#salon du pain
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shirozen · 7 months ago
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Some beautiful bread and pastries from Salon du Pain 2024
Perhaps I'll do a part 2 of what I bought and ate at the festival so stay tuned!
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the-paradigm-web · 9 months ago
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Woman Bitten by a Serpent, by Clésinger…...
This captivating marble carving caused a great scandal in the 1847 Parisian Salon. A suggestive image of a naked woman writhing from the pain of a bite inflicted by the snake twisted around her wrist, or that may be just a cover story for something else? Scandalous like few, critics claimed that this masterpiece was produced from a life cast of the commissioner's mistress, Apollonie Sabatier
- also muse to Baudelaire and known as "La Présidente" - as to claim the artist was lazy, unskilled and immodest, and pointed to the dimpled flesh at the top of her thighs to strengthen their point. Proof that there is no such a thing as bad publicity, Clésinger had his friend Theophile Gauter orchestrate the scandal to grow the sculpture's success.
Auguste Jean-Baptiste Clésinger
(1814-1883) was a painter and sculptor known for the sensuality of his works. Trained by his father, also a celebrated sculptor belonging to the Besancon school of painting, he began exhibiting in the Parisian Salon in 1843 and earned immediate success. He produced plenty of acclaimed busts, such as those of Rachel Félix, Louis of Savoy and his dear friend Theophile Gautier.
His works are displayed in places of the highest distinction such as the Jardin du Luxembourg and the Musee d'Orsay in Paris, and was much admired for the funerary monument of Chopin in the Pere Lachaise Cemetery, where he is buried himself, along with many others. After a failed marriage he met his model and mistress Berthe de Courrière, to whom he was still devoted until the end of his life. He received the Légion d'honneur in 1849.
• Height: 56,5 cm (22.2 in). Width: 180 cm (71 in). Marble, 1847.
fIr Musée d'Orsay, Paris.
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la-femme-au-collier-vert · 1 year ago
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IWTV Season 2 Sources & References
(The 1st 4 were cited by the Writer’s Room)
The Ethnic Avante-Garde: Minority Cultures and World Revolution by Steven S. Lee
Paris Journal 1944-1955 by Janet Flanner (Genet)
The Vampire: A Casebook by Alan Dundes
Anne Rice’s Vampire Chronicles: An Alphabettery
The Fly cited by Jacob Anderson
King Lear by Shakespeare cited by Rolin Jones
Melmoth the Wanderer by Charles Maturin
Sebastien Melmoth by Oscar Wilde
Amadeus (1984)
The Lost Boys (1987)
Gaslight (1944)
Batman
Casablanca (1942)
Now, Voyager (1942)
The Third Man (1949) cited by Levan Akin
An American in Paris by George Gershwin (1928) cited by Daniel Hart
Moulin Rouge (2001)
The Phantom of the Opera
Les Vampires (1915)
Dracula (1931) credit to @vampchronicles_ on twt
Le Triomphe de L’amour by Pierre de Marivaux
Giovanni’s Room by James Baldwin cited by Jacob Anderson
Existentialism is a Humanism by Jean Paul Sartre
Les Liaisons Dangereuses by Pierre Choderlos de Laclos
Romeo and Juliet by William Shakespeare
How to Win Friends and Influence People by Dale Carnegie
Hamlet by William Shakespeare
Vampire’s Kiss (1988) credit to @talesfromthecrypts
Les Morts ont tous le Meme Peau by Boris Vian credit to @greedandenby
The Most Dangerous Game by Richard Connell
Waiting for Godot by Samuel Barclay Beckett credit to @rorscachisgay on twt
An Enemy of the People by Ibsen
Anna Karenina by Leo Tolstoy
Vie de Voltaire by Marquis Condorcet
Simone de Beauvoir: A Critical Introduction by Edward Fullbrook and Kate Fullbrook credit to @iwtvfanevents
Nightwood by Djuna Barnes credit to @iwtvfanevents
Beloved by Toni Morrison
Artists and Salons Referenced:
R-26
Palma Vecchio
Andre Fougeron
Elsa Triollet
Fred Stein
Lisette Model
Gordon Parks
Miguel Barcelo
Taxidermied Javelina by Chris Roberts-Antieau
Ai WeiWei (wallpaper)
David Hockney (Lemons)
Wols 
The Kiss of Judas by Jakob Smits
Salome by Louis Icart
Ophelia by John Everett Millais
Shelter by Peter Macon
The Kiss by Edvard Munch
The Vampire or Love and Pain by Edvard Munch credit @iwtvasart
Ruiter on Horse by Reiger Stolk credit @ iwtvasart
Portrait of Frank Burty Haviland by Modigliani credit @iwtvasart
Self-Seers II (Death and Man) by Egon Schiele credit to @90sgreggaraki
The Sleep of Reason Produces Monsters by Goya
Movie & Play Posters on set (in chronological order by year):
Tarzan and his Mate (1934)
Avec le Sourire (1936)
Les Deux Gosses (1936)
Le Jour Se Leve (1939) about a man who commits murder as a result of a love triangle and locks himself in his apartment recounting the details as the police attempt to arrest him. Credit to @laisofhyccara
Nuit de Décembre (1940)
Mademoiselle Swing (1942) about a girl who follows a troupe of swing musicians to Paris.
Les Enfents du Paradis (1945) about a woman with many suitors including an actor and an aristocrat.
Fantomas (1946) about a sadistic criminal mastermind. This version includes a hideout in the catacombs where he traps people.
Quai des Orfevres (1947) watch here
Monsieur Vincent (1947)
Le Cafe du Cadran (1947) about a wife’s affair with a violinist.
La Kermesse Rouge (1947) film about a jealous artist who locks up his younger wife and a fire breaks out while she’s trapped.
Morts Sans Sepulture by Jean-Paul Sartre (play) also published in English translations as “The Victors” or “Men Without Shadows” about resistance fighters captured by Vichy soldiers struggling not to give up information.
Mon Faust by Paul Valery (play)
Musical Influences:: @greedandenby collected all music used in Season 2 here.
Henry Cowell
Meredith Monk
Howling’ Wolf
Shirley Temple
Jason Lindner Big Band
The Teeth
Carlos Salzedo
Alice Coltrane
Thelonius Monk
David Lang
Caroline Shaw
Gadfly by Shostakovich (for Raglan James)
musical career of Martha Argerich
Season 1 here (these lists are updated regularly)
Season 3 here
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ernestinee · 1 year ago
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La douceur de vivre, en ce moment.
- Avoir choisi d'intégrer des petites touches slow dans notre vie et voir que ça fonctionne bien :
- Le poêle de masse, qu'on commence à mieux connaître, qui nous réchauffe la maison pendant 12 à 24h avec 6 bûches de sapin
- La cocotte qui cuit doucement nos repas, dans le four du poêle de masse.
- Le pain sans pétrissage, qui lève 12h avant d'être cuit dans la cocotte.
- Les panneaux solaires qui produisent + que ce que l'on consomme.
- Retrouver et réparer un truc qui lit les cassettes audio, acheter des vieilles cassettes pour presque rien
- La sensation d'être plus connectée à ma vie, ne pas regarder l'heure mais prendre des points de repère par-ci-par-là. C'était un objectif pour l'année, d'ajouter un peu de slow, et ça fait beaucoup de bien.
- Changer la disposition du salon vu qu'on quitte le poêle en fonte, et donner moins d'importance à l'immense TV. Avoir un tapis jaune sur le sol, tenir bon quand je trouve qu'il est bof (on passe d'un tapis brun et une table blanche à un tapis moutarde et une table en bois foncé) et finalement trouver qu'il illumine la maison.
- La petite plongée dans l'enfance, les routes connues par cœur, les jolis paysages rassurants et régressifs comme une tartine grillée à la cassonade, revoir mon cousin.
- Découvrir aujourd'hui par hasard une librairie pas loin de chez moi et savoir qu'elle va devenir mon endroit préféré, prévoir de partir plus tôt le jeudi quand je vais chercher l'ado à l'école pour y passer du temps.
- Retrouver instantanément l'envie de lire en entrant dans cette librairie, fortement, puissamment, profondément dans mon cœur, et être émue de cette sensation.
- Avoir quelques nouveaux patients qui me mettent des challenges.
- Faire des plans pro sur les 5 ans, arriver à la fin de l'immense vague qui m'a presque submergée de boulot depuis septembre, avoir enfin du temps pour penser aux nouveaux projets, écrire les prémices d'une formation pour adultes, avoir de nouvelles idées de matériel pour les patients.
- Trouver l'ado épanoui, le voir enfin prendre du poids, penser à ses affaires et prendre des décisions.
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kittynannygaming · 5 months ago
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[Dead Boy Detectives] Viens avec moi.
Un petit Drabble que j'ai écrit pour cette "Nuit de l'Écriture" du Discord "Le Petit Salon d'Écriture". 179 mots. MASTERLIST
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Edwin regardait l’adolescent, ou plutôt son cadavre. Charles Rowland venait de mourir. Edwin venait de passer les derniers jours à aider le jeune homme à passer de vie à trépas. Il semblerait qu’il fut, lui aussi, victime de harcèlement. Mais contrairement à Edwin, c’était en réponse à la défense d’un autre.
La lumière bleue qui annonçait l’arrivée de Mort apparut. Mais Charles n’en avait cure. Il n’était pas prêt à aller de l’autre côté. Il regarda Edwin avec toute la confiance qu’il pouvait exulter. Il partirait seul de son côté si Edwin ne voulait vraiment pas de sa compagnie mais il préférait vraiment ne pas être seul.
Edwin lui tendit la main.
« Viens avec moi. »
Charles prit la main du garçon de l’époque édouardienne et ils se mirent à courir. Une fois bien éloigné du bâtiment, alors qu’ils se trouvaient dans le parc, Charles trébucha et entraîna Edwin dans sa chute. Ils se mirent à rire comme seuls deux ados savent le faire. Ils restèrent là un moment.
Ainsi débuta l’amitié entre Edwin Paine et Charles Rowland.
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swedesinstockholm · 1 year ago
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18 novembre
pire anniversaire de l'histoire de mes anniversaires celui-là il aura une place spéciale dans les lettres à kristen stewart tome 2. l'anniversaire covid de l'année dernière c'était une promenade de santé à côté. ce matin quand je me suis levée maman revenait de chez le fleuriste avec un bouquet de roses roses à la main et j'ai été prise de mélancolie qui m'a plombée toute la matinée, jusqu'à ce qu'elle me demande ça va pas? pendant que j'écrivais sur le canapé, alors je lui ai parlé de la coloc à bruxelles et de la psy qui a reporté notre rdv au mois de décembre mais évidemment elle comprenait pas pourquoi ça me plombait autant et j'ai commencé à pleurer sans plus pouvoir m'arrêter jusqu'à ce que m. rentre de chez son amie a. avec un bouquet de fleurs de leur jardin avec de la bourrache comestible elle m'a dit tu peux la manger ça a goût à huître, mais j'arrivais pas à me réjouir, j'arrivais même pas à faire semblant. elle a commencé à parler de leur petit-déjeuner avec le pain au levain que son père venait de faire cuire dans le four à bois et du concert d'archive de hier soir etc alors que moi hier soir je regardais une série tordue de nathan fielder enfermée dans ma chambre en mangeant du chou kale qui pue parce que maman faisait l'apéro avec le voisin en bas. ils voulaient qu'elle reste manger à midi mais elle a dit non je dois rentrer c'est l'anniversaire de ma soeur et pour la remercier de son sacrifice je suis partie pleurer dans le salon avec le visage enfoui dans le coussin du canapé. quand j'ai senti que les sanglots devenaient trop intenses je suis montée pleurer dans ma chambre sous ma couette pour étouffer le bruit et j'ai pleuré pendant ce qui m'a semblé être des heures. sans interludes dansants comme pendant ma crise du mois de février. c'était une crise uniforme et monopolaire. parfois ça se calmait et j'en profitais pour me moucher et reprendre mon souffle, et puis ça reprenait. parfois je pleurais comme kate winslet au début de the holiday quand elle se morfond sur son crush qui l'aime pas et qu'elle veut se tuer avec sa gazinière dans son cottage, et je me demandais comment la situation pouvait être aussi tragique et comique à la fois. j'étais une tragi-comédie à moi toute seule. mais ça me faisait pas rire. aucune envie de rigoler. trop sérieux, trop tragique. je pleurais tellement que ça me faisait trembler et dans le noir sous la couette j'avais l'impression d'être une petite créature fragile, j'avais l'impression d'être dobby de harry potter.
quand maman est entrée dans ma chambre en m'appelant parce qu'elle voyait pas qu'y avait un gros tas qui tressautait sous la couette et qu'elle en a brutalement retourné un coin en aboyant ça sert à rien de se cacher sous la couette cherche une autre psy si celle-là peut pas te prendre, j'ai commencé à trembler encore plus parce que maman est une SAUVAGE. elle m'a demandé ce que j'avais et j'ai dit j'ai envie de mourir mais comme je parlais depuis sous la couette elle a compris j'ai envie de vomir et j'ai répété non j'ai envie de mourir et c'était de nouveau la tragi-comédie. elle est ressortie de la chambre sans fermer la porte et dix minutes plus tard elle est revenue vérifier si le chauffage marchait en jurant comme une charretière parce qu'il marchait pas de nouveau (la sibylle ouvre ses bouches, elle dit: si votre chauffage ne marche pas, c'est que vous manquez d'amour) alors elle l'a purgé pendant que mon corps possédé se purgeait tout seul sous la couette, on se vidait simultanément de nos liquides superflus, le chauffage et moi, tous les deux dysfonctionnels et froids. peut être qu'en s'occupant du chauffage c'est de moi qu'elle s'occupait, à sa manière. elle est ressortie sans refermer la porte, après m'avoir demandé si je voulais qu'elle me ramène quelque chose de chez delhaize, mais j'ai pas répondu parce que je pleurais trop.
pour me calmer j'ai commencé à me répéter it's gonna be fine you're gonna be fine it's gonna be okay you're gonna be okay I GOT YOU en me caressant doucement la main et en serrant la couette autour de moi pour simuler une présence humaine. j'essayais de m'imaginer que quelqu'un me serrait das ses bras derrière moi, dans mon dos, quelqu'un que je voyais pas, une présence. j'avais tellement envie que quelqu'un s'allonge sur moi et m'écrase de sa présence tout en me faisant rigoler pour dédramatiser la situation avec moi. je sais pas pourquoi je me parlais en anglais. peut être parce que tous les exemples de réconfort que j'ai dans la tête sont issus de films et de séries et non de la vraie vie. alors je copie. ça a marché parce que j'ai fini par me calmer et j'ai sorti ma tête de sous la couette, mis mes lunettes, pris mon ordi et regardé des trucs chiants sur netflix parce que je savais pas quoi regarder. quand elles sont revenues de chez delhaize je suis descendue comme une convalescente et on a regardé le film avec la nageuse qui nage de cuba à la floride parce que j'avais envie de revoir jodie foster totalement mon genre en coach sportive lesbienne no bullshit de 58 ans aux bras bien dessinés. si seulement j'avais une jodie foster coach sportive amoureuse de moi pour me sortir de ma soupe.
j'ai mangé un paquet entier de chips de légumes en répondant à mes messages d'anniversaire, j'ai dit à n. que j'avais fait une crise, pour pas "rester seule dans mon trou," puis je l'ai dit à f., et puis c. a appelé et je l'ai mise sur haut-parleur pour que ce soit maman qui fasse la conversation et pas moi et je les entendais qui trinquaient et discutaient de je sais pas quel champagne dans le fond et j'ai tout de même réussi à ressentir un certain soulagement de pas être à narbonne avec eux. rien que d'entendre la voix aigue de la copine de t. me souhaiter un bon anniversaire m'a émotionnellement épuisée. comme j'ai pas pu faire ma banana cream pie, vu que j'étais trop occupée à pleurer, je leur ai demandé de me faire un gâteau au chocolat parce que je tenais quand même à manger un gâteau et maman m'a offert un bandeau chauffe-oreilles moche et un calendrier de l'avent de lotto parce qu'elle "trouvait ça drôle" et j'ai dit que moi je trouvais ça déprimant, ungrateful bitch. et puis j'ai regardé party girl avec parker posey en me demandant si je devais me lancer dans un master de bibliothécaire, même si ça me donne zéro envie, à faire un master je préfèrerais faire le master de création littéraire de la cambre ou celui de paris 8, pas un master de bibliothécaire, ce que je veux c'est travailler dans une bibliothèque pour pouvoir financer ma vie d'écrivaine, c'est tout.
dans tous les cas, chose positive au milieu du désastre: maman a soutenu mon envie de déménager à bruxelles, elle m'a pas dit de rester ici, même si elle m'a dit qu'elle pourrait pas m'aider financièrement parce qu'elle aide déjà m. et qu'elle peut pas nous aider toutes les deux, ce que je trouve incroyablement injuste, étant donné que m. a déjà un copain qui l'aime, un corps de rêve et un visage tumeur free et qu'elle arrive à gagner de l'argent avec son art, contrairement à moi, parce que plus de gens veulent voir ses jolies fesses que lire mes poèmes qui parlent tous de la mort et de masturbation.
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tournevole · 2 years ago
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. La vie est un mythe. Mon âme et moi, nous fîmes nos bagages et cherchâmes dans le quartier un gîte qui n'aurait été qu'un gîte. Le pain est simple, l'amour est simple, la mort est simple. Pourquoi les pauvres hommes ont-ils voulu la vie si compliquée ? Pourquoi la bourrent-ils à l'envi de leurs fantaisies ? Que de fatigues, et que de déchets ! ...Ils nous convient dans leurs théâtres pour écouter des dialogues de vendeurs aux soutiens-gorge, ou dans leurs parlements pour entendre des harangues de tambours de village, ou dans leurs salons pour admirer la Vénus Teinturière. Vivre ! Docteur, je voudrais vivre ! Pourquoi les hommes ne sont-ils pas comme les feuilles d'un arbre, toutes propres, silencieuses et discrètes ? Faut-il des âmes d'élite ? Oui, bien, il en faut. Et des cerveaux de princes et des sensibilités de grands hommes. Oui, mais il ne faut pas que celles-là. Paris doit avoir avant tout des habitants et non pas des génies à chaque étage, comme des dentistes ou des tailleurs à façon. Je ne suis qu'un homme qui veille dans son phare, une abeille qui porte sur son dos son miel noir, un passant parmi les passants. J'aime la vie, comme les courtilières aiment leur chemin, et les tuiles leur coude à coude aux tempes des maisons. Je voudrais faire mon devoir d'homme parmi des spectacles réels, "dans de la banalité riche". Je voudrais qu'il n'y eut qu'un phare tous les mille mètres sur cette route qui nous mène à la mort. Des génies, mais des hommes. Non, je ne suis pas théologien, ni un fasciste, ni un rouge, ni un mauve, ni un syndiqué, ni un des plus brillants romanciers de ce temps, ni l'auteur dramatique le plus en vue, ni le commis voyageur le plus actif de la Pensée Française, ni quelqu'un des pontifes les plus adorables des Lettres, ni un charmant causeur, ni un ornement des salons. Je ne suis qu'une lampe de chair et d'ombre. Je sens pourtant ce qui est bien et ce qui est faux. J'ai attaché mon existence au corbillard des pauvres. Et j'aime mieux mordre dans le saucisson de la mère Bourdognon que de me prendre au sérieux. Tous ces génies me font peur. Si au moins ils avaient apporté des joies, s'ils avaient créé quelque chose ? Car enfin, il y a eu Rabelais, Balzac, Pascal, Baudelaire, Stendhal, Musset, le père Hugo, ce grand prêteur dont ils taisaient tous le nom. Il y a eu Rimbaud, Mallarmé, Verlaine et Debussy. Même, il y a eu Bizet et Fragonard. Et tous ceux qui les précèdent. Alors, qu'on ne secoue pas les braves gens dans leur lit parce que le jeune Pèteprouf a accouché d'un pouâme, d'une piécette, d'une musiquette, d'une historiette ou d'une peinture lurette. Sinon, nous allons appeler les artilleurs à leurs pièces à notre tour, nous autres qui avons cent ans et plus de coins de Paris, et de bouquins, et d'application. Nous aussi, nous avons une Révolution qui menace derrière nos fagots. Mais une révolution obscure, digne, toute en veilles fantastiques, en velléités de bonne tête. Un coup de tête de Poésie, une déclaration d'amour plus artiste à la matière. Une autorisation donnée aux hommes de se risquer entièrement, corps et âme, dans l'aventure ! Il faudrait une Révolution du courage contre la facilité, de la méditation contre le bagout, de l'art vrai contre l'art à portée de tous. Et de mon cañon de silence et de lassitude, je les vois venir, ceux qui la feront, au nom de l'honneur de sentir. »
Léon-Paul Fargue (1876-1947) - " Azazel " - Haute solitude. Paris, Émile-Paul frères , [1941].
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completementalest · 1 year ago
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Kazakhstan, chaud devant
Une petite heure de vol depuis Tbilissi et nous voilà arrivés à Aktau au Kazakhstan, sur le bord de la mer Caspienne. On aurait préféré traverser l’Azerbaïdjan à vélo puis la Caspienne en ferry mais le pays n’a pas encore ouvert ses frontières terrestres depuis la douce époque du Covid donc on s’adapte. On arrive avec un peu de retard dans le petit aéroport d’Aktau, autour d’une heure du matin. Le temps de remonter les vélos et pédaler dans la nuit noire la trentaine de kilomètres qui sépare l’aéroport du centre ville, on sonne à la porte de notre hôte vers cinq heures du matin (!). Bakhtiyar nous accueille sans broncher, nous présente le chat et nous montre où s’installer avant de retourner se coucher. On s’écroule sur le sol du salon et on sombre dans un sommeil-coma jusqu’à midi, à peine perturbés par les coups de truffe du chat sur nos visages. A notre réveil, on fait la connaissance du timide Bakhtiyar qui parle couramment le français et de sa douce sœur Aigerim.
Après une deuxième (vraie) nuit de repos, on prend la route vers l’est. On sent qu’on a changé de monde, on est bel et bien arrivés en Asie ! Les paysages sont désertiques et l’atmosphère étouffante de chaleur, rien à voir avec la Géorgie. Le temps de faire les courses, on commence à pédaler à la mi-journée (la bonne idée) sous 40 °C avec un vent de face tout sec qui nous donne l’impression d’avoir un sèche cheveux géant dirigé sur nous… On ne peut pas se contenter d’une étape courte car on est tributaires des points d’eau qui sont épars sur cette route : c’est 87 km ou rien ! Ce soir-là, c’est la première fois qu’on utilise de l’essence (plutôt que du gaz) pour notre réchaud et ça ne se passe pas comme prévu. On a beau avoir regardé des tutos, on n’arrive pas à passer la phase du préchauffage donc on finit par abandonner et se rabattre sur un menu pain + cacahuètes + haricots froids (régal). Le lendemain, on arrive rincés chez Baurzhan à Zhanaozhen, ville qui dépend en très grande partie de l’extraction de pétrole. Il vit dans un appartement en centre ville mais nous accueille dans sa maison en construction en bordure de ville. On a un canapé lit, une salle de bain et une cuisine à disposition : le luxe ! Il est cycliste lui aussi et connaît très bien la région, on a donc la chance de profiter de ses précieux conseils. On prévoit de traverser des zones désertiques où les ravitaillements sont rares ou absents, d’où l’importance d’être bien préparés. On se requinque en passant la journée et la soirée avec Baurzhan, sa femme Marzhan et leurs adorables enfants avant de repartir au petit matin vers le désert.
Sur les 280 kilomètres à venir, les seuls points où on pourra trouver de l’eau sont deux mosquées (de leurs petits noms Shopen Ata et Beket Ata) isolées au milieu de la steppe. Ce sont des lieux de pèlerinage pour les musulmans qui viennent parfois de loin pour prier dans ces lieux saints. Concrètement ça ressemble à un ensemble de salles de prières, d’ablution et de repas construit près des très anciennes mosquées creusées dans la roche (niveau date on est entre 1700 et 1800). Sur place, chacun ramène de quoi manger pour le partager avec les autres pèlerins, certains font la sieste ou passent la nuit, c’est très convivial. Personne ne s’étonne outre-mesure de notre présence, on nous accueille avec simplicité et naturel. Entre les deux mosquées, on fait un détour pour aller voir les impressionnantes formations rocheuses de Bozhira et leurs dégradés blancs et ocres. Ce qui nous inquiète le plus, c’est la portion de désert qui sépare la deuxième mosquée de la route principale, soit 100 km de piste en terre dans la steppe, sans aucune construction. Par peur de la chaleur, on se lève à 4h du matin et on commence à pédaler dans le noir avec nos vélos bien alourdis par les litres d’eau qu’on emporte avec nous. Hormis deux véhicules sur les dix premiers kilomètres, on ne croisera que des chameaux (ou dromadaires ou ne sait plus), des gangs de chevaux en liberté, des gros lézards et des araignées (très flippantes les araignées). La ligne d’horizon est courbe comme si on était en pleine mer, c’est dire l’isolement. Heureusement pour nous, le ciel reste couvert jusqu’à 13h, heure à laquelle on rejoint le bitume de la route principale.
Une fois de retour sur le saint asphalte, on n’est toujours pas au bout de nos peines car il nous reste à parcourir 180 km de ligne droite sous une chaleur écrasante (et bien sûr toujours le vent de face) avant d’arriver à Beyneu. On bénéficie encore de la solidarité des locaux qui s’arrêtent volontiers pour nous donner de l’eau ou des sodas (tout don liquide est vivement apprécié dans ce contexte). On arrive enfin à la ville, heureux, épuisés et tous secs. De là, on décide de prendre un train de nuit le soir même jusqu’à Nukus en Ouzbékistan pour éviter 500 km de désert supplémentaire. Sur le quai de la gare, on fait connaissance d’autres voyageurs, en vélo ou en sac à dos.
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Le bel accueil à Aktau.
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Ninja le chat qui ne respecte pas le sommeil des gens.
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Et une boite de viande de chameau offerte !
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Voiture volante.
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Avec la famille de Baurzhan.
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La pompe à pétrole.
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Famille de chameaux.
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L’angoisse.
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Toujours tout droit.
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Si vous restez assis à cette table, on vous portera de la nourriture sans discontinuer.
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Lumières du matin.
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Gang de chevaux.
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C’est Elsa sur l’horizon.
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Bienvenue sur la lune.
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4 m² d’ombre pour 5h de pause.
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Par ici l’aventure.
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Piste de qualité (en réalité c’est fort bosselé).
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Vue imprenable sur le caillou.
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20 litres d’autonomie en eau.
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On ne s’en lasse pas.
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Blanc sur blanc (tiens un virage !).
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Autour de Beket Ata.
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Départ matinal (5h05).
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C’est par où ?
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Pique nique dans le désert.
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Simon est très demandé pour les photos.
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La fatigue et le coca.
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Chameau en carton.
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Ils sont passés par ici.
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laplumedebrume · 2 years ago
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Le calendrier de l'avent
Le stand des Vœux envolés était placé au fond du village de Noël, entre celui du vin chaud et celui des bouillotes faites en chaussettes orphelines recyclées. Giselle ne l'avait encore jamais vu. Elle visitait ce marché chaque année sur la petite place de Houxville. Des odeurs de pain d'épices et de clous de girofle enveloppaient les chalets fumants. Au sol, le tapis rouge était encore imprégné de neige fondue.
— Bonjour ! Dit le vendeur des Vœux envolés en voyant la vieille dame approcher. — Cette pièce est magnifique, répondit Giselle. Elle pointa du doigt une jolie maison en bois tout ornée de gravures. — C'est un calendrier de l'avent. Il est spécial et entièrement conçu de mes mains ! Il vous fera retourner en enfance ! — Je ne vois aucune case à ouvrir ? Remarqua l'intéressée. — Elles sont invisibles pour le moment, précisa le vendeur. Elles apparaîtront une à une, un jour après l'autre. Son mécanisme est réglé comme une horloge. L'objet énigmatique intrigua Giselle, qui décida de se l'offrir. Elle avait envie de s'amuser un peu. Le 1er décembre à 17 heures, un "clic" retentit sur le petit meuble de salon de Giselle. La première case venait de s'ouvrir comme un tiroir. Giselle jeta un œil à l'intérieur pour découvrir sa surprise. Elle fut d'abord déçue de ne pas trouver une gourmandise à savourer. Elle récupéra une minuscule pièce de métal dorée. Ce n'était ni un bijou ni une broche. Cela ressemblait plutôt à un débris d'objet brisé. Elle le déposa sur une coupelle. Le lendemain, le clic de la seconde case dévoila une nouvelle petite pièce, presque identique à la première. Giselle se rendit au village de Noël pour revoir le vendeur. En arrivant, elle tendit la main pour lui montrer les morceaux. — Je crois qu'il y a un problème, annonça-t-elle. — C'est tout à fait normal ! Rétorqua le vendeur. Vous finirez par comprendre… Un peu de patience ! L'homme lui offrit tout de même quelques chocolats avant de la saluer. Les jours suivants, Giselle continuait de rassembler les pièces du calendrier, qu'elle disposait dans l'ordre sur une coupelle en porcelaine. Le 23e jour, elle découvrit un morceau plus grand que les autres, à la forme arrondie. Elle le déposa à côté des autres. La réponse était là. Toutes les pièces formaient une clé. Giselle les assembla et attendit avec impatience la dernière case. Le lendemain, dès qu'elle entendit le "clic", elle se précipita vers la maison de bois. La case était bien plus grande et ne comportait rien à part une serrure. Giselle tourna la clé à l'intérieur. De l'autre côté, il y a avait une vieille feuille de papier enroulée par un ruban violet. Giselle dut s'asseoir. En déroulant le papier, elle découvrit une lettre écrite il y a plus de 60 ans, par elle-même. La petite fille qu'elle était s'adressait au Père Noël. Les larmes de la vieille dame se mirent à couler sur le papier. " Cher Père Noël, je sais que je ne suis pas toujours la plus sage à la maison mais c'est que je m'ennuie. Peut-être qu'avec une sœur jumelle, ce sera plus facile pour m'amuser. Mais je ne sais pas si les lutins peuvent fabriquer des vraies personnes… Embrasse mon chien Gingembre s'il est avec toi maintenant. Giselle."
Giselle se réveilla le lendemain avec la lettre serrée contre sa poitrine. Elle se leva et passa plusieurs fois devant son sapin sans remarquer celle qui se tenait juste à côté. Sa vue lui faisait défaut sans ses lunettes. Une fois posées sur son nez, elle poussa un grand cri. Son double se tenait devant elle, un grand sourire aux lèvres. — Bonjour Giselle, c'est moi ! La sœur que tu attendais pour t'amuser ! Les deux sœurs passèrent la journée ensemble. Elles s'installèrent devant la cheminée pour se raconter des histoires et des souvenirs d'enfance. Giselle se sentait comblée. La présence de sa jumelle n'était pourtant pas éternelle. Elle disparut au coucher du soleil, après d'émouvants adieux gardés à jamais dans le cœur de la vieille dame.
Fin.
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solartale-officiel-fr · 25 days ago
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SolarTale Arc 1 - Chapitre 4 : Les monstres de négativité
Le lendemain matin, après une nuit où Chara a dormi chez Papyrus dans le salon sur le canapé, elle se réveille, sentant une odeur de pain grillé, ce qui lui rappela rapidement qu'elle n'avait rien mangé depuis un bout de temps. Papyrus était déjà debout, préparant le petit déjeuné qu’il apporta au salon. 
Papyrus : Bonjour Chara ! Tu as bien dormi ? Je t'ai preparé ça au cas où tu aurais faim. 
Chara s’étire et bâille puis regarde la nourriture avec envie tandis que son ventre gargouille légèrement. 
Chara : Oui ça va, j’ai trop faim ! 
Papyrus : Super, alors sert toi, tout ça c’est pour toi
Dès que Chara entendit ces mots, elle commença à manger avec impatience, mourant de faim il y a quelque seconde. Après le repas terminée, elle semblait satisfaite. 
Chara : Merci je mourrais de faim..
Papyrus : Ravi que ça t’ai plus alors ! 
Alors que Papyrus et Chara discutait tranquillement, un tremblement de terre retentit soudainement puis des cris, le village semblait en danger et Papyrus se préparait en mettant son équipement de garde royale. Son air jovial laissait place à un air sérieux. 
Papyrus : Reste là, ce ne sera pas long et je t’expliquerais tout en rentrant
Papyrus sort de la maison, laissant Chara seule sous les bruits assourdissants de l’extérieur. 
Chara : Y'en a du bruits.. Je sors ou pas ?-
Après une longue hésitation, elle décide finalement de sortir elle aussi en secret. À l’extérieur, des créatures noires et sombres semblable à des slimes attaquaient le village et ses habitants, un petit groupe dont Papyrus faisait partie les combattaient. 
Chara contemplait le spectacle cachée derrière une maison, soudain une des créatures l’attaque discrètement par derrière et Chara se fait transpercer la hanche. Elle se retourne alors prise de peur, le temps semblait s’arrêter alors que le coeur de la jeune fille battait très rapidement, elle était sans défense face à une de ces créatures dont les villageois avaient si peur. 
En un réflexe de survie, elle tend la paume de sa main vers la créature puis à sa grande surprise, un rayon d’énergie rougeâtre se forme pour désintégrer la créature d'un seul coup. Elle était terrifiée par ce qu’elle venait de faire en regardant ses mains pleines de son propre sang, se demandant ce qu’elle a bien pu faire pour activer ça. 
Chara : Comment j'ai pu faire une telle chose ? Ça ne m'était jamais arrivé ! Qu'est ce qu'il m'arrive.. 
Chara essayait de garder son sang froid face à toutes cette frustration. Des cris retentissent brusquement et Chara ne prend la peine de réfléchir, elle fonce pour détruire plus de ces créatures en un acte héroïque tandis que sa blessure à la hanche se referme doucement mais sûrement dans une lueur rougeâtre. 
Des couteaux apparaissent à côté d’elle dans les airs et se dirige vers les creatures de négativité pour les trancher et les détruires. Après un long combat à détruire les créatures noirâtres remplies de négativité avec ces nouvelles capacités, Chara était épuisée ayant éveillée sa magie pour la première fois. Papyrus s’approche d’elle pour la soutenir. 
Papyrus : Hé ça va ? Pourquoi n’es tu pas resté en sécurité ?
Chara : Je ne pouvais… Pas restée… en sachant que tu serais possiblement en danger !
Papyrus : Chara… bon au moins tu n’es pas blessé mais laisse moi t’aider.
Il prend Chara pour la mettre sur son dos et l’emmène à sa maison pour qu’elle se repose à l’intérieur sur le canapé. Chara reprend son souffle tandis que ses blessures se régénèrent grâce à sa magie. Elle regarde Papyrus dans les yeux, déterminée. 
Chara : Maintenant explique moi !
Papyrus soupire brièvement avant de répondre. 
Papyrus : Je fais partie de la garde royale, la police de l’Underground qui se charge de protéger l’Underground et ce que tu as vu là sont des créatures d’une provenance inconnue, nous cherchons toujours d’où elle viennent.
Chara regarde ailleurs le temps de réfléchir à tout ce qui s'est passé, en repensant à ses pouvoir, elle tourne de nouveau le regard vers Papyrus. 
Chara : Papyrus, entraîne moi à utiliser ma magie, je veux rejoindre la garde royale !
Papyrus semblait quelque peu hésitant à ce propos mais il accepte
Papyrus : Très bien alors je vais t’apprendre ce que je sais sur la magie et comment l’utiliser pour que tu puisses rejoindre notre camp !
Vu la bataille qu'ils avaient passée qui a duré presque une journée, les deux personnes finissent par s'endormir rapidement.
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camisoledadparis · 29 days ago
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saga: Soumission & Domination 305
Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Fin juin 2014-2
Après une nuit des plus agitée, pas mal de déplacements entre les différentes chambres et même entre les étages, nous retrouvons nos invités autour du petit déjeuner. Ammed était passé à la boulangerie et entres les viennoiseries et les pains frais, il y avait le choix.
Dans leurs pérégrinations nocturnes, les Lads avaient été entrainés au second étage pour baiser. Après le café, ils m'ont demandé si c'était possible de s'entrainer un peu sur les machines de muscu. C'est Ric et sa grande pratique du travail en salle qui les a guidé alors que tous nous nous répartissions tous avec eux ou dans les diverses piscines pour un bon décrassage.
Avec mes trois " nageurs " (Maxou, Guillaume et Anthony), je squatte une de ligne d'eau du bassin du jardin (25m). Pendant une petite heure, nous allons alterner brasse coulée, crawl et même un peu de papillon. Je suis content car j'ai retrouvé toutes mes sensations et non, je ne penche pas du coté de ma broche !  Anthony trouve même que je me débrouille mieux en papillon qu'avant l'accident. Probablement un effet collat��ral à mes mois de travail du seul haut de mon corps.
Une serviette autour du cou, je les quitte et monte au second. Mes 2 Lads suent sous les poids et les conseils de Ric. En riant je lui dis de ne pas les " casser " totalement s'il voulait les avoir dans le cul un peu plus tard.  J'enchaine avec une bonne demi heure de pecs et de triceps alors qu'ils passent sous les douches et vont se détendre dans le bassin d'à coté.
On se retrouve sous les douches. Un maillot sur le cul et nous remontons avec les quelques amis qui étaient avec nous.
Le soleil inonde le séjour. Le bassin de la terrasse est plein et du salon nous y voyons des jambes s'enlacer, des paquets grossir et même quelques glands dépasser des tissus.
Nos bites retrouvent de la vigueur et gonflent nos maillots. Ric, chaud lui aussi, demande aux deux Lads s'ils étaient prêts. Ils mettent quelques instants à comprendre, les yeux et les pensées encore captés par le spectacle.
Nous montons tous ensemble sur la terrasse/jardin. J'annonce l'exploit à venir et demande quelques volontaires pour la préparation. Ça se bouscule pour en être !
Finalement ils seront 13 à lui préparer la rondelle. Je décide de l'ordre de passage en fonction des largeurs des bites.
Ce sera donc Jean Black et ses seuls 5 cm qui lancera la performance. En plus sa superbe longueur préparera bien le boyau aux futures dilatations. Il en profite quelques minutes avant de céder sa place à Anthony, ce dernier prend son pied à enculer Ric debout en appui sur la sculpture. Puis c'est le tour de Julien qui aime toujours autant enculer que de l'être. Ses petits coups secs détendent bien le trou de Ric. G2 et ses 22x6 prend la relève. Il est suivit de nos deux espagnols Ernesto et Pablo qui alternent l'un et l'autre à chaque pénétration. Quand arrive le tour de Xavier, Ric se place en levrette, les cuisses un peu brulantes d'être semi pliées depuis maintenant plus d'une demi heure. Il encaisse les 26x 6,5 comme s'il le faisait tous les jours. En fait c'est le cas puisque son père continu à le sodomiser chaque soir de ses 27x7. Xavier s'éclate. Même si à la maison sa femme accueille sa queue dans tous ses trous depuis que je suis passé par là, il aime trop les culs de mec. A coté, Eric lui dit de bien aller jusqu'à l'os pour préparer la venue de ses 26 x 7. Comme beaucoup, la bite de Xavier s'élargie dans son denier cm. Eric ajoute même son majeur couvert de salive. C'est trop pour Xavier qui jute dans sa kpote, sous des lazzis " d'éjaculateur précoce ".
Eric, tout content, profite de la place laissée vacante. Il attend quelques secondes pour que l'anneau de Ric se resserre un peu. La kpote bien graissée, il s'enfonce d'un coup, propulsant Ric d'un bon mètre ! La bite noir ébène s'enfonçant entre deux fesses blanches dans une rondelle bien rose, est un spectacle superbe. D'ailleurs nous sommes tous à mater. Les Lads sont enthousiastes et attendent bandés comme leurs chevaux ! Bien que cela ne soit pas nécessaire, les prochains enculeurs sont stimulés par les mains ou même les bouches de ceux qui regarderont, tout comme ceux qui sont déjà passés et n'ont pas encore juté.
Eric laisse la place et va abriter sa queue au fond du trou accueillant de Jimmy nous les entendons jouir alors que le premier duo s'enfonce dan Ric. Il est constitué de Jona et François. Leurs 19x5.5 et 18x6.5 écartent la rondelle de ric qui me demande un peu de poppers pour aider. Pour  Maitriser la pénétration, Ric leur a demandé de se coucher bite contre bite et c'est lui qui s'assoit sur l'ensemble. Les plus jeunes qui n'ont jamais vu ça sont couchés sur l'herbe pour avoir les yeux au niveau de l'action. Leurs commentaires font rire les plus expérimentés. Il faut une bonne dizaine de minutes pour voir les fesses de Ric se poser sur les cuisses de mes deux escorts. Il y reste un instant sans bouger pour habituer sa rondelle à la nouvelle dilatation. Puis nous voyons ses quadriceps gonfler alors qu'il les sollicite pour relever son cul. Il est superbe dans l'effort. Les plus sportifs d'entre nous admirent l'animal.
Quand, après une bonne dizaine de minutes, il coulisse facilement, il nous réclame la nouvelle paire d'enculeur.
Marc se couche sur le dos et Ric vient s'empaler sur ses 22 x 6 très vite rejoints par le 21x 5.5 d'Hervé. Ce n'est pas la première fois que se les prend tous les deux. Il kiffe la position et sans fatigue se lime de lui-même sur mon mec et son pote.
Les 2 Lads qui sont les prochains et derniers sur la liste se demandent comment ils vont se le faire. On les entend discuter ensemble. Ils envisagent quelques instants de le prendre debout avec quelques acolytes pour soutenir Ric entre eux deux mais voient vite les inconvénients. Leurs bustes ne seront jamais assez écartés pour que les fesses de Ric descendent à fond. C'est ric qui leur impose la position. Vu les deux diamètres (6.5 et 7), il veut comme pour le premier couple pouvoir gérer lui-même. Mes deux Lads se couchent sur le dos jambes emmêlées jusqu'à coller leurs périnées. Je dispose leurs couilles afin de coller les deux manches l'un contre l'autre. Comme Lad 2 est plus par dessus, les deux glands arrivent à la même hauteur. Ils sont impressionnants ! Max, collé à moi, me glisse que ça ne rentrera jamais. Je passe un bras autour de ses épaules et lui dis de bien regarder, qu'après c'est son tour. Il s'écarte brutalement en me regardant effaré. Ceux qui m'avaient entendu sont pliés de rire.
Il revient se blottir contre moi et me rappelle tout bas que j'avais promis à son père de pas l'abimer. Je le rassure que c'était une plaisanterie.
Pendant ce temps, Ric, une jambe de chaque coté commence à descendre ses fesses. Il marque un arrêt lorsque sa rondelle entre en contact avec les glands, réclame plus de gel. Une fois la couche de lubrifiant renforcée, il pousse le temps de faire entrer les deux glands. De leur coté les Lads sont plus raides que de l'acier. Nous voyons Ric faire pivoter son bassin pour bien graisser sa rondelle. Puis doucement il s'enfonce le pal géant dans le cul.
Il lui faudra un bon 1/4 d'heure pour les prendre en entier. Ses cuisses sont rouges de l'effort réalisé et je demande à Ernesto de m'aider à le relever. Ric me remercie et me dit qu'il va " travailler " en retenu. Il va gérer la descente et nous devront le remonter. Nous le faisons avant qu'il se couche sur Lad 1 pour soulager ses jambes. Lad 2 bascule et se met à genoux entre les cuisses de Lad 1 pour continuer à l'enculer. Tellement excité par la situation inédite, ils jouissent assez vite. Je récupère un Ric sur les rotules exténué par l'effort demandé depuis maintenant plus de deux heures. Bien que bandant à mort, je m'occupe de lui, m'assurant que sa rondelle se refermait bien. J'attrape Max toujours collé contre ma jambe, le plie contre le rebord de la terrasse et l'encule direct. Chaud comme il était lui aussi, ma bite rentre comme dans du beurre (en moins gras !). Il gémit trop content de sentir mon gland défoncer sa rondelle (ou plutôt en réalité stimuler sa prostate). Je vois tous les autres décharger rapidement soit sous les coups de bite de leurs partenaires ou sous leurs coups de langue. De mon coté j'encule Max par petit coups sec, bien callé tout au fon de son trou tout en le branlant. Il ne faut pas 5 minutes pour qu'il me remplisse la main de son beau jus blanc. Je la remonte à son visage et il vient laper son sperme. Je lui donne encore quelques coups de rein alors que sa rondelle s'est bien contractée sous son propre plaisir avant de jouir et juter sans sortir. Mes mains accrochées à ses hanches fines, je le maintiens planté jusqu'à ce que je me sente mollir un peu. Il continue a serre son anneau alors que je sors et du coup même mon gland est nickel quand il retrouve l'air libre. Je le redresse, le fait pivoter et nous nous roulons un patin d'enfer.
Samir et Ammed apparaissent alors avec de grands plateaux de bouffe. Ils passent entre les corps allongés et les déposent directement sur l'herbe il n'est pas loin de 16h et les ventres crient d'autant plus famine que les efforts ont été intenses.
La terrasse prend alors des allures d'orgie romaine, moins les toges mais avec les gitons ! Certains dégustent même leurs plats directement sur le ventre de leur voisin.
Les plateaux se vident et nos deux serveurs doivent faire un second tour. Alors qu'ils sont félicités pour leur cuisine, ils n'oublient pas d'y associer Julien qui en a préparé plus de la moitié.
De mon coté de reçois les félicitations de ceux qui, d'habitude, participent à la touze du nouvel an que cette année j'avais zappée faute de pouvoir y participer.
La fin d'après midi retrouve un rythme plus calme. Les participants les plus lointains, nos lads, jules et nos gendarmes, nous quittent les premiers. Nos " médecins " partent ensuite devant prendre des gardes hospitalières ce dimanche soir. Second et Julien rentre chez eux, leurs métiers respectifs les font démarrer tôt le matin. Les autres trainent, d'autant plus que les années sont terminées pour les étudiants et que nos lycéens en sont à leurs derniers jours.
Enfin nous ne sommes plus qu'entre nous (Marc, Hervé, PH, Ernesto et moi) + Max qui semble vouloir prendre pension.
Comme Marc lui demande si ses parents vont pas s'inquiéter de ne pas le voir revenir, il nous dit que son père à toute confiance en moi et qu'il à la permission de minuit. Ernesto rit et l'attrape par la taille avant de l'assoir sur lui, le cul pile sur sa grosse bite en train de grossir à nouveau. Hervé le traite de chien en chaleur et nous dit qu'avec Marc ils ont à travailler un peu leur déplacement à venir. C'est une acceptation/bénédiction de nos ébats à venir. Nous restons au salon alors qu'ils s'isolent. Dès que le monte charge descend, le maillot de Max vole au travers de la pièce. A trois nous nous occupons de son affaire. Je lui roule une pelle alors que PH le suce et qu'Ernesto lui mange la rondelle. Il en sait plus où il est ! Mais il aime ça c'est certain. Nous le chauffons bien, il me repousse le temps de me dire qu'on peut faire ce qu'on veut.
Ça tombe bien nous en avions l'intention. Il bande ferme sous la langue de PH et ses 18cm sont plein de sang, le gland bien sorti de son prépuce. Coté pile, sa rondelle se déplisse rapidement, souvenir de l'après midi.
Me repoussant de nouveau, il me dit n'avoir été enculé ce WE que par des bites moyennes. Il n'avait pas réussit à se choper un TTBM ! A part la première pipe faite à Lad1. Je suis étonné car Xavier m'avait dit vouloir le tester. Je lui en fais part, nouvelle dénégation.
Ok et bien ce sera maintenant qu'il va tester le " lourd " ! C'est lui qui décide de l'empaler sur les 24cm d'Ernesto. Il me demande un peu de poppers mais se défonce le cul comme une reine ! Ernesto n'a quasiment rien à faire, mon petit Max s'enfonce tout seul ses 24cm de chair dans son boyau. Il y va doucement mais sans retrait aucun. PH l'encourage alors que je lui caresse les flancs. Il serre les dents une ou deux fois mais, vaillamment, s'enfonce cm par cm la bite d'Ernesto au meilleur de sa forme. Quand il sent enfin les poils du pubis d'Ernesto s'écraser sur ses fesses, il relâche son effort, trop content d'y être arrivé. C'est le moment que je choisi pour lui annoncer qu'il doit bien se roder dessus, qu'après avec PH nous allions le double sodomiser. Sans paniquer, je le vois accuser le coup puis, me regarder avec ses yeux à tomber, pour me dire que c'est comme je veux. Il est trop mignon celui là. S'il continu sur la même lancée je vais avoir du mal à m'en détacher ! Quand je quitte son regard, c'est pour voir dans celui de PH la confirmation de l'effet qu'il me fait. Me voila bien !! Je me connais, je vais vouloir l'avoir avec moi comme mon PH et mon Ernesto. D'un autre coté, il va me permettre de renouveler et rajeunir mon équipe d'escorts. C'est l'avantage. (Ho qu'il est vilain mon coté calculateur !!).
Ce soir là, je ne transformerais pas mon annonce en réalité. Alors qu'il se fait ramoner grave par Ernesto, PH et moi profitons de sa bouche et de sa gorge accueillante. Je vais même lui donner à avaler le meilleur de moi-même : mon sperme !
Ernesto se dégagera à temps pour tapisser son dos d'une bonne couche de protéines animales comme PH s'occupait de lui badigeonner les pecs.
Dans mes bras, il a repris doucement pied dans la réalité. Son petit nuage se diluant doucement. C'est par une grosse pelle qu'il m'a remercié de ce plan.
Comme il se fait tard, je nous pousse sous les douches communes du 3ème et rhabillés, je reconduis Max chez ses parents.
Evidemment, je tombe sur eux et ne peux échapper à un apéritif. La mère de Max qui n'est absolument pas au courant de ce qu'il y a d'extrascolaire à notre relation, s'enquière de notre WE. Son mari, qui lui le sait pertinemment, sans les détails bien sûr, me fait un clin d'oeil et détourne le sujet sur les progrès de Max en expression orale et écrite.
Sa femme embraye dessus. Elle est ravie de l'influence lénifiante que j'ai sur leur Max. Depuis que je l'ai pris en mains (sa propre expression), il n'est plus aussi agressif avec eux, il leur parle correctement et ils ont cessé de recevoir des bulletins négatifs du proviseur. Je me permets de passer ma main dans les cheveux courts de leur fils pour les ébouriffer avant de la laisser retomber maintenant mon bras sur ses épaules. Elle ne voit pas le sous entendu que son mari comprends, lui.
Je me lève les remercie et après qu'il m'ait fait un bisous sur la joue, d'une tape sur les fesses, j'envoi Max dans sa chambre. Sa mère n'en revient pas de ce que j'obtiens de son gamin. Pince sans rire, je lui rétorque " et encore ce n'est qu'avec quelques heures par semaine ". Il n'y a pas pire aveugle que les mères !!
Jardinier
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thepastry0 · 1 month ago
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Indulge in Sweetness: The Best Pastry Shops in Paris You Must Visit
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Paris, often referred to as the culinary capital of the world, is a haven for food lovers, and when it comes to pastries, the city truly shines. The art of pastry-making has been perfected in this vibrant metropolis, with shops offering everything from flaky croissants to exquisite macarons. If you’re looking to indulge in the sweetest delights Paris has to offer, here are some of the best Paris pastry shops that you absolutely must visit.
1. Pierre Hermé
No list of pastry shops in Paris would be complete without mentioning Pierre Hermé. Known as the “Picasso of Pastry,” Hermé has earned international acclaim for his innovative flavors and artistic designs. His signature macarons, especially the salted caramel and rose-flavored varieties, are simply divine. The shop's elegant ambiance complements the exceptional quality of the pastries. A visit to Pierre Hermé is not just a treat for the palate but also a feast for the eyes.
2. Ladurée
Another iconic name in the world of Parisian pastries is Ladurée. Established in 1862, this historic patisserie is famous for popularizing the macaron. With its charming décor and elegant tea rooms, Ladurée provides a quintessential Parisian experience. The pastel-colored macarons are a must-try, but don’t overlook their pastries such as the delectable Saint-Honoré and delicate pastries that are beautifully crafted. Enjoying a cup of tea alongside your treats in one of their beautiful salons is an experience you won’t forget.
3. Du Pain et des Idées
Located in the 10th arrondissement, Du Pain et des Idées is a bakery that is well worth the visit for its exceptional pastries and artisanal bread. The owner, Christophe Vasseur, has created a warm and inviting atmosphere. Their signature “Pain des Amis,” a rustic loaf, is a highlight, but the real stars here are the pastries. The pistachio-raspberry escargot, a spiraled pastry filled with almond cream, is a must-try. Each bite is a perfect blend of flavors and textures, leaving you craving more.
4. Carette
Carette has been serving delightful pastries and elegant sweets since 1927. With locations near the Trocadéro and Place des Vosges, this patisserie is a perfect stop for those exploring the city. Their chocolate éclairs and fruit tarts are exceptional, and the hot chocolate is famous for its richness. Enjoying a pastry on the terrace while overlooking the Parisian streets is an experience that captures the essence of the city.
5. Maison Pichard
Tucked away in the 15th arrondissement, Maison Pichard is a hidden gem that locals adore. The shop has been awarded the title of “Meilleure Boulangerie de France” (Best Bakery in France) and is known for its stunning pastries. The caramelized apple tart and the Paris-Brest—a choux pastry filled with hazelnut cream—are must-tries. The friendly staff and inviting atmosphere make it a delightful place to enjoy your sweet treats.
6. La Pâtisserie des Rêves
La Pâtisserie des Rêves is a modern pastry shop that combines traditional French pastry-making with innovative designs. Founded by chef Philippe Conticini, this shop reinterprets classic pastries in a contemporary way. Their signature creation, the “Paris-Brest,” is a standout with its creamy filling and exquisite presentation. The shop’s elegant decor and thoughtful packaging also add to the experience, making each pastry feel like a work of art.
7. L'Éclair de Génie
For those who adore éclairs, L'Éclair de Génie is a must-visit. This specialty shop is dedicated to elevating the humble éclair into a gourmet experience. With flavors ranging from classic chocolate to exotic creations like passion fruit and yuzu, there’s something for everyone. The éclairs are not only delicious but also visually stunning, making them perfect for Instagram-worthy moments. A visit to this shop is a delightful adventure in taste and creativity.
8. Pain de Sucre
Located in the charming Marais district, Pain de Sucre is renowned for its exquisite pastries and stylish presentation. The shop offers a wide range of pastries, but their fruit tarts are particularly noteworthy. Each tart is crafted with the freshest seasonal fruits, making them a perfect choice for warm days. The vibrant colors and delicate flavors make Pain de Sucre a delightful stop for anyone seeking a sweet treat.
9. Sébastien Gaudard
Sébastien Gaudard's pastry shop, situated in the heart of Paris, embodies the essence of traditional French pastry-making. The vintage decor and nostalgic ambiance transport visitors to a different era. The selection includes classic pastries like mille-feuille and tartes aux fruits, all made with high-quality ingredients. Gaudard’s passion for pastry is evident in every bite, and the authenticity of the shop makes it a true Parisian experience.
10. Le Grenier à Pain
With multiple locations across Paris, Le Grenier à Pain is known for its artisanal approach to baking. This patisserie has garnered accolades for its exceptional croissants and pastries. The “Meilleur Croissant de Paris” award is a testament to their commitment to quality. Whether you’re in the mood for a classic pain au chocolat or a fruit-filled pastry, Le Grenier à Pain delivers delightful options that will satisfy your cravings.
Conclusion
Exploring the best Paris pastry shops is an essential part of experiencing the city’s rich culinary culture. From classic macarons to innovative éclairs, Paris offers a diverse range of pastries that cater to every palate. Each shop not only provides delicious treats but also captures the essence of Parisian life, making your visit a memorable one. So, whether you're a local or a tourist, make sure to indulge in the sweetness of these delightful pastry shops.
For more information on the best pastry shops in Paris, visit https://thepastrychefaround.com/10-best-patisseries-in-paris and discover the sweet side of the city.
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latribune · 1 month ago
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christophe76460 · 2 months ago
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George Müller a lu la Bible plus de 200 fois, dont 50 à genoux et avant sa mort, lorsqu'il est demandé par un journaliste ce qu'il aimerait encore faire, il, à genoux, répondit : ′′ Lire plus la Bible, Car je connais encore peu, de l'excellence du Christ ". Müller a fondé plusieurs orphelinats et s'est occupé de plus de 10.000 enfants orphelins, basé sur la promesse de Dieu du Psaume 68:5 ′′ Dieu est le père des orphelins ".
Ses proches racontent des histoires intéressantes à son sujet. Parmi elles, une que quand Müller priait dans sa chambre et que sa célébrité était déjà remarquable. La reine d'Angleterre est venue chez lui et sa serveuse a frappé à la porte de sa chambre et a dit : ′′ M. Müller la reine est dans le salon, voulant lvous parler ". Et il répondit : ′′ Dites à Madame Reine que je ne peux pas maintenant, car je parle au ROI des rois et je ne vais pas la recevoir ".
À une autre occasion, son orphelinat manquait de nourriture pour plus de 1000 orphelins. Et le désespoir avait atteint tous les fonctionnaires, mais Müller dit : Je ne demande rien à l'homme, mon alliance est avec Dieu. Il est entré dans sa chambre et a prié : ′′ Le père des orphelins manque de pain. Au nom de Jésus Amen ". Quelques minutes plus tard, plusieurs chariots avec des pains sont passés à la porte de l'orphelinat et l'homme qui conduisait le chariot a dit : ′′ M. Müller nous sommes allés livrer ces pains à la famille royale au château, et ils ont dit que les pains étaient trop rôtis et pour ne pas le jetter , nous avons décidé de donner à l'orphelinat ". Müller a dit : ′′ Ce n'est pas les pains qui ont dépassé la limite de la cuisson, mais Dieu qui a répondu à notre prière et a eu pitié de nous ".
Müller était un grand évangéliste. Il a eu une communion enviable avec le Christ et a prouvé à de nombreuses reprises la puissance de la prière avec foi. Müller avait un cahier où il avait noté plus de 50.000 prières qui ont été répondues par Dieu. Rappelons-nous que lorsque nous vivons dans la dépendance de Dieu, il crée lui-même des circonstances favorables en notre faveur.
𝙼𝚎𝚛𝚌𝚒 𝚍𝚎 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚊𝚐𝚎𝚛 𝚖𝚊𝚜𝚜𝚒𝚟𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚕𝚊 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚌𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 !
#JE_SUIS_UNE_FEMME_DE_PRIÈRE
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vavuska · 1 month ago
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I would add that the salons scene were ridiculous. I mean, Maiwenn missed completely the concept of this cultural phenomenon, where the cream of the aristocracy mingled with artists and writers, giving supports to painters, philosophers, poets, musicians and such. Maiwenn seems to think that being educated and being interested in arts means just knowing fancy words and synonyms. It was painful and embarrassing to watch. Basically, Maiwenn also failed to give us the real cultural impact of Madame du Barry in Verseills. Madame du Barry wasn't just a fashion icon and lifestyle trendsetter, she was a patron of the arts and supported various painters and craftsmen during her life as Luis XV's maîtresse-en-titre. She was friend of Voltaire and is credited with nurturing the French neo-classic style.
Plus, the most diamond necklace scandal isn't shown at all (as far I remember) and skipped completely the revolution and her execution.
Jeanne du Barry: A review
I watched it, so you don’t have to!
There was a preview screening of Jeanne du Barry that coincided with a presentation on 18th century fashion and hygiene, so I figured that would make for a pleasant Sunday. The lecture by Marta Veil was splendid.
The movie was… not.
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I wasn't expecting greatness, really, but I also wasn't expecting it to fail in quite so many ways. Shall we count them?
First, it falls flat as a piece of cinema. The ponderous shots just scream second-year-film-student-auteur. The narration, usually a gimmick, is critical because the directorial vision seems to have been “tell, don’t show”. It’s all glamour with no heart, a faux-profound fashion parade that fails to let its consequential story beats resonate on any emotional or narrative level. Despite being told about the constant danger than Jeanne is in, we never feel it. Despite witnessing her tragedies, we don't empathise.
The lead actor-director gives du Barry none of the wit, charm or depth you would expect of the subject of a biography, and most characters are either outrageous caricatures (the evil, Alice in Wonderlandian step-daughters, complete with heart-shaped perms) or have the nuance and magnetism of an untoasted slice of white bread (the Dauphin, a key side character, shows not a single discernible character trait besides “aloof”).
Second, it fails as a biography. Maïwenn, the woman responsible for this mess, has apparently been trying to bring this story to life for over a decade - and then manages to give us nothing more than the blow-for-blow you can get from the du Barry Wikipedia article - dryness and all.
(It’s also exceedingly clear that Maïwenn got more than a little 'inspired’ by Sofia Coppola’s Marie Antoinette, and ironically - given their historical rivalry and the way Coppola's Antoinette was lifted wholesale from her film - the Dauphine outshines du Barry completely here.)
Despite being a biography, the movie devotes very little attention to Jeanne’s coming of age - and almost no time (literally, a 30-second narration) to the 12+ years of her life after Louis’ death, which include such dramatic things as her being betrayed by her servants, tried and executed in the wake of the French Revolution. Very little of her internal world is explored - so we don’t really understand what drives her, and even when she expresses her goals it comes across as insincere.
The bulk of the movie focuses on Jeanne’s time as Louis XV’s lover. That’s understandable, I guess - people want the sexy, sparkly intrigues, not the convent drudgery - but the movie doesn’t do any work to embrace the politics and scandal surrounding her on more than the meanest surface level. I mean - "this is Versailles!" (A line that’s cribbed verbatim from Coppola.) Where are the machinations, the manoeuvres? The only meaningful drama we get is domestic. Louis’ daughters don’t like his mistress. They’re mean to her. And… that’s it.
Most egregiously, the movie makes the unrecoverable error of losing grasp of its own point of view. We ostensibly follow Jeanne for most of the movie, in what is made out to be a limited first-person perspective. But when she’s banished from Versailles, we get to witness the unfolding events without her. After all, the death of Louis XV is surely more interesting than some woman bundled off to a convent (wait— who is this movie about…?) and so we stay with him - and miss the opportunity to follow Jeanne and empathise with her isolation, fear and grief.
If the goal of the movie was to humanise and rehabilitate du Barry, then maybe she shouldn’t have been made so vapid, boring and lacking in agency that her own biography lost interest in her.
Third, it fails as a historical piece. Not entirely - some of the men’s fashions are sumptuous and on point, Marie Antoinette is chef’s-kiss, and Versailles looks splendid on screen - but that makes the rest worse, somehow.
Again, we get Coppola plagiarism, in the form of Louis’ morning dressing routine (with the same comical play on the endless steps and bored attendants), as well as in many of du Barry’s fish-out-of-water moments.
But the movie forgets its own rules and context. For example, we’re told that “no one except the Dauphin is allowed to turn their back on the king” - a rule that’s respected until about midway in the movie, at which point, its plot purpose exhaused, it's forgotten entirely. Jeanne is also surprisingly enlightened about racial equality, showcased in painful scenes with Zamor, her black… servant? slave? Although it’s not really clarified on screen, the former is heavily implied, which would be gross revisionism.
Even Louis is treated with a strange sort of familiarity, left to mill around with his guests in the hall of mirrors or stroll the gardens with his hair undone.
As for the clothing… I can’t bear to deep-dive into the entirety of the mess, but here are a few examples of just how lazy the styling is.
Now, when he’s done up in his finery, Louis XV actually looks grand - and even (what a rarity) has very decent period men’s make-up. But then it’s clowns all the way down. Take this shot.
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Just behind him is his daughter, sporting a top-of-the-pops 1980s crimped blowout, and beside her is the Dauphin of France - though you could be mistaken for thinking he’s some fella getting to pose for a romance novel cover in the world's most ill-fitting suit. (I don’t recall this man tying his hair up one single time for the duration of the movie.)
Some of the critique is a little nitpicky, yes - for example, du Barry wears this outfit to be formally presented to the king:
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The big hair and ostrich feathers are a decade too early (stop trying to be Marie Antoinette: The Unauthorised Prequel already), the makeup is mid 2000s, and the necklace... the less said about it, the better. But at least an attempt was made!
But this?
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And this???
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0.5 out of 5 stars. It would have been zero on account of all the plagiarism, but a half-star is given for the cameo of Elizabeth Vigée Le Brun.
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janelher · 8 months ago
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Chansons
Devant le poste, glisse une brise éperdue 
Tout à coup la joie ne chante plus
Et ce vent règne sur toutes les fleurs
Et mon salon
J’ai perdu ma maison 
La mer transpire des catacombes dans la rue
Un enfant traîne
Sa gamelle vide... Il a plu.
Peut-être un peu trop, au vue 
Des gens qui s’en vont
J’ai perdu ma maison 
Seules les vaches, en guides prévenues,
Ont pu s’enfuir et ont survécu 
Des avions nous apportent
Du pain et des chansons 
J’ai perdu ma maison
Plus grand chose à croire
Quand la Terre a grondé 
Oh l’infirmière donne à boire, à côté,
Mais l’effroi qui nous gagne
A tari le pavé 
C’est l’hiver qui égorge l’été
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