#série au rideau
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2024 – 698
« Au commencement, 48 »
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#Fœhn#carte postale#couleur#art postal#mailart#art collaboratif#série des voyages de lours avec Fœhn#projet#travail en cours#série au rideau#dans le studio
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29–11–24 Devant une sculpture géante en résine thermomoulée, je croise son auteur, un collègue artiste. Il m’embarque dans sa voiture. Nous bavardons. Je lui demande pourquoi il a changé de nom. Pour renouer avec ses racines italiennes maternelles, me répond-il : il s’appelait Roux, il a choisi Brega. Emporter par la discussion, il rate un embranchement et se retrouve coincé par une série de plots qui l’empêche de faire demi-tour ou de s'échapper de cette voie de secours. Quand enfin une issue entre les plots se profile avant un rétrécissement qui nous aurait été fatal, c’est pour se retrouver à contresens sur une voie à sens unique. Je ferme les yeux. Il accélère. La voiture décolle, survole un paysage bosselé dont je prie pour que les reliefs soient en terre et non en pierre. Et le vol dure, dure… Je me réveille dans une pièce obscure très haute de plafond. Un immense rideau de scène en velours rouge tapisse tout un mur. En m’approchant, je découvre qu’il s’agit d’une peinture en trompe-l’œil. Les plis, les reflets moirés, la matière du velours : tout est remarquablement peint avec une grande économie de moyens pour un résultat bluffant. Je félicite son auteur, une amie peintre qui travaille comme décoratrice de théâtre, pour sa grande habilité. Ensemble, nous scrutons les détails de la toile. Les taches de velours qui captent la lumière sont comme pixelisées : réalisées par petites touches carrées, juxtaposées en damier dans une gamme chromatique allant du rouge au violet, elles vibrent. C’est tout simplement magnifique.
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Rideau de fer. Histoire de l’occupation soviétique
Comment l’URSS a-t-elle étendu son influence en Europe centrale et orientale après la Seconde Guerre mondiale ? C’est la question au cœur de la série documentaire réalisée par Tania Rakhmanova et diffusée sur Arte. Ce récit historique captivant se penche sur les années de domination soviétique, de la fin de la guerre en 1945 à la construction du mur de Berlin en 1961. En retraçant les étapes de…
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Baisser de rideau
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N'oubliez pas d'activer les sous-titres français !
« La vie est un drame dans lequel chacun croit qu'il a un rôle à jouer. Celui qui prend vie comprend que tout ça est une pièce d'un théâtre de morts vivants : un film d'horreur que personne ne regarde par peur d'y voir quelque chose de réel. Quand on est dans son personnage, on imagine que les gens que nous aimons nous regardent, pourtant ils sont devant nous. Alors en se rapprochant du devant de la scène, on remarque que, derrière les rideaux, il n'y a que l'abîme. Dans le noir, les gens que l'on aurait aimé chérir ne sont que des idéaux qui flottent au loin : des boules lumineuses que l'on aimerait rejoindre ; des lampadaires entourant une route vers un monde plus chaleureux. La lumière des projecteurs brûle les yeux, pourtant on ne peut s'enfuir, avec les pieds de plombs personne ne fait le grand saut : il faudrait être un ange pour passer par dessus le vide de l'inconnu. » Source : Janenba (https://www.senscritique.com/morceau/dramaturgy/critique/287630876)
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Les requins, faux barbares, vrais persécutés
Perçus comme des prédateurs sanguinaires, les requins font en réalité partie des espèces les plus menacées de l’océan. La pêche a conduit leurs populations au bord de l’effondrement. Vous lisez la première partie de notre série « Nuisibles des mers : un océan de préjugés ». Pour ne pas rater la suite, abonnez-vous à notre lettre d’info. Brest (Finistère), reportage La pluie s’écrase mollement sur les eaux verdâtres de l’Aulne, fleuve breton abreuvant la rade de Brest (Finistère). Un rideau de bruine floute le (...)
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C'était il y a de celà un peu plus de dix ans. En automne 2013, je me suis dit il était grand temps pour éditer un livre. J'avais sur mon ordinateur et dans des feuilles éparses, deux ou trois calepins et sur les marges de mes romans préférés tant d'écrits. Il y avait parmi ces écrits, des poèmes, des nouvelles et un roman inachevé alors qui serait par la suite mon Un Hiver À La Ville Ocre.
Vous connaissez certainement l'anecdote de Conan Doyle qui préférait mille fois ses autres œuvres à la fameuse série de Sherlock Holmes. Mais paradoxalement, ce sont ces contes policiers qui ont eu le plus de succès parmi les lecteurs. Dans le même sens, il y avait Faulkner qui voulait être romancier et qui a fini par être un grand nouvelliste puisque ses nouvelles qui ont fait sa gloire beaucoup plus que ses contes à plusieurs chapitres. Il y a aussi Hemingway qui souhaitait suivre son maître Sherwood Anderson (auteur d'un seul recueil de nouvelles, Houston Ohio) dans la création de belles nouvelles. Or, il a fini par produire des chef-d'œuvre dans le genre du roman. Dans notre littérature française, je vois personnellement Hugo comme dramaturge plus que poète ou romancier.
Les exemples n'en manquent pas d'écrivains qui se trouvent dans une voie qu'ils n'aiment pas vraiment. Je cite là encore le nom de Balzac qui est à mon avis un essayiste de premier ordre et pour en être sûr, il faut juste jeter un coup d'œil sur son, Traité Sur Les Narcotiques Modernes.
J'ai aimé la prose ou en roman ou en nouvelle. Il y a des passages voluptueux que j'ai relu des dizaines de fois lorsque j'étais enfant. De même, j'ai relu certains ouvrages de fiction à plusieurs reprises, L'Éducation Sentimentale, Illusions Perdues, Louis Lambert, Le Lys Dans La Vallée, La Marne Au Diable, Le Rideau Cramoisi, La Prise de La Redoute, Le Neveu De Rameau, Le Comte De Monte-Cristo, Notre Dame De Paris ...
Pourtant, au fond de moi, je sentais que j'étais surtout du côté de la poésie. Ma plume tend à être rythmée. J'avais un peu l'esprit réservé d'un adolescent. J'ai craint d'être épuisé un jour. J'avais la fausse idée que la prose, libre comme elle est de toute règle de prosodie, donne plus d'espace à créer beaucoup plus de textes en termes de nombre et de volume. Puis, j'ai voulu, comment dire, bâillonner ma plume pour seoir aux exigences de l'écriture de commentaires composés et commentaires suivis imposée aux curricula scolaires.
J'ai pensé longtemps au sujet de la bifurcation de voies, poésie, nouvelle et roman. Je ne négligerais aucune sauf qu'une seule voie devrais être le trajet principal de mes vertiges. Les autres, j'y retournerais de temps à autre.
J'ai décidé enfin de commencer par la poésie. Ainsi, j'ai préparé mon premier recueil, Premières Étincelles, où j'ai ramassé des écrits de jeunesse, certains d'eux de la période du collège, d'autres retrouvés sur mes calepins et même sur des forums littéraires.
Par la suite, l'année suivante, je serais publié sur une revue québécoise, Point Virgule. Quelques années plus tard, une autre revue, Francopolis, choisit trois de mes poèmes à côté de textes de poètes chevronnés.
Enfin, j'ajoute une toute petite remarque, c'est qu'au début, on a tant douté de mes capacités. Je n'ai jamais débattu ce sujet puisque je l'estime morbide. Mais j'ai reçu des propos hostiles dans la période 2008 jusqu'à 2014.
On a misé sur le facteur temps, que je serai tari un de ces jours.
Voilà, après vingt ans, depuis l'âge des forums jusqu'à celui de Threads, je suis là. J'écris encore.
...
Je dis à l'occasion du 10ème souvenir de la publication de mon premier livre.
#poesie
#prince_des_mots
Casablanca, 04 mai 2024
Mohammed Labib
#poésie poetry#poesia#poetry#poets corner#poets on tumblr#new poets society#poem#spilled thoughts#notebooks#music
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Le premier album, enregistré en 2002, était dédié aux sentiments d'Adam pour son ancien amant et s'appelait Songs about Jane ("Songs for Jane")
Les musiciens ont tourné un clip plutôt provocateur pour la chanson She Will Be Loved, dans laquelle le héros (interprété par Levin) embrasse une passion pour la mère de sa petite amie. La vidéo a ouvert une série de vidéos "scandaleuses", vers lesquelles le chanteur s'est davantage intéressé.
En 2005, les musiciens ont reçu le premier Grammy Award du meilleur nouvel artiste et de la meilleure performance vocale pop par un duo ou un groupe d'une chanson pour le tube This Love. Les disques suivants publiés par l'équipe ont été un grand succès. La vidéo de la chanson Animals du 5e disque de Maroon 5, dans laquelle la femme du chanteur a joué, est devenue mémorable et scandaleuse.
Dans la vidéo, Levin a joué le rôle d'un maniaque travaillant dans le vernis à viande, qui commence à poursuivre un visiteur régulier - une belle blonde. Après la diffusion de la vidéo érotique sanglante, le chanteur a été accusé de promouvoir la violence et d'autres péchés. Mais cela n'a fait que jouer en faveur de la croissance de la popularité du groupe.
Non moins original - mais plus "chaste" - était le clip de la chanson Sugar. Selon l'idée d'Adam et du réalisateur David Dobkin, la vidéo a été réalisée "surprise". Des emplacements ont été spécialement sélectionnés pour accueillir de véritables célébrations de mariage. Au plus fort des vacances, une scène impromptue a été construite dans les couloirs avec un rideau qui est tombé au bon moment, et des musiciens sont apparus devant les invités. Seuls les prétendants savaient ce qui se passait, gardant tout secret.
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Chaque fois que Sakura sort d’un rêve, elle gagne une nouvelle carte. Or, plus ses pouvoirs magiques augmentent, plus le mystère qui les entoure, Akiho et elle, s’épaissit. Au milieu de toute cette obscurité, un pan du passé de Kaito s’éclaire et on en apprend plus sur son amitié avec la mère d’Akiho. Une histoire qui prend sa source dans un lointain passé est sur le point de s’écrire alors que le rideau se lève sur la pièce de théâtre fatidique !
Encore une fois, Clamp reprend les ficelles éculées de son manga original et la pièce de théâtre se transforme en manifestation magique.
J’ai un certain attachement à cette série mais elle ne me passionne pas. L’histoire avance à tout petits pas.
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STUDIOLO
Au premier abord, une exposition d’Eric Camus s’apparente à un cabinet de curiosités. Sont disposés de manière ordonnée à la vue du visiteur un enchevêtrement d’objets singuliers dans une logique de catégorisation qui rejoint celle initiée par les savants de la Renaissance : l’histoire naturelle y est répertoriée à travers la présence de pierres précieuses, des fragments d’animaux séchés ou de plantes exotiques vivantes, mortes ou sous perfusion. S’y retrouvent des artefacts, objets fabriqués par l’homme, sortis brutalement de leur environnement d’origine ou bien manipulés dans une intention artistique. La troisième typologie, et non des moindres puisque dominante, appartient au monde scientifique : des appareils de mesures industriels aux ustensiles plus triviaux du monde médical ou chirurgical.
Or, un jeu complexe d’influences nous empêche de limiter le travail d’Eric Camus à la seule représentation d’un cabinet de curiosités. Si celui-ci, ancêtre du Musée avait vocation à transmettre des connaissances, l’intention de l’artiste semble plus abstraite, personnelle et obscure, tant on peine à comprendre le sens des objets exposés. Saisir sa démarche nous pousse en réalité à sortir du cadre d’une exposition de gurines et specimens pour davantage lire un dialogue subtil entre entre différents codes visuels, qu’ils appartiennent à des courants artistiques, en particulier ceux puisés ou l’histoire des avant-gardes, ou à des environnements crypto-réalistes, et auxquels il est insufflé une bonne dose de romantisme et d’étrangeté.
Considérons différents angles de vue. Une appréhension possible de l’univers de l’artiste, c’est l’installation minimaliste digne d’un Carl Andre ou d’un Donald Judd ? Tapis carré au sol, placements méthodiques et disparates d’objets usuels feront écho au vocabulaire de l’un quand un accrochage en série de boîtes monochromes au mur en réfèreront à l’autre. En considérant certaines pièces à l’échelle macro, on entre dans le champ de l’architecture brutaliste : des formes « primitives » à la construction apparente. Une autre perception se veut plus propice à l’imaginaire. S’agit-il d’un atelier d’arts industriels qui démembre des machines-outils, d’un studio de confection de pièces de joailleries, d’un cabinet de pratiques ésotériques ou d’un environnement médical qui aurait pu se retrouver dans le lm Faux-Semblants ?
Un critère fondamental qu’Eric Camus a cependant toujours exprimé dans son travail sans officiellement le revendiquer, c’est l’art de la mise en scène, de la théâtralité. Le dialogue avec David Herman s’engage ici. Le curateur pointe en particulier la nature Art Déco de la sensibilité d’Eric Camus. La géométrie des pièces, leur caractère précieux rappellent ce style architectural. Les objets de l’exposition, selon leur organisation dans l’espace deviennent narratifs et constituent les éléments structurants d’un véritable décor. Si l’on rajoute quelques pièces de mobilier, un rideau, une chaise, on entre pleinement dans un monde immersif.
David Herman propose un référent historique pour organiser l’espace. La Renaissance italienne est symbolique de ce croisement entre les Arts et les Sciences pratiqué par Eric Camus. Un cadre de travail était commun à l’ensemble de ces chercheurs, penseurs ou artistes de cette époque. Il se nomme le Studiolo. Ancêtre du cabinet de curiosités, il s’agissait davantage d’un lieu d’études que d’exposition, ce qui nous conforte dans la perception du processus d’Eric Camus à vouloir montrer des œuvres rarement achevées, toujours en phase de manipulation. Structuré, ordonné, l’organisation de l’espace du Studiolo va nous guider dans le placement des pièces de l’exposition. Le caractère intégré de l’architecture intérieure des Studioli ont permis de mettre un sens à un placement de chaise, à l’utilisation de boîtes de rangement.
L’environnement créé par les propriétaires de Studioli pouvait être didactique, scientifique, symbolique, allégorique ou encyclopédique, et permettait de saisir la personnalité de ces individus. Plutôt que transmettre un savoir, cette démarche permettra-t-elle dans le cas d’Eric Camus à davantage percevoir les contours d’un univers étrange et romantique, pudique mais dérangeant.
DAVID HERMAN
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2024 – 672
« Au commencement, 26 »
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#Fœhn#carte postale#couleur#art postal#art collaboratif#cachet postal manuel#mailart#série au rideau#mouvement#flou#Fœhn est la modèle#rouge#série rouge#travail en cours#lours postal#bond#danse#volutes
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La dernière fois que Bournemouth s'est rendu à Liverpool, cela s'est terminé par le limogeage de Scott Parker et une défaite humiliante 9-0, mais il y a eu beaucoup de changements pour les deux équipes depuis lors. Last Word on Football donne notre prédiction pour le choc de la Premier League et fournit les meilleures cotes sur qui sortira vainqueur tandis que Liverpool affrontera Bournemouth à Anfield le samedi 19 août. Liverpool vs Bournemouth Prédictions et meilleures cotes pour PL Clash 😱 @LFC a gagné 9-0 la dernière fois qu'il a accueilli l'AFC Bournemouth ! Quel sera le score ce week-end ? pic.twitter.com/ySag7RWD6d – Premier League (@premierleague) 18 août 2023 Forme actuelle de Liverpool Les Reds entrent dans ce match à la suite d'un match nul contre Chelsea pendant la première journée, Luis Diaz trouvant le filet tandis que l'équipe de Klopp faisait match nul 1-1 à Stamford Bridge. Le club basé à Anfield avait pris les devants dans les 20 premières minutes et semblait l'avoir doublé quand Mohamed Salah a tiré à la maison, seulement pour que l'effort de l'Egyptien soit marqué pour hors-jeu. Chelsea a égalisé les scores juste avant la mi-temps alors qu'Axel Disasi a tiré à la maison avant que Ben Chilwell ne semble mettre le club londonien devant quelques instants plus tard, mais encore une fois le drapeau a été levé, cette fois sauvant les rougeurs de Liverpool. PDJ: Après Endo: Liverpool a désormais pris contact avec les représentants de l'ailier "électrique" Après avoir semblé contrôler la rencontre jusqu'à l'égalisation des Blues, l'équipe adverse semblait moins susceptible de marquer au fur et à mesure que la rencontre avançait et était assez satisfaite d'un point à l'extérieur le jour de l'ouverture. Avant le lever de rideau de la ligue, l'équipe de Klopp avait enduré une série de matchs modérément réussis en pré-saison, en raflant trois, un match nul avec leur seule défaite aux mains du Bayern Munich. Leur victoire la plus notable est survenue contre Leicester, lors d'une victoire 4-0 à Singapour, avec Darwin Nunez, Bobby Clark, Diogo Jota et Ben Doak sur la feuille de match. Nunez et Diogo Jota ont marqué en pré-saison avec quatre buts par pièce, Diaz derrière trois. Intégrer à partir de Getty Images Formulaire actuel de Bournemouth Les Cherries ont changé de manager à la veille duur voyage de pré-saison à Marbella alors qu'Andoni Iraola remplaçait l'actuel patron des Wolves, Gary O'Neil. L'Espagnol de 41 ans a eu un sac mitigé pendant l'intersaison, car le club en a remporté trois et perdu deux de ses matchs de préparation. David Brooks était le joueur en forme au cours de cette période, marquant trois fois, tandis que le nouvel arrière gauche Milos Kerkez semblait un ajout impressionnant à seulement 19 ans. Cela dit, il y avait encore la gueule de bois des échecs de la saison dernière, tandis que l'équipe du Dorset continuait de lutter avec les coups de pied arrêtés. Ils ont concédé leurs deux buts contre Southampton sur coups de pied arrêtés, mais ont réussi à gagner 3-2 tard tandis que Brooks a marqué au but. PDJ: Les rivaux de la Premier League déclenchent une clause de libération de 20 millions de livres sterling pour la cible "sensationnelle" de Chelsea C'est la rencontre nul 1-1 contre West Ham le week-end dernier qui sera le plus frais dans l'esprit des joueurs et des fans. Il y avait des signes clairs que l'équipe s'adapte bien au nouveau style de jeu d'Iraola, et bien que le travail soit encore en cours, le club du Dorset sera heureux d'avoir pu sauver un point après que le coup de foudre de Jarrod Bowen ait mis les Hammers devant. L'égalisation de Dominic Solanke est peut-être arrivée en fin de match, mais il y avait certainement des signes que Bournemouth sera une proposition différente cette saison et ne sera plus battu 9-0 par Liverpool. Intégrer à partir de Getty Images Tête à tête récente Les Reds ont dominé ce match, notamment à domicile. Ils sont invaincus contre les Cherries à domicile en Premier League, après en avoir remporté cinq et fait match nul une fois.
Le seul point de Bournemouth en Premier League à Anfield est survenu lors d'un match nul 2-2 en avril 2017. Depuis lors, Bournemouth n'a remporté qu'une seule victoire contre l'équipe de Klopp, perdant les sept matchs suivants à domicile et à l'extérieur, bien que cette victoire soit intervenue pendant la dernière rencontre entre les deux clubs – une victoire 1-0 au Vitality Stadium en mars. Victoire à la fin de la saison dernière mise à part, la dernière fois que l'équipe du Dorset s'est rendue à Anfield, elle a été battue 9-0, ce qui les a incités à se séparer de Parker, alors patron. Bournemouth a concédé un total de 36 buts en 12 matchs contre les Reds avec leur seule feuille blanche pendant la victoire 1-0 la saison dernière. Prédiction Liverpool vs Bournemouth Il est compliqué de regarder au-delà de Liverpool pour celui-ci, mais avec le nouveau milieu de terrain des Reds et les faiblesses défensives qui ont été exposées contre Chelsea, cela suggère que les deux équipes figureront sur la feuille de match dans celui-ci. Une victoire 3-1 pour l'équipe de Klopp renverra les Cherries dans le Dorset sans points mais leur fierté restaurée après la débâcle de la saison dernière. L'échec aura une sensation très différente à ce sujet, toutefois, après deux buts tardifs de Liverpool, les Cerises sont un match nul durement gagné. Iraola a peut-être orchestré des victoires contre le Real Madrid et Barcelone pendant son séjour au Rayo Vallecano, mais ces deux victoires sont survenues à domicile. Malgré la positivité autour des techniques et du style de jeu de l'Espagnol, le Liverpool rechargé de Klopp devrait être trop compliqué à gérer. Cotes actuelles : Liverpool vs Bournemouth Crédit image principal : Ank kumar, CC BY-SA 4.0, via a la une
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Les choses de la vi(ll)e...
ouvert la nuit, ou/où vers l'ennui
Les grandes capitales, toujours plus ouvertes, où les insomniaques, noctambules et autres veilleurs de nuit trouveront une porte à franchir pour satisfaire un quelconque besoin nocturne.
Les fameux ShokuDō, littéralement la pièce où l'on mange, rendus célèbres par la série - 2009 - issue du Manga "ShinYa Shoku Dō" (cantine de minuit), sont des petits restaurants de quartier, en général bon-marché, dont l'organisation spatiale en "U" est singulière.
Au centre, un couloir de service, bordé d'un bar en U et d'une série d'assises desservies par une circulation périphérique.
Un voile, un petit rideau à hauteur de visage, cachent de la vue les clients attablés.
Ce ShokuDo de Kobe, photo prise en 2009, baigné d'une forte lumière blanche, est un lieu fonctionnel sans apparat.
#koberestaurant
#kobeshokudo
#nihonshokudo
#sortirAKobe
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Si le Phénix fleurit
ATTENTION : ce texte contient des spoilers importants pour ma série My Servant, the Devil.
« C’est marrant, non ? Quel drôle de souvenir ! » « Vous vous demandez qui je suis ? Oh, chers amis, vous vous posez trop de questions. » « Prenez un peu de vanille, je vais vous raconter une histoire. » « Lol. »
Voilà ce que cet étrange narrateur vous aurait dit pour amorcer ce récit. Des phrases d’accroche qu’il répète souvent. Si vous l’avez déjà rencontré auparavant, ces quelques lignes doivent vous sembler familières. Sinon, vous n’avez probablement aucune idée de ce à quoi nous faisons référence. Dans les deux cas, sachez qu’il n’est pas là. C’est une histoire qui a perdu son narrateur. Parce que cette histoire n’est rien d’autre qu’une hypothèse, qu’une spéculation. Nous sommes… une certaine année. En un an, le monde a vécu des manifestations, une création d’une nouvelle police, une fuite d’un cerveau, une chasse aux sorcières, une guerre civile, un vol d’un projet secret, une exécution publique d’une reine, une guerre contre l’esclavage, un génocide, une mort de dieux, une deuxième guerre civile, un trafic d’humains, une attaque de fanatiques religieux, des batailles de prophéties, une chute lente et douloureuse d’un roi aimé, un exil d’un futur, un réchauffement climatique, un point de non-retour, une troisième guerre civile, la chute de ce qu’il restait. Une tragédie. Chaos, baisser de rideau. Nous sommes peu à avoir survécu. Même le narrateur est parti, après tout. Pour vous, ça ressemble sûrement à une étrange liste. Pour nous, c’était l’enfer qui se jouait de nos existences chaque jour. Nous sommes un ancien policier à la peau Turquoise et une ex-déesse Vin Rouge. Ce sont les deux couleurs que nous avions choisies et qui resteront, spectrales, pour nous hanter et nous rappeler notre vie. Chacun a un jour choisi d’arborer une couleur. Cependant, aujourd’hui, nous nous demandons s’il faut éprouver des remords. Étaient-ce vraiment les nuances qui nous correspondaient respectivement ? Nous avions donné corps et âme pour les défendre ; tout cela pour une ridicule tragédie dont un narrateur ne veut même plus parler. Parce que cette histoire n’est rien d’autre qu’une hypothèse, qu’une spéculation. Elle est fondamentalement inutile, car elle n’est jamais arrivée. Cependant encore aujourd’hui, dans les ruines, il nous arrive de chanter.
Si le Phénix fleurit, Si le destin veut bien de notre vie, Peut-être ne porterions-nous plus le Rouge Sang par-dessus nos vraies couleurs d’antan. Peut-être que quelqu’un nous aurait prévenus que le Turquoise et le Vin seraient un jour déchus. Et si un an auparavant, j’avais laissé tomber, Si auprès de la police, je ne m’étais pas engagé Est-ce que l’espoir aurait eu l’espoir de régner ? Et si un an auparavant, elle n’avait pas vendu son âme Si du Diable, elle n’avait pas bu les paroles infâmes Est-ce que la paix aurait pris la peine de régner ? Si nous avions été Verts, si on brûlait nos affaires, Nous aurions pu prendre le chemin d’une nature béate et claire. Si nous avions été Bleus, si on vivait pour nos vœux, Nous aurions étouffé les tyrans avant que la télé devienne Dieu. Si nous avions été Jaunes, si on pleurait l’épigone, Nous aurions écouté et suivi les conseils de Jaune. Devrions-nous regretter ? Nous le savions, le choix était nôtre. Une couleur pour toute la vie, Nous avions défini notre identité. Étions-nous donc quelqu’un d’autre ? Notre recherche n’a pas bien abouti. Peut-être ne porterions-nous plus le Rouge Sang par-dessus nos vraies couleurs d’antan. Peut-être que quelqu’un nous aurait prévenus que le Turquoise et le Vin seraient un jour déchus. Et si un an auparavant, j’avais laissé tomber, Si auprès de la police, je ne m’étais pas engagé Et si un an auparavant, elle n’avait pas vendu son âme Si du Diable, elle n’avait pas bu les paroles infâmes Est-ce que l’espoir aurait eu l’espoir ? Est-ce que la paix aurait pris la peine ? Si le Phénix fleurit, Si le destin veut bien de notre vie, Si le ciel n’est plus gris, Si on avait bien choisi…
Ici, donc, un texte de concours sur le thème suivant : "Vous vivez dans un monde où chaque personne choisit une couleur qui la définira tout au long de sa vie. Il est temps de chercher la vôtre ! La trouverez-vous ?". Mon récit prend place après la fin de MSD pour l'anecdote.
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Le premier album, enregistré en 2002, était dédié aux sentiments d'Adam pour son ancien amant et s'appelait Songs about Jane ("Songs for Jane")
Les musiciens ont tourné un clip plutôt provocateur pour la chanson She Will Be Loved, dans laquelle le héros (interprété par Levin) embrasse une passion pour la mère de sa petite amie. La vidéo a ouvert une série de vidéos "scandaleuses", vers lesquelles le chanteur s'est davantage intéressé.
En 2005, les musiciens ont reçu le premier Grammy Award du meilleur nouvel artiste et de la meilleure performance vocale pop par un duo ou un groupe d'une chanson pour le tube This Love. Les disques suivants publiés par l'équipe ont été un grand succès. La vidéo de la chanson Animals du 5e disque de Maroon 5, dans laquelle la femme du chanteur a joué, est devenue mémorable et scandaleuse.
Dans la vidéo, Levin a joué le rôle d'un maniaque travaillant dans le vernis à viande, qui commence à poursuivre un visiteur régulier - une belle blonde. Après la diffusion de la vidéo érotique sanglante, le chanteur a été accusé de promouvoir la violence et d'autres péchés. Mais cela n'a fait que jouer en faveur de la croissance de la popularité du groupe.
Non moins original - mais plus "chaste" - était le clip de la chanson Sugar. Selon l'idée d'Adam et du réalisateur David Dobkin, la vidéo a été réalisée "surprise". Des emplacements ont été spécialement sélectionnés pour accueillir de véritables célébrations de mariage. Au plus fort des vacances, une scène impromptue a été construite dans les couloirs avec un rideau qui est tombé au bon moment, et des musiciens sont apparus devant les invités. Seuls les prétendants savaient ce qui se passait, gardant tout secret.
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 14]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13] Le jour 14, Gustave voulut encore sortir dehors. Ce jour-là, tard, sur les coups de midi, midi un quart, Gustave se réveilla entouré d’un vol de hérons stylisés qui migraient vers les brumes sur la soie chiffonnée de son kimono. Un beau soleil oblique filtrait d’entre les rideaux jusqu’au canapé, sa joue grise près de l’accoudoir chauffait, le sang battait douloureusement contre ses tempes, il avait assez soif, la bouche pâteuse, l’haleine effrayante. Il ouvrit un œil d’oiseau pour distinguer l’heure à la façade de la box sous la TV, il ne remua pas d’abord, réfléchissant s’il fallait se réjouir ou au contraire se désoler d’avoir bouffé déjà la moitié de la journée, mais réfléchir le meurtrissait de trop. Il avisa autour de lui l’environnement plus immédiat, la table basse à hauteur de son nez où traînaient de la veille le DVD de Ghostdog, celui de Kagemusha, les restes d’une boîte de makis Picard, un wakizachi planté dans la planche à saucisson (arme que son père avait soi-disant fait venir de chez un maître de l’acier de Kyoto pour un de ses anniversaires, mais dont il avait trouvé par hasard l’équivalent exact chez Pier Import), les cadavres de bouteilles d’Asahi et le Yamazaki 18 ans d’âge qu’il avait torpillés, et il se dit que tout ce Japon d’hier l’avait salement démoralisé. La Saudâji, sans doute, comme disaient les anciens Nippons convertis par les Portugais. Il finit par mobiliser ses forces pour se mettre debout, et se mouvoir sur du coton jusqu’au miroir à pharmacie en quête d’un Doliprane à faire passer dans un fond d’eau. À la réflexion, il coupa le cachet en deux, car le rationnement ne parlait plus de finir. Retour au salon, il écarta d’un gros doigt le rideau pour jeter dehors un de ses tout petits yeux. La lumière l’écorcha. Il aperçut ses verres correcteurs sur la table qu’il enfourcha, renonça à rebrancher son smartphone et l’allumer de crainte des appels en absence, principalement ceux de son père, qui à cet instant précis lui était odieux. Il se dit qu’il n’était pas juste, la gueule de bois le rendait toujours un petit peu amer, il fallait être plus gentil, le pauvre vieux en avait bavé dans son existence, enfant il avait enduré tout de même la guerre mondiale, et perdu plusieurs proches. Au moment de l’épuration surtout. Il se convainquit qu’aujourd’hui il faudrait sortir prendre en l’air, pourquoi pas faire un brin de sport. Il mit à ébouillanter une casserole de café et entreprit d’enluminer à la main son attestation de sortie. Un gros quatre quarts d’heure plus tard il était prêt. Masque de ski sur la bobine toujours, mais cette fois comme le motif coché sur le papier tenait à l’« activité physique individuelle des personnes et aux besoins des animaux de compagnie », il décida de se transporter plus léger en bas de l’immeuble que la fois d’avant pour les courses : il avait enfilé un t-shirt et un short. Il n’avait pas retrouvé de chaussettes en cotonnade blanche élastique, seulement de la laine Burlington. Ça le serrait un peu dans les sandales de plastique pour la mer, mais on ferait avec. « Bonne promenade ! se cria-t-il à lui-même en repoussant la porte palière. De la prudence, surtout ! de la prudence ! » Et il agita sa banane contenant ses papiers en se regardant s’éloigner. Dans la rue, pas un chat, tant mieux parce que maintenant qu’il était en public il ne se sentait pas tellement à son aise avec ses cannes poilues qui frisaient à l’air libre et son ventre gainé par le maillot qui avait dû rétrécir au lavage ou alors c’était le vin. Bref, il commença ses exercices par une petite série de pas chassés – mollo quand même, pas la peine non plus de se faire un claquage, et éviter surtout de dépasser le fameux kilomètre au-delà du pâté de maison. Tout d’un coup, comme il allait partir sur quelques mètres en foulée talons-fesses, il resta en arrêt devant un spectacle qui l’estomaqua. Il releva un peu son masque Decathlon pour mieux voir. Au loin, sur la chaussée qui miroitait comme l’eau, venait au pas une forme floue dans le soleil, une forme de canasson montée par un être mystérieux, en uniforme, casqué et aussi masqué. Un fantôme de la cavalerie nordiste dans un Anthony Mann ou quelque guerrier médiéval échappé de la matière de Bretagne. Il était en arrêt, en extase serait mieux dire, écoutant dans le grand silence viral le pas merveilleusement lointain du cheval. Clic clop, clic clop, clic clop. Était-ce le vieux Verlaine qui lui gémissait au même instant à l’oreille ?
Bon chevalier masqué qui chevauche en silence, Le Malheur a percé mon vieux cœur de sa lance Gustave restait là, ses gestes suspendus, la mâchoire entrouverte, les yeux élargis d’un ravissement sans raison, presque pris de frissons que ne justifiait pas la brise légère qui se levait. Le sang de mon vieux cœur n’a fait qu’un jet vermeil, Puis s’est évaporé sur les fleurs, au soleil. L’ombre éteignit mes yeux, un cri vint à ma bouche Et mon vieux cœur est mort dans un frisson farouche. La grande créature centaurine continuait d’approcher lentement, un crépitement d’ondes radio sourdait à intervalles du bleu kevlar de l’uniforme, plus bas un tonfa noir battait tel une Durandal le flanc mafflu de l’animal, et Verlaine ou une autre voix suave continuait : Alors le chevalier Malheur s’est rapproché, Il a mis pied à terre et sa main m’a touché. Son doigt ganté de fer entra dans ma blessure Tandis qu'il attestait sa loi d’une voix dure. La voix ne croyait pas si bien dire. Le bourrin étant arrivé à son niveau, Gustave entendit que de la selle de la bête on l’abordait : « Papiers, s’il vous plaît. » Il tendit sans barguigner son attestation et son passeport. L’être un peu irréel sur le cheval examina les documents. C’était un homme moustachu, d’une trentaine d’années tout au plus, les épaules larges dans son pare-balles bleu et sa polaire fine, le port altier sous la bombe noire. Les flancs du cheval luisaient au soleil. Gustave aurait voulu se renseigner sur les conditions de recrutement, se promit de se renseigner dès qu’il serait chez lui. « Hum, du sport, hein ? » Gustave dit oui, rentra l’estomac et rezippa sa banane, il aurait voulu prolonger l’échange, s’enquérir, s’intéresser plus, susciter vraiment le dialogue mais déjà l’agent de police et sa monture trottaient plus loin, vers le contrôle d’un nouvel athlète au bout de la rue. (A suivre).
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