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christophe76460 · 2 months ago

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Vous avez dit susceptibilité ? CJP

Nombre de mes messages sont des mises en garde.

Des mises en garde non pas pour nous faire sentir mal, ce qui n’est absolument pas notre style ni notre but, mais par rapport à ce que je vois dans l’Esprit qui vient au devant de nous.

Qu’est-ce qui vient au devant de nous ? Une forte visitation de l’Esprit de Dieu !

« Oui, et alors, c’est positif, en quoi devons-nous être mis en garde ? », demandera quelqu’un.

Parce qu’une plus forte visitation va avec une plus forte responsabilité et donc un plus fort jugement.

Une puissante visitation de l’Esprit, ce n’est pas, comme nous le voyons dans le livre des Actes, seulement plus de guérisons, de miracles et de prodiges.

C’est aussi Ananias et Saphira qui tombent raides morts, pour avoir eu une mauvaise attitude.

Dieu bénit son peuple, mais il est tout aussi biblique qu’Il le juge et que ce jugement « commence par la maison de Dieu ».

Dans ces temps votre merveilleux appel et même onction ne va pas vous protéger si vous n’avez pas travaillé sur… votre caractère !

Votre grand titre : « apôtre », « prophète » ou « bishop » ne vous protégera pas.

On ne peut enseigner aux gens de changer de vie alors que nous, nous restons ancrés dans nos sales manies et caractère. Ce n’est pas honnête !

Et Dieu, malgré tout l’amour qu’Il a pour nous, nous demande des comptes.

Et plus Il nous a donné, plus Il nous demande ! Logique !

Je veux traiter ici une chose vis-à-vis de laquelle nous devons tous travailler, avec l’aide du Saint-Esprit, c’est sur la susceptibilité.

Alors n’ayez pas peur, je ne vais pas vous prendre de haut, en vous disant que vous êtes concerné par ce problème et pas moi.

Si j’écris ce message c’est que j’ai pris conscience, à un moment donné, d’à quel point j’avais pu et pouvais encore être susceptible.

Et de la vanité, comme de l’absurdité, pour ne pas dire l’orgueil qui est liée à la susceptibilité.

Qui plus est, la susceptibilité va, en général avec l’injustice ! C’est réaliser cela qui doit nous pousser à changer (se repentir = changer).

Pour imager cela, donnons quelques exemples classiques, qui, lorsqu’on les regarde en face, nous placent devant nos propres incohérences.

Notre femme nous parle et on ne l’écoute pas, et on n’aime pas qu’elle le prenne mal et encore moins qu’elle nous en fasse la remarque.

Mais, quand c’est nous qui parlons et qu’elle ne nous écoute pas, on le prend mal et on trouve normal de, nous, lui en faire la remarque.

Quand quelqu’un n’avance pas sur la route, devant nous, on est tenté de s’emporter, mais quand c’est nous qui, pour une raison ou une autre, avançons trop lentement, et qu’on nous klaxonne, on le prend mal : « Qu’est-ce qu’il veut celui là ! »

Le susceptible ne trouve pas normal d’être à la merci des imperfections des autres, mais prend mal que les autres ne supportent pas ses propres imperfections.

C’est dans ce sens que la susceptibilité est liée à l’injustice.

Ne serait-ce que pour cette raison, il faut la refuser dans notre vie et nous en garder dans ces temps, même s’il faut qu’une « sainte crainte » nous aide à changer et ainsi devenir plus agréables à vivre pour notre conjoint et les autres en général.

L’enseignement de la Parole de Dieu nous enseigne à aller dans le sens contraire de la susceptibilité.

Cela à travers les qualités qu’elle nous appelle à développer : la patience, le pardon, se supporter les uns les autres, etc.

Difficile de tendre l’autre joue, expression même du renoncement à soi, lorsqu’on est trop susceptible, qu’on démarre au quart de tour parce qu’on a dit ça de nous, parce qu’on ne nous a pas honorés comme il fallait dans tel endroit, parce qu’on tarde à nous servir au restaurant.

On risque de péter un câble, pour rien, et donner un mauvais témoignage en public.

Qui plus est, n’imaginez pas, même en priant que vous allez avoir de moins en moins l’occasion d’être humilié, méprisé, pris de haut par les incultes qui se croient plus spirituels que vous, etc.

Car plus vous servez Dieu avec zèle, nous enseigne l’Écriture, plus vous serez confronté à ces choses.

Il y a un trop gros décalage chez beaucoup de serviteurs de Dieu entre leur prestation sur l’estrade et leur vie privée.

Ils enseignent aux autres comment pardonner, surmonter les épreuves de la vie et ils sont très susceptibles en privé; on ne peut rien leur dire.

La Bible enseigne deux points qui peuvent sembler paradoxaux : que nous avons la vie en Christ, mais que notre « vieil homme » a lui, la mort.

Une part de nous, « la chair », doit être mise à mort chaque jour, en s’identifiant à la mort de Christ sur La Croix.

Un mort quand vous le pincez, l’insultez, lui criez dessus, il ne réagit pas. Normal, il est mort !

Alors je vous, nous, encourage, à utiliser les sujets de frustration qui sont actuellement sur votre route, et les personnes qui peuvent en être la cause, comme une occasion de confirmer la mort de Christ en vous, du vieil homme.

Et si ce message était la réponse de Dieu à votre situation actuelle, même si ce n’est pas celle que vous auriez aimée…

Il ne pourra qu’en sortir plus de vie, à un moment donné, pour l’homme nouveau.

Vous avez dit susceptible ? Moi ? Non !

CJP / Claude

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sfarticles · 3 months ago

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Recipes put various spins on cheesecake Recipes put various spins on the tasty treat.

Check out my latest column

We all have a favorite dessert or two or three: Cheesecake happens to be one of mine.

First, a bit of history about this beloved dessert. Was the treat invented in New York, thus New York Cheesecake? No, it’s believed to have its roots in Greece. Perhaps that is why the cheesecake in Greek-owned diners is always delicious.

Alan Davidson, author of the “Oxford Companion to Food,” wrote that, “cheesecake was mentioned in Marcus Porcius Cato’s de Re Rustica around 200 BCE, and that Cato described making his cheese libum (cake) with results very similar to modern cheesecake.”

No matter who invented it, or when, each region of the country and the world has put its unique spin on the dessert: baked or no-bake, New York-style or Philadelphia-style, German or Italian, plain or flavored with fruit, chocolate or peanut butter.

There is a plethora of twists on plain cheesecake, depending on the season. I’ve noticed the pumpkin variety has arrived on restaurant menus and is now being offered at bakeries. I’ve seen, and often tried, a mashup of the dessert… fried ice cream cheesecake, sticky toffee pudding and brownie cheesecakes.

Not into sweets…. savory cheesecakes such as BLT cheesecake, smoked salmon or a savory Southwest might fit the bill. I think of this variation as a takeoff of quiche.

If you are looking to make a unique cake for Halloween celebrations, check out this recipe for Venom Charcoal Cheesecake (it uses activated charcoal): https://bit.ly/4e0TpyY

I looked through my vintage recipe pamphlet collection and found Borden’s Eagle Brand Magic Recipes, published in 1946, which has dozens of recipes using the sweetened condensed milk. This recipe, from the inaugural Eagle Brand Signature Recipe Contest, earned a home baker from Reston, Va., a $10,000 kitchen makeover. Not a bad payoff for an imaginative twist on cheesecake.

“Smooth white chocolate, sweet apricot and rich cream cheese come together to create the perfectly refreshing dessert.”

White Chocolate Apricot Swirl Cheesecake

Makes 12 servings

Ingredients:

Non-stick cooking spray

1 cup graham cracker crumbs

½ cup ground almonds

¼ cup sugar

¼ cup butter, melted

3 8-ounce packages cream cheese, softened

14-ounce can Eagle Brand Sweetened Condensed Milk

3 large eggs

1½ cups white baking chips, melted

1 teaspoon vanilla extract

15-ounce can apricot halves, drained

Directions:

Heat oven to 350 degrees. Coat bottom of 9-inch springform pan with non-stick cooking spray. Stir graham cracker crumbs, almonds, sugar and butter in a small bowl until evenly moistened. Press firmly into bottom of a prepared pan.

Beat cream cheese until fluffy. Blend in sweetened condensed milk. Add eggs, melted white baking chips and vanilla; blend until smooth. Pour over the crust.

Place apricots in food processor or blender; cover and process until smooth. Spoon small dollops of apricot puree over top of the cream cheese mixture. Swirl with tip of knife to make marbled appearance.

Bake 50-60 minutes or until edges are puffed and golden. (Center will not be completely set.) Cool completely in pan on wire rack. Chill thoroughly before serving.

Treat yourself to a copy of “The Cheesecake Bible,” by George Geary (2018, Robert Rose, Inc., $24.95), and you’ll be overwhelmed as to which one to make first. Geary is an aficionado of cheesecakes.

When people ask how many he has made, he said: “Back in the ’80s I would make seven each week for the hit show ‘The Golden Girls.’ I made 250 to 350 a day in the 10 years that I worked as a pastry chef at Disneyland in the ’80s and ’90s…. that’s about 1.2 million cheesecakes just during that time.”

With that amount, Geary could probably be listed in the Guinness World Records.

Every July 30, which happens to be National Cheesecake Day, he brings his knowledge of the creamy dessert to morning news segments.

“Sometimes, I’m called the ‘Cheesecake King,’” he said.

The book begins with the tools and equipment to make the perfect cake. He then gives details about the common ingredients used including crusts, herbs and spices, nuts and of course the star…. various cheeses.

I found the frequently asked questions from his cheesecake classes helpful. Questions such as “Why do cheesecakes crack?…Why do you press the crumbs only on the bottom of the cheesecake pan and not up the sides? How can I make the perfect-looking cheesecake?

Pick up a copy of the book to find out his answers to these and other questions. The tips provided for the recipes assist in making the perfect cake. The book concludes with many recipes for toppings and sauces from classic whipped cream to three-chocolate sauce to sugared cranberries.

Now, onto a few recipes from the book. For the recipe for the Savory Taco Cheesecake, visit https://bit.ly/4g5mvPv.

“Golden Girls” fans, pick up a copy of the book with Geary’s famous recipe.

“Now you can make the cheesecake that helped the four gals cope with their many problems!” he writes.

The 300 sweet and savory recipes will keep you baking throughout the year.

I’m going to buy the ingredients for the S’mores Cheesecake that has all the flavors and textures of the campfire treat. For the end-of-year celebrations, I’ve tagged the Holiday Rum Eggnog Cheesecake, where Geary writes, “A perfect dessert to make when the turkey is taking up all the room in the oven.”

No oven required!

Carrot Cake Cheesecake: Your guests will ask if it’s a cheesecake or a carrot cake. It’s the best of both worlds. (Colin Erricson and Mark T. Shapiro)

Carrot Cake Cheesecake

The headnote says: “Your guests will ask if it’s a cheesecake or a carrot cake. It’s the best of both worlds.”

Serves 10-12

Ingredients:

Cheesecake Batter

2 packages (each 8 ounces cream cheese, softened

¾ cup granulated sugar

1 tablespoon all-purpose flour

2 eggs

1 teaspoon vanilla extract

1 teaspoon ground cinnamon

Carrot Cake Batter

1 ¼ cups all-purpose flour

1 ¼ teaspoons baking soda

¼ teaspoon ground cinnamon

¼ teaspoon salt

1⁄8 teaspoon freshly grated nutmeg

1 ¼ cups granulated sugar

2 eggs

1⁄3 cup vegetable oil

1 teaspoon vanilla extract

½ cup well-drained crushed pineapple (about one 8-ounce can)

½ cup flaked sweetened coconut

½ cup pecans, toasted (see tips below) and chopped

1 cup shredded carrots

Icing

2 ounces cream cheese, softened

1 tablespoon unsalted butter, softened

1 ¾ cups confectioner’s (icing) sugar

½ teaspoon vanilla extract

Directions:

Preheat oven to 350 degrees. You’ll need a 9-inch cheesecake pan or springform pan with 3-inch sides, sprayed with nonstick spray, outside of pan wrapped with foil

1. Cheesecake batter: In a mixer bowl fitted with paddle attachment, beat cream cheese, sugar and flour on medium-high speed until very smooth, for 3 minutes. Add eggs one at a time, beating after each addition. Stir in vanilla and cinnamon. Transfer to a bowl and set aside.

2. Carrot cake batter: In a bowl, whisk together flour, baking soda, cinnamon, salt, and nutmeg. In a mixer bowl fitted with paddle attachment, combine sugar, eggs, oil and vanilla until well blended, for 2 minutes. Add pineapple, coconut and pecans; mix for 1 minute. Gradually stir in flour mixture. Stir in carrots.

3. Divide carrot cake batter in half and smooth half the batter over bottom of prepared pan. Bake in preheated oven just until cake is light brown and just set, 18 to 22 minutes (it will not be fully cooked).

4. Gently drop cheesecake batter by large spoonfuls over carrot cake. Top with large spoonfuls of remaining carrot cake batter, allowing some of the cheesecake batter to show through. Bake in preheated oven until a tester inserted in the top layer of carrot cake comes out clean, 55 to 60 minutes. Let cool in pan on a wire rack for 2 hours. Cover with plastic wrap and refrigerate for at least 6 hours before icing or serving.

5. Icing: In a mixer bowl fitted with paddle attachment, beat cream cheese and butter on medium speed until fluffy, about 4 minutes. Add sugar and vanilla; beat until creamy and light, about 3 minutes. Pipe large rosettes around top of cake. Serves 10 to 12.

Tips: Toasting brings out the natural oils and flavor of nuts. Place nuts in a single layer on a baking sheet and bake at 350 degrees until fragrant, 10 to 12 minutes.

You can use the same mixer bowl for the cheesecake batter and the carrot cake batter; there’s no need to wash it in between.

Remove the foil from the pan as soon as it comes out of the oven; otherwise, it will stick.

Pear Nutmeg Cheese Pie: It’s time to enjoy Fall flavors. (Colin Erricson and Mark T. Shapiro)

Pear Nutmeg Cheese Pie

The headnote says: “Ohio Bartlett pears are marvelous but have such a short season at the end of the summer. If I can’t get them for my classes, I use canned pears for this recipe.”

Serves 5-6

Ingredients:

Crust

1 ¼ cups butter cookie crumbs

3 tablespoons unsalted butter, melted

Filling

1 package (8 ounces) cream cheese, softened

1 cup small-curd cottage cheese, drained (see tips, page 214)

¾ cup granulated sugar

2 eggs

¾ cup chopped pear (about 1 medium)

2 teaspoons freshly grated nutmeg

2 teaspoons vanilla extract

Decoration: Whipped Cream Topping (author’s recipe, page 360)

Directions:

Preheat oven to 325 degrees. You’ll need a 9-inch pie plate, ungreased

1. Crust: In a bowl, combine cookie crumbs and butter. Press into bottom and sides of pie plate and freeze.

2. Filling: In a mixer bowl fitted with paddle attachment, beat cream cheese, cottage cheese and sugar on medium-high speed until very smooth, for 3 minutes. Add eggs, one at a time, beating after each addition. Fold in pear, nutmeg and vanilla by hand.

3. Pour over frozen crust, smoothing out to sides of pie plate. Bake in preheated oven until top is light brown and center has a slight jiggle to it, 25 to 35 minutes. Let cool in pan on a wire rack for 2 hours. Cover with plastic wrap and refrigerate for at least 6 hours before decorating or serving.

4. Decoration: Ice top of pie with Classic Whipped Cream Topping or pipe rosettes around top of pie, if desired.

Tip: If you use canned pears, drain before adding to the filling. Canned pear juice is a versatile sweetener for cocktails, fruit salad or savory sauces for roasted meats.

Variation: Canned or fresh peaches work well too.

Recipe text copyright credit: Courtesy of Robert Rose Inc., by George Geary, 2018 www.robertrose.ca. Reprinted with permission. Available where books are sold.

Photography copyright credit: Colin Erricson and Mark T. Shapiro

Stephen Fries is professor emeritus and former coordinator of the Hospitality Management Programs at Gateway Community College in New Haven, Conn. He has been a food and culinary travel columnist for the past 17 years and is co-founder of and host of “Worth Tasting,” a culinary walking tour of downtown New Haven, and three-day culinary adventures around the U.S. He is a board member of the International Association of Culinary Professionals. Email him at [email protected]. For more, go to stephenfries.com.

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thecazagroup · 4 months ago

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OPENHOUSE

7/20 Sat 11AM-1PM 7/21 Sun 1PM-3PM 🏠 in #Reston VA 20190 11519 Hickory Cluster 3 🛏 2.5 🛁 $724,900

✅ Four-level, fully renovated Charles Goodman original ✅ Extensively updated maintaining classic mid-century modern elements ✅ Restored vertical wood accent wall ✅ Floor-to-ceiling windows on all levels, open riser staircases ✅ Three outdoor living spaces including a rooftop patio ✅ Remodeled kitchen on the second level ✅ Front balcony, a rear patio, large living room with a lime-wash fireplace ✅ Located near Lake Anne Plaza shops, restaurants and entertainment

☎️ 703.337.3699 #TheCAZAGroup creates #RavingFans by helping our community make smarter #HomeBuying and #HomeSelling decisions with less hassle and better service. We're serious about helping you make excellent and informed decisions. #SatisfactionGuarantee #RealEstate Click for details 👉 https://www.thecazagroup.com/

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excaliburmovers · 8 months ago

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Why Choose Reston, Virginia for Your Next Move?

Nestled amidst the verdant landscapes of Fairfax County, Reston, Virginia, not only offers a myriad of outdoor activities but also a thriving community for those looking to make a move. From serene parks to picturesque lakeshores, there's no shortage of adventures awaiting those eager to explore the great outdoors in this charming city.

Lake Anne Plaza:

At the heart of Reston lies Lake Anne Plaza, a picturesque waterfront destination that offers a tranquil retreat from the hustle and bustle of city life. Visitors can stroll along the boardwalk, admire the stunning views of the lake, or even rent a kayak for an afternoon of paddling beneath the azure skies.

Reston's Trail Network:

For those seeking to immerse themselves in nature, Reston's extensive trail network provides endless opportunities for exploration. Whether you prefer strolls or challenging hikes, the trails wind through lush woodlands, meandering streams, and scenic overlooks, offering a glimpse into the region's natural splendor.

Reston Town Center:

At Reston Town Center, the vibrant energy of urban life harmonizes with the tranquility of outdoor spaces. Here, visitors can dine al fresco at one of the many sidewalk cafes, browse boutiques nestled along tree-lined streets, or simply relax in the open-air pavilions while enjoying live music performances.

Explore Reston's Parks:

From hidden gem neighborhood parks to expansive nature reserves, Reston boasts an array of green spaces waiting to be discovered. Whether you're picnicking with family and friends, playing a game of Frisbee, or simply soaking in the sunshine, Reston's parks offer something for everyone to enjoy.

Waterfront Dining:

After a day of outdoor exploration, indulge in a culinary adventure at one of Reston's waterfront restaurants. From fresh seafood to international cuisine, the dining options abound, offering a feast for the senses against the backdrop of shimmering waters and breathtaking sunsets.

Ready to make Reston your new adventure? Let Excalibur Moving and Storage be your trusted moving companion. With our expert moving services, relocating to this vibrant city has never been easier. From packing and transportation to storage solutions, our dedicated movers near Reston, VA ensure a seamless transition, allowing you to focus on embracing the beauty and adventures that await in your new home.

Contact Excalibur Moving and Storage today at 800-548-6052 to experience a stress-free move to Reston, Virginia. Get your quote now!

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realtorjamier · 11 months ago

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Reston Restaurants Open For Thanksgiving Day 2023!

For people who don’t want to spend hours or even days cooking and cleaning up from a big turkey dinner, several restaurants in Reston are open Thanksgiving Day.

Restaurants open for Thanksgiving on Thursday, Nov. 23, offer a range of dining experiences, from fine dining to fast casual to fast food. In some cases, you’ll need to make a reservation, so plan as much as possible.

As always, Patch encourages you to call any restaurant on this list in advance to double-check hours on Thanksgiving Day, as many vary by location. Here are the local restaurants that plan to be open:

Davios Northern Italian Steakhouse, 1902 Reston Metro Plaza, Reston VA 20190; 11 a.m.-8 p.m.

Founding Farmers Reston Station, 1904 Reston Metro Plaza Drive, Reston VA 20190; 8 a.m.-10 p.m.

Cooper's Hawk Winery & Restaurant, 12310A Sunset Hills Road, Suite 101, Reston, VA 20190; 11 a.m.-9 p.m.

Fogo de Chão - Reston, 11915 Democracy Drive, Reston, VA 20190

Ruth's Chris Steak House - Reston, 11990 Market St. unit 106, Reston, VA 20190

Morton's The Steakhouse - Reston, 11956 Market St., Reston, VA 20190

The Capital Burger - Reston - 11853 Market St. Reston, VA 20190

Kalypso's Sports Tavern, 1617 Washington Plaza N., Reston, VA 20190

According to lists curated by The Pioneer Woman, delish and Good Housekeeping, national chains that will open Thanksgiving Day include the following in and around Reston:

Options include:

Applebee’s

Brio Italian Grille

Domino’s

Eddie V’s

Fogo de Chão

IHOP

McDonald’s

Popeye’s

Red Lobster

Ruth’s Chris Steak House

Subway

T.G.I. Fridays

Wendy’s

Hours and services may vary by location, so be sure to call ahead.

Source: https://patch.com/virginia/reston/reston-restaurants-open-thanksgiving-day-2023

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bm2ab · 1 year ago

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Arrivals & Departures 1932 - 12 October 2023 Collette Rossant

Colette Rossant (born 1932) is a French-American cookbook author, journalist, translator, and restaurateur, who is a member of the Pallache family.

Born in Paris, Rossant traveled with her mother to Cairo to live with her father and her father's family during World War II. Her mother spent much of the war in Beirut (part of the French Mandate for Syria and the Lebanon), while her brother Eddy Palacci remained in Paris with their mother's parents.

After World War II, Rossant returned to Paris and lived with her grandmother and brother, joined occasionally by her mother. In Paris, she studied at the Lycée La Fontaine. She spent a year learning English at Roedean School near Brighton, UK. She earned a B.A. in Comparative Literature at the Sorbonne in 1954. She married American architect James Rossant in 1955.

Moving to New York with her husband in 1955, Rossant pursued several careers, often simultaneously like teaching, writing, translating, restaurant business, and raising a family.

Rossant spent many years teaching French. She was first a language instructor at the Browning School (1957–1961). She then taught French at Hofstra University (1961–1970). She became head of the French department at St. Anne's School (1970–1983). Her last position was as Liaison Officer at the New York branch of Crédit Lyonnais (1985–2000).

Exploring New York, Rossant became very interested in bettering the food she found there. She published her first of seven cookbooks in 1975 (and last to date in 1991). Her third cookbook, A Mostly French Food Processor Cookbook (1980) sold more than 50,000 copies and made a name for her in the Food industry. She became "underground gourmet" for New York Magazine in the 1980s. She served as food and design editor for McCalls Magazine (1983–1990). She then became a columnist for the New York Daily News, where she wrote a popular Wednesday column called "Ask Colette." Currently, she contributes to Food Arts and Super Chef magazines.

Rossant helped launch two restaurants in New York. Buddha Green (1998–1999) opened in Midtown Manhattan and featured original, vegetarian "Buddhist" cuisine. Dim Sum Go Go (2000–2003) opened in Chinatown and featured original Imperial Cantonese cuisine, although Rossant has stopped consulting there. Her husband James Rossant helped design both, while son Tomas Rossant helped on the interior at Buddha Green.

Rossant has traveled abroad (often with her husband, whose architectural design work took him to countries like Bhutan, Tanzania, and Turkey). Her lifelong interest in Asian cuisines took her to China and Japan, reflected in her cookbooks and restaurants.Dorceau in Orne, France, near Rossant's home since 2002

With children grown and married, Rossant's most recent books have been memoirs: Apricots on the Nile (2004, originally published as Memories of a Lost Egypt in 1999), Return to Paris (2003), and The World in My Kitchen (2006).

In 2002, Rossant moved from New York back to France, but rather than return to Paris again (as she had as a teenager), she went to live in the department of Orne, two hours west of Paris. In 2009, Rossant's husband of 55 years died. She continues to live in their home near Condeau, France, on whose town council she has served. She continues to contribute to Super Chef, Food Arts, and Pays du Perche magazines and is writing a twelfth book.

In November 2010, Rossant received the Prix Eugenie Brazier for the French translation of her first memoir, Mémoires d'une Egypte perdue (Editions Les Deux Terres 2010).

Rossant appears during an interview in Rebekah Wingert-Jabi's 2015 documentary Another Way of Living: The Story of Reston, VA, along with excerpt of an interview with late husband James

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arlington-va-daily · 2 years ago

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Arlington, VA, has a vibrant nightlife.

Arlington, VA, is known for having vibrant nightlife, so if you always enjoy funny and entertaining moments, this place is perfect. You won't quickly get bored in Arlington because plenty of energetic clubs and bars are everywhere. You can find sophisticated bars such as Utahime that offer excellent sushi that makes you feel young and alive. Other sites offer Mexican food and a fantastic atmosphere through their rooftop deck and the cantina feels, all of which you can find at Don Tito. Arlington also offers dance clubs, beach party feels, and traditional club settings such as the Diva Lounge. You can also find excellent childcare while you’re out to attend some activities.

Clarendon schools in Arlington VA

The No.1 choice of parents for infant through age five care in Arlington, VA, is the MeritSchool of Clarendon. Thisschool is centrally located in an easily accessible area. You can find this school on the first floor of the upscale office building on Wilson Boulevard, and it's very close to restaurants, shopping centers, and the Metro. One thing that sets Merit School ahead of its competitors is the various programs they offer. This program includes but is not limited to the baby steps program, toddlerexplorers program, preschool explorers, preschoolreadiness enrichment for three and four years old, Juniorkindergarten, before and after-school care, and summer camp. Merit School in Arlington is the area's most trusted and committed childcare. For more information, contact (703) 566-5075.

Fashion Centre at Pentagon City in Arlington VA

Fashion Centre at Pentagon City is just a few minutes from the country’s capital. I like the world-class experience where you’ll find fashion and the boulevard of styles. The beautiful and scenic glass elevator ride to the third level shows over 140 fascinating stores and restaurants where you can dine and have fun. Some of these are Macy’s, The Ritz-Carlton, Nordstrom, Bonobos, Coach, Apple, Tourneau, and Savage x Fenty. The skylit dining pavilion shows plenty of international specialties, from familiar food to exotic. The Fashion Centre at Pentagon City is such a great location when you love fashion and shopping.

Arlington players win Outstanding Musical.

The Arlington players won six awards during Sunday night's 2023 Washington Area Theatre Community Honors Awards ceremony. The players from Arlington brought home six awards at the Birchmere in Alexandria. The awards were for the Newsies, which was named an outstanding musical. It was in January when the nominations for the 2023 WATCH Awards were announced, and the players received 14 nominations. The Reston Community Players was the big winner racking up, combined with 13 total awards for the productions of "A Little Night Music," "Bright Star," and "Game's A Foot." The six awards that Arlington players received are Outstanding Makeup Design in a Play, Outstanding Choreography, Outstanding Direction of a Musical, Leta Hall Outstanding Ensemble in a Musical, Outstanding Music Direction, and Outstanding Musical. Read more.

Link to Map

Driving Direction

Fashion Centre at Pentagon City

1100 S Hayes St, Arlington, VA 22202, United States

Get on VA-27 W/S Washington Blvd

2 min (0.6 mi)

Continue on S Washington Blvd. Take US-50 E/Arlington Blvd to N Courthouse Rd. Take the 10th St N/N Courthouse Rd exit from US-50 E/Arlington Blvd

4 min (2.1 mi)

Continue on N Courthouse Rd. Drive to Wilson Blvd

4 min (0.5 mi)

Merit School of Clarendon

2311 Wilson Blvd

Arlington, VA 22201, USA

#clarendon daycare #clarendon day care #clarendon private schools #clarendon preschool #clarendon schools

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best-reston-va · 2 years ago

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Reston, VA, is The Best Place to Live

I like Reston, VA, because it's one of Virginia's best places to live. I like living here because it offers the residents an urban and suburban mixed feel. There are a lot of coffee shops, restaurants, parks, and other places that make life and work balance so amazing. Whatever you need, from health care, orthodontist, schools, and everything. Many families and young professionals live in Reston and experience the beauty of living here with the amazing public schools' excellent education quality. The location is good for families, and it's very diverse. Then one thing that people love about this place is the amazing nightlife.

Reston VA Orthodontist

Stang Family Orthodontics is the No.1 Reston VA Orthodontist. The team provides the highest quality care in a friendly atmosphere where the patients can fully trust that their orthodontic needs will be fulfilled comfortably, honestly, and affordably. For over 30 years, the Stang Family Orthodontist has proudly served the Reston, McLean, Great Falls, Vienna, Chantilly, Sterling, and Northern Virginia areas. They have created thousands of beautiful smiles and the highest quality care. They focus on providing the highest levels of patient education to provide the best orthodontic treatment, including Invisalign, clear braces, conventional braces, speed braces, and more. No wonder why they are the No.1 in Reston, VA. So if you need an orthodontist, Stang Family Orthodontics is the best in town. For inquiries, (703) 435-8283.

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The Best Reston VA Orthodontics

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Reston Town Center in Reston, VA

Reston Town Center in Reston, VA is home to world-class business, a wide range of exciting dining options, leading retail destinations, and vibrant experiences for a broad and diverse community. The Reston Town offers a range of everything from boutique fashion to dynamic fitness to orthodontics, and engaging events both day in and day out. This town center is a place for strong connections and making memories. So if you need something, you can get it from the Reston Town Center. It's open from 10:00 am to 8:00 pm. There's also a good parking space for you, so enjoy your time. Attend events, shop and dine, and have some ice skating and fun.

Northern Virginia leaders to launch fundraisers for victims.

I read from the news that the Northern Virginia leaders will launch a fundraiser to help the Syria and Turkey earthquake victims. I am glad that the leaders in Virginia are taking these steps to assist those devastated by the earthquake. What happened in Turkey and Syria is heartbreaking, so I'm glad McKay supports the move to help them. McKay said he is proud to join the community that rallies to help people in need regionally and internationally. The goal is to raise $25,000 that will be used to purchase over eight tons of food. Read more.

Link to maps

Reston Town Center 11900 Market St, Reston, VA 20190, United States Head south on Explorer St toward Market St 0.1 mi Turn left onto Bluemont Way 0.3 mi Turn right onto Reston Pkwy 0.1 mi Use the left 2 lanes to turn left onto Sunset Hills Rd 1.4 mi Turn left Destination will be on the right 0.1 mi Stang Family Orthodontics 11150 Sunset Hills Rd Suite 120, Reston, VA 20190, United States

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bombayvelvets · 1 year ago

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real-estate-expert · 2 years ago

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15 Must-Try Restaurants in Reston, VA: Where the Reston Locals Eat

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alexar60 · 4 years ago

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L’hôtel particulier (25)

Les premiers chapitres sont disponibles sur ce lien

Chapitre 25 : Amoureux

Les orages se succédèrent si bien que Tatiana rentra tardivement. J’étais couché mais ne dormais pas. La porte s’ouvrit, elle apparut sans allumer afin de ne pas me réveiller. Toutefois, je demandai s’il s’agissait bien d’elle car j’avais encore en mémoire avoir été dérangé par un fantôme à la recherche du Joseph.

- Oui, dit-elle avant de s’étendre auprès de moi. Ta journée s’est bien passée ?

- Bien sûr, j’ai avancé sur le projet.

Je préférai ne pas parler de la visite de mes défunts parents. Elle donna quelques nouvelles des siens. Ils allaient plutôt bien espérant venir après l’accouchement. Tatiana colla la tête sur mon terse. J’entendis son aspiration humer ma poitrine et sans me prévenir, elle commença à jouer avec mon sexe, le branlant délicatement. Je n’osai lui demander d’arrêter tellement l’excitation grimpa en flèche.

Doucement, elle embrassa mon ventre avec tendresse puis, sans retenue, une fois que mon membre fut raide et gorgé de sang, elle le caressa du bout des lèvres avant de pénétrer le gland dans sa bouche. Elle me suça goulument. Tout en caressant sa chevelure, j’exprimai quelques gémissements. De son côté, mon amie se mit plus à l’aise formant un équerre entre nos deux corps. Sur le coup, je ne vis pas sa jambe levée. Mais de temps en temps, elle arrêtait la fellation utilisant sa main pour caresser mon chibre ainsi que mes testicules.

Lorsque je l’entendis râler, je tournai la tête afin de la regarder. Elle sembla perdue dans une masturbation provoquée par son autre main. Je caressai un de ses seins, jouant avec le téton quand, je crus apercevoir une silhouette entre ses cuisses. Celle-ci mouvait au rythme de ses petits soupirs. Puis, elle recommença à lécher mon sexe, l’aspirant jusqu’à faire jaillir ma semence qu’elle garda dans la bouche. D’ordinaire, elle acceptait que nous partagions ce nectar par un baiser, mais cette fois-ci, elle se positionna sur le dos, leva les jambes et caressa sa chatte que je devinai humide. Seulement, après un temps de réaction, je réalisai qu’elle ne se masturbait pas ; ses mains étaient en train de parcourir sa poitrine.

La silhouette venait en elle lui provoquant ses spasmes brutaux. Elle remuait comme poussée par cette ombre. Dès lors, malgré son orgasme, malgré le plaisir qu’elle prenait, j’allumai une lampe de chevet. La silhouette disparut en un éclair laissant à la place, une tache sombre sur le mur. Tatiana resta allongée, essoufflée, elle reprenait ses esprits puis s’endormit comme une masse. Je décidai donc de la bercer, nettoyant au passage un filet de mon sperme qui brillait sur son menton.

Après avoir dormi lové contre son dos, je me levai le premier. Ma conjointe ne se réveilla pas. Je l’admirai dans cette position, recroquevillée comme pour protéger son ventre, notre futur enfant. Sa poitrine gonflait et dégonflait à vue d’œil. Son visage était magnifique, souriant, rayonnant. Je quittai le lit mais au moment de sortir, juste après m’être habillé, je fus pris de torpeur en découvrant sur le lit une rose bleue.

La fleur reposait aux pieds de Tatiana. Elle était d’un bleu si naturel qu’on ne pouvait croire qu’elle était peinte, car les roses bleues n’existent pas. Je pris la tige évitant de me piquer puis descendis dans la cuisine où je m’assis posant la rose à côté du verre dans lequel il y avait la première fleur.

Elles étaient similaires, identiques. Elles se ressemblaient tellement qu’on devinait la même provenance. Je réfléchis sur l’origine de ces roses. Puis après avoir préparé mon café, je me dis qu’il s’agissait surement d’une coïncidence et que cette dernière fleur fut achetée par mon amie elle-même. Cette nuit, il faisait trop sombre pour la voir dans la main de Tatiana quand elle entra dans la chambre.

Les yeux moins brumeux, j’eus un petit moment de nostalgie. A notre premier rendez-vous, Tatiana m’attendait gentiment assise dans un café près de son domicile. J’étais venu en tenant une rose dans la main. J’avais acheté la fleur à un marchand ambulant qui sortait d’un restaurant. Elle montra un large sourire tout en signalant que ce n’était pas la peine. Puis, elle caressa sa nuque cachée par ses longs cheveux bruns. Tout en approchant, j’admirai sa tenue à la fois jeune et sportive. C’était un simple débardeur blanc, une jupe en jean et des chaussures en toile.

Je m’assis en face après avoir offert la rose encore emballée d’une feuille de plastique. Elle respira son parfum puis la posa à côté de son verre. Elle gardait toujours le sourire, un brin timide, un peu coquin et heureuse que nous soyons si proche. Au bout d’un certain temps, je répondis à ce sourire en prenant sa main.

Avant ce jour, elle n’était qu’une passade. Elle était juste une fille rencontrée lors d’une soirée dans un bar dansant. Nous avions seulement dansé, discuté. Elle a ri à mes blagues, elle accepta un verre, nous avions encore dansé et je lui laissais gentiment mon numéro de téléphone en précisant qu’elle pouvait m’appeler quand elle le souhaiterait.

La coïncidence fut troublante quand je croisais Tatiana dans un supermarché dans la même semaine. Elle soupesait des melons en vérifiant s’ils étaient mûrs. « Choisissez celui-ci !» murmurai-je en présentant un fruit bien ferme. Elle me reconnut et blagua au sujet de mes compétences sur les melons. Après s’être volontairement croisés dans plusieurs rayons, nous continuâmes nos courses ensemble. En sortant du magasin, elle proposa ce premier rendez-vous.

C’est drôle, mais je réalisai que mon premier rencart avec Marion se passa dans des conditions similaires. Elle attendait dans un troquet près de l’université. Il faisait chaud ce jour. Elle portait un simple T-shirt blanc ainsi qu’une jupe culotte et des baskets. Je la connaissais grâce à Léopold qui nous avait présenté pendant une soirée étudiante. Je connus quelques filles avant elle. Et puis, il y a eu ce rapprochement un soir. Je l’avais ramenée chez elle, elle m’avait invité pour un dernier verre et je suis resté pour la nuit.

Sans nouvelle pendant deux jours, Marion m’appela et proposa de se revoir dans ce troquet que nous fréquentions. Elle se montra timide alors qu’elle ne l’était pas. Elle me sourit et coupa notre conversation remplie de banalités par un : « Et maintenant, on fait quoi ? »

J’étais resté scotché, je la regardais silencieusement. Elle attendit ma réponse, but un verre puis réitéra sa question.

- Soit nous restons amis, soit on va plus loin, affirma-telle.

Je répondis par un hochement de tête. Son visage devint sérieux. Elle baissa les yeux pour observer le contenu de son jus de fruit, puis elle regarda autours de nous. Il n’y avait pas grand monde mais suffisant pour ne pas se sentir épié.

- Je vais aller aux toilettes. Je te propose de m’y rejoindre ou de rentrer chez toi. Ainsi, je saurais.

- Je pourrais en profiter et te larguer derrière.

- Tu n’es pas comme ça, dit-elle en riant.

Elle se leva, je regardai ses formes se déhancher à chaque mouvement. Elle tournait naturellement le cul comme un mannequin de haute couture. Elle poussa la porte indiquée : réservé aux hommes. Après avoir inspiré un grand coup, je me levai et la rejoignis. Elle m’attendait la jupette remontée jusqu’au ventre. Assise sur un trône, les jambes écartées, elle exhibait sa toison sans savoir si quelqu’un d’autre allait entrer avant moi. Contrairement à Tatiana et sans mauvais jeu de mot, Marion était très culottée.

Dès lors, Marion et Tatiana se mélangèrent dans mes pensées. Je passai d’un souvenir à un autre sans prendre compte de la notion de temps. Aussi, je me remémorai une course avec Tatiana sous la pluie pendant que nous traversions une ruelle jusqu’à chez moi. Puis, dans cette même ruelle, je me rappelai avoir baisé avec Marion. L’une courrait, le visage trempé, elle riait malgré la pluie diluvienne. L’autre se colla au mur, penchée, elle tendit les fesses et soupira au moindre contact de mes lèvres sur sa peau. Le souvenir de Marion cherchant un livre dans les rayons de la médiathèque se mêla à celui de Tatiana me cherchant entre ses mêmes rayons.

La machine à café me sortit de ma mélancolie. Elle ne faisait plus de bruit signe que la boisson était prête. Je me servis une tasse et me rassis après avoir pris quelques galettes de maïs. Tatiana entra dans la cuisine. Elle s’arrêta devant la porte et me regarda avec des yeux remplis de larmes et de désespoir. Sa jolie peau était anormalement blanche, ses joues soudainement creuses, ses cheveux suintaient une sorte de sueur. Elle demeura immobile avant de dire une phrase qui me terrifia :

- Je suis en train de perdre le bébé !

Malgré la chemise de nuit, je remarquai du sang couler le long de ses jambes faisant un large trait vertical jusqu‘à ses chevilles. Le tissu de son pyjama se colora d’une énorme tache brune à hauteur de son bas-ventre. Je me précipitai jusqu’à elle…à temps pour l’empêcher de tomber. Pendant ce temps, les roses bleues venaient brusquement de faner.

Alex@r60 – février 2021

#Alex@r60 #texte #nouvelle #l'hôtel particulier #fantasy #fantastique #french #français #chapitre 25

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christophe76460 · 2 years ago

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EZ37M

QUE REGARDES-TU ?

Jean 5.2 - Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.

Quelle histoire ! Et je vous invite à la méditer. Je ne peux m’empêcher de penser à toutes ces personnes abritées sous les portiques qui attendaient jour après jour leur miracle. Nous pouvons imaginer la frustration monter dans le cœur de toutes ces personnes qui n’avaient pas pu se jeter à temps dans la piscine quand l’eau était agitée afin d’être guéries. Cependant, elles demeuraient là, espérant toujours voir l’eau un tant soit peu bouger pour se jeter la première. Triste non ?

Cette piscine, appelée piscine de Béthesda, avait cinq portiques. Les portiques étaient des sortes de colonnades sous lesquelles le peuple pouvait rester protégé du temps et de la chaleur du soleil. Les gens attendaient donc là, protégés, des heures, des jours, des mois, voire des années, afin de tenter de vivre la restauration dans leur âme et leur corps. A l’instar de ces personnes, ne restons-nous pas parfois dans nos milieux protégés à attendre que le miracle se manifeste. Nous sommes là, à attendre et attendre encore ! Combien d’entre nous fixe la piscine ?

Cette piscine peut représenter notre croyance pour recevoir la bénédiction. Cela peut être le serviteur untel, ayant un « grand ministère » qui viendra dans notre communauté, dans notre lieu et apportera enfin la solution à notre situation. Je me demande parfois ce qui se serait passé si toutes les personnes qui étaient autour de cette piscine avaient levé les yeux vers Jésus quand il s’est approché de cet homme qui, je vous le rappelle, était malade depuis 38 ans. Auraient-ils été tous guéris ? Je crois que oui car ils auraient enfin fixé leur regard sur Celui qui est la solution.

Les cinq portiques peuvent aussi faire penser aux cinq sens. Ces cinq sens étaient leur semblant de sécurité pour visualiser la piscine à tout instant. Pourtant, nous ne sommes pas appelés à marcher par la vue ! 2 Corinthiens 5.7 nous dit : « Car nous marchons par la foi et non par la vue ». Ne devrions-nous pas être à l’écoute de la Parole de Dieu ? Romains 10.17 : « Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu ». Et si nous nous laissions toucher par Jésus ? Matthieu 8.3 : « Jésus étendit la main, le toucha… ». De plus, le Seigneur nous invite à goûter à sa bonté ! 1 Pierre 2.3 : « Si vous avez goûté que le Seigneur est bon ». Quant à sentir : La bonne odeur vient du sacrifice de Christ, « Christ, qui nous a aimés, et qui s’est livré Lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur » (Ephésiens 5.2).

Vous remarquerez que quand Jésus va à la rencontre de cet homme, Il lui demande s’il veut être guéri. Question surprenante, vous ne trouvez pas ? Réponse encore plus surprenante, celle de cet homme qui explique qu’en fait, il n’arrive jamais à aller assez vite pour plonger dans la piscine et ainsi être guéri. Cet homme avait toujours les regards sur la piscine. Pourtant Jésus, le Seigneur des seigneurs, était là devant lui avec la solution, la guérison.

Aujourd’hui, le Seigneur s’arrête sur ton chemin. Détourne ton regard de la piscine et écoute-Le te dire : « Veux-tu être guéri, veux-tu être restauré ? ». Ne commence pas à lui expliquer tout ce qui t’empêche de vivre cette bénédiction mais écoute-Le te dire cette Parole : « Lève-toi, prend ton lit et marche ».

Ne reste plus là à attendre, ne sois plus prisonnier de tes sens (tes colonnades), de ton semblant de sécurité, ne fixe plus la piscine mais regarde à Jésus, lève-toi ! Ne reste plus couché sur ce lit de souffrances, de désolations et marche ! Marche, avance, ne manque plus le but. C’est le temps pour toi d’entrer dans ta véritable destinée.

Bonne réflexion.

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thecazagroup · 5 months ago

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COMINGSOON

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baishayuinjapan · 4 years ago

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22/05 : On mange quoi au Japon ?

Une de mes grosses surprises après une demi année au Japon est la nourriture. Le Japon est très densément fourni en matière de restaurant et cela s’explique par la grande variété de plats qu’on peut trouver, ainsi que par l’amour qu’ont les Japonais pour la nourriture. Contrairement à la France, il est possible de manger très correctement pour une dizaine d’euros et les Japonais ont globalement tendance à accepter une grosse dépense s’il s’agit de bien manger.

Notez que la presque totalité de ces photos ont été prises par moi même, au restaurant ou lors d’une séance de cuisine chez moi.

La base au Japon, c’est le bento, assemblage de 5 ou 6 petits plats différents accompagné de riz, le tout placé dans une boite compartimentée plutôt esthétique et bon marché (entre 5 et 10 euros). Le soucis, c’est qu’on ne sait jamais ce qu’on mange donc gare aux surprises !

Un autre incontournable, le ramen. Il s’agit d’un bouillon de nouilles dans lequel on peut trouver de la viande (chashu), de la ciboule (negi), des pousses de bambous (menma), de l’oeuf, du naruto (un pâté de poisson blanc et rose), du nori... les déclinaisons sont assez nombreuses : le bouillon peut être au miso ou à la sauce soja, plus ou moins épicé, gras, fort en dashi (ce qui sert de base au bouillon)... de même, les nouilles peuvent être plus ou moins cuites ou épaisses (les ramen de Sapporo ont généralement des nouilles un peu plus épaisses). Dans certaines chaines, cela peut faire l’objet d’une customisation personnelle en fonction de vos goûts.

Les Japonais aiment beaucoup les nouilles. Une autre sorte est ce qu’on appelle Udon, ce sont des nouilles de blé assez épaisses qui se mangent de plusieurs façons : tout simplement en bouillon chaud accompagné de tenpura par exemple

Ou bien dans un bouillon de curry accompagné de viande de boeuf. On appelle ça un Kare udon. Le restaurant dans lequel j’ai pris l’image ci dessous l’accompagne avec des brochettes de Oden. Plat d’hiver, c’est généralement des mets assez spéciaux qui cuisent longtemps dans un bouillon de dashi. Il y a ici du konnyaku (gelée de konjac) et du daikon cuit (radis). Bizarre hein ?

Pour rester dans le domaine du curry, on en trouve également beaucoup ici. C’est apparenté à un plat occidental car il a été introduit au Japon au 19è siècle, à un moment où l’Inde était sous administration anglaise. Les curry ici sont assez peu épicés et simples à faire

Retournons dans le domaine des nouilles et passons au Soba. Ce sont des nouilles de sarrasin qui se mangent de plusieurs façons également. La première est la plus simple : froids à tremper dans une sauce soja, le tout en général dans un beau plateau en bois et en quantité !

La seconde, cuits en yaki soba. On peut trouver ça dans des teppanyaki (qui contrairement n’implique pas forcément un cuisiner privé. Il s’agit en fait d’une table de cuisson devant vous (teppan) sur laquelle votre nourriture cuit ou reste chaude

Une autre façon de les manger est en tsuke soba. Les soba sont également servis froids mais accompagnés d’une bouillon de viande et de bambou dans un bol à côté. On trempe les nouilles froides dedans pour les manger ce qui fait un drôle de chaud/froid dans la bouche

Vous commencez à le comprendre, les Japonais aiment beaucoup la viande. Très difficile d’être végétarien ici, personnellement j’ai décidé de ne pas me priver au restaurant (donc tous les midis) mais de manger exclusivement végétarien le soir (oui ça fait quand même beaucoup). L’expérience carnivore d’excellence reste le yakiniku, littéralement “viande cuite”. On en trouve énormement au Japon, la plupart avec des forfaits “boisson et viande à volonté” et pour une 15aine d’euros minimum (on en a fait à 50 euros, tout dépend de la qualité souhaitée). Un petit teppan devant vous et vous demandez la viande que vous voulez

Les katsu sont également très populaires au Japon. Le plus célèbre est le tonkatsu, “katsu” est l’abréviation de “cutlet” signifiant côtelette” (et pourtant je n’ai jamais vu d’os, c’est même généralement de la viande tendre), et “ton” est une des manières pour dire “porc”. C’est donc du porc pané et frit, accompagné de riz, de chou, soupe miso et d’une sauce spéciale. Un de mes plats préférés au Japon !

On peut trouver des dérivés comme le gyuukatsu qui consiste à du boeuf pané et frit. J’en ai mangé une seule fois, mais c’était excellent avec 4 façons de le manger : sauce curry (en haut à gauche), et en bas de la sauce soja, du poivre/sel et de la sauce Worcester

En terme de snacks au Japon, il y a également de tout car les Japonais adorent grignoter et manger sur le pouce. L’incontournable est clairement les onigiri, ces fameuses boulettes de riz fourrées à divers goûts (thon mayonnaise, saumon, prune, algue, natto...). C’est extrêmement populaire au Japon, on en trouve le plus facilement au konbini (épicerie de quartier, voir photo) mais on peut en avoir de meilleure qualité dans des comptoirs spécialisés

On trouve aussi une des spécialités d’Osaka, les takoyaki, littéralement “poulpe cuit”. Ce sont des boules de pâte, généralement bouillantes à se cramer la bouche, contenant un petit bout de poulpe dedans et agrémenté d’une sauce un peu acide. Ci dessous une photo de la tako party organisée par un collègue chez lui et sa femme : on a fait cuire nos propres takoyaki sur l’appareil qui va bien (et qu’on ne trouve pas chez nous pour sûr)

Restons à Osaka et une autre de ses spécialités dont j’ai parlé, les okonomiyaki, “faire cuire ce que vous aimez”. Issus de la cuisine populaire, c’est à la base une pâte préparée à l’aide des restes de nourriture, de l’oeuf, du chou, cuit au teppan et recouvert de sauce (sucrée ou pimentée) et/ou de mayonnaise. Hiroshima les prépare à sa façon, plus structurés et en couches. On retrouve souvent de la bonite séchée au dessus ce qui donne une drôle d’impression car sous l’effet de la chaleur, ces feuilles fines de poisson se tordent indéfiniment!

Les Japonais aiment aussi les hambagga, (hamburger). Mais attention, car ici hamburger et burger sont deux choses complètement différentes. Commandez un burger et vous aurez ce que vous pensez. Mais si vous commandez un hambagga, voilà ce que vous mangerez, un steak haché (en l’occurence j’ai pris un cheese hamburger, donc steak haché et un bout de fromage au dessus) :

En hiver, l’équivalent de la fondue est le nabe (signifiant casserole), une espèce de pot au feu préparé avec un bouillon...de dashi vous l’aurez deviné (pour démystifier ce bouillon, saché qu’il est réalisé à l’aide d’algues et de poisson séchés en général. C’est ce qui donne le fameux goût umami à la cuisine Japonaise). Dans ce bouillon on vient donc placer pleins d’ingrédients différents (chou chinois, viande, champignons, nouilles, tofu...) et chacun vient piocher ce qu’il veut à l’intérieur.

Ensuite, les donburi sont une grande famille très classique de plats, constitués d’un grand bol de riz vinaigré par dessus lequel on peut avoir plein de choses différentes relativement simples. Cela donne naissance au tendon (donburi de tenpura), gyuudon (de boeuf), oyakodon (voulant dire parent-enfant, car il est constitué de poulet et d’oeuf), ou encore de katsudon (si vous avez suivi, vous référer à la section “tonkatsu” et vous aurez une idée du résultat).

Une des choses les plus bizarres au Japon est pour moi le natto. C’est quelque chose très consommé mais que les européens ont du mal à apprécier. Il s’agit de graines de soja fermentées ayant une apparence et une texture gluante, visqueuse et une odeur très forte. Les Japonais en raffolent, certains en mangent même au petit déjeuner tandis que j’ai l’impression de souiller ma bouche dès que j’en prends un peu!

Terminons ce post par une touche sucrée! Ce sera assez rapide en réalité, le Japon n’étant pas un pays à dessert. On fait d’ailleurs rire nos collègues Japonais dès qu’on évoque (et exauçons) notre souhait de vouloir finir sur un dessert. Le dessert le plus original et se rapprochant le plus d’une douceur européenne est le taiyaki, une gaufrette en forme de poisson et fourrée généralement au anko qui est une pâte de haricot rouge sucrée (c’est également populaire en Chine et franchement pas si mauvais!)

Toujours à base de haricot rouge, les dorayaki sont 2 petits pancakes collés entre eux par du anko. Mais les Japonais ont aussi plein de desserts à eux, généralement très fantaisistes qui relèvent plus de la décoration que de la nourriture, en témoignent ces glaces ou ce petit mochi (boule de riz gluant sucrée) qui vous fait une petit sourire :)

Voilà, il y a donc beaucoup à dire sur le sujet de la nourriture mais je pense avoir brassé les mets incontournables du Japon, du moins ce que j’en connais! Il y a encore des choses à dire car je n’ai pas parlé des célèbres sushi, gyoza, tenpura et yakitori, ou ni même parlé des alcools mais ce sera l’occasion pour un nouveau billet dans quelques temps :) Prochaine étape pour vous maintenant : venir déguster tout ça ici. A très vite !

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