#secteur public
Explore tagged Tumblr posts
Text
FSSS CSN
Négociation du secteur public : le gouvernement ne respecte pas ses engagements Continue reading FSSS CSN
#csn#fsss#lac-saint-Jean#manchette#manon tremblay#marie-hélène simard#négociations#saguenay#secteur public
0 notes
Text
Dialogue social dans le secteur public : Lihau et Muyaya promettent une réforme profonde pour améliorer les conditions des fonctionnaires en RDC
Le dialogue social dans le secteur public en République Démocratique du Congo (RDC) a été au centre des discussions ce lundi lors d’un briefing presse animé conjointement par le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe, et le vice-Premier ministre chargé de la Fonction publique, de la Modernisation de l’administration et de l’Innovation du…
0 notes
Text

Attentat de Charlie Hebdo. Dix ans après, que reste-il de l'esprit Charlie ?
Le 7 janvier 2015, la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo était victime d'une attaque terroriste. Un drame qui a ému des millions de Français, engagés pour la tolérance. Dix ans après, que reste-t-il de cet esprit Charlie qui prône le vivre-ensemble ?
Le journal avait été réalisé dans des conditions incroyables, une semaine seulement après l'attentat du 7 janvier 2015 qui ôta la vie à douze personnes dont huit membres de sa rédaction. Mais l'accueil du public fut exceptionnel : 8 millions d'exemplaires vendus au total par « Charlie Hebdo », en France et à l'étranger. De quoi faire bondir les bénéfices de la société, avec un résultat net de 14,5 millions d'euros en 2015.
Dix ans plus tard, les chiffres se sont dégonflés, avec des ventes qui se stabilisent autour de 50.000 exemplaires par numéro (dont 30.000 pour les abonnés). Un chiffre toujours supérieur à celui de la période précédant l'attentat, durant laquelle l'hebdo se diffusait en moyenne à 30.000 exemplaires.
En 2023, les bénéfices se sont établis à 243.000 euros, en baisse constante depuis 2020, année où « Charlie Hebdo » affichait un résultat dix fois supérieur. Mais la performance demeure notable, dans un secteur de la presse en difficulté. Pour 2024, le directeur général du journal, Philippe Debruyne, assure que les comptes seront à nouveau dans le vert, « et sans doute un peu au-dessus de ceux des années précédentes ».
L'anniversaire des dix ans de la tragédie devrait très certainement doper les ventes de ce début d'année. Le numéro spécial de 32 pages publié ce mardi 7 janvier sera tiré à 300.000 exemplaires, sous le titre « Charlie Hebdo', increvable ! ». Vendu au prix de 5 euros, le journal proposera, entre autres, près de 40 caricatures issues d'un concours lancé auprès des dessinateurs du monde entier, sur le thème : « dessiner votre colère contre l'emprise de toutes les religions sur vos libertés ».
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
18 notes
·
View notes
Text
Rien à envier à une nana, transe de Lyon 69003

Je pourrais élaborer longuement sur mes attributs physiques. Je suis assez canon après tout. Difficile même de deviner que je suis une transgenre parfois. Je suis ici pour rencontrer un homme, préférablement un homme curieux. Je me déplace en transport public sur Lyon à partir du secteur Richard Vitton
Discuter avec Dalal
#trans#rencontre#transgender#celibataires#trans woman#transisbeautiful#france#amour#crossdresser#travestie#lyon
13 notes
·
View notes
Text
je viens de lire le comparateur de programme pour ce qui est du service publique. Et je trouve ça quand même fou que à part pour le nouveau front populaire ya quasi 0 point positif pour tous les autres partis.
La norme en politique publique est donc de détruire tout ce qui est politique publique. Ces gens-là veulent être élus pour filer tout le pouvoir qu'on leur donne au secteur privé. Ils sont en train de saboter leur propre boulot, leurs propres leviers d'action sur la société.
Avec la région AURA passée à droite et la politique nationale de l'autre à exploser, j'avais bien constaté que c'était la tendance du moment mais ça fait vraiment bizarre de le voir ainsi.
10 notes
·
View notes
Text
Le juif Marx continue de menacer d’expropriation les Français qui veulent échapper à ses restaurants à migrants.
Ce nuisible ne dort jamais.
Quelle corporation est plus odieuse que ces restaurateurs ?
Qu’il s’agisse de l’immigration sauvage, des JO ou des tickets-restaurants, ils sont toujours en train de se plaindre pour extorquer davantage d’argent public aux travailleurs français exsangues.
Dans ce registre, le juif Marx est déchaîné. Cet employeur de subsahariens sous OQTF exige de garantir le revenu des restaurants pour boomers que même les boomers fréquentent de moins en moins. Il est sur tous les écrans depuis des semaines pour exiger que les goyim se saignent fiscalement pour renflouer ses caisses.

Depuis le Covid, ils ont gagné en confiance.
À présent, ils estiment que l’État macroniste doit aussi utiliser la force policière pour obliger les gens à se rendre dans leurs bouibouis à micro-ondes hors de prix.

Il y a au bas mot 30% de restaurants en trop en France et leur clientèle principale sont les retraités qui se gavent littéralement avec les pensions himalayesques qu’ils reçoivent chaque mois.
S’il y a un secteur qui doit être drastiquement réduit, c’est bien celui-là.
C’est une pompe à migrants géante.

Démocratie Participative
5 notes
·
View notes
Text
Lors de la clôture de la première journée de discussions sur la constitution de CARDANO qui s'est déroulée à Buenos Aires, notre cher Charles Hoskinson a pris la parole.

Charles Hoskinson en train de parler
La communauté CARDANO présente et représentée par ces personnes était très heureuse d'écouter le PDG d'IOG, la conférence et la réunion ayant eu lieu au Programme des Observateurs Palacio Duhau - Park Hyatt, Buenos Aires, car écouter un PDG parler peut offrir plusieurs avantages, parmi lesquels on peut souligner les suivants :
Perspective stratégique : les PDG partagent souvent leur vision et leur stratégie pour l'entreprise, ce qui permet de mieux comprendre les objectifs à long terme et l'orientation de l'entreprise. Inspiration et motivation : Les paroles d'un dirigeant peuvent être motivantes et inciter les employés et les autres parties prenantes à redoubler d'efforts et à s'engager en faveur des objectifs de l'entreprise. Connaissance du secteur : les PDG ont souvent une grande expérience et des connaissances spécifiques sur leur secteur d'activité, ce qui peut leur donner un aperçu précieux des tendances et des défis actuels. Culture d'entreprise : par son discours, un PDG peut communiquer et renforcer les valeurs et la culture de l'organisation, contribuant ainsi à aligner les employés sur la mission de l'entreprise. Possibilités de réseautage : assister à des événements où des PDG prennent la parole peut permettre de nouer des liens précieux avec d'autres professionnels du secteur. Apprentissage du leadership : observer la manière dont les PDG communiquent et gèrent les défis peut être une excellente occasion d'acquérir des compétences en matière de leadership et de gestion. Innovation et changement : les PDG peuvent partager des informations sur des projets, des innovations et des changements majeurs qui auront un impact sur l'entreprise, afin d'informer le public et de le préparer à la suite des événements. Écouter un PDG, en l'occurrence le grand Charles Hoskinson, peut être une expérience enrichissante et éducative, tant pour les employés que pour les autres personnes intéressées par le monde des affaires.

Après le discours de Charles, une belle fête a commencé, pleine de camaraderie CARDANO.
#Charles Hoskinson en train de parler#Buenos Aires#Cardano#ADA#Token Mithrandir#Ulises BArreiro#Opinion#Token#Blockchain#Charla#Binance#Crypto#Camaderie#Aprés
5 notes
·
View notes
Text
Aujourd'hui nous vous présentons quatre familles de chaebol ainsi que les entreprises qu'elles ont créée. Il s'agit des anciennes familles qui règnent depuis des décennies, mais aussi les plus riches et puissantes du pays (voir du monde).
CHAEBOLS LES PLUS CONNUS, PAR ORDRE DE RICHESSE ET DE PUISSANCE
DAEHAN MOTORS Création : 13 janvier 1952. Fondateur : Seol Byungchul.
Autres dirigeants : Seol Taejoon (fils du précédent), Seol Minkyu (actuel, fils du précédent).
Ce groupe d'entreprises était initialement spécialisé dans la fabrication de véhicules sous la marque Daehan. Aujourd'hui, Daehan Motors est réputé comme l'un des plus grands constructeurs automobiles mondiaux, et touche également à l'aérospatial mais aussi aux transports publics et à l'ingénierie. Devenu le groupe le plus riche du pays, sa famille est l'une des plus puissante au monde.
— FAMILLE SEOL
Famille traditionnelle et patriarcale de chaebols coréens, les Seol résident dans une villa ancestrale du quartier de Yeonhwa où les enfants sont élevés strictement, portant l'héritage d'une grande famille d'entrepreneurs sur leurs épaules. Dans cette famille, les hommes sont largement favorisés pour obtenir les meilleures places de Daehan Motors, les dirigeants de l'entreprise étant choisis de père en fils. A l'inverse, les filles sont élevées de manière à devenir les parfaites épouses au foyer d'un homme riche. Si son épouse est une femme douce et aimante, Seol Minkyu est un homme particulièrement sanguin, stricte, et exigeant, en particulier avec ses enfants. Certains d'entre eux ont docilement suivi la voie qui leur était toute tracée dans l'espoir d'obtenir, peut-être, l'amour d'un père antipathique. D'autres enfants en revanche, plus rebelles, préfèrent prendre un chemin différent, choisissant de dissimuler ou non leurs intentions à leur paternel, à leurs risques et périls.
Seol Minkyu (M, 56 ans). Marié à Cheon Eunjung (F, 52 ans). - Seol Prénom au choix (M, 32 ans). - Seol Prénom au choix (M, 30 ans). - Seol Prénom au choix (F, 27 ans). - Seol Prénom au choix (F, 24 ans).
MIDO GROUP Création : 26 novembre 1962. Fondateur : Ryu Jaehoon.
Autre dirigeant : Ryu Hyesoo (actuelle, fille du précédent).
Leader mondial dans l'industrie cosmétique et la mode, Mido Group détient un réseau exceptionnel de filiales couvrant tous les aspects du secteur. En plus de cela, Mido Group possède également AriL, une chaîne de magasins de cosmétiques omniprésente en Corée du Sud. Les magasins AriL sont réputés pour vendre une variété de produits, des plus abordables aux plus grandes marques de luxe, comme la marque Seora, filiale du groupe. Mido Group est aussi un acteur majeur dans l'industrie de la mode et possède plusieurs chaînes de magasins de vêtements dans le monde entier.
— FAMILLE RYU
Ryu Hyesoo, dirigeante actuelle de Mido Group, est une ancienne mannequin dont le visage a grandement participé à l'explosion de la marque de luxe Seora. Mère de deux jeunes femmes dont elle a fait de véritables princesses, poupées de porcelaines, toujours apprêtées et mises en beauté, elle est une femme de caractère, dirigeante ambitieuse et très acharnée. C'est elle qui a insisté pour que ses filles prennent son nom, plutôt que celui de leur père, afin de perpétrer l'héritage laissé par Ryu Jaehoon. Les filles de la famille Ryu, bien qu'ayant reçu une éducation stricte, ont eu la chance de ne jamais manquer de rien, y compris de l'amour d'une mère qui, bien qu'exigeante, a toujours cédé à leurs moindres caprices. On dit de ces filles qu'elles sont de vraies divas, extrêmement hautaines, et que personne ne peut résister à leur incroyable beauté. Cette façade parfaite cacherait-elle un hideux secret ?
Ryu Hyesoo (F, 52 ans). Mariée à Kang Sungmin (M, 53 ans). - Ryu Prénom au choix (F, 26 ans). - Ryu Prénom au choix (F, 23 ans).
CHEONGHWA CORPORATION Création : 13 août 1964. Fondateur : Cheon Daesik.
Autre dirigeants : Cheon Daehyun (frère du précédent), Cheon Taejin (actuel, fils du précédent).
Chaebol sud-coréen majeur possédant un grand empire commercial et touchant à divers secteurs de l'économie. Fondé dans les années 1960 par la famille Cheon, Cheonghwa Corporation englobe diverses activités allant de l'aviation à l'hôtellerie de luxe, le commerce et les loisirs et infrastructures. Cheonghwa Corporation est notamment à l'origine de la construction du plus grand stade de Corée du Sud qui accueille de grands événements sportifs et concerts, ainsi que de la Dojang Nexus Toxer, un centre de loisir révolutionnaire, devenu l'une des plus belles attractions touristiques de la capitale.
— FAMILLE CHEON
Cheon Taejin espère bientôt prendre sa retraite et compte sur son fils aîné pour prendre la relève. En tant que seul garçon et plus âgé de sa fratrie, Cheon Prénom au choix est au cœur des attentes de ses parents afin de reprendre l'entreprise familiale. Pourtant, le jeune homme au caractère bien trempé préfère profiter de sa jeunesse et ne s'établir sous aucun prétexte. Etant le fils préféré de ses géniteurs qui cèdent à tous ses caprices et le chouchoutent comme s'il n'était encore qu'un enfant, il ne cesse de s'enliser dans des situations compliquées et des scandales qui attisent les gros titres de la presse. Entre drogue, alcool, courses de voiture, bagarres, le couple Cheon ne sait plus comment calmer les ardeurs de ce garçon immature à qui ils n'ont pourtant jamais rien refusé. Ses quatre sœurs, pourtant plus sages, plus matures, peinent à obtenir la moindre attention de la part de leurs parents. La jalousie les poussera-t-elles à briser la future carrière de leur frère dont elles pourraient prendre la place, ou choisiront-elles de rester fidèles et honnêtes envers le clan Cheon ?
Cheon Taejin (M, 63 ans). Marié à Kim Mikyung (F, 54 ans). - Cheon Prénom au choix (M, 27 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 25 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 22 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 19 ans). - Cheon Minji (F, 17 ans).
HYEONMI TECHNOLOGIES Création : 14 mai 1971. Fondateur : Hyeon Jiho.
Autres dirigeants : Hyeon Prénom au choix (actuel, petit-fils du précédent).
Chaebol fondé dans les années 1970, Hyeonmi Technologies est spécialisé dans les secteurs de l'électronique et des communications. Sa filiale, Hyeonmi Electronics, est un leader mondial dans la fabrication d'appareils électroniques, dont des téléphones portables, télévisions, ordinateurs, tablettes, consoles de jeux vidéos, et batteries. Hyeonmi Technologies possède également son propre opérateur de télécommunications : MiTelecom, l'un des principaux fournisseurs coréens, ainsi qu'une chaîne de magasins d'électronique, Mi Store.
— FAMILLE HYEON
Suite au décès de Hyeon Jiho en fin d'année 2023, Hyeon Prénom au choix a hérité de l'entreprise de son grand-père en lieu et place de son propre père, disparu 17 ans plus tôt. Soudainement propulsé à la tête d'une des entreprises les plus puissantes du monde alors qu'il n'était âgé que de 28 ans, le jeune homme a du faire des concessions et abandonner sa vie d'avant, ses amis, ses rêves et ses passions, afin de faire tenir le cap à Hyeonmi Technologies face à la concurrence, et de permettre à sa mère et ses frères et sœurs de continuer à profiter de tout le luxe et le confort que l'entreprise familiale leur permet. Heureusement pour lui, son grand-père, particulièrement dur et autoritaire, lui a enseigné tout ce qu'il avait besoin de savoir avant de lâcher son dernier souffle. Si aujourd'hui, beaucoup de personnes se plaignent du changement de personnalité soudain de Hyeon Prénom au choix, personne ne peut imaginer la difficulté de sa situation et la lourdeur de son fardeau.
Hyeon Minseok (M, 1969-2006). Marié à Yoon Seonhee (F, 53 ans). - Hyeon Prénom au choix (M, 29 ans). Dirigeant actuel. Marié à Nom et prénom au choix (F, âge au choix). - Hyeon Prénom au choix (M, 26 ans). - Hyeon Prénom au choix (F, 22 ans).
#avatars forum#rpg forum#forumactif#forum rpg#forum roleplay#rp#roleplay#rpg#rpg asiatique#faceclaim rpg#ressources rpg#avatars rpg#pub forumactif#pub rpg forumactif#pub rpg#pub forum rpg#chaebol#predefinis#annexes
5 notes
·
View notes
Text
Négociation dans le secteur public
Des bannières « Bientôt en grève » font leur apparition au Saguenay – Lac-Saint-Jean Continue reading Untitled
View On WordPress
0 notes
Text
Meurtre de la petite Louise:
La disparition de la jeune fille et les aveux de son
meurtrier et de ses complices
Le Vendredi 7 février 2025, une collégienne nommée Louise âgé de 11 ans a disparu suite à la sortie de son collège à Epinay-sur-Orge (Essonne). Après sa disparition à la sortie de son collège à 14h des recherches ont été effectuées pendant la nuit du vendredi au samedi 8 février. Selon BFTV, c’est à 2h30 du matin, que le corps sans vie de la jeune fille a été retrouvée dans un bois non loin de son domicile , présumé un chemin que Louise empruntait lorsqu’elle se rendait à l’école et qu’elle y revenait.
De nouvelles informations ont été délivrés aux autorités et au public le lundi 10 février, en effet, alors que l’enquête sur le meurtre violent de la petite Louise se resserre, l’ADN retrouvé sur le corps de l’adolescente se révèle être celui du principal suspect et du désormais meurtrier, Owen Le Grand, un homme de 23 ans précédemment interpellé le lundi après-midi. Une analyse génétique pratiquée en urgence a établi le mardi 11 une correspondance entre un ADN inconnu prélevé sur le corps de la collégienne de 11 ans et Owen Le Grand. Selon les informations du journal le Parisien et les investigations menées par la police, lors de ses premières auditions, le meurtrier de la jeune Louise est décrit comme « stoïque » et malgré le fait qu’il commence à « s’exprimer » et à « s’expliquer » auprès des enquêteurs cela ne peut pas être considéré comme des aveux de la part de l’homme de 23 ans. Cependant, lorsqu’une photo du tueur présumé extraite d’une caméra de surveillance est montrée au voisinage, tous l’identifie comme celui aujourd’hui que l’on nomme Owen L.
Cinq jours après le meurtre de la jeune Louise, le principal suspect est passé aux aveux, comme exprimé dans le communiqué du parquet d’Évry, le mercredi 12 février, connu comme un être « perturbé » et « très violent », Owen Le Grand est connu des services de police pour des délits mineurs dont un fait de violence jusqu’au meurtre de la jeune fille de 11 ans, après l’audition de sa petite sœur de nouvelles informations sont donnés quant au comportement du meurtrier, lors de sa conférence de presse, le procureur de la République Grégoire Dulin, explique que la sœur du meurtrier âgée de 19 ans et entendue comme témoin "Elle décrivait son frère comme un individu violent, nerveux, agressif, et jouant de manière intensive aux jeux vidéos. Elle ne lui parlait plus depuis qu'elle avait subi des violences de sa part en avril 2023"; son obsession au jeux vidéos est très importante durant cette enquête puisque le jeune homme était également connu pour s’emporter lorsqu’il jouait aux jeux vidéos décrit sa compagne lors de son témoignage . Le jour du meurtre de la jeune Louise, le vendredi 7 février, Owen a eu une altercation avec un autre joueur lors d’un partie de Fortnite suite à laquelle il décide d’aller prendre l’air vêtu de sa doudoune dans laquelle il prend soin de toujours soin de laisser un couteau, et afin de « se calmer » il envisage même de racketter quelqu’un, c’est à ce moment là que la jeune fille intervient, il l’attire dans le bois prétextant avoir perdu quelque chose, alors qu’en réalité il avait aperçu plutôt son téléphone accroché à son cou. Il sort son couteau et la menace tout en fouillant dans ses affaires, effrayée par les menaces, Louise prend peur et se met à crier, Owen est pris de panique selon son récit, fait tomber la petite fille par terre et la poignarde violemment.
Owen rentre chez lui et avoue son crime à sa petite amie après de nombreuses insistances, puis lave ses vêtements à la javel et les jette à la poubelle avec l’arme du crime, arme jusque-là toujours disparu. L’enquête révèle également que ce n’était pas la première fois qu’Owen Le Grand use d’une telle technique puisqu’il aborde quelques jours avant, une collégienne dans le même secteur, qui elle a refusé de le suivre. Mercredi soir, Owen Le Grand est mis en examen pour meurtre sur mineur de moins de 15 ans et placé en détention provisoire, sa petite amie est poursuivie pour non-dénonciation de crime, mise en examen et placée sous contrôle judiciaire. Quant aux parents du meurtrier, leurs gardes à vue ont été levés. Enfin, Owen Le Grand risque la réclusion criminelle à perpétuité.
Malgré le soulagement entendue par la population, de nombreuses inquiétudes sont émises non seulement par les camarades du collège de la jeune Louise, qui désormais ne se sentent plus en sécurité. En effet, des témoignages de ses camardes empli de tristesse, d’effroi et d’angoisse sont communiqués: « Ça aurait pu être nous » ou encore « C'était tellement lourd qu'on a dit tout ce qu'on pouvait se dire ».Cependant, les autres préoccupations sont exprimés quant à cette affaire, effectivement, sur de nombreux réseaux sociaux, de nombreux jeunes adultes sont indignés face au double standard dont font preuve certains journaux et médias qui à la connaissance de l’identité mais surtout de l’origine du meurtrier aurait commencé à le nommer « Owen L. » qui relèverait d’une hypocrisie totale de la part de ces journaux puisque selon certains créateurs de contenus, il bénéficierait d’un traitement de faveur dû au fait qu’il soit un jeune homme caucasien. Mais également, des médias tels que BFMTV qui rejèterai la faute sur les jeux vidéos entre autre rechercherait des excuses afin de minimiser les faits « On dit Owen LEGRAND et pas Owen L. On dit qu’il a tué une mineur de sang froid et pas qu’il a des sauts d’humeur et qu’il est colérique » dit-une utilisatrice de X (précédemment Twitter) ou encore «Voilà la tête de Owen Legrand, le meurtrier de Louise, 11 ans, collégienne. Rayan Ben Said a été accusé pourquoi ? Car il est arabe. Et c’est toujours plus facile d’accuser un arabe qui n’a rien demandé. On est vraiment désavantagé pour notre origine » exprime un autre utilisateur de X.
La famille de la jeune défunte a exprimé le souhait de respect de son intimité et insiste sur leur besoin de temps durant cette épreuve. Les parents prendront la parole la semaine prochaine.
P.S. Au nom de notre blog, actualiteandco, nous envoyons nos plus sincères et tendres condoléances à la famille de la jeune défunte.
BITUMBU Alexandra

2 notes
·
View notes
Text
La mode africaine : une stratégie d’intégration dans la mondialisation
Par Florence Akogbekan

@waxfashionparis-blog
La mode africaine s’affirme aujourd’hui comme un véritable moteur d’intégration dans la mondialisation. Elle évolue à la croisée des chemins entre tradition et modernité, portée par des créateurs audacieux, des initiatives novatrices, valorisant un patrimoine culturel unique tout en répondant aux attentes d’un marché international en quête d’authenticité d’unicité culturelle et de durabilité.
Ce secteur ne se limite plus à l’habillement : il s’imprègne d’écologie, d’économie et d’innovation sociale, devenant un véritable espace de dialogue entre le local et le global.
Aujourd’hui, les créateurs africains bousculent les codes, redéfinissent les standards et transforment les perceptions. Ils insufflent une dynamique nouvelle à un continent qui trouve dans la mode une opportunité unique de résonner sur la scène internationale tout en renforçant ses chaînes de valeur économiques sur le continent et au-delà.

@ahoe_creations
I - Comment les designers africains contribuent-ils à réinventer l’image de la mode africaine tout en respectant ses traditions ?
Les designers africains jouent un rôle essentiel dans la redéfinition de la mode africaine, en harmonisant héritage culturel et innovations contemporaines.
a- Un dialogue entre héritage culturel, des textiles uniques
Ils puisent dans les traditions ancestrales, s'inspirant des symboles, des motifs et des techniques propres à chaque région, tout en les adaptant aux exigences d’aujourd’hui telles que le confort et la facilité d’usage, la durabilité des éléments puisés dans les ressources naturelles. Des créations des collections qui viennent répondre aux besoins de plus en plus identifiés et assumés de s’extraire de l’uniformisation et d’affirmation culturel tout en restant au présent
Des marques telles que @Le Petit Dakarois et @Le Boubou Bordelais illustrent cette fusion en proposant des vêtements qui marient des tissus traditionnels africains avec des coupes modernes, reflétant une riche dualité culturelle. De même, @Panafrica se distingue par ses chaussures aux motifs africains, fabriquées de manière éthique et responsable, mettant en avant le savoir-faire bottier artisanal du continent, lui aussi peu connu.
Des étoffes telles que le Faso Dan Fani du Burkina Faso ou le bogolan du Mali, symboles d'une identité culturelle forte, sont réinterprétées dans des styles modernes. Par exemple, Pathé’O, basé en Côte d'Ivoire, utilise des textiles locaux pour créer des vêtements emblématiques, dont les chemises portées par Nelson Mandela, incarnant un message de liberté et d'identité.
Bien que riche en diversité, le patrimoine textile africain reste méconnu.
Des designers comme @Amoko Studios au Ghana et @Yehouessi Design au Bénin réhabilitent les textiles africains en proposant des collections modernes et attractives. Ces créateurs redonnent vie à des matières souvent oubliées, comme le kente ou le bogolan, et les adaptent aux sensibilités contemporaines. Grâce à leur travail, les jeunes générations se reconnectent à leur histoire tout en attirant l’attention d’un public international en quête d’authenticité.
Le styliste @KennethIze, avec plus de 70 000 abonnés sur Instagram, s'est imposé comme une figure emblématique de cette renaissance textile. En revisitant l’aso oke, un tissu traditionnel nigérian, il a su séduire des célébrités internationales, telles que Naomi Campbell, tout en collaborant avec des artisans locaux pour préserver leur savoir-faire.

@kirumono
La styliste derrière la marque @KIRU’MONO fusionne des influences japonaises avec des imprimés afro, créant ainsi des collections uniques où le minimalisme asiatique rencontre la richesse des motifs africains. Ces créations incarnent un dialogue culturel, transcendant les frontières et attirant des passionnés de mode du monde entier.

@waxfashionparis-blog
Par ailleurs, des marques et créateurs à travers le monde célèbrent également le textile africain sous différentes formes :
likeUafrica, un concept store africain basé à Milan, qui met en avant des pièces uniques et soigneusement sélectionnées.
Abc_wax, une blogueuse passionnée par le wax, qui partage régulièrement ses trouvailles et coups de cœur textiles.
Melylaw, spécialisée dans la création de décorations et d’accessoires de mode faits main.
Plume_de_wax, une créatrice textile dédiée à l’art du wax.
NeonAfrique, qui propose une mode inspirée de l’Afrique tout en intégrant des touches modernes.
WAX ELSE, basée dans l’Oise, combine mode, déco et accessoires en wax dans des collections éclectiques.
Glam Ethnik, qui explore le prêt-à-porter inspiré des Caraïbes, en mêlant les influences afro et insulaires.
Lili_wax_and_co, surnommée "la fée waxée", propose des créations uniques en wax qui captivent par leur originalité.
Nayee.crea, spécialisée dans les sacs et accessoires en cuir et wax faits main, véritables œuvres d’art portables.
Mbam_creation, qui valorise la reconnexion culturelle à travers des foulards élégants et symboliques.
Mania.wax, dédiée aux objets et accessoires du quotidien sublimés par le wax.
Le_monde_de_felix, qui crée des vêtements et accessoires en wax pour enfants, alliant tradition et modernité.
My Afro Touch, qui propose des bijoux et accessoires afro-inspirés, célébrant la beauté et la diversité des cultures africaines. (« une façon de façon de raconter qui vous êtes ! » )
L’hôtel Maison Rouge à Cotonou reflète cette même dynamique en mettant en avant les textiles africains dans ses intérieurs, que ce soit pour ses rideaux, coussins ou meubles décorés de motifs locaux. Cette valorisation inspire un mouvement global où le textile africain s’intègre à des usages variés, de la mode à la décoration.
Ces initiatives montrent que le textile africain dépasse les frontières de la mode pour s’affirmer comme un pilier culturel et artistique, capable de séduire des publics diversifiés à travers le monde. En associant créativité, durabilité et authenticité, ces acteurs participent à une redéfinition de l’image et de l’impact du textile africain dans un contexte globalisé.


@waxfashion et @myafrotouch
b. Une réponse aux enjeux écologiques
Le recyclage et l’upcycling, pratiques à la fois modernes et enracinées dans la culture africaine, participent à cette réinvention. Par exemple, les centres comme Songhaï au Bénin transforment des déchets plastiques en textiles et accessoires. Cette stratégie répond à la demande croissante pour une mode durable tout en valorisant le savoir-faire local



Burkina Faso, des ateliers innovants transforment des sachets plastiques multicolores en tissus tissés à la main, qui sont ensuite utilisés pour confectionner des chaussures et divers objets du quotidien.



Le président @Djangoun au Bénin déstructure et retravaille complètement le modèle de la mode et du recyclage, en créant une approche qui mélange innovation et durabilité. Ses initiatives incluent la transformation de déchets textiles en matériaux réutilisables et le soutien à une économie circulaire ancrée dans le patrimoine local.

c. Une mode en lien avec les arts et à la culture
L’artiste @AmirElPresidente a réalisé la comédie musicale Le Trône de Béhanzin le 22 décembre 2024, un spectacle vibrant qui fait revivre l’époque héroïque de ce roi mythique de l’histoire du Bénin. Ce spectacle, présenté à Cotonou, mêle musique, danse et costumes traditionnels
réinterprétés, offrant une plateforme aux designers pour exprimer leur créativité tout en honorant le patrimoine culturel. Cette œuvre sera prochainement en tournée internationale, permettant de découvrir les tenues culturelles locales au travers de ce voyage artistique.
Le président @Djangoun au Bénin, quant à lui, réinvente la mode et le recyclage, proposant une démarche qui mêle créativité et durabilité. Son approche novatrice transforme les déchets textiles en matériaux réutilisables, illustrant une vision avant-gardiste de l’économie circulaire.
L’art de la table n’est pas en reste, avec des initiatives comme Wax on the Table, fondée par Absa Sar Chay, qui marie la porcelaine de Limoges aux motifs africains. Cette combinaison harmonieuse d’artisanat européen et de design africain donne naissance à des collections uniques d’assiettes, de tasses et de plats décoratifs, reflétant une esthétique culturelle hybride. Cette initiative met également en lumière l’importance du savoir-faire artisanal dans un cadre contemporain, attirant l’attention de collectionneurs et d’amateurs de décoration raffinée.

@waxonthetable
d. L'impact des influenceurs, des plateformes et des événements
Les plateformes dédiées à l’#AfricStyle, comme @Afrikrea, @Blaxwaxparis, et Etsy, offrent une vitrine aux créateurs africains et de la diaspora, facilitant la diffusion et la commercialisation de leurs œuvres à l’échelle mondiale. Ces espaces numériques permettent une visibilité accrue et une reconnaissance internationale de la mode africaine contemporaine.
Les influenceurs jouent également un rôle clé dans cette dynamique. Par exemple, @ClaudeMonthe utilise sa plateforme pour promouvoir les créations africaines, sensibiliser à l’importance de la mode éthique et encourager l’adoption de styles qui honorent les traditions tout en embrassant la modernité.

@claudemonthe
@SandyAbena, avec une plateforme dédiée aux cultures afro et suivie par 167k abonnés sur Instagram, partage ses voyages et ses découvertes à travers l’Afrique.
Par ailleurs, des événements à travers le monde mettent de plus en plus en lumière
la mode africaine :
Istanbul Fashion Connection : met l’accent sur les tendances internationales et se tiendra du 5 au 8 février 2025.
WaxFashion : avec 16.7k abonnés, organise chaque année à Paris un défilé haute couture et avant-garde ; le prochain, Ze Défilé, aura lieu le 19 avril 2025.
Le Marché Afro-Caribéen : depuis 2017, accompagne les artisans et créateurs en organisant un grand marché chaque mois de mars. Le prochain aura lieu les 22 et 23 mars 2025.
La Foire de Paris : un rendez-vous incontournable pour découvrir les innovations textiles.
FIMO228 : le Festival International de la Mode au Togo, sous le thème La mode pour un monde sans cancer, se tiendra du 12 au 15 février 2025. Cette semaine de la haute couture africaine incarne l’essence de la fashion week africaine.
Ces démarches témoignent d’une volonté de préserver et de promouvoir les traditions africaines, tout en les adaptant aux contextes contemporains, contribuant ainsi à une image renouvelée et dynamique de la mode africaine.
II - Évolution de la mode africaine dans les 10 à 20 prochaines années
La mode africaine se trouve aujourd’hui à un tournant majeur, portée par une dynamique mêlant tradition, innovation et ambition. Dans les 10 à 20 prochaines années, elle est appelée à jouer un rôle encore plus central dans l’économie mondiale et dans la construction de récits identitaires africains. Ce mouvement d’envergure sera marqué par une double transformation : une expansion internationale sans précédent et un renforcement des écosystèmes locaux, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles opportunités économiques et culturelles.
a. Une ouverture accrue sur la scène internationale
La mode africaine continuera de s’exporter et d’attirer l’attention du monde entier grâce à des créations uniques mêlant authenticité, créativité et éthique. Des initiatives comme les spectacles culturels, à l’instar de la comédie musicale Le Trône de Béhanzin, et des plateformes numériques telles qu’@Afrikrea et @Blaxwaxparis permettront de raconter des histoires africaines par le biais des vêtements.
Par ailleurs, l’organisation d’événements comme le FIMO228 au Togo ou le Waxfashion à Paris renforcera la visibilité internationale des créateurs. Cette ouverture sur la scène mondiale ne se limitera pas aux vêtements : les accessoires, les tissus et même les métiers d’artisanat traditionnel africain deviendront des ambassadeurs du continent.
En conséquence, la mode africaine deviendra une vitrine culturelle et un outil diplomatique, attirant des collaborations internationales tout en façonnant une image positive et dynamique du continent.
b. Renforcement des chaînes économiques et émergence de nouvelles filières
L’essor de la mode africaine sera également marqué par une structuration plus solide des chaînes de valeur locales. Les coopératives artisanales et les certifications valorisant le « fait main » contribueront à la reconnaissance internationale des savoir-faire locaux tout en générant des emplois sur le continent.
Autour de cette industrie, des métiers connexes se développeront :
Mannequins professionnels travaillant sur le continent, soutenus par des agences locales spécialisées dans la gestion de carrière et la formation.
Professions liées à l’image, comme les photographes, stylistes, graphistes, et gestionnaires de contenu digital, qui joueront un rôle clé dans la mise en valeur de la mode africaine sur les plateformes numériques.
Industries du textile et de l’événementiel, qui s’adapteront pour répondre aux exigences de qualité, de durabilité et d’authenticité des marchés internationaux.
Différents organismes d’états et prives, auront un rôle important à jouer en soutenant la structuration de la filière et en accompagnant les créateurs africains à se préparer avant de se lancer sur des marchés de plus en plus compétitifs et digitalisés. Des initiatives comme celles du groupe @MARAZ ou de l’entrepreneur @AkimSoul, avec son #FMD, montrent déjà la voie pour organiser cette transition stratégique.
L’entrepreneur @Akim Soul nourrit le rêve de faire connaître au monde entier le savoir-faire africain, en particulier malien, dans le domaine de la mode à travers son initiative #FMD. Depuis 2011, il a déjà organisé plusieurs événements marquants :
Les Journées de la Création, mettant en avant les talents émergents et confirmés.
Le Mali Mode Show, une vitrine incontournable de la créativité malienne.
Le Forum de la Mode, dont la première édition a eu lieu en 2024 à Bamako, offrant une plateforme d’échange et de structuration pour les acteurs de la filière mode en Afrique.
Ces initiatives illustrent son engagement à propulser la mode africaine sur la scène internationale tout en renforçant les écosystèmes locaux.
En résumé, la mode africaine de demain se positionnera comme un acteur majeur, à la fois culturellement influent et économiquement structuré, offrant au continent une opportunité unique de rayonner dans un monde globalisé.
III - Place de l’artisanat local dans la production de mode africaine face à une production de masse encouragée par la mondialisation
La mode africaine se trouve à un carrefour, où l’artisanat local joue un rôle clé dans la préservation des traditions tout en s'adaptant aux exigences d'une mondialisation toujours plus compétitive.
1. L’artisanat local : un pilier économique et culturel
En l’absence d’une industrialisation généralisée, l’artisanat reste le cœur battant de la production de mode en Afrique, soutenant des millions de familles et préservant des savoir-faire ancestraux transmis de génération en génération. Le couturier local, véritable mémoire vivante des mesures et préférences de chaque membre de la famille, incarne cette tradition. Bien plus qu’un simple créateur, il innove en permanence, donnant vie à de nouvelles pièces uniques et jouant un rôle d’ambassadeur culturel. À travers son travail, il célèbre et réinvente l’identité africaine tout en répondant aux besoins d’une clientèle contemporaine.
2. Une coexistence entre menace et opportunité
La production de masse, facilitée par la mondialisation, exerce une pression concurrentielle importante sur l’artisanat. Cependant, cette dernière peut se distinguer en misant sur la qualité et l’authenticité. Des initiatives telles que la création de coopératives, l’obtention de certifications « fait main », ou encore des plateformes comme Afrikrea et d’autres, permettent de donner une visibilité mondiale aux produits artisanaux, tout en soulignant leur unicité.
3. Vers une intégration mondiale des savoir-faire locaux
L’intégration de textiles et de techniques artisanales dans des collections internationales permet de revaloriser l’artisanat africain. Des collaborations entre designers locaux et marques mondiales ouvrent des opportunités économiques tout en assurant la pérennité des traditions. Ces échanges équilibrent les rapports de force économiques et permettent à l’artisanat africain d’acquérir une reconnaissance globale.
Conclusion
Face à la production de masse, l’artisanat africain se distingue comme une alternative précieuse, alliant authenticité et modernité.
Portée par un riche héritage culturel, une attention croissante aux dynamiques écologiques et un profond ancrage local, la mode africaine ne se contente pas de s'adapter à la mondialisation : elle la transforme.
Elle y apporte une nouvelle âme, un souffle d’identité et d’humanité qui célèbre la singularité tout en inspirant une vision plus durable et inclusive de la création. En valorisant ces atouts, l’Afrique façonne non seulement son avenir, mais aussi celui de la mode mondiale.

#african fashion#african design#african development#upcycling#african style#events#symbioseconsulting#fashion
2 notes
·
View notes
Text
"Sans doute vaudrait-il d’ailleurs mieux parler ici, plutôt que de "gauche radicale", de gauche terranovienne […] A savoir l’abandon définitif de la classe ouvrière "traditionnelle" et des catégories populaires (désormais perçues, selon la célèbre formule d’Hillary Clinton, comme un nauséabond "basket of déplorables", "racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes") au profit d’une alliance désormais privilégiée entre les beaucoup plus présentables "CSP+" des grandes métropoles (autrement dit, pour l’essentiel, la "fraction dominée de la classe dominante"), les secteurs du service public les moins exposés à la mondialisation capitaliste et donc à la concurrence étrangère, la "jeunesse" (toujours pensée par les Terranoviens comme un concept sociologiquement indifférencié et dont Greta Thunberg serait l’emblème planétaire) et, last but not least, les différentes "minorités" (qu’elles soient ethniques, sexuelles ou autres). Soit, pour simplifier à l’extrême la note de Terra Nova, l’alliance du burkini et de la trottinette électrique."
Jean-Claude Michéa, Extensions du domaine du capital, 2023.
4 notes
·
View notes
Text
Dialogue social dans le secteur public : Lihau et Muyaya promettent une réforme profonde pour améliorer les conditions des fonctionnaires en RDC
Le dialogue social dans le secteur public en République Démocratique du Congo (RDC) a été au centre des discussions ce lundi lors d’un briefing presse animé conjointement par le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe, et le vice-Premier ministre chargé de la Fonction publique, de la Modernisation de l’administration et de l’Innovation du…
0 notes
Text
Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
8 notes
·
View notes
Text
LÉGENDES DU JAZZ
JYMIE MERRITT, UN GÉANT MÉCONNU
“People like Miles Davis wanted him to be in his band. Art Blakey or Max Roach or Sonny Rollins or Dizzy Gillespie, whoever he was working with — the musicians knew who he was. But to the general public he was a sideman, because he never recorded anything under his own name as a leader.”
- Mike Merritt
Né le 3 mai 1926 à Philadelphie, en Pennsylvanie, James Raleigh Merritt était le fils de Raleigh Howard "RH" Merritt, un homme d’affaires, ministre du culte et écrivain, et d’Agnes Robinson, une institutrice qui était également directrice de chorale et professeure de piano et de chant.
Le père de Merritt s’était installé à Philadelphie quelques années avant sa naissance. James Raleigh Merritt avait étudié au Tuskegee Institute, où il avait eu comme camarade de classe le célèbre botaniste et agronome George Washington Carver. À Philadelphie, le père de Merritt avait travaillé dans le secteur immobilier. Il avait aussi participé à la fondation de la Vine Memorial Baptist Church.
Saxophoniste ténor à l’origine, Merritt était passé à la contrebasse au début de la vingtaine après avoir entendu un enregistrement de Jimmy Blanton avec l’orchestre de Duke Ellington. Il avait aussi joué brièvement de la clarinette.
Mobilisé durant la Seconde Guerre mondiale, Merritt avait servi en Afrique du Nord. Il avait aussi participé à la célèbre bataille d’Anzio en Italie. Après sa démobilisation, Merritt avait travaillé brièvement dans l’entreprise immobilière de son père. Sous l’encouragement de sa mère, Merritt avait décidé d’étudier sérieusement la contrebasse en prenant des cours avec Carl Torello, le contrebassiste du Philadelphia Orchestra. Il avait étudié par la suite à la Ornstein School of Music de Philadelphie.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Merritt avait amorcé sa carrière professionnelle aux côtés de John Coltrane, Benny Golson et Philly Joe Jones en 1949. La même année, Merritt s’était joint au groupe de rhythm & blues de Bull Moose Jackson. C’est dans le cadre de sa collaboration avec le groupe que Merritt était devenu un des pionniers de la basse électrique . Merritt avait d’ailleurs été un des premiers contrebassistes à adopter la basse Ampeg, une sorte de combinaison entre la basse électrique et la contrebasse acoustique. Au cours d’une entrevue, Merritt avait expliqué comment il avait fait l’acquisation de sa première basse Fender à l’automne 1951:
"Now all this time, I had been playing electric bass, from about the first year of service with the Bull Moose band. We were out in Oklahoma somewhere, when Benny Golson saw this Western band, what you call a hillbilly band, with a fellow playing what looked like a guitar and sounded like a bass. Benny got me over to hear this and we later saw one in a music store. Benny went in for some reeds or something, so I tried a Fender electric bass and that night I took it to work. The owner let me take it and I tried it out working and nobody raised any objection. I had been having trouble with my own bass, one of the assembly line types, so I was in the market for a new bass. Anyway, I got curious and bought the thing and played it for the next seven years or so. I guess at the time I was the only one in jazz playing an electric bass. Certainly, I’m pretty sure Monk Montgomery wasn’t playing one because we used to see him in Minneapolis and he was always interested to see the instrument."
Au début des années 1950, Merritt avait fait la tournée des clubs de jazz, de blues et de R & B dans la région de New York et de Philadelphie. Il avait aussi voyagé avec le batteur de rock expérimental Chris Powell. Merritt avait également fait partie du groupe de B.B. King de 1955 à 1957.
En 1957, Merritt s’était installé à Manhattan et s’était joint aux Jazz Messengers d’Art Blakey, qui comprenait à l’époque le saxophoniste Benny Golson ainsi que le pianiste Bobby Timmons et le trompettiste Lee Morgan avec qui il avait collaboré activement par la suite. Merritt avait continué de voyager avec le groupe jusqu’à ce qu’une maladie non identifiée l’oblige à abandonner les tournées en 1962. On peut notamment entendre Merritt sur les albums Moanin’ (1958), At the Jazz Corner of the World (1959), A Night in Tunisia (1960), Mosaic (1962) et Buhaina’s Delight (1963). Un album inédit de Timmons avec les Jazz Messengers, et mettant en vedette Blakey, Timmons, Hank Mobley et Morgan a également été publié en avril 2020 sous le titre de Just Coolin’. Dans le cadre de sa collaboration avec le groupe, Merritt avait collaboré activement à la création de classiques comme “Moanin’”, “Along Came Betty”, “Blues March” et plusieurs autres.
Après s’être rétabli, Merritt s’était joint en 1964 au groupe du trompettiste Chet Baker avec qui il avait enregistré un album au titre pompeux intitulé The Most Important Jazz Album of 1964-65. Merritt est d’ailleurs longuement mentionné dans l’autobiographie inachevée de Baker intitulée As Though I Had Wings: The Lost Memoir.
De 1965 à 1968, Merritt avait travaillé avec le batteur Max Roach, non seulement comme contrebassiste, mais également comme compositeur. Enregistrée sur l’album de Roach, Drums Unlimited (1966), la composition de Merritt "Nommo" lui avait valu une nomination comme meilleur compositeur de jazz dans le cadre du sondage des critiques du magazine Down Beat. Le titre de la pièce "Nommo" était dérivé d’un mot d’Afrique de l’Ouest désignant “the power of the spoken word.’’ Devenue le symbole des compositions de Merritt, la pièce "Nommo" combinait des éléments de hard bop et de jazz modal.
Merritt avait quitté Roach à la fin des années 1960 pour participer à une tournée avec Dizzy Gillespie. Merritt avait aussi fait une apparition avec le groupe de Gillespie dans le cadre du Dick Cavett Show.
Par la suite, Merritt avait renoué avec son ancien confrère des Jazz Messengers, le trompettiste Lee Morgan, notamment dans le cadre de l’album double Live at the Light House (1970), qui avait été enregistré à Hermosa Beach, en Californie, et qui comprenait des versions prolongées de ses propres compositions, dont ‘’Absolution’’, qui avait été enregistrée précédemment par Max Roach.
Les disques Blue Note ont d’ailleurs publié un coffret des enregistrements des concerts d’Hermosa Beach dans lequel on entend le fils de Merritt, le contrebassiste Mike Merritt, interviewer son illustre père. Comme Mike Merritt l’avait expliqué plus tard: “He was very positively affected by hearing that music again after all these years. He really felt good about where that band was going, had Lee not met an early death [Morgan a été abattu par sa compagne Helen Moore dans un club de New York en 1972], and the ground that band was breaking.”
À partir de 1970, Merritt avait dirigé le groupe Forerunners. Le groupe tirait son nom d’une coopérative de musiciens que Merritt avait fondé avec d’autres artistes en 1962. Explorant le système d’accord et d’harmonies et l’approche unique de la composition de Merritt, le groupe avait publié plus tard un lexique dans lequel il avait exposé ses conceptions de la musique. Cette approche était particulièrement en évidence dans la longue composition de Merritt intitulée "Visions of the Ghost Dance".
Parmi les membres originaux du groupe, on retrouvait des vétérans de Philadelphie comme le saxophoniste Odean Pope, le guitariste Kenny Lowe, le batteur Donald Bailey, et la chanteuse September Wrice. Durant ses cinq premières années d’existence, le groupe s’était produit régulièrement dans la région de Philadelphie jusqu’à ce que Merritt et Pope se joignent au groupe de Roach. Le groupe avait refait surface périodiquement par la suite, dépendamment de la disponibilité de Merritt et de l’évolution de son état de santé. Le saxophoniste Bobby Zankel avait fait partie de la seconde édition du groupe lorsqu’il s’était joint à la formation en 1982. Parmi les autres membres du groupe à cette époque, on remarquait les saxophonistes Odean Pope et Julian Pressley, le pianiste Colmore Duncan, le percussionniste Warren McLendon et le batteur Alan Nelson. Principalement connu comme saxophoniste alto, Zankel jouait du saxophone baryton avec le groupe.
Le groupe, qui était devenu avec le temps une sorte de laboratoire, avait contribué à faire connaître les compositions de Merritt, même si les problèmes de santé du contrebassiste l’avaient souvent empêché de faire des tournées. Expliquant son désir de pousser sa musique plus loin avec le groupe, Merritt avait déclaré au cours d’une entrevue accordée au Daily News: “People like Lester Young, Count Basie, Charlie Parker, and Dizzy Gillespie left an enormous trail of ideas that we were following. For me, there were a lot of threads to be pulled together from all over the place to increase the vocabulary that we used.” Merritt avait continué de se produire avec le groupe jusqu’à l’âge avancé de quatre-vingt-dix ans.
Diagnostiqué pour la première fois d’un cancer dans les années 1970, Jymie Merritt est mort d’un cancer du foie à Philadelphie le 10 avril 2020, trois semaines avant son quatre-vingt-quatorzième anniversaire de naissance. Merritt laissait dans le deuil son épouse Dorothy (Ave) Viola Small, son frère LeRoy, ses fils Marlon et Marvon, et ses filles Mharlyn et Jamie Reese. Merritt avait un autre fils, Martyn, mais il était décédé en 1989. C’est le fils de Merritt, Michael, qui avait annoncé la mort de son père sur la page Facebook de Leo Gadson. On pouvait lire dans ce communiqué:
“It is with great sadness that I share with you the news that my father, Jymie Merritt, one of the greatest musicians who ever lived, who was active during an era when jazz reached it’s most fertile peak in the mid-20th century, passed away at age 93, on the evening of Friday, April 10th at his home in Philadelphia, PA after a long illness. His death was not related to the COVID-19 pandemic. Our family will release more information within the next few days.”
Plusieurs des enfants de Merritt avaient suivi les traces de leur père et avaient poursuivi une carrière musicale. Chanteuse et autrice, Mharlyn Merritt avait obtenu une bourse de la National Endowment for the Arts en 1988. Guitariste reconnu, Marlon avait combattu lors de la guerre en Irak. Malheureusement décédé, Martyn avait fait carrière comme pianiste classique et avait étudié avec le légendaire Leon Bates. Marvon était percussionniste et batteur. Quant à Mike, c’était un bassiste réputé qui avait joué avec plusieurs grands noms de la musique comme Levon Helm, Phoebe Snow, Johnny Copeland et BB King. Mieux connu comme membre du groupe du Basic Cable Band du talk-show de Conan O'Brien sur le réseau TBS, Mike avait co-produit en 2005 avec sa soeur Mharlyn un CD indépendant intitulé "Alone Together" mettant en vedette son frère Marlon à la guitare, Uri Caine, Al Kooper, Lew Soloff et les Vivino Brothers.
Commentant la mort de son ancien collègue, le saxophoniste Odean Pope, qui avait joué pour la première fois avec Merritt en 1959, avait déclaré: “Jymie Merritt, that’s a great loss. I’m very grateful that I lived during his time. In addition to him being an extraordinary bass player, he had his own sound. He had his own concept. He was just so fluent in what he was doing. To me, playing his music was like going to the highest university in the whole world.”
En 2016, l’émission Jazz Night in America avait consacré un épisode d’une heure à Merritt et à son groupe les Forerunners, dans le cadre d’un concert présenté au World Cafe Live de Philadelphie. Dans le cadre de l’émission, Merritt avait défini sa conception du rythme en ces termes: “Rhythm is very complex, because it’s the basis on which the entire universe is constructed. All life has a pattern, and once you can tap into that pattern, you tap into all aspects of life.”
Lauréat de plusieurs prix, Merritt avait notamment remporté en juin 2008 un Don Redman Heritage Award. Le prix avait été remis à Merritt dans le cadre d’une cérémonie organisée par la Harpers Ferry Historical Association et la division de la NAACP à Jefferson County. L’événement était organisé en collaboration avec la Don Redman Heritage Society de Piedmont, en Virginie occidentale. En 2009, Merritt s’était également vu décerner un Jazz Heritage Award. Le prix avait été attribué à Merritt conjointement par l’Université de Philadelphie et le Jazz Heritage Project. Le prix avait été remis à Merritt dans le cadre de la Philadelphia Jazz Fair organisée par le professeur et musicien Don Glanden. L’organiste Trudy Pitts était l’autre récipiendaire du prix cette année-là. C’est un autre grand contrebassiste de Philadelphie, le regretté Charles Fambrough, qui avait remis son prix à Merritt. En novembre 2013, Merritt avait aussi remporté, en même temps que son collègue contrebassiste et ami Reggie Workman, le Clef Club of Philadelphia's Living Legend, Jazz Award.
Malgré tout son talent de contrebassiste et de compositeur, Merritt était demeuré largement méconnu du grand public, probablement parce qu’il n’avait jamais enregistré sous son propre nom. Comme l’avait expliqué son fils Mike: “People like Miles Davis wanted him to be in his band. Art Blakey or Max Roach or Sonny Rollins or Dizzy Gillespie, whoever he was working with — the musicians knew who he was. But to the general public he was a sideman, because he never recorded anything under his own name as a leader.” Qualifiant Merritt de véritable géant, le contrebassiste Christian McBride avait commenté: “Phrases like musical genius and unsung are so casually and recklessly thrown out there describing just about anyone these days. Jymie Merritt is not only one of the great bassists of his era, but also one of the great composers.”
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
3 notes
·
View notes
Text
Coloniser le sud du Liban ? Un fantasme d'Israéliens messianiques à prendre au sérieux (Ha'Aretz via Courrier International, 3 juillet 2024)
"Que disent ces supposés “illuminés” ?
“Le caractère prétendument colonial d’Israël n’est rien à côté de celui du Liban… Depuis sa création par les Français, en application des accords Sykes-Picot [1916], ce pays était et reste un État artificiel.”
Et puisque cette entité “artificielle”, qui plus est “faillie”, est dotée d’une frontière méridionale tout aussi “artificielle” avec Israël, frontière qui n’est jamais qu’un “reliquat des accords coloniaux franco-britanniques”, Israël devrait imposer au Sud-Liban “une frontière naturelle : le fleuve Litani. Au minimum.”
Un des intervenants de la conférence du 17 juin était le bibliste Yoël Elitzour, qui n’a pas craint de louer le “miracle éclatant” et le “message divin” censément annoncés par les massacres commis par le Hamas le 7 octobre 2023.
Elitzour a noyé son public sous une avalanche d’extraits du Tanakh [Bible] pour démontrer que le Liban fait partie de la Terre promise.
Un autre intervenant n’était autre que Hagi Ben-Artzi, le frère aîné de Sara Nétanyahou, l’épouse du Premier ministre.
“Nous ne sommes pas des extrémistes : nous ne revendiquons aucun mètre carré au-delà de l’Euphrate”, déclare-t-il pour “rassurer” ses adversaires.
Amiad Cohen, secrétaire général de la branche israélienne du Keren Hatikva [“Fonds de l’espérance”], un mouvement ultranationaliste religieux, s’est dit “horrifié” par le fait que, dans leur lexique actuel, les généraux de Tsahal ne parlent plus de “capture de territoires” comme objectif de guerre.
Tout ce qu’il espère, c’est le déclenchement d’une “troisième guerre du Liban”, dont l’issue sera la conquête et l’écrasement du territoire s’étendant de la frontière israélienne au fleuve Litani.
Et au-delà si possible.
On pourrait couvrir de ridicule les déclarations outrancières de l’organisation Uri Tzafon.
Sauf que ce n’est pas la première fois que la droite messianique parle de construire des colonies au Sud-Liban.
Lors de la première guerre du Liban [1982-1984], le Goush Emounim revendiquait déjà le “retour” sous souveraineté israélienne des “terres de la tribu d’Asher”, [une des douze tribus d’Israël], un territoire qui, selon la Bible, englobe les villes côtières de Tyr, en deçà du fleuve Litani, et de Saïda, quelques kilomètres au nord de ce fleuve, soit [une partie de] l’antique Phénicie.
Mais il nous faut aussi regarder la réalité actuelle, dans laquelle ce secteur idéologique et au départ marginal est parvenu, en presque soixante ans, à imposer à l’État d’Israël une vaste entreprise de colonisation de peuplement en Cisjordanie, ce qui semblait dément il y a cinq décennies.
C’est cette nouvelle réalité que rêve de reproduire, par exemple, le ministre des Finances et vice-ministre de la Défense, Bezalel Smotrich [extrême droite suprémaciste], lorsqu’il exige que l’armée israélienne “récupère” le Sud-Liban et “y restaure la présence juive” si le Hezbollah continue de tirer des missiles sur la Galilée [nord d’Israël].
Qui peut nous jurer qu’une revendication aussi insensée ne deviendra pas un élément discret mais central dans le débat public israélien si une guerre terrestre se déclenchait entre Israël et le Hezbollah ?
Nous devons prendre ce fantasme au sérieux.
Après tout, en cinquante-sept ans, ces gens et leurs groupuscules ont prouvé qu’en Israël, les délires du jour forgeaient la politique du lendemain et la réalité du surlendemain.
Le pire est toujours possible."
3 notes
·
View notes