#seule la terre
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Stage terminé, c'était tellement une belle expérience avec une équipe adorable que je suis déçue que ça se termine déjà :( !
MAIS plusieurs personnes (dont le directeur) m'ont dit de revenir, et que ça leur ferait plaisir de me revoir (mdr ils m'ont même invité au pot de départ des vacances fin juillet).
ET je vais aller boire un verre bientôt avec une collègue parce qu'on a bien accroché ! Et deux autres ont proposé qu'on reste en lien donc à voir si ça se fait ou si c'était de la politesse !
C'était que des bons souvenirs et une super expérience où j'ai pu vivre des trucs incroyables qui auraient pas forcément été possible autre part, franchement je suis triste de partir.
#svp reprenez moi#je veux revenir#JE VEUX FAIER DES HEURES SUPP SVP ?????#tout le monde était trop cool :sob:#en plus le directeur qui m'a dit plusieurs fois “on se reverra peut-être au [lieu de stage] ?”#et il a proposé que mes déplacements soient remboursés si je reviens#donc BON#JE SAIS QUE JE DOIS AVOIR DAUTRES EXPERIENCES DANS DAUTRES LIEUX#MAIS#DAMN#LE PARADIS DU BOULOT SUR TERRE SNIF#on m'a fait passer une formation#on m'a laissé tenir des entretiens SEULE#mais bon now les vacances#et la soutenance#et après on récupère bb Gaïa snif#jeracontemavie
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(Mam' dit c'est ma terre ici, c'est la terre de ma mère, c'est mes racines et je ne peux pas lutter contre ça.)
#cette terre là ne sera jamais la mienne mais je ne sais pas si je supporterais d'être celle qui la déracine une fois de plus#et pourtant j'aimerais qu'elle revienne#je déteste la savoir seule ici#parenthèse
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読書
引き続き世界教養全集を読む。第24巻の最後「たった一人の海 Seul à travers l’Atlantique, A la poursuite du soleil, Sur la route du retour」(アラン・ジェルボー Alain Gerbault 著・近藤等訳)を帰宅後の自宅で読み終わった。 一書にまとめられているが、これは「たった一人の大西洋 Seul à travers l’Atlantique」「太陽を求めて A la poursuite du soleil」「故国への道 Sur la route du retour」という3書の合本(がっぽん)だ。この巻の半分ほどを占める大著である。 子供の頃からこの巻は私の愛読書だったのだが、読んでいたのは「アムンゼン探険誌」 Continue reading Untitled
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#A la poursuite du soleil#A.ジェルボー#Alain Gerbault#Albert Schweitzer#André Gide#Antoine Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry#A・シュヴァイツァー#Jean Jacques rousseau#J・J・ルソー#Les Rêveries du promeneur solitaire#My Life As an Explorer#R.アムンゼン#Roald Amundsen#Seul à travers l&039;Atlantique#Si le grain ne meurt#Sur la route du retour#Terre Des Hommes#Zwischen Wasser und Urwald#Zwischen Wasser und Urwald: Erlebnisse und Beobachtungen eines Arztes im Urwalde – Äquatorialafrikas#たった一人の海#アムンゼン探検誌#アンドレ・ジイド#サン・テグジュペリ#一粒の麦もし死なずば#世界教養全集#人間の土地#加納一郎#和村光#堀口大學#太田不二
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Edmond Dantès and Mercédès Herrera in "Le Comte de Monte-Christo)
Je t'avais promis de t'aimer jusqu'à ma mort, et encore longtemps après. Et je t'aimerai toujours. Mais il n'est plus en mon pouvoir de t'apporter le bonheur. Je ne peux plus t'offrir que la consolation. Bonheur à nos enfants, qui vont nous survivre et goûter à la douceur de l'amour. En t'écrivant, je vis mes derniers moments avec toi. Tout après, ne sera que souvenir. Je les emporterai avec moi sur la mer, le seul endroit sur terre où tout est horizon et où il n'y a pas de trace laissées par les hommes. Vis, et sois heureuse. N'oublie jamais, jusqu'au jour où la providence nous réunira peut-être à nouveau que toute la sagesse humaine, et dans ses deux mots : attendre et espérer.
#le comte de monte cristo#the count of monte cristo#edmond dantes#mercedes herrera#pierre niney#anaïs demoustier#sorry but i love this so movie so much#upthebaguette#edmond x mercedes
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Un serment à l'eau, deux paroles en l'air, trois petits regrets oubliés par terre, un peu de ta bouche, beaucoup de ta gueule, quatre poils dans la douche, tu vivrais mieux seul.
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un couple se lève et j’entends un léger bruit de chute un bruit métallique et bref sur ma droite probablement un objet ou une chaise je ne sais pas je ne sais pas car je ne me retourne pas je construis une réponse dans mon imagination je suis devenue extrêmement performante en imagination en inférences en prédictions en intuitions des années et des années d’entraînement pour ne pas réagir ne surtout pas esquisser un geste au moindre choc à la moindre surprise je me fige les paroles acerbes dans mon oreille – figée les mains autour de mon cou – figée la destruction du monde – figée des années et des années d’entraînement à ne rien exprimer à rester de marbre j’ai lu quelque part que le premier oui détermine l’emprise que le premier non est capital pourtant depuis l’enfance j’apprends à dire oui sans condition j’ai la sensation que le non est un parcours initiatique un long chemin à explorer seule une leçon à n’apprendre de personne seulement délimitée par la quantité d’événements intolérables que tu es prête à supporter je veux être douce je veux aimer les autres mais sur la terre le sang coule les plus précieux disparaissent il n’y a dans les nuages rien de tangible il faut aiguiser tes mots comme des couteaux ton corps une citadelle ta pensée un incendie
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Seuls les diplômés ceux qui n'ont jamais mis leurs mains dans la terre comprennent cette photo
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Quelques phrases lues en 2024
En 2019, six Martine ont été engendrées par six familles courageusement rebelles aux appellations du jour.
Je ne vais faire que ça désormais : chercher partout des yeux qui me cherchaient partout.
À l'époque où je ne la connaissais pas, j'attendais déjà Anne Lebedele.
J'aime les lieux délabrés, j'en habite un.
[...] on disait chochotte quand j'étais petite pour les enfants délicats qui faisaient toujours des manières ou des histoires, et ça n'était pas un compliment, surtout pour les garçons.
Elle en était convaincue : si les hommes étaient capables d'échanger avec la même profondeur que les arbres, ils cesseraient de s'entre-tuer.
Chaque appartement qui se respecte, selon vous, devrait avoir, en vis-à-vis, un hôtel confortable.
Chaque soir nous jouions à ne pas mourir.
Les langues de vieux ne parlent que le patois et n'ont embrassé qu'une seule bouche.
Il y a cent mille espèces d'amour, inventées séparément, toujours plus ingénieuses, et chacune d'entre elles engendre des choses nouvelles.
À ceux qui l'écoutaient, il parlait des nuages et des larmes, de ces mondes lointains, de toutes ces choses de la terre et du ciel que ne savent que les enfants et les fous.
Il neigeait un tout petit peu, dehors, tellement peu que si je l'avais voulu, simplement pour m'amuser, je crois que j'aurais pu éviter les rares flocons qui tombaient et, le nez en l'air, en zigzaguant sur le trottoir, parvenir ainsi jusqu'au bout de la rue, sans qu'aucun m'ait atteint.
À quand remontait la dernière fois que les habitants de cette impasse avaient vu passer sous leurs fenêtres une Renault immatriculée dans les Bouches-du-Rhône ?
Face à face, chacune clouée sur son mur, une publicité pour Pepsi et l'autre pour Coca qui se regardent en chiens de faïence.
Il y a toutes sortes de gens dans le monde.
Les mensonges, c'est comme les os de poulet. Ils se coincent dans mon gosier et je les recrache.
J'aimais les insultes qui fusaient au bord des terrains de foot.
Parfois chez moi, quand il n'y a que les murs, je touche les murs qui me touchent en retour, est-ce que c'est faire le mur ?
Je refusais de cauchemarder de nouveau à cause d'une image.
Mélanie Martin était célèbre dans le pays pour avoir vu, en chair et en os, à l'occasion d'un baptême, Léon Zitrone.
Combien de fois dans ma vie ai-je prononcé la phrase suivante : « J'étais au collège à Sancerre » ? Et pour cause : j'étais au collège à Sancerre.
Il éclusa son whisky et, au lieu d'en commander un autre, opta pour une vodka comme s'il était facile de passer des États-Unis à la Russie.
Un clair de lune est-il rien d'autre, au fond, que quelque chose de quotidien, offert au mendiant comme au prince ?
C'est bien compliqué, la vie d'écrivain mais moins que la vie de non-écrivain.
Une année de lecture passée notamment en compagnie de Jean-Pierre Martin, Cédric Sapin-Dufour, Christian Oster, Olivier Rolin, Marie-Hélène Lafon, Marie Charel, Eric Faye, Camille Laurens, Marion Fayolle, Richard Powers, Étienne Kern, Joël Egloff, Sylvain Prudhomme, Régis Jauffret, Philippe Jaenada, Paul Auster, Antoine Wauters, Julie Marx, Yannick Haenel, Paul Fournel, Tanguy Viel, Enrique Vila-Matas, Robert Walser et Mathieu Lindon.
Bonne fêtes de fin d'année à toutes et à tous 🎅
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Pourquoi faut-il continuer à souhaiter "Joyeux Noël" ?
L’anniversaire de la naissance de Jésus est comme un caillou sous le pied des idéologues du progressisme transhumaniste, elle entrave leur ténébreuse marche vers l’abîme.
Avant d'être récupérée religieusement, commercialement et idéologiquement, l’ancienne fête Saturnale devenue célébration de la naissance du Christ (Noël = Nouvelle Alliance) nous rappelle qu’avec le christianisme, la vieille idée d'un Dieu situé par delà le monde — quelque figure que prenne ce Dieu — un au-delà inaccessible qui serait responsable de ce qui nous arrive, a fait son temps...
L'engagement total d'un Dieu dans l'histoire humaine culmine avec cette image du Christ comme un dieu souffrant et mourant dans le supplice, car ce qui meurt sur la croix, comme le note Hegel, ce n'est pas un "représentant" de Dieu, mais «le Dieu de l'au-delà lui-même».
Le christianisme étant la religion de l'athéisme par excellence (Chesterton: «la seule religion où le Dieu lui-même devient athée»), il ne saurait plus y avoir un Dieu imaginaire qui depuis l’au-delà tire les ficelles de notre destinée (Eli Eli lama sabachtani)…
En transformant la formule de Nietzsche "Dieu est mort" par "Dieu est inconscient" Lacan nous fait entendre où se situe désormais la responsabilité qui nous incombe après le retrait du Dieu: nulle part ailleurs que dans l'immanence radicale de notre Dire.
L’une des manières d’entendre la formule lacanienne selon laquelle le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu'un...
Aujourd’hui plus que jamais nous incombe-t-il de reconnaître le noyau émancipateur du christianisme historique, en tant qu’il y a un rapport des plus étroits entre le Saint-Esprit et la pulsion de mort freudienne.
Si au célèbre "Gott ist tot" Lacan substitue sa formulation "Dieu est inconscient", ce n'est pas pour modérer l'impact de la déclaration nietzschéenne, au contraire, c'est de la logique, la mort du Christ est strictement indissociable de son autre côté: l'immortalisation du corps ("Christ n'est pas mort") qui signale que "quelque chose" dans le corps humain est plus que le corps humain, un objet partiel, non-mort, obscène... l’objet petit (a).
Quand Paul (Romains VII, 4) dit que les chrétiens meurent à la loi (juive) à travers le corps du Christ, il convient de s'arrêter sur ce paradoxe: la loi a été surmontée par ce qui est étroitement lié au péché parmi les hommes, car le site de cette lutte - et son surmontement - n'est pas la loi mais bien ...le corps.
J’appelle christianisme le corps doctrinal qui considère l’avènement christique dans sa stricte perspective théologale.
Si la résurrection est le point saillant du christianisme, cela ne veut pas dire que le Christ se soit réincarné dans un autre corps, c'est là précisément qu'intervient le troisième terme, le terme médian, de la trinité chrétienne: la notion de Saint-Esprit.
Le Saint-Esprit, c'est un nom pour la vie au-delà de la vie, par delà le cycle biologique de la génération et de la corruption, le Saint-Esprit n'est rien d'autre que la permanence de l'ordre symbolique lui-même, là où nous sommes toujours, en tant que "parlêtres", déjà transubstantialisés en sujet.
Or le Saint-Esprit désigne aussi la "communauté des croyants", en d'autres termes le (nouveau) lien social (Noël) naissant de l'Autre (l'ordre symbolique) après l'avènement christique.
C'est ainsi qu'il faudrait entendre la réponse du Christ lorsqu'on lui demande où il sera après sa mort: "Chaque fois qu'il y aura de l'amour entre deux d'entre vous, je serai là."
"Là" ce n'est nulle part ailleurs que dans ...la parole d'amour.
Voilà pourquoi Lacan appelait le christianisme "la vraie religion", la religion de la révélation, la seule religion jamais apparue sur Terre où Dieu lui-même devient athée, la révélation du christianisme, c’est qu’il n’y a rien à révéler, tout est toujours "déjà là", l’Autre est un schème mort, impuissant, il n’y a rien à attendre de "l’au-delà", notre croyance déniée dans le Père Noël n’y peut mais, la révélation vraie et réelle c’est qu’il n’y a que nous (et seulement nous) qui puissions tirer au clair l’inconscient dont nous sommes sujet, autrement dit la logique du signifiant qui détermine notre destinée…
Bon Natale !
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"Le vieil homme et son chien
Seul et fatigué par les années, j'avais cru qu'un chien remplirait le vide de mon existence.
Je l'ai trouvé un soir d'automne, errant sur le chemin. Sale, maigre, l'espoir absent dans ses yeux ternis. Je me suis accroupi et, doucement, j'ai tendu la main. Il n'a pas reculé. Au contraire, il s'est approché, son museau froid contre ma paume, comme s'il m'attendait depuis toujours. Depuis ce jour, il est devenu mon chien, et moi, son maître.
Je lui parle comme à un vieil ami, et lui me répond par des battements de queue et des léchouilles au creux des mains. Chaque soir, il me regarde avec une patience infinie.
— "Fido, demain il n'y aura rien à manger. La retraite est finie, il va falloir attendre."
Il penche la tête, comme s'il comprenait. Et il attend avec moi.
Le jour tant espéré finit par arriver. Dans la longue file des retraités, je serre entre mes mains mon vieux livret aux coins usés par le temps. Chacun ici porte son âge sur les épaules. Fido, lui, ne se soucie pas de l'attente. Sa queue bat joyeusement contre mes jambes. Il sait qu'aujourd'hui, nous mangerons plus, peut-être même un peu mieux.
L'hiver s'installe, implacable. Ma maison est glaciale. Pas de feu pour réchauffer les murs, mais qu'importe. Fido est là, blotti contre moi. Sa chaleur vaut tous les feux de cheminée du monde.
Quand le printemps éclot enfin, il nous trouve dehors, assis côte à côte sous le premier soleil. Je ferme les yeux, et dans le silence embaumé de terre humide, une prière me traverse le cœur :
— "Merci, Seigneur, d'avoir créé le chien."
- Charles Bernal.
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"Ma belle âme.
C’est parce qu’il y a cette distance entre nous que j’ose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes élans, comme si un invisible gardien des secrets m’empêchait d’en parler quand tu es auprès de moi.
Je t’aime du bout du monde comme un navigateur désespéré qui saurait qu’il n’y a plus de côte, plus de terre où accoster, mais qui cherche encore et encore l’étoile du Nord…
Tu es cette étoile, une étoile tombée du ciel pour me séduire et rendre brillant tout ce qui se voile d’ombre et d’opacité. Je t’aime de cette manière désordonnée car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redéfinir pour soi et pour l’autre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force d’aimer et la force de mal aimer, comme si elles étaient des lois écrites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu n’aimant pas les relations publiques, pour que nous n’ayons pas à répandre la nouvelle de cela…
J’ai tellement espéré une femme qui ait la force d’une femme et la naïveté d’une jeune fille, que… c’est cela que je voulais te dire : cette espérance à trouver un visage et une âme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cœur bat pour vous."
Yves Simon
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#nother one#doodle#fursona#ms paint#image described#was reading the lyrics along to mon credo and it was making me emotional.#aussi vrai qu'avec un peu d'amour on fait tourner la terre ...... aussi vrai que tes yeux sont ma seule lumiere....
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Journal d'écriture : Janvier 2025
Voici un nouveau format de billet où je parle de mes projets d'écriture, de ce que j'ai appris et de ce qui me passe par la tête. Je pense en faire un (ou plus) par mois.
Le retour de la Muse
J'ai beaucoup de plaisir à constater mes progrès ! Je me sens mieux et surtout de nouveau moi-même (enfin, tout n'est pas encore réglé, mais voyons le positif). J'ai donc pu me remettre à écrire (et dessiner) régulièrement.
Mon roman
Le gros projet qui m'occupe en ce moment est mon roman : Zoé, dame du palais. Je souhaitais me remettre à écrire quotidiennement et j'ai réussi (à part une ou deux fois). J'ai trouvé le moment qui me convient le mieux (pendant ma pause de midi).
Pour l'instant, j'en suis à 500 mots tous les jours. J'ai constaté que fixer de petits objectifs et les augmenter graduellement me convenait mieux. Après tout, on abat pas une montagne en un jour.
Je m'étais lancé comme défi d'arriver à 10k écrits ce mois-ci. Et j'ai dépassé ce chiffre puisque j'arrive à 16k.
Je m'amuse en écrivant et c'est le principal. J'en suis à un stade où je n'ai plus vraiment de doute. Je sais que je suis à la seule à pouvoir écrire mon histoire et que quoi qu'il arrive, elle sera unique.
Pour l'instant, le premier arc est terminé. Tous les personnages importants sont apparus.
J'ai aussi découvert la chanson Trois gouttes de sang de Cécile Corbel qui me fait beaucoup penser au deuil de Zoé :
Sur le chemin Dans le soleil d'hiver Je marchais sans repos Quand j'ai vu soudain Baissant les yeux à terre Le sang d'un oiseau
Rouge sur la neige Comme notre amour Le jour s'achève
Une dernière fois Dans le vent mauvais Loin de toi je m'en vais au hasard On m'a dit c'est la vie qui veut ça Oh si une dernière fois Oh si on pouvait oublier les regrets Mais il est tard La nuit les recouvre déjà
La suite ?
Je n'ai pas d'objectif pour février. J'écrirai ce que je peux et on verra bien. C'est un hobby, je n'ai pas de deadline.
Il faut aussi que je prenne le temps d'affiner certains points de l'intrigue (ah l'intrigue, mon point faible. Mais bon, on ne peut pas écrire que de personnages et d'ambiances). Et aussi que je planifie certaines scènes (il va falloir que je regarde des vidéos et que je lise un peu plus pour les scènes de combat. Je crois que ce site va bien m'aider).
Et puis lire aussi pour m'inspirer. Même si je ne prétends pas à la fidélité historique (ce à quoi on ne devrait pas prétendre de toute manière quand on écrit de la fantasy dans un monde secondaire).
Et bien sûr poster des extraits sur Tumblr !
#écriture#zoé dame du palais#writing diairies#c'était prévu pour hier mais j'ai été distraite par la liesse générale xD
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読書
引き続き60年前の古書、平凡社の世界教養全集を読んでいる。 最近、漫画などを読んでいるので、こちらの方は休み休みなのだが、しかし、少しずつ読み進めている。 第24巻の第2作目、「人間の土地 Terre des hommes(サン・テクジュペリ Antoine de Saint-Exupéry 著・堀口大学訳)」を読み終わった。読み終わったのは東京駅八重洲中央口にあるバー「The Old…
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#A la poursuite du soleil#A.ジェルボー#Alain Gerbault#Antoine Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry#My Life As an Explorer#R.アムンゼン#Roald Amundsen#Seul à travers l&039;Atlantique#Sur la route du retour#Terre Des Hommes#たった一人の海#アムンゼン探検誌#サン・テグジュペリ#世界教養全集#人間の土地#加納一郎#堀口大學#平凡社#平凡社世界教養全集#言葉#読書#近藤等
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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là, on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là, elle est là. Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là.
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.
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saga: Soumission & Domination 380
Dernier trimestre à Berkeley -Marines/1
Quand Robert (un pote d'art martial) m'a dit que Donovan son Navy-Seal de frère souhaitait me revoir une dernière fois avant mon départ, j'ai bien évidemment accepté l'invitation !
Quand j'arrive avec Robert à la propriété de leurs parents, je suis surpris de voir que Don n'est pas seul. Une masse de même nature est à ses côtés. À peine descendu de voiture, il me serre dans ses bras à m'écraser avant de me présenter son pote.
J'avais bien deviné c'est un de ses collègues, de ceux que mes deux " espions " avaient côtoyé.
Robert me laisse avec eux, ayant un plan avec ses potes.
Désolé on ne se saute pas dessus direct !!
Je fais connaissance avec l'autre invité du WE. Chad sait déjà que je suis l'employeur officiel des deux petits Français qu'ils avaient eu en formation l'an passé et juste que je sais me battre intelligemment d'après Don.
On papote situation internationale, il me demande ce que deviennent ses deux connaissances. Sans dévoiler les détails que je n'ai d'ailleurs pas, je lui explique l'exfiltration qu'ils venaient d'opérer sur le terrain Syrien. Quand il apprend le sacrifice qu'ils avaient dû accepter (viols, lavage de cerveau...), il me dit que c'était évidemment pour cet aspect-là que leurs supérieurs les avaient choisis. Ils étaient sûrs que mes deux escorts avaient la solidité psychologique pour passer ces épreuves. Il ajoute que c'est avec ce genre de capacité qu'ils leur étaient supérieurs à eux simples brutes super entrainées.
La conversation dérive sur le fait que je sache me battre et plus que bien selon Don. J'explique comment j'en étais venu à me former aux différents sports de combat et comment j'avais, sous la houlette de Jona, essayé d'intégrer les différents avantages de différentes disciplines. J'explique qu'aux dernières vacances, Jona nous avait appris de nouvelles attaques bien vicieuses en provenance du moyen orient. Là j'intéresse vraiment Chad et Don. On se retrouve rapidement en boxer dans le garage transformé en salle de sport. Echauffements, petits passages à soulever les barres et bien chauds on se confronte. Quelques passes et clés, Chad estime mon niveau. Il est impressionné, enfin pour un simple civil ! Comme Don il me domine de la taille et de son poids. Mais j'arrive à placer une des nouvelles attaques qui le met au tapis sans qu'il n'ait vu le coup venir. Je sautille autour de lui narquois. Ça me vaut de me retrouver à ses côtés, mis à terre par un simple fauchage de jambes.
Je n'ai pas le temps de me relever qu'il se couche sur moi. Je me cambre, essaye de le faire glisser de côté mais c'est peine perdue. Bras et jambes écartés, il résiste à mes tentatives de retournement.
Ok, je cède et cesse de résister, espérant ainsi qu'il se relâche et que j'arrive enfin à me dégager. Mais il n'est pas né de la dernière pluie et reste vigilent.
Comme sa tête est juste au-dessus de la mienne, j'essaye de le déstabiliser autrement. Je tente une pelle. Évidemment elle est acceptée mais toujours sans me relâcher. J'ai juste le plaisir de sentir contre moi grossir, grossir et grossir encore sa bite. La mienne durcit à son contact mais je sens bien que, là aussi, je ne joue pas dans la même cour. Don ajoute son poids en couvrant on collègue. Je dois bien avoir 200Kg qui m'écrasent. Ça ne dure pas car Don attrape Chad par les épaules et roule sur le côté pour me dégager. Je m'accroche à Chad et me retrouve en position dominante de l'empilement de corps. Ma main glisse vérifier l'état de Don. Il est comme nous raide comme une barre d'acier.
Comme il retient toujours Chad, je glisse en arrière pour vérifier avec mes yeux ce que mes abdos avaient subodoré. Son boxer blanc réglementaire est distendu par une bite dans les 23x7 au moins. Le gland est moulé mais la salive que j'ajoute en le prenant en bouche, colle encore mieux le tissu. Un beau gros gland rond avec une collerette intéressante !
Chad se laisse mettre nu sans résistance. Le boxer cachait un service trois pièces de toute beauté. Pubis blond tondu aussi court que ses cheveux, surplombant un sexe droit, bien gonflé de sang légèrement plus large aux deux tiers à partir de son gland qui comme je l'avais deviné au travers du boxer présente une forme bien ronde avec une couronne marquée. Les couilles sont rasées de frais. Bien qu'imberbe de torse, les aisselles du monsieur sont rasées elles aussi mais pas ses jambes sur lesquelles poussent quelques poils blonds aussi.
Je n'attends pas, j'enfourne la beauté qui n'attend que ça. Une déglutition et il passe ma glotte jusqu'à ce que ses poils pubien me fassent une moustache. Il ne peut retenir un rugissement de plaisir. Je l'entends dire à Don qu'il sait maintenant d'où venait le professionnalisme des deux petits français (allusion à mes deux escorts).
De mon côté la présence étouffante de son gros gland me fait bander à mort (le cas si je ne recrache pas ça !!). Sous lui, Don se tortille et dégage lui aussi sa bite qu'il pousse entre les cuisses de Chad. Pour le remercier d'avoir invité Chad, j'alterne ma pipe, suçant avec gourmandise les deux glands. Ma salive coule le long de la hampe de Chad, sur les couilles et entre ses fesses.
Pour savoir à qui j'ai affaire, quand je le suce, je pousse la bite de Don entre ses fesses. Don ne se retient pas et joue du bassin pour lustrer son gland entre les fesses de son pote. Pas de mauvaises réactions, j'en conclu avoir affaire à un des Navy-Seal homo de la troupe qui avait entrainé mes recrues.
Pas de pénétration, nous sommes " nus ". Chad se redresse le temps de m'attraper et de me soulever comme une plume avant de me poser en 69 au-dessus de lui. Il suce aussi bien que moi et mes 20cm plongent entiers dans sa bouche. Sa bite, dans ce sens, me pénètre plus facilement et je vois que Don continu à s'astiquer contre la rondelle de son pote.
Bien excités et les sexes luisants de salive, nous passons à une pipe circulaire. Je pompe Chad qui pompe Don qui me pompe. Rapidement la langue de Don trouve ma rondelle et s'ingénie à la recouvrir de lubrifiant naturel au dehors comme au-dedans.
Quelques minutes plus tard il me pénètre sans que ma bouche n'ait lâché son " os ". Je ne peux m'empêcher de lâcher un gémissement de plaisir vite coupé par le gland de Chad. Je me laisse limer quelques instants avant de me dégager et de me retourner. Chad se couvre vite et gentiment me laisse faire le travail. Don assiste en spectateur intéressé par mon approche.
Je recule et stoppe dès que je sens le gros gland de Chad sur ma rondelle. Je me sature les narines de poppers et d'un petit recul bref, fait pénétrer les premiers cm de Chad dans mon cul. Waouuuu putain d'effet. Ma rondelle se referme juste derrière la couronne emprisonnant la belle boule que forme son gland. Chad attend patiemment que je me rapproche de lui. Nouveau dosage au poppers et je recule encore. Je prends mon temps. Mon anneau m'envoie des ondes de plaisir au fur et à mesure que ses 23cm avance en moi. Je suis presque étonné quand mes fesses buttent sur son bassin. À partir de là ce n'est plus moi qui ai maîtrisé la chose.
Ses grosses mains sont venues me prendre par la taille et je suis devenu un jouet entre elles. Quel pied !!! Ballotté dans toutes les positions possibles, mais reste toujours plein de sa queue vibrante, je ne suis plus que jouissance pendant la demi-heure qui suit. Je passe par quelques " embrochements " de mes deux extrémités pour le plus grand plaisir de Don.
Chad me fait jouir et je jute alors que dos contre son torse, mes jambes enroulées avec les siennes et mes bras en arrière accrochés à son cou, alors qu'il est debout, il arrive à me soulever et me laisser retomber sur sa bite de malade. J'en mets partout n'ayant aucun moyen de maitriser mes éjaculations. Quand il me pose au sol, je n'ai même plus la force de me redresser et reste à plat ventre. Je reçois alors sur le dos le jus brulant de Don puis celui encore plus chaud et abondant de Chad.
Il nous faut à tous les trois une petite demi-heure pour s'en remettre et aller aux douches. J'ai encore les jambes en flanelle et ils me soutiennent sous les jets d'eau. Don nous passe des jock-strap propres alors que nous finissons de nous sécher. Ses parents étant absents, nous pouvons nous balade comme ça dans toute la maison. Petite collation roborative et nous reprenons le chemin de sa salle de sport. Nous passons les deux heures qui suivent à, pour moi, expliquer les attaques et parades apprise au retour de Jona et en apprendre encore plus sur les techniques américaines. On discute aussi, Chad est amusé de savoir que tout mon petit groupe d'escort possède quasiment mon niveau. Il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous faire chier quand on se balade.
Je lui explique notre altercation aux 24h moto. Il connait le coup que j'ai utilisé. Quand le mec est tête nue, c'est le moyen le plus rapide pour le mettre hors d'état de nuire. J'ajoute que ça calme aussi les potes du mec. Rires de mes deux Navy-Seal.
Robert passe. Il nous dit s'être levé une minette et qu'il repart conclure dès ce soir. En riant, il nous dit que de toutes les façons, il n'allait surement pas nous manquer.
Réponse du grand frère : " à moins que tu n'ais envie de nous donner ton petit cul, ce sera le cas ".
Rires de nous quatre.
Au diner nous parlons taf. Ils sont curieux de savoir comment j'en suis arrivé à diriger une boite d'escort mâles. Je les amuse plusieurs fois avec des anecdotes sur mes premières prestations personnelles. Ils hallucinent quand ils apprennent que je vis réellement avec 4 mecs à la fois. Et Don s'amuse à ce que j'ai un petit côté Bi.
Chad, lui, l'est plus par le recrutement de Jona et François par mon client DGSE. Il sait, de source sûre, que leurs propres services de renseignements ont aussi ce type de recrues. Mais n'avaient pas encore eu vent qu'ils aient pût aller aussi loin sur les théâtres d'interventions. Ils servent plus pour mener des chantages sur les hommes visés par leur direction du renseignement. Je me récrie que Jona et François sont des hommes d'action qui sont homo et non l'inverse, ce qui explique cela. Il en convient.
Sans dévoiler de secrets, ils me racontent certaines de leurs sorties, principalement en Amérique centrale et en Colombie dans le cadre de la lutte contre les trafiquants de drogue. Malgré leur entrainement, il leur est arrivé de se faire quelques frayeurs sur le terrain. Et comme ils me disent, eux n'étaient pas en immersion !
Petite période de digestion, on mate les infos à la TV tout en commentant l'actualité. Les primaires ont commencées et les remarques des deux militaires ne sont élogieux pour aucun des deux camps.
Chad me dit qu'il est temps de faire nos étirements et de se préparer pour la nuit. Je m'interroge sur ce qu'il entend par là. Don, lui, le sait. Sur les tatamis de sa salle de sport, nous passons une bonne demi-heure à allonger nos muscles maltraités dans l'après-midi. Pour certains, nous nous entraidons afin de forcer plus. Alors que je pense que c'est bon, ils passent au massage. J'y ai droit en premier et tous les deux s'occupent de moi. Je me laisse faire. Ils terminent ce que les étirements avaient commencé. Leurs mains couvertes d'huiles parcourent mon corps de la tête aux pieds. Même avec João et Clem je n'avais atteint ce stade de décontraction. Je suis décontracté sauf de la queue. On ne se refait pas. Le massage évolue vers une dimension sexuelle. Ma bite luisante glisse dans leurs mains et ma rondelle s'ouvre sous leurs doigts. Je suis trop bien. Mon excitation monte encore et j'en veux plus.
Je pousse Chad sur le dos, l'enjambe et Don a juste le temps de recouvrir sa bite d'une kpote que je me l'enfonce directe au fond de moi. Un gros soupir de contentement m'échappe. Je le monte façon course à Vincennes. Mes cuisses bossent et me brulent à faire pistonner mon cul sur sa grosse bite.
Mais j'en veux encore plus. Ils m'ont super bien préparés. Je demande à Don de venir rejoindre son pote. Il comprend de suite et aussitôt recouvert d'une kpote, il me plante son gland dans le cul. Malgré toute mon excitation, je la sens bien passer cette deuxième bite. Don s'en aperçoit et va pour ressortir. J'ai juste le temps de passer mes bras derrière moi et de lui attraper les fesses pour le retenir. Je me fais défoncer grave mais c'est trop bon. Chad m'attrape la tête et me roule des patins pour ralentir ma monté en jouissance. Enfin c'est ce qu'il croit et ça marcherait s'il était tout seul à me limer la rondelle. Malgré son baillonnage par ses lèvres et sa langue qui m'envahi la bouche, j'arrive à gémir encore sous le limage de Don. Il s'aperçoit aussi que ça ne sert à rien vu que sa queue se fait frotter par celle de Don sans arrêt. Il laisse aller et 15mn plus tard c'est une triple jouissance simultanée. Mes deux GI remplissent leurs kpotes alors que je recouvre les abdos et les pecs de Chad de ma production.
Je sens leurs retraits autant que leurs pénétrations. Don est impressionné par le volume de sperme contenu dans sa propre kpote. Il nous dit n'avoir jamais juté autant depuis sa première branlette d'ado. Chad est mort de rire à la sortie son pote.
Je me couche sur lui et tant pis pour mon sperme qui nous colle. Il passe son gros bras droit dans mon dos et me serre avant de me glisser assez bas pour que Don n'entende pas (il s'est levé pour aller se doucher) " good fuck little frenchie, you're a real bitch " en américain dans le texte !
Nouvelle douche, prise entre ces deux montagnes (1m95 chacun). Je me laisse me faire sécher et porter jusqu'à la chambre de Don que nous partageons pour la nuit.
Le sommeil nous attrape vite, ce qui n'empêche pas Chad de profiter de moi en pleine nuit. Je me réveille, il fait noir et ma rondelle est déjà envahie par sa grosse bite. Il s'y est pris en douceur et je n'ai repris conscience qu'une fois son gland bien au fond de moi. En cuillère, sans grands mouvement il me pilonne. C'est totalement différent de l'assaut en règle de la soirée, il y a limite une certaine tendresse. Je tends la tête en arrière et sa langue vient au contact de la mienne. Grosse pelle sans que son bassin ne cesse ses mouvements. Don dors toujours. Je suis maintenant bien réveillé et il me faut du plus viril ! Je me dégage et on part s'enfermer dans la salle de bain. La porte tout juste refermée, il me pousse en avant. Pour éviter la chute je m'appui à la baignoire. Penché en avant je me reprends ses 23x7 dans le cul. Confiants dans l'insonorisation de la porte, on ne se retient pas plus que ça et ses coups de reins me font monter le son. Il sort, me retourne et m'attrape par les fesses pour me soulever et me planter de face. Instinctivement mes jambes entourent sa taille et mes bras s'accrochent à son cou de taureau. Il se charge de la montée, la pesanteur du retour à la position de départ et son bassin de l'arrêt brusque de ma chute. 23cm de chute sans retenue d'une masse de 85Kg ça induit une belle inertie. C'est ma rondelle qui encaisse ! Ma prostate se fait aussi bien défoncer et chaque passage de son gros gland est comptabilisé ! J'arrive à lui dire que son copain doit être ravi d'avoir un insatiable comme lui.
Pour reprendre un simili de contrôle, je serre ma rondelle une fois en position basse. Quand il me soulève il est surpris d'être bloqué. Je recommence mais quand je n'ai plus que son gland dans mon cul. Il aime l'effet que ça lui fait. De mon côté non plus ce n'est pas désagréable !
Les pieds bien écartés, il pose mon dos contre le carrelage du mur et me pilonne sèchement pour se finir. Il m'achève aussi et nous avons le plaisir de juter au même moment.
Nous sommes sous la douche quand Don nous rejoint. Il est un peu déçu de voir que nous avons fini. Je lui fais une petite pipe pour qu'il ne parte pas se rendormir sur la béquille.
Jardinier
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