#stéphane degout
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When justice comes at last to this world and I am made Intendant of an opera house, I will make them do Don Carlos in French with an all-French cast. Benjamin Bernheim, Sabine Devieilhe, Stéphane Degout, Gaelle Arquez, maybe throw some nasty old man makeup on Francois Lis as the Inquisitor. What I lack is a Philip, and a just world.
#the sheer ACTING#this would not be the definitive don carlos or anything but it would be interesting to me personally#five act version of course#don carlos#opera tag
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Requiem op.48 (Gabriel Fauré) - Fundação Calouste Gulbenkian, Lisboa, 23/fevereiro/2024
Obra completa legendada em português: link.
Este requiem foi escrito entre 1887 e 1890, baseado na Missa dos Mortos da Igreja Católica. É a obra mais conhecida de Fauré; especula-se que tenha relação com a morte de seus pais em um período de apenas dois anos.
A única certeza que se tem são as palavras do compositor que declarou ser a peça dominada, do começo ao fim, por um verdadeiro sentimento humano de fé no descanso eterno. Esta visão torna este réquiem bastante diferente de outras composições no gênero, como os de Mozart ou Verdi, nos quais a morte é encarada com temor.
Fauré, ao contrário, imprimiu na obra um clima de paz e, contrariando o padrão, terminou o seu Réquiem com o texto In Paradisum, no qual sugere que a morte significa um encontro idílico com a eternidade.
Para atingir seu intento, Fauré omitiu o segmento da Sequência, que reporta à ira do Senhor e ao fogo do inferno e adicionou os textos Pie Jesu e In Paradisum, que, se não fazem parte do Requiem, têm como meta enfatizar a certeza do repouso eterno.
Coro Gulbenkian Orquestra Gulbenkian Matthew Halls, Maestro Christina Landshamer, Soprano Stéphane Degout, Barítono
- ECAI explica Requiem - Wikipedia - O Réquiem mais belo do repertório é o de Gabriel Fauré! - O Maestro Explica o Requiem de Fauré - Palestra sobre o Requiem op.48 de Fauré, 14/novembro/2021
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Dia 22 de Fevereiro de 2024 : NOTA ALTA PARA O CONCERTO EM QUE MATTHEW HALLS DIRIGIU O CORO , A ORQUESTRA GULBENKIAN E SOLISTAS DE TOPO NUM REPERTÓRIO DE MÚSICA FRANCESA COM DESTAQUE PARA O REQUIEM DE FAURE CANÇÃO DE EMBALAR DA MORTE : sou admirador de Faure e o seu Requiem encanta -me. As minhas expectativas para este concerto não foram goradas . O inglês Matthew Halls impressionou -me com uma bela prestação num plano superior ao que Hannu Lintu nos tinha oferecido nesta mesma sala em 2022 . Nesta missa dos mortos longe do terror pela ameaça do juízo final é um sentimento de paz que paira . Fauré não tem medo da morte. « Je la sens comme une délivrance heureuse, une aspiration au bonheur d’au-delà, plutôt que comme un passage douloureux ».Ele remove tudo o que inspira terror no Dies Irae, e mantém apenas a última estrofe, o Pie Jesu, que trata como uma sequência por direito próprio -confiada a uma soprano, uma melodia que parece vir de outro mundo , mais angélica que humana.O que é que tornou esta uma interpretação tão bela ? Não foi apenas o som produzido pelas quatro dúzias de vozes do Coro Gulbenkian inquestionavelmente um coro de alto nível, vozes .que nos apontaram angelicamente para o céu no encerramento In paradisum. ou o maravilhoso par de solistas. Stéphane Degout foi equilíbrio incomensurável , enquanto o 'Pie Jesu' de Christina Landshamer teve uma aura de pureza e inocência -Todos estes foram elementos importantes mas Matthew Halls moldou cada frase ,cada linha , cada nota com o tipo de cuidado amoroso que poucos maestros usam conduzindo os músicos da Gulbenkian através da famosa partitura com sensibilidade e delicadeza, O resultado foi uma leitura genuinamente reveladora . Na primeira parte tínhamos tido a modernidade transcendente do Prélude à l’après-midi d’un faune de Debussy ,(menos conseguido) e do burguês enfadonho Ernest Chausson o Poème de l’amour et de la mer, op. 19, que demorou dez anos a compor sobre versos gongóricos .Nunca tinha ouvido ao vivo e gostei da interpretação da mezzo Julie Boulianne .
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Stéphane Degout performing Hamlet's aria "Comme une pâle fleur" in La Monnaie's 2013 production of Ambroise Thomas' (1811-1896) opera.
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George Benjamin. Lessons in Love and Violence. Philarmonie de Paris, 12 octobre 2023.
PARTITIONS, NOTES (AUTOMNE 2023)
1-Lessons in Love and Violence, George Benjamin/Martin Crimp. Le 12 octobre 2023, Philarmonie de Paris, dans le cadre du festival d'automne. Direction du compositeur. Mise en espace. Ce qui est frappant : l'opéra et ses effets reculent devant la musique et la simplicité des enjeux de disposition et de mise en scène. Éclatent la complexité des moyens musicaux mis en oeuvre, et la richesse et la variété instrumentale. Très belle précision de la direction, renforcée par l'extraordinaire acoustique de la salle. Exemple : les éléments de percussions qui rythment l'ensemble, très curieux, sons rares à peine perceptibles. Renforcé également : la gémellité des deux barytons (Stéphane Degout, le roi et Gyula Orendt, Gaveston, son amant) qui sont très simplement rapprochés, et comme tendrement unis, par leurs voix (scène 6, entremêlement des voix, et aussi de nombreux moments de superposition. Rares duettos). Jouer des contrastes cependant, dans une même tessiture : prouesse.
Tout est bien là-dedans : progression dramatique sans effets, par la seule musique ; le pouvoir royal (arbitraire), bien rendu, avec ses basculements tragiques : l'amour vaincu, la rigueur (compréhensible, il s'agit de sauver l'État) de Mortimer, qui se transforme en dictature ambitieuse. Aimé aussi : le jeune homme, qui devient roi en remplacement de son père. Cruel à la fin, dont le rôle s'épanouit à ce moment seulement, sans pitié pour sa mère. Joué (ténor : James Way) avec retenue (donc : glaçant). A la fin, le jeune roi a interdit la musique. Puis, théâtre dans le théâtre, on représente une conspiration, où l'amant du vieux roi apparaît comme un spectre. Le spectacle condamne la reine...Un nouveau tyran est né. Ce seront donc les mêmes jeux de pouvoirs, la même cruauté, mais l'amour en moins.
Curieux aussi : le ton grave et guerrier du cor/Dissonances des timbales/longs moments de cordes pincées/un diminuendo de castagnettes/des accès violents et emportés à la harpe (surprenant). Deux harpes/Absence de mise en scène classique opéra : excellente compréhension musicale, élucidation et exposition de chacun des personnages très bien rendues. De ce point de vue la direction de George Benjamin est détaillée, très claire.
Lent retour, très tranquille. Songeur bien sûr. Taboulé frais vers Laumière. Soirée heureuse.
2-Lohengrin. Wagner, mise en scène Kirill Sebrennikov. Opera Bastille, samedi 14 octobre 2023.
Vu il y a peu, avec Jenny, à Valence, La femme de Tchaïkovski du même Sebrennikov, précieux et maniéré, mais qui témoignait d'un univers chargé et lourd, décoratif et outré qui pouvait bien convenir à Wagner, me semblait il. Heureux d'être là, à saisir peut-être une occasion de rentrer dans Wagner, qui ne m'a jamais vraiment emballé (fatras mythologique, embardées sans joie, religiosité et grandiloquence musicale etc...). Mais ratage à peu près total, évident dès les premières scènes. Il m'a semblé que la direction d'orchestre était trop étale et ne variait pas ses effets. Pas de grâce des héros, pas de liberté face à leur destin (ils ne 'jouent' rien, donnés d'avance...Sans doute : la guerre, incessante et oppressante, ne leur laisse-t-elle pas le choix) Le choeur, par exemple, 'suit' la pièce, ne transforme rien, ne pèse sur rien. Grandeur, certes, et ampleur mélodique, mais à quoi on ne s'attache pas. Le fracas de la guerre, son décor, ses ruines, (qui ne sont pas dans le livret), insistant, emportent tout.
La mise en scène surtout est morcelante, diffractée et parfaitement envahissante. Sebrennikov nous impose trois (!) Elsa, comme démultipliées, dont deux danseuses, agitées. Simplisme des choix et décors, des oppositions : héroïnes chevelues/tondues, par exemple. Une croix lumineuse, aussi, dont notre orthodoxe ne peut se priver. Des sabres laser...La video répète les scènes, certaines projetées à l'envers. La division de l'espace, en lieux de projection distincts, force à la dispersion et heurte la réception (du chant en tout cas) : on y perd la ligne chantée, bien sûr...Ces pièces d'un appartement sont autant de cases et de cages (on rajoute même des cloisons) qui empilent les éléments dramatiques, qui dispersent le regard et l'attention, un vrai labyrinthe de points de vue. Un gros plan insistant sur un tourne disque est gênant. On a même droit à un cercle de lumière = le cercle des dieux : tout ce qui apparaît comme des artifices de remplissage, littéraux. Je ne suis pas mélomane, mais il me semblait que l'orchestre n'arrivait pas à suivre, et pataugeait. Lohengrin : héroïsme des forêts et des grands espaces, qui est ici rapetissé à de trop nombreuses scènes d'intérieur.
J'assiste au désastre sans plus prendre de notes, à partir du moment où j'ai compris ; ne prends pas la peine de vérifier que tout sombre dans les dispositifs choisis, avec constance. Le tout est écrasé par la guerre, Lohengrin en soudard de journal télévisé, épais, aux déplacements sans grâce. Mais la vidéo est charmée par un jeune homme (effet publicitaire et homoérotique). Drame guerrier, contemporain, qui oublie la légende du chevalier au cygne, dont on a perdu la jeunesse. Je suis sans doute passé à côté du Lohengrin de Piotr Beczala, dont un article confus du Monde, lu après coup, m'apprend que c'est un grand wagnérien. Regrets supplémentaires, donc.
Payé trop cher (183 €, me force à l'économie pour le reste de l'année). Regrette mon argent. Bien placé cependant.
3-La femme sans ombre, Richard Strauss, opéra de Lyon, dimanche 22 octobre 2023, mise en scène Mariusz Trelinski. Direction Daniele Rustoni. Une grande 'machine', peu montée et réduite ici à un orchestre disons...normal. Pour une musique très riche, variée, sonore et éclatante.
Le livret est mythologique, féérique, et ça éclate dès la mise en place, dès les premières notes : une gazelle, fille du roi des esprits est blessée à la chasse par l'empereur ; elle est transformée en femme, qu'il aime. Elle vit au palais, mais rêve du royaume des humains, où elle doit chercher une ombre. Mais elle doit enfanter, sinon l'empereur sera pétrifié. Tout le spectacle va être marqué par la féérie du lancement. Très beau tout au long. Atmosphère magique et mythologique, féérique donc, à quoi s'oppose le prosaïsme du monde des humains, que l'héroïne veut rejoindre. La pièce est au point de rencontre des deux mondes, décors et chants, héros et héroïnes. Le décor est tournant : parfois dépouillé et sombre chez les dieux, et au contraire sordide et encombré chez les pauvres hommes/prolos : superbe rendu de cette situation de départ, tension tenue tout au long, les deux mondes sont constamment exposés, et opposés. La mise en scène tient les deux bouts de l'intrigue.
Passer de l'autre côté du miroir, accéder à sa véritable nature, pour l'impératrice, et, pour le teinturier et sa femme, ne pas tuer, rester du côté des humains et de la vie ...Le monde des dieux est radical, c'est celui des idées, de l'idéal qui dicte sa loi ; le monde des humains est bienveillant, hésitant, mais sûr finalement de sa vraie nature. Au point de rencontre des deux monde, la tragédie, forcément. Exemple : la nourrice (Lindsay Ammann, glaçante, très dure dans les aigus), guide de l'impératrice semble être la maîtresse de la nuit, très beau rôle, voix inquiétante. En regard, de l'autre côté du miroir, la très belle voix de basse, envoutante de Barak (Joseph Wagner), prolétaire au grand coeur, magnanime et généreux : 'je ne t'en veux pas/mon coeur est joyeux/Ich zürne dir nicht/Bin freudigen Herzens' (à sa femme qui se rebelle et ne veut pas d'enfant, au premier acte)
Très beau final : Barak : 'je vais chanter la joie/comme personne ne l'a chantée/Je vais travailler/comme personne n'a travaillé' (Nun will ich jubeln/Wie keiner gejubelt/Nun will ich schaffen/wie keiner geschafft). A quoi répond l'impératrice : 'Toutes deux élues/pour jeter une ombre/Toutes deux trempées/A la flamme de l'épreuve (Schatten zu werfen/beide erwält/Beide in prüfenden/Flammen gestählt) Importance et grande beauté (très conclusive) de ce final dans mes notes, que je complète ici de la citation exacte, prise dans le programme.
Suivre Joseph Wagner, très belle voix de basse, qui emporte le reste, qui tire vers les vibrations intimes, convaincant, chaleureux. Il insiste dans le final : 'à la flamme de l'épreuve...' (sous entendu, l'épreuve du monde...) Très beau.
Impeccable ouverture de saison à Lyon. J'ai distrait ce billet de mon abonnement offert par Jenny au prochain Noël. Vif plaisir, qui dure. Voyage (train) avec Patrick Bombrun, tout à sa passion opératique. Amical.
4-La Esmeralda, de Louise Bertin, à l'opéra de Saint-Etienne, mardi 7 novembre 2023, avec Anna et Liam. Mise en scène de Jeanne Desoubeaux. Avant les Bouffes du Nord, à Paris, en décembre. Réduction de la partition à un court ensemble chambriste, bien, précis tout au long, mais insuffisant à 'porter' le drame, perdu dans un spectacle de grand guignol.
Choisi pour Hugo et Notre Dame de Paris, pour 'montrer' à Liam : grande différence avec Hansel et Gretel, même endroit, qui lui avait tant plu la saison dernière.
Rareté de Louise Bertin , femme compositrice (en 1836.) Unique livret d'opéra de Victor Hugo. Direction de Berlioz à l'époque. Bref un morceau d'histoire : on y traîne le petit fils, qui se laisse faire, volontiers.
Décevant. Manque d'ampleur et de moyens. Pas de belle voix. L'aimantation d'Esmeralda n'opère pas, sans désir objectif : Esmeralda est une jeune femme sans charme, mal sapée : on ne comprend pas le basculement de tous les hommes confrontés à sa beauté, mal rendue. Pas de grâce dans les mouvements, et pas d'envoûtement par le chant. Le viol d'Esmeralda est confus, très mal rendu (sous-vêtements couleur chair de contre-sens), avec un Phoebus bien peu dangereux, et approximatif tout au long, à la gestuelle par trop vulgaire et caricaturale. Frollo s'éjacule dessus : ça va bien comme ça.
On commence (trop long) par une cour des miracles (pauvres costumes, chorégraphie courte et confuse) qui alourdi tout le début et mélange tout : pas d'effet de contraste : laideur populacière//séduction du beau monde. On ne se relève pas de ce début laborieux. D'autant qu'une scène doublonne : une ripaille de cabaret, vraie redite. Dans les deux cas, un Quasimodo anecdotique et banal, qui ne signe pas l'amour fou du petit peuple pour une Esmeralda, dès lors sans soutien, qui sera laissée aux crimes (sexuels)(de premier degré) de Frollo et Phoebus.
On s'ennuie tous les trois, mais on décide que c'était une bonne 'sortie'...Prévu : Brundibar à Lyon, avec Liam, en mai...
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Der reiche Mann und der arme Lazarus
Der reiche Mann und der arme Lazarus (1865), Eduard von Gebhardt (Quelle)
Schubert: Lazarus D. 689 | Stéphane Degout, Raphaël Pichon:
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"Wo bin ich, O könnt ich..."
"1820 schrieb Franz Schubert sein Oratorium Lazarus, welches nur noch als Fragment überliefert ist und postum 1863 uraufgeführt wurde. 1996 erstellte der russische Komponist Edison Denissow eine Vollendung von Schuberts Fragment." (Quelle)
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With Stéphane Degout and Topi Lehtipuu as father and son, which is so funny cause they are Orestes and Pylades in a very different opera and a very different situation
Hippolyte et Aricie on medici? Say no more
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From (the latest incarnation of) the YouTuber known as Oedipus Coloneus:
Rameau: Hippolyte et Aricie, opera in five acts __
Sarah Connolly: Phèdre Anne-Catherine Gillet: Aricie Andrea Hill: Diane Jaël Azzaretti: L'Amour / Une Prêtresse / Une Matelote Salomé Haller: Oenone Marc Mauillon: Tisiphone Auré: La Grande Prêtresse de Diane / Une Chasseresse / Une Prêtress Topi Lehtipuu: Hippolyte Stéphane Degout: Thésée François Lis: Pluton / Jupiter Aimery Lefèvre: Arcas / Deuxième Manuel Nunez Camelino: Un Suivant / Mercure Jerome Varnier: Neptune / Troisième Parque
Le Concert d'Astrée Conducted by Emmanuelle Haïm
This is the Ivan Alexandre production at the Opéra de Paris, 2012.
#full opera on youtube#sarah connolly#anne-catherine gillet#topi lehtipuu#stéphane degout#françois lis#hippolyte et aricie
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LICEU 2020/2021: LESSONS IN LOVE AND VIOLENCE
LICEU 2020/2021: LESSONS IN LOVE AND VIOLENCE
Avui s’ha produït l’estrena al Liceu i a l’Estat Espanyol de la tercera òpera de George Benjamin i Martin Crimp, Lessons in Love and Violence, obra que ja va ser mereixedora d’un post a la primera època de IFL en ocasió de l’estrena absoluta al maig de 2018 a la ROH londinenca. L’ocasió esdevé sense cap mena de dubte el moment culminant de la temporada 2020/2021 del teatre barceloní, ja sigui per…
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#Daniel Okulitch#Gemma Coma-Alabert#George Benjamin#Georgia Jarman#Isabella Gaudi#Josep Pons#Katie Mitchell#Lessons in Love and Violence#Martin Crimp#Ocean Barrington-Cook#Orquestra del Gran Teatre del Liceu#Peter Hoare#Samuel Boden#Stéphane Degout#Toni Marsol
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FYI, just finished this Cosi, and DAMN! It is EXCELLENT. As an fyi for anyone interested, here is the cast:
Ana Maria Martinez — Fiordiligi Sophie Koch — Dorabella Stéphane Degout — Guglielmo Shawn Mathey — Ferrando Helen Donath — Despina Thomas Allen — Don Alfonso
Highly recommend.
Happy Cosi premiere day!!! I'm celebrating with the 2006 Salzburg and enjoying it very much.
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“you’re in her dm’s, she’s pointing a gun at me. we are not the same”
Salzburg Festspiele 2015: Luca Pisaroni (Conte Almaviva) & Anett Fritsch (Contessa Almaviva)
Dutch National Opera 2016: Stéphane Degout (Conte Almaviva) & Eleonora Buratto (Contessa Almaviva)
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Don Carlos | Festival Verdi
Don Carlos | Festival Verdi
Troisième et dernier chapitre du Festival Verdi de l’Opéra de Lyon, le Don Carlos de Christophe Honoré ne mise pas sur la grandeur mais sur un travail extrêmement cinématographique du chiaroscuro. Le résultat ? Puissant et convaincant
(more…)
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#Alban Ho Van#Caroline Jestadet#Christophe Honoré#Daniele Rustioni#Eve-Maud Hubeaux#Festival Verdi#Jeanne Mendoche#Michele Pertusi#Patrick Bolleire#Roberto Scandiuzzi#Sally Matthews#Sergey Romanovsky#Stéphane Degout
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Another clip from the Dutch National Opera, where the count is shown as a dick. Again a mix of historical costumes with the servant, and modern with the count.
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(via Les Apaches - YouTube)
Malgré leurs ambitions scientifiques, les auteurs de bestiaires et d'histoires naturelles ont, jusqu'au XIXe siècle, toujours dérivé vers des légendes et des descriptions d'animaux fantastiques. Lorsque furent créées les Histoires Naturelles de Ravel en 1907, ce n'est pas tant la musique que le choix de ces textes en prose – trop réalistes voire triviaux – qui choquèrent l'assistance. On comprend que le fin sens d'observation de Jules Renard ait séduit Ravel qui, dans ce cycle, mène l'acuité harmonique et le sens formel à un point nouveau d'achèvement, tout en illustrant par de nombreux figuralismes ces feuillets naturalistes. Ce programme, qui navigue de Ravel à Zavaro, en passant par Poulenc et Milhaud, fait référence à ces bestiaires, à ces identités sonores animales, à cet imaginaire darwinien, de la création d'une nature. L'ensemble Les Apaches, dirigé par Julien Masmondet est rejoint par le baryton Stéphane Degout pour nous livrer ce concert aux origines du monde et pour lequel commande a été passée à Pascal
Zavaro pour un Bestiaire chimérique pour baryton et ensemble instrumental donné pour la toute première fois dans ce concert.
Programme
Darius Milhaud La Création du monde (1923) pour ensemble instrumental (18’) Sur un livret de Blaise Cendrars Pascal Zavaro Le Bestiaire disparu (2013) pour violon et violoncelle (9’) Francis Poulenc Le Bestiaire ou Cortège d’Orphée (1919-1920) version originale pour baryton et sept musiciens (6’) Sur des poèmes de Guillaume Apollinaire Maurice Ravel Histoires naturelles (1906) pour baryton et ensemble instrumental (18’) Sur des textes de Jules Renard Création d'une nouvelle orchestration commandée à Anthony Girard Pascal Zavaro Bestiaire chimérique (2020) pour baryton et ensemble instrumental (12’) Sur des textes de Francisco Goya, Marco-Polo, Gustave Flaubert, Alfred Lord Tennyson et Jean-Baptiste-François Hennebert Création mondiale
Et avec Magdalena Sypniewski, violon Alexis Derouin, violoncelle Ariane Bacquet , Alexandre Baile, Joséphine Besançon, Tristan Bronchart, Blandine Delangle, Grégoire Devaux, Arthur Escriva, Emmanuel Hollebecke, Jérôme Lacquet, Marie Laforge, Sarah Lefèvre, Clémence Mériaux, Bertille Monsellier, Issey Nadaud, Colin Peigné, Pierre-Olivier Schmitt
Clément Van Calster
https://www.musee-orsay.fr/fr/evenements/regardsnumeriques/orsaylive/les-apaches.html
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Mahler : "Retrouver le chemin de moi-même ne m’est possible que dans la solitude." Les Chants d'un compagnon errant par Stéphane Degout et Jukka-Pekka Saraste, les 4 et 5 mars à la Philharmonie de Paris.
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Les Troyens, de Berlioz, avec Stéphane Degout, Stéphanie d’Oustrac et Cyrille Dubois (à Opéra Bastille) https://www.instagram.com/falliero/p/Buifv5SgiaQ/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=xqpn40d53uvp
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