#scandale littéraire
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Marlène Schiappa - Scandale
Présentation du roman Scandale de Marlène Schiappa qui fait suite au scandale du Fonds Marianne. Peut-être une explication par l'ancienne ministre...
Lorsque, en suivant les parutions, le roman Scandale de Marlène Schiappa est arrivé sur les étals, ma curiosité fut aiguisée. Même si la présomption d’innocence prévaut (l’affaire n’ayant pas été jugée et l’enquête du PNL étant toujours en cours), il semblerait que le fonds de 2,5 millions d’euros, lancé en 2021 pour lutter contre les discours séparatistes après le meurtre de Samuel Pathy, ait…
#Billet littéraire#Bric à brac de culture#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#france#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Ministère#Ministre#New-York#Politique#roman#Scandale#Scandale d&039;Etat#Scandales
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from Yves Gohin's introduction to the Folio classique edition of Les Mis:
Cette même année 1832, qui précède celle de la fin de l'action des Misérables, son attention est attirée sur l'un des ces condamnés à mort en qui il voit la figure du peuple dans la société de son temps. À la suite de l'exécution de Claude Gueux, meurtrier d'un gardien-chef de la prison de Clairvaux, il fixe en quelques pages les grandes lignes de ce qu'il appelera plus tard son « socialisme » : « Messieurs des centres, messieurs des extrémités, le gros du peuple souffre. [...] Le peuple a faim ; le peuple a froid. [...] Ayez pitié du peuple, à qui le bagne prend ses fils et le lupanar ses filles. [...] Songez au gros du peuple. Des écoles pour les enfants, des ateliers pour les hommes. » Il développe et publie cet appel deux ans plus tard, en conclusion du bref récit qu'il donne de l'histoire de Claude Gueux. (p. 13)
i'm not good at translating but i will paraphrase the relevant parts: it sounds like Claude Gueux was a real person executed in 1832 for the murder of a prison guard. his execution inspired Hugo to "outline in several pages what he would later call his 'socialism'" (see quoted text above, which includes "The people are hungry; the people are cold...Schools for the children, workshops for the men"). he added these pages to the end of the story he wrote about Gueux's life and execution and published the whole thing two years later.
what's been interesting to me reading this book in french is that gueux is also just a french noun (according to wordreference.com, it means pauper, derelict; down-and-out; social outcast; bandit, highwayman). for example, Marius's grandfather says this to him when he reveals his republican sympathies:
—Marius ! s'écria-t-il. Abominable enfant ! je ne sais pas ce qu'était ton père ! je ne veux pas le savoir ! je n'en sais rien et je ne le sais pas ! mais ce que je sais, c'est qu'il n'y a jamais eu que des misérables parmi tous ces gens-là ! c'est que c'étaient tous des gueux, des assassins, des bonnets rouges, des voleurs ! (III, 3, VIII, p. 813)
he's paralleling "gueux" here with assassins, bonnets rouges (radical faction during the french revolution), and thieves.
or in the Myriel chapters, the senator says to the bishop:
Je ne suis pas fou de votre Jésus qui prêche à tout bout de champ le renoncement et le sacrifice. Conseil d'avare à des gueux. (I, 1, VIII, p. 69)
Hapgood translated gueux here as "beggars". i checked a couple other passages and she also uses "blackguard" as a translation quite frequently. (gueux can be singular or plural in french.)
i looked up "gueux" in an etymology dictionary to see if perhaps the noun came from Claude Gueux, but it's had both the "beggar" sense and the "contemptible person" sense since at least the 1400s. so now i'm curious about Claude Gueux's name. is it a sobriquet? is it a pseudonym Hugo made up for his book, and that's part of why it's so hard to find information about the historical person? or was this guy just unlucky enough to have a last name that makes everyone think he's gonna grow up to be a criminal?
“ Room for a brief parenthesis. This is the second time, during his studies on the penal question and damnation by law, that the author of this book has come across the theft of a loaf of bread as the point of departure for the disaster of a destiny. Claude Gaux had stolen a loaf; Jean Valjean had stolen a loaf. English statistics prove the fact that four thefts out of five in London have hunger for their immediate cause.”
I searched up Claude Gaux, and what came up was the short story “Claude Gueux” by Hugo. So yes, he is likely citing himself, but he’s also stressing his role as a historian of sorts: he’s treating Claude Gueux as a real figure whose story he chanced upon in the same way he happened to find Valjean’s story. And in a way, he is a historian. The statistics he cites at the end of this paragraph confirm that, even if the people he’s writing about are fictional, their experiences are all too real. His book and his short story convey the emotional and psychological aspects of this experience - in other words, the human parts of it - that statistics exclude.
#more fun stuff about hugo referencing the book 'Claude Gueux'‚ which he himself wrote:#in book 3 there's a part where hugo is talking about the 'gamins' of paris#(sidenote hapgood translates gamin as 'street Arab' and i do NOT know why)#and he says that 'Ce mot‚ gamin‚ fut imprimé pour la première fois et arriva de la langue populaire dans la langue littéraire en 1834.#C'est dans un opuscule intitulé Claude Gueux que ce mot fit son apparition. Le scandale fut vif.' paraphrase: the word gamin was printed#for the first time in 1834 in a book entitled Claude Gueux and caused an uproar. to which yves gohin said in the endnotes:#'Ce mot - qui désignait à l'origine un garçon employé surtout pour faire les courses - ne put faire scandale en 1834‚ car il avait été déjà#imprimé au XVIIIe siècle‚ et en 1831 dans Notre-Dame de Paris.' paraphrase: this word could not have caused an uproar in 1834#as it had already been published in the 18th century‚ and in 1831 in The Hunchback of Notre-Dame.#AKA A BOOK ALSO WRITTEN BY VICTOR HUGO#so for some reason he chose to say that a word was printed for the first time in a book he wrote in 1834#when actually not only had it been in print for several decades but he himself had used it in a book three years BEFORE that book#incheresting...#les mis#french#etymology#sorry for vomiting on your post op but i hope at least some of this was relevant/interesting!#and sorry to the french speakers if you see any errors in the stuff i quoted from yves gohin because i had to dictate it to myself#so i might have spelled something wrong idk#luckily for the book passages i can just copy and paste from gutenberg. but not so for the front and end matter
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Vie et mort de Vernon Sullivan
Dimitri Kantcheloff retrace la vie d'un auteur américain qui n'a jamais existé. Vernon Sullivan est l'invention de Boris Vian, mais cette création va faire bien des ravages dans la France de l'après-guerre. Il va secouer tout le milieu littéraire.
En deux mots Quand Boris Vian relève le défi d’écrire en moins d’un mois un roman à scandale, il ne se rend pas compte combien sa vie va basculer. En inventant Vernon Sullivan, soi-disant auteur américain censuré, il se dote d’un double littéraire qui va secouer la France bienpensante avec J’irai cracher sur vos tombes et va faire de l’ombre à… Boris Vian. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma…
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#1946#Américain#Amour#écriture#écrivain#éditeur#émotion#best-seller#Biographie#bonnes mœurs#Boris Vian#cabaret#carrière#chanson#condamnation#créativité#critique#cœur#drame#fiction#frénésie#Gloire#histoire littéraire#Hommage#jazz#J’irai cracher sur vos tombes#Juliette Gréco#littérature#Maladie#notoriété
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Les Forces Obscures de l’Affaire Mbodj contre Eucalyptus SAS, un polar de Gaspard-Hubert Lonsi Koko, explore une affaire judiciaire complexe et potentiellement bouleversante. Curieux d’en savoir plus ? Lisez notre critique complète ! 🔗🔔📚
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24 novembre
deuxième jour de mon futur fertile et navigable j'ai terminé et envoyé mon poème sonore, j'en suis pas entièrement entièrement satisfaite mais c'était pour me mettre en jambes, j'ai appris plein de choses et je me suis pas laissée décourager par les difficultés techniques rencontrées comme d'habitude. deuxièmement: m. m'a appelée pour me dire qu'elle serait en espagne en janvier et que je pourrai avoir son appart pendant ce temps-là, si c'est pas du futur fertile et navigable ça je sais pas ce que c'est. ça va être la merde et stressant x1 million mais au moins je serai sur place et ce sera du concret. troisièmement: en trainant sur fb je suis tombée sur un appel à candidatures de la kulturfabrik qui cherchent leur nouvel.le artiste en résidence et cette fois c'est dans le domaine littéraire et il faut pas nécessairement avoir été publiée pour postuler, c'est une résidence de trois ans qui accompagne une oeuvre depuis sa création jusqu'à sa publication et sa diffusion avec maintes bourses, périodes de résidence rémunérées, possibilités de partenariats, conseils, ETC, c'est le starter pack de rêve ultime et je meurs de peur de me faire avoir par la delulu de nouveau parce qu'en lisant l'appel j'avais l'impression qu'il avait été inventé pour moi, moi spécifiquement, que c'était MOI qu'ils voulaient, mais je me dis qu'il vaut mieux la delulu et la souffrance qui en découle plutôt que de ne rien tenter du tout, comme avant que je décide à me prendre au sérieux.
25 novembre
jour 3 de mon futur fertile et navigable j'ai passé l'après-midi à un workshop de chant où j'ai pas chanté parce que j'avais trop peur. je sais pas si c'est le cours de chant de l'autre jour qui m'a traumatisée ou quoi parce que j'ai eu l'idée saugrenue de vouloir chanter piece of my heart de janis joplin et la prof m'a clairement dit que j'étais pas prête pour chanter ce genre de chanson, mais j'ai passé l'après-midi à trembler. à la pause la prof est venue me parler pour voir ce que je pourrais chanter, elle me posait plein de questions pour essayer de me faire cracher un titre et je faisais que dire je sais pas, comme si je connaissais zéro chanson, comme si j'avais jamais entendu parler de musique de ma vie. la femme qui chantait super bien me regardait avec consternation depuis sa chaise et j'entendais ses pensées qui disaient elle est vraiment paumée la pauvre petite. à la fin on a décidé je sais pas comment que je chanterais chasing pavements d'adele mais je me suis défilée au dernier moment et puis dès que je suis rentrée à la maison je l'ai chantée cinq fois d'affilée en version karaoke devant mon ordi. un mystère demeure cependant: je comprends toujours pas comment j'ai fait pour chanter all that jazz sur la scène du grand théâtre en faisant croire à tout le monde que j'étais une artiste pro qui savait ce qu'elle faisait. en fait il me faut une scène gigantesque et un public de mille personnes ou rien.
à la fin du cours, après avoir bien pesé le pour et le contre (attendre le bus pendant une heure dans le noir et dans le froid mais avoir la paix ou rentrer confortablement en voiture mais subir la torture de la conversation?) j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai demandé si quelqu'un rentrait en ville et le mec qui chantait très fort du rock en forçant sur la voix m'a prise avec lui. sa voiture sentait l'homme et après deux remarques sur la météo il m'a demandé ce que je faisais, mais j'ai vite réussi à faire dévier la conversation en usant de mon nouveau stratagème: poser mille questions sans laisser le temps à la conversation de revenir sur moi. je l'ai pas lâché. relentless. il s'est avéré qu'il était prof de philo dans mon lycée à l'époque où j'y étais, il m'a parlé de son projet avec les cochons qui avait fait scandale quand j'étais en troisième mais les seuls souvenirs qui m'en sont restés sont les fesses de yannick dans ses skinny jeans dans la cave où y avait l'enclos. en arrivant en ville, juste pour être on the safe side, je lui ai demandé pourquoi il était devenu prof de philo, mais on aurait pu rouler jusqu'en belgique parce que j'avais plein de questions en réserve encore (c'est qui ton philosophe préféré? tu connais whitehead? y a trois ans une philosophe géographe whiteheadienne a changé ma vie, etc) avant de me faire sortir il m'a demandé mon fb pour rester en contact si jamais il avait besoin d'une écrivaine pour un projet au lycée mais je l'ai forcé à m'ajouter sur insta. je l'ai tutoyé d'emblée de jeu et je lui ai dit qu'il faisait vraiment pas son âge et je me demande si j'étais pas à la limite du flirt parfois, involontairement parce que ew, mais ça m'a donné envie d'être flirty flirty avec quelqu'un de flirtable.
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La leçon de L’ESCLAVE de la JUSTICE
En romains 6.18, il est écrit que nous sommes esclaves de la justice, mais savons réellement ce que cela implique ? (Voir le contexte Romains 6.1-23)
Tout d’abord qu’est-ce que la « justice » selon le monde ? Dans le dictionnaire Larousse on peut y lire; « Principe moral qui exige le respect du droit et de l'équité : Faire régner la justice ». Ses synonymes sont le droit - la légalité - la loi. Selon le point de vue « littéraire, c’est l’autorité, la domination sur quelqu'un : Dicter sa loi aux autres ». C’est aussi des « règles de conduite, des conventions établies par les membres d'un groupe, par la morale ou la vie sociale ».
Au niveau biblique on retrouve ces mêmes éléments qui définissent le dikaïosunè, dikaïos (en grec), la « justice de Dieu ». Le principe moral abordé se retrouve face à la Sainteté de Dieu, et c’est la Sainteté de Dieu qui régit justement ce principe face à l’homme, pécheur, mais pourvu d’une conscience et de son libre arbitre. Ce principe du « droit » et « d’équité » est donné pour tous avec impartialité (Jb34.18-19), c’est un ordre inviolable selon Dieu. Cette justice se manifeste selon un ordre naturel aussi; ce que tu sèmes (de bien ou de mal) tu le récoltes, ici dans ce monde, ou prochainement dans le ciel (Lc16.19-31) qui que tu sois (Je17.10; 32.19; Ap20.12-13; 22.12, etc.)
Dans l’aspect biblique, versus l’aspect séculier de la justice, on peut voir que « faire régner la justice » et « avoir l’autorité et la domination sur quelqu’un, dicter sa loi aux autres » c’est le faire avec bienveillance et miséricorde (Jc5.11), comme Dieu le fait avec nous.
Si nous sommes appelés « justice de Dieu » ou « esclave de la justice », c’est évidemment que TOUS les principes cités plus haut, sont respectés et que notre position et l’autorité que nous avons reçu en Christ sont utilisés avec la ferme intention de LA faire respecter! Pour la faire respecter, nous ne sommes pas nous-mêmes « oublieux » de Ses lois, mais les pratiquons (Deut12.18; 2 Chr19.7; Ps146.7-9; Ac10.34-35; Pro11.1, etc.)
Cette justice s’inscrit aussi conformément à la loi, mais celle-ci étant accomplie par Christ et Christ habitant nos cœurs, elle y est « gravée » en nous, comme étant notre nouvelle identité en Jésus; Christ étant notre justice (1Co1.30), notre « tendance » est celle de l’Esprit (Rm8.1-9). Nous n’accomplissons plus la loi, mais la TRANSCENDONS, comme Christ l’a fait par le sacrifice ultime de Sa vie! Cette loi est inscrite dans nos cœurs, la Bible dit que celui-celle qui n’est pas né(e) de l’Esprit ne lui appartient pas (Rm8.10).
Ainsi, ce qui est des dix commandements est résumé dans un seul commandement « Écoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur; et: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. Voici le second: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là… » (Deut6.5; Mat22.37; Mc12.30; Lc10.27), englobe tous les éléments de la justice de Dieu; L’ordre donné et ordonné par Dieu, de l’aimer totalement (âme, cœur et pensée) et sans condition est accepté librement par l’homme en Lui obéissant. La position d’autorité acquise dans cette obéissance qui mène à l’équité et au respect du droit de « l’autre » en les considérant comme nous-même, dévoile en nous ce cœur « juste », cette « justice » de Dieu.
Il faut savoir, qu’il nous est impossible d’obtenir CETTE justice par nous-même ou nos propres efforts, car elle ne vient pas de ce monde, mais est provient du « Royaume de Dieu » (Mt6.33). Les lois de Dieu sont les siennes, non pas les lois des hommes (sans Dieu). Puisque le monde est régi par le péché, il ne peut non plus lui obéir et c’est bien là, la grande différence entre la définition du terme de justice (selon la conception séculière) et la justice biblique. Ce monde, aussi juste qu’il essaierait de l’être, ne peut y arriver; de là tous les scandales des gouvernements, des dirigeants, de la justice, des églises (charnelles) …
L’exemple est aussi donné par les pharisiens qui malgré leur extrême obéissance à la loi, n’y répondaient pas. La Bible dit d’ailleurs, qu’il n’y a pas un seul juste (Rm3.10; Mt12.18), mais le Christ devenant « justice pour nous » et étant d’ailleurs déclaré comme Le seul Juste (1Pi3.18; 1Jn1.9; Jc5.6), nous a fait devenir « justice » pour le monde (Jer23.5-6; 33.16; 1Co1.30; Rm1.17; 2Co5.21; Mt12.18). Les pharisiens qui ont méconnu cette « justice » en établissant LA LEUR, ne sont pas soumis à Dieu et sont passés à côté (Rm10.1-4). Maintenant à la lumière de ce que nous venons de voir et si vous allez voir dans la page (ou le site Internet dans « La leçon du doulos » ou de l’esclave; https://www.lalecondelorchidee.com/post/la-leçon-du-doulos-ou-de-l-esclave ) vous comprendrez ce qu’implique être « un ESCLAVE DE LA JUSTICE ».
L’esclave dont parle Romains 6.18, est celui qui a abandonné « ses propres droits » pour les « droits » de Son Dieu; il ne vit plus pour lui-même. Il ne cherche plus sa propre justice, mais celle de Dieu. Lorsqu’il est dépouillé, meurtri, abandonné, il cherche Dieu, et espère en Sa justice; non pour le mal de l’autre, mais pour son bien, en espérant toujours que l’âme de son ennemi ira au ciel (Lc23.24) « Père, pardonne-leur... » Un pardon incompréhensible dans ce monde ! Le chrétien, lorsqu’il voit quelqu’un être dépouillé, meurtri, abandonné, cherche à le défendre (La justice sociale). Une justice incompréhensible dans ce monde, qui pourtant en connait les termes!
L’esclave ne s’appartient plus, mais il a UN SEUL maître, il ne dépend plus, ni de ses propres lois qui habitaient antérieurement son cœur, mais dépend de La Loi de Son Dieu; « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu … » L’esclave de la justice, ne pratique plus SA PROPRE JUSTICE, mais en toutes circonstances, suit La JUSTICE DE DIEU, même si celle-ci est opposée au monde qui l’environne ou à ses propres désirs. La JUSTICE DE DIEU est aussi respectueuse des autorités instituées, des plus faibles, des opprimés, des pauvres, des veufs-ves… (Rm13.1-2; Lc14.13-14; Mat25.40; Ph2.4; 1Tm5.8; Prov21.13; Gal2.10; Jc2.14-17; 1Co13.1-2, etc.) Finalement, être esclave de la justice de Dieu, permet d’être sanctifié et amène à la consécration totale. Il n’y a donc, aucun moyen d’être sanctifié ou consacré à Dieu, sans être esclave de Sa Justice (Rm6.23) et sans être consacré et sanctifié, IL N’Y PAS MOYEN D’OBTENIR LA VIE ÉTERNELLE !
PRIONS : Seigneur je viens devant Toi, afin que Tu places en moi TA justice; Viens habiter mon cœur ! Viens prendre toute la place ! Je vois Seigneur que parfois encore je recherche ma propre justice, comme tous les hommes, mais Seigneur, Tu nous invites plutôt à prier pour ceux-là (Mt5.44)! Viens me changer, viens mettre Ta Loi gravée dans mon cœur, viens m’aider à y répondre et pardonne-moi toutes les fois, ou j’ai cherché à obtenir ma propre justice ! Viens aussi me donner le discernement afin que je voie, lorsque tu désires que je me lève pour me battre, ou le temps où tu veux que j’attende que Tu agisses ! Donne-moi cette intelligence. Je veux être Ton « doulos », ton esclave, et je veux être « esclave de TA justice », je ne veux plus écouter mes désirs, mes lois ! Aujourd’hui, Seigneur, je place ma vie, mon âme, mes pensées et mon cœur dans Tes mains, au Nom de jésus ! je prie aussi pour que toutes les églises et tous-tes les chrétiens-nes puissent saisir L’IMPORTANCE D’ÊTRE ESCLAVE DE TA JUSTICE et de l’accepter !
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Dans mes idées abandonnées, il y avait créer un fanzine de critique littéraire méchant. Dans mes nouvelles idées, il y a créer un discord autour de la littérature par et pour les jeunes. Un truc jeuniste, vraiment, assumé. Dommage que je vieillis.
Voilà différents salons qui pourraient s'y trouver :
citations
selfies
score social
édition
scandales
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Joyeux Anniversaire à Dany Laferrière.
Académicien, écrivain, réalisateur. Né le 13 avril 1953.
Né à Port-au-Prince en 1953 d’un père intellectuel et homme politique, Windsor Klébert Laferrière, et d’une mère archiviste à la mairie de Port-au-Prince, Marie Nelson, Windsor Klébert, qui deviendra Dany, passa son enfance avec sa grand-mère, Da, à Petit-Goâve, dans cet univers dominé par les libellules, les papillons, les fourmis, les montagnes bleues, la mer turquoise de la Caraïbe et l’amour fou pour Vava. Ces épisodes heureux sont relatés dans deux de ses romans : L’Odeur du café et Le Charme des après-midi sans fin.
À la fin de ses études secondaires au collège Canado-Haïtien, Dany Laferrière commence à travailler à l’âge de dix-neuf ans à Radio Haïti Inter, et à l’hebdomadaire politico-culturel Le Petit Samedi soir. Il signait, à la même époque, de brefs portraits de peintres dans leur atelier pour le quotidien Le Nouvelliste.
À la suite de l’assassinat de son ami Gasner Raymond, trouvé sur la plage de Braches, à Léogâne, le 1er juin 1976, il quitte précipitamment Port-au-Prince pour Montréal. Cet évènement sera raconté dans son roman Le Cri des oiseaux fous.
Il débarque dans une ville en pleine effervescence des Jeux olympiques et à la veille des élections historiques qui amèneront l’équipe de René Lévesque au pouvoir pour changer à jamais le paysage politique du Québec.
Seul, il observe cette ville nouvelle, et s’acclimate difficilement à l’hiver, parcourant le quartier latin fourmillant d’artistes où il dépose ses pénates. C’est un homme libre de vingt-trois ans qui s’engage dans une nouvelle vie tout en luttant pour échapper à la nostalgie, à la solitude et à la misère.
Pendant huit ans, il enchaîne les emplois précaires, parfois dans des usines en banlieue de Montréal, logeant dans des chambres « crasseuses et lumineuses » sans cesser de caresser un vieux rêve d’écrivain. Il se procure chez un brocanteur de la rue Saint-Denis cette fameuse machine à écrire Remington 22, qui l’accompagnera pendant une dizaine de romans.
Le voilà installé dans sa baignoire « rose » avec du mauvais vin pour lire tous ces écrivains qu’il ne pouvait se payer à Port-au-Prince : Hemingway, Miller, Diderot, Tanizaki, Gombrowicz, Borges, Marie Chauvet, Bukowski, Boulgakov, Baldwin, Cendrars, Mishima, Marquez, Vargas Llosa, Salinger, Grass, Calvino, Roumain, Ducharme, Virginia Woolf... Il deviendra le lecteur passionné, « l’homme-livre » que l’on connaît.
Paraît, en 1985, le roman Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, qui explose dans le ciel littéraire du Québec.
À la suite du succès éclatant de son premier roman, la nouvelle télévision Quatre Saisons l’embauche en 1986 pour présenter la météo. Le Québec reçoit le choc d’un Noir annonçant la neige et les angoissantes blancheurs de février, tout cela avec légèreté et humour. Un nouveau personnage est né dans le paysage télévisuel. Ce qui l’amènera à la fameuse émission de Radio-Canada, La Bande des six, qui réunit six des meilleurs chroniqueurs de la presse québécoise.
1986, c’est aussi la mort de Jorge Luis Borges, ce vieux maître aveugle de Buenos Aires qu’il ne cessera jamais de lire. 1986, c’est surtout la fin de la dictature des Duvalier et un premier bref retour en Haïti. Avec son ami, l’écrivain Jean-Claude Charles, il parcourt le pays tout en tenant une chronique quotidienne pour Le Nouvelliste sur la débâcle des tontons macoutes et la fin du régime des Duvalier.
1989, la sortie du film tiré de son premier roman, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, lui permet de se familiariser avec le cinéma. Le film provoque un scandale aux États-Unis où la plupart des grands médias l’ont censuré. Le cinéma influence grandement son écriture (Le Goût des jeunes filles). C’est l’époque où il fréquente le petit cinéma « Le Ouimetoscope », découvrant un cinéma d’auteur qui imprègnera son œuvre.
En 1990, il quitte Montréal avec sa famille pour Miami, afin d’échapper à l’hiver mais surtout à cette célébrité bruyante qui n’était pas compatible avec le silence intérieur qu’exige le travail d’écrivain. Il écrit paisiblement à Kendall dix romans en douze ans, des livres qui forment l’ossature de son œuvre, dont le fameux cycle haïtien : L’Odeur du café, Le Goût des jeunes filles, Le Charme des après-midi sans fin, La Chair du maître, Le Cri des oiseaux fous, Pays sans chapeau… Miami, c’est l’époque studieuse où l’auteur travaille sans relâche, pas loin d’un petit lac dont il fait le tour chaque matin en ruminant les descriptions et les dialogues à écrire.
Printemps 1999, le Québec est le pays à l’honneur au Salon du livre de Paris. Invités de l’émission Bouillon de culture, de Bernard Pivot, avec Robert Lalonde et Gaétan Soucy, les trois écrivains québécois se distinguent ce soir-là. Dany Laferrière va jusqu’à souhaiter que l’on puisse remettre un jour le prix Nobel au Québec pour l’originalité de sa littérature.
Retour à Montréal après la sortie du Cri des oiseaux fous, son dixième roman, et fin de l’épisode de Miami.
Après une quinzaine d’années de travail acharné, Laferrière décide de cesser d’écrire de nouveaux récits pour prendre le temps de « revisiter » ses précédents romans. Il réécrit six romans, ajoutant de nouveaux chapitres, jusqu’à faire surgir une œuvre plus dense. Le procédé de réécriture à la manière Laferrière étonne considérablement la critique et encore davantage les universitaires.
Il redessine lui-même son œuvre, aménageant des passerelles entre les romans jusqu’à découvrir qu’il s’agit en fait d’un seul livre : une Autobiographie américaine. Cette Autobiographie américaine permet de lier les deux cycles, le cycle nord-américain, composé de romans urbains, agressifs, et le cycle haïtien, plus calme et empreint de la tendresse de Da, sauf lorsque l’action se déroule dans l’atmosphère de la dictature. Pendant longtemps, les critiques évoquent une autobiographie en dix romans. Il s’agit, selon Laferrière, d’un ensemble comprenant récits, romans et essais, qui forme aujourd’hui un corpus de vingt-deux ouvrages.
Après avoir scénarisé Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, Le Goût des jeunes filles et participé activement à l’élaboration de Vers le sud, de Laurent Cantet, avec Charlotte Rampling, Laferrière scénarise et réalise son premier film Comment conquérir l’Amérique en une nuit. Il retrouve sur le plateau son vieux complice Maka Kotto dans ce film qui raconte une histoire pas trop éloignée de celle de cet enfant d’Haïti. Une narration où deux hommes échangent leurs expériences. L’oncle, qui vit depuis vingt ans à Montréal, décide de rentrer tandis que son jeune neveu arrive à Montréal pour y rester. On dirait deux paquebots se croisant dans la nuit sans se voir. Les critiques y ont pourtant vu un seul et même personnage : l’auteur n’a fait que mettre en scène deux périodes de sa vie.
En novembre 2009, Laferrière fait une rentrée remarquée avec L’Énigme du retour, qui a un vif succès au Québec avant de recevoir le prix Médicis. De nombreux prix suivront, dont le Grand Prix du livre de Montréal, le prix des libraires du Québec, le Combat des livres de Radio-Canada.
Janvier 2010, Laferrière se trouve à Port-au-Prince quand le séisme frappe le pays. Il note sur son carnet noir ses observations de manière si spontanée que les lecteurs auront l’impression de vivre l’évènement en direct. Tandis que la télévision montre les immeubles effondrés et compte les morts, Laferrière raconte la vie quotidienne dans une ville complètement brisée et les tentatives désespérées des gens pour garder une certaine dignité dans le malheur. La littérature, en s’éloignant du scandale, nous fait pénétrer dans l’intimité de la catastrophe.
Il publie en 2011, L’Art presque perdu de ne rien faire, qui rassemble ses chroniques sur Radio-Canada. Cet essai remporte un étonnant succès critique et de librairie.
Deux ans plus tard, en février 2013, il récidive avec Journal d’un écrivain en pyjama. Dans cet essai, Laferrière fait l’éloge de ses deux passions : l’écriture et la lecture, en deux cent deux chroniques sur des sujets aussi divers que la place de l’adjectif dans la phrase ou le plagiat dans les mœurs de la littérature. Ce livre intéressera l’écrivain en herbe comme le lecteur passionné. Il préside du 1er au 8 mai 2013 les Rencontres québécoises en Haïti, évènement qui rassemble une cinquantaine d’auteurs et de professionnels du livre haïtiens et québécois.
Prix international de littérature décerné par la Maison des cultures du monde, pour L’Énigme du retour, en 2014. Grand Prix Ludger-Duvernay, en 2015. En 2016, docteur honoris causa de Midlebury College (USA) et des universités Paris-Sorbonne et Pierre et Marie Curie.
Officier de l'ordre national du Québec (2014), citoyen d'honneur de la ville de Montréal (2014), officier de l'ordre du Canada (2015), compagnon des Arts et des Lettres du Québec (2015).
Élu à l’Académie française, le 12 décembre 2013, au fauteuil d’Hector Bianciotti (2e fauteuil)
Œuvres
Certains ouvrages sont édités chez Grasset : Le goût des jeunes filles (2005), Je suis un écrivain japonais (2008), L’énigme du retour (2009), Chronique de la dérive douce (2012), Journal d’un écrivain en pyjama (2013).
1985 Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer (VLB Éditeur)
1985 Haïti (Québec) - scénario; réalisation Tahami Rached
1987 Éroshima (VLB Éditeur)
1991 L’Odeur du café (VLB Éditeur)
1992 Le Goût des jeunes filles (VLB Éditeur)
1993 Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit ? (VLB Éditeur)
1994 Chronique de la dérive douce (VLB Éditeur)
1996 Pays sans chapeau (Lanctôt Éditeur)
1997 La Chair du maître (Lanctôt Éditeur)
1997 Le Charme des après-midi sans fin (Lanctôt Éditeur)
2000 J'écris comme je vis - entretien avec Bernard Magnier (Lanctôt Éditeur)
2000 Je suis fatigué (Lanctôt Éditeur)
2000 Le Cri des oiseaux fous (Lanctôt Éditeur)
2004 Comment conquérir l’Amérique en une nuit - réalisation et scénario
2005 Les Années 80 dans ma vieille Ford
2006 Je suis fou de Vava - illustrations de Frédéric Normandin (Éditions de la Bagnole)
2006 Vers le sud (Boréal)
2008 Je suis un écrivain japonais (Boréal)
2009 La Fête des morts - illustrations de Frédéric Normandin (Éditions de la Bagnole)
2009 L’Énigme du retour (Boréal)
2010 Conversations avec Dany Laferrière - interviews de Ghila Sroka (La Parole métèque)
2010 Tout bouge autour de moi
2011 L’Art presque perdu de ne rien faire (Boréal)
2013 Journal d’un écrivain en pyjama
2014 L'art presque perdu de ne rien faire (Grasset)
2015 Tout ce qu’on ne te dira pas Mongo (Boréal)
2015 Dany Laferrière à l’Académie française (Boréal)
2016 Mythologies américaines (Grasset)
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#ecrivain
#ecrivainhaitien
#danylaferriere
#academiefrancaise
#HugoValcin
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Les artistes ne sont pas des dieux grecs.
Claude François, Gabriel Matzneff, Roman Polanski et j’en passe, sont autant d’hommes dont on dira qu’ils étaient des artistes avant tout, parce qu’on a envie d’oublier que les oeuvres artistiques peuvent-être le produit de criminels ou de prédateurs.
L’art, de manière générale, a longtemps primé sur la “morale”, comme l’affirme Pivot. Les hommes ont toujours accordé plus d’importance aux individus qui avaient une voix et les moyens de la faire entendre, surtout quand cette voix s’avérait charmante et mélodieuse. Tout le monde a bu leurs paroles comme si le talent excusait les propos, comme si les deux étaient indissociables.
Soudain, les voix silencieuses s’élèvent et tout le monde s’étonne, s’indigne qu’on nous mette le nez dans la merde qu’était ces déclarations. Il faut dire qu’on ne savait plus ce qu’on applaudissaient, des paroles ou des hommes. C’est bien là la grande plaie des milieux artistiques : les lettrés aiment idolâtrer les écrivains comme des dieux, et les dieux sont au dessus de la morale et de la loi.
Gabriel Matzneff ne s’indigne pas qu’on mente, mais qu’on cherche à lui “nuire”. C’est Zeus qui, se réveillant un matin, découvre qu’Europa a révélé son viol et qui, en bon dieu grec, ne conçoit pas qu’on puisse l’inquiéter pour ce qu’il considère comme un dû. Il lui a fait un honneur et elle ose lui faire un reproche ? Pire ? L’accuser de lui avoir fait du mal ? C’est un dieu après tout. La loi ne s’applique pas aux dieux. La souffrance des autres ne compte pas puisqu’il l’a transfigurée en art.
Gabriel Matzneff, comme bien d’autres, ont été des dieux pendant trop longtemps. Leur talent artistique leur offrait ce privilège. L’effondrement de leur culte, la contestation de leur art, est un acte d’apostasie au sein de la sphère artistique et culturelle. Si on condamne les propos, alors on passe dans l’autre camp : celui des censeurs, des autodafeurs, des méchants. On hurle au blasphème, on cherche des tares aux accusateurs même quand l’homme lui-même affirme de vive voix son crime. il l’a fait, oui, mais ce ne peut pas être un crime puisque c’est de l’art.
Contrairement à ce que dit Pivot, de nos jours, la morale ne passe pas avant la littérature : l’écrivain est séparé de l’homme. On peut admettre que Céline était un excellent écrivain et un antisémite aux propos condamnables. De même, on devrait pouvoir reconnaître à Grabriel Matzneff qu’au delà de ses qualités d’écrivain, il y avait un homme qui affirmait de lui-même sur le plateau d’Apostrophe qu’il enchaînait les conquêtes de jeunes filles aussi jeunes que quatroze ans.
youtube
Le XXème siècle n’était pas “une autre époque”. Les lois protégeant les mineurs existaient déjà au temps ou Gabriel Matzneff faisaient ces déclarations, et il est honteux que Pivot ne profite pas de ce scandale pour faire un mea culpa sur sa position d’autrefois, au lieu de se complaire dans la nostalgie d’un temps où, contrairement à ce qu’il affirme, ce n’était pas la littérature, mais les littéraires qui étaient intouchables.
Il est temps que les dieux puissent se présenter devant la justice tels qu’ils ont toujours été : des hommes, et pour certains, des prédateurs sexuels, qui ne sont pas exempt du jugement de leurs crimes au nom de l’Art.
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Xavier FORNERET. Rien. Au profit des pauvres. (Dijon, Imprimerie de Noëllat fils), janvier 1836.
Plaquette in-8, demi-maroquin lavallière à grain long avec coins, dos à quatre nerfs orné or et à froid, pièces de titre de maroquin vert, non rogné, tête dorée, couverture ornementée conservée (Georges Hugnet).
Édition originale d'une grande rareté : l'exemplaire Éluard.
Elle a été imprimée à compte d'auteur à Dijon par Noëllat. La couverture ornementée fait office de titre. “Voici venir une nuit sombre, avec un roulement infernal précédé d' éclairs, tantôt bleuâtres tantôt sanglants” (page 4).
L'humoriste noir, précurseur du Surréalisme exhumé par André Breton. Ni Carteret ni Talvart n'ont daigné se pencher sur la production du “petit romantique”, allergique aux cénacles littéraires et à peu près inconnu de son vivant. Riche vigneron saisi par le démon de la littérature, Xavier Forneret (Beaune, 1809-1884) se ruina pour faire jouer ses pièces et éditer ses livres.
L'insuccès de ses drames, l'obstination dans le scandale, contribuèrent sans doute à masquer les trouvailles saisissantes du poète. “L'Homme noir” portait des vêtements de deuil, passant ses nuits à jouer du violon avant de s'étendre dans un cercueil d'ébène. Acrobaties métriques, typographie déroutante, inflation des blancs, écriture automatique, poèmes en prose - qu'il est l'un des tout premiers à pratiquer -, sa forme d'humour enfin, le firent découvrir par les surréalistes qui saluèrent en lui un précurseur.
Exemplaire de la bibliothèque de Paul Éluard avec son ex-libris dessiné par Max Ernst portant la devise : “Après moi le sommeil.” Il a été relié par Georges Hugnet.
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Maria Pourchet - Western
Un roman de la rentrée littéraire à découvrir !
RENTREE LITTERAIRE 2023 Se régaler par un ton, des tournures de phrases, une impertinence littéraire, ce fut mon émotion à la lecture de Western de Maria Pourchet. En raconter des brides serait, peut-être, se priver de cette découverte si particulière qu’est le style mordant de cette écrivaine. Et pourtant, en voici des éléments : Décor Comme dans un Western, mais ici sur le Causse, deux…
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Le blé en herbe, Colette
Tous les étés, Philippe et Vinca se retrouvent en Bretagne, dans une maison qui abrite leurs jeux et leur complicité. Mais cette année, tout est différent : Philippe a seize ans, Vinca quinze, et l’enfance laisse place à l’adolescence et aux nouveaux sentiments et troubles de cet âge. À ça s’ajoute une mystérieuse dame en blanc que rencontre Phil, et qui va l’initier aux plaisir charnels…
J’ai bien aimé ce court roman, mais c’était loin d’être THE roman. Cela dit, c’est toujours intéressant de lire une histoire sur le passage de l’enfance à l’adolescence ! Colette a écrit Le blé en herbe en 1923, et ça a fait scandale à l’époque : déjà, une femme n’avait pas à écrire sur les relations charnelles ; mais là, c’est une femme plus âgée qui initie un jeune garçon ! Ça m’a un peu gênée d’ailleurs — et encore plus quand j’ai appris que Colette s’était inspirée de sa liaison avec son beau-fils…
J’ai bien aimé, et j’ai bien aimé découvrir Colette ; malheureusement, je pense que Le blé en herbe va avoir le même destin que Home : d’ici un an, je l’aurais sans doute (presque) complètement oublié… C’est pour ça que je ne lis pas beaucoup de courts romans : ce mois-ci, je voulais participer au challenge littéraire de la Bookstagrammeuse Le Souffle des Mots (« petit mois petites lectures »), mais je me rends compte que comme je lis vite, j’oublie vite les histoires qui ne me marquent pas beaucoup — et j’oublie encore plus vite les romans courts…
18/02/2022 - 19/02/2022
#livres#books#livre#book#littérature#littérature francophone#littérature classique#colette#le blé en herbe
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Rimbaud et Ta gueule !
Une manie compulsive que la récupération à la française. Tout ne serait question que de points de vue si cette récupération n’était pas l’œuvre d’imbéciles. Un french kiss dans lequel le sujet doit se soumettre et se conformer à la définition que fait de lui le dominant. Arthur Rimbaud est par définition irréductible. Fugueur de par les routes et de par la vie, des crétins forgent une Légende dorée aux minables dimensions de leurs convenances. Un Rimbaud de pacotille dont les idiots font l’économie de la complexité du Voyant. Ils veulent s’offrir au prix de l’oubli, fruit mûr du temps passé, ce poète épris d’une véritable liberté et détracteur de l’ordre établi. Son insolence égratignait les bien-pensants. Maudit jusque dans l’esprit et dans sa chair. Une malédiction qui échappe à ces bien-nés dont le statut se transmet par héritage. Héritage qui trouve ses origines dans la duplicité et le vol de ceux dont le poète, lui-même, témoigne de la condition. Ils se gavent de distinctions, d’honneurs, de diplômes et de médailles en chocolat. Ils sont enfermés dans une vie sans imagination, une routine sécuritaire, les pieds dans le matériel et les mains dans l’argent, la moralité centrée sur leurs intérêts, sur la propriété et les possessions. Une thésaurisation stoppée au stade de la rétention des matières fécales. Aucune transcendance dans cette réduction de l’existence à la mesure de leur échelle des valeurs bien en-deçà de l’Absolu.
Rimbaud navigue dans les tensions de ses contraires. Il n’envisage pas de les corriger pour asseoir les principes de ceux qui ne veulent souffrir d’aucune critique et pour qui la moindre objection est un affront. Accumulation de contradictions chez ces ennemis pris la main dans le sac et qui, en raison de leur sacro-sainte position dominante, veulent que des paradoxes de Rimbaud sorte le moyen de se racheter une conscience. De leurs petits calculs, lâchetés, mesquines abdications, ces sots espèrent une consolation tirée de l’opportune récupération de celui qui leur cracherait au visage et vomirait sur leurs chaussures. Plus qu’une faute de goût, il s’agit d’une trahison, un crime lèse-poète. Chacun y va de sa récupération teintée de l’innovation ou de conformisme mais tous oublieux de la personne et de la poésie. Poésie qui offre l’occasion à ces pédants d’ériger la bêtise en idolatrines. Ils ne vont pas vous faire prendre des vessies pour des lanternes mais des putes, que les conditions bourgeoises ont rejetées à la marge, pour des saintes-nitouches avides de leur vider les couilles. Que ces bourgeois ignorants crèvent. Le poète fait société avec la vermine des cafés, des bistrots, des cabarets et le pullulement de la rue. Rimbaud, le révolté ébranle les certitudes académiques. Il n’appartient qu’à lui-même. Il abandonnera l’écriture par écœurement de ce milieu littéraire sclérosé dans ses codes et ses pratiques. La poésie, une illusion de jeunesse.
Rimbaud a échappé à sa panthéonade. Ultime insulte d’une tentative de récupération nationale en jouant d’ellipses sur les amours de Verlaine et des passages de vie d’un Rimbaud effleurant la fraternisation avec les communards de 1871. Un Rimbaud participant avec férocité et ardeur à l’ensauvagement d’une France invariable. Ne lui faisons pas trop vite endosser un costume d’idiot utile dans la défense d’une cause quelconque. Rimbaud s’en fout. Il n’a pas de cause à investir. Il a même été pensé d’enfermer Rimbaud dans la chapelle du Symbolisme. Il s’en serait torché le cul.
Rimbaud n’était pas dupe des réalités. Irrespirable la respectabilité de façade qui couvre les scandales, imbuvables ces notables de province qui cultivent le goût de l’apparence dans sa forme la plus cruelle, hypocrite et antipathique. Rimbaud prend la fuite vers l’Orient. Rimbaud l’apatride, hors des frontières et des conventions de son époque, effectue des escapades au cœur de cette immense exploitation de ressources qu’est la géographie coloniale. Sa nature de poète l’empêchera de faire fortune. Rimbaud ne peut être réduit à un archétype bourgeois de bad boy. Pourtant comme ils aiment à distribuer les étiquettes : négros, youpin, bougnoules, beaufs, salopes, lesbiennes, pédés, pauvres, migrants, impies, irréligieux, démunis, immigrés, étrangers, terroristes… et ouvrir des débats pour s’excuser de la merde qu’ils produisent. Des débats de repentance publique auxquels les principaux intéressés ne sont que rarement conviés ou pour prendre une position de faire-valoir.
Rimbaud le voyou, l’apache, le sauvage, le beatnik, le poète maudit, le génie incompris… Rimbaud tout simplement et Ta gueule !
Par Fabrice JUERY
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La leçon de L’ESCLAVE de la JUSTICE
En romains 6.18, il est écrit que nous sommes esclaves de la justice, mais savons réellement ce que cela implique ? (Voir le contexte Romains 6.1-23)
Tout d’abord qu’est-ce que la « justice » selon le monde ? Dans le dictionnaire Larousse on peut y lire; « Principe moral qui exige le respect du droit et de l'équité : Faire régner la justice ». Ses synonymes sont le droit - la légalité - la loi. Selon le point de vue « littéraire, c’est l’autorité, la domination sur quelqu'un : Dicter sa loi aux autres ». C’est aussi des « règles de conduite, des conventions établies par les membres d'un groupe, par la morale ou la vie sociale ».
Au niveau biblique on retrouve ces mêmes éléments qui définissent le dikaïosunè, dikaïos (en grec), la « justice de Dieu ». Le principe moral abordé se retrouve face à la Sainteté de Dieu, et c’est la Sainteté de Dieu qui régit justement ce principe face à l’homme, pécheur, mais pourvu d’une conscience et de son libre arbitre. Ce principe du « droit » et « d’équité » est donné pour tous avec impartialité (Jb34.18-19), c’est un ordre inviolable selon Dieu. Cette justice se manifeste selon un ordre naturel aussi; ce que tu sèmes (de bien ou de mal) tu le récoltes, ici dans ce monde, ou prochainement dans le ciel (Lc16.19-31) qui que tu sois (Je17.10; 32.19; Ap20.12-13; 22.12, etc.)
Dans l’aspect biblique, versus l’aspect séculier de la justice, on peut voir que « faire régner la justice » et « avoir l’autorité et la domination sur quelqu’un, dicter sa loi aux autres » c’est le faire avec bienveillance et miséricorde (Jc5.11), comme Dieu le fait avec nous.
Si nous sommes appelés « justice de Dieu » ou « esclave de la justice », c’est évidemment que TOUS les principes cités plus haut, sont respectés et que notre position et l’autorité que nous avons reçu en Christ sont utilisés avec la ferme intention de LA faire respecter! Pour la faire respecter, nous ne sommes pas nous-mêmes « oublieux » de Ses lois, mais les pratiquons (Deut12.18; 2 Chr19.7; Ps146.7-9; Ac10.34-35; Pro11.1, etc.)
Cette justice s’inscrit aussi conformément à la loi, mais celle-ci étant accomplie par Christ et Christ habitant nos cœurs, elle y est « gravée » en nous, comme étant notre nouvelle identité en Jésus; Christ étant notre justice (1Co1.30), notre « tendance » est celle de l’Esprit (Rm8.1-9). Nous n’accomplissons plus la loi, mais la TRANSCENDONS, comme Christ l’a fait par le sacrifice ultime de Sa vie! Cette loi est inscrite dans nos cœurs, la Bible dit que celui-celle qui n’est pas né(e) de l’Esprit ne lui appartient pas (Rm8.10).
Ainsi, ce qui est des dix commandements est résumé dans un seul commandement « Écoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur; et: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. Voici le second: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là… » (Deut6.5; Mat22.37; Mc12.30; Lc10.27), englobe tous les éléments de la justice de Dieu; L’ordre donné et ordonné par Dieu, de l’aimer totalement (âme, cœur et pensée) et sans condition est accepté librement par l’homme en Lui obéissant. La position d’autorité acquise dans cette obéissance qui mène à l’équité et au respect du droit de « l’autre » en les considérant comme nous-même, dévoile en nous ce cœur « juste », cette « justice » de Dieu.
Il faut savoir, qu’il nous est impossible d’obtenir CETTE justice par nous-même ou nos propres efforts, car elle ne vient pas de ce monde, mais est provient du « Royaume de Dieu » (Mt6.33). Les lois de Dieu sont les siennes, non pas les lois des hommes (sans Dieu). Puisque le monde est régi par le péché, il ne peut non plus lui obéir et c’est bien là, la grande différence entre la définition du terme de justice (selon la conception séculière) et la justice biblique. Ce monde, aussi juste qu’il essaierait de l’être, ne peut y arriver; de là tous les scandales des gouvernements, des dirigeants, de la justice, des églises (charnelles) …
L’exemple est aussi donné par les pharisiens qui malgré leur extrême obéissance à la loi, n’y répondaient pas. La Bible dit d’ailleurs, qu’il n’y a pas un seul juste (Rm3.10; Mt12.18), mais le Christ devenant « justice pour nous » et étant d’ailleurs déclaré comme Le seul Juste (1Pi3.18; 1Jn1.9; Jc5.6), nous a fait devenir « justice » pour le monde (Jer23.5-6; 33.16; 1Co1.30; Rm1.17; 2Co5.21; Mt12.18). Les pharisiens qui ont méconnu cette « justice » en établissant LA LEUR, ne sont pas soumis à Dieu et sont passés à côté (Rm10.1-4). Maintenant à la lumière de ce que nous venons de voir et si vous allez voir dans la page (ou le site Internet dans « La leçon du doulos » ou de l’esclave; https://www.lalecondelorchidee.com/post/la-leçon-du-doulos-ou-de-l-esclave ) vous comprendrez ce qu’implique être « un ESCLAVE DE LA JUSTICE ».
L’esclave dont parle Romains 6.18, est celui qui a abandonné « ses propres droits » pour les « droits » de Son Dieu; il ne vit plus pour lui-même. Il ne cherche plus sa propre justice, mais celle de Dieu. Lorsqu’il est dépouillé, meurtri, abandonné, il cherche Dieu, et espère en Sa justice; non pour le mal de l’autre, mais pour son bien, en espérant toujours que l’âme de son ennemi ira au ciel (Lc23.24) « Père, pardonne-leur... » Un pardon incompréhensible dans ce monde ! Le chrétien, lorsqu’il voit quelqu’un être dépouillé, meurtri, abandonné, cherche à le défendre (La justice sociale). Une justice incompréhensible dans ce monde, qui pourtant en connait les termes!
L’esclave ne s’appartient plus, mais il a UN SEUL maître, il ne dépend plus, ni de ses propres lois qui habitaient antérieurement son cœur, mais dépend de La Loi de Son Dieu; « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu … » L’esclave de la justice, ne pratique plus SA PROPRE JUSTICE, mais en toutes circonstances, suit La JUSTICE DE DIEU, même si celle-ci est opposée au monde qui l’environne ou à ses propres désirs. La JUSTICE DE DIEU est aussi respectueuse des autorités instituées, des plus faibles, des opprimés, des pauvres, des veufs-ves… (Rm13.1-2; Lc14.13-14; Mat25.40; Ph2.4; 1Tm5.8; Prov21.13; Gal2.10; Jc2.14-17; 1Co13.1-2, etc.) Finalement, être esclave de la justice de Dieu, permet d’être sanctifié et amène à la consécration totale. Il n’y a donc, aucun moyen d’être sanctifié ou consacré à Dieu, sans être esclave de Sa Justice (Rm6.23) et sans être consacré et sanctifié, IL N’Y PAS MOYEN D’OBTENIR LA VIE ÉTERNELLE !
PRIONS : Seigneur je viens devant Toi, afin que Tu places en moi TA justice; Viens habiter mon cœur ! Viens prendre toute la place ! Je vois Seigneur que parfois encore je recherche ma propre justice, comme tous les hommes, mais Seigneur, Tu nous invites plutôt à prier pour ceux-là (Mt5.44)! Viens me changer, viens mettre Ta Loi gravée dans mon cœur, viens m’aider à y répondre et pardonne-moi toutes les fois, ou j’ai cherché à obtenir ma propre justice ! Viens aussi me donner le discernement afin que je voie, lorsque tu désires que je me lève pour me battre, ou le temps où tu veux que j’attende que Tu agisses ! Donne-moi cette intelligence. Je veux être Ton « doulos », ton esclave, et je veux être « esclave de TA justice », je ne veux plus écouter mes désirs, mes lois ! Aujourd’hui, Seigneur, je place ma vie, mon âme, mes pensées et mon cœur dans Tes mains, au Nom de jésus ! je prie aussi pour que toutes les églises et tous-tes les chrétiens-nes puissent saisir L’IMPORTANCE D’ÊTRE ESCLAVE DE TA JUSTICE et de l’accepter !
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💗 ~La Naissance de Spicylia~ 🖤 -Chatbotticelli
@Cendrillon : $urprise Bee’tch ! I bet you thought you’d seen the last of this ?!
Je pense que c’est le Post qui aura bien chauffé comme il le faut notre chère Synder, élue Connasse de l’Année 2019 - par Moi même - vu que j’ai posté mon avis une fois sur le Livre d’Or d’Eldarya, elle l’a supprimé. Je lui ai donc expliqué mon mécontentement par rapport à ça et j’ai édité mon Post (parce qu’elle m’a laissé l’éditer ? Non non non ! Et retenez bien ça car je vais y revenir !), et quand j’ai édité j’ai bien précisé que SPICYLIA EST UN OC, autrement dit elle est INVENTÉE ! Elle n’existe PAS ! Ce n’est PAS une joueuse, breeeef, vous allez comprendre peut être mieux mon Concept vu que Synder n’a pas l’intelligence de comprendre... (à se demander ce qu’elle fout là franchement !)
Dans tous les cas, ce Post me tenait à coeur vu qu’au Final c’est Bel et Bien mon Post le plus important de tous - sur Eldarya - vu que comme dit, il s’agit là de mon Avis sur l’Ensemble du Jeu Eldarya, à l’époque où j’avais encore un peu de Respect pour ce jeu ET pour Bee’tch’moov.
Parlons d'abord du Livre d’Or :
C’est quoi un Livre d’Or pour vous ? Car à mes yeux un Livre d’Or c’est l’Endroit où on peut s’exprimer plus que jamais, sur l’Ensemble du jeu - certes - mais surtout laisser sa marque. Je n’avais pas posté plus tot sur le Livre d’Or alors que j’étais inscrit depuis 2014, par flemme, mais aussi par Optimisme. Car en soit, mon avis je le donnais un peu partout sur le Forum, quand il y a des news j’étais pas du genre à dire “j’adore merciii.” mais “j’adore, merci, mais par contre là faites attention car ceci et cela” ...sauf que je suis clairement arrivé au stade où je frôlais le Pessimisme concernant Eldarya, ce qui est une chose incroyable pour moi car c’est clairement contre mes principes, mais je sentais que LA si je faisais pas un vrai Post, long, argumenté ET nuancé (retenez bien ce mot !) avec ma petite touche de folie habituelle pour détendre l’atmosphère, ben les choses auraient été pires qu’elles le sont maintenant !
Et je n’avais ABSOLUMENT PAS envie de supprimer la présence de Spicylia car sa présence m’a permis beaucoup de choses (mais, au final j’ai dû créer Sojariel pour prendre le relais afin que mon avis soit validé x’) :
Bipolaire ? Troubles de la Personnalité ? Ou Intelligence ?
Les gens stupides se diraient d’une part que je suis bipolaire... ou, qu’est-ce qu’elle m’avait dit déjà Togame ? Troubles de la personnalité... Désolé de ne pas être désolé, mais j’ai un ami qui a de vrais troubles de la personnalité et qui est en même temps hyper intelligent et bienveillant, donc quand on est intelligent on sait normalement que la Bipolarité et les Troubles de la personnalité ne se contrôlent pas. Et donc qu’il faut bien se renseigner avant de dire des Conneries comme ça ET, le pire, vouloir faire passé pour Con des gens en fait plus intelligents que soit qui connaissent le RESPECT. x’) @RavenQueen.
Plein de personnes sur le jeu ont voulu que leur Gardienne soit une personne incroyablement vertueuse, princesse ou réincarnation d’une déesse de la Lune, etc etc etc, mais pour ma part, on a beau m’étiqueter “princesse” moi j’ai décidé que Sugariel serait d’abord une humaine qui se cherche ET qui a des troubles de la personnalité ! Je ne dirais pas bipolaire, parce qu’après Spicylia vient aussi Sojariel, et plus tard Sodariel, donc le terme exacte serait plutôt “Quadrupolaire”, mais bref, tout ça pour dire que j’ai voulu m’exprimer de manière Originale sur le Livre d’Or en mettant en scène ma Gardienne et son backgroud x’) ! Car après tout Eldarya c’est SUPPOSÉ être un jeu de Roles donc, je n’ai vraiment pas compris que je me fasse censurer pour ça....
“Tu prétends défendre les designers mais tu te moques des joueuses avec ce personnage que tu appelles Spicylia !”
Ça c’est ce que Synder m’a dit lorsque j’ai essayé de lui expliquer la présence de Spicylia, et ce, MALGRÉ MON EDIT x’) ! ...là encore sorry not sorry, mais niveaux fausses accusations c’est vraiment une Perle Synder !
Si tu as envie de croire que “j’ai essayé de me moquer des joueuses avec mon OC Spicylia”, tu en as le droit. Mais par contre c’est TON avis Subjectif, car Objectivement ce n’est pas forcément le cas. Et c’est là qu’est tout le problème de Synder : Quand on sait pas se montrer Objectif on a rien à faire dans la Modération d’un Forum x’) ! Je précise même bien FORUM, parce que sur le FORUM on s’exprime à l’écrit, c’est donc super important de savoir être Subjectif mais SURTOUT Objectif. (et tu diras ça à Loplo aussi !)
Quand j’ai écrit mon avis sur le Livre d’Or, il faut savoir d’une part que j’avais fait un Post antérieur ou je parlais précisément de la Team Maananas VS Team Bank Band, j’avais fais ce Post suite à l’Event d’Halloween :
...Vous savez celui avec Cornélia ! J’adore Cornélia ! Franchement c’était ma nouvelle Best Friend ! Ils lui ont fait un background hyper intéressant en plus ! Le problème c’est que plein de gens s’en foutaient et la seule chose qu’ils relevaient de l’Event c’était le prix des illustrations qu’ils n’ont pas obtenu !
Moi je trouvais ça super ingrat de la part de certaines joueuses de ne même pas citer la multitude de bons points de l’Event à commencer par le fait que c’était le PREMIER EPISODE D’HALLOWEEN ! J’ai l’impression que personne ne l’a remarqué ! Donc quand je voyais toute cette ingratitude, j’ai tenu à le faire savoir sur le Livre d’Or en expliquant pourquoi je tenais à remercier les bosseurs de Bee’tch’moov - financièrement - et que les Maananas ne devraient pas être si ingrates. Ou alors partir tout simplement, car ce sont bien les même joueuses qui se plaignent sans arrêt, donc voilà voilà... bref. #ViveLaFrance!
Ce Post-ci a donc été supprimé par Synder, mais ça je l’ai COMPRIS et ACCEPTÉ ! Je n’ai pas contre-attaqué là dessus !
Ok mais Spicylia alors ???
Je trouvais quand même hyper important de parler de l’attitude de certaines joueuses dans un avis GLOBAL sur l’Ensemble du Jeu, car le Livre d’Or n’est pas juste destiné aux employés de Bee’tch’moov-land mais aussi aux joueuses JUSTEMENT. Mais comme j’ai COMPRIS et ACCEPTÉ que je pouvais pas en parler de ça de façon trop EXPLICITE, c’est d’une part pour ça que j’ai créé Spicylia !
“Spicylia est née d'une expérience de Sugariel qui voulait extérioriser son coté Obscure grâce à ses capacités d'Absynthe. Elle est tout le contraire de Sugariel : Elle affirme fièrement être une "dirty bitch", elle pense également être "la Voix du Peuple", toujours là quand il y a des scandales, c'est la première a pointer du doigt tout ce qui ne va pas, mais jamais la concernant. Elle s'attire toujours des ennuis, ce qui la rend un peu suicidaire... Mais elle s'entend très bien avec Sugariel qui la complète parfaitement ! Sa phrase fétiche est : "Ça commence à me casser les bonbons !" Elle a un faible pour le coté Obscure de Leiftan. Mais elle avoue qu'elle se taperait bien Ezarel, juste pour le plaisir..”
Et ça @Cendrillon, avant de parler de harcèlement tu feras pas genre que je ne te l’avais pas expliqué en MP - ET - que j’allais la ressortir un jour !
Le Lac des Cygnes est mon deuxième conte préféré après La Petite Sirène.
Et c’est là que normalement vous comprenez mieux le Concept. Spicylia c’est en fait la reprise du Concept du “Black Swan”, l’Opposé, le Yang du Ying, l’ÉQUILIBRE et la NUANCE, qui faisait que mon Post était NUANCÉ !
Je trouvais beaucoup plus intéressant de la créer plutôt que de “faire comme tout le monde ET ensuite passer - encore et toujours - pour un bisounours” car oui, Spicylia c’est bien l’Opposé de Sugariel, et je voulais voir ce que ça faisait de dire le contraire de ce que l’on pense, car ce que je pense n’est PAS une Vérité Absolue, tout comme ce que “l’Opposé” pense n’est PAS totalement un Tas de Mensonges !
C’est donc un avis nuancé que j’ai fais sans réellement me moquer de certaines joueuses mais plutôt comme une pièce de théâtre dans laquelle Sugariel rencontre son Opposé et elles débattent ensemble afin d’offrir un avis GLOBAL qui ne détient PAS la VÉRITÉ mais un tas d’éléments plus ou moins vrais ET intéressants, voire comiques. C’est exactement dans cet esprit là que j’ai fait mon Avis sur le Jeu Eldarya. J’ai suivi les règles mais je me suis permis quelques fantaisies comme j’aime bien le faire en tant que Littéraire x’)
Parce que OUI j’ai un Bac Littéraire, j’ai jamais cherché à le faire savoir comme notre chère Togame qui se croit tellement Supérieure parce qu’elle est Prof de Français (et honnêtement ça me fait chier de te citer, parce que je sais que si je ne le fais pas, tu vas t’amuser encore à te croire tellement Intelligente) sauf que j'ai rarement l’occasion de pouvoir montrer mon Amour de la Littérature, et c’est là qu’on pense tous à la Section des Contes d’Eel, sauf que non, faut arrêter les clichés, c’est pas parce que j’ai un Bac Littéraire que je devais “FORCÉMENT” aller traîner dans “la Section des Littéraires”.
Et là encore je sais qu’on pourrait se dire que “ouais mais non c’est pas ça la Littérature !” et là encore je tiens à répéter que MOI, je ne cherche JAMAIS à faire comme tout le monde x’) ! Je me trouverais ennuyeux si je faisais ça.
Tout ça pour dire que j’adore les Figures de Styles, je m’exprime énormément en Métaphores filées quotidiennement et exclusivement (d’où toutes mes comédies musicales autour des $irènes et les $iren $ongs), j’adore également utiliser de nombreux Champs Lexicaux, je fais ça par exemple pour m’auto-censurer (par exemple quand je dis “Phoque” renvoyant aux Sirènes-Selkies ou encore “Cendrillon tu me casses les bonbons !” renvoyant à Sugariel x’) bref.
L’italique aussi, dans la Littérature c’est une marque d’Ironie mais faut le savoir.
Pour le coup j’ai surtout utilisé l’Allégorie et la Satyre pour mon Avis Global du Jeu. Spicylia est de manière totalement assumée une Allégorie du Mal, sauf que pour moi “le Mal” n’est pas forcément mauvais.
Donc oui on peut se dire que j’ai essayé de “me moquer de certaines joueuses” mais je ne l’ai pas fait clairement x’) ! Parce que NON, je suis désolé de ne pas être désolé mais j’ai fais une Satyre ! La Satyre à la différence de la Comédie sert précisément, en Littérature, à dénoncer des choses mais de façon amusante. C’est quelque chose de PUREMENT Français, je trouve ça absolument inconcevable d’être censuré pour ça sachant qu’il y a pire.
Parce que comme dit, moi je veux bien me faire taper dessus quand je suis trop explicite, c’est quelque chose que j’assume, mais QUAND j’essaye de me montrer imaginative, et donc mieux, histoire de bien respecter les règles mais avec ma petite touche LITTÉRAIRE - et - de folie, je me sens complètement insultée, donc faut pas s’étonner que j’insulte en retour.
Jamais au grand jamais je ne tolérerais qu’on me dise que mes OC ne sont pas la bienvenue sur un JEU DE ROLE, et ce, sachant que j’ai PRÉVENU.
"Je t’avais prévenu en fait, donc arrête de faire l’étonnée.”
A tous les coups elle a supprimé mes conversations avec elle, mais en soit ça change rien, vous l’avez bien vu ? Elle s’est mis à parler de harcèlement !
Je me suis senti obligé de faire des cours de Français à Synder en détails, vu qu’elle comprend rien quand elle voit quelque chose de Différent devant elle.
Et vous savez quoi ? Vous savez ce qui moi me choque le plus ?
Ce qui me choque le plus c’est que les Modérateurs n’ont clairement pas de Charte. D’un Modérateur à un autre on a des fonctionnements complètement différents, et “apparemment” c’est sensé être normal...
Comment en SIX ANS, je n’ai aucun problème sur la Section de Chupalovely aka @LaFéeBleue, aka Meilleure Modératrice Ever, mais quand je m’aventure ailleurs je me fais taper dessus par votre Synder-là, aka @Cendrillon ?!
Je précise bien encore et toujours Synder car voyez vous, ce post est officiellement mon Troisième Post sur le Livre d’Or. Le deuxième étant celui sur Team Maananas VS Team Bank Band (supprimé et assumé), mais le premier se nomme “Thank U Next, Lamas” (supprimé d’une part MAIS édité !)
Quand j’ai écris mon tout premier Post sur le Livre d’Or, cette fois-ci j’ai fais un avis global sur le jeu, mais je voulais surtout parler de la tournure trop sexuelle du jeu, en reprenant ainsi un champ lexical associé comme quand je disais : “VOUS CROYEZ QUE ÇA M’INTERESSE DE VOIR ERIKA SE FAIRE FOURRER PAR SON CDC H24 ?!!!” ....un truc du genre.
Ce post a été supprimé à cause de ça, MAIS (retenez bien surtout !) j’ai été agréablement surpris et éternellement reconnaissant envers Adzriel car, certes, mon premier post sur le Livre d’Or avait été supprimé MAIS Adzriel a eu la gentillesse de copier-coller mon énoooorme post avant et de me le passer par mp pour justement que je puisse l’éditer !
C’était pas un petit paragraphe, c’était un pavé ! Et cette Modératrice m’a laissé éditer mon Post ! Ce que Synder ne fait JAMAIS. Donc au bout d’un moment, elle pleurniche, mais si en même temps elle fait du travail sale il faut pas s’étonner. Parce que à coté moi je remercierai jamais assez Adzriel.
Et en attendant Adzriel, elle est tranquille elle, je connais personne qui est venu me voir pour me dire : “REGARDES CE QU’ELLE DIT SUR DISCORD !!!”
C’est moi qui ai dû copier-coller moi même mon Post après l’avoir posté PARCE QUE je savais que Synder n’était pas assez intelligente et bienveillante pour laisser la possibilité d’éditer. Et pas que sur le Livre d’Or. Sur son propre topic de l’Amûûûr dans vos posts aussi, (est-ce que j’ai besoin d’en reparler ?! ...Bien sûr que oui !) voire surement partout.
Donc voilà en fait, quand tu prends sur ton temps pour rédiger un énorme Post qui n’est pas forcément “le Mal incarné” et que tu vois qu’il est supprimé SANS possibilité d’éditer ET sans possibilité de s’expliquer parce que Synder est trop incompétente... faut pas s’étonner qu’un jour ça VOUS retombe dessus.
Car oui, en soit je parle de Synder, mais le vrai problème c’est Bee’tch’moov. Vu qu’ils savent pas choisir ET former correctement leurs Représentants. Qu’ils assume[ro]nt !
...ya pas de soucis Bee’tch. Moi non seulement j’assume et j’explique tous mes fais et gestes, avec preuves en veux-tu-non-en voilà-quand-même, mais je fais aussi en sorte que les autres fassent pareil qu’ils le veulent ou non ! Oh oui.
T’as cru voir de la Provocation mais c’est moi que t’as provoqué Bee’tch.
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Aujourd'hui je vais vous parler de "j'irai cracher sur vos tombes" de Jean-David Morvan, Rafael Ortiz et Rey Macutay Paru aux édition Glénat. Genre : adaptation d'œuvre littéraire Paru le : 11/03/2020. Public : pour public averti, à partir de 16 ans. ---------------------------------------⤵️-------------------------------------- Résumé de l'éditeur : Lee Anderson, vingt-six ans, fils d’une métisse, quitte sa ville natale après la mort de son frère noir, lynché parce qu’il était amoureux d’une blanche. Il échoue à Buckton, petite ville du Sud des États-Unis où il devient gérant de librairie. Grand, bien bâti, payant volontiers à boire et musicien de blues émérite, Lee parvient sans mal à séduire la plupart des adolescentes du coin. Auprès d’une petite bande locale en manque d’alcool mais très portée sur le sexe, il mène une vie de débauche. Sans toutefois perdre de vue son véritable objectif : venger la mort de son frère. ~~~~~ Cette année nous fêtons le centenaire de Boris Vian et pour l'occasion les éditions Glénat ont adapté 4 œuvres de Boris Vian en bd dont l'album "j'irai cracher sur vos tombes" qui fit scandale à sa sortie. En 1946, Boris Vian sous le pseudonyme de Vernon Sullivan voulait nous livrer un polar noir, très sombre, tout en dénonçant le racisme et la condition précaire des Noirs dans le Sud des États-Unis. La sexualité, violente, y est aussi très présente. Côté esthétisme, je le trouve très réussi : les dessins sont biens faits, et permettent de se fondre dans cette période. C'est par moment assez coloré sur certaines planches, assez sombre sur d'autres, l'ambiance des planches se fond très bien avec le texte. Les dessins sont réalistes et l'atmosphère est à couper le souffle. Le travail sur les regards notamment est à souligner. ~~~~~ Je suis plus qu'impatient de découvrir les autres albums, "Les morts ont la même peau" est dèjà paru, les deux autres albums sont programmés pour le mois de septembre. ~~~~~ Notes : Dessin : 7/10 🗯️ Scénario : 8/10 💭 L'avez-vous lu ? Si vous l'avez lu vous en avez pensez quoi ? Dites moi tout en commentaire👇🏻 #jiraicrachersurvostombes #borisvian #adaptation #vernonsullivan #polar #racisme #vengance https://www.instagram.com/p/CEmaefbniWw/?igshid=wuap2ukz5sxg
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