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#rigidité
elle-mood · 2 years
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"Il existe des silences immuables, fixés dans une rigidité définitive : silence des maisons abandonnées, des grandes étendues désertes, des êtres qui n'ont plus rien à se dire."
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"There are immutable silences, fixed in a definitive rigidity : the silence of abandoned houses, of great deserted expanses, of beings who have nothing more to say to each other."
— Anne Bernard
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les-belles-mecaniques · 5 months
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C’EST L’ÉTÉ, METTEZ VOUS À LA BEACH CAR
Austin 850 Beach Car de 1961
Les anglais ont un talent: Savoir prendre au vol les idées qu’ils n’ont pas eu. Alec Issigonis, alors qu’il travail déjà sur l’absurde Mini Moke, est contacté par un réseau hôtelier qui souhaite disposer d’une auto de service pour ses clients. Il charge le styliste Dick Burzi de dessiner un véhicule léger entièrement ouvert sur une base de Mini. En 1961 est présentée l’Austin 850 Beach Car. Elle récupère la coque à coffre de la Wolseley Hornet et le nez de l’Austin Mini. Les portes sont coupées, la vitre arrière retirée mais le toit en tôle est conservé au profit de la rigidité. La société Lloyd Loom se charge de concevoir sellerie, tapis et autres accessoires entièrement en osier. Produits en deux ou trois volumes, tous ces véhicules recevrons le préfixe « SPL » sur leur plaque constructeur: Appellation réservée aux véhicules spéciaux. Au final, ce seront moins de 10 Mini Beach Car qui seront produites jusqu’en 1962.
Le modèle présenté est le prototype initial, et date de 1961…
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whencyclopedfr · 6 months
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Système Kolp'um
Le système Kolp'um (classement des os) de l'ancienne Corée était utilisé dans le royaume de Silla (57 av. J.-C.-935 de notre ère) pour indiquer le rang politique et le statut social d'une personne. L'appartenance à un rang particulier au sein du système était extrêmement importante, permettant à une personne de postuler à certains emplois et décidant de la manière dont elle vivrait au quotidien. La rigidité du système, basé sur le lignage, ne permettait que très peu de mouvements entre les classes, ce qui entraîna une stagnation des talents, qui finit par coûter cher au Silla.
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La vie selon les gens.
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Acte 1.
Ma journée a commencé très tôt vers deux heures du matin, quand j'ai été extirpé de mon sommeil paisible par des complaintes lancinantes de mon voisinnage. Il semblait s'agir d'une souris bionique courant sur le toit de Patochimbo. Après des investigations poussées par -15 degrés Kelvin, je découvris qu'il s'agissait en réalité d'une malheureuse sangle mal attachée. Ce problème enfin résolu, je pus retourner à la quiétude de mon sommeil sans rêves.
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Au matin, je pouvais admirer El Chalten dans toute sa splendeur matinale (et son absence du nuages. D'ailleurs El Chalten signifie pour les Telhuelche "la montagne fumante", d'où les nuages flottant perpétuellement au dessus de celles-ci.)
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S'ensuivit une belle journée durant laquelle le soleil nous ne nous quitta plus-ou bien nous fuyions la pluie, tout dépend du point de vue-. Nous marchions gaiement, et de superbes paysage succédaient à des panoramas de carte postale. Seule déconvenue, il était interdit de sortir du sentier (cependant, le temps que je m'en rende compte, j'avais ravagé la moitié des zones protégées du parc). Au final, ce fut un jour de plus vécu dans l'insouciance post-doctorale que le ciel sud-américain a bien voulu m'accorder.
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Acte 2.
Patochimbo et moi avons tout de suite noué des liens très forts. Lorsque la conduite nerveuse de Cothésard lui projette de féroces gravillons sur sa douce tôle, je couine de douleur de concert avec notre van. Et à mon image, il craint la pluie,le vent et le froid. Tout deux ce matin ,nous étions frigorifiés, inapte au moindre mouvement tant que les doux rayons du soleil ne se soient pas posés sur nos corps transis.
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Acte 3.
Après avoir été réveillée à 2h du matin par un énergumène bondissant sur le coffre de toit, puis à 3h par mon corps frigorifié atteignant le stade de rigidité cadavérique, je me résignai à utiliser un second sac de couchage par dessus le mien, pleurant par avance pour le trek du W que nous effectuerons la semaine prochaine. Ayant réussi à passer une fin de nuit tout à fait décente, c'est nullement perturbée par le nième décès de la batterie de Patochimbo que j'entame la journée, d'autant plus que l'attraction principale arrive bientôt : IL NEIIIIIIIIIIIIIIGE !
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Dr Rathatton passera bien évidemment la journée à couiner, son mode humidité binaire activé : au premier flocon de neige, c'est terrible, elle est trempée ! Après trois heures à observer en gloussant ses épluchages successifs et sa transformation en oignon géant, je finis par commettre l'erreur fatale : je m'approche de la bête durant l'opération... Elle profite d'un moment d'inattention pour effectuer une manchette sauvage à la pommette, tirant avantage de mon étourdissement passager pour me voler gants et bonnet.
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Nonobstant cet événement marquant, IL NEIIIIIIIIIIIIIIGE. Du coup on lui pardonne. Tout est pardonné quand on fait Schkrounch dans la poudreuse. Et puis le paysage est quand même sacrément beau toute la journée 🥰
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En chemin, nous croisâmes (oh que je sonne érudite) un petit oiseau au déjeuner semblant bien plus concluant que notre restaurant de ce soir.
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Conclusion
A vous de voir quel protagoniste a rédigé quel acte de l'histoire.
Des bizoux 😘
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eiffel21 · 1 year
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L'alignement
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Les crayons rangés parallèlement
Les zébras franchis sur le blanc
Les couloirs de piscine enfermants
Ne pas se toucher ni se croiser
La psycho-rigidité incarnée
Jusqu’aux pneus à équilibrer
Dans une justesse méticuleuse
Scoubidous enroulés dans la trousse
Lacets à moto qui donnent la frousse
Sauts dans le bassin de balles en mousse
Ne pas s’éviter, se rencontrer
Sans arrêt des pas de côté
Et l’alignement de mes pieds
Vers une vie heureuse
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loup-venant · 5 months
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Nathan n'est plus assis sur une chaise, mais cloué par les paroles qui continuent d'être prononcées. Des larmes coincées dans la gorge, il n'ose plus ouvrir la bouche de peur que ce soit retenu contre lui. Il dégluti avec peine. Sous les côtes, la tension est palpable. Son cœur est prêt à éclater et son estomac se tord comme jamais.
Ses yeux virent de droite à gauche et de haut en bas, incontrôlés. Son souffle est profond, mais crispé. Il lui fait l'effet d'un papier de verre dans la poitrine. La mâchoire est prête à céder sous le poids de sa propre rigidité. Cette situation devenant pour lui un véritable piège à loup dans lequel son pied est déjà pris et duquel il ne peut s'extraire seul.
Il se sent démuni devant ces mots qui continuent de tomber en pluie grossière. Des mots qui n'ont d'échos que dans le jugement des deux personnes en face de lui. Ou du moins c'est ce qu'il croyait. Jusqu'à en douter, au moins un peu lui même. "Et s'ils avaient raison ?"
Après un instant, sans doute plus long qu'il ne l'aurait voulu, il sait. Déterminé, et toujours ému, il laisse la tristesse de coté. Se lève écartant brusquement la chaise qui le soutenait jusqu'alors.
"Ce que tu me dis me donne juste envie de pleurer, et me met en colère. Alors je m'en vais" annonce Nathan avant d'attraper sa veste et de prendre la porte sans plus de mots. Devant lui, la surprise, et rien d'autre.
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selidren · 1 year
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Champs-les-Sims - Eté 1909
2/7
Je me suis rendu compte que vous parlez beaucoup de vos relations avec votre épouse, qui sont pour le dire avec tact, assez complexes. Il me semble donc pertinent de vous rendre la pareille. D'autant plus que vous semblez croire que la décision d'épouser Albertine n'a rien de définitif. Rassurez vous, je ne l'ai pas pris comme une insulte à mon encontre, la plaisanterie me semble amplement méritée si j'en juge par mon propre tempérament.
J'ai toujours porté peu d'intérêts aux relations amoureuses. La simple idée du mariage m'a longtemps rebuté car il me semblait être un pur moyen de perdre un temps précieux. Il est vrai qu'Albertine partage avec moi une passion pour l'égyptologie, mais il ne s'agit pas uniquement de cela. Ce n'est pas une forte amitié basée sur des accointances intellectuelles communes, mais bien une histoire d'amour. Je suis si épris d'elle que je pense souvent à elle, d'un point de vue aussi bien intellectuel ⬛⬛⬛⬛⬛⬛⬛. Rien de ce qu'elle peut me dire ne m'agace, si bien qu'elle a même pris la fâcheuse habitude de me poser des questions auxquelles je n'ai pas envie de répondre. Si bien que je finis par y répondre, sans en nourrir aucune rancune à son égard, et cela semble nous rapprocher. Je ne pensais pas capable de parler de ce genre de choses à qui que ce soit. Personne d'autre ne comprendrait, mon esprit serait dès lors perçu comme d'une impitoyable rigidité.
Transcription :
Constantin : Contre qui joues-tu ?
Albertine : Moi-même. Enfin, j'essaie.
Constantin : Tu ne sais pas jouer ?
Albertine : J'aurai bien appris quand j'étais petite fille. Mon père était un champion classé dans sa jeunesse, le voir jouer m'a toujours fait envie.
Constantin : Je l'ignorais. Pourquoi ne t'as t-il pas appris ? Un joueur de son niveau est en général très bon pédagogue. Ou peut-être n'avait-il pas le temps ?
Albertine : Oh si, bien sur il en avait le temps. Mais il estimait que mon esprit féminin n'était pas apte à la discipline que demandent les échecs.
Constantin : Absurde ! Veux-tu que je te montre
Albertine : Je ne savais pas que tu jouais, tu ne m'en a jamais parlé. Et je ne t'ai jamais vu jouer avec ce plateau, même avec Adelphe. Il y jouait souvent pourtant.
Constantin : Il aurait été ravi de t'apprendre. Cela fait un moment qu'il est à la recherche d'un partenaire. J'imagine qu'il joue avec Alexandre maintenant.
Albertine : Et toi, c'est bien lui qui t'a appris non ?
Constantin : Oui. Et je ne joue plus.
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Les artistes sont glorieux, jusque dans la mort qu’ils transcendent, comme l’eau d’une rivière, jamais la même, mais toujours là, qui chante ou gronde, du mouvement de la vie qui passe et se continue.
Il y a dans l’Univers cette minuscule part de Soi qu’on doit rendre à son infinie nature. C’est peut-être là le sens du mot liberté, déployer notre Essence absolue, malgré la rigidité de notre expérience humaine si relative.
Quand l’alignement des trois régions du Cœur (Âme, Esprit et chair) est accompli, alors on vit en paix la relation à l’autre.
De Chris
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Il existe des silences immuables, fixés dans une rigidité définitive. Le silence des maisons abandonnées, des grandes étendues désertes, des êtres qui n'ont plus rien à se dire
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Il nous reste les regards qui en disent long
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male-spirit · 1 year
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" J’ai vu, pendant toute ma vie, sans en excepter un seul, les hommes, aux épaules étroites, faire des actes stupides et nombreux, abrutir leurs semblables, et pervertir les âmes par tous les moyens. Ils appellent les motifs de leurs actions : la gloire. En voyant ces spectacles, j’ai voulu rire comme les autres ; mais, cela, étrange imitation, était impossible. J’ai pris un canif dont la lame avait un tranchant acéré, et me suis fendu les chairs aux endroits où se réunissent les lèvres. Un instant je crus mon but atteint. Je regardai dans un miroir cette bouche meurtrie par ma propre volonté ! C’était une erreur ! Le sang qui coulait avec abondance des deux blessures empêchait d’ailleurs de distinguer si c’était là vraiment le rire des autres. Mais, après quelques instants de comparaison, je vis bien que mon rire ne ressemblait pas à celui des humains, c’est-à-dire que je ne riais pas. J’ai vu les hommes, à la tête laide et aux yeux terribles enfoncés dans l’orbite obscur, surpasser la dureté du roc, la rigidité de l’acier fondu, la cruauté du requin, l’insolence de la jeunesse, la fureur insensée des criminels, les trahisons de l’hypocrite, les comédiens les plus extraordinaires, la puissance de caractère des prêtres, et les êtres les plus cachés au dehors, les plus froids des mondes et du ciel ; lasser les moralistes à découvrir leur cœur, et faire retomber sur eux la colère implacable d’en haut. Je les ai vus tous à la fois, tantôt, le poing le plus robuste dirigé vers le ciel, comme celui d’un enfant déjà pervers contre sa mère, probablement excités par quelque esprit de l’enfer, les yeux chargés d’un remords cuisant en même temps que haineux, dans un silence glacial, n’oser émettre les méditations vastes et ingrates que recélait leur sein, tant elles étaient pleines d’injustice et d’horreur, et attrister de compassion le Dieu de miséricorde ; tantôt, à chaque moment du jour, depuis le commencement de l’enfance jusqu’à la fin de la vieillesse, en répandant des anathèmes incroyables, qui n’avaient pas le sens commun, contre tout ce qui respire, contre eux-mêmes et contre la Providence, prostituer les femmes et les enfants, et déshonorer ainsi les parties du corps consacrées à la pudeur. Alors, les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches ; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons ; la peste, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s’en aperçoivent pas. Je les ai vus aussi rougissant, pâlissant de honte pour leur conduite sur cette terre ; rarement. Tempêtes, sœurs des ouragans ; firmament bleuâtre, dont je n’admets pas la beauté ; mer hypocrite, image de mon cœur ; terre, au sein mystérieux ; habitants des sphères ; univers entier ; Dieu, qui l’as créé avec magnificence, c’est toi que j’invoque : montre-moi un homme qui soit bon !... Mais, que ta grâce décuple mes forces naturelles ; car, au spectacle de ce monstre, je puis mourir d’étonnement : on meurt à moins. "
Les Chants de Maldoror - Chant I Strophe 5.
Lautréamont.
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photos-car · 1 year
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contesdefleurs · 2 years
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Les critiques
Il y a critiquer, et critiquer en montrant du mépris. Dans le monde littéraire, il n'est pas rare de lire des éléments que l'on peut qualifier d'oppressifs, problématiques, dans des livres, textes, écrits, plateformes et formats confondus, dans un cadre créatif. Et il n'est pas rare également de voir une virulence particulièrement forte contre les auteurices de ces textes sur les réseaux sociaux. La colère est compréhensible, cependant est-il nécessaire de critiquer avec du mépris ?
Le but, d'après moi, ce n'est pas de caresser dans le sens du poil, ou de donner des injonctions à la gentillesse, mais de maîtriser son ton : vous n'allez pas parler sur le même ton avec une personne qui insère dans ses écrits des propos, des descriptions oppressifs de manière involontaire, maladroite, qu'avec une autre qui restera fermée aux critiques qui lui seront adressées à ce sujet.
Vous avez le droit d'être énervé.e, parce que oui, c'est gonflant de tomber sur certains éléments. Parfois, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, certains contextes instaurent des climats tendus et les débats actuels entretiennent cette effervescence. Je comprends ce besoin d'exiger de la rigueur avec tout le bagage militant qu'on a acquis, avec cette fatigue générale de revoir les mêmes erreurs se répéter. Toutefois, pensez bien aussi que notre environnement social est loin d'avoir complètement changé, que c'est long pour faire changer les mentalités, de développer des réflexes, et que des erreurs, des maladresses, on en fera encore plein dans ce genre, même avec un bagage culturel et militant conséquent.
Ce que je dis, ce n'est pas pour les rendre acceptables, ou les minimiser. On devrait peut-être prendre en compte que les gens apprennent en permanence et qu'une énième erreur, que l'ignorance, la méconnaissance, le manque de maîtrise d'un sujet, est très différent d'une action volontaire. Personne n'est épargné.e par les biais, c'est bateau comme affirmation, néanmoins, c'est factuel. Cela ne signifie pas pour autant qu'il ne faut pas travailler sur eux, il faut, je pense, garder en tête que pas tout le monde apprend et apprendra au même rythme, on ne peut pas changer cela. Par contre, ce qui peut être important, c'est la réaction à ces critiques qui va suivre, car il y a aussi une prise de responsabilité, selon la situation bien sûr, qui est attendue, lorsque des éléments problématiques sont pointés et communiqués à l'auteurice, quel que soit le travail qui a été fourni dans ce qu'iel a pu écrire.
La critique pourrait être pertinente, sauf que montrer du mépris va simplement nourrir une forme de violence et des conflits. Dans le milieu littéraire, ça donne, d'après mes impressions, un sentiment de malaise, une pression anxiogène où en vient à avoir peur de faire la moindre erreur. Dans l'idéal, personne n'en ferait, ce qui est impossible. Donc, on ne peut faire que de son mieux, ce qui veut dire qu'il est plus que probable qu'on en fera encore. Nous avons, nous aussi, une responsabilité quand on émet des critiques sur internet, tout comme les auteurices sont responsables de ce qu'iels écrivent, et surtout quand on sait que le harcèlement est récurrent sur les réseaux sociaux. Dans tous les cas, la rigidité n'a jamais rien apporté de bon, de ce que j'ai pu voir.
Comprendre ce qui a posé un problème et éventuellement voir comment le régler, chercher s'il existe des alternatives et comment, dans la mesure du possible, limiter les conséquences dans un comportement courtois/bienveillant, je pense que ça peut changer beaucoup de choses, et ce, positivement, dans notre façon de critiquer des œuvres/productions. Ce n'est pas pour conforter, mais bien pour avancer autrement que par la violence, en sachant que nous sommes entouré.e.s déjà de violences en permanence autour de nous.
Concernant la description de minorités dans la littérature, le traitement des personnages et leurs représentations, les potentielles solutions et les ressources pour limiter les clichés et tenter de ne plus perpétuer des stéréotypes oppressifs, qui sont fournis par des personnes concernées, sont rarement partagées. Et cela, au profit de critiques au ton acerbe, quelques fois écrites par des gens non-concerné.e.s qui font du zèle pour probablement se rassurer d'être un.e bon.ne allié.e, ou en ayant de bonnes intentions. Seulement, les intentions, même les meilleures, ne suffisent pas, quelle que soit leur sincérité.
Oui, des fois, il y a des éléments très critiquables dans ce qu'on lit. Ce n'est pas une raison pour traiter systématiquement les gens comme des ennemi.e.s politiques.
Dois-je rappeler qu'avant notre "déconstruction" nous en avons fait des erreurs, tellement qu'on ne peut plus les compter ? Dois-je rappeler que ce sont ces erreurs et apprendre qui nous ont aidé à progresser ? Les gens n'évoluent pas à la même vitesse, et quand vous pointez du doigt un problème, surtout quand vous parlez de minorités dont vous ne faites pas partie : partagez leurs ressources s'il vous plaît, parce que leurs voix sont encore trop peu entendues.
Avant de maîtriser ces sujets, nous ne savions rien de tout ça parce que nous avons appris. Et si on peut faire une chose pour visibiliser les minorités, et donc les soutenir, c'est bien de partager leurs travaux sur le sujet en fonction de ce qui est critiqué/relevé, nous ne le faisons pas assez souvent.
Et n'oublions pas non plus que même en ayant appris tout le jargon militant, même en sachant beaucoup de choses, notre analyse demeure biaisée. On baigne dans des idées nauséabondes chaque jour de notre vie. Ça aussi, nous devons nous en souvenir, je crois. En attendant, le plus important, selon moi, c'est de continuer d'apprendre et de garder conscience de tout cela.
Je ne pense pas détenir la vérité. Tout comme vous, j'apprends tous les jours de ma vie. Je tenais tout de même à m'exprimer sur ce sujet, avec mes propres mots, qui peut par moment être houleux. J'ai conscience que mes connaissances sont limitées, que je peux avoir tort aussi. J'espère tout de même que ce billet sera bien reçu.
Merci pour ta lecture et à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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thewul · 9 hours
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La base d'un boosters, ce sont les même principes de supporter le bloc de propulsion, cette structure a poutre pleines revient aux niveaux des attaches avec la fusée principale
Voila!
En alternance avec une structure centrale a poutres pleines dans le but d'obtenir une rigidité verticale, maximale dans le cas d'un booster, et donc la configuration est différente
Passé la base du booster, donc les blocs de propulsion, la structure a poutres pleines qui sert pour les attaches avec la fusée principale s'allège, le core quant a lui est constant
Bravo!
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latribune · 3 days
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christophe76460 · 1 month
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De mes expériences personnelles, l’épreuve n’est pas ce qui nous fait mal. Le plus souvent, c’est notre rigidité envers l’épreuve qui nous fait mal. C’est notre résistance envers ce que Dieu tente de façonner en nous qui provoque nos douleurs.
Quelle est notre plus grande source de paix? Dieu. Et plus particulièrement être en paix avec Dieu. Parfois nous sommes en opposition contre Lui, tout comme Job. Et c’est cela qui nous fait mal.
Une fois que tu acceptes la situation, que tu comprends que Dieu l’utilise pour ton bien, qu’au lieu de chercher à la fuir, a t’en plaindre et à t’en offusquer tu l’apprivoises, l’acceptes et apprends même à l’aimer ; alors tu verras que cette douleur va disparaître.
Tu ne verras plus cette offense, cette humiliation, cette calomnie de la même manière. Ça fera encore mal dans une certaine mesure, car nous sommes humains et non robots, mais ton cœur sera rempli de paix.
Quand nous coopérons avec le Seigneur dans toutes les situations dans lesquelles Il nous place, nous retrouvons notre paix.
Quand nous mettons le péché dehors, ces choses que le Seigneur nous reproche depuis un petit moment, nous retrouvons notre calme intérieur.
Pasteur Maïsha Nerplat
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entomoblog · 1 month
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« Je préfère être cyborg que déesse. » - Manifeste cyborg
See on Scoop.it - Insect Archive
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Manifeste cyborg - Wikipédia
Manifeste cyborg ( A Cyborg Manifesto ) est un essai féministe de Donna Haraway, publié en 1984, et traduit en 2002 en français par Nathalie Magnan. Le Manifeste critique la politique identitaire du féminisme traditionnel, basée sur une définition binaire et essentialiste du genre, et propose, comme alternative aux groupes identitaires, le regroupement par affinité.
Haraway commence le Manifeste en expliquant que l'introduction du mythe hybride du cyborg au XXe siècle a rendu possible une modification substantielle de la définition de la frontière entre l'humain et l'animal, de celle entre l'homme-animal et la machine, et de celle entre physique et non-physique. En effet, l'évolution a brouillé les lignes entre l'humain et l'animal ; les machines du xxe siècle ont rendu ambigües les frontières entre le naturel et l'artificiel. De même, la microélectronique et la politique d'invisibilité des cyborgs ont brouillé les lignes de l'existence physique des êtres humains
  Wikipédia, version du 17 août 2024 à 12:02
  "Elle indique que le concept émergent de cyborg est un rejet de la rigidité des frontières, notamment celles séparant l'humain de l'animal et l'humain de la machine. Elle écrit : « Le cyborg ne rêve pas de communauté sur le modèle de la famille organique, cette fois sans le complexe œdipien. Le cyborg ne reconnaîtrait pas le Jardin d'Eden ; il n'est pas fait de boue et ne peut pas rêver de retourner à la poussière. »"
  Image : Donna Haraway, autrice du Manifeste cyborg, photographiée en 2006. [Donna_Haraway_and_Cayenne.jpg]
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