#frénésie
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Haïku n°45
Savon rose de
La frénésie dégouline
Sur la honte d'Août
• Mey-Lie •
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Tu es mon sel ma frénésie - Georges Rouge
Tu es celle qui est restéeLorsque le temps s’est raréfiéQue les portes se refermaientEt que mon cœur cicatrisait Tu es celle qui n’a pas fuiLorsque mon corps à contre nuitDésespérément engourdiAppelait la mort par ennui Tu es celle qui me refondeQuand j’ai perdu ma foi au mondeQue ma mémoire vagabondeEntre des peurs nauséabondes Tu es celle qui me déterreDe mes esprits délétèresÀ force de cœur…
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Explosion Rythmique" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
#findyourthing#redbubble#Musique Art Créativité Percussion Rythme Battement Drum Chaos Énergie Frénésie Passion Expression Artistique Danse Tumulte
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de la pression inflationniste à la frénésie d'investissement
Une période imprévisible de confusion et de recomposition géopolitique. Une taxe confiscatoire sur l'inflation. Les diktats des populistes. L'impitoyabilité des multinationales. Les règles simples de la survie. De vrais produits. Des services fiables. L'argent n'est qu'un moyen, jamais une fin en soi.
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Quand la frénésie s'arrête
Ne pas
Résister
Elle reviendra
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Je sors d'une période de frénésie,
Où aux séances de grimpe, s'enchainent les repas entre amis, les dates foireux et les fêtes collantes,
Où chaque soirée doit être remplie, pour oublier l'ennuie du travail, cacher les doutes du quotidien, se faire croire que le temps n'est pas perdu.
Je suis prise dans une boucle où les temps morts ne comptent pas.
Je deviens incapable de dire non, car dire non voudrait dire stop et le bruit du silence me fait trop peur.
J'attends que la fatigue prenne le dessus, c'est la seule qui arrive à enrayer la machine
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"Tout le monde n'est pas à l'aise avec l'idée que la politique est une addiction coupable. Mais c'est le cas. Ils sont addicts, ils sont coupables, et ils mentent, trompent et volent, comme tous les junkies. Et quand ils entrent en frénésie, ils sacrifieront n'importe quoi et n'importe qui pour nourrir leur habitude cruelle et stupide, et il n'y a pas de remède à cela."
Hunter S. Thompson
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The King's game.
Je rentre de nouveau dans la phase où je devrais écrire parce qu'il se passe trop de choses mais quelle galère de les écrire, la récolte est toujours un peu comme un bûcher dément, avec des femmes autour qui dansent et qui hurlent et elles sont elles-mêmes en feu elles brûlent tous les livres tous les hommes toutes les récoltes, elles brûlent tout en hurlant de joie, voilà ce que c'est la récolte pour moi, une entreprise divine et démentielle, un travail de titan, la main de Gargantua qui s'abat sur la terre, une digue qui lâche, des flots impétueux, le dernier mouvement avant la Grande Nuit. Et justement il se passe tellement de choses que mes bavardages habituels sont coupés dans leur élan je n'ai plus même la place de bavarder alors ici je me force mais sinon c'est tirages d'oracle compulsifs et utterance. Je reçois l'esprit divin, car tous les esprits sont divins oui, et j'écris je prépare je danse je ramasse je récolte mais ce n'est jamais vraiment la récolte exactement attendue ni celle espérée ni celle escompté. Merci. Je suis surtout vraiment bousculée d'inspiration, de grâces, de chuchotements, de murmures dans les murs, de rires étouffés, même de coups de pieds dans l'œil (cette nuit alors que je rêvais que je nageais avec des hommes poissons magnifiques dans un immense océan vert émeraude et lumineux, oh oui ramène moi nager avec les hommes poissons, tant pis pour les coups de pieds dans l'œil), je recommence à trouver des cartes par terre, un 8 de carreau il y a 2 semaines (journée merdique comme on peut s'en douter), puis avant-hier le Roi de Carreau, roulé dans le caniveau, juste pour moi petit Roi viens viens. Je lis des trucs trop intéressants, l'intuition est bonne et fiable c'est encore moi qui ne suis pas assez bonne ni fiable mais je m'améliore, il faut juste cent fois sur le métier remettre, etc, je fuse d'idées, de feu, de frénésie, je surchauffe (littéralement et mon acupuncturist ne parvient pas à faire changer ce phénomène, qui est quand même très compliqué en période de canicule mais très intéressant quand l'automne est installé), je sens la grande sarabande de l'équinoxe qui jaillit au loin et qui vibre déjà dans mes tripes comme une danse sacrée, bref il y a trop de trucs alors ici c'est très très difficile
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La frénésie des débuts n'est pas de l'amour. On ne tombe pas amoureux en une semaine, un mois ou même une année. L'amour nécessite des problèmes, des crises, de la fatigue, des moments et des situations difficiles. Il faut une longue cohabitation pour que cela devienne un véritable amour. L'amour commence quand l'enthousiasme s'estompe, que la communication diminue et que le désir augmente. On ne peut pas dire qu'on aime la mer en restant sur la plage; il faut plonger dans ses profondeurs, être frappé par ses vagues, boire de son eau salée, se blesser le pied sur un rocher, voir ses ténèbres au fond. Et quand on revient sur la plage, on la voit différemment, on ne la voit plus comme parfaite, car on a touché à ses défauts, vu ses ténèbres et connu sa colère. C'est à ce moment-là seulement qu'on peut soit détester la mer, soit l'aimer avec tous ses défauts et ses qualités...
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À chaque image, une histoire. À chaque histoire, une humeur. Voici la dernière: frenzy (la frénésie)
État d'exaltation violente qui met hors de soi.
(et en anglais:) un état ou une période d'excitation incontrôlable ou de comportements sauvages
La frénésie. Cette lubie qui attrape, au beau milieu de la nuit. Celle qui gratte, picote et démange, l'âme et les entrailles. Tantôt la colère, tantôt la faim, tantôt le désir, tantôt le désespoir. Une fureur qui brûle plus fort que la passion. Un état qui aveugle, qui rend la vue rouge. Perdre la notion du temps. Être asservi par les heures, qui s'écoulent, en silence. Et à l'éveil, se rendre compte qu'il est déjà trop tard. Une humeur intense. Une humeur agressive. Une humeur violente. Qui dévore tout sur son passage.
#FRENZY#ANA DE ARMAS#AVATAR#200X320#200*320#AVATARS#400X640#400*640#RPG#FACECLAIM#GRAPHICS#FORUM RPG#FRENCH RPG#DESIGN#GRAPHIC DESIGN#PHOTOSHOP#FEMALE#ACTRESS#FEMALE ACTRESS#VAINGLORIOUS#FEU ARDENT
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Ces deux jours sont passés comme deux pages d'un livre qui glissent entre les doigts. A l'intérieur de ces deux pages, où des ornements blancs scintillent, se déroule notre longue errance, notre compagnonnage entre les rues qui cavalent. Lieu de notre véhémence, Rennes était à ces instants citadelle de silence, ville engloutie et solide sous nos mouvements liquides. Nos fêtes ont quelque chose de triomphant et d'échoué, de flammes assourdies. Je suis affamée de silence et de faste. Le voile angélique de l'hiver rend les rues plus réelles, elles étincellent en dehors de nous qu'elles bordent et égarent, mères distraites, oublieuses, pierres où claquent nos ennuis. Notre rythme clopine en spirale, on perd le fil, ce n'est pas la frénésie des engins qui foncent, c'est de la chansonnette un peu sale dont les aigus s'évaporent dans la mousse des bières.
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Épisode 8
Quand il a pris la décision de partir, son esprit s'était mis à tourner sans arrêt dans sa tête.
Tous ces instants de bonheur qu'il avait passé en compagnie d'Amelie, toutes ces balades dans la nature, elle adorait se promener dans la nature.
Gabin revivait tout cela dans sa tête et ce n'était pas pour lui déplaire, il s'y complaisait, il laissait même filer les idées qui subrepticement s'incrustaient dans sa tête.
Maintenant qu'elle n'était plus la physiquement mais présente dans son esprit , il avait décidé pendant ces quelques jours de battement avant son départ de profiter encore un peu d'Amelie. Il savait que sa disparition était le résultat de ses propres choix.
Il avait décidé qu'il ferait exploser son appartement avant de partir vers d'autres aventures, personne ne retrouverait le corps d'Amelie, elle était à lui et à lui seul.
Gabin toujours assit dans son fauteuil se calma pour retrouver un poul régulier, il voulait effacer toutes traces de lui et d'Amelie. Cette histoire lui appartenait pour toujours et il n'avait pas l'intention de la partager.
Lui garderait cela, plus son amour éternel, le goût de sa peau et les repas qu'il s'offrait comme un rite sacrificiel.
Lui aurait tout cela, les autres n'auront rien.
Gabin écoutait toujours Chopin, le piano égrenait dans sa tête un son avec frénésie chaque note teintait son cerveau de blue. Il imaginait le virtuose penché sur son piano absorbé par le son et le rythme. Il imagine Chopin en transe caressant les touches avec ferveur devant un public en délire. Il remplit de nouveau son verre en méditant sur la musique classique, il se souvint qu'il partageait ce plaisir avec Amelie.
Plus tard, debout dans sa cuisine , il regardait la tranche de foie et les légumes frémir dans la poêle. Il regardait cette préparation avec amour, il était conscient que c'était un morceau d'Amelie qu'il allait déguster, puis digérer. Pour l'occasion il avait pris une bouteille de Bordeaux blanc un peu capiteux pour accompagner ce délicieux repas. Il avait acquis de la vaisselle au design conçu par un artiste de renom, les motifs étaient étranges et attirants à l'œil. Gabin admirait ses assiettes, il n'etait pas mécontent de les avoir acheté.
Maintenant Gabin savourant doucement son plat en écoutant Chopin. Il se sentait détendu oubliant le temps de ce repas ses soucis et ses tracas.
Vautré sur son canapé, il pensa que ces murs n'entendraient plus cette musique, ne seraient plus spectateurs de ses faits et gestes.
- hey merde ! gueule t-il
- On peut pas tout avoir ! brailla Gabin
Gabin se servit un autre verre d' eau de vie histoire de se mettre en forme tout en continuant à écouter la musique qui inondait le salon.
Il se souvient qu'un après midi ils avaient écouté un concert de piano orchestré par un célèbre maître. Il se souvient qu'elle s'était blottie contre lui, ils avaient écouté toute l'œuvre dans cette position. C'était à cette même place, sur ce canapé mais à un autre moment. Un moment sacré.
- comme le temps passe ! s'exclama Gabin
Il avait gâté Amelie peut être avec un peu trop de zèle, il en était conscient mais pour lui l'amour n'a pas de limite.
Il se resservit un verre d'eau de vie , ça lui faisait du bien , il aimait ce film qui passait dans sa tête, ces deux acteurs et leurs jeux. Gabin aimait les images et les dialogues . C'était un film intense, cette tranche de sa vie avait vraiment été intense.
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Notre destination 2024 est le Maroc. Nous allons découvrir un pays et un continent !
Après la frénésie aéroportuaire d'Orly, notre avion Transavia parait bien seul sur le tarmac d'Essaouira, notre première escale. Les douaniers marocains ne plaisantent pas avec le contrôle ; nous avons même eu droit au contrôle de bagages post douane ???
Avec le taxi qui nous conduit en ville, nous avons un aperçu de la conduite locale, en même temps que de l'environnement proche composé d'arganiers.
La médina est le nom oriental pour la ville ancienne qui à Essaouira, est fortifiée.
Pour rejoindre l'hôtel Émeraude, nous passons la porte (sba) de la médina. C'est notre première nuit dans un riad.
Cette ville est le royaume des chats, il y en a partout, surtout là où on les attend le moins! Ici dans un panier de fèves d'arganier.
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Lounès Darbois: Paris ce n’est pas une ville pour “investir”, où n’importe quel putois mondial aurait droit à son “pied-à-terre”. Paris c’est la concentration du génie pratique français de la construction et de l’art ornemental passés par de crucifiants essais et erreurs étalés sur des siècles, trouvant début 17ème son type classique fixé dans la pierre calcaire et le toit d’ardoise, pour enfin en obtenir fin 19ème-début 20ème siècle, une merveilleuse résurrection néo-classique. Paris c’est pour les Français seuls, c’est “pour nous, à nous, chez nous”. Les squatteurs étrangers qui y résident n’ont pas été une seule fois capable de créer un seul bâtiment qui ait le quart de la beauté du plus laid bâtiment érigé durant l’âge d’or 1880-1914. Ce ne sont pas des parisiens ce sont des squatteurs de cavités laissées vacantes par les morts à la guerre et il y a un terme pour les gens qui cherchent ce mode d’habitation: des troglodytes. Et pas plus que de génie pratique, quantifiable, mesurable, concret, ils n’ont de sens esthétique du mode de vie. En vêtement, en gastronomie, en choix de locomotion ils sont lourdingues et nuls. Ils foncent aux grossiers commerces crasseux, aux viandes mal saignées étalées sans bardage sous les présentoirs sans feuillage, à côté de cela comparons ce qu’est une boucherie française traditionnelle, une boulangerie, une cordonnerie bien tenue, avec travail en tablier. Et l’ambiance de frénésie gaie des samedi après-midi de Paris jusque vers 2010, avec ses familles françaises nombreuses, ses jeunes femmes habillées, coiffées, ses darons sans ventre en manteau longs et chaussures cirées qui passaient en coup de vent acheter la tarte aux poires du déjeuner, toute cette petite beauté gratuite de la rue, la vraie France organique, parquet et lambris, ascenseur à grillage et escalier à tapis serti de tiges de maintien, tout le savoir-faire d’hommes inconnus d’avant, qui avaient des vrais beaux noms de provinces francophones, pas ces noms trafiqués de tricheurs importés, de gougnafiers qui n’ont jamais rien embelli et qui se prétendent des droits sur nous. C’est le ressentiment? Mais le ressentiment contre une telle exploitation, un tel mensonge, une telle colonisation forcenée alors que nous n’avions rien fait, cela ne s’appelle pas ressentiment cela s’appelle du sang qui crie justice, un véhément redressement qui renverse la pensée contre soi-même, cela s’appelle la Grâce, et merde et cent fois merde aux catégories nietzschéennes et à leur engrenage mental incapacitant. La vie organique d’abord bordel! Et l’évidence, l’intuition, l’instinct d’abord. Nous disons ce que nous disons pas pour l’avoir “pensé” (penser la société...) mais pour l’avoir expérimenté, payé sur le terrain depuis 20 ans, depuis 50 ans même pour certains, et il faudrait s’inhiber l’évidence par respect d’un philologue allemand d’université qui n’a jamais vu venir l’invasion barbare contrairement aux grands Français Art Déco, les Céline, les Morand dès 1925 avec L’Europe galante, dès 1928 avec Magie Noire? Et Lapouge même avant. La vraie impulsion révolutionnaire c’est ça, et tout ce que ça induit.
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« Tout le monde n’est pas à l’aise avec l’idée que la politique est une addiction coupable. Mais c’est le cas. Les gens sont accros, ils sont coupables, ils mentent, ils trichent et ils volent – comme tous les toxicomanes. Et lorsqu’ils sont pris de frénésie, ils sacrifieront n’importe quoi et n’importe qui pour nourrir leur habitude cruelle et stupide, et il n’existe aucun remède à cela. » ~ Hunter S. Thompson
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