#souvenir de pierre
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Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017. Et elle sera close par Marseille aux vacances de Noël.
Notre-Dame de la Garde :la descente vers le Fort Saint-Nicolas et le Pharo
Notre-Dame de la Garde
idem : le panorama
le Prado
Rue de Rome : le buste de Pierre Puget
le Stade Vélodrome
#souvenirs#marseille#notre-dame de la garde#pharo#palais du pharo#fort saint-nicolas#prado#rue de rome#pierre puget#stade vélodrome#vélodrome
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Chantons sous les larmes
Jean-Pierre Marielle est mort il y a cinq ans, le 24 avril 2019. Depuis ce jour sa veuve, Agathe Natanson, lui écrit régulièrement. Une correspondance qui lui permet de poursuivre leurs conversations, de dire son chagrin, son amour, mais aussi sa solitude
En deux mots Pendant les années qui ont suivi la mort de son mari Jean-Pierre Marielle, Agathe Natanson a pris la plume pour lui écrire. Elle retrace des souvenirs, dit les moments de chagrin et de solitude, les quelques rayons de soleil dont elle profite. Elle dit aussi sa gratitude et son combat contre la maladie qui l’a privée de derniers moments de bonheur: Alzheimer. Ma note ★★★★ (j’ai…
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#Agathe Natanson#Alzheimer#Amour#écriture#épouse#chagrin#comédien#comédienne#correspondance#Deuil#disparu#Famille#Jean-Pierre Marielle#Jeu#joie#larmes#lettre#Maladie#mari#Mort#quête#Rencontre#solitude#Souvenirs#tristesse#vie de couple
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Club Photo de Chicoutimi
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L’âge n’est pas une perte, c’est un gain. Un gain de sagesse, un gain de souvenirs, un gain de leçons de vie. On parle souvent de la jeunesse comme d’un trésor, mais pour moi, la vraie richesse, c’est ce que l’on apprend en grandissant. Chaque ride sur mon visage raconte une histoire, chaque pas plus lent que je fais est le reflet d’un chemin parcouru. Alors, à vous tous qui avez peur de vieillir, sachez ceci : il y a une beauté unique à chaque âge. La jeunesse est belle, mais la maturité a une profondeur que rien ne peut remplacer. Et si je devais vous donner un conseil, ce serait celui-ci : ne cherchez pas à éviter le passage des années, vivez- les avec fierté. Car chaque jour de plus est un chapitre de plus à votre histoire.
Jean Pierre Folko
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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source : @cheminer-poesie-cressant
Accentuer le passage des saisons en ayant le privilège du souvenir croissant de la précédente. L'achèvement de l'été était comme l'approfondissement de tous les autres, comme une fin d'été qui ne pouvait plus rien cacher.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(lundi 10 octobre 2005)
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Gaudin’s description of Napoleon
Martin-Michel Gaudin was Napoleon’s Minister of Finance. He entered the world of finance at the age of 17 and achieved the highest rank a non-aristocrat could achieve in finance administration pre-Revolution (“first clerk”). During the Revolution, he was the Commissioner of the National Treasury. He left government in 1795 and resisted further governmental recruiting attempts until Napoleon (who he had never met) approached him in 1799. Gaudin describes their first meeting in his memoir:
I found a personage who was known to me only by the high reputation he had already acquired; of low stature, dressed in a gray frock coat, extremely thin, yellow complexion, eagle-eyed, with lively movements [...] he came to me with the most gracious air.
“You have,” he said, “worked in finance for a long time?”
“Twenty years, General!”
“We need your help badly, and I’m counting on it. Come on, take your oath, we’re in a hurry.”
This formality completed, he added: “The last minister of the Directory will be informed of your appointment. Meet in two hours at the ministry to take possession of it, and provide a report on our situation as soon as you can, as well as on the first measures to be taken to restore the service which is lacking everywhere. Come see me this evening at my house on rue de la Victoire (that’s what rue Chantereine was then called), we will discuss our business more fully.”
I withdrew to carry out the orders I had just received.
(Source: Gaudin, Mémoires, souvenirs, opinions et écrits du duc de Gaète, pp. 45-46)
Historian Pierre Branda on their partnership:
“Intuition, good advice or genius? Bonaparte’s choice was judicious, because Gaudin would successfully occupy this ministerial post for the entire duration of the Consulate and the Empire, including the Hundred Days. With such longevity, he was undoubtedly one of Napoleon’s most appreciated ministers. It is true that the two men were often in perfect agreement.”
(Source: Le prix de la gloire: Napoléon et l’argent, pp. 197)
#Pierre Branda#Martin-Michel Gaudin#Gaudin#Napoleon#napoleon bonaparte#napoleonic era#napoleonic#first french empire#french empire#france#history#finance#economics#19th century#french history#minister of finance#1800s#Le prix de la gloire: Napoléon et l’argent#Le prix de la gloire#Napoléon et l’argent#description of Napoleon#description#Branda
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English version here ^^
envie d'écrire un peu aujourd'hui, donc...un peu d'écriture.
Lost soul au.(french)
« Laissez-moi une minute…»
Macaque posa doucement ses yeux sur la fourrure rousse ternie de Wukong. Elle avait perdu de son éclat après qu’il a terminé son voyage et soit rentré à la montagne de fleur et de fruit. Macaque avait pensé que ce changement de couleur passerait au lavage ; mais cela n’a jamais été le cas. La fourrure gardait cette teinte de soleil sur le point de s’éteindre. Macaque ��loigna son regard de la fourrure pour porter son attention sur l’ensemble du singe de pierre, assis dans l’herbe. Il laissait les petits singes le toiletter sans faire le moindre geste. Parfois, un petit demandait pour de l’attention, et Wukong le prenait dans ses bras avec un petit sourire. Les petits singes à la fourrure sombre avait appris à rester loin du roi, car les voir faisait pleurer le roi à chaque fois. Et avec la tristesse du roi, venait la mélancolie du peuple de la montagne de fleur et de fruit.
– Toujours en train de te lamenter ?
Demande Macaque, en sachant parfaitement que Wukong ne l’entendrait pas. Il ne l’a jamais entendu. Plus depuis qu’il était mort. Macaque reste perdu dans ses pensées au souvenir de sa propre mort. Il ne lui restait plus rien que des bribes de ce qui constituait son ultime dispute avec le roi singe. Il était courant pour Macaque et Wukong de se battre. C’était une habitude qui avait souvent été teinté de colère et de rancœur depuis que Wukong était parti en voyage avec ses amis pèlerins. Macaque ne supportait tout simplement pas cette distance. Et aucun d’eux n’était réellement bon avec les mots ; où avec le fait de parler de leurs sentiments. Alors l’éloignement a tout simplement rempli de colère le cœur de chacun. Tout ce dont Macaque se souvient était grâce au souvenir des sons du futur qu’il avait entendu lorsqu’il avait rencontré Wukong. Ses oreilles l’avaient prévenu qu’il mourrait de la main de Wukong. Et il l’a ignoré.
Macaque se souvient encore de ses propres cris comme si son assassinat s’était passé la veille. Il se souvient de combien il était devenu difficile de crier, mais qu’il avait forcé sur sa gorge meurtrie, car il était terrifié, et qu’il pensait que si Wukong entendait à quel point il avait peur, peut-être que cela mettrait fin à leur énième combat. Wukong et Macaque s’arrêtaient toujours quand ils se rendaient compte ; non ; quand ils savaient, que leur ami n’était plus capable de tenir leurs petites guéguerres. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’une petite dispute normale. Macaque le savait parfaitement. Mais il a espéré. Et c’est cela qui l’a tué. Tout comme c’était cela qui l’avait fait rester aux côtés du jeune roi imprudent.
Macaque ne mentirait pas en disant qu’il était désolé pour ce qu’il avait fait. Si on lui avait donné une seconde chance ; il aurait fait exactement la même chose. Il n’était pas désolé pour ce qu’il avait fait. Il aurait agi différemment à la fin, peut-être, il aurait essayé de mettre fin à cette dispute plus tôt, peut-être. Mais il n’aurait rien changé aux choix qu’il avait fait. Les six oreilles de Macaque se déployèrent une seconde fois aujourd’hui, et il écouta sa propre voix dire ses adieux à Wukong. Le roi ne l’entendrait certainement pas. Il était impossible que ce soit le cas dans cette situation. Cela voulait sans doute dire que les envoyés des dieux des enfers viendraient bientôt récupérer Macaque.
-Il semblerait que l’on va bientôt se quitter Wukong.
Le singe de pierre resta imperturbable à cette nouvelle. Macaque avait pris l’habitude de parler dans le vide. Alors il ne s’en soucia pas.
-Je ne sais pas quand est-ce qu’ils viendront me prendre. Mais je suppose que ce sera dans peu de temps. De ce que j’entends, cela n’a pas l’air si loin dans le futur.
Toujours aucune réponse.
– Hey… Je sais que cela fait un moment que je ne t’ai plus demandé de trouver un moyen de me ramener à la vie. Mais je pense que si tu dois avoir une illumination vis-à-vis du fait de ramener les morts, c’est maintenant.
Le roi singe regarda au loin, les yeux perdus dans le vide. Il joua un peu avec la fourrure d’un des petits singes avant de sursauter légèrement lorsque le petit lui fila entre les doigts, pour rejoindre ses parents. Wukong regarda la scène du couple qui tenait fermement leur petit. Le roi détourna le regard. Macaque pouvait entendre leur cœur se mettre à battre plus vite. Il jeta un œil à ce qu’avait pu voir Wukong, et sentit son propre cœur se briser. Il aurait aimé pouvoir faire un câlin à Wukong lui aussi. Depuis quand n’ont-ils plus eu de câlin ? De vrais câlins. Il se souvient qu’il avait souvent repoussé le singe par mesquineries, lorsque ce dernier revenait occasionnellement à la montagne. Oh ; comme il regrettait cela. S’il avait su que son dernier câlin lui serait donné juste avant sa mort ; il aurait mis sa colère de côté, et aurait laissé Wukong le câliner autant que le roi le souhaitait.
– Tu es un véritable idiot Wukong…
Le singe de pierre sembla réagir à son nom, et regarda un peu autour de lui. Macaque ignora le geste. Il ne se faisait plus de faux espoirs. Il y avait des moments comme ça où il pensait que Wukong l’entendait. Mais il avait compris depuis longtemps qu’il ne s’agissait que de brefs instants étranges où Wukong semblait avoir un sixième sens concernant Macaque.
– Si tu arrêtais de te plaindre un instant, et réfléchissait, tu pourrais peut-être me ramener !
Toujours pas de réponses de Wukong. Le singe de pierre cessa de regarder autour de lui. Il semblerait qu’il n’a pas trouvé ce qui l’avait premièrement sorti de son était végétatif.
– Tu as toujours été si obsédé par le fait de mourir. Tu as cherché par tous les moyens à vaincre la mort. Tu peux bien… je ne sais pas, venir me chercher n’est-ce pas ?
L’absence de réponse pousse Macaque à baisser les bras. Cette fois encore, Wukong n’allait pas sortir de son état étrange. Serait ce le regret ? Où le deuil ? Macaque n’était pas sûr. À vrai dire, il se serait juré que Wukong l’oublierait au bout d’une semaine grand maximum avant de passer à une autre aventure palpitante, où, peut importe ce qui l’attirait de l’autre côté de la montagne de fleurs et de fruits qu’ils considéraient tous les deux comme leur maison.
– Peu importe…
Macaque décida de prendre place aux côtés de Wukong. Il fit mine de poser son épaule contre celle de Wukong. Il savait parfaitement que s’il se laissait vraiment s’accouder contre Wukong, il passerait à travers lui. Alors, il resta stable, et posa sa main contre celle de Wukong. Comme prévu, sa main passa au travers de cette de Wukong. Macaque ne s’en préoccupa pas. Il fit de son mieux pour imaginer qu’il était physique. Il essaya de se rappeler la chaleur de la peau de Wukong contre la sienne.
Babum…
Il essaya de se souvenir combien il était bon de se laisser se reposer sur l’épaule de son ami sans penser à rien.
Babum…
Il enfonça sa tête contre son écharpe. Unique souvenir qu’il lui restait de Wukong dans sa mort. La seule chose qui gardait encore cette impression qu’une part de Wukong était avec lui. Macaque laissa ses oreilles siffler en entendant son propre cœur battre à mille à l’heure. Cela faisait tellement mal. Il avait envie de pleurer. Il n’avait pas envie de faire semblant d’être contre Wukong. Il le voulait. Il le voulait si avidement. Il voulait ressentir sa chaleur, poser son oreille contre sa poitrine, et entendre le cœur de son ami se mettre à battre follement au contact peu familier qu’initierait Macaque. Il avait envie que Wukong le serre contre lui de toutes ses forces ; et il avait envie de dormir à ses côtés en sachant que Wukong allait encore l’écraser dans son sommeil, parce que Wukong finissait toujours par trop bouger dans son sommeil.
– Putain, Wukong…
-Désolé Macaque…
Et cette fois encore, Macaque l’ignora. Car il savait que ces excuses n’étaient pas vraiment pour lui. Après tout. Wukong ne savait pas qu’il était là. Le singe de pierre se parlait juste à lui-même pour essayer de calmer sa conscience pour l’erreur qu’il avait faite.
¤¤¤
« Tu es un véritable idiot Wukong. »
Le singe de pierre sursaute et sort de ses pensées pour regarder autour de lui. Il avait entendu la voix de Macaque. Il cherche un moment autour de lui avant de se rendre compte qu’il s’agissait seulement d’une voix dans sa tête. C’était arrivé souvent ces derniers temps. Quand il était perdu si fort dans ses pensées qu’il avait l’impression de ne plus exister ; il y avait la voix de Macaque qui le sortait du néant pour le gronder ou lui dire quoi faire. C’était une torture douloureuse que Wukong n’avait pas encore complètement assimilé. Petit à petit Wukong se calme, et retourne à ses pensées. Il rejoua en boucle la scène de la mort de Macaque dans sa tête. Il ne voulait pas l’oublier. Il ne voulait rien oublier de Macaque. C’était encore horriblement trop frais dans son esprit. Son cœur qui s’emballait sous la colère, la douleur de la couronne contre son crâne, qui semblait attiser les flammes de sa rage, puis, sa perte de contrôle. Macaque et lui se sont battus, comme très souvent récemment. Et Wukong ne s’expliquerait pas pourquoi il avait réagi aussi violemment. C’était stupide. Complètement insensé. Peut-être était-ce à cause des mots cinglants de Macaque ; où en avait-il eu tout simplement marre de leurs disputes constantes, et cela l’avait fait péter un câble. Mais tel était que cela l’avait mené à sortir de son état, complètement essoufflé, la colère disparaissant petit à petit ; et le corps de Macaque devant lui. Wukong se rappelle trop douloureusement ne pas avoir immédiatement paniqué. Il a regardé l’œil de Macaque se vider de vie pendant de longues secondes avant de comprendre ce qu’il se passait et prier pour que Macaque ne parte pas. Wukong jura. Il avait perdu de si précieuses secondes. Si seulement il avait agi plus vite. Il aurait pu emmener Macaque à son maître plus tôt, et ce dernier aurait certainement pu le sauver. S’il avait…s’il…
Il fit soudainement plus froid sur sa gauche. C’était certainement une impression. Cela faisait longtemps qu’il était au soleil, immobile. Peut-être que cela jouait ? Il ne savait pas. Il savait juste que soudainement, il se sentit mieux. Il ressentit quelque chose de familier. Il repensa à Macaque. S’il était là. Il serait certainement en train de lui raconter une histoire ; où quelque chose qu’il ne comprenait pas complètement. Peut-être qu’il lui lancerait des piques ? Wukong resta pensif. Il imagina quelque chose de plus simple. Quelque chose qu’il aimerait. Il aimerait que Macaque soit encore à ses côtés. Lui et le singe de l’ombre assis sur l’herbe, au soleil. Ce serait bien. Vraiment bien.
Le cœur de Wukong était douloureux à cette pensée. Mais qu’importe. C’était mieux que lorsqu’il était vide. Il préférait savoir qu’il ressentait encore quelque chose à la pensée de Macaque plutôt que de rester douloureusement vide comme il le faisait si souvent ces derniers temps. Si seulement il n’avait pas été aussi stupide… Si seulement il avait été moins impulsif. Il…
-Désolé Macaque.
Murmura Wukong en espérant que Macaque lui pardonne. Mais c’était impossible. Macaque lui en voulait certainement. Wukong ne lui en voudrait même pas. Pourquoi pardonnerait-il l’ami qui l’avait tué ? Pouvait-il même encore être considéré comme un ami ? Les amis ne se tuent pas n’est-ce pas ? Il était certainement le pire ami du monde. Nous vivrons heureux pour toujours mon cul ! Wukong n’avait pas été capable de tenir la seule promesse qu’il voulait vraiment réaliser avec lui. Le singe de pierre serra le poing sur l’herbe sous ses doigts. S’il avait rendu Macaque immortel et l’avait fait officiellement roi de la montagne à ses côtés, Macaque n’aurait peut-être pas été si en colère. Le singe de l’ombre était quelqu’un qui s’inquiétait vraiment pour la montagne. Nul doute que si Wukong l’avait fait roi, il se serrait préoccupé de leur peuple comme personne. Peut-être alors qu’il aurait été trop occupé pour penser à ce pathétique ami qu’était Wukong, et qu’ils auraient échappé à ce scénario lamentable. Il y a tant de suppositions ; et si peu de réponses. Wukong ferma les yeux dans un soupir. Macaque lui manquait tellement.
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Chapitre 1_ chapitre 2 _
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L’âge n’est pas une perte, c’est un gain. Un gain de sagesse, un gain de souvenirs, un gain de leçons de vie. On parle souvent de la jeunesse comme d’un trésor, mais pour moi, la vraie richesse, c’est ce que l’on apprend en grandissant. Chaque ride sur mon visage raconte une histoire, chaque pas plus lent que je fais est le reflet d’un chemin parcouru. Alors, à vous tous qui avez peur de vieillir, sachez ceci : il y a une beauté unique à chaque âge. La jeunesse est belle, mais la maturité a une profondeur que rien ne peut remplacer. Et si je devais vous donner un conseil, ce serait celui-ci : ne cherchez pas à éviter le passage des années, vivez-les avec fierté. Car chaque jour de plus est un chapitre de plus à votre histoire.
Jean Pierre Folko
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Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
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André Breton (1896, France - 1966, France) | Souvenir du paradis terrestre, 1953
Le mur de l’atelier d’André Breton, entré par dation au Musée en 2003, évoque la seconde pièce de l’appartement de la rue Fontaine à Paris, occupé par le poète, de 1922 à sa mort en 1966. Les 212 œuvres d’art et objets qui y sont regroupés rappellent l’esthétique défendue par Breton dans ses écrits et à travers sa collection. Il n’a cessé de l’enrichir, guidé par « un irrésistible besoin de possession », qu’il attribuait au désir de « s’approprier les pouvoirs des objets » ayant suscité en lui surprise et interrogation. Autour des chefs-d’œuvre des artistes qu’il a soutenus (Notre avenir est dans l’air, 1912, de Picasso, LHOOQ, 1919, de Picabia, Tête, 1927, de Miró, Boule suspendue, 1930-1931, de Giacometti, La Boîte-en-valise, 1935-1941, et Coin de chasteté, 1954/1963, de Duchamp), sont soigneusement accumulées des pièces en résonnance avec sa poétique de « l’œil à l’état sauvage, œil premier, libre de toute entrave » : des tableaux, des masques et des objets océaniens, précolombiens et nord-américains, ainsi que des objets trouvés, des objets populaires, des pierres, des racines, des boîtes de papillons.
Brigitte Leal
Source : Extrait du catalogue Collection art moderne - La collection du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne , sous la direction de Brigitte Leal, Paris, Centre Pompidou, 2007
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Une terrible épreuve
Pour @babybeeelle j’espère vraiment que ça va te plaire 😌💜
numéro 5 « personne ne va vous faire de mal ».
Agatha x Reader
Reader avait décidé de suivre Agatha sur la route des sorcières, une décision qui l'emplissait d'une étrange excitation mêlée d'appréhension. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait accepté, mais au fond d'elle, une flamme d'amour secret pour Agatha brûlait doucement, la poussant à avancer sur ce chemin mystérieux. La route, sinueuse et parsemée de pierres scintillantes, semblait vibrer d'une magie ancienne, chaque pas résonnant avec les murmures des sorcières passées.
Arrivée au centre d'un pentacle dessiné avec soin, Reader s'assit, le cœur battant. Les symboles gravés dans le sol brillaient faiblement, illuminés par une lueur spectrale qui émanait de l'air lui-même. Elle pouvait sentir l'énergie de l'épreuve l'entourer, une pression palpable qui l'invitait à plonger dans les profondeurs de son être. Les ardeurs de son passé se mêlaient à l'atmosphère, des souvenirs lointains affluant comme des vagues tumultueuses.
Alors qu'elle fermait les yeux, des images commencèrent à se former dans son esprit, des scènes de bonheur et de douleur. Elle revoyait les moments de sa jeunesse, les rires qui avaient tourné au drame, les promesses brisées. Chaque souvenir était une épine dans son cœur, mais elle savait qu'elle devait les affronter. Reader respirait profondément, cherchant la force dans l'amour qu'elle ressentait pour Agatha, un amour qui lui donnait le courage de se confronter à ses démons.
La voix d'Agatha résonnait dans son esprit, douce et rassurante, l'encourageant à avancer. Reader laissa alors son esprit la guider, et soudain, elle se retrouva au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait entre les arbres majestueux. Les troncs noirs et noueux semblaient murmurer des secrets oubliés, tandis que le parfum de la terre humide et des feuilles fraîches éveillait en elle un sentiment de nostalgie. Ce lieu, elle le connaissait bien, un souvenir qu'elle avait soigneusement enfoui dans les recoins sombres de son esprit.
Elle se revit le jour de sa congrégation, entourée de ses jeunes amies sorcières, toutes vêtues de robes blanches éclatantes, symboles de leur pureté et de leur engagement. Le rituel sacré avait commencé dans une ambiance festive, les chants résonnant harmonieusement sous le ciel d'azur. Les rires et les éclats de voix remplissaient l'air, créant une atmosphère de joie et d'espoir. Reader se sentait invincible, unie à ses amies par le lien sacré de la sorcellerie.
Mais cette joie fut de courte durée. Reader revit le moment où la chef de la congrégation, une figure autoritaire et redoutée, prit la parole. Son ton, d'abord solennel, devint soudainement glaçant. Reader sentit un frisson parcourir son échine alors qu'elle réalisait que quelque chose n'allait pas. L'atmosphère festive se transforma en un cauchemar éveillé lorsque la chef, dans un acte de trahison impensable, commença à tuer les sorcières une par une.
Les cris de ses amies résonnaient dans son esprit, des échos de terreur et de désespoir. Reader revit chaque visage, chaque regard rempli d'incompréhension et de douleur, alors que l'horreur se déroulait devant elle. Elle se tenait là, pétrifiée, incapable de réagir, observant ses amies tomber, une à une, comme des feuilles emportées par le vent d'automne. Le sang coulait, teintant la terre d'une couleur rouge sombre, et le chant joyeux se transforma en un cri de désespoir.
Reader sentit son cœur se serrer, une douleur aiguë l'envahissant alors qu'elle revivait cette scène tragique. Elle savait qu'elle devait faire face à ce souvenir, affronter la culpabilité qui l'avait rongée depuis ce jour fatidique. La forêt, bien que magnifique, était devenue le théâtre de sa plus grande peur, et elle savait qu'elle ne pourrait avancer tant qu'elle n'aurait pas confronté cette part sombre de son passé.
Reader se tenait là, confrontée à une scène de son passé, les souvenirs s'entrelaçant comme des fils d'une toile complexe. Les images floues de moments douloureux s'affichaient devant elle, chaque visage, chaque voix résonnant dans son esprit. Elle pouvait presque sentir la chaleur des larmes qui coulaient sur ses joues, mais c'était à ce moment précis qu'une compréhension profonde l'envahit : rien de tout cela n'était de sa faute. Cette révélation, comme un éclair de lumière dans l'obscurité, lui apporta une forme de libération.
Cependant, cette prise de conscience ne venait pas sans un coût. À mesure qu'elle revenait à elle-même, une vague d'angoisse l'envahit. Son corps commença à trembler, les muscles se contractant sous la pression de ses émotions. Sa respiration devint rapide et saccadée, chaque inhalation semblant plus difficile que la précédente. Elle se tenait là, perdue dans un tourbillon de sensations, la peur et la tristesse s'entremêlant dans son cœur. Reader ferma les yeux un instant, essayant de retrouver son calme, mais les souvenirs continuaient de l'assaillir, comme une tempête qui ne voulait pas se calmer.
Agatha s'approcha lentement, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle voyait la femme qui faisait battre secrètement son cœur dans un état de vulnérabilité. Les larmes brillaient dans les yeux de Reader, et Agatha ne pouvait plus résister. Elle la prit immédiatement dans ses bras, la serrant contre elle avec une tendresse désespérée.
"Personne ne va te faire de mal..." murmura-t-elle doucement, sa voix un mélange de douceur et de détermination.
Reader ferma les yeux, cherchant du réconfort dans l'étreinte chaleureuse d'Agatha, essayant de calmer le tumulte qui régnait en elle. Agatha, sentant la tension dans le corps de Reader, la serra encore plus fort, comme si elle pouvait absorber toute la douleur de son amante.
"Je ne laisserai personne te faire du mal, je te le promets," chuchota-t-elle à nouveau, sa voix un doux murmure qui flottait dans l'air. "Tout va bien, chérie."
Ces mots résonnaient comme une promesse sacrée, un serment fait dans l'intimité de leur étreinte, alors qu'Agatha savait que rien ne serait jamais assez fort pour briser le lien qui les unissait.
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Couleur lavande et soleil...
« la légende de la lavande »
Il y a bien longtemps lorsque les fées peuplaient les grottes de la terre , une jolie petite fée aux grands yeux mauves qui aimait le soleil et la mer vint se promener en Provence .
Elle avait un carnet de voyage magique sur lequel s'imprimait tous les paysages qu'elle visitait.
Après avoir parcouru les montagnes des Alpes, du Massif central , des Cévennes, elle arriva dans une région désertique très chaude à quelques lieues de la mer. Rien n'y poussait : cette terre rouge ressemblait à un enfer de solitude. Le soleil brulait sans cesse sur ces rochers et ces pierres.
La petite fée qui portait le jolie nom de Lavandine en fut toute chagrinée et attristée lorsque ces paysages arides et secs s'imprimèrent sur son carnet. Elle versa de grosses larmes recouvrant ainsi les images des dentelles de Monmirail des abords du mont Ventoux des steppes de Ventesole de Sault de Nyons . De grosses gouttelettes mauves de la couleur de ses yeux s'éparpillèrent tachant le carnet.
Lavandine essaya de les effacer mais ne fit que les étirer ajoutant le parfum suave de ses larmes aux taches et au carnet.
Alors elle tenta de les dissimuler en dessinant un ciel bleu pour faire oublier ces tâches violet tes ! Le paysage se couvrit de petites fleurs mauves.
On donna le nom de lavande à cette plante en souvenir de la fée « Lavandine ». On raconte que depuis ce jour-là, la lavande pousse allègrement sur les terres de Provence, s’entremêlant au ciel couleur bleu
.On dit aussi que la fée vient à chaque floraison de la lavande à la fin juin pour cueillir des bouquets qu'elle offre à ses soeurs restées dans les nues.
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La Cour des Voraces, c'est un peu comme un vieux parrain du quartier de la Croix-Rousse, un genre de patriarche en escaliers tellement escarpés qu'ils donneraient des courbatures à un chamois. Six étages d'escalier, c'est un truc à te faire regretter d'avoir oublié ton pain en bas. Ici, les Canuts, ces gars du tissu, tissaient pas que de la soie, ils tissaient aussi des révoltes. Des vrais durs, avec des poings pas seulement faits pour passer le fil dans le chas de l'aiguille. Ces bonshommes, ils avaient le cœur aussi serré que leur métier à tisser, et quand ça débordait, ça faisait des vagues jusqu'au sommet des pentes. Des révoltes ? Oh, quelques-unes, juste de quoi écrire un chapitre ou deux sur la lutte des classes dans les livres d'histoire. La Cour des Voraces, c'est aussi un joyau d'architecture, avec ses traboules mystérieuses où l'on pourrait presque s'attendre à croiser le fantôme d'un Canut en train de ruminer sur la condition ouvrière. Ces traboules, parlons-en. Pendant la guerre, ces galeries ont servi de cachettes aux résistants, un vrai jeu du chat et de la souris avec les nazis. Les gars de la Résistance connaissaient ces traboules comme leur poche, filant entre les mailles du filet comme des anguilles. La Cour des Voraces, c'était pas seulement le cœur battant des Canuts, c'était aussi le pouls de la Résistance, un lieu où chaque recoin murmurait des plans de sabotage et des messages codés. Aujourd'hui, c'est un lieu touristique où les gens flânent en se demandant combien de calories ils brûlent en gravissant cet escalier monumental. Mais tu sens encore dans l'air ce parfum de rébellion, comme un vieux cognac qui aurait gardé son caractère. La Cour des Voraces, c'est un coin de Lyon où l'histoire parle plus fort que les guides touristiques. Et crois-moi, entre les pierres et les souvenirs, y a de quoi écrire un livre avec du caractère et une bonne dose de réalité sociale.
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source : @cheminer-poesie-cressant
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Mes souvenirs fuyaient vers toi
Un écho envahissait la ville.
Ma mémoire est une reconstruction.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(jeudi 22 septembre 2005)
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La plage des sables blancs Oubliettes des châteaux de sable Meurtrières fenêtres de l'oubli Tout est toujours pareil Et cependant tout a changé Tu étais nue dans le soleil Tu étais nue tu te baignais Les galets roulent avec la mer Et toujours toujours j'entendrai Leur doux refrain de pierres heureuses Leur gai refrain de pierres mouillées Déchirants souvenirs de l'enfance Brûlée vive par le désir Merveilleux souvenir de l'enfance Éblouie par le plaisir.
Jacques Prévert (1963)
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