne pas nous inquiéter, mais plutôt de nous décharger de nos soucis sur Lui, car Il prend soin de nous (1 Pierre 5 : 7). Quel privilège, quelle bénédiction !
Le verset à mémoriser d'aujourd'hui nous dit clairement que lorsque vous gardez votre esprit tourné vers Dieu, en lui faisant absolument confiance pour vos besoins et vos préoccupations, il vous gardera certainement dans une paix parfaite. " Êtes-vous troublé, bien-aimé ? Apportez tout à Jésus. Son invitation est à long terme. , jusqu'à ce qu'Il revienne. Il veut que tout ceux qui travaillent sans résultat vienne à Lui. Lorsque vous le ferez, vous trouverez le repos pour votre âme.
Aujourd’hui, allez au trône de la grâce et demandez grâce en cas de besoin. Confessez vos péchés en cherchant le repos dans de mauvais endroits, en essayant de vous aider. Repentez-vous de tous les péchés connus, surtout lorsque vous exaltez votre condition au-dessus de Dieu. Il vous pardonnera et vous donnera du repos comme jamais auparavant.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Père Seigneur, pardonne-moi pour tout inquiétude, peur et anxiété que j'ai entretenues au lieu de te regarder, au nom de Jésus.
2. Toi, l'esprit de peur qui lutte contre ma foi au Seigneur, je te déracine et je te chasse, au nom de Jésus.
3. Seigneur Jésus, par ta miséricorde, donne-moi le repos de toutes mes luttes, au nom de Jésus.
SOIR
4. J'avale quotidiennement la capsule divine de "Ne crains pas" et je bois le Sang de Jésus, au nom de Jésus.
5. Esprit d'agitation, de dur labeur et de luttes inutiles, sors de ma vie et meurs, au nom de Jésus.
6. Je reçois la paix de Dieu à laquelle le monde, satan et moi-même ne peuvent pas altérer, au nom de Jésus.
7. Seigneur Jésus, Prince de Paix, ma vie est disponible, entre maintenant et prends le contrôle, au nom de Jésus.
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Viaketo Capsules - Ayurwin's Ayurvedic Weight reduction Powder?
La perte de poids a été discutée à plusieurs niveaux. Il a été mentionné pour rester à l’écart des problèmes médicaux extrêmes, soutenir sa certitude et de temps en temps pour discréditer quelqu’un.
Aujourd’hui, le marché des articles de réduction de poids est tellement immergé que les acheteurs vont probablement voir pas moins de 1 article lié à la réduction de poids dans chaque 4 articles.
Les acheteurs sont laissés perplexes, car avoir la possibilité d’en reconnaître un de différent est devenu intense, mais heureusement, ce n’est pas vrai avec les capsules Viakaketo. Son utilisation d’épices ayurvédiques améliore cela.
Qu’est-ce que Viaketo Capsules? Viaketo Capsules est un supplément ayurvédique qui a été fabriqué par Ayurwin. La raison de cet article est d’aider les acheteurs qui ont eu une excursion intense à la perte de poids.
Cet article est conçu pour garantir qu’il contient 100% d’épices, tout en garantissant que le taux de cholestérol des clients est à leur meilleure position.
Malgré la perte de poids, les acheteurs rencontreront une identité supérieure, une augmentation de la certitude et de la digestion, et n’auront plus jamais besoin de stresser sur un gonflement indésirable.
Fixations dans les capsules Viaketo En dépit du fait qu’il est confus de savoir si les fixations d’accompagnement sont toutes traquées dans cet article, ce sont certainement quelques épices utilisées dans les pratiques ayurvédiques pour garantir la prospérité générale:
Ativisha: une épice bien connue qui répare l’irritation. Vibhitaki: est un produit naturel ayurvédique contient des propriétés cliniques qui guident dans la perte de poids, répare les articulations et les muscles, le diabète à partir de là, le ciel est la limite. Amalaki: est autrement appelé la groseille à maquereau indienne, qui a amélioré le système gastro-intestinal, purge le sang et purifie le foie.
Haritaki: contient de nombreux pouvoirs de récupération qui peuvent aider à son bien-être général. Chitraka: une autre épice comparative qui a été démontrée pour soutenir la digestion et garantit que son cadre sûr fonctionne correctement. Kushta: en ce qui concerne la perte de poids, cette épice tente de frotter le corps. Pippali: élargit les développements liés à l’estomac et élimine les poisons blessants dont le corps n’a pas besoin de s’embêter. Haridra: est autrement appelé curcuma et il a été énormément lié à sa capacité à consommer des graisses efficacement, diminuer l’irritation, et prévenir tout type de soucis en cours. Vrikshamla: aide à la perte de poids, règle ses décharges solides et aide à récupérer les ulcères. Vacha: aide à soulager le blocage et l’enflure. Methika: est autrement appelé fenugrec. Chaque fois que l’occasion est permise, les acheteurs devraient essayer d’absorber de l’eau de fenugrec puis de la boire pour étouffer leur faim.
Ces épices ayurvédiques ont plus d’une raison, avec l’objectif final des capsules Viaketo et sa capacité à initier la perte de poids; Seules les parties de réduction de poids de chaque fixation sont référencées.
Le montant de Viaketo Capsules coûte-t-il? Les capsules Viaketo arrivent dans une saveur de cacao en poudre et contiennent 500g par bouteille. Le coût courant de cet article est de 36 $.
C’est certainement un point intéressant, car l’Ayurveda implique des approches régulières pour récupérer son cerveau, son corps et son âme.
Ce ne sont pas les acheteurs réguliers qui sont présentés à une telle moyenne régulière de réduction de poids, car elle comprend généralement une grande variété de fixations difficiles à dire qui ne sont pas dans une structure caractéristique. Viaketo Capsules est également une source d’amateurs de légumes; Par conséquent, il est le bienvenu pour tout le monde.
D’une manière générale, une façon ayurvédique de traiter la perte de poids garantit que les cadres à l’intérieur du corps sont tous traités pour accomplir une structure complète.
Il est régulier et contient principalement des épices qui aident à perdre du poids en surabondance en aidant à la digestion et en soulageant les irritations.
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20 astuces pour s'occuper de votre enfant au quotidien| Comment bien mieux habiller votre enfant la journée| Les plus pratiques accessoires pour prendre soin de votre enfant| La maternité : nos conseils pour bien gérer cette période| Les idées pour gérer carrière et maternité| Prendre soin de soi pendant la grossesse : nos astuces
Echarpe de portage et porte bébé physiologique
Placer le centre de l’écharpe sur votre corps et rassembler la moitié supérieure du tissu. N’est pas la plus pratique pour les bébés plus âgés qui pèsent plus lourd. Vous pouvez vous déplacer, les mains libres, comme vous le feriez normalement, tout en continuant à créer des liens avec votre nouveau bébé. Il est facile de sortir votre bébé de l’écharpe pour le nourrir ou changer sa couche sans trop le déranger. L’Echarpe a souvent un effet calmant quasi instantané sur les bébés difficiles, les aidant à se détendre et à s’endormir.
Et si à la maison, votre tout-petit a une grosse crise de larmes, n’hésitez pas à enfiler votre porte-bébé et à aller faire ensemble le tour du quartier. Le Service Live Chat est un service payant proposé à l’attention des internautes souhaitant bénéficier de conseils santé, bien-être et parentalité pour leur enfant. La modernisation progressive de la société, les grandes épidémies et les découvertes majeures dans le domaine de l’hygiène, grâce à Pasteur notamment, ont progressivement éloigné les bébés de leur maman. Alexia Poirier est infirmière puéricultrice et entrepreneuse. Après quelques années d’expérience dans le secteur hospitalier, elle a créé ParlonsBambins, une plateforme de conseils, d’accompagnement et de soutien à la parentalité.
Nos écharpes sont de dimension standard, ce qui vous permettra de réaliser différentes positions. Ce nouage peut se préparer à l’avance et on place bébé dans l’écharpe au dernier moment, ce qui permet de ne pas stresser. De plus, on peut sortir et remettre bébé sans défaire le nœud, pratique pour aller faire des petites courses ou aller chercher les enfants à l’école. L’écharpe permet de porter bébé dès sa naissance tout contre soi, et lorsqu’il grandit l’écharpe s’adapte et ouvre d’autres positions pour porter son enfant .
Au fur et à mesure du temps, il sait qu’il pourra toujours s’appuyer sur votre soutien et votre réconfort, vous serez sa base de sécurité. Il sera ainsi suffisamment sûr de lui pour explorer le monde et progressivement gagner en autonomie. Parce que dans notre culture, nous accordons beaucoup d’importance aux échanges de regards et à la parole en face à face. Nous pensons mieux protéger notre petit parce que nous le voyons. Pour vous comme pour bébé, mieux vaut éviter les gros pulls ou gilets. D’une part parce que https://diigo.com/0ryvhp les tenues légères faciliteront nos mouvements.
Le portage assure une proximité mère-père/enfant très importante et contrairement à l’idée reçue, les bébés portés deviennent plus rapidement indépendants. En effet, ils se sentent ainsi en sécurité, aimés et respectés dans leurs besoins. L’écharpe tissée consiste en un large pan de tissu qui est plus polyvalent, mais qui nécessite une bonne connaissance des différents nouages. Elle s’adresse principalement aux futurs parents désireux d’apprendre la technique ou aux parents ayant déjà pratiqué le portage. La méthode de tissage permet d’utiliser ces écharpes plus longtemps, puisque le poids supporté est plus lourd. Le porte-bébé prend également soin de vos membres, puisque porter bébé de cette façon est moins fatigant que de le tenir dans les bras.
C’est sûrement l’acte le plus commun d’un jeune parent et même d’un plus aguerri. Pourtant porter correctement son enfant, en respectant ses besoins, son anatomie, et la nôtre, n’a rien d’évident. La tête doit toujours être bien à l’extérieur de l’écharpe et les voies respiratoires bien dégagées.
La proximité aux parents qu’apporte le portage rassure et réconforte le bébé, qui peut entendre la voix de ses parents et voir leurs visages. L’effet est d’autant plus grand quand certains portages se font en peau à peau avec le bébé, qui en a grand besoin pendant les 6 premiers mois de sa vie. Quand l’adulte est en mouvement, bébé l’est aussi et cela créé le contact physique et cela est rassurant pour le bébé. Quand l’adulte regarde le bébé affectueusement et a des gestes de tendresse envers lui, cela stimule la production d’une hormone appelée ocytocine, qui est liée à l’attachement.
Non seulement la proximité étroite induite par le portage rassure le bébé, mais elle a également un impact positif sur sa physiologie. Le Dr William Sears affirme que le portage «aide les bébés à mieux respirer, à mieux grandir, et régule leur physiologie». Une étude a montré en 1998 que le contact en peau à peau de la mère et son bébé pouvait réduire la production d’hormones de stress de 74% !
Cabinet de rééducation à Annecy / Pringy orienté dans la prise en charge des enfants & des bébés ayant des problématiques variées. Le portage sollicite pleinement le réflexe d’agrippement et favorise la recherche d’appui. Une fois bébé sur le ventre, il va pouvoir solliciter ses premières expériences faites en portage pour développer ses appuis et se mettre à ramper et se déplacer à 4 pattes. Il participe également à la bonne régulation des fonctions vitales et de la température grâce notamment au contact peau à peau.
Le CRP Les Relevailles de Montréal a choisi de privilégier l’écharpe comme mode de portage dans ses enseignements. De plus, l’écharpe permet un portage physiologique tant pour les nouveaux-nés que les bambins. Nos formateurs sont également outillés pour répondre à vos questions et vous guider avec les autres types de porte-bébés. Cette caractéristique est très importante afin d’assurer un confort optimal au bébé pendant le portage. En effet, l’enfant doit pouvoir être correctement installé durant ce mode de transport. Porté sur la hanche, le bébé prend instinctivement cette position qui correspond à son anatomie et remplit en même temps les conditions thérapeutiques ou préventives de la dysplasie de hanche.
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Par Isabelle Klein
J’ai toujours été écartelée entre les avatars de Catherine McKinnon considérant le sexe comme un viol et les théoriciennes féministes prosexe incitant à jouir sans entraves. Le paradoxe est plein pour moi, je sens autant l’oppression dans le sexe que la liberté, le plaisir que la dévalorisation. Mais alors, comment faire pour s’envoyer en l’air sans avoir l’impression que je vis un vilain syndrome de Stockholm avec mon /mes partenaire(s) ?
Une activité récente m’a fait mieux appréhender ce paradoxe : poser nue dans les écoles d’art. L’expérience implique de se sentir à l’aise avec sa nudité, y compris lorsqu’on est déprimée, réglée ou qu’on a des boutons sur les fesses. Pourtant il se passe une chose merveilleuse dans ces cas là : absolument rien. Mieux, je me sens bien plus à l’aise dans ce contexte qu’avec une jupe un peu courte dans une rue de Paris.
Alors vous me direz peut-être qu’il s’agit de nudité et pas de sexe. Oui, soit, mais il me semble qu’il est bien difficile dans un contexte non artistique de dissocier un corps nu de la copulation. Et c’est bien cela qui me semble tragique. Être nue dans une classe d’art ne comporte aucun risque. Montrer une partie de ses seins dans un lieu public fait craindre l’agression sexuelle.
Dans une classe de dessin, on compare mon corps à des rythmes, des architectures, on incite à le voir comme des lignes abstraites dans le plus grand des calmes. Dans un espace public, si on compare mon corps à une symphonie de Schubert, j’aurais l’impression qu’on me demandera juste après d’ôter ma culotte. Pourquoi le cortège des normes sexistes et son appropriation du corps de la femme n’est pas invité dans les cours d’art ?
Ce qui est fantastique pour moi, ce n’est pas d’évacuer totalement le sexe de la nudité. Il y a de la volupté érotique à me laisser regarder, mais aussi toute autre chose : la douleur à gérer, la respiration à tenir, les formes que mon corps doit trouver, une dimension méditative dans laquelle se lover. La volupté n’est pas toute seule et elle ne ressemble en rien à un coït. L’art n’est pas une chose pure et lavée du péché, le sexe n’est pas cet ossement à déterrer comme on retirait le mal en brûlant les sorcières. Le sexe ne serait ni ce territoire de jeu à réexplorer comme le défendent les théoriciennes prosexe ni un territoire de guerre comme le décrit McKinnon, mais la nécessité de faire travailler son regard, de ne plus voir les corps, les frôlements, les caresses, les pénétrations avec notre regard patriarcal. « Pour bien dessiner, il faut stresser le regard », m’a dit récemment un prof de dessin. Est-ce que pour bien faire l’amour, il ne faudrait pas faire la même chose ? Contraindre son corps à voir autre chose que la domination, l’objectivation, mais la volupté, les contrastes, les sensations et les émotions de façon la moins codée, la plus abstraite possible.
Alors voilà, il est possible que poser m’ait fait toucher de doigt ce qu’est l’érotisme. Pas du « beau » sexe ni du sexe qui ne serait « pas vulgaire ». Ce genre de description m’a toujours fait prendre l’érotisme pour une façon d’affirmer la supériorité de sa classe. Non, l’érotisme serait du sexe qui serait mélangé à autre chose : de l’intime, de l’introspection, de l’art, des théories. Il serait du sexe qui se pratiquerait avec des concepts, le sol, des regards, sa propre peau. La domination ne meurt pas dans l’érotisme évidemment, mais peut être peut-on y jouer d’autres rôles que ceux de la brute et de la prostituée, celui peut être d’une femme féministe, se levant chaque jour avec à l’idée de conquérir plus de puissance d’agir. Pour cela, il faut dés-érotiser le sexe et ré-érotiser le monde.
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1) Animalis
L’animalis c’est une personne qui possède la capacité de s'extraire de son propre corps. Dans l’illustration que j’ai représentée il s’agit d’une sorcière animaux hiboux.
Cette semaine nous allons nous intéresser à la sorcière moderne. Connecté à la nature c’est une femme en marge solitaire. Certaines d’entre elles vivent dans la nature.
Je m’imagine me transformer la nuit en hibou. Voler à travers la forêt, voir au loin ce qui s’y passe. Surtout que les hiboux possèdent une excellente vue. Si j’étais une animale j’aurais plaisir à pouvoir voler sentir le vent sous mes ailes. Je sentirais le vent, j’entendrais les loups qui crient au loin, les chatons sauvages qui appelent leur mère, je verrais ces humains qui ne dorment pas encore. Je fixerai la lune dans les yeux.
Il faut vous imaginer quitter la société pour vivre en autarcie dans votre petite cabane, à l’écoute des bois. Vous mangez, ce que la nature vous offre. Avec un petit potager. Peut-être apprenez-vous à pêcher ? Par moments ce mode de vie me fait un peu rêver surtout dans les périodes de fortes pressions. Et où celle où je dois payer mes factures, des impôts des cotisations, des fois j’aimerais bien ne pas stresser de savoir si j’ai bien payé ce que j’ai à payer. Des fois j’aimerais ne rien devoir à personne.
2) La wicca
La wicca est une religion moderne mixant des religions anciennes, on y retrouve notamment du chamanisme, du druidisme, des mythes gréco-romains, slave, celtique et nordique. Elle a été définie par Gérard Gardner au XXie siècle.
Elle est pratiquée partout dans le monde, prône le respect de la nature. Je vois le profil du wicca comme une personne qui a vécu une situation de “trop” dans la vie urbaine et qui décide de partir s’isoler dans la nature en pratiquant différents rythmes pour revenir à une spiritualité à l’écoute du vivant et pas uniquement de l’Homme.
J’ose penser que les problèmes climatiques actuels incitent davantage de gens à se tourner vers une spiritualité qui ne met plus l’Homme (voir l’homme) au cœur de la réflexion. Plus que jamais nous avons besoin de bienveillance, l’isolement des confinements a aussi probablement pu jouer en faveur de l’accroissement de cette religion.
Qu’en pensez-vous ? Il y a t-il des wiccans parmi vous ? Ou des personnes qui aimeraient apprendre ?
C’est vrai que c’était très “tendance” d’aimer les sorcières. Mais pour une fois je trouve que c’est une mode qui a vraiment du sens si on se plonge en profondeur dans le sujet et qu’on décide de placer une certaine cohérence dans ses valeurs. C’est vrai que je suis parfois un peu exaspéré de voir des “sorciers” qui continuent d’acheter de la viande industriel avec des animaux élevés en batterie ou en allant chez Zara se faire relooker par des pauvres femmes dans le tiers monde et sans se soucier vraiment de la condition des femmes à travers le temps. Pour moi c’est une cause intéressante à partir du moment où on y place une certaine cohérence. Je ne me revendique pas sorcier parce que personnellement je ne suis pas sûre d’avoir cette cohérence en moi pour le faire. Mais je pense qu’on peut tous le devenir si on décide de l’être et je pense que c’est ce vers quoi j’ai envie d’aller.
3) Le tarot
La lecture divinatoire dans les cartes de tarot date probablement du XVIIIIe siècle même si on pense qu’il existait déjà chez les égyptiens des jeux de tarot divinatoire. On date l’art divinatoire dans les cartes de la parution du livre “Chaos del Tri per uno” essai littéraire de lecture divinatoire avec les cartes de tarot de Teofilo Folengo.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas le tarot de marseille qui est celui que beaucoup de tireurs de carte utilisent. Il est constitué de 78 cartes : 56 cartes d’entre elles (les arcanes mineures) sont des cartes qui ressemblent aux jeux de cartes actuels avec 4 grandes familles (denier, coupe, épée et bâton au lieu de coeur, pic, carreau ou trèfle) il n’y a pas de chiffres mais uniquement des objets qui s’accumulent pour former le chiffre de la carte. On trouve 22 atouts qui sont aussi appelés les arcanes majeurs. Il existe un grand nombre de tirages croix, tirage moyen, tirage complet et tirage total (et probablement d’autres que je ne connais pas).
Je m’amuse parfois à faire le tirage en croix, étant assez novice. Je vous parlerai du livre que j’utilise sur le tumblr pour mes lectures. Je ne prends pas au premier degré le tirage de carte lorsque je l’effectue. Je pense qu’on peut facilement voir ce qu’on a envie de voir dans un tirage et peut être que certaines personnes ont plus de talent que moi et ressentent vraiment l’avenir. Personnellement je l’utilise plus pour me poser des questions à moi même. Ça me permet d’éclairer et de ranger ma tête avec des outils. Mais comme pour l’astrologie, je pense qu’il ne faut pas voir ce savoir comme des vérités établies mais des chemins de réflexions. Le tarot et l’astrologie sont pour moi des outils illustrés d’introspections. Ils ne cherchent pas à nous délivrer de vérité.
4) Ligne de vie
Ligne de vie ou chiromancie est une pratique qui consiste à lire l’avenir dans les dessins des plis de la main. Elle daterait du 12ie siècles après JC
Chaque main possède plusieurs lignes dont :
1 la ligne de vie ;la vie et les événements majeurs d'une existence
2 la ligne de tête ; en rapport avec les aptitudes mentales
3 la ligne de cœur ; des informations sur l'état du cœur, en tant qu'organe, ainsi que sur la vie amoureuse
4 la ligne du destin ;
5 la ligne de chance.
Le Mont de Vénus représente la force amoureuse. Le Mont de Mars : la résistance physique. Le Mont de Jupiter représente l'ambition, l'autorité naturelle, le sens des affaires. Le Mont de Saturne symbolise le destin, la bonne ou mauvaise chance et le sens des responsabilités. Le Mont du Soleil ou Mont d'Apollon indique le sens artistique. Le Mont de Mercure représente les capacités de réflexion, de communication et d'action. Le Mont de la Lune représente la capacité de vision et d'imagination.
Pratiquez-vous la chiromancie ? Pour ma part je ne la pratique pas. J’aime moins cette lecture un peu figée de l’avenir qui nous donne un avenir déjà écrit. J’aime l’idée que rien n’est figé. Le tarot me plaît davantage.
5) Règles
“Depuis l’Antiquité au moins, la femme réglée est considérée comme malade. La médecine, qui s’appuyait fortement sur la religion, corroborait ces croyances. Par exemple, Hippocrate estimait que le sang menstruel était impur, et que les règles permettaient à la femme d’évacuer de son organisme ses déchets, ses humeurs, ses impuretés. Aussi, on prêtait au flux menstruel des pouvoirs maléfiques. Une femme réglée pouvait, si elle s’approchait d’une ruche, faire mourir tout un essaim d’abeilles. Elle pouvait également faire pourrir la viande et même anéantir la fécondité des plantes. Pour d’autres, les menstruations étaient une punition infligée aux femmes pour leur perversion. En réalité, la gent féminine était cloîtrée, pendant des siècles, à son rôle de mère. Dès le début de leur puberté, les jeunes filles étaient mariées et enchaînaient les grossesses. Celles qui avaient leurs règles étaient donc des parias.
Depuis la nuit des temps, mythes et légendes tentent d’expliquer le flux menstruel, toutes ces croyances les rejoignent. On estimait ainsi que la femme indisposée était un échec, elle n’avait en effet pas su retenir le sperme de son mari, son ventre était “un véritable cimetière”, témoigne Thérèse, née en 1927, dans Rue89. Lorsqu’elle avait ses règles, la femme était également sujette à des psychoses dévastatrices, kleptomane ou encore pyromane. Pendant longtemps, l’hystérie féminine était considérée comme une pathologie valable. ” daily geek show
Je n’ai pas écrit l’article d'aujourd'hui, celui-ci était déjà parfait. Pour ma part j’ai su très tard ce qu'étaient les règles et je ne comprends pas trop pourquoi on ne m’en a pas parlé dès ma plus tendre enfance ? J’ai souvent eu honte dans ma vie d’avoir mes règles. Bizarrement je les ai eu hier, et je me dis que cette légende est peut être un bon endroit pour les assumer pour la première fois publiquement. Que pensez-vous de cette illustration ?
6) Miroir
Si j’ai choisi de terminer sur le miroir c’est qu’il s’agit à la fois d’un symbole de la sorcière (qui ne peux pas se voir dans une glace) et en même temps le symbole de la femme puissante qui apprend à s’appréhender à traver son reflet. C’est l’image qu’on perçoit de soi et en même le symbole de ce qu’on renvoie aussi à l’autre. Le personnage de la sorcière est pour nous représentation de ce qu’on est à nous et aux autres.
La sorcière est aussi un peu toutes ces femmes “dites” bizarre. Cette personne assez forte pour ne pas s’arrêter à ce que pensent les gens d’elle. Cette personne qui préfère la solitude à la non affirmation de sa personnalité. En ça la sorcière est cette personne puissante que nous pouvons tous incarnés.
J’espère qu’à travers cette ariantober vous avez pu saisir un certain nombre d'informations mais aussi de symbole dans lesquels vous projeter.
Personnellement je me suis beaucoup projeté à travers le personnage de la sorcière quand j’ai commencé à l’étudier. Dans ma scolarité j’ai souvent été considéré comme bizarre. J’ai connu le harcèlement et la phobie scolaire. J’avais envie de croire pour me rassurer que j’étais exceptionnelle alors j’oscillais toujours entre “je suis géniale ou je suis qu’une grosse merde” avant de comprendre que je n’étais ni l’un ni l’autre j’étais moi, ni moins bien ni mieux qu’une autre personne. Et je n’étais pas bizarre j’ai juste été longtemps face à des personnes qui se plient à ce qu’on attend qu’ils soient sans jamais s’interroger de ce qu’ils sont vraiment. Alors que moi je n’ai jamais su être obéissante même si j’ai vraiment essayé. Mais je ne regrette pas d’être incapable d’être normal, ça m’as fais gagné du temps.
Qu’avez-vous pensé de cette thématique qui se termine ? Laquelle avez-vous préféré ? Tu te vois comme une sorcière ? Merci pour vos soutiens, ceux qui ont réussi à tenir et on se retrouve demain soir pour la dernière publication de cette série.
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - 5 moyens surprenants de rendre ses vacances vraiment reposantes
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5 moyens surprenants de rendre ses vacances vraiment reposantes
« Pis, Sylvain? As-tu passé des belles vacances? Tu t’es bien reposé j’espère, parce qu’on a d’la job en masse pour toi asteure haha! »
Humm…. Vous est-il déjà arrivé de terminer vos vacances encore plus fatigués qu’au moment de les commencer?
De vous sentir coupable et un peu découragé, sachant que la prochaine occasion de refaire le plein ne se représentera pas avant plusieurs mois?
Prendre des vacances, c’est essentiel pour son bien-être, mais aussi pour sa productivité, sa créativité et son efficacité au travail. À condition bien sûr, de recharger ses batteries « pour vrai ».
Dans cet article, on vous dévoile 5 solutions pour vivre des vacances vraiment reposantes et énergisantes.
1. Déconnecter
Déconnecter, ça veut dire « établir des limites ». Si vos collègues ou votre employeur vous contactent pendant vos vacances, c’est que vous n’avez pas été assez clair. Même chose si vous êtes le patron.
Des vacances, ça se planifie : ne prenez pas de nouveaux projets dans les semaines qui précèdent à moins d’avoir une équipe autonome, déléguez autant que possible et communiquez clairement ce que représente pour vous une « urgence ».
Déconnecter, ça peut aussi vouloir dire de fermer son téléphone et de réduire grandement sa présence sur les réseaux sociaux. Votre attention est constamment sollicitée, surtout en cette ère numérique moderne.
La gestion des multiples stimuli est très énergivore pour l’organisme. Permettre à son cerveau de ralentir vous sera très bénéfique pour recharger vos batteries et retrouver vos capacités mentales optimales.
2. L’actif avant le passif
On aurait tendance à croire que dormir, se prélasser sur la plage et regarder la télévision sont des passe-temps qui nous permettent de nous reposer. C’est l’une des croyances populaires les plus ancrées à propos des vacances.
Le chercheur en neuropsychologie Guillaume Dulude a récemment exposé que le corps se repose plus efficacement lorsqu’il fait une activité qui sollicite une région du cerveau différente de celle qu’il a l’habitude d’utiliser au travail.
Par exemple, un comptable qui utilise principalement des fonctions cognitives de logique, d’analyse et de mathématiques au travail, aurait tout intérêt à solliciter des régions cérébrales associées à la créativité ou aux activités motrices lors de ses vacances.
Dessiner, faire du surf, partir en camping rustique et même tricoter vont lui permettre de se régénérer beaucoup plus efficacement qu’une semaine sur le bord de la piscine.
Le contraire est aussi vrai. Vous travaillez physiquement? Optez pour des activités qui utilisent votre cerveau analytique ou créatif comme les casse-têtes ou la lecture. Pourquoi ne pas suivre une formation qui vous intéresse depuis longtemps?
L’idée ici, c’est de FAIRE quelque chose qui vous sort du quotidien de manière à permettre au cerveau de véritablement reposer les régions les plus sollicités au quotidien.
3. Être présent
Si vous pensez à la charge de travail qui vous attend au retour des vacances alors que vous visitez le Zoo de Granby en famille, vous n’êtes pas vraiment en train de vous reposer.
La pratique de la pleine conscience est une technique pour vous aider à vivre le moment présent, à éviter de vous promener mentalement entre le passé (créateur de nostalgie et de culpabilité) et le futur (créateur d’anxiété).
La pleine conscience se pratique en tout temps : lors des repas, d’une promenade ou d’une simple discussion. Elle permet aussi de calmer le mental et d’accueillir ce qui est, avec plus de zénitude.
La pleine conscience est parfaite pour renouer avec soi et avec les gens qu’on aime : on est plus à l’écoute.
Le nombre de coachs de pleine conscience a explosé dans les derniers mois, démontrant à la fois le besoin et l’intérêt de cette pratique bénéfique pour la santé physique et mentale. François Lemay, un coach très populaire depuis quelques années au Québec, offre de nombreux programme en ligne, pour tous les niveaux et tous les budgets. Idéalement, on commence avant de partir à vacances 😉
4. Planifier pour créer de l’espace
Pour permettre au système nerveux de passer en mode relax, il est impératif de réduire au maximum les sources de stress. Les deux, le mode relax et le mode stress, ne peuvent coexister au même moment.
Impossible de se ressourcer si on ressent du stress, peu importe son origine, qu’il soit réel (rencontrer un ours) ou imaginaire (penser qu’on pourrait rencontrer un ours).
La pleine conscience (la solution #3) est l’une des façons de réduire le stress réel et imaginaire. Mais vous pouvez aussi planifier vos vacances de manière à minimiser les moments potentiels de stress.
Planifiez vos vacances, certes, mais laissez vous de l’espace pour manœuvrer.
La planification claire est un moyen de réduire l’anxiété, toutefois, si vous bourrez votre calendrier et que vous craignez des conflits d’horaire ou des retards potentiels, vous perdez les bénéfices liés à la planification.
Donc oui, on prévoit des activités en famille, mais on ne planifie pas faire le tour de Walt Disney en une journée.
5. Maximisez les bienfaits des vacances
Votre système nerveux a sûrement été surchargé durant les derniers mois. Il se peut que votre corps vous envoie des signaux d’alarme vous indiquant qu’il est grand temps de diminuer le rythme et de changer vos habitudes de vie.
Maux de tête, douleur au bas du dos, tension accrue aux épaules, douleur à la nuque : ce ne sont que quelques exemples de surcharges de votre système nerveux et du stress subi par votre colonne vertébrale.
Pour bien profiter de vos vacances et vous reposer pleinement, assurez-vous que votre corps retrouve d’abord sa fonction optimale.
Votre docteur en chiropratique porte une attention particulière à la fonction du système nerveux et à la colonne vertébrale. En éliminant les interférences de votre système nerveux, causées par des problèmes de mobilité articulaire vertébrale, votre corps pourra profiter à fond du repos que vous lui offrirez pendant vos vacances ; il sera ainsi en mesure de récupérer plus rapidement.
Un autre avantage : votre chiropraticien vous aidera à retrouver la forme pour prévenir les limitations physiques durant les activités que vous et votre famille rêvez de faire pendant les vacances.
Vous retournerez donc au travail en pleine possession de vos moyens, reposé, et prêt à passer à l’action!
En résumé :
Déconnecter réellement du travail en planifiant vos vacances plusieurs semaines à l’avance et en imposant vos limites. Déconnecter des réseaux sociaux et du bruit causé par une trop grande présence en ligne.
Optez pour des activités qui sollicitent des régions inhabituelles de votre cerveau.
Pratiquez la pleine conscience pour profiter du moment présent, renouer avec les membres de votre famille et avec vous-mêmes.
Planifiez vos vacances, mais laissez-vous de l’espace pour ne pas avoir à stresser inutilement.
Consultez votre chiropraticien avant de partir en vacances. L’ajustement chiropratique optimise votre système nerveux, qui sera en mesure de récupérer plus facilement, sans compter les tensions et les inconforts qui seront amoindris pour que vous puissiez profiter pleinement des activités prévues.
Bonnes vacances reposantes et énergisantes!
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Triste être sociale
La peur du rejet. La peur du rejet est ce qui me paralyse. Encore et toujours. Après réflexion de moi même à moi même. Après avoir essayé de lister les différents événements qui ont fait apparaître cette peur du rejet. Après avoir listé les nombreuses et différentes conséquences disséminer en barrières à travers ma vie. Me voilà arrivé à l'étape de visualisation du problème.
Trigger warning, si tu ne veux pas écouter les petits problèmes d'une blanche privilégiée passe ton chemin mon Tumblr et se poste n'est fait que pour exprimer mes pensées, ça me permet de mieux les identifier et de les comprendre (et de faire de la propagande de gauche, féministe et ecolo aussi) . Je sais que je ne suis pas de très très très loin la pire à plaindre.
Premièrement. Les événements. J'étais l'enfant turbulent et capricieux de ma famille contrairement à ma sœur qui a toujours été calme et attentive et qui de surcroît à toujours était plus éveillé, plus intelligente que moi. Sans doute d'être la dernière relou m'a donné l'impression d'être délaissé. Ma mère a toujours été la reine pour faire des promesses jamais tenues. Quand je racontais ma vie à ma mère elle ne pouvait pas s'empêcher de le raconter à ses copines des fois en se moquant alors que je pouvais entendre. Entendre les adultes (mes parents) parler de moi à d'autres personnes comme si je n'étais pas là alors que je suis juste à côté m'a toujours paru bizarre et dénigrant, comme si je n'étais pas un vrai humain. Au plus loin que je me souviens j'ai toujours eu des ami.e.s et surtout les mêmes jusqu'à ce que la vie sociale fasse son chemin qu'il ai eu un leader et que j'étais plutôt le boulet à tour de rôle avec une ou deux personne de ce groupe d'amis. Être le boulet signifiait ne pas comprendre tout les chuchotements que j'entendais, de ne pas être inviter à des fêtes sans aucune raisons, être balloté entre les humeurs sur ta personne du leader du groupe. J'ai finalement fini par se barrer de ce groupe mais la rupture fut difficile car comme je l'ai dit je les connaissais depuis que j'ai des souvenirs, ma vie sociale entière était tourné vers eux (c'était comme perdre une famille car avant je n'aurai pas imaginé ma vie sans eux), je les ai vu tous les jours pendant 2 années après (on était dans le même lycée), je n'ai pas eu d'amis pendant presque un an après cela. Cette histoire a clairement été le plus gros trigger. Je n'ai pas plus aux garçons avant assez tard. J'étais là moche sympa de mon groupe je pense. Quand j'étais au collège des garçons s'amusaient à me demander de sortir avec moi juste pour voir si j'allais tomber dans le panneau de dire oui (et si je disais oui ils se foutaient de ma gueule).
Tout ce que je viens de citer n'est que mon vision, mon ressenti, je me doute bien que la plupart des événements que je cite n'ont pas été vécu pareil des autres personnes et certains événement ne sont sans doute pas fait exprès venant de la personne en face.
Deuxièmement, les conséquences. J'ai une peur incontrôlable du regard des autres. J'ai la constante impression d'être jugé. Quand je rencontre une personne je pars toujours du principe que c'est elle qui a raison, qu'elle est socialement accepté et que c'est moi que cette personne peut juger et rejeter. L'arrivée dans un nouvel environnement sociale est un stress totale, si par malheur je n'arrive pas à me faire des amis je vais penser que je suis juste une personne nulle, inintéressante et moche (alors que maybe c'est juste pas mon genre d'amis). Je ne supporte pas déranger les gens, c'est à dire que si il y a des personnes que je connais juste vite fait et que je viens m'incruster pour papoter je scrute les visages pour déceler ou non si une ou plusieurs personne ne veut pas de moi dans ce groupe (c'est vraiment une grosse phobie sociale d'être la personne que les autres n'aiment pas dans un groupe). L'environnement travail/entreprise est une angoisse complète. L'entreprise est un endroit où des personnes sont rassemblées de force des fois par passion souvent pour pouvoir manger et partir en vacances à la fin de l'année. Dans une entreprise pour que la communication passe bien tu dois être cordiale avec tout le monde même si quelqu'un ne peut pas voir ta gueule, faire son fauxcul finalement. En somme tu es obligé de t'intégrer à un groupe (tu n'as pas le choix entre même un choix restreint de groupes comme dans une école par exemple). Dans une entreprise il faut s'intégrer vite, être joyeux, toujours de bonne humeur, dire bonjour à tout le monde tout les matins sinon c'est toi qui devient le paria coincé. Il faut prendre ses pauses avec ses collègues sinon on est comme un Hermite même si le fait de se retrouver encore une fois dans un groupe sociale ne détend pas mais au contraire fait stresser. C'est finalement tout le contraire de moi, je prend du temps pour faire confiance aux gens et donc m'ouvrir. J'ai besoin de m'habituer à mon environnement, voir qui sont les gens que je vais finalement côtoyer le plus dans ma journée et surtout j'ai besoin de les cerner avant de me détendre et redevenir moi même. Les cerner c'est le plus important. Essayer de comprendre qu'elle être humain il est plutôt. C'est là que le problème commence, c'est à dire que pour cerner quelqu'un j'ai besoin que la personne d'en face me fasse confiance et s'ouvre à moi alors que moi je vais le faire qu'à la fin de mon analyse qui me dira si oui ou non je peux commencer à me détendre, raconter ma vie et donc m'ouvrir et faire confiance. C'est pour cela que deux individus comme moi pourront être amis que rarement parce que personne ne voudra s'ouvrir en premier. C'est aussi pour cela que dans le milieu professionnel ou quand les gens me connaissent pas disent toujours poliment que je suis quelqu'un de calme et de posé dans ma tête des fois certains poussent jusqu'à dire que je suis dans ma bulle pour ne pas dire que je suis une personne qui ne parle pas beaucoup et que je ne suis pas très drôle. Ça m'angoisse tellement que je me césure dans mes choix de jobs, plutôt que de chercher un travail dont le thème m'intéresse, j'en cherche plutôt dans lequel je pourrais me planquer. Les rendez-vous médicaux, c'est une horreur aussi. C'est donc un humain qui va juger l'état de ton corps, certes tout le monde dit que ils doivent rester professionnels mais ce sont des humains et ils vont juger, qui n'a jamais entendu un praticien dire des choses de ses patients.
J'ai beau connaître tout ces mécanismes, le comment du pourquoi tout cela m'arrive, mais je reste coincée dans mon comportement, incapable de commencer à le changer. À chaque expérience je me dis que je vais faire mieux mais je suis toujours au même point de non avancement. Paralysé, à répéter les mêmes mécanismes encore et encore.
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Perfection (Message de Lumière) - Renouveau Spirituel
De l’Évangile de Matthieu 5.43-48 : « Vous avez appris qu’il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n’agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d’extraordinaire? Les païens aussi n’agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. »
Prenons un instant de silence… Respirons. Puis relisons plus calmement ce passage.
Maintenant, pensons-y. Que nous demande réellement le Christ ? Voudrait-il que chacun de nous devienne parfait ? Ou nous exhorte-t-il de faire de notre mieux pour tendre vers cet état de perfection…? En fait, la perfection existe-t-elle pour les êtres humains ?
Imaginez, qu’à un moment donné de l’histoire de l’humanité, un être de lumière devienne parfait. Qu’advendrait-il ? Deviendrait-il donc l’égal de Celui qui, seul, est parfait ? Serait-il, comme Dieu, capable de contenir tout cet Univers aussi parfait ?
Dans l’expression, « soyez donc parfaits…», le Christ faisait-il allusion à l’être humain, pris individuellement ou pensait-il plutôt à l’ensemble des êtres humains ? Dans l’Évangile de Jean 17 v. 21, le Christ prie son Père céleste pour que « tous soient un » comme Lui et son Père sont un ! N’est-ce pas révélateur ? Dieu, l’Un, le Saint, Celui qui est Parfait en toute ses dimensions, n’est pas seul… Il est Trine, c’est à dire fait de trois entités différentes qui cohabitent et qui résident l’un dans l’autre… Voilà le vrai sens de la perfection. En réalité, nul ne peut être parfait tout seul. La perfection réside dans l’Unité. C’est pourquoi seul Dieu est parfait car en Lui réside cette unité parfaite des trois entités formant la Trinité.
Eu égard à tout ceci, il parait évident que la perfection n’existe pas, pour un être humain pris individuellement. Par contre, en tant que membres du corps de Dieu, nous sommes appelés à travailler, chacun à son niveau, pour tendre vers cet idéal visant à rendre le monde parfait. « Ce n’est pas que j’aie déjà remporté le prix, ou que j’aie déjà atteint la perfection; mais je cours, pour tâcher de le saisir, puisque moi aussi j’ai été saisi par Jésus Christ. », écrit Saint-Paul apôtre aux Philippiens (chapitre 3 verset 12).
En luttant contre ce qui rend notre monde imparfait (conflits, manque d’amour, etc.), nous pouvons ensemble bâtir un monde parfait ! Il ne sert à rien de se stresser ou de se morfondre parce qu’on se sent incapable. Nous devons tous nous compléter. Si moi, j’excelle dans tel domaine A et que l’autre est bon dans un domaine B, nous pourrons ensemble surmonter les obstacles et déplacer les montagnes. Voilà ce qu’est la perfection. De ce point de vue, le Seigneur nous appelle plutôt à faire la paix avec nos imperfections afin de nous aimer les uns les autres car c’est l’union qui fait la force. Ainsi nous serons unis pour des lendemains meilleurs !
Dans le silence de ton coeur, écoute ce message de lumière.
Bonne méditation.
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Mon récit d’accouchement, partie 1.
Il est là, ca y est vous l’attendez avec impatience, vous me l’aviez demandé pendant 2 mois et demi, il est enfin là, mon récit d’accouchement.
Tout d’abord, je voudrais prévenir les futurs mamans qui vont lire mes mots, que mon cas n’est pas une généralité, chaque femmes est différentes, et chaque personnes vis les choses avec plus ou moins d’intensité. Je m’apprête enfin a poser des mots sur mes maux pour tourner enfin la page, mettre un point final, mais ne jamais oublier. Parce que cette « épreuve » fait partie maintenant de ma vie, et que je suis sure que ça définira la maman que je suis en devenir. Il m’a fallut plus de 10 semaines, mais maintenant, je suis prête a me replonger dans ces moments qui sont pour moi… horrible. Loin de la fille souriante que vous voyez dans mes stories, loin de toute la bonne humeur qui règne dans notre foyer.
Allez c’est partit, alons-y…
Je me replonge la veille de mon accouchement, nous sommes lundi 10 février, je me lève de mon lit et descend en bas pour prendre mon petit dej que Nico me prépare tout les matins. Je pose a peine mes fesses sur le canapé, que j’ai l’impression d’avoir eu une fuite urinaire. J’en fait par a Nico, mais je ne me m’inquiète pas. Je pars me changer. La matinée se passe et a 11h30, Nico par bosser. Je reste a la maison et me voila attaquer un grand ménage de printemps. C’est étrange, mais inconsiament je savais que l’heure de la rencontre n’aller pas tarder a arriver. Je ne le dis pas a Nico, je voulais pas le stresser au travail. Vers 16heures, après avoir récurer toutes les parties les plus improbables de ma maison, je décide de m’allonger dans mon lit devant la télé. J’avais mal aux reins, mais j’y suis habitué, j’ai souvent eu des colliques néphétique, ca ne m’inquiète pas plus que ça. Puis je soulève mon tshirt, regarde mon ventre, et il avait plus une forme arrondis. Il était tout tordu, et très tendu. Je vais faire pipi et je vois que mes sous vetements sont mouillés. Je decide d’appeler ma sœur pour qu’elle vienne garder Guizmo. Je lui explique que je vais aller faire un tour a la maternité, car je ne sais pas trop si ce sont des vrais contractions que je ressens ou pas. Elle arrive vers 17h30, nico a 18h30 ; puis je lui annonce que nous allons partir a la maternité mais que je pense rien de grave. J’ arrivais pas a calculer vraiment le temps entre chaque contractions. On prend quand meme la valise, sait on jamais. Je dis aurevoir a ma sœur et a mon Guizmo, etant persuadé de revenir dans 1h. C’est pas comme ça que je m’imaginais ce fameux moment où fallait que j’aille a la maternité. Je me rappelle encore, dans la voiture, on était tranquille, j’avais mal mais c’était supportable. Nico, le sourire au lèvres, s’imaginer déjà avoir son fils dans les bras.
19h00 : Arrivée a la maternité.
En bon élèves que nous sommes, on avait pas trop écouter quand nous avons fait la visite a la maternité, on était trop occupés a faire les clowns, du coup on s’est trompé d’entrée on est allé aux urgences, obligé de faire tout le tour de la mater pour trouver la vrai entrée. Bref, nous voila entrain de sonner aux sage femmes devant cette grande porte vitrée. Elles m’ont répondu que je devais patienté car aucun box n’était dispo pour le monito. Et là… Quel frayeur ! Je vois deux sages femmes sortir en courant avec un fauteuil roulant et se diriger vers l’acsenceur. Deux minutes après, j’entend une femme hurler au bout du couloir sur ce fameux fauteuil toujours poussé par l’une d’entre elles, avec son père qui courait a côté avec son sac sur le dos. Mon dieu… Le papa de cette jeune femme s’asseoit avec nous en salle d’attente et il nous explique que presque elle accouché dans le parking. Mais quel horreur… Je me serais cru dans un film. Bref, Nico sort son téléphone et on arrive enfin a calculer les contractions. Elles étaient rapprochés toutes les 5 minutes. J’étais debout je marchait dans le couloir en m’appuyant contre les barres pour se tenir parce que la douleur commençait vraiment a être vive. A 20h30, on me prend enfin en salle de monito. On me pause le monito et c’est partit pour 1h30. Au bout d’une demie heure, une sage femme vient m’occulter. Je lui explique que ce matin j’ai eu l’impression d’être mouillé mais que je savais pas vraiment. Elle met ses gants et a peine elle m’examine, que j’ai l’impression de mettre pris un sceau d’eau dessus. J’étais trémpé. Elle rigole et me dit : « Bon bah au moins là on est sur que vous avez perdu les eaux ». J’avais fissuré ma poche déjà sans m’en rendre compte, et elle, elle me l’avais complètement éclaté. Elle me pose un cathéter avec des antibio dessus car ça faisait un moment que la poche était fissuré, il fallait prendre aucuns risques. Elle me regarde avant de quitter la pièce et me dit : « ça y est c’est le jour de la grande rencontre. » Moi je savais pas où j’habitais, j’avais déjà très mal (je ne savais pas que ça allait être pire après, que ça a côté, c’est du pipi de chat) j’avais pas tout de suite réaliser. Je lui est alors demandé si je resté là ce soir en observation et elle ma répondu « madame, vous allez accoucher » et là, je me met a pleurer toutes les larmes de mon corps. De peur, de stress, d’excitation, de joie.. J’allais enfin voir le beau visage de mon enfant, celui que j’avais tant imaginée… J’envoie un message a ma mère, a ma sœur et a ma meilleure amie. Je ne voulais pas alerter encore toute la famille, je ne savais pas combien de temps ça allait mettre, et je voulais vivre ce moment qu’avec Nico. J’avais pas envie que tout le monde l’appelle toutes les 5 minutes en lui demandant si Rafael nous a enfin rejoint, même si je sais qu’ils auraient pas était comme ça, j’ai pensée égoïstement. Je voulais me rajouter aucunes pressions. Il est 22h30 quand je monte en chambre. Nico part chercher les affaires a la voiture, et on me sert le repas, un truc ignoble. Il a mit 10 minutes, mais ça a était les minutes les plus longues de ma vie. J’avais besoin de lui. Depuis que la sage femme m’avait percer la poche des eaux, les contractions était plus rapprochés et plus intense. Je souffrais énormément. Impossible de m’asseoir, ou de m’allonger. C’est là que commença mon calvaire, la pire nuit de toute ma vie. La suite au prochain épisode…
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Update Novembre 2019
Hello,
bon ça fait longtemps que je n’ai rien updaté ici (si on ne compte pas le post sur le No Shave November que je viens de poster), et j’me dis qu’il est temps de remédier à ça.
Qu’est-ce qui s’est passé depuis ces 8 derniers mois (parce que oui, je viens de regarder, le dernier post que j’ai fait date de début mars) ?
J’ai passé la barre symbolique des 1 ans sous Nébido. En soi, ça n’a rien d’exceptionnel pour moi, vu que bah, j’approche (déjà) de mes 5 ans sous T. Ma puberté (ou en tout cas le plus gros des changements liés à la T) sont arrivés il y a déjà belle lurette. Je dois voir mon endoc’ la semaine qui précède Noël pour mon contrôle bi-annuel. J’ai fait une prise de sang entre 2 injections et mes résultats sanguins sont bons (même le taux de cholestérol, hourra ! 🥳), le seul truc c’est que mon taux de T est juste au-dessus de la limite haute de la norme. Du coup, re-changement de dosage en perspective. Je vais tenter 1 injection toutes les 18 semaines (ou tout les 4 mois et demi, c’est comme vous préférez). Je pense que ça devrait passer sans trop de problème. Au pire si je suis trop bas (ce que je doute), je modifierai ça (avec autorisation de mon endoc’, même si pour être honnête, elle ne sert “juste” qu’à me prescrire ma T et mes bilans sanguins car avec les années, j’arrive à sentir quand un dosage peut passer/me convenir ou non). J’ai aussi rendez-vous avec ma cardiologue mi-février pour mon bilan cardiaque annuel.
J’ai passé ce mois-ci mes 3 ans post hystérectomie avec annexectomie. Rien de spécial à dire là-dessus. Vu que je ne garde pas un bon souvenir de cette opération, j’ai essayé de ne pas (trop) y penser.
Côté corporel : je fais actuellement un taff physique où je suis amené à porter des charges lourdes, du coup j’ai pris au niveau des bras, j’ai les épaules plus carrées et j’ai l’impression d’avoir des hanches moins visibles (je perds certains de mes pantalons quand je marche, je suis rendu à devoir les remonter dès que je fais 3 pas ... 😒). Avec le No Shave November, je me suis rendu compte que, quand même, ma pilosité avait bien évoluée. Elle pousse plus vite, est plus foncée, et commence a coloniser certaines parties de mon visage (notamment les joues). J’ai aussi plus de pilosité sur le ventre et les épaules. (Probablement aussi sur d’autres parties du corps, mais ça me “choque” moins).
Côté mental, bizarrement ça va. Je dis bizarrement parce qu’habituellement à cette période, c’est la mouise. Je devrai être en pleine dépression saisonnière. Et là.. bah... pour l’instant, rien. Peut-être que ça vient du fait que je n’ai pas beaucoup de temps pour me poser à cause de mes horaires. 🤔 J’appréhende un peu le début décembre, période à laquelle mon chat est décédé l’année dernière. J’pense que ça va me mettre un coup au moral. A propose d’elle, dans mon dernier post, je disais que je prévoyais de me faire tatouer son portrait, c’est chose faite depuis début octobre. Ma tatoueuse repassait vers chez moi pour une convention de tatouage, du coup j’en ai profité. Je ne regrette pas d’être passé par elle, je pense que c’était vraiment la bonne artiste pour ce projet, et c’était une bonne expérience. Stressante, parce que le tatouage avait une symbolique émotionnelle forte et qu’en plus je me faisais tatouer en convention (qui aurait cru, avec mon anxiété !), mais c’était cool.
Je n’ai toujours pas entamé de formation... Ouais je sais il faut que j’me secoue. Rien n’a vraiment bouger depuis le dernier post de mars. J’ai contacté récemment 2 écoles, il faut que je me mette un coup de pied au cul pour passer la pré-sélection -qui ne m’engage à rien à ce stade en plus- (mais j’ai peur de me vautrer comme un merde) pour la première et il faut que je me rende début décembre à la seconde école pour leur portes ouvertes. Mais j’avoue être moins enthousiaste par celle-ci car ce serait sur 2 ans (donc sorti de l’école à *roulement de tambour* 27 ans - parce que oui, en plus si je suis admis là-bas, bah je dois obligatoirement attendre l’automne 2020 et donc perdre quasi 1 an pour “rien”) et l’école est en “physique” et à plus d’1h en transports de chez moi (comparée à la première qui fait du télé-présentiel et dure moins longtemps). En vrai j’ai pas franchement envie d’être encore à l’école à 26/27 ans, et surtout j’ai absolument aucune envie d’habiter encore chez mes parents à cet âge là (parce que oui, j’aurai à priori pas la thune suffisante pour payer un loyer et me nourrir).. Déjà que ça devient de plus en plus relou pour moi d’habiter chez eux.. - J’habite chez mes parents, mais je ne me sens pas chez moi. - Je ne me voie pas y rester encore 2 ou 3 années. Si je peux avoir un mini espace pour moi en 2020, ce serait cool.
J’ai globalement atteint tous les objectifs que je m’étais fixé pour cette année 2019 (à l’exception de la formation), donc je suis content. On verra si j’atteindrai ceux que je me mets pour 2020.
Côté Youtube : On arrive à la fin de l’année, donc je peux commencer à faire le bilan. Je suis content d’avoir fait autant de contenu. (Une 50aine de vidéos, quand même). Le rythme d’une vidéo/semaine s’est fait naturellement au début d’année, puis avec les semaines j’ai pris le pli comme on dit. Ça m’a “forcer” à me creuser la tête pour créer du contenu (qualitatif, je l’espère) et à me sortir de ma zone de confort. Mais pour être honnête, j’ai un sentiment de ras-le-bol ces derniers temps. Je ne pense pas continuer à faire des vidéos à ce rythme là l’année prochaine. J’ai aussi l’impression d’avoir fait le tour (même si je sais que ce n’est pas le cas) des sujets “classiques” concernant la transidentité. Ça ne m’intéresse plus de faire du contenu pédagogique sur la transition médicale (peut-être que ça vient simplement du fait que ma transition médicale commence à dater maintenant et que j’ai besoin de passer à autre chose !?), je n’y prends plus plaisir. Je tournerai en fin d’année/début d’année prochaine les sujets que j’ai déjà scripté, mais j’pense que ce sera tout (sauf si l‘envie me reprend ou que je sens qu’il y a un gros besoin). Je ne stoppe pas les vidéos (en tout cas, je ne le prévoie pas à l’heure où j’écris ce post) mais j’ai vraiment plus d’envie, de motivation, et globalement le besoin de m’autoriser à faire des vidéos qui ne parlent pas nécessairement de transidentité, qui sont plus légères, ou simplement dans un format que je n’ai pas encore fait ou qui ne plait (ou plaira) pas au plus grand nombre (genre les vidéos réflexion ou sur la représentation dans les médias). En gros j’ai besoin de me (re)faire plaisir avec ma chaîne sans stresser que ce ne soit pas le contenu/format que les personnes qui me suivent attendent. (Parce ce qu’il y aussi ce truc de se dire qu’il n’y a pas énormément de personnes qui parlent de transidentité en français sur Youtube - et que la plupart ne font que des updates médicales - sur la T / la mammectomie -. Et donc c’est compliqué de s’autoriser à ne plus “fournir” ces contenus à des gens qui en sont en demandent, ou perdu·es. On se sent un peu responsables des plus jeunes qui débarquent. Mais bon, je voie que certains commencent à faire des vidéos informatives depuis quelques mois - bon par contre, ça fait depuis 2008 que je traîne sur Youtube, j’ai vu à peu près tout et n’importe quoi sur cette plateforme, et je ne vous cache pas qu’actuellement dans 90% des cas, on sent (et je sais clairement) que c’est (le sujet de la transidentité) juste une excuse pour faire de la bonne vieille vidéo youtubesque génératrice de vues (titres clickbait, mise en scène de sa personne dans les miniatures de vidéos et dans les vidéos, manière de parler et rythme de montage de la vidéo qui copient ce qui marche sur la plateforme, mise en place de collab’ franchement inutiles pour faire de l’échange d’abonné·es, partenariats rémunérés, concours, etc.. La liste est longue malheureusement.) dans le but de devenir un (pseudo) influenceurs. Les raisons sont regrettables - d’autant plus que beaucoup de viewers ne se rendent pas compte de ces stratégies de manipulation parce que jeunes, parce que naifs/naïves, parce qu’en besoin de visibilité et reconnaissances)- mais au moins il y a plus de contenus de faits et disponibles, et c’est déjà ça.)
Bref, je vais terminer mon pavé ici. Je referai peut-être une update en début d’année pour mes 4 ans post mammec’ et/ou mes 5 ans sous T.
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Le sport, une pas si longue histoire d'amour
J'ai toujours aimé le sport, le regarder surtout, le pratiquer beaucoup moins. Comme énormément de gens mes premières armes ce sont faites aux fils des années à l'école primaire, pratiquant à tour de rôle la gymnastique, le foot, le trampoline et que sais-je encore. Des sports ludiques et fatigants
Le sport ne m'a jamais rejeté, c'est moi qui a fini par le faire, une bonne partie de mon adolescence. Au collège le basket fut mon premier amour, j'ai demander à mes parents de m'inscrire au club le plus proche, mais l'expérience a tourné court. Plusieurs raisons à cette échec, le premier, moi et uniquement moi. Voyez vous je n'ai pas fais de crise d'adolescence à proprement parlé, pas de conflit ouvert avec mes parents, jamais était forte tête , une force tranquille toute au plus, cependant durant cette période j'avais une flemme excessive, une fois arrivé chez moi le canapé m'accaparait sans jamais me laisser repartir, comme une sangsues devant la télé, hypnotisé. Cette flemme m'a value une croissance exponentielle de mon poids ainsi que l'incapacité de faire quelques sports que ce soit en dehors des 4h obligatoires par semaines, le pire c'est que j'adorais ces quatres heures. Mais le poid s'accumulent, mon corps changeant et la gêne s'installe, heureusement pas de harcèlement, j'ai eu la chance d'être grand très vite ce qui réduite les risques.
La fin du lycée fut le déclic, j'ai compris que je n'avais plus le choix, je devais faire quelque chose, ce fut alors ma première fois dans une salle de sport et après un temps d'arrêt je ne la quittrais plus, 4-5 fois par semaine, toujours entre 12h/14h à ma pause déjeuner, cela nous permet (avec les collègues) de décompresser du boulot, d'évacuer toutes les mauvaise ondes et de reprendre serein, ou fatigué et donc incapable de nous stresser par la suite , c'est libre d'interprétation.
Avec les collègues nous parlions d'un procédé nouveau, cela va être la conclusion de cette article, c'est un procédé pour les gens pressé, c'est le sport par électro stimulation, pour faire court 30 mins sport = 4 heures , mais où est l'effort, le dépassement de soit, la fierté. Le sport outre les bienfaits corporels apporte aussi une dose de bonheur indispensable au cerveau , ce n'est pas pour rien qu'il est recommandé d'en faire pendant les phases de dépression et autre.
J'ai 26 ans et je profite du peu de temps qu'il me reste à pouvoir faire du sport avant de me faire opérer des genoux, c'est inévitable, une vraie tradition familiale, mais après ça , je reprendrais car je suis fière maintenant de dire c'est l'une de mes plus farouches habitudes.
Clément P
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Écrit sur : le son de mes acouphènes
#news#writers#culture#sport#advice#experience#self portrait#myself#books and libraries#my art#challenge#storyboard#storytelling
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Keto Tone Avis
Keto Tone Avis: -La remise en forme est probablement l'une des activités les plus difficiles. Cependant, cela ne signifie pas que c'est inimaginable. À vrai dire, les pilules Keto Tone Avis sont conçues pour vous permettre de perdre du poids plus rapidement et plus efficacement. Au cas où il vous manquerait quelque chose dans votre programme de perte de poids, cela pourrait être ça! Cet article normal prévoit de vous aider à décomposer plus de muscle que de graisse plus rapidement. De plus, cela étouffe votre envie, ainsi se gaver devient une relique du temps passé. Dans la majorité des cas, cela contribue même à vous donner un regain de vitalité. Ainsi, avec tout ce qui est pris en compte, cela pourrait être le coup d'envoi dont votre corps a besoin pour commencer à se mettre en forme sans équivoque. Est-il exact de dire que vous êtes prêt à le tenter? À ce stade, appuyez sur n’importe quelle image pour obtenir le meilleur prix Avis Keto Tone disponible!
La fièvre du régime céto est encore solide. En outre, il y a de fortes chances que vous en ayez eu connaissance via des supports réseau basés sur le Web. Pendant le régime céto, vous renoncez à tous les mets succulents, riches en glucides comme les pâtes, le pain, quelques produits biologiques et les aliments sucrés. En outre, il s’agit d’une procédure dans laquelle votre corps consomme avec une chaleur extrême des réserves de graisse pour vous. Dans tous les cas, les pilules Keto Tone Avis vous garantissent une cétose plus rapide et une plus longue durée! En outre, nous ne pensons pas à vous, mais nous devons nous mettre en forme plus rapidement. En outre, agir comme tel par cétose revient fondamentalement à faire en sorte que votre corps fasse pratiquement tout pour vous! Les choses étant ce qu'elles sont, voudriez-vous décomposer les graisses et laisser votre corps le transformer en PURE ENERGY? À ce stade, vous devez essayer cette recette. Prenez une photo pour obtenir le moins de coûts Keto Tone Avis en ligne maintenant!
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De cette façon, tout à coup, travailler et bouger davantage est plus simple. En plus de cela, le supplément Keto Tone Avis peut vous permettre de tomber dans la cétose et de consommer avec une chaleur extrême vos réserves de graisse. Vraiment, vous pouvez entrer dans la cétose en utilisant le régime céto. Quoi qu'il en soit, il est difficile de suivre. De plus, faites-nous confiance, vous devez en prendre soin. Depuis, plus vous êtes en cétose, plus vous consommez de matières grasses. Les choses étant ce qu'elles sont, la raison pour laquelle on n'utilise pas cette recette pour rester plus longtemps dans la cétose, avoir plus de vitalité, enfin atteindre vos objectifs?! Snap ci-dessus pour commencer!
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PictureS[...] – 0. Photo n°0 : Comment je suis tombé amoureux
Je m’appelle Cléo Clébert, et j’ai changé.
Les choses sont parfois étranges. Elles se déroulent d’une certaine manière et suivent leur cours sans qu’on ne comprenne bien comment. Prenez « moi », par exemple. Je suis un jeune homme de dix-huit piges. Sans vouloir me venter, je suis beau. Je n’ai aucun doute à ce sujet. Il suffit pour s’en convaincre de voir l’effet que j’ai toujours pu faire aux autres, à commencer par certaines personnes dont la fréquentation ne serait pas recommandable.
Mais que voulez-vous ? Est-ce ma faute si certains sont prêts à payer uniquement pour avoir le droit de poser leurs doigts gras et dégueulasses sur les cuisses d’un adolescent en fleur ? Est-ce ma faute si ma peau très blanche, mes cheveux très noirs, la douceur de ma peau, ma taille fine et mon sourire éclatant et pervers, rehaussé par l’étincelle de mes yeux gris bleuté, attirent les ours affamés de miel ? De mon miel ?
Et est-ce ma faute si, au lycée, j’ai si souvent accepté leurs caresses, sans trop leur en donner mais toujours en essayant de tout leur prendre ?
Certains seraient tentés de répondre que non, qu’on ne choisit pas ces choses-là, qu’on ne se présente pas sur une place publique pour subir des gestes infamants, que nul jeune homme ne mérite de passer ses nuits à pleurer en se trouvant dégueulasse, en haïssant sa vie et en voulant parfois en finir. Personne.
Ils se trompent.
Je mérite ce qui m’est arrivé. Non pas parce que je l’ai cherché ou voulu, ni même provoqué. Je le mérite car je suis moi. Je ne sais pas très bien comment l’expliquer, comment exprimer ce sentiment. Mais c’est ma vie, telle que je l’ai vécue, mes choix, mes erreurs et surtout mes névroses.
Bien sûr, les personnes les plus avisées auront vite fait de me trouver des circonstances. Perdre ses parents si jeune… se retrouver avec sa sœur jumelle placés chez un oncle, ne plus jamais ressentir l’amour d’une mère, la fierté d’un père, l’étreinte protectrice d’un adulte… Ça casse. Tout comme comprendre trop jeune que son propre corps est à la fois une marchandise autant qu’une arme. Un collégien ne devrait pas avoir ce genre de considérations, pas plus qu’un lycéen. Personne, en fait.
Mais savez-vous à quelle introspection un jeune garçon ne devrait jamais être confronté ?
« Pourquoi j’aime ma sœur ». Une question qui en entraîne d’autres. « Pourquoi je la désire ? Pourquoi suis-je à ce point en perdition quand je pense à elle ? Pourquoi ces idées traversent-elles mon esprit ? Pourquoi suis-je incapable de maîtriser mes rêves quand je me caresse ? Pourquoi je pleure en le faisant ? Pourquoi suis-je comme ça ? Pourquoi un tel monstre ? Pourquoi ne puis-je rien faire pour elle qui se détruit de son côté ? Pourquoi suis-je si lâche ? Pourquoi j’existe ? Pourquoi je ne meurs pas ? »
Toutes ces questions, je me les suis posées. Charmer des filles et des garçons de mon âge et rendre fou de désir des vieux schnocks était alors pour moi une façon d’y répondre. J’étais un salaud qui faisait du mal aux autres et qui souffrait en retour. La réponse était tellement simple. Elle m’allait.
Aujourd’hui, je fais près d’un mètre quatre-vingts. Je suis plutôt grand, élancé, et toujours aussi beau. J’ai une tête de bébé, qui n’a presque jamais besoin de connaître les joies du rasoir, mais qui sait faire fondre n’importe qui d’un seul regard. Mes cheveux sont lisses et brillants. Ils me tombent sur les oreilles, parfois sur les yeux. J’entretiens mon corps à la perfection, ne laissant rien pousser ou dépasser, chassant la graisse comme la peste. Je suis beau. Au zénith de ma beauté. Je le sais. Je ne peux plus que me faner, vieillir et devenir un jour le miroir de ceux que je déteste. Et je m’en fiche éperdument. Cela ne revête aucune forme d’importance. Je m’appelle Cléo Clébert, et je viens de rentrer en première année de classe préparatoire scientifique au lycée du Lac, à Lyon, un des meilleurs de la région, voire de France. Je m’appelle Cléo Clébert, et j’ai changé.
J’assume avoir mérité le mal que je me suis fait. Parce que j’en ai fait aux autres, et que j’en cherchais en retour. Était-ce utile ? Non. Fut-ce efficace ? Encore moins.
J’ai failli tout perdre. Je n’ai à propos de mon comportement passé presque que des regrets. Je me suis moi-même détruit, encore plus que ce que la vie m’avait prévue. Mais je ne suis pas à plaindre. Les gens peuvent bien passer leur chemin et me regarder d’un air dépité sur le bord de la route. Ils ont raison. Si j’étais eux, j’en ferais de même. Non, c’est en réalité exactement ce que j’ai décidé de faire, avec ce garçon qui n’est plus moi.
Il m’aura fallu une année de première bien tourmentée et presque une année de terminale pour m’en remettre, pour enfin pouvoir sourire comme je le fais aujourd’hui. Alors que j’étais au bord du précipice, des camarades de classe m’ont rattrapé, m’évitant une chute mortelle. Je les avais tous blessés, je pense, mais ils n’en eurent rien à faire. Ils m’ont offert leur amitié, à condition que j’apprenne à m’aimer. J’ai accepté de les écouter.
Je n’ai jamais cessé de désirer ma sœur, je n’ai jamais cessé non plus d’admirer sa folie, sa créativité incroyable, sa façon de voir le monde et de se moquer de tout. Je n’ai jamais cessé de me soucier d’elle, de vouloir la protéger, voire la servir. C’est en acceptant la nature de mes sentiments que j’ai réussi à m’en détacher. J’ai pu m’apaiser en la laissant dans les bras d’un garçon qui la méritait et en vivant ma propre vie à côté. Forcément, j’aurais souhaité pour elle que son histoire d’amour dure toujours. Mais son petit copain, un véritable ami à côté de ça, a choisi de suivre une bonne partie de la bande à Paris, là où sa dulcinée a préféré rester dans la région. Elle souhaite se lancer dans divers projets artistiques, faire du théâtre, créer. Notre oncle l’a convaincue d’au moins essayer une année de fac. Du coup, elle s’est inscrite dans un cursus d’histoire de l’art à l’Université Lyon 2. Elle semble heureuse, mais elle parle encore de Gabriel comme s’il était toujours à elle. Elle dit s’être remise de son récent départ et le prendre bien, mais elle m’a tout de même confié vouloir l’étriper s’il remettait les pieds dans le département. J’ai quelques doutes sur le fait qu’elle ait réellement accepté leur séparation, mais je lui fais confiance pour avancer et gérer ses sentiments. Elle aussi, elle a grandi.
Je me sens tellement plus libre aujourd’hui en ayant renoncé à me détruire. Je n’ai toujours pas vraiment compris comment ma vie avait pris ce chemin, et je ne cherche même pas à savoir. Cela ne représente plus grand-chose. Mes camarades de classes actuels ignorent tout de cette partie de mon passé. Ils voient en moi celui que je suis maintenant. Une tête en maths qui mâchouille du chewing-gum à la pastèque en cours, qui résout des systèmes d’équation en se léchant les lèvres d’excitation, qui grogne en bossant la nuit, qui s’amuse de la vie et la croque à pleines dents en essayant de se construire un avenir. À vrai dire, cela ne fait que deux semaines que les cours ont commencé, mais je me suis déjà fait des amis. Deux en particulier, et ce de manière assez imprévue.
Alors que je logeais toujours chez mon oncle, dans la banlieue lyonnaise, j’ai fortement balisé le premier jour de classe en prenant conscience du temps que j’allais perdre dans les transports. Pas de chance pour moi, m’y étant pris bien trop tard, il n’y avait plus la moindre place de disponible dans l’internat. C’est en me voyant ruminer et stresser que deux camarades se sont retournés vers moi. Potes de collège, ils avaient poursuivi leur scolarité dans le même lycée, avaient été acceptés dans la même prépa – dans des sections différentes – et s’étaient mis en coloc dans un super appart de 120m² situé à à peine cinq minutes du bahut. Le pied total, idéalement placé, bien orienté, avec un grand salon et trois chambres séparées. C’était d’ailleurs là leur seul problème. Ils avaient signé le bail au début de l’été. Mais c’était avant que celui qu’ils avaient choisi comme troisième ne leur fasse faux bon pour des raisons personnelles. Il leur restait une place de libre qu’ils avaient bien envie de combler afin de payer le loyer, et je leur semblais sympathique.
Voilà comment, moins de trois jours après le début des cours, j’emménageai en coloc avec Mika – en MPCI comme moi – et Fab, en Khagne. Les deux sont adorables, mais n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Mikaël est plus jeune et plus petit que moi. En avance scolairement de deux ans, il a survolé son lycée. Avec sa petite taille, on dirait un gosse tout droit sorti des jupes de sa mère découvrant le monde et même pas foutu de se laver lui-même ses chaussettes sales ou de se faire cuire un steak. Toujours en t-shirt à manches longues, il ne boit que des jus de fruit, si possible pressés par sa maman qui lui dépose un stock tous les lundis. Puceau gêné de l’être, il n’a même jamais embrassé une fille, alors qu’il est mignon comme tout. Un vrai gamin aux cheveux blonds et aux yeux bleus avec une tête de bébé, mais mieux faites et plus rapide à calculer que la majorité de celles qu’il m’ait été données de rencontrer.
Fabien, lui, est son exact opposé. Grand, plus âgé – il a retapé une classe au primaire à cause d’un déménagement compliqué–, châtain, possédant des yeux sombres et doté d’une barbe hirsute aux reflets orangés qui lui descend jusqu’en haut de la poitrine, il porte avec une certaine classe un béret sur ses cheveux longs, noués par un chignon. Quand en plus il sort ses vieilles chemises à carreaux achetées dans une brocante et se fout devant la Playstation 4 une bière à la main en parlant de sa toute dernière copine, on se croirait transporté dans un tout autre univers que celui des classes prépas. Fab, c’est tout un personnage, différent, mais aussi attachant que Mika. Ces deux-là n’ont vraiment rien à voir, et pourtant, ils s’apprécient comme des frères. Leur seul point commun ? L’intelligence ! Mon barbu de coloc est un tueur niveau culture G. Du niveau intellectuel d’un insupportable brun vaniteux que j’avais dans ma classe au lycée et avec qui j’ai pu faire, une fois, des choses qui ne me rendent pas fier. Foutu passé. Et dire que je le compte aujourd’hui dans le rang de mes amis sincères…
M’être retrouvé en coloc avec Mika et Fab a été une sacrée veine. Fabien est une vraie mère de substitution pour Mikaël, et moi, je profite des bons petits plats que cet hédoniste lui prépare. Il n’y a pas à dire, il y en a qui savent se faire plaisir dans la vie. Si nous n’avions pas déjà autant de boulot, je crois que nous passerions tous les trois nos soirées de libre à nous éclater sur Rocket League à refaire le monde en parlant tantôt d’Histoire, tantôt des grandes théories scientifiques de ce monde. En attendant, on se retrouve surtout pour bouffer avant de nous enfermer dans nos chambres respectives. La prépa, ça ne pardonne pas. Il faut travailler, encore et encore si on peut avoir une chance de réussir. Du coup, cela laisse bien peu de temps pour les loisirs, et encore moins pour s’occuper de son petit copain. Ou de sa petite copine. Dans mon cas, les gens peuvent dire les deux, cela ne me dérange pas, et lui non plus. Des fois, cela m’arrive de passer d’un genre à l’autre, usant du masculin quand j’en parle, m’adressant à lui au féminin, surtout lorsqu’il ressent le besoin d’afficher cette apparence. Les termes sont trop limités pour décrire tout ce qu’il est.
Camille. Son prénom, c’est Camille. Il partage avec moi le poids d’un passé douloureux. J’ai perdu mes deux parents, lui sa mère et sa sœur. Chacun, nous avons vécu nos traumatismes à notre manière. Moi en me dégradant, lui en se cherchant. Peut-être ne s’est-il pas encore vraiment trouvé, même si je souhaite de tout cœur lui apporter le bonheur qu’il mérite. Parce que de tout ce qui a pu m’aider à aller mieux et à me reconstruire, c’est son sourire et les frissons qui parcouraient son corps quand je l’embrassais dans le cou qui ont été le plus décisif. Je lui dois mon bonheur actuel. Je lui dois donc tout. C’est aussi simple que cela.
Cet essai que j’écris, à destination de je ne sais qui – peut-être personne, peut-être un inconnu qui tombera un jour dessus par hasard –, c’est un peu l’histoire de comment je suis tombé amoureux. Ou plutôt, comme cet amour m’a sauvé. C’est en tout cas ce que je souhaitais coucher sur papier entre deux exercices de maths, alors qu’il est déjà si tard.
Si je remonte à cette année de première ou tout allait si mal, je ne peux que penser que le temps et le destin ne connaissent pas de hasard, qu’il ne faut pas chercher à comprendre le cours des évènements mais simplement se laisser porter par son flot. Seul Camille, un amour transgressif, pouvait me libérer d’une passion transgressive et destructive, celle qui me rongeait de l’intérieur et que je nourrissais pour ma sœur. Seulement dans ses yeux sombres « bleu de minuit » pouvait se refléter mon portrait. Seules ses lèvres couleur grenadine pouvaient happer mon souffle. Seulement à sa poitrine pouvait se caler le rythme de mon cœur. Seules nos deux âmes tourmentées pouvaient se rencontrer et s’enlacer ainsi, jusqu’à ne faire plus qu’un. C’était écrit.
À lui aussi, pourtant, j’ai fait du mal. Peut-être plus encore qu’à d’autres. Dès le collège, Camille s’est mis à douter. Non pas seulement de lui, mais aussi de son genre. Le départ de sa sœur l’a chamboulé au point qu’au tout début, il a essayé de lui prêter son corps pour qu’elle continue à vivre à travers lui. Je n’étais pas là pour découvrir son premier travestissement, ni les suivant. Je n’étais pas présent lorsqu’il a compris que sa douceur, ses traits féminins, son comportement et son androgynie naturelle lui permettant de se fondre dans l’un ou l’autre sexe sans se faire repérer n’étaient pas un hasard. Que son besoin de se sentir fille n’était pas une lubie, mais une partie de lui.
Beaucoup se sont fait avoir. Moi le premier. C’était à l’anniversaire de Gabriel, en tout début de première. Camille avait été invité pour faire plaisir au blond de service, qui s’en était pris d’affection pendant l’été, après l’avoir longtemps pris pour une véritable demoiselle. Sur le moment, je l’ai trouvé adorablement mignonne, tout à fait à mon goût. Un petit sucre d’orge venant tout juste d’entrer en seconde, prêt à être dévoré par le garçon que j’étais. J’avais envie de tenter ma chance, mais je me retins. Ce n’était sans doute qu’une autre gamine inintéressante qui pouvait peut-être me plaire, mais guère plus. Je me trompais lourdement. Ce ne fut que de retour au lycée que je découvris la vérité. Sous cette robe et cet air triste et esseulé se cachait une vigueur masculine que je n’avais pas suspectée. J’ai trouvé ça merveilleux, sincèrement. Alors que tout dans ma vie n’était que mensonge et faux semblant, je faisais face à un garçon qui avait trouvé en lui les couilles de s’en affranchir. Qui avait le courage de se pointer à une soirée non pas comment les autres le voyaient, mais comment il voulait être vu.
Et moi, tout ce que j’ai trouvé à faire, ce fût de le draguer lourdement, espérant égoïstement que sa subversivité, que je trouvais à la fois poignante et hautement érotique, n’irrigue mon corps et mon esprit.
Cette année fut pour lui un calvaire, largement à la hauteur du mien. La puberté n’est pas l’ami des jeunes adolescents qui sont plus heureux en jupe qu’en jean. Certes, Camille n’a jamais prétendu être une fille, et ce de manière exclusive. Il n’a jamais nié être né garçon, acceptant la vérité de son corps et de ce qu’il pouvait en faire, jouant sur les deux tableaux au grès de ses envies et du temps qui passe. Cela ne fut pas simple. Sans le blond de service et l’odieux brun de la classe pour s’occuper de lui, je ne sais pas comment Camille aurait fini l’année. Son organisme, son apparence pourtant si féminine mais encore trop masculine à son goût, sa voix douce mais pas assez, le règlement interne du lycée qui lui interdisait de se vêtir comme il le souhaitait, les disputes avec sa meilleure amie Margot… Tout le faisait souffrir, le poussant parfois à s’enfermer chez lui pour pleurer.
Notre rapprochement s’est fait de manière naturelle, au moment-même où, tous les deux, nous cherchions des raisons d’aller mieux. Je m’étais calmé, moins agressif, moins lourd, mais pas moins motivé. Il me plaisait. Lui tout entier, y compris elle. Ce qu’il voulait être, je m’en foutais. Ce n’était ni le Camille garçon, ni le Camille fille qui m’intéressait. C’était Camille tout court, comme pille et face n’appartiennent jamais qu’à une seule et même pièce. Alors je l’ai embrassé, on s’est enlacés, aimés, et très rapidement assumés.
Je n’ai pas de genre préféré. Les gens peuvent trouver cela étrange, mais c’est ainsi. Je ne me suis jamais vraiment posé la question. À l’âge où les garçons commencent à s’intéresser aux filles, j’avais déjà pris conscience de mon corps et de son potentiel, je savais à qui je plaisais et à qui je pouvais plaire. Je ne voyais dans toutes ces histoires d’orientation sexuelle que de l’hypocrisie. L’un ou l’autre, je m’en tape, aujourd’hui encore. Le désir n’est pas quelque chose d’assez rationnel pour qu’on y colle des mots. Qu’y puis-je si Camille est tout simplement merveilleux ?
L’année de terminale fut la plus belle de toute ma vie. Nous étions ensemble, au même endroit, moi préparant le bac, lui me suivant de près. J’étais avec l’être le plus merveilleux qui soit. Tourmenté, Camille se renferme sur lui. Libre, « elle » rigole, s’affirme, s’amuse et nous entraîne. Sa beauté m’apaise. Son charme me séduit. Son tempérament me fait voyager. Nous étions heureux. Tellement que je chéris chacun de ces instants, ceux qui ont fait de moi le Cléo bien dans sa peau qui n’a plus peur d’avancer. Même mes proches ont noté ma transformation. Pour me féliciter pour mon bac, mon oncle m’a offert un appareil photo, un Canon EOS 80D de grande classe dont je me sers à présent presque tout le temps, afin de garder en mémoire les images qui font mon bonheur. Cela me fut étrange de me replonger dans ce qui représentait ma grande passion d’enfance avant que les aléas de la vie ne m'en détournent.
Puis juillet est arrivé à toute vitesse. Entre amis, nous avons loué une maison au bord de la plage pour passer un peu de temps ensemble, avant que chacun ne trace sa propre route. Si je suis rentré en prépa, Camille est resté derrière. Toujours prisonnier des murs du lycée Voltaire. Il me dit qu’ils ne lui ont jamais semblés si froids depuis que je n’y suis plus. J’aimerais tellement vivre avec lui. Si seulement j’avais moins de travail le soir et un peu plus de temps à lui consacrer…
Camille est fort, je le sais. Quand il est lui-même, quand il peut être « elle » sans être jugé, il rayonne. Je ne me suis jamais vu comme le protecteur du couple. Peut-être que je joue parfois ce rôle, mais au lit comme dans la vie, nous partageons bien plus que ça. Certes, même si je n’en ai rien à foutre, il est sans conteste bien plus souvent ma copine que mon copain. Je le soupçonne même un jour de vouloir franchir le pas et de se lancer dans des démarches sérieuses, ou tout du moins de se poser de vraies questions quant à l’identité qu’il voudra plus tard assumer au quotidien et sur ce à quoi devrait ressembler son corps pour qu’il s’y sente vraiment bien. Mais il n’a que seize ans et demi, en aura dix-sept, en décembre. Il a le temps. Je sais qu’il doute. Au fond de lui, il existe une fille qui cherche à se libérer. Mais son corps est ce qu’il est, et s’il voudrait parfois qu’il en soit autrement, tout n’est pas aussi simple dans la vie qu’un coup de ciseaux dans du papier. C’est vrai que de mon côté, je ne veux pas qu’on me l’abime, mon Camille. Je l’aime comme il est. Je ne suis pas tombé fou amoureux d’un garçon ou d’une fille, mais simplement d’une belle personne, affichant sa force pour cacher sa fragilité, capable de me comprendre, qui a souffert comme moi et qui mérite de laisser tout ça derrière.
Je veux lui offrir son bonheur, tout comme il m’offre le mien, ce soir encore alors que défilent devant mon nez sur, mon écran d’ordinateur, des photos de lui, de nous, des photos qui me font l’aimer encore plus et qui mouillent mes doigts lorsque je me frotte les yeux.
*****
Extrait de l’album photo de Cléo
Emplacement n°0
Nom de la photo : « Comment je suis tombé amoureux »
Filtre : noir et blanc
Lieu : sur la plage, en Corse, devant un coucher de soleil
Date : un des derniers soirs des vacances, en juillet
Composition : Kilian, Aaron, Martin, Jarno, Gabriel, Justin, Camille, et moi. Toute la bande, nous posions devant l’appareil, installé sur un muret avec un minuteur. Kilian enlaçait Aaron, ce dernier souriait. Justin accroupis devant lui avec sa casquette faisait le signe « V » de la victoire avec la main droite. Gabriel posait avec un air classe. Martin rigolait. Jarno se trouvait un peu à l’écart, le regard perdu. Je me tenais à gauche, la paume de Camille dans ma main, sa tête sur mon épaule. Nous étions tous heureux. Sans eux, je ne me serais sans doute jamais rapproché de Cam. Bien que prise un an plus tard, cette photo symbolise pour moi la façon dont je suis tombé amoureux.
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4月20日2019年 23:30
Cela fait un moment que je n’ai pas écrit. Très longtemps même. Il s’est passé beaucoup de choses et il y a eu une très longue période ou je ne me sentais vraiment pas bien. Vraiment, je n’ai pas souvenir de m’être sentie aussi mal, ce n’était pas facile facile à gérer mais bon, avec la détermination on arrive au bout de tout. Je n’avais plus internet en octobre aussi...
Il y aura moins d’images cette fois, pour ainsi dire pas du tout. Hey, si vous voulez aller les voir, j’avais mis le lien vers le dossier Drive. Vous avez trois mois de photos. Nan… Du texte, beaucoup de texte car j’ai tant à raconter. Il m’est arrivé quelque chose d’intense, quelque chose de puissant. Je ne vous demande pas de me croire, d’ailleurs qu’est-ce-que ça changerait ? C’est ma réalité, mon histoire je ne fais qu’exprimer mes ressentis. À vous ensuite d’accepter, rejeter, réfléchir ou même rire. Mais mon regard est différent aujourd’hui par rapport au moment où je l’ai vécu ce qui est complètement normal. Vous comprendrez en parcourant cet article.
Passons, reprenons les choses à peu près où je les avais laissées : l’événement Miko Café, peu avant le Speech Contest. J’ai été très heureuse de pouvoir enfin porter ma tenue, certaines photos se sont même glissées sur Facebook. J’ai parlé à de nombreuses personnes en leur servant à manger ou du thé, j’ai fabriqué de nombreux omamoris (Porte bonheurs) en imprégnant mon énergie à l’intérieur et en ressentant l’énergie de la personne. Cela m’a permis de deviner énormément de choses sur les personnes en question. Par exemple, j’ai ressentis qu’une personne était d’une certaines manière liée à l’été, elle m’a répondu qu’elle est née en juillet. Puis, qu’une autre personne, très raffinée, était liée à la noblesse. Il me répondit que c’était bel et bien le cas. Plus je vivais, plus je me connectais à des Kamis, plus mon énergie et mes capacités évoluaient, plus je m’épanouissais.
Au final, c’était vraiment une bonne semaine car J’ai rencontré énormément de personnes et j’entendais les grelots des omamori que j’avais confectionnés aux séminaires du mercredi matin avec le sourire. Mais le stress du Speech Contest qui s’approchait était intense, je n’allais pas très bien, j’avais si peur ! Pour être honnête, je n’ai pas vraiment réussi à réviser mon texte.
Puis, le jour du Speech contest est arrivé, j’ai mis mon haut blanc et ma jupe rouge afin de garder les couleurs d’une Miko. Nous sommes arrivées à Kumagaya en voiture avec Akiko, elle m’a lâchée là devant le bâtiment et je suis rentrée puis ai été accueillie par une des dames du cours de japonais. Puis, j’ai été guidée jusqu’à une salle où se trouvaient 17 autres participants qui comme moi, avaient très peur. Il y avait du matériel devant nous dont le nom, un stylo, un sac avec également une feuille détaillant les différents sujets des divers participants. J’allais passer en troisième, pas le temps de stresser réellement enfin… Un peu quand même.
Puis nous sommes descendus dans la grande salle vide pour faire des essais de procédure et début de présentation. Il y avait de nombreuses chaises vides donc signe qu’il y aurait beaucoup de monde… Brrr…. Les tests finis, nous sommes remontés pour finir de nous préparer avant de descendre à nouveau pour le grand moment, il y avait énormément de monde… 200 personnes à peu près. J’ai gardé la tête haute et suis allée m’asseoir à ma place en stressant comme jamais. Le premier est passé, puis le deuxième… Mon coeur battait à tout rompre. Puis, j’ai entendu mon nom…
Je me suis levée, ai marché comme un automate, me suis postée derrière le micro en gardant une posture bien droite et un regard déterminé. Sujet : “La Voie d’une Miko étrangère” Capacité de communication : Entre 55% et 60%. Je n’ai, selon moi, jamais autant raté une présentation de ma vie. Inversion de mots, instants d’hésitation, détournement de regard, voix qui tremble à des moments. Dur, très dur. Mais je l’ai fait et je me suis rassise en respirant un bon coup.
À la pause, une personne m’a dit que ma posture et façon de parler étaient parfaites malgré tout. D’ailleurs, un Kannushi (Prêtre supérieur en gros) M’a approchée et devinez de quel sanctuaire il était le Kannushi ? Le Sanctuaire Hodosan de Nagatoro. Et oui ! Celui où j’étais en grand stress car c’était la première fois que je voyais des Miko en chair et en os ! Il m’a invitée à passer au sanctuaire, j’ai accepté avec joie. Une autre fille, a également essayé de me recruter chez les Mormons. Là, j’ai pas compris. Au final, le Speech Contest ne s’est pas si mal passé que ça, les gens ont quand même compris mon message, étaient touchés et m’ont encouragée dans ma voie.
Puis, la semaine suivante, comme convenu avec Akiko, j’ai déménagé chez Yumi pour le mois d’octobre. La propriétaire de la maison d’Akiko allait peut-être vendre sa maison et elle ne savait pas vraiment comment cela allait se finir alors elle préférait avoir une personne de moins à gérer ce qui est compréhensible. Le déménagement fût assez rapide et je vivais désormais dans cette magnifique et grande maison à moitié délabrée, véritable résidence de Yôkai la nuit hé hé. C’était aux alentours du 10 octobre.
La cohabitation avec Yumi allait bien, parfois un peu difficile car nos idées divergaient sur certaines choses et selon moi, je trouvais ses façon de penser un peu extrême là où moi je prônait l’harmonie, elle prônait l’égalité complète et forcée. C’est louable en soi mais c’était le côté imposé qui me dérangeait. Cela dit nous avons passé de bon moment ensemble et sommes même allées à Yamato Mizu, enfin. Je m’entrainais au sabre dans le jardin ou dans la grande pièce théâtre du deuxième étage et… En fait j’ai surtout décompensé du stress récent.
Je suis partie à la rencontre de Iwata-san, le fameux Kannushi, nous avons longuement parlé et j’ai assisté à un rituel. Le hic c’est que je me suis mise en Seiza (à genoux) au mauvais endroit sur les tatamis. Cela a fait garot et j’ai eu du mal à me lever 20 minutes plus tard. Il m’a ensuite invitée à aller au véritable sanctuaire situé au sommet de la montagne en prenant un téléphérique. C’était magique et le Kami que j’ai ressenti là haut était fortement lié au vent. J’aime beaucoup ce Monsieur et il m’adore aussi, il est même venu me voir chez Yumi et une fois à mon cours à Kumagaya, j’étais très surprise ! Nous avons brièvement échangé une passe à l’épée et il était impressionné, me disant que j’allais devenir une championne. Je lui ai modestement dit que ce n’était pas nécessairement mon but mais… Enfin pourquoi pas s’entraîner ensemble un jour à l’occasion.
J’ai rencontré un ami de Yumi, Susumu, il était très gentil, nous sommes allés à des sources chaudes ensemble, cela m’a vraiment détendue. Puis, le jour fatidique du 18 octobre est arrivé.
Je vous en ai déjà bien assez parlé je crois… Mon appel pour le Japon est un appel de retour, comme une nostalgie, un mal du pays, je ne me suis jamais réellement sentie à ma place en Suisse, jamais réellement sentie suisse non-plus d’ailleurs. J’ai depuis enfant quelques souvenirs flous de choses que je n’ai pas vécues en tout cas pas en mes trente années de vie. Mais c’était flou, rien de vraiment concret donc je n’y ai pas prêté importance sauf à cette apparence, je l’avais nommée Shades à un temps dans mon esprit, c’était la personnification de mon côté sombre en quelque sorte. En tout cas c’est comme cela que je le voyais. Ho et aussi Miko ce que au début je voyais comme un prénom à porter mais finalement une fonction que je devais exercer.
Je vous ai également dit à quel point j’ai pleuré, à quel point j’étais heureuse de rentrer au Japon, à la maison, à quel point je me suis épanouie, bien, à la bonne place.
Le 18 octobre 2018, j’ai été brisée, en mille morceaux, détruite. Les ailes du Dragon se sont brisées et je me suis écrasée avec violence.
Nous amenions Hide à l’école avec Yumi et plein d'étudiantes à bicyclette me sont passées devant et là, ça m’est revenu. Un des souvenir horrible que j’avais en mémoire m’est revenu, d’un coup, brutalement. Sensation, image, ressentis, sons et pas odeur heureusement. J’ai pleuré dans la voiture, discrètement. En rentrant, je me suis roulée en boule dans mon lit en pleine panique, crise d’angoisse violente puis j’ai ensuite pleuré dans les bras de Yumi. Je me suis rappelée de ma mort aussi atroce fût-elle. Celle de ma dernière vie.
J’avais 17 ans, je vivais dans le Kansai soit Kyoto, Osaka ou dans la région (Souvenez-vous, cette région m’a toujours appelée pour une raison bien précise.) et j’étais une fille d’une famille de sanctuaire, je pratiquais déjà le sabre à l’époque. C’était après la seconde guerre mondiale, 1945-1950. L’hiver était vraiment froid je venais de finir l’école alors j’étais sur le chemin du retour lorsque quatre homme forts, des marines (Soldats américains) m’ont attrapée et entraînée à l’abri des regards pour me forcer à faires choses que je ne voulais pas. Puis ils me passaient à tabac lorsque je me débattais. Ils se sont tous amusés avec moi, chacun leur tour et lorsqu’ils ont fini de s’amuser, ils m’ont laissé sur le sol glacé, mourir de froid à moitié dévêtue, la neige s’est mise à tomber et je ne me souviens de rien d’autre si ce n’est une haine intense et profonde. Cette haine, que j’ai en moi depuis toujours, j’ai enfin pu comprendre d’où elle venait. Mourir ainsi, se faire arracher si jeune à la vie, à son chez soi. J’avais des rêves, des espoirs des gens que j’aimais, une famille, des amis… Et tout me fut arraché en une soirée. Je pouvais encore sentir leurs mains glacées sur mon corps et entendre mes hurlements de désespoir. Ce souvenir retrouvé m’a anéantie.
J’en ai eu d’autres, des plus heureux, comme celui du kotatsu (la table chauffante) J’adorais dormir dessous quand j’étais gamine, haute comme trois pommes. J’adorais également m'entraîner au sabre dehors sous le clair de lune, je l’ai d’ailleurs fait devant chez Yumi, j’ai fermé les yeux et ne faisais qu’un avec mon passé, je pouvais sentir mon ancien corps, plus rien n’avait d’importance, seul le moment l’instant comptait. Les Sakura mochi également, je connaissait ce goût, j’ai adoré en manger dans cette vie mais cela fait depuis longtemps que j’aime ça, c’est profond et je le ressens. Je sens que je vais me rappeler d’autres choses encore en fonction du contexte, lieu, etc. Mais je ne suis pas focalisée là dessus.
Le reste du séjour chez Yumi s’est passé normalement des sorties à gauche à droite, des rencontres toutes plus incroyables les unes que les autres. Cette expérience m’avait profondément changée et mon niveau en japonais a continué d’escalader à une vitesse hallucinante jusqu’à atteindre une capacité de communication de 75% en fait, j’ai réalisé que je n'apprends pas le japonais, je le re-apprends, tout comme des manières qui me sont revenues et choses que je faisais instinctivement. L’immersion a certes aidé, mais il n’y avait de loin pas que cela.
Au dernier séminaire du matin, j’ai parlé de mes souvenirs, de mes ressentis devant 32 personnes j’ai été félicitée, les gens étaient impressionnés et m’ont accueillie comme une enfant du pays. Avant de partir j’ai dit ittekimasu et ils m’ont répondu itterasshai c’est ce qu’ont dit en partant de la maison pour le travail, les cours ou autres quoi, je vais, je reviens. Cela m’a fait réellement chaud au cœur. Oui… En mon for intérieur, je me suis toujours sentie japonaise, j’étais à ma place au Japon.
6 jours avant mon départ j’ai pleuré, encore et encore et encore, je ne voulais pas être arrachée à chez moi, pas encore, pas un jour n’a passé sans que je pleure. Puis, le dernier jour est arrivé. J’ai rencontré Kaiya ce jour là, mon amie prêtresse américaine. C’était intense, nous avons beaucoup discuté et je lui ai parlé de mon passé elle comprenait, était compatissante. Pour être honnête je n’arrivais pas à parler en anglais, le japonais venait automatiquement.
À un moment je lui ai dit quelque chose que je ressentais comme puissant : “Je suis fière que tu sois devenue prêtresse, en tant que américaine.” Et c’est moi, avec ce que j’ai vécu de la main d’américains qui te dis ça, c’est un pas vraiment incroyable vers une compréhension mutuelle et une paix durable. Avant que les portes ne se referment elle m'a dit, “Kami-sama needs you!” (Les kamis ont besoin de toi et le train est parti.) Puis, j’ai pris l’avion et ai pleuré, beaucoup.
Mais j’ai été bien accueillie, la maman de Fanny, Didi, est venue me chercher et nous avons pu discuter un peu dans la voiture.J’étais très heureuse de la revoir malgré ma douleur intérieur et mon état brisé. Arrivée à la maison, mon nouveau petit chez moi provisoire, ils m’avaient préparé une petite chambre dans le bureau de Franck avec des Tatamis au sol pour ne pas trop me dépayser j’étais tellement touchée et aujourd’hui encore, j’en pleure en écrivant ces lignes, ma reconnaissance dépasse tout ce que vous pouvez imaginer. J’étais très heureuse de retrouver tout le monde, Valentin, Fanny, Franck, Didi, mais cela va être provisoire, mon but étant maintenant d’entrer à l’université au Japon, devenir Kannushi et avoir mon sanctuaire. J’aimerais devenir un pont entre les gens, les gens et les kamis. Pour moi, les gens sont comme des étoiles alors j’aimerais les aider à luire et faire la plus grosse constellation possible !
Novembre, pas un sou, un état au plus bas entre mes allergies revenues, une phobie du froid (Je partais en crise d’angoisse dès que j’avais froid.) Je me suis inscrite aux CSR en cherchant du boulot. Mon âme étant en morceaux, je souriais, je faisais croire que j’allais bien mais j’avais mal à l’intérieur, plus mal que jamais. J’aime bien visualiser l’image du soldat qui continue d’avancer avec détermination même avec une jambe et un bras en moins et qui se bat, encore et encore. Ho et je me suis rappelée de mon ancien prénom, Yoshiko, le truc amusant vous savez, c’est que les Kanjis se lisent aussi Miko. Hé oui, la boucle est bouclée.
Décembre, j’allais un tout petit peu mieux, le froid me dérangeait un peu mais plus de phobie, je n’allais quand même pas bien du tout, obsédée par ce souvenir frais, je faisais de mon mieux pour me diriger vers mon futur en gardant la tête haute. Mais c’était difficile, très difficile. Chose amusante, si avant je voyais ma ligne de vie d’aujourd’hui à ma naissance, maintenant, je vois au delà. Je suis tombée sur la photo d’une fille qui m’a fait littéralement buguer car elle ressemble à la personne que j’étais comme deux gouttes d’eau. J’ai aussi réalisé que Shades, que je prenais pour mon côté sombre, n’était nulle autre que mon ancienne apparence. Un tout petit peu fâchée à cause… Enfin pas besoin de vous faire un dessin.
Janvier, j’ai trouvé du boulot, des cours et commencé à bosser. Je fais le ménage dans des EMS. Cela me plaît, c’est tranquille et j’arrive à mettre massivement de l’argent de côté. Élodie, une amie avec qui j’aime beaucoup parler de spiritualité et énergies m’a conseillé de lire le livre “La boîte de Pandore” de Bernard Werber, effectivement, très parlant et approprié. Mon âme et mon cœur étaient toujours en morceaux mais… Disons que j’étais en voie de guérison. Je suis retombée dans pleins de travers comme, jouer massivement aux jeux vidéos à nouveau. Enfin bon, tant que je mets de l’argent de côté, où est le problème finalement ?
Février, J’ai presque recollé tous les morceaux grâce à des discussions et même certains jeux qui m’ont rappelée à mes valeurs, ce pour quoi je me bats. Mes ailes et ma détermination sont revenues. Je vais fièrement de l’avant mais je suis transformée à jamais. Je suis encore en phase que je nomme chrysalide mais c’est en bon chemin même si le moral fait parfois le yoyo.
À la Japan Impact j’ai pu porter ma tenue de Miko, j’étais heureuse, bien, j’irradiais de mille feux. J’avance, fièrement, lentement, mais j’avance. Coûte que coûte.
Maintenant la question est, que vais-je faire de mon passé ? Et bien je me visualise comme un arbre voyez-vous ? Mes branches, feuilles,fleurs sont mon futur. Mon tronc est mon présent. Mes racines, ma mémoire et tous ces petits fragments de mémoire du passé. Mon terreau, car chaque plante a besoin d’un terreau spécifique pour croître et s’épanouir, le Japon. En Suisse, je suis pas bien, je me sens crever à petit feu. Je veux juste rentrer au Japon et faire ma vie. Aller de l’avant.
Après, je souhaite quand même aller dans le Kansai car je sens que je dois le faire, c’est mon appel après tout. Imaginez si je réussi à retrouver ma famille d’avant… À quel point cela serait… Intense. Mais rassurez-vous, je ne suis pas bloquée et focalisée là dessus. Je vais laisser les choses venir à moi petit à petit sans forcer. Si cette occasion se présente, je la saisirai. Sinon, tant pis. Vers le futur.
D’ailleurs, je vous l’avais dit il y a longtemps mais, même si je chéri le prénom Yoshiko par dessus tout car quand vous vous adressez à moi par ce prénom, vous vous adressez directement à mon âme et cela me fait vraiment plaisir, j’arbore fièrement le prénom Shanoa car, grâce à Franck, il porte désormais une signification extrêmement appropriée “Ciel Nouveau”. Je ne pouvais pas rêver mieux…
Hey… Le chemin du retour depuis l’école est long pas vrai ? Aller ça fait combien ? environ 69 ans et quelques kilomètres ? Mais je rentrerai à la maison hé hé. Même si fondamentalement, notre maison c’est cette planète alors ça n’a aucune réelle importance… Mais moi je me sens bien au Japon, c’est pas la première fois alors je veux juste y rentrer, c’est tout.
Mars, Parce que j’ai continué à travailler dur et jouer pour ne plus trop penser, je n’ai pas pris le temps de corriger ce que j’avais écrit et ne l’ai pas posté non-plus. J’ai eu des cours mais rien de réellement épanouissant.
Ha oui, j’ai appris qu’il me fallait un solde de compte de 20’000 francs pour m’inscrire dans l’école de Kumagaya. La limite d’inscription étant fixée à fin avril, j’ai abandonné et me suis tournée vers une agence de séjour linguistique qui me permettrait d’aller dans une autre école à Kobe. Le Kansai, ma région. Rien n’arrive par hasard. Me voilà donc avec un nouvel objectif : Mettre de côté 20’000 francs pour partir pour le plus vite possible pour le Kansai.
Avril, Boulot boulot, jouer jouer et puis, j’ai eu des vacances chez mes grands parents que je désirais vraiment revoir avant de partir au Japon. Ils habitent en France dans le Gard, j’ai passé une très bonne semaine, reposante, pleine de bonheur et j’ai même réalisé qu’un endroit où j'étais déjà allée par le passé dans la mer de Rochers était un sanctuaire. Il s’agit d’un cercle de pics Rocheux où se trouve un arbre particulier en son centre (Le cœur du sanctuaire, j’ai pris la photo depuis un des pics.) Nouvelle connexion et la fatigue qui s’ensuivi.
Puis, j’ai fini le livre “La Boîte de Pandore” de Bernard Werber. Effectivement il m’a parlé, il m’a touchée, vraiment. Après l’avoir fini je suis restée songeuse mais profondément connectée et dans un état de plénitude.
Je digère encore ce que j’ai lu mais je pense que je vais écrire à Bernard Werber.
Yoshiko n’était qu’une vie parmi tant d’autres… J’ai encore tant à découvrir, c’est grisant en un sens. Mais la plupart de nos peurs profondes, préférences et de nos choix, sont irrémédiablement influencés par notre passé… Nos passés.
Je le savais déjà sur le plan théorique mais, nous somme bien plus qu’une simple personne ou vie, nous sommes une âme, manifestation de la vie qui coule en toute chose. Maintenant je le ressens au plus profond de moi.
D’ailleurs cela fait un moment que... Mon intuition, mon instinct ainsi que d’autres capacités comme l’apprentissage de certaines tâches ou mes sens se sont accrues. Cela vient de l’expérience accumulée entre autre et pas seulement dans cette vie.
Voilà voilà, ça faisait pas mal de choses à écrire mais… J’avais également beaucoup sur le cœur et je ne savais pas comment vous l’exprimer… Peut-être que certains d’entre vous me prendront pour une allumée ou que sais-je mais… Comme cité au début de cet article, c’est ma réalité, je ne peux pas faire autrement, c’est comme si quelqu’un venait vous dire “Hey mais toi t’es roux !” alors que vous êtes blond.
Je vais continuer à écrire de temps-en-temps sur le blog, pour que vous puissiez continuer à suivre mon chemin si cela vous intéresse toujours.
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