#resserrement
Explore tagged Tumblr posts
lecoavenir · 5 months ago
Text
Comment marche l’assouplissement quantitatif ?
Voix : Dorothée Rouzet et José Bardaji Texte : Dorothée Rouzet et José Bardaji J’aimerais savoir : comment marche l’assouplissement quantitatif ? L’assouplissement quantitatif, ou QE, c’est-à-dire « Quantitative Easing » en anglais, fait référence à une politique monétaire non-conventionnelle men��e par une banque centrale. Elle la met en place lorsque ses outils plus conventionnels ne marchent…
0 notes
chic-a-gigot · 8 months ago
Text
Tumblr media
La Mode nationale, no. 24, 11 juin 1904, Paris. 1. Corsage de dîner pour jeune femme ou jeune fille. 2. Corsage de réunion pour jeune femme ou jeune fille. 3. Corsage léger pour jeune femme ou jeune fille. Bibliothèque nationale de France
(1.) Corsage de dîner pour jeune femme ou jeune fille. Très simple par lui-même, en toile de soie soufre, ce corsage prend tout son cachet du col très riche qui l'accompagne; ce col est en mousseline incrustée de très belle dentelle, et volanté de mousseline ourlée de dentelle; le volant est monté au col par une rivière de jours. Haut de corsage en mousseline plissée. Le poignet pareil au col.
(1.) Dinner corsage for young woman or girl. Very simple in itself, in sulfur silk canvas, this bodice takes all its character from the very rich collar that accompanies it; this collar is in muslin inlaid with very beautiful lace, and ruffled in muslin hemmed with lace; the ruffle is mounted on the pass by a river of days. Pleated chiffon bodice top. The wrist is the same as the collar.
Matériaux: 4 mètres de toile de soie.
(2.) Corsage de réunion pour jeune femme ou jeune fille, en louisine ivoire montée à fronces serrées autour d'un riche empiècement de guipure sur lequel un fin galon de soie brodée dessine des dents. L'encolure est froncée, le devant est un gros pli boutonné. Les fronces prennent le haut de la manche dont le bouffant se resserre dans un poignet pareil à l'empiècement.
(2.) Reunion bodice for a young woman or young girl, in ivory louisine mounted with tight gathers around a rich guipure yoke on which a fine braid of embroidered silk outlines teeth. The neckline is gathered, the front is a large buttoned pleat. The gathers take up the top of the sleeve, the bouffant of which tightens into a cuff similar to the yoke.
Matériaux: 4 mètres louisine.
(3.) Corsage léger pour jeune femme ou jeune fille, en mousseline blanche très claire, rayé en diagonale d'entre-deux de dentelle jaunie. Des entre-deux plus larges soulignent l'encolure, dessinent un empiècement rond, se croisent au haut de la manche et sur le poignet. Sous ces entre-deux est posé en transparent un ruban de la teinte qui plait: ciel, rose roi, citron, mandarine, etc. Cravate-plastron en liberty du même ton que le ruban choisi.
(3.) Light bodice for a young woman or girl, in very light white muslin, diagonally striped with yellowed lace in between. Wider inserts highlight the neckline, create a round yoke, and cross at the top of the sleeve and on the wrist. Under these spacers is placed a transparent ribbon of the shade you like: sky, royal pink, lemon, tangerine, etc. Liberty bib tie in the same tone as the chosen ribbon.
Matériaux: 2 mètres de mousseline blanche.
115 notes · View notes
camisoledadparis · 18 days ago
Text
saga: Soumission & Domination 369
Octobre USA - Novembre en France
Pendant le WE j'aurai à nouveau l'occasion de tester ses capacités. Il se défend bien !!
Je me ferais aussi sa bande de copains aussi chauds que lui. Dane s'y essaye aussi. Pour lui c'est une première que de baiser aux côtés de son petit frère. Mais après quelques hésitations, il n'a pas pu résister à la vue des 8 jeunes corps musclés, imberbes dont les peaux brillaient d'un voile de sueur.  Fin de partie au lever du soleil !! La triplette est ravie de cette fin de séjour en Californie.
Quand nous renvoyons mes " petits frères " en France, ils nous arrachent la promesse de faire venir leurs nouveaux amis en France pour passer noël et le nouvel an.
Duke est aussitôt d'accord, Dane accepte aussi. Pour Tyler je pense qu'il sera OK aussi.
En attendant je passe les WE à visiter le pays avec Dane et Tyler. Souvent nous sommes accompagnés d'une bonne dizaine de potes.
Ça été le cas quand nous avons fait du rafting sur le Colorado. Vraiment impressionnant de se faire secouer sur le pneumatique entre deux parois d'une hauteur vertigineuse.
De même lors d'une sortie sur le lac Powell. Dès notre arrivée et les bagages déposés à l'hôtel, nous avons loués des petits bateaux à moteur pour voguer sur le lac. Lac de barrage sur le Colorado, ses bords sont très déchiquetés et s'il y a de grand " plages ", il y a aussi des à-pic qui nous permettent de faire de superbes plongeons. Le milieu naturel c'est quand même plus excitant que la piscine chlorée.
Evidemment, nous ne sommes pas partis sans kpote ni gel !! Du coup quand on se trouve une plage un peu cachée, c'est touze au soleil.
Le mélange nageurs et fighters (combattants) n'as pas mis longtemps à prendre et l'ambiance est trop bonne, j'adore.
Sans parler de compétition, c'est une franche émulation qui agite les deux groupes. Si les adeptes des sports de combats sont longboard, les nageurs ont gardé les maillots réduits du plongeon. Comme s'il fallait ça pour exciter la partie adverse !! Les maillots moulent des bites et surtout les glands circoncis, pire qu'une deuxième peau. Le nylon lâche des shorts de surf pointe en avant sous la pression interne.
J'apprends alors que c'est une première que les deux " groupes " sortent ensemble. Dane et Tyler me dit que je suis leur point commun.
Je le sens bien quand en fin de touze, ils se servent de moi comme point focal d'un gang bang improvisé.
Sans parler que je ressente la même chose que Ric lorsque je suis organisateur de ce genre de plan, j'apprécie le fait que je sois le mec qui les ai amené à se lâcher pareillement.
Ils alternent dans ma rondelle et je prends plaisir à resserrer comme à détendre mon sphincter afin que chacun soit serré au plus confortable. Les deux blacks du groupe apprécient cette capacité alors que je laisse passer facilement leurs gros glands avant, d'une première fois les bloquer aussitôt dans leurs progressions puis de les laisser m'enfiler jusqu'aux couilles et de les bloquer là à nouveau.
Ce sont aussi les mieux montés même s'ils n'atteignent pas les dimensions de mes clients. Mais 23 et 23+ par un bon 6,5 c'est quand même très efficace !! Les gémissements que je n'arrive pas à retenir en font foi !!!
Le dernier à passer me fait juter les litres de sperme dont ses prédécesseurs avaient stimulé la production.
Quand je reçois les litres de sperme stockés dans leurs couilles, ça coule de part et d'autre sur le sable qui absorbe. Heureusement que nous sommes dans un coin isolé, car les mecs crient fort leurs plaisirs quand ils jutent.
Moi, je me serais pris ce coup là, mes 12 comparses et certains plus d'une fois, trop trop bon ça !
Le 13 novembre, cela fait une heure que je suis dans le bassin de plongeon quand Dane déboule et m'appelle avec de grands signes. Je plonge et quand j'émerge, il est sur le bord. Il me tire de l'eau, me serre dans ses bras et me dit qu'il y a eu des attentats à Paris et qu'il y a plusieurs centaines de mort.
Aussitôt je pense à mes amis Parisiens. Kev et Henri, Bogosse et sa Moitié et aussi à Alban plus tous les autres qui peuvent y être sans que je le sache d'où je suis !
Le coach comprend que j'interrompe mon entrainement et me dit d'aller voir tout de suite si mes amis sont indemnes.
J'enfile mes vêtements par-dessus mon maillot et courre jusqu'à ma chambre pour ouvrir mon ordinateur. Sur mon téléphone déjà 10 messages ! PH et Ludovic me rassurent à moitié. Ils ont déjà contacté tous nos amis et ils sont tous sauf, mais il manque à l'appel Alban et Ric et Kev qui étaient au Bataclan pour écouter un concert de rock.
Sur Facebook, de nombreux films me montrent les horreurs qui se sont passée en France. Autour de la salle de spectacle on ne voit que les gyrophares qui percent la nuit.
J'appelle André. Sa voix est calme et posée bien qu'il sache déjà que son fils (Ric) n'est pas joignable. Il me remercie de ma sollicitude et me promet de m'appeler dès qu'il aura des nouvelles.
Henri est dans la même situation. Malgré toutes ses connaissances, il n'arrive pas à savoir si Kev est sauf.
Il s'en suivra quelques heures d'angoisse le temps que la police donne l'assaut et qu'enfin, sur Facebook, Alban nous assure qu'ils sont vivants tous les trois mais à l'hôpital où Ric se fait extraire une balle de son bras gauche et Kev d'une dans un mollet.
Marc me contacte du Japon où il est en déplacement. Ça le rassure que je ne sois pas seul. Il comprend quand je lui dis que je saute dans le premier avion.
Dane a pris les devants et de son côté a déjà retenu par internet deux allers pour Paris départ dans 3h ! Il ne veut pas me laisser voyager seul !
Tyler qui a appris la chose nous rejoint. Embrassade, geste de réconfort, il nous conduit à l'aéroport.
Dans l'avion impossible de dormir. Les hôtesses et stewards très gentils, ne savent comment nous rendre service. Je ne suis pas le seul français à rentrer en urgence !  A Roissy, alors que nous allons prendre un taxi, je vois Henri qui nous fait signe. Nous nous engouffrons dans sa voiture et filons sur Paris. Il nous donne les dernières nouvelles, mes deux amis vont bien et devraient sortir rapidement.
Nous filons directement vers la Salpêtrière. L'entrée est encore très encombrée mais grâce à Henri nous passons rapidement les contrôles et je retrouve Ric alors qu'Henri passe dans la chambre à coté retrouver Kev.
Séquence émotion !! Je le serre dans mes bras et le traite d'imbécile à nous avoir fait aussi peur. Il me dit que la dernière fois c'était moi qui leur avait foutu la trouille (cf. mon accident de moto). Dans la chambre, André et Alban sont là aussi. J'ai la surprise de voir Ludovic.
Embrassades, Alban m'explique que Ric s'est couché sur lui et c'est pour ça, qu'il a pris la balle qui aurait dû le toucher.
Ric rigole et dit que si la balle l'avait touché, lui, elle aurait fait beaucoup plus de dégâts vus l'épaisseur du mec.
Ludovic me dit qu'il est monté à Paris avec PH qui est dans la chambre d'à côté.
Je lui roule un patin grave et part voir Kev.
Je le trouve avec Henri et PH. Il est heureux de me voir. On se serre fort, on s'embrasse. Il me dit que ce n'était pas la peine de revenir puisqu'ils vont bien.
Je me recule et le regarde avec sa jambe plâtrée. La balle qui lui a perforé le mollet lui a aussi cassé le tibia.
Il tape sur son plâtre et me dit que comme ça je ne serais plus le seul à avoir une broche dans la patte ! Puis il me demande qui est la personne qui m'accompagne.
Dane, en retrait, s'avance et se présente. Kev le déshabille du regard et siffle avant de me dire que j'ai toujours aussi bon goût.
J'ai la surprise de voir Dane rougir. C'est la première fois que je le vois intimidé !
Malgré mon envie de rester plus longtemps avec eux, il est déjà tard et ils sont fatigués. Henri nous conduit jusqu'à l'appartement de Kev en nous disant de nous y installer tous les 4 et qu'il nous attend chez lui dans une demi-heure pour le diner.
Arrivés dans le duplex, on se fait un gros gros câlin avec bien sûr émissions de spermes.
Du coup on est un peu en retard chez Henri. Il ne nous en veut pas et nous dit que nous allons directement au restaurant. Pas de raison de changer nos habitudes !!!
Dane est ravi, il n'était jamais venu en France et ne connais les grands restaurants que de nom.
Alors que nous sommes en sportwear, le fait que nous soyons avec Henri règle le problème de l'entrée. La salle est loin d'être aussi remplie que d'habitude. Du coup les serveurs sont à nos petits soins ce qui impressionne encore plus notre américain.
Pendant le diner, nous ne pouvons nous empêcher de parler des évènements. Henri nous remercie encore d'être venus voir Kev. Je lui rappelle que son " fils " est quasiment un frère pour moi quand à Ric c'est pareil. Il me dit que rien que pour cela, il me doit une reconnaissance éternelle. C'est vrai que c'est moi qui ai mis Kev dans son lit, mais après c'est leur propre alchimie qui l'avait poussé à l'adopter comme Emma l'avait fait avec moi.
Retour à l'appart. Le décalage horaire nous rattrape et je m'écroule tout comme Dane.
Réveil, douche, comme d'habitude il n'y a rien à manger dans les placards de Kev !
On descend prendre un café croissant au bar du coin. La télé est branchée sur les chaines d'infos en continu et malgré le débit rapide des journalistes, Dane comprend avec les images.
Il nous dit que ça lui rappel l'ambiance de leur 11 septembre. Le patron qui entend ça nous offre les consommations. Faut dire qu'on est pas nombreux dans son bar ! A nous 4, on fait 50% de sa clientèle !!
Retour à la Salpêtrière. Sans que le calme soit revenu, la partie où mes amis sont soignés n'est plus dans l'effervescence de l'urgence. Avec mes trois acolytes, nous inondons de fleurs et de chocolats le service. Minces remerciements pour le dévouement avec lequel les équipes ont traité cet évènement.
Nos deux blessés vont bien même si pour Kev cela tient aussi au traitement analgésique. L'infirmière en chef nous annonce qu'ils vont pouvoir bientôt sortir. Tout le monde est content !
Avec la complicité de mes amis, nous arrivons même à soulager leur trop plein d'excitation. Rien ne vaut une bonne pipe prodigué par un mec un peu vorace !
Vu comme cela s'arrange pour eux, je rentre au blockhaus. Quand j'arrive l'immeuble qui colle à gauche est en travaux. Heureusement pour nous le bâtiment ne fait que 2 étages mais sa façade est plus longue. Sa cour colle la mienne et du coup je regrette de pas l'avoir acheté pour être tranquille. Faudra qu'on se renseigne sur le nouveau proprio.
En attendant je fais visiter Dane. Il trouve que nous avons bien tiré parti de ce vieil entrepôt. Il kiffe totalement nos deux hommes de service et me dit qu'il ne s'attendait pas à ça.
Le diner est délicieux et Dane se régale de nos plats typiquement français.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
24 notes · View notes
christian-dubuis-santini · 4 months ago
Text
Tumblr media
Comment ça la France va mal ? C’est juste que vous ne faites pas partie des hapifiou qui se tiennent du côté sucré de la sucette ! 🫶
(C’est en croyant qu’il peut duper le maître que l’esclave resserre le plus sûrement les chaînes de sa servitude).
23 notes · View notes
chicinsilk · 7 months ago
Text
Tumblr media
US Vogue November 1, 1965
R.I.P Anouk Aimée April 27, 1932/June 18, 2024. Beautiful on screen or off screen… Anouk Aimée's wide brown eyes, arched eyebrows, long moving mouth, in a pale and perfectly oval camellia face. Here she wears a white mink stole which tightens on one shoulder, leaves the other bare and ties on one side at the back. By Ritter Bros., from Saga Natural White Mink. Earrings: Harry Winston. Hairdresser Marc Sinclaire.
R.I.P Anouk Aimée 27 avril 1932/18 juin 2024. Belle à l'écran ou hors écran… Les yeux marrons écarquillés d'Anouk Aimée, les sourcils arqués, la longue bouche mobile, dans un visage camélia pâle et parfaitement ovale. Elle porte ici une étole en vison blanc qui se resserre sur une épaule, laisse l'autre nue et se noue sur un côté dans le dos. Par Ritter Bros., de vison blanc naturel Saga. Boucles d'oreilles : Harry Winston. Coiffure Marc Sinclaire.
Photo Irving Penn vogue archive
35 notes · View notes
impossiblyholyparadise · 4 months ago
Text
Suite de notre soirée dans l’anse de Paulliles...
Avec Bob, nous avons prestement rejoint les filles déjà installées comme chez elles sur la mini piste de danse du club voisin, et visiblement déjà attirant tous les regards et attentions.
Je ne dansais pas souvent, préférant regarder (un parfum de Candaulisme dans mon attitude(?) et aimait réellement voir Ana surtout lorsqu’elle pouvait trouver un beau et bon danseur avec qui la magie du rythme pouvait opérer...J’aimais les admirer. Je n’étais vraiment pas bon danseur et ne voulait pas priver Ana de ses plaisirs, de son plaisir...Elle aimait danser jusqu’au bout de la nuit dès qu’elle le pouvait...Moi, j’étais heureux, un verre à la main, à les regarder et admirer...Aucune jalousie...Que du bonheur...Oui, il m’apparaissait alors un indéniable parallélisme de forme entre le Candaulisme et la danse...
Laisser sa partenaire choisir son cavalier... ;  
La laisser être dirigée... ;
La laisser s’endiabler, aller au bout de son souffle, faire corps avec son partenaire, être enlacée, serrée par lui, être touchée, ...Bref oui beaucoup de similitudes me semblait-il en cet instant même.
Ana virevoltait et captait déjà tous les regards, assurément les envies ...
Pour l’instant elle dansait tout à tour quelques salsa et autre Mango endiablés de manière lascive avec tour à tour Clara et Laura, puis la soirée avançant et l’espace autour d’elles se resserrant, à trois...
Bob m’accompagna au début en partageant un verre au bar mais je me retrouvais seul rapidement car une de ses connaissances féminines de la plage et du jour l’avait invité à faire quelques pas sur un rythme et une musique tube de l’été...
Moi je me régalais réellement de voir Ana et nos nouvelles amies chalouper et onduler de leurs corps sublimes...
Je n’étais pas le seul d’ailleurs...
De nombreux aficionados s’aventuraient au plus près d’elles...
J’apercevais parfois, ce qui me faisait rire et même m’enchantait, quelques mains baladeuses taquinant les trois belles qui s’étaient maintenant tellement rapprochées qu’on aurait pu croire qu’elles ne faisaient qu’une...
Néanmoins à un moment, un des garçons présents près des filles, réussit à agripper Ana et à l’extraire du cocon des bras de Clara et de Laura qui continuèrent à danser tout en s’enlaçant tendrement et sensuellement...
Elles osèrent même un baiser intense qui loin de calmer les ardeurs des garçons dansant près d’elles, les virent littéralement être phagocytées par cinq ou six danseurs qui les encerclaient...
Elles furent ainsi acculées contre un mur et un peu isolées par le noir du bord de piste contrastant avec l’intensité des lumières festives éclairant le centre...
Ana dansait maintenant un peu à l’écart et sur la piste avec son cavalier, élégant et visiblement doué pour la danse...
Ils étaient réellement beaux...
Je souriais dès que je pouvais à Ana et elle me rendait ce sourire...
Manifestement elle prenait plaisir à danser avec ce jeune homme et à m’offrir, elle savait que j’appréciais, le spectacle de leurs corps enlacés et énivrés de musique.
A un moment, elle vint près de moi pour se rafraîchir et me présenter à son danseur du soir : « Daniel..., mon compagnon, mon chéri. Laurent, mon...mon partenaire de danse...Il danse super, tu as vu...Allez, on y retourne Laurent...Viens c’est un slow...Daniel nous rejoindra s’il veut... ».
Elle me donna un baiser appuyé dont je reconnaissais la saveur et surtout et aussi ce qu’il pouvait exprimer... : Laurent lui plaisait et elle ne comptait pas en rester à la danse...
On avait déjà vécu ce genre de trio sur un slow dans une boite libertine de notre région ...Je ne vous dis pas comment tout cela s’était terminé...
Bob ne revenant pas, au bout de quelques instants, je n’hésitais pas à les rejoindre sur la piste.
Ana avait manifestement déjà pris les choses en main comme elle savait si bien le faire et se frottait contre le sexe sûrement déjà tendu du jeune homme...
Pour être sûre de sa prise, elle tenait même fermement de ses deux mains ses fesses rebondies...
Ana savait toujours quand il fallait « ferrer » sa proie et prendre ce qu’elle devait prendre...
A mon approche, quasi à la toucher par derrière, je la vis se pencher à l’oreille du garçon malgré tout tendu (et pas que de son sexe...) pour, j’en étais certain, le rassurer et lui dire que je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire...
Le garçon devait être incrédule, aussi Ana lui roula-t-elle une pelle majestueuse et impossible à en comprendre le sens profond pour celui qui en était l'objet...Tout avait et prenait sens avec Ana...
Pour ma part, voir Ana aussi lancée et échauffée, fort de ce que l’on s’était dit sur nos vacances et maintenant de notre philosophie de vie et carrément de la liberté de notre vie sexuelle, je levais discrètement sa robe et vint insérer mon mât tendu à l’extrême par la situation dans son sillon fessier et me laissé guider au rythme suave et entrainante de la musique et des mouvements de son cul diabolique...
Ayant remarqué en m’approchant d’Ana que les copines de Bob avaient elles aussi été prises en main par quatre ou cinq jeunes et entreprenants partenaires, je poussais délibérément Ana et Laurent, son danseur du soir, par des coups saccadés de mon sexe impatient de conquête, vers les corps déjà entremêlés de nos voisins et voisines...
Les filles se retrouvèrent comme par enchantement au centre de nous les hommes et le rideau humain que l’on pouvait constituer faisait parfaitement obstacle à la vue des autres danseurs présents dans la boite qui de toute façon étaient manifestement eux aussi affairés et pris dans des tourments et autres ballets érotico-sexuels...
J’appris et ait eu confirmation par Bob le lendemain qu’en fait cette petite boite de nuit était devenue au fil des soirées de cet été là, un des lieux libertins, si ce n’est le lieu libertin le plus côtés de la Côte Vermeille...
Pas franchement étonnant au vu de comment évoluait la soirée, même si totalement insolite devant l’absence d’endroits habituels et dédiés à certaines pratiques des clubs libertins, ou même à quelconque information, allusion par des néons, des enseignes, des recommandations, des vestiaires, du personnel, des préservatifs, des douches ...
Oui, un club sauvage, totalement débridé, libre et libéré...
Un peu étrange et peut-être même risqué pour qui aurait pu s’y aventurer par mégarde mais sa petitesse en avait fait un de ses atouts et seuls les connaisseurs et habitués y venaient, limitant ainsi du coup les problèmes qu’il y aurait pu avoir...
Au centre de toutes les attentions, les filles flattées, caressées et pelotées de toutes parts avec leur acquiescement et consentement, manifestant surtout leurs envies, se mirent à genoux en tripode et commencèrent de leurs mains habiles à sortir les sexes impatients et brûlants de tous ceux qui les entouraient...
Je vis qu’Ana s’était même retrouvée totalement nue tandis que Clara et Laura n’avaient plus de haut...
C’est ainsi sept belles et magnifiques queues bandantes et entreprenantes que nos trois belle eurent à honorer, nous faisant tourner tout autour d’elles, de leurs bouches avides et de leurs mains expertes...
Une nouvelle fois Ana fut la première à se redresser et à se positionner contre le mur lors de ma visite dans sa bouche : « A toi l’honneur mon Amour d’ouvrir le feu.. Je t’aime... ! »
Elle m’indiquait ainsi, de même qu’aux autres que c’était maintenant en levrette qu’elle voulait qu’on la prenne...
Ses amies l’imitèrent partageant entre elles trois, des baisers aussi savants et puissants que passionnés, pendant que chacun des mâles les saillissait tour à tour ou leur faisait minette à volonté ...
Le jeu dura un certain temps et même Bob et sa dernière amie vinrent se joindre à la ronde...
Toutes et tous exténués, nous nous réfugièrent à l’aube naissante dans la cahute de la SNSM que Bob nous avait ouverte.
Nous nous sommes ainsi littéralement entassés pêlemêle, là où raisonnablement il n’y avait réellement de la place que pour deux, et jusqu’au petit matin les corps avachis se sont abandonnés dans une anarchique et irréelle orgie des sens et des corps...
Je m’étais pour ma part inséré au plus près et au plus profond du cul d’Ana qu’elle savait encore et si adroitement faire vibrer qu’elle m’en autorisait ainsi à bander dur jusqu'au bout de la nuit...
La nouvelle amie du jour de Bob aux courbes épanouies, généreuses et sensuelles, s'était invitée parmi nous et n'était pas en reste.
Un tempérament de feu dans une enceinte constituée de braises...
Je me souviens qu'elle me saisit la tête pour l'engloutir entre ses seins démesurés et m'inciter à en durcir les pointes contrastant tant avec les chairs moelleuse et opulentes de ses courbes...
Chacune de ses aréoles ressemblait à un clitoris brûlant et impatient de l'assaut de mes lèvres...
Je me souviens également que Clara et Laura vinrent nous offrir leurs sexes emplit de liqueurs spermatiques des jouissances qu’elles avaient connues tout au long de la nuit.
Nous avions réellement, stupidement et bêtement joué avec nos vies cette nuit-là dans l’insouciance de notre jeunesse et d’une épidémie de Sida qui pointait déjà le glaive de ses ardeurs mortifères et dévastatrices.
Inconscience et peut-être même et sûrement, honte à nous !
Heureusement il ne fut rien de dommageable pour notre santé et bien des années plus tard, tout à la fois bien conscient du bonheur que l’on ait eut de pouvoir vivre cette liberté sexuelle totale et débridée, nous sommes si heureux d’avoir été épargnés par tous ces fléaux qui malheureusement minent et restreignent parfois les audaces aventurières et libertines que nous permettait l’époque...
Non pas qu’il y ait moins de désirs ou de plaisirs de nos jours, on en parle assez fréquemment avec Ana dans nos échanges de mails et au travers des récits de ses aventures de Hot-Wife, mais bien que le registre des possibilités se soit vu avec bon sens et légitimité hors couple réduit.
Ainsi goûter au délire assez fou j’en conviens du partage de toutes les ardeurs et saveurs tout autant féminines que masculines d’une telle soirée orgiaque n’est plus aujourd’hui envisageable et surtout pas souhaitable...
Ce n’était d’ailleurs pas forcément bon, ni même un kiff personnel pour tout dire, mais d’une telle intensité érotique, un tel partage, une telle offrande que cela en constituait une expérience insolite et même vertigineuse.
Je me souviens encore aujourd’hui des lèvres épanouies, ouvertes, chaudes et maculées de saveurs de nos complices, ...
J’ai aussi partagé cette nuit là quelques fellations torrides pourtant si loin de mes pratiques avec Ana et d’autres, filles ou garçons, dans des délires érotiques sans fin qui nous avaient emportées au confins des possibles en matière de sexualité...
C’est aussi cette nuit-là que j’ai pu ressentir ce que pouvais être le dépucelage et ensuite la jouissance je dois l’avouer de mon propre cul...
Hétéro, bi, homo,... plus rien n’était ou ne pouvait être interdit à personne et nous n’étions tous que frénésie et envie sexuelles...
Plus tard, je recommencerais certaines de ces pratiques, il fallait peut- être que je les reçoive et vive de cette manière pour ensuite pouvoir les apprécier, particulièrement avec Ana...
Ainsi, oui, je dois l’avouer, cette soirée m’a totalement désinhibé pour le reste de mes jours et Ana ensuite a toujours su me mettre dans le contexte où je ne pouvais pas, comme souvent ou toujours, lui refuser ce qu’elle souhaitait de moi ou moi-même, être en pleine conscience et capacité d’accepter, de réaliser ou de vivre certaines pratiques que j’aurais de prime abord et par dogmatisme ou peur, refusé.
Plus tard avec Ana j’ai pu ainsi beaucoup apprécier de temps à autres de partager et de sucer une belle bite ;
de me faire prendre par un doigt, un godemichet ou même un gode-ceinture ( je voulais réellement savoir et discuter avec elle et son amie qui me prenaient tout à tour, ce qu’elles ressentaient et ce que cela transformait, transportait comme sentiments, émotions, ressentis physiques et autres ressorts psychologiques chez elles...J’en appris beaucoup sur les femmes et leurs désirs de masculinité assez souvent subconscient mais aussi souvent bien présent...) ;
et même de tenter un jour l’aventure cent pour cent homosexuelle avec deux jeunes amis gays très drôles et ouverts à tout qui m’avaient invité à découvrir l’incroyable ambiance et l'atmosphère de la gay-pride et d’une croisière organisée en mer des Caraïbes...
Oui, tout cela était « né » de cette incroyable soirée passée dans la cahute de Bob et de la SNSM...
Bob en début de matinée, alors qu’il devait ouvrir et tenir son poste, nous réveilla...
Les autres étaient discrètement partis au fur et à mesure de leurs réveils respectifs.
Bob nous salua et nous pria de repasser quand on voulait...
« Tu suce bien pour un mec ! » m'avoua-t-il dans un rire sonore et son bisou à pleines lèvres et à la Russe lors de notre départ me font dire et écrire que ce fut bien la soirée la plus déjantée et incroyable de toute ma vie que je venais de passer en cet endroit si charmeur et idyllique...
Je repensais au fait que Bob était bisexuel et qu'effectivement il ait pu me proposer sans ambages son sexe...
Pour moi, je n' avais aucun souvenir factuel, même si je savais que j'avais accompagné Ana avec plaisir et gourmandises dans quelques fellations dont elle avait le secret et l'expertise tout en devant admettre l'idée que ce fût Bob ou un autre...
Qu'elle importance dans cette soirée hors-norme?
Bob resterai à jamais mon ami.
Je retournerai à Paulilles un jour...
Je reverrai Bob avec plaisir.
Maintenant, cap sur l’Espagne...Nous n’étions pas, Ana et moi, au bout de nos aventures...
Pas même au bout de nos congés et moi surtout pas au bout d'une sexualité torride riche et sans beaucoup de limite que je le savais et le sais encore plus aujourd'hui me dirigeait inexorablement vers le Candaulisme de part son amour du sexe, du jeu, de l'intellect, de l'audace, de la philosophie de la vie, de l'Amour, de la tolérance, de tous ses attraits et de toutes ses beautés à découvrir et partager...
Bref que des belles et magnifiques perspectives et bonheurs de ma future vie...!
27 notes · View notes
scarletfantasia · 5 months ago
Text
J'ai hâte de voir la gueule de mes élèves quand ils verront que leur devoir de ce weekend sera sur le Zevent (l'engagement, la pauvreté, les liens sociaux, le jeu vidéo comme isolement ou resserrement communautaire...chui prête à affronter l'Education Nationale si elle ose critiquer)
20 notes · View notes
thefandomdirtymind · 1 year ago
Text
Yoo casual is so good please tell me you’ll do a part 3 🥺🥺
Tumblr media
A/N IMPORTANT:  Hi there ! It's will be the last part for Casual so I hope you will like it ! Thank you to squirrelbait02 and imhenritz for the many ideas it had help me a lot ! Since it's the last part It's kinda long, I hope you will like it !
Casual Part 3 NSFW
Part 1 - Part 2 NSFW
OPLA - Sanji
Sanji / OPLA Masterlist and Coming Soon
* English is not my first language, I tried really hard to correct myself but, I hope you will excuse me if some mistakes are still there.
____
Your hand pressed against your mouth, counseling your cry as the tears were running down your cheeks. The luminosity of the small lightbulb flashing above your head, it seemed to you as if all the air of the tiny food pantry was instantly gone. 
Pushing your fingers further into Sanji's soft hair tugging gently on them, trying to not moan. You gave a glance at the perfect view you have of him, on his knees in front of you, one of your legs resting on his shoulder, as his face was buried against your warm core. His hungry mouth letting you no respite, others that muffle your scream and enjoy the ride. 
Panting heavily against the side of your tight, his chin wet with your arousal, as his fingers massaging that special spot inside of you. Your secret boyfriend gently sucked your clits between his lips, his tongue playing with the little ball of nerves until he felt your hips buckle and your orgasm struck you like a lightning. 
Fucking in the confined space wasn’t your idea, even if you should have been suspicious, the blond had lead you there under false pretense and you hadn’t been able to resonate him, or even yourself, that it was an bad idea. 
“ Fuck, Sanji please, please stop i’m too sensitive” You pleaded, his hot breath playing on your sweaty skin sending shivers trough your spine. 
“I only follow the needs of your pussy, look at it still so greedy for me mon amour” He chuckles leaving a hickey on your inner thighs. “ Would be a true shame to disappoint the body of * ma déesse” He whispered as he stood, pinning you to the shelves with his body,lifting your leg around his waist, his tips already brushing your folds. * my Goddess  
But the laundry room was your idea, and what an idea it had been. Not only for all the comfort of the fresh sheets and towels, but also the immense joy of making Sanji lose his English, making him whine in French as you found a new sensitive spot.
“Bordel, Merde, tu est si chaude, si douce. Continue n'arrête pas s’il te plait. Oui, comme ça, tu es magnifique. Arrête de rire de..bordel, mon changement de langue, ça resserre ta chatte et tu va me faire jouir trop tôt “ *
* “ Fuck, Shit you’re so warm so soft. Keep going, don't stop please, yes like that, you’re so beautiful. Stop laughing of, Fuck, my language switch, it squeeze your pussy and you will make me cum too soon “ 
Due to many years of hearing and talking with him, catching words here and there. You have developed a not so bad understanding of French, but still, for pure mischief purposes, you intentionally often lose words in translation.  
“ You want me to keep going and squeeze my pussy ?” You smirked, your hands steading yourself on his chest as your hips rolled faster, making his hands handle your ass more firmly, leaving fingers bruised as his eyes closed in ecstasy. 
Still,because of your brilliant idea. You had to try at all costs, for at least the last week, to not drop something on the floor due to the pain of your friction bruised knees. 
Being in love with Sanji was easy, like breathing or boiling water. Keeping your hand and mouth from each other was more difficult. Since your confession, in a moment of passion and his favorable reaction, turning your life in a more vivid shade of colors. A thought way less joyfull was still stopping you from enjoying the situation to its fullness. The revelation of your relationship to your father, dangling like the Damocles swords above your heads.  
Zeff wasn’t a bad man, even if his pirate reputation would push others to think otherwise. Yes, his boots were bloody as his reputation, and yes you will receive some kick if he found eggshell in your crème brulée. But your father was also the man who’s have save a young boy and lost his leg for him just because they share the same dream, a retired pirate who’s had open that restaurant in the goal of feed the sailor in need of food,even if it had grown to become a business a poor pirate without berries couldn’t afford, you knew your dad and lover would never let an human famish.He had also welcome you with kindness and a softness you wouldn’t deduce he possess when he had learn the dead of your mother. 
Sure, you had some resentment against him for a while, for impregnating your mother before coming back to his pirate life and never came back, even after she had written him a letter. But, your abandonment syndrome has now fully healed after years of being treated as not just his cherished daughter but also after finding him, late at night, a bottle of liquor in hand,his eyes full of tears, talking to your deceased mother, telling him how sorry he was and how wonderful you were.
And now his amazing daughter was preparing himself to strike him with the dagger of betrayal, because her and his little proteger, was in love and fucking in every hidden corner of his fish building. What could be worse ? 
Opening your eyes, the light of the rising sun filtered by your curtains, you could feel the sad and cold absence of Sanji by your side, as well as a strange sensation of heavy limbs and a slight nausea. A small discomfort who quickly became stronger as you tried to get out of your bed. It didn’t take you long, but not without some falls in the way, to reach the bathroom and empty your stomach. 
Downstairs, as Sanji was pushing the kitchen door, the feeling of your warmth still clinging to his chest and the faint smell of your lovely scent in his nose, the blond cook met the side gaze of his mentor, a strange smirk floating on his lips. 
“ You took some fresh air little eggplant ? “
“ I didn’t, but it seems it will rain. I can see gray clouds from the window, why old man ?” Sanji asked, taking a mixing bowl from one of the main kitchen islands.
“ Do you think you’re so smart that I can see the sign, little eggplant? “ The old man continu, cutting his portions of vegetables. 
Stopping his hand a few inches from the eggs,trying to think of the best strategy to adopt, the blond cook slowly takes the ingredient and joins the retired pirate on the counter.
“ What are you talking about ?” He innocently asked, trying to stay out of the trajectory of the long knife the father of his lover was holding. 
“ Did you think I didn’t notice that your room is empty most nights or I didn’t see you came back to it a wee hours only with your pants on ? I’m old Sanji, I'm not stupid.” Zeff said, putting aside the freshly cut julienne carrots, to take the mushrooms. 
“ Zeff... I…I can explain, I swear it wasn't intentional...we…it’s just happen” The younger cook confesses, stepping slowly away, vision of his future death by a butcher knives or deadly kick, way to close in his mind. 
“ Little eggplant, didn’t I teach nothing, that's how love works, it just happens ! So, hm, in which ship is she ? “ His mentor grumbled, misunderstanding the reaction of his sous-chef for an annoyance toward his out of character playful teasing. 
“ Ship…” Sanji processed, suddenly comprehending the misunderstanding. “ She hm…” 
But for once, sadly not for long, Sanji was happy to see Patty rushing in the kitchen, a concerned expression on his face. 
“ Boss Man, Y/N seems not right, we can hear her throwing up from the corridor upstairs.” The blue haired cook said
“ What ?! “ Both men asked, letting go immediately of their occupation. 
“ Sanji, send a waiter to the docked ships for an inboard doctor, Patty take in charge the brunch prep “ Zeff ordered, already in motion to go upstairs, his tone leaving no place to object. 
“ Yes “ Sanji replied, refraining his urge to be at your side, his mind flooded with concern, trying to see if he could have missed a clue of your illness this morning. But all he could remember was that you were peacefully asleep when he had left you,nothing apparently troubling your sleep.“ Beaulieu,Y/N is sick, go ask if one of the ships has a doctor and make it as quick as you can ! “ 
Nodding of the head, the trusted waiter takes his leave, almost running, the feeling that his slow walk could earn him some kicks not only by his boss but by the blond man too. 
----
Laying in your bed, cold sweat running down your spine,your mood darken by the strict restriction of your father to doing anything, you lift your gaze to the doctor.
The man, probably in his mid-forty you largely guess, was wearing square glasses and a brown suit who’s seem to have seen better days. If somebody had asked you, you would have assumed that he didn’t enroll voluntarily in the pirate life but had been snatched in it when an morally gray captain needed a doctor on board. 
“ Well Miss, I will only have some question before starting” 
“ Of course, but Doctor, isn't consultation supposed to be private ? ” You asked, shooting at Zeff, standing in the corner of the room, his arm crossed on his chest, a nervous look.
“ Well indeed it is usually the case…” The medical man confirmed, before shutting his mouth under the dark gaze of your father. 
“ I won’t let my sick daughter with a man I don’t know, doctor or not,” Zeff said. 
Knowing that you will never win this battle, you sigh and sign to the doctor to ask his question,trying to reply as best as you can. 
“ Now in a more personal topic I'm afraid but are you sexually active “ The doctor asked, glancing nervously at Zeff.
“ Of course not “ Your father starts to say, a chuckles on his lips, like if the question was about impossible things or myth.  
“ Yes…” You confessed, trying to avoid the shocked gaze of the old pirate as the man in the brown suit babbled about the possibility of pregnancy and tests.
You could swear that the next moment was the most embarrassing and worst moment of your life. Sit on your bed, vulnerable in your sickness and your pajamas, you had to endure Zeff interrogation. Trying to stay silent or opening your mouth to deny that your lover was a customer or that it was non consensual, preventing the chef from ruining his restaurant reputation. You stubbornly stayed mute as your father furiously exits your room forgetting all his big principles.   
----
“ WHICH OF YOU SAD WORM, WARM SHRIMP, FROZEN MEAT HAD TOUCH MY DAUGHTER ! “  Zeff shouted, passing the double door leading to the kitchen.
In an instant, the usually noisy kitchen, full of cooks and waiters preparing everything to start the day, felt silent, every eye fixed on their angry boss. 
Froze in place, mute like the others. Sanji was watching his mentor traveling the kitchen, his cold gaze scrutinizing each and every male member of his staff, finishing by him before taking a place in front of them. 
“ Nobody ? Then we will do that the hard way. Until I have a name your day will start with the rise of the sun. You had energy to have sex with my daughter, not anymore. Every morning we will do 25 to 30 laps around the restaurant, followed by push-ups and jumping Jack. If we still have time before the opening, lifting those potato sacks and barrels would be enough to make you want to confess. Then we will prepare and open that damn place ! Is that clear !?“
“ Boss man, it is not fair to punish the staff for the mistake of a stupid man “ Patty exclaimed, followed by the agreement of the other men. 
“ Then confess Patty or find me that failed soufflé of a man. Every complaint or protest will meet my kick or the cold water outside. Now get back to work ! “ 
Returning to their occupation, mumbling of discontent floating like swaps of bees in his guilty ears. Sanji makes his way to Zeff, his need of telling the truth burning his tongue. 
“ Zeff…” The blond advances, nervousness twisting his stomach. 
“ She will be okay, little eggplant.” The old man said, putting his rough hand on his shoulder“ the doctor was talking about doing some tests and coming back with them in a few days. I can’t say the same when I catch that slimy eel not good enough to make a pie“
“Test, what kind of test ?” Sanji asked, trying to stay in control of himself when stress was slowly eating him alive and desire to run as fast as he could upstairs made him feel as if he had stepped on a nest of ants.  
“ I’m not a doctor, little eggplant “ The old pirate replied, mistaking his little proteger concern for a kind of brotherly worries. “ But she’s a strong girl, it's not a few drops of blood or few tests who will wear her off. Now go back to your station, those orders will not prepare themselves and no creativity dishes or what you call them today, I already have enough problems like it is !” 
If you were strong enough to endure the necessary tests, Sanji couldn’t say the same about all the poor male staff members of the Baratie who had to suffer the rigorous military training of Zeff the next morning. Many, after a few laps around the platform, had fallen in the water or just collapsed after their second push up. It was true that growing under Zeff's umbrella, following from a young age his training to learn his kick technique, had given the blond a certain advantage. However, as he lifted his upper body for the fifteen time, sweat ran freely on his skin. The noise of another body falling behind him, making the wood vibrate under his hands, permit Sanji to briefly steal a glance to your windows, seeing your shadow play in the curtain. 
The previous day had been sort of challenging. Between trying to cook properly when all he was about to think was you but also secretly trying to sneak into your room, before having to quickly escape at the sight of Zeff guarding your door. His brain hadn’t stopped a minute to find a wait to finally see you. 
It takes two more days before an opportunity presents itself.
A heavy barrel on his shoulder, jogging between the kitchen and the outside. Sanji finally had his moment when Zeff, distracted by the spill of a sack of potatoes on the platform, finally stopped to look at them like a hawk to focus on the poor man who made the mistake.
Leaving the barrel among the others, Sanji sprints up the stairs, his already tired muscles burning. But, as he reached your door, entering as fast as he could before closing the door behind him, nothing could have stopped him. 
“ Sanji ! “ He heard you exclaim before feeling the mass of your body pushing him against the door and your lips covering his. 
Your time, stuck in your own room without being able to see him, hasn't either been easy for you. The nausea, more present than ever, didn't seem to stop soon and your constant fight with Zeff trying to at the same time protect and interrogate you usually leave you with a headache, making the situation all for the worst. 
“ I missed you so much” You whispered against his mouth, stealing kiss after kiss, only taking small breaks to take some air.
“ I missed you too,” Sanji said, wrapping his arms around you, kissing your forehead. “ Zeff had talked about some tests, are you okay ? “ 
Color slightly spreading on your cheeks, you slowly nod off the head against his chest. 
“ The doctor seems to think of a possible pregnancy “ You inform him, unsure of his reaction. 
You had taken some precaution of course, taking your pills religiously. But as the doctor informed you of the slim chance you still could have ended up pregnant, your mind had returned to the memory of your single mother, abandoned on his island. 
Yet, as you felt his arms tighten around your waist, you didn’t expect the pure expression of joy and adoration on Sanji's face.
“ Are you sure mon amour ? “ He softly asked, his thumbs making a slow circle on your lower back. 
“ It seems the most plausible thing for the doctor. But he wasn’t completely sure, it still could be some other things “ You replied, still unsure of how you felt about the situation. A baby was some really big responsibility and a full life changing experience you didn’t know if you were ready for.  
“ Imagine how adorable our baby would be,” Sanji dreamily said “ and the cooking talent he would inherit, I hope he will have your smile, I love your smile“ 
“ Sanji ,nothing is sure yet” You tried to resonate with him, still amused to see him already so invested in such an unsure situation. “ And we still hadn’t talked to my father, I would like to not mourn you before knowing the reason of my illness “ 
“Zeff will be such a grumpy grandpa, but I'm sure the baby will just have to look at him to melt his old heart” Your lover continu, lost in his fantasy. 
“ Sanji please” You laugh, your own heart melting to see him so happy. “ If my dad heard you before we talk to him I kill you myself “ 
“ We indeed need to find a way to tell him before he wears off the staff to death with his morning training. The waiter already had some difficulties carrying many plates at once or had to take off because of exhaustion. Yesterday one of the cooks had failed to lift a pot full of soup and had flooded the kitchen floor. But we have to prepare our words or the baby will probably not have sibling due to their father missing a precious part “
“ Losing that precious part isn’t indeed not negotiable” You joked your mouth finding once again his way to his. “ I love you, even if right now you reek of sweat” 
“ You never complained before” He chuckles against your lips.’ I love you too”  
“ Y/N I bring you your breakfast ! “ You heard the voice of Zeff tell from somewhere behind the door, making you both freeze in place. “ Come open the door please ! “ 
Acting quickly, trying to find a place to hide Sanji, you helped him to slide under the bed while you vaguely replied to Zeff. 
Once your breakfast tray is put on your bed, your father is clearly trying to make you feel better by cooking himself your favorite morning meal, and a small talk you fastly cut faking nausea. You slowly let go of the breath you didn’t notice you were keeping before noticing Sanji that he could get out. 
“ We really need to talk to him…” He said , getting up off the floor. “ I should leave before he notice I’m missing “ 
“ So it was you Little Eggplant” You both heard as the door slowly opened. “ Would you think I didn’t notice you never came back with the barrel ?“ 
“Zeff, i’m sorry, but we can explain” Sanji advances. 
“ Explain, explain ? How does that simply happen ? Love happens, little eggplants, but why does it have to be my daughter ?! Zeff asked, anger lighting his features as he stopped at only a few inches of the blond. “ Dad, we were about to talk to you I swear” You tried. 
“ Because Y/N is wonderful, kind, smart, beautiful and I love her, that’s why old man ! Sanji replied, anger coloring his tone. “ If you hadn’t send that man hunt disguise as an Marine training, we would probably tell you soon” 
Bursting in laughter, Zeff shakes his head. 
“ Why do you think I make all my men sweat like pigs, Sanji? I knew the smell would betray them one day or another and the only thing I would do then was follow them ! “ The old chef said, touching his nose “ But I should know it was you, I'm almost glad it’s you little eggplant…”
Taken aback, Sanji looked as his mentor then you, unsure if he had heard him right. 
“ What ? He asked. 
“ I’m almost glad it was you, you're a good man and you will be good for her. But don’t make my mistake. She will be the best thing in your life, even better than the All Blue” Zeff replied, any trace of anger gone. 
Your eyes fill with tears, wishing your mother would be able to hear him, you simply take Sanji's hand. 
“ Now I need you in the kitchen. Let her eat her breakfast in peace. The doctor is supposed to come back today for the result and I haven't decided yet if I still kick your ass for that” Zed simply said before exiting the room.   
---
You indeed heard about your test later in the day as the nervous doctor, his brown suit even more wrinkled than a few days earlier. Sit in your room with Sanji and Zeff, you carefully watch him pull out colorful vials, explaining to you their utility. 
“ Then, as you can see, the pregnancy vial hadn’t changed colors, so Miss Y/N isn’t pregnant. An overdose of stress or a radical change of habit could also be the reason for his nausea.” 
Nodding of the head, you thank the doctor, staying silent for a minute. 
“ Should I be sorry ?” You softly asked Sanji, knowing that the idea of your pregnancy had filled him with joy. 
“ Pourquoi mon amour ? “* He asked you, as Zeff coughed in the corner of the room. “ Why, My love? “ * 
“ You seem happy at the idea that maybe I was pregnant, but I'm not…” You replied, yourself  unsure of how you feel about the news.
Taking your hand in his, Sanji softly smiles, kissing the side of your head. 
“ It just means that when it will be time, we will have to try harder to bring that cute baby to life” He smiled ,chuckling with you as Zeff's cough became louder. 
“ I definitely should be back in the kitchen and forget I heard that” He said as he got up off his chair, letting you some privacy. “ Sanji, don’t make me kick your ass” 
-----
It takes some time for Zeff and the staff to be accommodated as your love. Of course, Sanji had received some cold shoulder about the Marine training. But, after a few weeks, the staff had started to smile while you shared even a crumble of affection or whistle when he caught you kissing.
Life in the restaurant ship wasn’t easy when he came to privacy, even if Sanji had moved his stuff in your room at the first chance he got. But, often, late at night or between two shifts, you still find a way to make beautiful memories in the most unusual of place. 
“ Love, where does that bruise on your shoulder ? “ Sanji asked one night, kissing your shoulder as you tried unsuccessfully to put on your pajamas,as your lover try for his part to  ruined your effort. 
“ I don’t know, maybe the dinner room alcove? You know when you had to bite my shoulder to stay quiet “ You joked. “ Or maybe the coat hanger yesterday ? I remember I had bumped against it when I came.”
Laughing at the memory, you shared a slow kiss, remembering that all this had started with a night of festivity and the idea of keeping it casual. As you lay in bed with Sanji, you knew that now that you had found that happiness, you knew you will followed him however he goes.
----
@alienstardust @phantasmagoricalzenith@downforsanji @faefanatic @strongindependenttrash @hi3431 @sunnanse @neko-loogi @theluckyplaces @simbaaas-stuff @ofherscarlettwitchyways @juskonutoh @buffkirby2020  @miomao-ehe
Join my Tag List
118 notes · View notes
lisaalmeida · 2 months ago
Text
Avant de faire plus attention au resserrement des relations sociales, je me suis engagé, j'ai essayé de faire de mon mieux. Ensuite, j'ai appris à être assez, j'ai appris que le fait d'avoir autant de personnes autour implique également deux fois plus de problèmes. Peut-être que je suis devenu anti-social, ou peut-être que j'ai appris à être content. Ou peut-être ai-je juste compris que le fait d'être entouré de tant de personnes ne vous rend pas moins seul. Je n'ai pas fermé la porte à de nouvelles connaissances, je l'ai laissée ouverte, mais je ne saute pas encore et encore, invitant les gens à entrer. Oui, je suis peut-être devenu un homme seul mais avec la conviction que la solitude ne me fait plus peur. Les gens autour de moi sont ceux qui sont restés malgré tout et ce sont ceux dont j'ai vraiment besoin. ❤️
Tumblr media
15 notes · View notes
mrsines · 2 months ago
Text
L’instinct de vérité.
Emily Prentiss X Reader
Résumer : Après avoir quitté son poste de profiler au FBI, Emily Prentiss devient professeure de psychologie criminelle dans une université réputée. Parmi ses étudiants, Maya Alvarez, 25 ans, attire particulièrement son attention grâce à sa perspicacité exceptionnelle. Lors d’un exercice pratique, Maya résout un cas criminel avec une aisance déconcertante, mais son analyse révèle des détails personnels qui intriguent Emily. Très vite, Emily découvre que Maya cache un lourd secret : elle est liée à un réseau mafieux.
Une attirance mutuelle naît entre les deux femmes, mais elles se retrouvent confrontées à de nombreux obstacles. Maya est partiellement prisonnière des attentes de sa famille criminelle, tandis qu’Emily lutte avec ses principes éthiques et ses craintes concernant les répercussions sur sa carrière.
Lorsque des meurtres imitant les crimes étudiés en classe commencent à se multiplier, Maya, avec sa connaissance du monde mafieux, se révèle être un atout crucial pour l’enquête. Cependant, cette implication la met en grand danger, et les tensions entre son passé et son présent s’intensifient.
Au fil du temps, le secret de Maya devient de plus en plus difficile à cacher. Emily découvre que la famille de Maya est impliquée dans un réseau criminel international et que Maya est contrainte de participer à des activités illégales sous menace de représailles. L’amour et le soutien d’Emily poussent Maya à chercher une issue. Ensemble, elles décident de confronter la mafia tout en poursuivant l’enquête sur le tueur en série.
Maya doit choisir entre sa loyauté envers sa famille et sa nouvelle vie avec Emily. Tandis que la mafia resserre son emprise, Emily devient un pilier dans la lutte de Maya pour se libérer de son passé, et leur amour devient la force motrice dans la confrontation avec les dangers qui les entourent.
Tumblr media
11 notes · View notes
chic-a-gigot · 8 months ago
Text
Tumblr media
La Mode nationale, no. 23, 4 juin 1904, Paris. Robe d'après-midi pour jeune femme. Bibliothèque nationale de France
Robe d'après-midi pour jeune femme souffrante, en crépon argent.
Tout le corps de la robe est à gros plis.
Boléro carré en guipure jaunie; col rond en même guipure.
Un entre-deux semblable descend sur la manche, jusqu'au coude; un grand volant de guipure resserre le bouffant.
Cette robe se fait aussi simple ou aussi riche qu'on le désire; tout dépend du tissu.
La forme fort jolie est extrêmement pratique, pour les jours chauds qui viendront.
On pourra recevoir des visites à la campagne en cette coquette tenue, se promener avec ses invités dans son jardin.
Afternoon dress for ailing young woman, in silver crepon.
The entire body of the dress has large pleats.
Square bolero in yellowed guipure; round neck in the same guipure.
A similar in-between goes down the sleeve, to the elbow; a large guipure ruffle tightens the bouffant.
This dress can be made as simple or as rich as you want; It all depends on the fabric.
The very pretty shape is extremely practical for the hot days to come.
You can receive visits to the countryside in this pretty outfit, or walk with your guests in your garden.
Matériaux: 6 mètres de crépon.
Chapeau de paille jaune, enguirlandé de roses teintes.
Yellow straw hat, garlanded with tinted roses.
54 notes · View notes
camisoledadparis · 2 months ago
Text
saga: Soumission & Domination 323
Amaury en gang-bang + le problème Enguerrand
J'arrive à organiser un gang-bang d'une dizaine de gros calibres, blacks comme blancs.
Je loue le gite habituel. Le mec ne me pose aucunes questions bien que je le soupçonne de savoir qu'il se passe des trucs pas très catholiques. Difficile de cacher les allées et venues des véhicules haut de gamme des clients.
Un peu à court de temps, je laisse à Samir et Ammed la gestion matérielle, aménagement du gite, approvisionnement en kpotes et gels et restauration. Moi je gère les inscriptions et les payements. Au total 10 bites dont la plus petite fait 25x6,5 et la plus grosse 27x8. La plus grosse est black évidemment, teinte noir Kiwi avec un gros gland violet.
 Le WE en question, Amaury est préparé par Samir tout l'après-midi. Mise à jour de l'épilation, pose de la cage de chasteté, lavement en profondeur puis pose du plug à resserrement de seulement 3cm de diamètre. La mise en condition psychologique est importante aussi. Samir la réalise au donjon et la termine par la pose d'un collier de chien en cuir noir large muni de 2 attaches de laisse ainsi que de poignets et chevillères de cuir eux aussi.
Samir l'emmène nu à l'arrière de la 300C sous une couverture quand même ! Pas question de se faire arrêter. Tous les flics et gendarmes ne se laisserons pas aveugler par une vidange expresse.
J'arrive alors que tout est prêt avec Ammed et que nous attendons les premiers clients. Amaury est dans une chambre, prêt pour les multiples saillies.
Ammed est là pour le cas où des clients ne joueraient pas le jeu et qu'il faudrait les calmer fermement. Même si je suis costaud et bien entrainé, j'aurais en face de moi quand même dix mecs en rut !
Plus d'encaissements sur place. Tous ont réglé la prestation par virement. Les Mercédès succèdent aux grosses Audi. Et j'attends que les 10 clients soient là pour faire entrer l'attraction. En attendant, Samir et moi-même nous faisons le service, proposant alcool et petits fours.
La pièce principale est vide de tout meuble sauf la table au centre des menottes sont placés à chaque pieds ce qui permettra d'enchainer notre Amaury.
Le dernier participant étant arrivé, j'envoie Samir chercher l'attraction. Il entre, nu, dans un silence religieux. Je sens Amaury stressé et lui fais boire un demi-verre de Whisky. L'effet est quasi immédiat et il commence. Avec Samir nous nous écartons pour mater et veiller au bon déroulement de la soirée.
Amaury déambule entre les clients. Il est aussi grand que la plupart. Il se laisse caresser et lui-même se frotte contre les mecs. Il s'attarde sur certains, son cul contre leurs paquets encore enveloppés pour se frotter la rondelle. Nous voyons les pantalons se tendre. Ou les cuisses enfler soudainement par l'allongement des sexes vers le bas.  Quand il a bien fait bander tout le monde, il s'attaque aux pantalons pour mettre les bites à l'air. A chaque fois qu'un mec se retrouve le pantalon sur les chevilles, il finit lui-même de se mettre à poil.
Samir détaille les clients. Il ne les connait pas tous et me remercie de n'avoir choisi que des mecs encore corrects. En effets, pas de vieux bedonnants, les quinquas sont en pleine forme, abdos saillants et bites bien dures.
Amaury est chaud. Il excite les mâles sans se faire coincer par aucun. Bientôt il se fait quand même immobiliser quand un des blacks attrape la base du plug qui lui remplit le cul.
C'est une façon de dire puisqu'emporté par le mouvement, Ludovic se déplug avec un bruit de bouchon caractéristique. Il tombe alors dans les bras d'un autre participant et là, fermement tenu, il se fait enfiler 3 doigts directs dans l'oignon.
Celui qui le tient le penche en avant dans l'intention très nette de se faire sucer la bite. Amaury ne se fait pas prier et engouffre au maximum la bite noire, circoncise au gland rose vif qui se présente devant sa bouche. Il doit être plus chaud que je ne pensais vu la voracité avec laquelle il attaque le morceau.
Les autres se mettent en rond et celui qui a ses doigts dans son cul le dirige pour changer de bite. Quand il lui a fait faire le tour des 9 queues, il sort ses doigts du cul et le fait pivoter pour bénéficier de sa bouche lui aussi. Il est plus brutal ayant dû attendre un bon moment, chacun retenant la tête d'Amaury sur sa bite avec les deux mains !
Lui il force la gorge de mon petit mec. J'entends distinctement les gargouillis de ses pénétrations profondes. Par contre je n'entends pas le mot que nous avons convenu, Amaury et moi, signifiant que les mecs vont trop loin.
Pris aux oreilles, il se fait allégrement enfiler les 27cm très épais jusqu'à la garde.
L'autre côté de son tube digestif se fait royalement préparer. Alors qu'un des clients lui mange l'anus, j'en vois quelques-uns saliver au-dessus de ses fesses, pour que le bouffeur d'oignon rentre un maximum de salive profondément dedans.
Les autres se branlent en attendant de pouvoir saillir leur location.
Le premier à s'enfoncer dans le cul d'Amaury est un des blancs monté " seulement " de 25x6. Bâillonné comme il est, il ne souffle pas un cri. Par contre il les prend bien en entier.
Pendant plus de 2 heures les mecs vont se succéder dans son cul (sous kpotes bien sûr) et dans sa bouche, plutôt sa gorge. Il sera utilisé comme une marionnette, positionné selon les désirs de chacun, debout penché en avant, dos sur la table les jambes sur les épaules ou tenues écartées par deux comparses, en chandelle la nuque sur un coussin, les jambes autour des reins de son enculeur debout, accroché à son cou pour ne pas tomber, embroché comme un agneau de méchoui, une bite de 27 dans le cul et une de 26 devant avec les autres participants qui le faisait tourner. Je ne compte plus les positions. Je suis juste intervenu quand les 2 plus membrés de l'assistance ont voulu le double sodomiser.
Faut pas exagérer quand même ! Un 27x8 + un 26x7 dans le même trou, c'est même plus du fist, c'est de la saillie d'étalon !! Et mon Amaury est tout sauf une jument quand même.
Ça ne défrise pas les clients qui vont continuer de jouer avec son corps plus d'une heure de plus. Pas besoin de faire intervenir ammed.
Il finira comme Ric c'est-à-dire couvert de sperme. 10 gros juteurs qui se retiennent pendant 3 heures ça fait des litres !!
Samir récupère son mec alors que les clients se rhabillent vite fait. Une fois la chose faite, certains sont limite un peu honteux et ils se cassent rapidement. D'autres discutent avec moi et me demande déjà la date du prochain gang-bang. Encore plus que d'avoir un jeune corps bien fait à leur disposition, c'est de le voir se faire défoncer par plein de mec qui les excite.
Quand le dernier est parti, non sans m'avoir glissé une enveloppe de prime lui aussi, je rejoins Samir et Amaury. Ammed commence à remettre le gite dans sa configuration initiale.
Je les retrouve dans la salle de bain. Amaury est encore sous la douche tous ses " attirails " ont été retirés et il bande sous les caresses de son " maître ". Je les regarde. Samir et doux, comme je sais qu'il peut l'être depuis qu'il s'est occupé de moi quand j'étais immobilisé par mon accident. Il l'aide Amaury à tenir debout comme ce dernier jouit et que ses jambes se dérobent sous lui. De la douche il le couche dans le bain chaud qui l'attendait une fois le sperme des clients retiré de sa peau.
Notre athlète du sexe s'endort à moitié calmé par la chaleur qui l'entoure. Je leur fais part de la satisfaction unanime de mes clients. Habitués à Ric, ils étaient venus avec des grandes exigences et n'avaient pas été déçus.
Pour preuve les enveloppes que tous m'avaient remis avant de partir. J'en fait le compte devant eux. Il y en a pour presque 15 K€. J'entends Amaury marmonner quelque chose, je me penche pour l'entendre me souffler de le garder pour moi cette fois. C'est tout vu, avec ce que j'ai gagné officiellement, je n'ai pas besoin de la prime, Samir refuse aussi puisque c'est lui qui touche le salaire d'Amaury.
Il gueule et fini par prendre la somme. La semaine suivante je recevrai par coursier un paquet dans lequel je trouverai une montre suisse, une Hublot Big-Bang All Balck II. Elle est superbe toute en céramique noire mat. Un petit mot l'accompagne. " Pour être raccord avec tes véhicules (ma SLS tout comme mes motos sont noires mat). Quand je me renseigne de son prix, je prends le téléphone pour l'engueuler. Il a sûrement mis plus que sa prime puisque ce modèle n'est plus commercialisé !
Réponse : " un cadeaux c'est un cadeaux et tu ne peux pas le refuser ".
Il m'a bien eu ce con ! Mais je la kiffe trop ma nouvelle montre.
Elle fait son petit effet. A l'école, elle provoque quelques regards envieux. Autrement, tout le monde s'accorde à dire qu'elle manquait à ma panoplie de Darkman.
Je convoque Amaury pour dîner un soir. La seule chose que je n'avais pas prévu c'est que Ludovic connaissait sa famille !
Amaury bloque à sa sortie du monte-charge quand il tombe sur Ludovic. Il se retourne et comme je suis derrière, je devine sur son visage, la panique qui l'envahi.
Je lui souffle que Ludo ne sait rien de nos arrangements. Il se reprend, affiche un grand sourire et se retourne. Je les présente l'un à l'autre. Ludovic me dit qu'ils se connaissent puisqu'Amaury est un ami de Côme. Heureusement que j'avais été discret quant à l'expéditeur de ma nouvelle montre !!
Le diner se passe bien, Samir et Ammed ont compris pour Ludovic et ne laissent rien filtrer de leur relation particulière avec notre invité. C'est à lui et lui seul de décider quand il souhaitera que nous divulguions, entre nous seulement, ses préférences.
On parle école et Fac. Ludovic rappelle des souvenir de soirées passées aux mêmes endroits avec Amaury et Côme. Après qu'Amaury l'ait charrié sur la dernière meuf avec qui il était sorti dans le " Rallye ", il n'hésite pas à faire son coming-out et à lui dire que maintenant, il est mon dernier amour en date. Et de se pencher au travers de la table pour me rouler une pelle, au cas où Amaury aurait mal compris.
Amaury est étonné quand même. Il lui demande si ses parents sont au courant. S'ensuit une discussion sur : comment ils ont pris la nouvelle de son homosexualité, s'ils savent qu'il vit avec deux mecs en même temps.
Sur cette dernière donnée, Ludovic lui demande de ne pas faire de gaffe, officiellement il n'est qu'avec moi !
Amaury capte et l'assure de sa discrétion, ce ne sera pas par lui qu'ils seront au courant. Par contre il lui dit de se méfier de son propre petit frère (Enguerrand) qui lui semble très fouineur. Il l'a surpris plus d'une fois en soirée à mater dans les recoins pour savoir qui sortait avec qui, qui roulait une pelle à qui et même plus.
Moi, de mon côté, j'enregistre l'info et me dis qu'il va falloir prévenir avant d'avoir besoin de guérir. Je crois bien que je vais demander à mes deux " espions " de creuser un peu.
Nous passons une soirée des plus agréables. Amaury est très spirituel et ses récits de ces soirées mondaines, ses imitations des travers de cette aristocratie déchue et de la grande bourgeoisie locale est à mourir de rire. Ludovic en profite encore plus puisque lui voit les personnes qui subissent les critiques d'Amaury.  
 Ayant demandé, sans en parler à Ludovic, à Jona et François de ma faire un dossier sur Enguerrand, je reçois le rapport une semaine plus tard.
Edifiant le gamin, le dernier de la famille est loin d'être un petit saint ! Il n'a pas fallu plus d'une semaine pour que Jona mette le doigt sur le problème.
Le petit saint traine depuis un an avec une bande de types peu recommandables. Ils fument et pas que du tabac, baisent en groupe (ça, c'est pas interdit), certains sont passé à la cocaïne !
Jona me précise que le petit est le plus jeune du groupe qui ne comporte que des majeurs. D'après son indic, il serait même la " petite pute " du meneur, un fils d'aristo de 22 ans. Ce dernier aurait eu barre au départ sur Enguerrand parce qu'il l'aurait surpris à essayer de se faire sa soeur. Maintenant il le tient par les films qu'il a réalisé où on peut voir Enguerrand se faire prendre par tous les trous et par plusieurs mecs en même temps.
Réunion de crise avec Jona, François, PH et DGSE mis dans la confidence.
Pas question de le laisser tomber dans la drogue. Enfin plus dure que celle qu'il consomme déjà. Ça explique le comportement agressif qu'il me manifestait. Et puis il a droit de choisir et de baiser selon son désir. Si ce sont les mecs qui l'attirent il continuera mais ce sera alors son choix.
On hésite à savoir si nous révélons nos infos à ses deux frères. DGSE nous le déconseille. Il vaut mieux que ce soit le choix du petit.
On se laisse une semaine pour échafauder un plan pour le tirer de là.
En attendant, Jona et François se chargent de verrouiller toute la partie " données informatiques " du triste sire (le meneur). Intrusion dans le PC du type, copie de son disque dur. Pas de trace de compte dans un Cloud, pas de compte facebook, le mec se croit en sécurité.
Ils me ramènent la copie et nous fouillons dedans. Ludovic se fait distraire par PH et je prétexte beaucoup de travail.
Edifiant. Les films ne sont pas plus hard que certaines de nos touzes ! Mais je comprends que diffusés sur le net, le petit serait mort socialement. Le genre de truc à pousser au suicide un jeune homme mal dans sa peau. On visionne les films en vitesse accélérée. On voit tous les participants mais jamais la tête du meneur.
C'est dans un fichier crypté que nous trouvons la preuve que nous cherchions. Le dépucelage d'Enguerrand par le mec en question et là il est visible totalement. Nous l'entendons même assoir sa domination sur Enguerrand en lui jutant sans kpote dans le cul. Tout ce qu'il faut à un juge pour le faire mettre en tôle et une fois, là, s'arranger pour qu'il se fasse enculer nuit et jour pour lui apprendre la vie c'est pas difficile ! Ce con à même daté la vidéo !
Le plus difficile va être de choper le gamin sans que ses frères ne se doutent de quelque chose. PH me dit de l'inviter au blockhaus, cela lui montrera que nous sommes clairs avec les sexualités alternatives et que nous lui faisons confiance. Et d'après lui c'est surtout de confiance dont le gamin à grand besoin.
J'accepte même si c'est risqué pour nous et son frère et surtout ses parents !!
Je lui téléphone lors d'une récréation et lui dis que je souhaite le voir pour lui parler de son frère et de noël qui approche. Cette raison en vaut bien une autre !
Je passe le chercher après ses cours. Il me voit dans ma SLS et moi, je le vois se la péter devant ses potes. Je lui en fais la remarque alors qu'il grimpe dans la voiture.
Toujours mordant, il me dit que j'avais qu'à venir avec l'autre voiture. C'est pas faux !
Nous roulons dans un silence un peu contraint jusqu'au blockhaus. Avant de prendre le monte-charge, je lui demande de rester discret sur la déco de mon chez moi auprès de ses parents. Il se doute bien que nous n'avons pas le même style.
Nous montons direct au 4ème. J'ai veillé à ce que nous soyons seuls.
Il mate tout, les cariatides comme les tableaux vivants. Il ricane et me dit qu'effectivement c'est bien une maison de Pd. Je le laisse dire. Par contre il kiffe la piscine au-dessus de la cuisine mais ne peut s'empêcher d'ajouter que c'est pour voir les bites des mecs qui s'y baignent.
Je le laisse déverser son fiel. Quand il se tait je lui propose un coke puis ajoute après un blanc, cola. Je vois son regard suspicieux se poser sur moi.
J'avoue l'avoir fait venir pour autre chose que le cadeau que je compte faire à Ludovic. Il se lève et me traite de pervers. Je lui dis que je ne m'appelle pas XX de XX. Ça lui coupe les jambes et il tombe sur le canapé plus qu'il ne s'y rassoit.
La tête entre ses mains, il me demande si c'est lui qui l'a vendu à moi. Et là, je l'entends pleurer.
Je me lève, le tire vers moi et le serre sur mon coeur. Il est un peu plus petit que moi et me trempe le t-shirt. Je laisse passer la crise. Il se calme et tente de glisser à genoux sur le sol, probablement pour me tailler une pipe. Je le retiens. Il lève les yeux vers moi, toujours dans son trip comme quoi je l'aurai acheté à son maître.
Je lui dis que ce n'est pas ça. Je le fait s'assoir à mes côtés, ses mains maintenues dans les miennes et je lui dis que je sais tout. Nouvelle crise de larmes, il laisse échapper un " je suis mort " qui me noue les tripes.
Traitement de choc : je lui mets une baffe.
Ça au moins l'avantage de faire cesser ses pleurs. J'en profite pour lui dire que je suis là pour l'aider et qu'en plus j'en ai les moyens. Je lui laisse le temps de capter ce que cela sous-entend.
Il finit par me demander ce que je sais. Je résume en restant très factuel. Plus je parle plus il s'effondre.
Je l'entends me demander si je l'ai dit à ses frères. Ma réponse fuse : non bien sûr c'est son problème pas le leur.
Il me dit alors " t'es content hein ! Tu vas pouvoir me faire chanter toi aussi ! Vous êtes tous des salauds les PD ! ".
 Je lui redonne un nouvelle claque. Faudrait pas qu'il se complaise dans les clichés non plus.
Il me regarde interloqué mais muet surtout.
Je lui dis que je n'aime pas les généralisations, sinon je ne l'aurais pas fait venir et j'aurais considéré qu'il n'était qu'une petite frappe de plus et basta.
Je lui dis qu'il y a trois sorties possibles. La première : il reste comme il est, l'esclave de XX et il va finir en tôle parce que le petit trafic de ce monsieur va faire plonger tout son monde. La deuxième : il se secoue, va voir la police et leur raconte tout. Le juge pour enfant sera indulgent vu que tous les autres sont adultes.
Il me coupe et me dit que ce sera alors la honte pour lui et toute sa famille, il préfère encore subir la domination de XX.
Au moins il a le sens de la famille le petit !
Je termine et propose la troisième solution : on s'occupe de ce monsieur entre nous et il pourra reprendre sa vie normale.
Il opte pour la troisième solution. Il me demande comment ça va se faire.
Je lui dis que puisqu'il est d'accord, j'ai des amis qui sauront le rendre très raisonnable.
Il me demande si nous allons l'éliminer. J'éclate de rire, non, nous ne sommes pas des assassins mais il va regretter de nous avoir rencontré c'est sûr !
Sans entrer dans les détails, on va se le choper, lui faire subir ce que lui t'as fait avec films aussi, puis nous lui laisserons le choix entre se barrer loin de la France et envoyer ces films sur le net et tout son réseau d'amis. Je pense qu'il sera assez intelligent pour choisir la première option. Il est évident qu'entre-temps, tous ses fichiers informatiques auront été détruits.
Enguerrand me tombe dans les bras. Il me dit que depuis un an, il ne vivait plus dans la crainte que le film de son dépucelage apparaisse sur les réseaux sociaux.
Il me présente ses excuses pour son agressivité envers moi. Je lui dis que c'est oubli��, qu'il fera maintenant un " beau-frère " tout à fait acceptable.
Il me le promet.
Avant qu'il ne parte je lui dis de continuer encore une semaine à jouer le jeu, le temps que je m'organise. Même s'il doit encore subir XX, je lui fais jurer de ne rien laisser paraitre.
Il s'y engage trop content de savoir que la fin de son calvaire approche.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
11 notes · View notes
makeitinkorea · 3 months ago
Text
HOW TO MAKE IT IN KOREA V3 !
Tumblr media
MIIK et ses admins ont le plaisir de vous présenter la troisième version du forum !
Déjà deux mois que l'aventure a commencée et une communauté s'est déjà bien formée pour apporter son lot de dramas aux personnages ! L'étau se resserre car nos membres sont de plus en plus nombreux à acheter des indices sur les secrets des habitants, plus personne n'est à l'abris...
L'event Halloween bat son plein, ce dernier est regroupé en quatre différents rps, deux sont libres et il faut s'inscrire pour les deux autres — il prendra fin le 17 novembre.
La troisième version est aussi l'occasion d'accueillir comme il se doit notre nouvelle modératrice, sauveuse de vie, reine ultime : astre défunt ! Bienvenue à elle dans l'équipe.
Merci aux membres de continuer à faire vivre MIIK, d'être toujours compréhensifs, motivés, plein de créativité et jouer le jeu jusqu'au bout, on vous aime fort !!
Et vous, futurs membres, pouvez toujours nous rejoindre sur le forum, on vous attend avec impatience !
✰ Lien du forum. ✰ Lien du serveur discord.
9 notes · View notes
marie-swriting · 7 months ago
Text
Être Avec Toi - Kate Bishop
Tumblr media
Marvel Masterlist
Résumé : Après avoir fait un cauchemar dans lequel tu mourais, Kate a peur que tu ne sois pas en sécurité avec elle, mais elle ne sait pas comment t'en parler.
Warnings : mort de personnage en rêve, mention de la mort de Natasha, anxiété, angst, hurt/comfort, fin heureuse, dites-moi si j'en ai oubliés d'autres.
Nombre de mots : 2.7k
Version anglaise
Channson qui m'a inspiré : Talk Too Much par Reneé Rapp
La peur se lisant sur son visage, Kate a les yeux grands ouverts posés sur toi. Son arc armée d’une flèche, elle ne sait pas si elle doit tirer ou trouver une autre solution pour te sauver. Au bord du toit d’un immeuble, Wilson Fisk a son bras autour de ton cou alors que son autre main tient un pistolet contre ta tempe. Ton corps tremble et tes yeux sont remplis de larmes alors que tu regardes Kate, complètement apeurée. 
-Tu devrais m’écouter, Kate, et me donner ce que je veux ou tu peux dire adieu à ta copine, menace Fisk d’une voix dure. Si tu l’aimais vraiment, tu l’aurais déjà sauvée.
-Je ne vais rien vous donner.
-Tu en es sûre ? dit-il avant de te tirer dans la jambe pour prouver à Kate qu’il est sérieux.
-Lâchez-la ! s’écrie Kate suite à ton cri de douleur. 
-Tu sais ce que tu as à faire pour que je la laisse en vie. 
-Je vais vous le donner, laissez-la partir.
-Kate, non ! cries-tu alors que Fisk resserre son emprise autour de ton cou.
À contrecoeur, Kate détend son arc avant de le poser délicatement au sol tout en te regardant comme pour essayer de te rassurer. Kate enlève le sac à dos qu’elle porte et le balance vers Fisk. Un sourire machiavélique sur le visage, Fisk relâche sa prise, mais il ne laisse pas partir pour autant. Tu arrives à respirer un peu plus facilement quand Fisk te balance d’un coup sur le côté et se saisit du sac. Tu hurles en te sentant partir vers le vide. Ton corps passe de l’autre côté quand une main saisit la tienne. En relevant la tête, tu vois Kate te tenant de toutes ses forces. 
-Ça va aller, je te tiens ! Je vais te remonter. Tiens bon, te rassure-t-elle en essayant de te remonter alors que Fisk fuit les lieux.
-Kate, j’ai plus de force. 
Une larme coule sur ta joue en disant ta phrase. Tu es physiquement épuisée. Fisk t’a enlevé une journée entière pour tendre un piège à Kate et il n’a pas été tendre avec toi. Il est reconnu pour sa cruauté et tu en as fait les frais. Toutefois, tu mets toutes tes forces pour aider Kate à te hisser, en vain.
-Je vais trouver une solution. Je vais te remonter. Je vais y arriver, répète Kate autant pour se réconforter elle que toi. 
En plus de la peur, l’acceptation prend possession de ton corps. Tu sais qu’elle n’y arrivera pas, Kate a beau être forte, tu sens tes mains lentement glisser des siennes alors, tu la regardes tendrement avec un sourire qui se veut rassurant.
-Ça va aller, Kate. Je t’aime.
La panique de Kate se stoppe en entendant ta phrase, c’est la première fois que tu dis “je t’aime”. Vous n’êtes ensemble que depuis trois mois et jusqu’à cet instant, vous n’aviez pas osé dire ces trois mots.
-Je vais réussir à te remonter, je t’ai dit ! Ne me dis pas ça comme si…
-Kate, c’est pas grave, dis-tu doucement. 
-Non, arrête. Je…
Kate n’a pas le temps de finir sa phrase que tes mains lui échappent et tu tombes de l’immeuble. Elle hurle ton prénom à s’en déchirer les poumons, la vision de ta chute se gravant dans sa mémoire. Le bruit de ton corps percutant le sol retentit et Kate n’arrive pas à détourner les yeux de toi.   
Kate prend une grande inspiration en s’asseyant sur son lit, la respiration haletante. Une main posée sur sa poitrine, elle essaye de se remettre de ce cauchemar. Le réveil brutal de ta petite amie t’a sorti de ton sommeil. Tu te retournes et vois Kate agitée. Tu t’assois et pose une main sur épaule, la faisant se tourner vers toi brusquement, la peur quittant ses yeux pour être remplacée par le soulagement. Tu as à peine le temps de voir une larme couler sur sa joue que Kate se jette dans tes bras. 
-Qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète. 
-Tout va bien, tu es là.
-Tu n’as pas l’air bien. 
-Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai juste fait un rêve, ment-elle en reculant légèrement et avec un faux sourire.
-Tu veux qu’on en parle ? Il a l'air de t’avoir secoué.
-Pas besoin. Ce n’était rien. C’était un rêve débile, il ne représentait rien. Je vais bien, dit Kate rapidement avant de se lever du lit. Je dois partir, j’ai entraînement dans peu de temps. Tu peux rester là, si tu veux ou tu peux faire autre chose, comme tu veux, mais je vais sûrement rentrer tard. Fais attention à toi et appelle-moi s’il y a quoique ce soit de bizarre. 
Kate finit sa tirade en t’embrassant chastement avant de fuir sa chambre comme s’il y avait le feu. Tu regardes par où elle est sortie, complètement perdue. Malgré ce qu’elle a dit, tu as vu clair dans son jeu et tu sais que ce cauchemar l’a perturbée. Tu te dis que tu essayeras de lui en reparler plus tard quand elle sera calmée. 
Les jours suivants, le cauchemar de Kate continue à la hanter et elle n’ose toujours pas t’en parler. Son rêve l’a fait se remettre en question, surtout sur votre relation. Bien qu’elle ne l’ait jamais dit à voix haute, elle t’aime et elle ne veut pas te perdre. Cependant depuis qu’elle est devenue une justicière après sa rencontre avec Clint Barton, elle doit prendre en compte les nouveaux dangers. Clint lui a déjà un peu parlé de Natasha et même si Natasha n’est pas décédée dans les mêmes circonstances que toi dans son cauchemar, le fait est que les Avengers sont en danger perpétuels et par extension leur proches. Et puis, depuis que la mère de Kate est partie en prison, elle a de plus en plus peur de perdre ceux qu’elle aime.  
Kate a pris conscience de tout ce que ça représente d’être avec elle et elle n’est pas sûre que tu le saches. Kate a peur de causer ta perte à cause de ses choix de vie donc elle veut t’éloigner, mais elle veut également te garder auprès d’elle, même si elle sait que ça serait égoïste de sa part. Elle devrait t’en parler, cependant si elle le fait, elle partira dans une spirale en disant trop et probablement en rompant avec toi, car ses peurs grandissent de jour en jour donc elle préfère rester silencieuse. 
Bien évidemment, ce changement de comportement n’est pas passé inaperçu. À de nombreuses reprises, tu as tenté de la mettre à l’aise sans être trop directe, de peur de la braquer, mais elle a toujours évité le sujet.
Elle ne mentionne pas son cauchemar même une semaine plus tard et elle reste perdue dans ses propres pensées. Ça la tue de prendre ses distances avec toi. Tu essayes de parler avec Kate autant que tu le peux, mais c’est comme parler dans le vide et pourtant, tu continues à lui parler, même si Kate ne semble pas y prêter attention. 
Un jour, pendant que vous marchez dans la rue, tu racontes à Kate comment s’est passé ton dernier examen. Comme à ton habitude, quand tu discutes, tu ne regardes pas où tu vas, te focalisant sur ton interlocutrice. Alors que tu parles de ton ressenti général sur le partiel, tu sens juste Kate te tirer violemment en arrière puis tu vois une voiture bleue rouler vite et klaxonner. 
-Ça va ? Tu n’as rien ? questionne Kate, inquiète, en cherchant une potentielle blessure. 
-Grâce à toi, je vais bien. 
-Tu dois vraiment apprendre à regarder devant toi quand tu parles, surtout dans la rue ! rétorque-t-elle, agacée. Si je n’avais pas été là, tu aurais pu avoir un accident ! Il roulait hyper vite, il aurait pu te renverser, tu t’en rends compte ? Comment tu peux être aussi insouciante ! Tu m’as fait peur ! Imagine si je n’avais pas vu la voiture, tu serais morte devant moi ! 
-Mais tu l’as vu à temps et tu m’as tiré avant qu’elle me percute. Je vais bien, Kate, il y a eu plus de peur que de mal, affirmes-tu calmement, espérant faire redescendre la pression.
-Parce que tu as eu de la chance ! Tu n’en auras pas toujours, il peut t’arriver quelque chose à n’importe quel moment.
La respiration de Kate se fait de plus en plus haletante et tu comprends que ça va plus loin qu’un chauffard qui aurait pu te renverser. Tu forces Kate à te regarder avant de dire sur un ton rassurant : 
-Kate, respire. Je vais bien, tu vas bien, on va bien toutes les deux. 
-J’ai eu peur. 
-Je sais. Viens, on va chez moi, l’invites-tu en commençant à l’amener dans la direction opposée.
-Mais tu voulais t’acheter ton nouveau livre, proteste Kate, perdue.
-J’irai un autre jour. On devrait rentrer, loin des voitures, dis-tu avec un petit sourire, mais Kate n’est pas d’humeur à rigoler. Trop tôt ?
-Oui, deux minutes après ton presque accident, c’est trop tôt. 
-Désolée. Allez, viens, dis-tu en prenant la main de Kate.
Vous faites le chemin inverse jusqu’à chez toi tandis que tu caresses sa main avec ton pouce pour la réconforter. La réaction de Kate te confirme que tu dois la faire parler, même si tu dois la forcer. Quelque chose ne va pas, elle est angoissée, surtout par rapport à toi et tu ignores la raison.
Quand vous arrivez dans ton appartement étudiant, tu la laisses s’installer sur ton canapé pendant que tu prépares des chocolats chauds ; peu importe la saison, Kate adore les boire. Tu espères que la boisson chaude la mettra plus à l’aise pour parler. Une fois les chocolats chauds prêts, tu la rejoins sur le canapé. Tu la laisses boire quelques gorgées avant de prendre la parole : 
-Kate, on doit en parler. 
-Je ne veux pas en parler, déclare-t-elle en évitant ton regard.
-Tu es clairement stressée par rapport à quelque chose, tu ne peux pas rester dans ta peur seule. Parle-moi. 
-Je…, commence Kate avec hésitation, je me demande si tu sais vraiment de quoi tu t’es engagée en sortant avec moi et si ce n’est pas le cas alors je me demande si tu voudras encore de moi quand tu le réaliseras.
-Pourquoi tu dis ça ? 
-Tu es morte, annonce-t-elle de but en blanc.
-Kate, la voiture ne m’a pas renversé.
-Dans mon rêve. 
-Celui de la semaine dernière ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ? demandes-tu, commençant à comprendre la situation.
-Tu es morte et c’était de ma faute.
-Je suis sûre que ce n’est pas vrai.
-Si, ça l’est, insiste Kate, les larmes aux yeux. Fisk m’avait retrouvé et il voulait mon sac, j’ignore ce qu’il y avait de si précieux dedans, mais il ne lâchait pas l’affaire et pour me forcer à le lui donner, il t’a enlevé. Il t’a tiré dans la jambe et quand je lui ai enfin donné le sac, il t’a balancé du haut de l'immeuble - parce que oui, on était sur le toit d’un immeuble - et j’ai essayé de te retenir, mais je n’avais pas assez de force pour te remonter et… et tu es tombée, raconte-t-elle, la voix se brisant à sa dernière phrase. Tu es morte et c’était de ma faute. Si j’avais écouté Fisk plus tôt, si j’avais eu plus de force…
-Kate, ce n’était qu’un rêve, l’interromps-tu en prenant sa main dans la tienne.
-On aurait pas dit un rêve, ça avait l’air réel et ce rêve m’a fait réfléchir, rétorque Kate en posant sa tasse sur la table basse. À n’importe quel moment, il peut être réel. Maintenant que j’ai travaillé avec Hawkeye et avec ma mère qui était dans les affaires de Fisk, je peux être une cible à tout moment et je ne veux pas que tu sois blessée par ma faute. Je tiens trop à toi pour te perdre, surtout si c’est de ma faute. Et même si je ne suis pas Spider-man ou Captain America, avec le temps, je pourrai avoir des ennemis encore plus redoutables que Fisk et Fisk est déjà assez horrible. Ce rêve a été comme un déclic, je peux pas être avec toi, car ça veut dire que tu es en danger et tu te mets déjà assez en danger quand tu parles dans la rue sans regarder où tu vas. Qui marche sans regarder où il va sérieusement ? divague-t-elle avant de reprendre son cheminement de pensées. Le fait est qu’en sortant avec moi, tu te mets en danger et c’est quelque chose qu’il faut que tu gardes en tête, ajoute Kate avant de prendre une grande inspiration. Bref, maintenant que je t’ai dit tout ça, est-ce que tu veux encore être avec moi ? Parce que moi, je veux être avec toi, peut-être même pour toujours, merde, peut-être pas pour toujours. Ce que je veux dire ce n’est pas “pas pour toujours”, ajoute Kate en te laissant pas une seconde pour répondre. En fait, je ne sais même pas ce que je veux dire. Tu m’en veux parce que je te pousse à rompre avec moi à cause d’un stupide cauchemar ? Tu m’en veux, c’est sûre et je comprends si c’est le cas, je m’en fiche. C’est juste qu’avec ce rêve, j’arrête pas de me demander si ce n’est pas un signe, comme un rêve prémonitoire, tu vois et si c’est le cas, je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé en te donnant une porte de sortie quand il était encore temps. Et, oh mon Dieu, je crois que je parle trop, se dit Kate à elle-même. Je parle trop, hein ? C’est sûr, je devrais te laisser parler. Comme t’as dit, on devrait parler et… Ah! Ferme-la, putain ! crie-t-elle, frustrée.
-J’ai rien dit ! réponds-tu en levant les mains en l’air innocemment. 
-Pas toi, désolée, je voulais dire moi, se corrige Kate, un air coupable sur le visage. Je voulais dire que je devrais me la fermer et te laisser parler.
-Je peux y aller ? demandes-tu après l’avoir laissée respirer tranquillement, quand elle hoche la tête, tu reprends la parole : Kate, je comprends que ton cauchemar t’a secoué, mais ça ne veut pas dire qu’il se produira. Et puis, je savais dans quoi je m’engageais en sortant avec toi - tu t’es vantée d’avoir travaillé avec Hawkeye pendant notre premier rendez-vous donc, je savais pour le côté justicier, potentiels ennemis et j’ai quand même accepté de faire un deuxième rendez-vous avec toi. J’ai conscience de tout ça et malgré tout, je ne veux pas qu’on se sépare, surtout pas à cause d’un rêve, ajoutes-tu d’un ton doux, mais ferme. Et puis, je ne voudrais pas te laisser seule. Être une justicière est déjà assez compliqué, tu ne peux pas t’isoler. Tu dois me parler quand ça ne va pas, surtout quand c’est au point où ça te rend malade. Je veux rester avec toi. Je ne sais peut-être pas tirer à l’arc ou me battre, mais je peux être là pour toi. Je veux être là pour toi. T’auras beau essayer de me donner toutes les portes de sortie du monde, je veux encore être avec toi. Je t’aime Kate, confesses-tu en la regardant dans les yeux. 
-Tu m’aimes ? questionne Kate, étonnée. 
-Bien sûr.
-Wow, je pensais pas qu’on avait atteint ce stade dans notre relation et je pensais surtout pas que tu le dirais pendant qu’on a ce genre de conversation. Enfin, techniquement dans mon cauchemar, tu me l’as dit avant de mourir, mais on devrait oublier ce cauchemar. Enfin bref, j’imaginais que tu le dirais pendant qu’on ferait quelque chose de plus romantique. Mon Dieu, je divague encore, n’est-ce pas ? 
Tu rigoles légèrement en posant tes mains de part et d’autre du visage de Kate avant de l’embrasser. En sentant tes lèvres sur les siennes, les peurs de Kate se calment enfin. Le baiser dure seulement quelques secondes afin de permettre à Kate de se concentrer sur autre chose, mais il n’en est pas moins rempli d’amour et de tendresse. Quand tu brises le baiser, Kate te fait un sourire que tu trouves mignon.
-Je t’aime aussi, dit-elle en caressant ta main droite encore posée sur sa joue. 
-Je t’aime et je veux être avec toi, Kate Bishop, peu importe ce que tu peux dire pour m’en dissuader. 
À tes mots, le sourire de Kate s'agrandit, contente d’avoir pu trouver quelqu’un d’aussi compréhensive et gentille que toi. Elle n’aurait pas pu rêver une petite amie plus adorable dans ce monde de brute.
Marvel Masterlist
14 notes · View notes
aforcedelire · 2 months ago
Text
Nous, Christelle Dabos
Tumblr media
La reine Christelle Dabos est de retour pour mon plus grand bonheur ! Cette fois, elle nous emmène dans une société dystopique et futuriste, où chacun fait partie d’une sorte d’intelligence collective appelée le Nous, qui régente tout. Au cœur du Nous, chacune et chacun a un Instinct, et l’Instinct sait où, quand et comment. Instinct de protection, Instinct de confident, Instinct nourricier, Instinct musical, Instinct de réparation… Goliath, un protecteur, n’a plus qu’une vie à sauver avant d’espérer devenir un Saint. Claire, elle, garde un secret qui pourrait bien tout envoyer en l’air.
Je trouve ce roman un peu compliqué à résumer et à expliquer… mais la vache, qu’est-ce que c’était bien ! Au début, j’avoue (comme avec La Passe-Miroir cela dit) j’ai eu du mal à rentrer dedans. L’univers riche et fourmillant, la multiplicité des personnages et des points de vue, les règles à appréhender… et puis comme avec La Passe-Miroir et Ici et seulement ici, le déclic. D’un coup, je me suis plongée dedans, j’ai retrouvé avec délice Claire et Goliath et tous les autres, et je tournais les pages avec avidité. C’est du grand Christelle Dabos, et c’est du pur bonheur.
J’ai beaucoup aimé cette création et cette multitudes d’Instincts, allant du plus petit (resserrer les vis de toutes sortes d’objets, par exemple) au plus imposant et abstrait. Au début ça me faisait un peu penser à Divergente, avec ces différentes « factions », mais c’est carrément plus que ça. J’ai beaucoup aimé voir ce nouveau monde se dessiner et prendre forme devant moi. Et puis : c’est une dystopie pour les (grands) ados, qui est en un seul tome. Dont l’histoire est complète et foisonnante. Et surtout, c’est ce genre de roman où à la fin tu repenses au début, et tu te dis « Il s’est passé tellement de choses et ils ont vécu tellement de choses, c’est fou que ça ne se soit passé qu’il y a 500 pages ». Les 100 dernières pages étaient DINGUES, définitivement ce Nous c’était un vrai bonheur à lire. L’ambiance vintage était folle, vraiment j’ai adoré.
Et puis surtout, j’ai vu un avis qui disait que c’était le Mea culpa de l’autrice pour la fin de LPM 4, et : oui.
18/11/2024 - 28/11/2024
6 notes · View notes
charmemma · 3 months ago
Text
Fais-moi rire
Fais-moi jouir
Fais-moi frémir.
Pétris-moi, malaxe-moi,
Retourne-moi, aplatis-moi,
Arrondis-moi, caresse-moi,
Reforge-moi, refonde ma gorge et
Mes omoplates.
Mes vallées.
Fais-moi frémir.
Fais-moi rire, monstrueusement,
Secrètement.
Rageusement.
Explosivement.
Fais-moi jouer et pâlir
Fais-moi rougir
De tout le corps.
Verser les larmes de mon corps,
Le sel, la sueur de mon cerveau.
Le suc de mes lèvres et la
Fontaine tout en miel.
Malaxe-moi, resserre-moi,
Enserre-moi, attache-moi,
Tue-moi et ressuscite-moi.
6 notes · View notes