#signes du ciel
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clairvoyanceetheree · 5 months ago
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Thème Astral : Découvrez les Secrets de Votre Destin ✨
Plongez dans l’univers mystérieux de votre thème astral Le thème astral, cet outil fascinant de l’astrologie, peut révéler des aspects insoupçonnés de votre personnalité, de votre destin et de votre avenir. Imaginez pouvoir décrypter les mystères de votre existence grâce à l’alignement des astres au moment précis de votre naissance. C’est ce que vous offre l’analyse de votre thème astral. Si…
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praline1968 · 11 months ago
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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kilfeur · 5 months ago
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C'est triste de voir qu'Amelie malgré qu'il parle de l'arc en ciel, elle laisse ça de côté pour le bien de ses ambitions car pour elle ce n'est plus qu'un idéal. Alors que ça inquiète Iruma de la voir comme ça, surtout qu'Ocho a reçu l'ordre de lui faire signer le contrat. Iruma compte alors sur ses deux amis de faire diversion et de sauver Amelie. Et damn ! J'adore les cases montrant le sauvetage d'Amelie même si au final Iruma hésitait à tirer. Il lui a montrer l'arc en ciel de leur livre d'enfance en tirant sur la citerne. Et du coup Amelie comprend enfin qu'Iruma n'est pas quelqu'un qui est protégé et le reconnaît comme chef de Babel se libérant de ses délusions. Pendant qu'ils étaient distraits, Azz et Clara ont récupéré le drapeau et maintenant le groupe d'Amelie est allié à Babel. Mais Ocho s'en tire pas facilement vu que Robin l'a en ligne de mire mais se fait ramener en voiture par son organisation. J'étais proche de voir Kirio bon sang !
It's sad to see that Amelie, despite his talk of the rainbow, leaves it aside for the sake of her ambitions, because for her it's nothing more than an ideal. It worries Iruma to see her like this, especially as Ocho has been ordered to sign the contract. Iruma relies on his two friends to create a diversion and save Amelie. And damn! I love the panels showing Amelie's rescue, even if Iruma was reluctant to shoot in the end. He showed her the rainbow from their childhood book by shooting the tanker. And Amelie finally understands that Iruma is not someone who is protected and recognizes him as the leader of Babel, freeing herself from her delusions. While they were distracted, Azz and Clara recovered the flag and now Amelie's group is allied with Babel. But Ocho doesn't get off easy as Robin has him in his sights, but gets a lift back in the car from his organization. I was so close to seeing Kirio, damn it!
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orageusealizarine · 2 months ago
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ô bonheur surhumain qui m'étreint - mes larmes trempées de soleil ruisselant sur ta beauté nue - comme je t'aime ! à m'étreindre - au plus profond de la nuit et du sentiment - tu es l'aurore retrouvée, tu es la joie révélée - à l'appel de mes Mystères et de mes Vœux - mes mains dressées en un plus bref hommage - et que tes lèvres effleurent (imperceptibles tressaillements ! renoncement aux banalités douloureuses ! ma tête renversée en signe d'acquiescement !) - je vois le ciel où je t'embrasse plus purs ensemble même agenouillés dans la fange qui ne nous concerne plus - ô bonheur surhumain qui m'étreint - délice de tes lèvres, de tes caresses, de tes initiations - je reste émerveillée - immobile - fulgurée - au duvet de tes gestes, fleurs surnageant sur les eaux - mes flancs dévoilés de tendresse - lac de mes passions... où je te noie, ô volupté, au seuil de mes calices - inénarrable félicité ! - je tremble de la joie où tu me vois sombrer, où je veux t'attirer - comme un soleil inarrêtable - que tu cèdes avec moi - digues aux lys enlacés, tels nos deux corps printaniers, germant de tous côtés - bourgeons foisonnants et germes enivrants - toutes mes fleurs de supplice, mes plantes tentatrices - mes parfums corrupteurs - de l'humus tout humide - à nos chairs accolé - ô bonheur surhumain qui m'étreint - ô beauté surréelle et sans fin - de tes mains, de tes reins - ô bonheur souverain...
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astucesor · 1 month ago
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Dernier souffle d’automne
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Dans l'air tiède s'envolent les feuilles dorées, Comme des murmures d’un passé oublié, Chaque brise emporte un rêve fané, Dernier écho d’un amour envolé.
Les arbres se dénudent, gardiens silencieux, Témoins du départ, du silence des cieux, Tes pas se perdent sur les chemins glacés, Et mon cœur se fige, par l’absence blessé.
L’automne te suit, dans son manteau léger, Ses couleurs s’éteignent, dans un ciel blessé, Et je guette, en vain, un signe, un retour, Mais l’automne emporte les restes de l’amour.
Sous le voile du crépuscule roux, Je laisse partir, malgré moi, tout de nous, Dernier souffle d’automne, dernier soupir, Dans les bras du vent, je te laisse partir.
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ltalaynareor · 20 days ago
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L'enfant de Caïus
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Altheïana Swan marchait d'un pas assuré dans les couloirs sombres du Palazzo di Volturi, son cœur battant la chamade. Elle était la compagne humaine de Caïus Volturi. Malgré les différences évidentes entre eux, leur amour était sincère et profond.
Altheïana avait découvert sa grossesse il y a quelques semaines, une nouvelle qui avait bouleversé leur vie à jamais. Elle savait que porter l'enfant d'un vampire était risqué, mais elle était déterminée à donner naissance à cet enfant qu'elle et Caïus chérissaient déjà.
Caïus, de son côté, était terrifié à l'idée de perdre Altheïana à cause de sa grossesse. Il l'aimait plus que tout au monde et ne supportait pas l'idée de la perdre. Il était devenu surprotecteur, veillant sur elle à chaque instant, craignant le moindre signe de danger pour elle et leur enfant à naître.
Un soir, alors que la lune était haute dans le ciel, Altheïana se glissa dans les bras de Caïus, sentant le poids de leur destin reposant sur ses épaules.
"Caïus, mon amour, je sais que tu as peur pour moi et notre enfant. Mais je suis prête à affronter tous les obstacles pour vous deux. Ensemble, nous sommes plus forts que tout." murmura-t-elle doucement.
Les yeux rouges de Caïus brillèrent d'émotion, son cœur se serrant d'amour pour la femme courageuse qui se tenait devant lui. Il la serra contre lui, sentant son amour pour elle déborder de chaque fibre de son être.
"Je te promets que je serai là pour te soutenir en tout temps, Altheïana. Nous traverserons cette épreuve ensemble, main dans la main, jusqu'à ce que notre enfant voie le jour." déclara-t-il d'une voix pleine d'émotion.
Les jours passèrent, et la grossesse d'Altheïana se déroula sans encombre, grâce à la vigilance et à l'amour de Caïus. Enfin, le jour de la naissance arriva, et Altheïana mit au monde un magnifique enfant, le fruit de leur amour indéfectible.
Dans les appartements du seigneur, Caïus prit dans ses bras sa partenaire et leur nouveau-né, des larmes brillant dans ses yeux.
"Merci, Altheïana, pour tout ce que tu as sacrifié pour notre famille. Je t'aime plus que tout au monde, et je promets de veiller sur toi et notre enfant pour l'éternité." murmura-t-il, le cœur gonflé d'un amour incommensurable. Brusquement, il enfonça ses dents dans le cou de sa dame, la transformant en une vampire.
Alors que le soleil se levait sur Volterra, une nouvelle famille était née, unie par la force de l'amour et prête à affronter tous les défis qui se dresseraient sur leur chemin.
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aisakalegacy · 22 days ago
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Été 1928, Hylewood, Canada (1/3)
Chère cousine Noé,
Je t’écris en pleine ferveur olympique nationale, puisque nos athlètes nous ont ramené quatre médailles d’or en athlétisme. Te rends-tu compte qu’il y avait sept femmes dans la délégation olympique du Canada ? Et deux de ces médailles sont liées à cinq d’entre elles ! Cette année est une année spéciale pour les femmes. Je t’avais entretenu de ces femmes qui auraient rendu ma grand-mère jalouse, les Célèbres Cinq d’Alberta. Elles ont eu gain de cause. Grâce à elles, les femmes sont officiellement reconnues comme des personnes et donc ont le droit de siéger au Sénat. Du ciel, ma grand-mère doit être réjouie. Mon père m’a dit qu’elle rêvait de devenir sénatrice. Si elle était encore en vie, il ne fait aucun doute qu’elle aurait immédiatement commencé à faire campagne, quand bien même elle aurait eu quatre-vingt dix ans.
À ce propos, comment se porte Eugénie ? Elle avait l’air fatiguée lors de ta dernière lettre, et vu son âge… J’espère qu’elle continue de houspiller tout le monde, généralement, c’est un signe de santé.
Si mes calculs sont bons, tes filles doivent approcher les deux ans. Ont-elles commencé à parler ? La situation était si dramatique il y a deux ans, il me parait fou de me dire que tout s’est arrangé.
Lassé d’être harcelé par ma sœur, Agathon a commencé à travailler en jouant dans des cafés, des bars, ou en accompagnant des cours de danse ou des répétitions théâtrales à Kingston. C’est-à-dire que tous les matins, nous faisons le trajet en automobile ensemble ! C’est beaucoup moins ennuyeux qu’avant. Je le dépose en ville, et il vaque à ses occupations, et je le récupère le soir au port lorsqu’il ne joue pas, et nous repartons. Nous nous retrouvons parfois pour déjeuner, et il nous arrive de nous partager la location d’une chambre d’hôtel pour passer la nuit à Kingston, quand je vais le voir jouer et que nous n’avons pas le cœur à rentrer. Il ne se fait pas beaucoup d’argent, mais il en ramène quand même un peu, et cela suffit à calmer Marie.
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ernestinee · 24 days ago
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au téléphone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
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cheminer-poesie-cressant · 2 months ago
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.
C'est à la proue de cette ville
que je décidais de mon sort,
avançait vers l'avenir circulaire
sous les signes capricieux du ciel
en tout point différent,
et en tout point pareil.
.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(jeudi 22 septembre 2005)
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2024
Ce matin, j'ai vu passé des oies sauvages. Beau présage pour ce premier jour de 2024. Chaque matin du premier Janvier, je cherche un signe que les 12 mois à venir seront bon. L'année dernière, le ciel était rose. Je sais bien que j'y vois ce que j'ai envie d'y voir et que cela ne veut absolument rien dire, mais ça me rassure. Et puis, en centre ville, c'est exceptionnel de voir passé des oies sauvages, alors, qui sait ...
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billterebenthine · 8 months ago
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Elle fit un signe d'assentiment en regardant la lumière du ciel.
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unpoemedanslesyeux · 20 days ago
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Les étoiles
Ce soir il y a des étoiles petites et jolies
Moi, j’aime regarder les étoiles, c’est beau, ça brille
Parfois je me dis qu’elles me font un clin d’œil
Parfois même j’attends la nuit pour les admirer et elles arrivent en douce
Le ciel c’est noir presque trop noir mais ça va
Les étoiles c’est ma passion
Je dis tout le temps cette question et à tout le monde : C’est vrai qu’il a pas de fin le ciel ?
C’est fou ça…
L’infini ça fait quand même haut, très haut même mais les étoiles elles ont pas peur elles sont gentilles elles aiment l’infini
Puis les étoiles elles aiment le vide, nous on a peur du vide, on aime pas le vide, on trouve toujours des petits trucs pour remplir nos vides et quand c’est trop rempli, bah ça déborde, ça déborde beaucoup, beaucoup
Non, les étoiles ça n’a pas peur et c’est pour ça que je les aime parce que ça n’a pas peur de la nuit, et du noir
Moi, sous mon oreiller, je mets toujours une étoile comme m’a dit ma mère, par contre quand je me réveille le matin elle est plus là
C’est parce qu’elle dort quand je me réveille et quand je dors c’est elle qui se réveille, c’est drôle
Sinon j’ai déjà rêvé qu’une étoile tombait sur ma maison, c’est bon signe ou pas ? non, parce que ça faisait peur ça m’a pas plu
Les étoiles ça fait pas peur normalement, enfin je crois, non, je sais pas
C’était qu’un rêve c’était qu’un rêve, oui, c’était qu’un rêve et le jour s’était levé et le soleil m’avait fait un câlin
Ce soir il y a des étoiles petites et jolies et je m’endors
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chic-a-gigot · 2 years ago
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La Mode nationale, no. 42, 12 février 1887, Paris. No. 5. — Travestis. 1. Costume de Clown. 2. Costume de Diablotin. 3. Costume de Polichinelle. Bibliothèque nationale de France
(1) Costume de clown. Corsage-plastron à très longue pointe brodée, très échancré sur la poitrine, en satin rose très pâle. Ce plastron est appliqué sur un autre corsage de satin gris perle, garni d'appliques sur le devant. Une jupe de satin gris perle, pailletée, recouvre une première jupe rose, comme le plastron. Elle est relevée en gros pouf derrière, par une écharpe de satin drapée sur les hanches. Bas gris pailletées, souliers mordorés avec bouffettes roses.
Cheveux relevés en trois pointes, à racines droites.
(1) Clown costume. Bodice-plastron with very long embroidered point, very indented on the chest, in very pale pink satin. This plastron is applied to another pearl gray satin bodice, trimmed with appliques on the front. A pearl gray satin skirt, sequined, covers a pink underskirt, like the plastron. It is lifted up in a big pouf behind, by a satin scarf draped over the hips. Sequined gray stockings, bronze shoes with pink bows.
Hair raised in three points, with straight roots.
(2) Diablotin. Long corsage, lacé devant sur un plastron en soie cerise, orné tout autour d'un bouillonné cerise. Jupe à longues pointes, formant pouf, retombant sur une première jupe cerise. Le corsage et la seconde jupe, en satin noir, sont brodés de signes cabalistiques en or. Flot de rubans sur le côté; nœuds papillons sur les épaules. Bas et souliers noirs, nœuds cerise sur les souliers.
Deux cornes dorées sont placées, sur le devant de la tête, dans les cheveux frisés en neige.
(2) Imp. Long bodice, laced in front on a cherry silk plastron, adorned all around with a cherry bubbles. Skirt with long points, forming a pouf, falling on a cherry underskirt. The bodice and the overskirt, in black satin, are embroidered with cabalistic signs in gold. Gathered ribbons on the side; bow ties on the shoulders. Black stockings and shoes, cherry bows on the shoes.
Two golden horns are placed, on the front of the head, in the hair.
(3) Costume de polichinelle. Long corsage-plastron et seconde jupe en velours, mi-partie rose et mi-partie bleu de ciel, ornés de grelots au-dessus d'une applique de dentelle d'or. La bosse du corsage est en velours bleu et rose, garnie de grelots et de dentelle or. Les bouffants qui forment les manches, et celui qui forme panier autour de la taille, sont en foulard blanc, coupé par des bandes de velours bleu. Même jupe de dessus en foulard blanc. Bas roses, sabots bleus marine.
Chapeau de polichinelle en velours bleu et rose, brodé d'or. Large fraise très empesée autour du cou.
(3) Polichinelle costume. Long bodice-plastron and second skirt in velvet, half pink and half sky blue, adorned with bells above a gold lace applique. The bodice is in blue and pink velvet, trimmed with bells and gold lace. The bouffants which form the sleeves, and the one which forms a basket around the waist, are in white foulard, cut by strips of blue velvet. Same overskirt in white foulard. Pink stockings, navy clogs.
Polichinelle hat in blue and pink velvet, embroidered with gold. Large very starched ruff around the neck.
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orageusealizarine · 13 days ago
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là, étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là. Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'éclaire et me nuit.
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les-portes-du-sud · 2 months ago
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Même si ce n'est qu'un peu, mais l'été est de retour...
Ne laissez pas le temps vous tromper et l'automne est là...
Mais le ciel est bleu et les rayons du soleil nous dardent encore
On dit que le monde est vivant et que nous y vivons.
La vie est faite de moments
À partir de ces petits signes d’attention, de ce que nous portons en nous, le monde vous parle aussi.
Bonne nuit, ville bien-aimée !!!❤️
Les-portes-du-sud
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lossinvivo · 5 months ago
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Samedi 1er juin 2024,
Je me souviens de toi. Tu me paraissais immense. Homme de soixante-et-onze ans aux signes d'âge apparents. Des rides et des cheveux blancs. Une longue barbe. Tu cristallisais l'hiver en un faciès, alliant le ciel et la neige. Pourtant, aucune preuve de faiblesse ne transparaissait. N'importe quel mot sortant de ta bouche semblait décuplé par ton savoir. Tu m'as parlé de communisme, de tes œuvres architecturales. De ton fils. Je buvais tes paroles et ne refusais jamais ton vin, et encore moins tes cigarettes. Tu remplissais toujours mon verre, je finissais tes bouteilles. Mon cœur débordait de ta générosité, affûté par ta tendresse. Encore aujourd'hui, j'arrive à te trouver un air affable.
Que m'as-tu fait ? Ce soir-là, qu'est-ce que Mehdi a mis dans mon verre ?
De ses yeux aussi, je me souviens. De grands yeux. Globuleux, certainement. Comme s'ils avaient beaucoup à regarder et à transmettre, incapables de tenir en place. Son expression me hante. Personne ne m'a observé avec tant de lubricité. Il y avait quelque chose de véritablement pervers dans sa façon de me sourire et m'observer.
Un an après, j'ai lu Lolita. Peut-être que j'essayais de comprendre ce que tu pouvais voir chez moi. Je me suis projetée sur Dolorès. J'ai cru que je t'avais provoqué, que c'était ma faute. On me l'a souvent dit.
Lundi 3 juin 2024,
L’idée que les monstres possèdent un même et répugnant visage est fausse. Au contraire, ils ont l’air sympathiques. Ils le sont aussi. Le diable ne séduit pas en étalant ses mauvais plans. Il sait prendre son temps et jouer de sa musique. C’est son charme, l’envahisseur. Le début de tout anéantissement, la raison de finir par tout craindre.
Le mal est habile et rôde sur les traits des anges. Ce n’est pas pour rien qu’il est si divinement représenté. Regarde le tableau de Cabanel. On aurait presque envie de se jeter dans ses bras, de le sentir tout entier. Lorsque je suis allée le voir l’an dernier, j’ai de suite compris que Lucifer en personne pourrait me tenter, surtout avec une telle gueule.
C’était pareil pour toi. Les vieillards sont souvent pardonnés pour leur lubricité. Je suppose que leur apparence fait serment de faiblesse, mais toi, tu ne m’as jamais paru inoffensif. À quinze ans, je me doutais de tes penchants, et quand je regarde des types comme Matzneff, l’horreur me frappe du coup de l’évidence. Toi, tu semblais sortir d’une carte postale. Une caricature du père Noël, mais avec un bagage plus lourd, plus intéressant. J’aimais les gens intelligents, me sentir petite et bête. Je pense que c’est en partie pour ça que tu m’attendrissais et que je niais tant les faits se présentant à moi.
Je pense souvent à toi. Peut-être tous les jours. Et à ton fils et à ses amis et à mes anciens amis et aux hommes qui n’ont jamais cessé de me malmener. Quand j’ai peur de marcher dehors, je me rappelle que le vrai danger réside au plus près. Qu’il suffit d’un instant de confiance pour tout chambouler.
J’ai voulu croire que tu voulais mon bien.
Un baiser, c’est doux. Les lèvres sont comme deux petits coussins, deux parcelles de paradis. Nuageuses et veloutées.
Et puis, derrière, il y a trente-deux dents. Des bouts d’émail fixes et toujours prêts à déchirer, voire liquider. Une stature qui réduit aisément en bouillie.
Quand tu me faisais la bise, une certaine chaleur émanait de toi. La chaleur de ton corps, celle qu’il contient et qui menaçait de prendre l’intégralité du mien. Ça a quelque chose de dégoûtant, au fond. Déborder ainsi sur quelqu’un. Sur moi. Sur la petite amie de ton fils. Son ex, ensuite.
J’ai lu Ma Sombre Vanessa. Immédiatement, j’ai trouvé Jacob Strane affreux et prévisible. Nabokov a de nombreuses fois été cité au cours de cette lecture, dont son œuvre la plus connue, Lolita, et quelques vers de Feu pâle.
« Ma sombre Vanesse, aux zébrures carminées, Mon papillon adorable et béni… »
Je ne sais plus trop. Disons que Nabokov m’a toujours rampé sous la peau. C’est la première plume qui m’a transcendé de par sa virtuosité. Lolita m’a hanté, aussi. Il… Elle, m’a fait questionner la légitimité de ma position, et à quel point j’ai pris part à tout ça. Est-ce que je me rendais compte que c’était une sorte de jeu ? Oui. J’avais quinze ans et j’ai toujours été précoce, alors je m’en doutais bien. Je pense que j’aimais les hommes plus âgés, le fait de plaire. J’avais besoin d’une échappatoire, de trouver une utilité à ce qui faisait de moi une adolescente triste et franchement pitoyable. Il m’est arrivé de préférer te parler plutôt que traîner avec ton fils. Trouves-tu que je t’ai provoqué ? Et est-ce que ça fait de moi le problème ?
Mais jamais, jamais je n’aurais cru qu’il m’arriverait ça. Que je serais forcée dans cette spirale qui, je suppose, m’a retourné le cerveau. D’abord, il y a eu l’autre, deux semaines plus tôt. Qui avait mis ses doigts en moi, s’est tordu entre mes jambes. Qui a dit qu’il m’aimait, qu’il n’avait jamais vu de fille aussi parfaite que moi. J’avoue avoir été flattée. Moi, je me détestais.
Je n’avais envie de rien, pourtant. Ce que l’on pense être une réaction positive n’est qu’une façon de faire glisser la chose plus facilement. La mouille devient alors comme de la rouille. Horripilant, n’est-ce pas ? Pour surmonter la peur, je sais que le corps se raidit. Au fil des années, j’ai aussi vu jusqu’où ma mémoire allait pour me détourner de la honte et de la répression.
Ton locataire… Ah, je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’il m’a fait. Je ne sais pas ce que tu m’as fait non plus. Ni toi, ni les autres. Vous êtes une image floue dans mon esprit, un nombre d’heures que je me passe encore et encore. Un épisode en replay ? On n’oublie rien de rien, finalement. Cette peur gravée dans mon ventre, cette éclipse qui sous mes paupières s’imprime à peine on me touche. Je suis encombrée.
La mécanique du viol, je dois dire qu’elle est vraiment spéciale. Elle m’étonne sans cesse.
Les années se sont écoulées et qu’est-ce que j’en ai perdu, du temps. Tellement à essayer de me réparer, d’enfouir ce souvenir et même à l’accabler d’autres impasses. On a dû me voir comme une fille facile mais moi, j’ai surtout cherché à recréer quelque chose. Rejouer la scène et me convaincre que ce n’était pas si désagréable. J’ai cru à ma mascarade, cru à l’idée que moi, ce que j’aimais, c’était les monstres.
Je n’ai jamais su dire non, ni penser à moi. Longtemps, j’ai véritablement cru que mon corps était un objet qu’il fallait user. Un torchon fait pour essuyer des marées de foutre et d’illusions. Tu sais, il m’arrive encore de penser que mon destin est scellé sur les trottoirs et que je pourrais tout foutre en l’air n’importe quand, mais je crois que ça a changé.
Aujourd’hui, j’ai vingt-et-un ans. Ça va faire six ans depuis, et j’ai envie de te le dire : non, tu ne m'as pas eue. Ni toi, ni les autres. Ni la mort, ni les envies de suicide, ni les tentatives, ni l’échec. La gamine que j’étais, je l’ai prise par la main pour la foutre à la porte. Je n’ai plus de temps à accorder à ce que vous m’avez fait, et mon cœur n’essaie plus de vous pardonner.
J’avance enfin. Mon existence ne s’est pas arrêtée et c’est franchement marrant de le constater. Quand je me réveille et que je me sens à peu près bien, je me surprends. Ça me révolte presque. Combat acharné qui a pris plus de la moitié de mes jours. Je ne suis peut-être pas vouée au déclin, ni condamnée à vendre mon corps. Je vais enfin bouger. Je vais partir loin de vous. Ne plus passer devant ta maison, ne plus redouter de vous croiser. Je vais vivre près de la mer et entendre les vagues me mener partout où vous ne pourrez jamais m’atteindre.
J’ai plusieurs fois écrit à votre propos. Désormais, ma plume dépeindra des miracles. Et quand je serai au sommet, j’humilierai votre condition un par un. Tout ce que vous avez tu, je le révélerai. Je vais éclore des milliers de fois. Ce sera ma vengeance.
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