#retour politique
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viralmagg · 6 months ago
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a-room-of-my-own · 4 months ago
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Quand j'ai dit que le Nouveau Front Populaire ne tiendrait pas trois jours je ne m'attendais pas à ce que ce fût à ce point littéral.
Tu veux commencer aussi à distribuer des flyers dans les boites aux lettres ?
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malibuzz · 29 days ago
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Me Mountaga Tall : Un Exil Stratégique pour la Démocratie au Mali, Retour Triomphal et Héroïque le 27 Mars 1991 ✊
Le retour d’exil de Me Mountaga Tall le 27 mars 1991 marque un tournant historique dans la lutte pour l’avènement de la démocratie pluraliste au Mali. Décidé par le Comité Directeur du CNID Association, cet exil n’était pas un choix personnel, mais une décision collective visant à protéger la vie de celui qui s’était dressé contre la dictature de Moussa Traoré. Aujourd’hui, alors que certains…
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primepaginequotidiani · 2 months ago
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PRIMA PAGINA Liberation di Oggi mercoledì, 11 settembre 2024
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infosisraelnews · 5 months ago
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Bennett envisage de s'associer à Lapid lors des prochaines élections
Bennett, qui a quitté la politique après l’effondrement de son gouvernement, s’est engagé depuis le début de la guerre dans des activités de plaidoyer et des interviews . Désormais, dans un long texte qu’il publie sur les réseaux sociaux, il semble préparer le terrain pour son retour sur la scène politique. “Cette année, avec mes amis, nous avons fait avancer Israël. Le pays a été à nouveau…
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observatoiredumensonge · 1 year ago
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Point de non-retour
Notre société est arrivée à un tel point de délabrement mental et politique qu’il semble que ce soit celui de non-retour.La solution pourtant existe et elle est simple ! Par Alexandre Goldfarb 🔵 Point de non-retour Notre société est arrivée à un tel point de délabrement mental et politique qu’il semble que ce soit celui de non-retour.La solution pourtant existe et elle est simple ! « Peu…
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soirinfotchad · 1 year ago
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Alerte : l'opposant, Dr Succès Masra ne sera pas à N'Djaména le 18 octobre.
Alerte : l'opposant, Dr Succès Masra ne sera pas à N'Djaména le 18 octobre.
Les raison : “Après consultation du facilitateur désigné de la CEEAC et des membres du parti, j’ai décidé de différer la date de mon retour afin de donner une chance à cette transition que tout le monde reconnaît non inclusif, de faire une véritable réconciliation. Nous avons donc pris la décision de différer notre retour au pays pour début Novembre”. Dr Succès Masra
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defenderoftheearth · 2 years ago
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Soledar et le point de non-retour des forces occidentales est atteint
La rupture du front à Soledar marque un tournant décisif dans la guerre qui se joue entre « l’Occident collectif » et le reste du monde emmené par la Russie pour l’occasion. Une question se pose : l’Occident collectif va-t-il franchir un palier dans son engagement en soutien à l’Ukraine ou bien accepter une porte de sortie ? Une question subsidiaire en découle : la co-belligérance sera-elle…
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thebusylilbee · 7 months ago
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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empiredesimparte · 6 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°4 | Francesim, Versailles, 17 Thermidor An 230
On his return to Francesim, the young emperor spent time with his family in the gardens of Versailles. After reporting all the gossip from the Europesim summit and the political news, the subject of Louis Simparte comes up for discussion. An uneasy relationship develops between Napoleon V and his sister, which their mother Marie-Joséphine struggles to defuse. Hortense is curious to meet her grandfather, despite all the bad things she hears about him.
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⚜ Traduction française
A son retour en Francesim, le jeune empereur passe du temps avec sa famille dans les jardins de Versailles. Après avoir rapporté tous les potins du sommet d'Europesim et de l'actualité politique, le sujet de Louis Simparte tombe dans la discussion. Un malaise se crée entre Napoléon V et sa soeur, que leur mère Marie-Joséphine peine à désamorcer. Hortense est curieuse de rencontrer son grand-père, malgré tout le mal qu'elle entend de lui.
(Hortense) Devrions-nous vraiment juste... ignorer notre grand-père ? On ne peut pas haïr quelqu'un qu'on a jamais rencontré, Louis. Il faut qu'on s'en fasse une idée avant ton couronnement.
(Louis) Par pitié Maman, explique-lui.
(Hortense) Louis ! (Marie) Je suis d'accord avec ta soeur.
(Marie) Je ne peux pas vous empêcher de rencontrer votre grand-père, peu importe mes opinions. (Louis) Quelles sont-elles ?
(Marie) Je te l'ai dit, je suis d'accord avec ta soeur. (Napoléon) Mais-
(Hortense) J'aimerais le rencontrer, juste pour voir ce qu'il a à nous dire.
(Marie) Ce n'est que nos opinions Louis, parlons d'autre chose. (Louis) Bonne idée...
(Marie) Vous grandissez si vite, je suis fière de vous. (Hortense) Oh, Maman... Merci, nous sommes fiers de toi aussi.
(Hortense) Louis va devenir le plus grand souverain de tous les temps. (Napoléon) Tu me flattes, maintenant. (Hortense) Je suis sérieuse.
(Hortense) Le plus grand monarque dans le plus beau palais du monde (Napoléon) C'est vrai, je devrais faire de Versailles ma résidence officielle
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frenchlitclub · 5 months ago
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Un peu de contexte historique qui peut être utile pour la lecture du Comte de Monte-Cristo!
Contexte historique et social de l'époque 
 "Le Comte de Monte-Cristo" se déroule au début du XIXe siècle, une période turbulente marquée par des bouleversements sociaux et politiques en France et en Europe. 
 1. La chute de Napoléon Bonaparte et la Restauration : L'histoire commence en 1815, peu de temps après la chute de Napoléon Bonaparte lors de la bataille de Waterloo. Après cette défaite, la France est placée sous la Restauration, une période caractérisée par le retour de la monarchie des Bourbons au pouvoir avec Louis XVIII sur le trône. Cette période a été marquée par des tentatives de restaurer l'ancien régime, ce qui a entraîné des tensions sociales et politiques. 
 2. Les intrigues politiques et les complots : Durant la Restauration, les intrigues politiques étaient monnaie courante. Les rivalités entre différentes factions et les complots pour renverser le gouvernement étaient omniprésents. C'est dans ce contexte que l'intrigue de "Le Comte de Monte-Cristo" se développe, avec des personnages qui manipulent les événements politiques pour servir leurs intérêts personnels. 
 3. La montée de la bourgeoisie et les inégalités sociales : La Révolution française et les guerres napoléoniennes ont bouleversé l'ordre social traditionnel en France. La bourgeoisie, qui était auparavant exclue du pouvoir politique et social, a gagné en influence et en richesse. Cela a créé des tensions entre les différentes classes sociales, avec une élite aristocratique qui tentait souvent de maintenir ses privilèges et sa suprématie. 
Source (spoilers sur le livre à cette page, attention si vous lisez +)
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mrs-stans · 6 months ago
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@metropolitanfilms: #TheApprentice en #Compétition au @FestivaldeCannes 2024 est une véritable plongée dans les arcanes de l’empire américain : il retrace l’ascension vers le pouvoir du jeune #DonaldTrump grâce à un pacte faustien avec l’avocat conservateur et entremetteur politique Roy Cohn. Retour en images sur le long-métrage d’#AliAbbasi en compagnie de l’équipe du film sur la croisette ! Avec @imsebastianstan, #JeremyStrong, @mariabakalovaofficial et #MartinDonovan.
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malibuzz · 10 months ago
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VŒUX DU NOUVEL AN : les partis politiques au Mali, ont-ils fait le deuil du retour à l’ordre constitutionnel en 2024 ?
Montée en puissance des Forces de défense et de Sécurité, réorganisation interne et mobilisation des militants, fin de la transition, nostalgie de la terre natal… Voilà, entre autres ce que notre rédaction a retenu des vœux des différents états-majors politiques au seuil du nouvel an. Mais, peu d’entre eux ont ouvertement abordé la question du retour à l’ordre constitutionnel initialement prévu…
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primepaginequotidiani · 2 months ago
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PRIMA PAGINA Liberation di Oggi martedì, 10 settembre 2024
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theoppositeofadults · 5 months ago
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des élections anticipées............. sophie qui s'intéresse de nouveau à la politique ............. est-ce le grand retour de theoppositeofadults
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observatoiredumensonge · 1 year ago
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Le retour du système D
Incroyable ! La France en 2023 est projetée dans son passé en se préparant au pire. + Les malades mentaux ! Par Gilbert Malaval Continue reading Untitled
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