#rire & chansons
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"Quand on pense que : 🐈⬛🍀🪜
Y a autant de vendredi 13 , que de jeudi 12, ou de samedi 14." 🐞
Rire & Chansons
#gif animé#vendredi 13#jour de chance#superstition#chat noir#échelle#trèfle#humour#loterie#quotes#rire & chansons#funny pics#fidjie fidjie
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Arsenic-nique-nique s'en allait tout simplement
HAHAJKHKJAZHFJKDSBFJSDNL
#JE VIENS D'ECLATER DE RIRE EN COURS. MERCI#ptn la référence de l'enfer. oh je vais avoir cette chanson en tête pour tout le reste de la semaine. oh non.#sdlkghergvnsfj. incroyable. j'adore.#la vibe va tellement pas avec le personnage c'est terrible. j'ai envie d'imprimer cette citation et de l'afficher dans ma chambre#for non-french people: this is a french meme of a super dumb‚ super bad youtube video#where a woman sings a... christian song?#except the way the last syllable of the name of the character is repeated makes it sound like ''[name]-fuck-fuck''#the song also just sounds dumb as hell.#ask#anon#arsenic#omori
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Le procès du chien réalisé par Lætitia Dosch, coécrit avec Anne-Sophie Bailly, avec Laetitia Dosch, François Damiens, Pierre Deladonchamps, Jean-Pascal Zadi, Anne Dorval... 😍😍
Tourné à Lausanne, coproduit par Lionel Baier, très drôle et même intéressant, même si on aurait pu se passer des analogies féministes énoncées entre l'homme, son plus vieil ami et la femme
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Oiseau par Bertrand Belin
#cin��ma#rire#Lætitia Dosch#Pierre Deladonchamps#Jean-Pascal Zadi#anne dorval#chanson française#bertrand belin
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coste hubert
ont oublie
sous un frais vif vent qui frisonne
là le brusque et soudain automne
alors les averses fines de neige
lors de la saison froide et glacée
#LECON 3 CREER UNE CHANSON COSTE HUBERT Quand ont dans un frémissement d'un pas leger#et que l'ont voit une jeune femme#qui vient avec bonheur nous sourire#oh! et l'ont entend son fort rire
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La chanson de Macron Macron a des phrases qui font rire
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sans conteste ma deuxième scène préférée
#la p’tite chanson#la p’tite danse#la passion avec laquelle il parle#philinte qui se tape un fou rire à l’arrière-plan#magique ✨#comédie française#le misanthrope
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Gilles Greard - Laisse venir(lâcher-prise)
laisse advenir ce qui vient au loinle temps d’un refrainlaisse advenir ce qui vient à l’horizonle temps d’une chanson. laisse advenir l’ombredans le lointainelle s’en va à tire d’ailelaisse advenir l’or de l’auroreelle avance à grands pas. chaque gestes, chaque souffles, chaque riressouscrit au monde qui vient dans le lointaind’ici quelques vagues d’avenir surgissent. laisse le temps d’un…
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@vincentriberaorganisation Comme l’amour, le rire peut nous transporter. Pourquoi ne pas se laisser tenter par notre soirée spéciale Saint-Valentin ! Au programme, Dîner-Spectacle et animations musicales !! 🌹 @gil_et_ben @gilalma @bonjourivressecomedie @traiteurgrand #saintvalentin #rire #musique #chanson #theatre #spectacle #diner #humour #amour #beziers #palavas #zingazanga #sallebleue https://www.instagram.com/p/CnpKbhAo_J8/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#saintvalentin#rire#musique#chanson#theatre#spectacle#diner#humour#amour#beziers#palavas#zingazanga#sallebleue
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Tu connais le bonheur ?
Le bonheur est une voix,
Respire, pensée, idée ;
C ' est une attente, un parfum, un câlin,
une promesse... un geste.
Le bonheur est un cœur à se reposer,
une main à serrer,
Un bisou, un film, un livre ;
C ' est un coucher de soleil, une nuit étoilée,
quatre rires, une chanson,
un regard, une victoire,
un vrai ami
et... l'amour.
Mon bonheur à la place
C ' est dans mon propre regard
quand il réfléchit parfaitement
l'image de mes rêves...
la vôtre
Louis Louis Louis
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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J'étais hypée pour suivre la catastrophe annoncée de ces JO et en rire, mais depuis les vidéos du concert à l'hôtel de ville, j'ai depuis en tête H24 la chanson d'Arielle Dombasle, impossible de me la sortir de la tête, ça me fout la migraine, pire que René la Taupe en 2010. Peut être que je vais débrancher internet, partir au fin fond des bois jusqu'à fin août et juste regarder la gr.
#c'est horrible j'ai l'impression que mon cerveau est possédé#dire que les racistes doivent préférer ça à Aya Nakamura alors qu'elle au moins elle sait chanter 💀#upthebaguette#french side of tumblr
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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Le dernier des juifs réalisé par Noé Debré avec Michael Zindel, Agnès Jaoui,... 😍
"Le dernier des Juifs", le film qui percute l’actualité, peut-on lire dans le Monde. Pour ce qui est de l'actualité, alors que l’État hébreu fait l’objet de plusieurs plaintes pour crime de guerre, crime contre l’humanité, et même de génocide déposée par l’Afrique du Sud auprès de la Cour internationale de Justice, à La Haye, que l'hebdomadaire Courrier International parle « d’anéantissement d’un peuple », le titre qui résonnerait véritablement avec l’actualité, serait plutôt Le dernier des palestiniens.
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J'ai quitté mon pays par Enrico Macias, A bout portant | ORTF | 16/12/1968
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Spectacular!
Celine Dion made her return to the stage at the Summer Olympic Games in Paris in truly grand fashion.
Celine closed the ceremony immediately after the lighting of the Olympic cauldron, with a performance from the first stage of the Eiffel Tower, singing a timeless classic: Edith Piaf’s “L’Hymne à l’amour.”
"Hymne à l'amour" (Hymn to Love) is a popular French song originally performed by Édith Piaf. The lyrics were written by Piaf and the music by Marguerite Monnot. It was written to her lover and the love of her life, the French boxer, Marcel Cerdan.
Hymne A L'Amour
Song by Édith Piaf
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la Terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour innondera mes matins
Tant qu'mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour, puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la Lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour, la vie t'arrache à moi
Si tu meurs, que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel, plus de problème
Mon amour, crois-tu qu'on s'aime?
Dieu réunit ceux qui s'aiment
#scene #chanson #musique #CelineDion #chansonfrancaise #chansonamour #Paris #OlympicGames #Hymneàl'amour #Paris2024 #BBCOlympics
Posted 26th July 2024
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Je donnerais la moitié de ma vie à celui qui fait rire un enfant en pleurs.
Et je donnerais l'autre moitié pour conserver la fraîcheur d’une fleur.
Je marcherais mille ans derrière une chanson.
Je traverserais mille vallées aux chemins épineux.
Je naviguerais sur chaque mer déchaînée,
Jusqu’à ce que je recueille le parfum du lilas.
Je suis l’humanité à la taille d'un homme.
Alors, puis-je me reposer
Tandis que le sang pur est versé!
Je chante pour la vie
Car à la vie j'ai dédié tous mes poèmes.
Et mes poèmes sont tout ce que je possède.
Tawfiq Zayyad (Palestine)
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2019
Je pense que nous sommes juste passés à côté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les pièces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
Éparpillés partout sur le sol,
une vie , nos corps à corps , la tempête qui nous avait encore plus soudés l’un à l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final séparés ... nos rêves de balades, de voyages ... nos éclats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux érotiques , nos quotidiens entremêlés... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour était désormais bien rangé, empilé, répertorié, prêt à recevoir la poussière des années ...
Je restais là... seul ... à vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanité, son romantisme, sa sincérité, sa sensibilité, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force érotique, sa sensualité... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mémoire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous étions tombés dessus ... la soudaine rencontre de deux âmes et de deux corps, une cohésion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en détresse car elle libère trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’océan où j’allais errer, la plage immense où j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait être...
Me lever le matin désormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprégné d’elle,ce n’était pas la force de gravité qui me maintenait au sol c’était elle; là où elle était je voulais être , respirer le même air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le désert , de simples plaisirs tel le café brulant à l’odeur de cannelle, une douche brûlante pour dénouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delà des responsabilités qui étaient les miennes ...
J’avais essuyé de trop nombreuses tempêtes et traversé assez de batailles pour savoir que l'amour était presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une époque où le monde était à la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cœur en était caché, perdu pour ne plus laisser une autre me séduire, me conquérir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaîne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-même pour aller au bout de la douleur, espérer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brûlure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensées... Cette petite chaîne en or, ce pull, cette dernière bouteille de parfum qu’elle m’a ramené de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonné une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurément ... elle avait réussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait été telle l’eau qui gèle dans le rocher et le fait éclater ... elle était allée là où personne n’avait pu aller avant , elle avait même réussi à apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain à chercher son image ... plus d’une fois l’idée que nous étions frère et sœur était venue aux gens... elle était non seulement mon âme sœur mais bien plus ... si j’étais né fille j’aurais aimé être elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous étions différents... je ne pouvais que sourire ... à croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se détacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos différences se reflétaient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle était une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut été lucide envers elle-même ... bien qu’il m’en coûte de le reconnaître ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’océan à qui on reprocherait la tempête qu’il a traversé ... elle n’a pas supporté ... et la voilà elle dans sa propre tempête et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les conséquences la submergent ... nonobstant la peur desdites conséquences, possibles ou probables , bien que ce que l’on désire ou ce à quoi on aspire se trouve juste de l’autre côté de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-même ... telle une lame de fond ... mais oui hélas c’était bien une lame de fond de son passé qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimé celui que j’étais ...
J’aurais voulu être lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complément ... j’étais sorti de ma tempête et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une évidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y réfléchissant je l’avais toujours été... quand à elle, elle était trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-même ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres à la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantôme et qui l’avait trouvé ... je me sentais hanté de sa présence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui méritait d’être vécue avec passion, énergie et un espoir dont le plaisir ne dépendait plus de la simple fatalité ... et elle me laisse ... là... presque comme si elle avait été qu’un rêve ...
Une vieille légende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos prières ... je désirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et Guenièvre ... même malgré la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passé
N’en parlons plus
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