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Kidal libérée et la Transition clarifiée : le discours historique de Dr Choguel Kokalla Maïga au M5-RFP
Discours de Dr Choguel Kokalla Maiga, Premier ministre, Chef du Gouvernement, lors du meeting du mouvement du 05 juin-rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) Monsieur le Président par intérim du Comité Stratégique du M5-RFP, Eminents membres du Comité Stratégique du M5-RFP, Camarades militants et sympathisants du M5-RFP, Compagnons de route membres des Forces du Changement pour la…
#Assises Nationales de la Refondation#Choguel Kokalla Maïga#CICB Bamako#discours politique Mali#Forces armées maliennes#Kidal#M5-RFP#Mali kura#Refondation du Mali#souveraineté nationale#transition malienne
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Nous avons pas mis longtemps pour les copier, bref.
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Mais au fait, le mouvement MEGA, c’est quoi ? 🤔💥
Le mouvement MEGA (Make Europe Great Again), à l’image de MAGA (Make America Great Again), est un mouvement Conservateur et Souverainiste qui vise à restaurer la grandeur, l’indépendance et la souveraineté de chaque nation européenne.🏛️. Contrairement à une soumission aux intérêts des États-Unis ou des élites mondialistes, MEGA défend une approche protectionniste, où chaque pays protège ses industries, sa culture et son identité face aux dangers de la mondialisation et de la globalisation. ✊🚫. Ce mouvement proposé entre-autre par Elon Musk et Giorgia Meloni, est farouchement opposé à l’Union européenne, perçue comme une structure bureaucratique et supranationale qui affaiblit les peuples et les nations. MEGA prône un retour aux États forts, autonomes et maîtres de leur destin, refusant toute ingérence étrangère et toute dilution des identités nationales. 🏰🛡️. En somme, MEGA est anti-européen dans sa forme actuelle, mais profondément pro-national et patriote ! 🔥💪
🔎 Et les États-Unis dans tout ça ??? Bien sûr, les USA vont protéger leurs industries et imposer des droits de douane à l’Europe. Mais est-ce vraiment un problème ? Pas sûr ! Et si ça arrive, c’est une excellente nouvelle ! Cela nous forcerait enfin à réagir intelligemment, à protéger notre propre économie en imposant des tarifs douaniers sur les saloperies chinoises 🏭💸 et en poussant nos industries à rapatrier leurs usines. 🔧, bref, une opportunité en or pour retrouver notre souveraineté industrielle et mettre fin au pillage de nos richesses par la mondialisation sauvage 🚀💥
🔥 Maintenant, c'est à vous 🔥
💬 Que pensez-vous du mouvement MEGA ??? Est-ce la solution pour sauver l’Europe du naufrage mondialiste ??? Partagez votre avis en commentaire ! 🗣️👇, 📢 Faites entendre votre voix. Si vous êtes d’accord avec cette vision, partagez ce post sur vos réseaux et avec vos amis ! Plus on est nombreux, plus on fait bouger les lignes 💪
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✊ Reprenons le contrôle de nos nations ! 💥
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Biden va décorer George Soros de la «Médaille présidentielle de la liberté», plus haute distinction civile
Quoi de plus naturel puisque cette récompense (https://nypost.com/2025/01/04/us-news/biden-to-present-george-soros-hillary-clinton-and-17-others-the-presidential-medal-of-freedom/) est notamment décernée aux individus ayant fait des «contributions exemplaires aux valeurs des Etats-Unis».
En d’autres termes, l’Empire salue un de ses principaux généraux, chantre de la «société ouverte», responsable (https://t.me/kompromatmedia_2/860) de l’immigration de masse, notamment en Europe.
Et dont les ONG sapent méthodiquement les fondations de la société - bien aidées par les juges qu’il finance (https://www.foxnews.com/us/california-soros-backed-progressive-experiment-collapses-after-decade) - jusqu’à effondrement.
Son véritable objectif rappelle Youssef Hindi, étant de «détruire les valeurs traditionnelles, les nations, transférer la souveraineté nationale vers des organisations supra-étatiques», pour l'avènement du Nouvel Ordre Mondial (https://t.me/kompromatmedia_2/1708).
Une perspective qui s'est toutefois considérablement éloignée (https://t.me/kompromatmedia_2/1754).
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helloo, tu peux expliquer mieux pourquoi tu votes pour les verts ? :)
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Du coup, disclaimer : j'ai lu les 9 chapitres du programme de LFI et il est, globalement, excellent. Il couvre aussi en peu plus de sujets que le programme de Marie Toussaint et des Ecologistes (EELV), pour lequel je voterai dimanche. J'ai voté LFI avant, et je suis absolument pour le vote LFI aux européennes, mais j'encourage à se pencher sur le programme d'EELV aussi. Mes raisons principales sont :
- L'historique eurosceptique chez LFI, très adouci depuis 2022, mais toujours bien présent. Les deux causes politiques qui me tiennent le plus à cœur, la défense des animaux et des langues minoritaires et minorisées, souffrent énormément du refus d'appliquer les directives européennes à l'échelle nationale en France, et de l'absence de pression que peut exercer l'UE sur la France, voire de sanctions. Ainsi malgré les rappels à l'ordre, la France peut décider d'ignorer les traités européens interdisant certaines pratiques de chasse (il faut que le Conseil Constitutionnel soit saisi par des associations, il y a blocages, ça dure et dure, le Préfet ratifie exception sur exception...). La France a aussi décidé de ne pas signer La Charte européenne des langues régionales et minoritaires. Je suis pour une Europe plus fédéraliste, dans laquelle on puisse imposer certaines choses à l'issu d'un processus démocratique au sein de l'instance européenne. Je suis bien consciente que cette vision comporte des risques, mais je crois en un cadre législatif et global qui puisse tendre vers ce modèle sans dérives grâce à un organisme indépendant qui puisse faire autorité (comme le conseil constitutionnel en France. La création d'un tel organe est d'ailleurs défendu par LFI, pour des raisons toutes autres et parfaitement louables, celle d'éviter le lobbying, et je soutiens également). En bref, LFI s'oppose et vise même à limiter le pouvoir européen, quand je crois qu'il faut l'accroitre (évidemment selon un processus démocratique bien précis). Écrire qu'on veut faire "ratifier de nouveaux traités « respectueux de la souveraineté des peuples » par référendum", c'est très beau sur le papier, mais qu'est-ce que ça veut dire ? Faire partie de l'UE c'est respecter certaines règles, et une certaine vision. La souveraineté d'un peuple comme moteur du processus décisionnel, ça peut être pour le meilleur et pour le pire. Ça peut vouloir dire la fin des droits LGBT sur le territoire national, parce qu'on respecte la voix majoritaire du peuple souverain (comme c'est actuellement le cas dans plusieurs pays de l'UE ! On l'aura compris, je suis pour un peu moins de souveraineté...) Bref, c'est flou, et si je suis pour une plus grande représentativité des peuples (voir par exemple l'excellente idée du "droit de veto social" chez EELV), cette défense de la souveraineté à tout pris me laisse, au mieux, perplexe.
- Je suis donc pour la création d'un Constitution européenne, défendue par EELV. Je voudrais voir inscrit, dans cette constitution (comme un jour, on l'espère, dans la constitution française), l'obligation de protéger les langues minoritaires comme le veut la Charte de 1992. (On rappelle par exemple qu'LFI, contrairement même aux partis de droite, a voté contre la loi Molac ! Ils se sont aussi prononcés contre le changement de l'article II de notre Constitution, qui fait tant de mal à nos langues régionales). Évidemment les problématiques animale et des langues ne sont que deux sujets parmi beaucoup d'autres - à vous de juger si vous êtes plutôt pour une Europe à tendance fédérale, ou pour le souverainisme que défend LFI.
- LFI s'oppose à l'entrée de l'Ukraine dans l'UE (et de tout autre pays !) : "refuser tout nouvel élargissement de l’Union européenne, notamment à l’Ukraine, tant qu’une harmonisation écologique, sociale, fiscale et des droits humains n’a pas été menée". C'est, pour moi, très flou, et contraire au pragmatisme que nécessite la situation actuelle.
Concernant le programme d'EELV : "D’inspiration très fédéraliste, le programme des Ecologistes propose de mettre en place une assemblée constituante à l’issue des élections de juin “pour réviser les traités et aboutir à une proposition de Constitution européenne”. On y trouverait par exemple des listes transnationales pour les élections européennes, ou encore un droit d’initiative législative pour les eurodéputés (pour l’instant entre les mains de la Commission européenne). [Les deux derniers points font aussi parti du programme de LFI. Mais sans Constitution, c'est donner plus de pouvoir aux députés (oui !) et pas à l'UE. Ce n'est pas ma vision.]
L’unanimité des Etats est pointée du doigt par les écologistes : actuellement requise pour certaines politiques (fiscalité, politique étrangère…), elle est ainsi accusée de ralentir le processus de décision européen. Différentes mesures de transparence des institutions européennes et de lutte contre les lobbies figurent également dans ce programme."
- Pour ce point-ci, nouveau disclaimer : ça me coûte. Moi aussi j'ai la guerre en horreur. Moi aussi je crois en une démilitarisation globale et idéologique. Moi aussi, je sais de quoi est coupable l'OTAN. Moi aussi je voudrais pouvoir dire que je refuse d'envoyer des armes et que j'attends la paix. Mais ce n'est pas le monde dans lequel on vit. Rester flou sur l'aide militaire apportée à l'Ukraine, ce n'est pas non plus œuvrer pour la paix (ni rester flou quand on envoie des armes, pour quoi, et à qui... ce qui se fait actuellement). Je n'ai pas de solution. Mais je ne peux plus défendre cette forme de passivité que prône LFI, et leur idéalisme malheureusement tellement irréaliste qu'il en devient permissif.
Du côté des Ecologistes : "Notre ligne est claire: pour le soutien à l'Ukraine, pour la livraison d'armes, pour l'adhésion de l'Ukraine à l'Union Européenne, contre tout envoi de troupes au sol".
Et le reste ? C'est tout bête, je suis pragmatique et je me fie aux datas disponibles :
- EELV et LFI ont 80% de vote en commun au Parlement Européen. Je sais donc que même si telle ou telle mesure n'est pas explicite dans le programme des Verts, si elle ne concerne pas le fonctionnement de l'instance européenne, elle sera aussi votée par eux. Par exemple, concernant la Palestine, EELV "se dit favorable à la reconnaissance de l’État de Palestine et à une série de sanctions contre Israël au nom du non-respect du droit international. Elle salue le soulèvement de la jeunesse en faveur de la Palestine, et veut engager une lutte globale dans « une Europe en train de dérailler » contre l’extrême droite, l’islamophobie et l’antisémitisme."
- Attention, EELV est loin d'aduler l'UE : comme je l'ai mentionné, le parti vise à réformer son fonctionnement et à créer des instances neutres auxquelles elle doit répondre. La critique chez les Verts est constructive, mais très présente. Je ne veux absolument pas d'un parti qui défende le statu quo (comme un certain parti présidentiel...)
- Il ne faut pas oublier que c'est une élection proportionnelle ! Au-delà de 5%, des députés du parti vont au Parlement. On ne vote donc pas (que) "contre". On vote aussi avec. Et vu les 6-7% prévus par les sondages pour EELV, j'encourage à les soutenir.
Et concernant quel parti écologiste je défends : certainement pas le parti Écologie au centre. Tout est dans leur nom, d'abord ; l'écologie ce n'est pas au centre, c'est de gauche. Et puis divorce de l'écologie et du social, chasse au "wokisme" qui serait "l'ennemi du bien commun"... Gros soupir.
#european elections#upthebaguette#france#french side of tumblr#French#elections européennes#EELV#LFI#Climate change#My opinion
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Menace de ZOG contre le Groenland : les patriotes danois disent à Trump « d’aller se faire foutre ».
Il était temps.
Enfin quelqu’un au Danemark s’est réveillé face aux menaces d’annexion armée du gangster orange.
Anders Vistisen appartient au Parti du Peuple Danois, une formation nationaliste représentée au parlement européen.
Le Groenland n’est pas à vendre. Le Groenland fait partie du Danemark depuis 800 ans, soit plus du double de la durée d’existence des États-Unis.
Tout vrai patriote devrait comprendre qu’il s’agit d’une atteinte inacceptable à la souveraineté nationale !
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Matériellement, je suis à peu près certain que l’armée danoise viendrait à bout de n’importe quelle force d’invasion terrestre américaine, même à dix contre un. L’armée américaine se bornerait à organiser le blocus du Groenland pour affamer les troupes danoises et cela serait effectivement suffisant pour l’annexer.
La quasi absence de réactions en Europe après ces menaces contre le Danemark démontre que ces états croupions européens ne pèsent rien au 21e siècle et qu’ils peuvent être menacés ouvertement, et demain dépecés, faute d’une puissance organisation politique et militaire unifiée pour se défendre.
Les nationalismes européens actuels des Meloni, Farage, Weidel ou Le Pen ne sont en réalité que des micro-nationalismes à ce stade de l’histoire. Ou plutôt des micro-populismes car ils ne développent même pas les éléments de base du nationalisme et sont des versions à peine amendées de leur centre-droit domestique. Personne ne peut prendre au sérieux ces gens face à des leaders comme Xi Jinping, Trump ou Poutine.
Le populisme est une plaie. Il se nourrit du ressentiment de segments de la société sans jamais les dépasser pour proposer un projet révolutionnaire. La seule chose qui les sauve est leur discours sur l’immigration, généralement si édulcoré qu’on sait qu’il ne serait jamais suivi d’effet sinon marginalement.
Ces micro-populismes ne proposent rien de stratégique qui soit mutuellement utile pour faire face aux menaces qui proviennent de toutes les directions contre l’Europe.
Quand on creuse, on s’aperçoit que l’énergie motrice de ce populisme décliné ici et là en Europe est une forme de nihilisme. Ces gens veulent « sortir de l’UE », « détruire Bruxelles », et quand on regarde leur alternative, il n’y a rien.
C’est une pure rage, essentiellement impuissante, de destruction à peine compensée par des promesses évasives d’un retour aux années 1960.
En France, les gens n’ont tout simplement pas compris que l’État français n’est plus une puissance significative et n’a plus les moyens de l’être, pas plus que les cités grecques ne sont redevenues des puissances méditerranéennes après leur annexion par Rome.
On entend des gens affirmer qu’il faut trouver un « Trump français » avec un pays qui pèse le poids du Texas. L’incapacité à appréhender l’ordre de grandeur des blocs continentaux en mouvement aujourd’hui est tout simplement aberrant.
Ce populisme est identique au monarchisme au 19e siècle, une pure réaction, impuissante, qui se complet dans un passéisme incapacitant et qui se réfugie progressivement dans une protestation de principe. Malgré toutes les tentatives, le monarchisme d’Ancien régime a échoué car il n’y avait plus de place pour lui dans le monde des révolutions industrielles. Là où il a survécu en Europe, c’est sous la forme d’un folklore protocolaire.
« Sortir de l’UE » signifie concrètement « rentrer en France ». Mais que signifie « rentrer en France » ? Rien de plus que d’être dirigés par les tocards du parlementarisme comme Delogu ou Attal. Cela ne changerait strictement rien, pas plus que le Brexit n’a changé quoi que ce soit en Grande-Bretagne, si ce n’est donner plus complètement la main à une élite radicalisée qui a répondu à la question migratoire par la submersion accélérée du pays. Les Roumains et les Polonais ont bien été chassés d’Angleterre, remplacés par des Pakistanais, des Indiens et des Nigérians.
Farage en est aujourd’hui réduit à expliquer qu’il est urgent pour les Anglais de s’entendre avec les Musulmans du pays. Dans le registre nationaliste, ce n’est même pas le dixième de ce que proposait un Mosley qui lui-même affirmait déjà que l’Europe devait être unifiée d’une façon ou d’une autre.
La situation est si critique que même unie, l’Europe fera face à une lutte pour survivre.
Si elle existait toujours en 2050, l’UE pèserait le tiers de l’économie chinoise.
Les micro-populismes regardent le passé et le confondent avec l’avenir. En prolongeant 1848 avec cette idée de restaurer la souveraineté de leurs états nationaux, ils jurent que ces cités-états feraient face isolément à des empires mondiaux nord-américain, chinois ou russe d’égal à égal.
C’est de la science-fiction.
Citer De Gaulle n’a aucun sens dans le monde actuel. Dans les années 1960, l’économie mondiale était réduite aux USA et à l’Europe occidentale. En termes relatifs, la France était encore une puissance influente dans un petit carré de pays développés limités à l’Occident. Avec une Allemagne coupée en deux, le « souverainisme » gaulliste, d’ailleurs relatif puisque la France gaulliste était dans l’OTAN, était un pragmatisme. Dans un espace mondial d’où a disparu le communisme et où les grands blocs capitalistes s’affrontent sous la direction de deux géants, la Chine et l’Amérique, ce souverainisme tactique n’aurait aucune prise sur les grandes réalités.
Qui imagine une discussion bilatérale équilibrée entre la France arabo-négrifiée de 2050 et la Chine et son tiers du PIB planétaire ? La France ne tient même plus tête à l’Algérie.
Ce qui est vrai pour la France est vrai pour tous les états européens et leur micro-populisme sans intérêt. Si demain la Turquie envahit la Grèce et les Balkans, et Erdogan ne fait pas mystère de le vouloir à la première occasion, que feront-ils ? En l’état actuel, rien. La seule chose qui retient Erdogan, c’est l’armée américaine.
La France s’est faite dégager de l’Afrique francophone sans rien pouvoir faire, ce n’est qu’une question de temps avant que d’autres n’attaquent directement le continent pour le dévorer morceau par morceau.
Il est temps que la discussion dépasse ces micro-populismes impuissants ou l’Europe en intégralité, France comprise, sera démantelée, occupée, pillée, et évidemment submergée démographiquement.
Nous avons besoin d’une mise à jour idéologique, stratégique, politique, et de raisonner conformément à la réalité du 21e siècle plutôt que s’accrocher à un cadre historique qui n’opère plus. La vérité est que le micro-populisme est un luxe offert par l’OTAN en ce qu’il tempère encore les forces extérieures, mais c’est temporaire.
Si les esprits restent gouvernés par l’imaginaire gaullo-communiste, les Français seront tous musulmans d’ici deux générations.
Démocratie Participative
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Anatole France, ou ''De la bêtise des hommes''...
En cette année 2024, on aurait dû fêter le centenaire de la disparition d'Anatole France, de son vrai nom Jacques Anatole François Thibault. Mais ce centenaire ne sera pas célébré par la République si injuste envers les meilleurs de ses enfants, et envers le talent (et l’œuvre) de cet immense écrivain, adulé en son temps, puis ''dézingué'' par la Gauche –dont se recommandait cet ami de Zola-- au point d'être qualifié de ''l'écrivain le plus insulté de France'' par Marianne (référence relative !)..
Nous, insensibles aux modes, au ''politiquement correct'' (qui l'est surtout scatologiquement !) et rebelles à toute pensée qui n'en est pas une, nous allons, à notre habitude, nous pencher sur les vraies valeurs et les vraies beautés. Mais comme je pense que vous avez très peu fréquenté ce grand homme (comme moi jusqu'à très récemment, quand j'ai eu la chance de ''tomber sur'' l'Ile aux Pingouins), je vous propose un moment avec cet immense talent honteusement conspué –il fut tout de même un des rares Prix Nobel de littérature français, rejoignant Bergson, Romain Rolland, Gide et Mauriac-- pour parler de lui. Puis nous plongerons dans la fange de la littérature de Gauche qui, fidèle à ses mauvaises habitudes, ne lâche jamais un ''ennemi de classe'', même longtemps après sa mort – voyez leur haine toujours renouvelée pour Napoléon ou SS Pie XII !
Pour cet homme qui se situait plutôt à Gauche –mais à cette époque, ce positionnement ne signifiait pas, beaucoup s'en faut, les remugles qu'une vision soit rouge soit rose de notre temps en décadence avancée-- publier une "Histoire contemporaine" où il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie (dont nous reparlerons plus loin), puis "L'île des pingouins" (1908), qui est une vive critique des professionnels de la politique, est une prise de risque qui, en 2024, interdirait les médias officiels à celui qui oserait écrire : ''Tous les partis qui se trouvent exclus du gouvernement réclament la liberté parce qu'elle fortifie l'opposition et affaiblit le pouvoir. Pour cette même raison, le parti qui gouverne diminue la liberté autant qu'il peut et fait, au nom du peuple souverain, les lois les plus tyranniques. Car il n'y a point de charte ni de loi qui garantisse la liberté contre les entreprises de la souveraineté qui se dit nationale (NDLR : au point de refuser tout référendum !). Le despotisme démocratique n'a point de bornes, en théorie'' .
Son œuvre littéraire est classique et beaucoup moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. C'est peut-être ce qui a gêné les cuistres et les aigris des années 1920. Mais son sens de la formule est tellement aigu que c'est son scepticisme et son ironie qui rendent ses livres si intéressants pour nous... et si insupportables pour qui ne tolère aucune remise en cause de sa suprématie intellectuelle (surtout si elle ne correspond à rien de vrai !). Parmi les tout premiers, il ose décrire un monde que le fanatisme rend cruel. Par exemple : "On croit mourir pour la Patrie et on meurt pour des industriels". Ou ''Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir de façon absurde''. En 2024, on a oublié le premier terme !
Il est élu à l'Académie Française en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921, mais c'est en 1908 qu'il écrit ''L'île aux Pigouins'', roman historico-satyrique. Le ''script'' est étrange : par une succession de hasard trop longs à raconter, toute une.population de pingouins se retrouve transformée en hommes, d'où notre présence sur Terre : Adam et Eve étaient des pingouins, à l'origine ! Et Anatole France peut alors librement ré-écrire une histoire : la nôtre, qui serait la leur... Tout y passe : les origines, les temps anciens, le Moyen Âge, la Renaissance, les temps modernes et même l'histoire future. Reflet de l’histoire de la France, l’histoire des Pingouins n’est qu’une suite de misères, de crimes et de folies et ''ce qui est vrai pour eux l'est pour toutes les nations''...
L’Histoire future décrit le monde contemporain et sa fuite en avant, comme un monde ''où le goût du beau s’est perdu '', où règne ''une laideur immense et régulière'' et où ''la condition humaine hésite entre constructions démesurées, destructions et régressions''. Anatole France écrit en 1908 : ''On ne trouvait jamais les maisons assez hautes... Quinze millions d’hommes travaillaient dans la ville géante''... Et il décrit un cycle infernal qui rend improbable l’idée d’une société future meilleure, ce qui est insupportable à toute la peuplade des faux intellectuels qui ne vivent et ne s'engraissent que grâce à leur adoration pour le dieu Progrès...
Écrivain libre mais citoyen se disant engagé à gauche, Anatole France ne se prive pas d'étriller, dans l'air du temps, les partis cléricaux de l'époque, et de déconstruire les légendes dorées de la dévotion catholique traditionnelle, à un moment où la séparation de l'Eglise et de l'Etat voulue par l'anticlérical-issime Emile Combes va déchirer pour longtemps la Nation française en deux camps jusqu'ici irréconciliables (cf. les mesures vexatoires ou liberticides que pond la Gauche, chaque jour, pour nuire à toute authentique Liberté, notamment en matière d'enseignement !).
Attaqué à sa mort par les plus grandes plumes du pays, le prix Nobel de littérature 1921 cristallisera autour de son œuvre toutes les rancœurs des soi-disant modernes (Rappel : ''l'écrivain le plus insulté de France''). Ce n'est pas par hasard que nos lycéens ne savent rien de ou sur lui : cette lacune ne s'explique pas seulement par leur ignorance abyssale, mais parce qu'ils sont l'ultime maillon d'une longue chaîne d'oubli, le dernier relais de la haine. Aucun écrivain français des temps modernes n'a été l'objet d'une exécration aussi profonde et aussi unanime qu'Anatole France qui, lui-même, ''détestait haïr''. Mais c'est justement cette douceur, cette indulgence, cette tendresse même qui devinrent l'emblème d'une tiédeur dont le progressisme n'a pas voulu. Pour vomir les tièdes, la Gauche a toujours eu besoin de boucs émissaires.
J'émets l'idée que le progressisme a vu ou deviné en lui son antithèse. Or, pour se faire résolument moderne, tout ce qui est ancien doit être rejeté et haï. Cette haine est née le jour-même de sa mort. Jusque là adulé partout et par tous (Zola, Maurras, Blum et Jaurès l'ont aimé et encensé), il fit ensuite l'unanimité contre lui. Indignité ultime pour ses détracteurs, le jour même de sa mort, la soi-disant ''intelligentzia'' du jour, ''les surréamlistes'', des Breton, Aragon, Eluard, Drieu, Delteil.... ont diffusé un tract contre celui qu'ils abhorraient. Son titre ? "Un cadavre". Son parti pris ? Le scandale et l'excès : "C'est un peu de la servilité humaine qui s'en va", "Avez-vous déjà giflé un mort ?", "Refus d'inhumer"... ''le limité, le peureux,le spéculateur à la manque, le niais''... Seules de telles outrances dans l'outrage pouvaient renverser une telle idole, qui ne s'en est pas relevé.
Plus honteux encore : son successeur à l'Académie, Paul Valéry, refusa de prononcer son nom lors de son éloge funèbre, dans son discours de réception, contournant toute louange pour en faire un blâme implicite. D'ailleurs... "quand on songe au cynisme d'Anatole France, qui vit publiquement aux crochets d'une juive, (sa maîtresse en titre, Simone de Caillavet, était juive par sa mère) et dans le milieu imaginable des dames littéraires israélites, les Stern, les X et Y, etc. !" écrit-il à Gide, en janvier 1898. C'est-y pas de l'anti sémitisme, ça, Madame ?
Céline, toujours modéré en diable (!), ira encore plus loin : "Anatole, plus vicieux et salope que les autres, était pertinemment enjuivé". Et Gide l'abomine : ''France est illisible : il représente le passé, et son style "demi-coupole", sans le moindre "tremblement", me révulse''. Romain Rolland méprise ses complaisances de vieillard pendant la Grande Guerre. Anatole France devient le symbole d'une littérature faisandée, où la compréhension devient compromis. Le rejeter violemment devient un passage obligé,et le rituel propitiatoire qui placera tout ''suiviste'' du bon côté de la modernité. Mais ça, on connaît : c'est notre quotidien !
En effet, comment ne pas établir un parallèle avec la praxis en cours, qui ostracise et ''met à l'index'' n'importe qui qui professe –en ayant en général raison contre la masse hurlante des cons-- une idée qui n'est pas autorisée par, justement, les mêmes ? C'est à cause de cet alignement sur le pire des pratiques de la Gauche que je voulais vous parler de ce centenaire oublié...
H-Cl.
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En Argentine, la démocratie et les droits fondamentaux en péril ! Solidarité avec les travailleuses et travailleurs et les syndicats du pays !
Javier Milei, entré en fonction le 10 décembre 2023, déroule déjà sa politique populiste d’extrême-droite, faisant peser de lourds dangers sur la démocratie et sur les droits fondamentaux des citoyens en Argentine, à commencer par ceux des travailleuses et des travailleurs.
Fin décembre, le président Argentin a présenté le Décret de Nécessité d’Urgence (DNU) et la Loi Omnibus, qui s’attaquent à plus de 300 dispositions touchant aux bases des droits individuels et collectifs. Ces mesures remettent en cause les fondements démocratiques du pays, rompant avec la séparation des pouvoirs et violant la Constitution argentine. Ce décret vise également le démantèlement des services publics et de la protection sociale, avec le licenciement de milliers de fonctionnaires argentins déjà à l’œuvre, en instaurant une austérité dévastatrice pour le modèle social argentin et les droits et intérêts des travailleuses et travailleurs en Argentine.
Parallèlement, ce même gouvernement a rapidement publié un protocole, ayant pour objectif la criminalisation de la contestation sociale, en permettant notamment un usage indiscriminé du recours à la répression d’État contre toutes les formes de lutte, en particulier celles des travailleuses et des travailleurs.
Les travailleuses et travailleurs sont de fait en première ligne face à ces réformes, citons entre-autres : la volonté d’éliminer la justice du travail, la remise en cause de la liberté syndicale et d’adhérer ou non à un syndicat, le renforcement des prérogatives des employeurs pour réprimer l’activité syndicale au quotidien, la mise en place d’une période d’essai de 10 mois, l’élimination en pratique du droit de grève et la suppression du droit à l’indemnisation pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
En outre, ces batteries de mesure incluent le démantèlement des normes environnementales et l’abandon de la souveraineté, sur les richesses naturelles et les terres du pays aux desiderata des capitaux internationaux.
La politique de Milei témoigne de la nature profonde de l’extrême-droite, un danger mortel pour le monde du travail, pour les services publics et pour l’environnement, et un mépris des principes démocratiques les plus élémentaires.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires expriment leur plus vive inquiétude face à cette offensive contre les acquis de plusieurs décennies de luttes sociales et syndicales en Argentine.
Nous adressons toute notre solidarité aux travailleuses et travailleurs d’Argentine, et notamment aux confédérations syndicales CGT-RA, CTA-T et CTA-A. Nous les soutenons inconditionnellement dans le processus de lutte qu’elles ont engagés pour faire face aux politiques mortifères de Milei et son gouvernement.
En particulier, nous sommes solidaires de l’appel à la grève nationale du 24 janvier initié par les trois centrales syndicales du pays. Elles réclament le respect du fonctionnement démocratique du pays et de sa Constitution ainsi que le retrait de ces lois bafouant un nombre incalculable de droits fondamentaux, à commencer par les conventions de l’OIT que le pays a ratifiées.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires appellent à se rassembler le mercredi 24 janvier à 18h00 devant l’ambassade d’Argentine pour témoigner de notre solidarité avec les travailleuses et travailleurs, et les syndicats, en lutte pour défendre leurs droits et la démocratie.
Rassemblement de solidarité devant l’ambassade d’Argentine le 24 janvier à 18h00 à l’angle de la rue Cimarosa et de l’avenue Kleber, 75016, Paris. Metro 6 : Boissière
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#argentina#france#Merci beaucoup#chikis el comunicado original de la intersindical francesa#no se vuelve a decir francia segundo nunca más
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"Après vous avoir persuadé qu'on ne pouvait naître sans assistance hôspitalière, vivre en bonne santé sans médicaments, faire pousser des plantes sans intrants chimiques, faire fonctionner une économie sans immigration massive, être libre sans journalisme, éduquer ses gosses sans éducation Nationale, vivre en sécurité sans flics et assurances, etc. On finira par nous persuader qu'on ne peut pas faire de gosses sans FIV, se déplacer sans pass, régler ses problèmes sans assistance psychologique, etc. La souveraineté profonde est l'enjeu de ce siècle."
Laurent Ozon
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Mouhoun : Des jeunes sensibilisés dans la lutte pour la souveraineté nationale
BURKINA-MOUHOUN-RECONQUETE-TERRITOIRE-PANEL Mouhoun : Des jeunes sensibilisés dans la lutte pour la souveraineté nationale Dédougou, le 08 fév. 2025 (AIB)-Le Vent républicain a organisé, le samedi 08 février 2025 à Dédougou, un panel pour sensibiliser la jeunesse sur leur engagement citoyen et patriotique dans la reconquête du territoire et l’effectivité de la souveraineté nationale. Ce panel,…
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Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, a posé une question écrite au Gouvernement à Éric Lombard, Ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle : "Mme Géraldine Grangier attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique sur la situation critique que traverse F2J Japy, sous-traitant automobile historique et fleuron industriel de Valentigney, dans le pays de Montbéliard. Entreprise emblématique de la région, F2J Japy est spécialisée dans la fabrication de boîtes de vitesses et collabore principalement avec le groupe Stellantis. Depuis plusieurs années, elle est confrontée à des crises récurrentes, qui illustrent les difficultés structurelles de l'industrie automobile française face aux mutations du secteur. En effet, l'entreprise a dû mettre en œuvre six plans de sauvegarde de l'emploi en huit ans, réduisant ses effectifs de façon drastique. Alors qu'elle employait encore plus de 600 salariés au début des années 2000, ce chiffre a chuté à 102 en 2024 et pourrait tomber à 62 d'ici quelques mois, avec la suppression prévue de 40 postes, soit 40 % de ses effectifs actuels. Ce nouveau plan social, qui prendra effet en mars 2025, s'explique principalement par la chute des commandes liées à la production de véhicules thermiques, en raison des nouvelles normes environnementales européennes et de l'arrêt programmé des moteurs thermiques d'ici 2035. F2J Japy, dont le cœur de métier repose sur ces technologies, peine à s'adapter à cette transition écologique, imposée de façon brutale et sans anticipation suffisante. Par ailleurs, l'entreprise doit faire face à une concurrence étrangère toujours plus féroce, provenant notamment de pays où les normes sociales et environnementales sont bien moins exigeantes. Au-delà des chiffres, cette situation met en péril un savoir-faire unique et stratégique pour l'industrie automobile française. F2J Japy est reconnue pour la qualité de ses productions, qui reposent sur une expertise accumulée depuis plusieurs décennies. Cependant, faute d'un accompagnement adéquat, cette entreprise risque de disparaître, emportant avec elle des compétences précieuses et un outil industriel performant. Cette crise n'est pas seulement celle d'une entreprise isolée, mais celle de tout un territoire. Le pays de Montbéliard, déjà durement frappé par les restructurations dans l'industrie automobile, voit son tissu économique et social se fragiliser davantage. De nombreuses familles dépendent directement ou indirectement de F2J Japy et des autres sous-traitants de Stellantis. À titre d'exemple, la fermeture d'usines ou les licenciements massifs dans cette région ont des répercussions sur les commerces de proximité, les services publics, ainsi que sur l'attractivité générale du territoire. Malgré cela, la direction de F2J Japy et ses salariés ne baissent pas les bras. Ils ont exprimé leur volonté de diversifier l'activité de l'entreprise, notamment vers des solutions plus adaptées aux nouvelles exigences du marché, comme la fabrication de composants pour les véhicules hybrides ou électriques. Cependant, cette transition nécessite des investissements importants, que l'entreprise ne peut pas assumer seule dans un contexte de fortes pressions concurrentielles et de baisse des volumes de production. Cette situation illustre également l'incapacité structurelle de la France à anticiper les mutations économiques. Alors que l'Union européenne impose des normes environnementales contraignantes, les outils d'accompagnement pour aider les entreprises à relever ces défis restent insuffisants ou inadaptés. Par ailleurs, le manque de protection des industries nationales face à la concurrence internationale aggrave les difficultés rencontrées par les entreprises françaises, notamment dans des secteurs stratégiques comme l'automobile. Dans ce contexte, Mme la députée demande à M. le ministre quelles mesures concrètes et immédiates il envisage pour accompagner financièrement et stratégiquement la diversification de F2J Japy, afin de préserver son outil industriel, ses savoir-faire et ses emplois. Elle souhaite savoir s'il est prévu de mobiliser des fonds spécifiques, comme ceux du plan France 2030 ou des dispositifs européens, pour permettre à cette entreprise de se repositionner sur des marchés porteurs. Elle souhaite également savoir ce qui est prévu pour renforcer l'anticipation des transitions industrielles, afin d'éviter que des territoires entiers ne subissent une désindustrialisation massive et connaître les politiques que le Gouvernement compte mettre en place pour garantir une adaptation plus fluide des entreprises aux normes environnementales, tout en soutenant les sous-traitants, souvent les premières victimes de ces transformations. Elle souhaite savoir ce que le Gouvernement envisage pour soutenir le bassin d'emploi du Pays de Montbéliard, en développant des dispositifs de formation et de reconversion adaptés et en favorisant l'installation de nouvelles activités industrielles et s'il envisage de créer des zones franches industrielles ou des incitations fiscales pour relancer l'attractivité de cette région fortement marquée par les crises économiques successives. Mme la députée appelle donc à une action rapide et ambitieuse pour préserver l'avenir industriel du pays de Montbéliard. L'exemple de F2J Japy illustre la nécessité de repenser le modèle économique et industriel, afin de garantir une transition écologique juste et équitable, sans sacrifier les savoir-faire ni les territoires qui font la force du pays. Elle lui demande si le Gouvernement est prêt à mettre en œuvre des solutions à la hauteur des enjeux, pour protéger les entreprises, les emplois et la souveraineté industrielle". Read the full article
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Kidal libérée et la Transition clarifiée : le discours historique de Dr Choguel Kokalla Maïga au M5-RFP
Discours de Dr Choguel Kokalla Maiga, Premier ministre, Chef du Gouvernement, lors du meeting du mouvement du 05 juin-rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) Monsieur le Président par intérim du Comité Stratégique du M5-RFP, Eminents membres du Comité Stratégique du M5-RFP, Camarades militants et sympathisants du M5-RFP, Compagnons de route membres des Forces du Changement pour la…
#Assises Nationales de la Refondation#Choguel Kokalla Maïga#CICB Bamako#discours politique Mali#Forces armées maliennes#Kidal#M5-RFP#Mali kura#Refondation du Mali#souveraineté nationale#transition malienne
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Britain's Royal Baby Bump
Grossesse Royale en Grande-Bretagne
La naissance du prince de Cambridge est le pire sujet pour un cynique de mon espèce. Tous les opposants systématiques et les esprits chagrins sont obligés de la mettre en veilleuse. On ne peut tout simplement pas s'en prendre au bébé royal. C'est une chose bizarre car, à part sa capacité extraordinaire à provoquer des embouteillages autour de Buckingham Palace, la monarchie britannique a très peu de pouvoir.
Alors pourquoi le Daily Mail a-t-il lancé un magazine consacré au bébé royal ? Pourquoi a-t-on créé une application pour suivre minute par minute la grossesse de Kate ? Pis, on s'attend à ce que les Britanniques dépensent 95 millions de dollars en vin mousseux pour fêter la naissance royale, 86 millions de dollars en souvenirs, 117 millions en DVD et en livres et 37 millions en articles et jouets sur le thème du bébé royal. Il est d'ores et déjà possible d'acheter des bavoirs “royal baby”. Tout ceci alors que le pays ne s'est pas encore extirpé d'une récession douloureuse...
Mais peut-être y a-t-il un rapport de cause à effet. L'agitation autour de la grossesse royale détourne l'attention des masses des énormes factures à payer. Mis à part la victoire d' Andy Murray à Winbledon et celle de Chris Froome lors du Tour de France, la Grande-Bretagne fait plutôt grise mine depuis 2008, et on ne peut pas reprocher aux gens du peuple de ne pas bouder leur plaisir quand l'occasion se présente, surtout quand il s'agit de la naissance du premier petit-fils de leur adorée Diana, princesse de Galles.
Par ailleurs, il peut paraître irrationnel de s'extasier de l'absence de pouvoir politique de la monarchie mais les nations ne sont pas des entités rationnelles, et l'histoire de la Grande-Bretagne se raconte à travers ses rois et ses reines. La culture britannique n'est plus ce qu'elle était : elle a été remise en question par un déluge d'importations de produits culturels importés comme “World War Z”, une immigration sans précédent et par une Union Européenne qui empiète sur la souveraineté nationale du pays. Les Britanniques s'accrochent avec l'énergie du désespoir à l'idée qu'ils se font d'eux-mêmes, et l'institution royale a beau être sans pouvoir, au moins cette naissance symbolise t-elle une certaine continuité historique.
D'après un article adapté de Lionel Shrivel, The New York Times.
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Dire que l'on ne peut faire l'Europe que par l'abandon des souverainetés nationales, c'est parler et penser aussi mal que possible, et peut-être même n'est-ce que parler et pas penser du tout. Car où sont les souverainetés ? S'il suffisait de dix nations mortes pour faire un empire vivant, I'Europe jaillirait joyeusement de ses ruines encore chaotiques. Mais pour faire un empire, ce n'est pas dix nations, vivantes ou mortes, qui sont nécessaires, mais une nation, une seule nation vivante, jeune et même adolescente, mais dont les limites soient posées d'emblée comme impériales.
L'assomption de l'Europe - Raymond Abellio
Je ne vois que la Turquie à l'heure actuelle pour remplir toutes les qualités nécessaires à un empire européen et méditerranéen.
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oros et Netanyahou, même «objectif final»: «achever la destruction des nations par une grande guerre nucléaire–Youssef Hindi
«Le projet de Nouvel ordre mondial et le projet messianique juif sioniste convergent», explique (https://x.com/DubreuilhMarcel/status/1723649172631429498) l'essayiste.
L'objectif est de «détruire les valeurs traditionnelles, les nations, transférer la souveraineté nationale vers des organisations supra-étatiques comme, en Europe.»
A la suite de quoi, la seule nation au monde qui aura droit à des frontières et à un régime traditionnel, sera Israël, en conclut Hindi.
C'est ce qui explique le double discours des Bernard-Henri Lévy et Jacques Attali, qui sont contre les nations partout dans le monde… sauf en Israël.
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9 janvier : la Journée de la souveraineté nationale au Panama
Le 9 janvier est un jour de deuil au Panama, pendant toute la journée, il est interdit de boire de l’alcool et d’organiser des fêtes ou des spectacles publics. C’est un jour férié et chômé au niveau national pour commémorer la mort de 21 étudiants et d’un bébé panaméens tués le 9 janvier 1964 lors des émeutes au cours desquelles les Panaméens revendiquaient la souveraineté sur le canal de Panama. Cette journée est connue comme la Journée des Martyrs (Día de los Mártires) ou la Journée de la souveraineté nationale (Día de la Soberanía Nacional).
À l’époque le pays était divisé en deux zones car les Américains occupaient la zone du canal de Panama qu’ils s’étaient attribués à perpétuité depuis le début du siècle. Des milliers d'Américains et leurs familles vivaient dans cette zone selon leurs propres lois et coutumes tout en travaillant pour le canal ouvert en 1914. Les États-uniens y avaient aussi installé une importante base militaire. Les Zonians, comme on les appelait, n’avaient pratiquement aucun contact avec le reste du pays et sa population. Laquelle ne pouvait accéder à la zone du canal sans une autorisation spéciale.
Face aux protestations récurrentes des Panaméens, Washington avait fini par faire concessions symboliques, comme la présence conjointe des deux drapeaux américain et panaméen sur les bâtiments officiels de la zone du canal à partir du 1er janvier 1964. Mais les Zonites ignorèrent l'accord et refusèrent de hisser le drapeau panaméen. Ce fut notamment le cas des élèves américains du lycée Balboa. Après négociation avec la police, il a été convenu qu'un groupe de six étudiants panaméens s'approcherait du mât du drapeau pour hisser leur drapeau et chanter l'hymne panaméen. Zonites tentèrent de les empêcher. Ils ont encerclé les étudiants et une bagarre a éclaté, au cours de laquelle le drapeau a été déchiré en morceaux. Quand cela s’est su dans le reste du pays, des milliers de manifestants ont afflué dans la zone du canal. La police, débordée, a été contrainte de demander l'aide de l'armée américaine, qui a décidé de tirer et d'utiliser des gaz lacrymogènes contre les manifestants. 21 étudiants et 4 membres des forces américains ont perdu la vie au cours des trois jours d’émeute.
Ces événements ont mis en lumière la situation coloniale que subissait le Panama de la part d’un État toujours prompt à dénoncer le colonialisme des Européens. Il faudra malgré tout attendre de nombres années pour que la situation évolue. En 1977, le traité Torrijos-Carter établit la neutralité du canal et la double administration panamo-américaine sur les lieux. Puis, le 31 décembre 1999, les États-Unis ont finalement rendu canal au Panama.
Comme chaque année, le Président Laurentino Cortizo, accompagné de membres du Cabinet, dépose une couronne de fleurs devant le Monument aux Martyrs du Centre de Formation Ascanio Arosemena du Canal de Panama, où se trouve également la « Flamme éternelle », à la mémoire des 21 martyrs qui ont offert leur vie. la lutte pour la souveraineté nationale. Il s’agit de l’ancien lycée Balboa qui porte aujourd’hui le nom d’un étudiant de 20 ans tué d’une balle dans le dos le 9 janvier 1964.
De leur côté, divers mouvements populaires et syndicats panaméens manifestent au parc Santa Ana de la capitale pour rendre hommage aux martyrs mais surtout pour dénoncer le poids de l’influence américaine sur le mouvement actuel de leur pays.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 8 janvier 2024
#canal de Panama#Zonians#Traité Torrijos-Carter#Ascanio Arosemena#Balboa#Panama#1964#9 janvier#Carter#Trump
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Le gangster orange envoie son fils menacer le Groenland d’annexion.
ZOG doit être stoppé !
C’est à nous, Européens, et ce n’est pas négociable
Le gangster orange menace à nouveau le Groenland, propriété légitime de l’empire européen.
Radio Canada :
Le fils aîné du président élu Donald Trump va se rendre au Groenland, a indiqué lundi le ministère danois des Affaires étrangères, deux semaines après une allusion de son père à la souveraineté du territoire autonome du Danemark. « Nous avons pris note de la visite prévue de Donald Trump fils au Groenland », a écrit à l’AFP la diplomatie danoise, précisant qu’il ne s’agissait pas d’une visite officielle américaine. Juste avant Noël, Donald Trump avait dit : Pour la sécurité nationale et la liberté à travers le monde, les États-Unis d’Amérique estiment que la propriété et le contrôle du Groenland en font une nécessité absolue. Le gouvernement de l’immense île arctique avait alors rétorqué ne pas être à vendre, conformément à sa réponse à des déclarations similaires de Trump en 2019.
Ces idiots de Danois se sont laissés ronger par le virus démocratique au point de reconnaître aux quelques dizaines de milliers d’Eskimos locaux, tous alcooliques, des prétentions sur Hyperborée. Ces sauvages vendraient père et mère pour une caisse de whisky et le gangster orange le sait parfaitement.
Le barbare asiatique qui fait mine de « gouverner » le Groenland a poussé la provocation jusqu’à parler « d’indépendance » lors de la venue de Von der Leyen. La femme blanche à la tête du Danemark a laissé passer sans réagir.
Le Premier ministre du Groenland, Múte Egede, appelle à l’indépendance vis-à-vis du Danemark, alors que Donald Trump multiplie les appels à l’acquisition du territoire.
« Il est maintenant temps de passer à l’étape suivante pour notre pays », a déclaré Múte Egede.
« Comme d’autres pays dans le monde, nous devons nous efforcer de lever les obstacles à la coopération, que nous pouvons décrire comme les chaînes de l’ère coloniale, et aller de l’avant. »
« Notre coopération avec d’autres pays et nos relations commerciales ne peuvent continuer à se faire uniquement par l’intermédiaire du Danemark.
« Le travail a déjà commencé pour créer le cadre nécessaire à l’indépendance du Groenland. Il est nécessaire de prendre des mesures importantes… La nouvelle période électorale à venir doit, avec les citoyens, créer ces nouvelles étapes. »
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/ffb6f3eb0ad32a3fd4d4a71ad89676ec/5f8e3a2fd86c2d10-81/s540x810/af03418e61ebc0cf0faee77329f5612da1b1e646.jpg)
Le Danemark dispose d’un droit de veto sur la question, mais pour cela il faudrait que ce pays soit dirigé par des hommes et pas par des assistantes sociales.
L’UE qui pleure d’ordinaire sur des embrouilles aux quatre coins du monde, et a fortiori à propos de l’Ukraine, n’a pas réagi malgré les menaces quasi quotidiennes.
Si les Européens se laissent annexer une portion de leur territoire aussi vaste et stratégique que le Groenland sans réagir, à quoi bon geindre pour quelques champs en Ukraine ?
Et pourquoi faire la guerre à Poutine qui lui a de légitimes prétentions en Ukraine si le régime états-unien peut nous agresser en toute impunité ?
L’Amérique judéo-nègre est une menace réelle pour l’Europe, contrairement à la Russie. Il faut barrer la route à l’ogre yankee et protéger la civilisation de la barbarie américaine.
Démocratie Participative
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