#rap indé
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Des Coeurs pour aider en direct !? 💞
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Cailloux Coeurs ou Lingots Coeurs #LNDAXV1KCOEUR !
Je vais m’occuper de la section privée, vous pouvez commencer à vous inscrire !
1 peu de bonne musique en attendant !
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#Amour#Union#Music#RAP#Zirko#SKSCREW#KenyArkana#Indé#Anti-pédocriminalité#TeamFSociety#Anti-satanisme#illuminatiEnd#ChildAbuseEnd#LaFinDuMal#Ladea#Sniper#Danakil#UnionSacrée#V1KCOEUR#LaNaturalezaDelAlma#Résistance#OneLove#Coeur#Marion Sigaut#SacredUnion#Révelation#LNDA#Love
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Que ce soit le génie rétrospectif ou le manque de flow, rien n'a permis que le rap échappe à la médiocrité et au bling, à la violence et à l'ennui. Hip hop is dead avait dit l'autre. Mais ces rappeurs de pacotille branlant leur brand trip à Dubaï feraient rire s'ils croyaient moins à leur aura et à leur chance.
Regardez bien quand les gros poissons remontent du fond pour croquer leurs fretins de rappeurs de Champs Élysées et de soirée en blanc, explosés derrière la vitrine...
Je m'rappelle quand les gars des labels ont lancé l'électro, tellement ils en pouvaient plus de ces rappeurs malhabiles. 2000 c'est la fin du rap, d'internet et de notre liberté. Merci à ceux qui ont promu ces grandes messes festives marquant le début du nouvel ordre international, les "pirates" de la flouenterie et de la médiocrité...
Moi, depuis 93 et jusqu'à sa mort, j'avais jamais entendu parler de ce génie, qui officiait, comme tous les génies, dans les plus hautes sphères parisiennes, créant l'attractivité future d'un mouvement sans repères locaux. Anyway à cette époque on écoutait l'underground US, pas les NRJ awards. Electro sonnait comme le glas du message politique contenu dans le nom même... Oublions!
Le 113, le groupe le plus flingos de l'époque, avec son leader, dont le flox repoussait un danseur à 10 mètres de la piste... Les DA, venant du rock indé, du punk et du Jazz, détestaient, je le répète, et ne savaient choisir que ceux qui les avaient enfumés, ou ennarinés... Avec des exceptions mais ça compte pas en fait... Politiquement le rap a amené un espoir que les majors ont directement ruiné, créant une frustration chez les afficionados de niveau émeute, mais larvée...
Tous se sont alors mis à faire des "produit de com", calqués sur la pratique de deal, on coupe le produit avec de la merde (electro) pour vendre aux bolos... Miskin, ils savaient à peine rapper qu'ils pensaient déjà à fabriquer des moules pour couler leurs bronzes en série... Voilà la rue sans âme qui se pointait avec ses clichés bronxiens... Amérique quand tu nous efface!
Le rap frelaté a tourné la tête de tant d'erres qu'on ne revient plus à la qualité, au sensible. Il est une part de notre effondrement, tandis que sa version libre, sauvage, aurait été un morceau de notre bravoure...
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Jacques Rigaud, ancien ministre de la Culture de Pompidou et figure éminente de nombreuses institutions culturelles, affirmait en 1975 dans La Culture pour vivre, un de ses essais qui connut un grand succès public : « Consommer, c'est être consommateur ; mais cultiver, c'est être un fabricant, c'est travailler." Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'après un peu plus de 40 ans, alors que les jeux vidéo et les émissions de télévision commencent à dominer les rubriques culturelles des journaux, le conflit entre culture et consommation n'est plus évident.Ouvrir n'importe quel journal, c'est mesurer ces changements : loin de stigmatiser les industries culturelles, ce discours sur la culture place les blockbusters, la musique pop et les jeux vidéo au premier plan, non pas parce qu'ils représentent une réaction contre les représentations dominantes (comme le punk ou le hip hop) ou un rejet d'eux (comme certains jeux vidéo "indé"), mais plutôt parce qu'ils forment le centre même de notre culture.Il est très difficile d'évaluer comment notre rapport à la culture a changé au cours des dernières décennies. Le modèle moderniste, qui avait été le pilier philosophique de nos sociétés depuis la fin du XIXe siècle et sur lequel reposait notre représentation de la culture, apparaît aujourd'hui lamentablement dépassé. Le fameux clivage entre culture savante et culture de masse, ou entre culture intellectuelle et culture populaire, n'est plus qu'un mythe qui ne se matérialise qu'occasionnellement, mais que plus personne ne prend au sérieux. De plus, c'est le conflit entre le marché et les artistes, entre l'entreprise et la création, qui semble presque insurmontable. Imaginez cependant que dans les années 1970, ou aujourd'hui, pour une partie non négligeable de la population, des fictions de genre (science-fiction, polar fiction, fantasy), des séries télévisées qui déstabilisaient le public, et des musiques rock et pop qui n'en faisaient pas vraiment partie de la culture étaient encore considérées comme des productions destinées aux enfants et aux adolescents. Ainsi, une distinction assez claire entre la culture de consommation et de divertissement et la haute culture a été établie (au moins dans le discours). Ou alors, c'est ce modèle dépassé de légitimité qu'avait décrit Bourdieu, avec ses hiérarchies collectives plus ou moins acceptées et ses rapports de force dans le champ des arts, qui a dérapé. Tout le monde lit désormais des livres autoédités ou regarde des émissions de télévision, tient un joystick dans ses mains pour jouer à des jeux vidéo et écoute de la musique pop ou rap. Et comme l'ont démontré des sociologues comme Bernard Lahire, Philippe Coulangeon ou Hervé Glévarec (bien qu'avec des conclusions quelque peu différentes), le sujet de la hiérarchie des valeurs et des goûts est aujourd'hui beaucoup plus complexe, émergeant dans toutes les sphères de la culture et changeant selon les contextes sociaux.Le cadre idéologique qui a servi de base aux discussions sur la culture au XXe siècle est sur le point de s'effondrer.Il existe sans aucun doute une variété d'explications qui peuvent être données pour ces changements.
L'essor d'une culture de consommation, la marchandisation des produits qui l'accompagnaient, la multiplication des demandes médiatiques, l'accélération des rythmes attentionnels et l'hédonisme culturel ont imposé une vision plus détachée de la relation entre l'esthétique, alors même que le croustillant des œuvres du dernier modernisme à des formes de plus en plus cérébrales ont conduit à leur inévitable marginalisation dans un espace.Après cela, on peut s'émerveiller du triomphe du produit, amplifier les prédictions et se déclarer le dernier des modernistes, mais force est de reconnaître que le jeu a déjà commencé. Et ce changement significatif ne se limite pas à la façon dont le vocabulaire de la culture pop a été intégré dans le domaine des arts (comme dans le cas du pop art, du street art ou du néo pop), ni aux interactions entre les contre-cultures , les sous-cultures et la culture pop (bien que l'importance de ce dernier phénomène soit sans aucun doute sous-estimée). Elle s'intéresse principalement à l'intégration complète de la culture pop dans les domaines de l'esthétique et de l'art, y compris ses formes industrielles et médiatiques produites en série. Cela signifie que le cadre idéologique qui a fourni une part importante du fondement des discussions sur la culture au XXIe siècle est en train de se dissoudre : la nature des choses que nous considérons aujourd'hui comme « artistiques » a changé, nous n'évaluons plus eux de la même manière, et on n'attend plus les mêmes choses de leurs créateurs.Au lieu d'y réfléchir, il faut essayer de comprendre concrètement les effets de ces transformations. Nous n'avons pas l'intention de le faire de manière exhaustive; nous n'en citerons plutôt que quelques-unes parmi tant d'autres, à l'aide d'exemples variés qui parlent des trois piliers de la création : l'œuvre, l'auteur et le jugement esthétique. Ils s'éloigneront volontairement du "monde des arts" au sens où ils l'entendent parce qu'ils veulent savoir ce que signifie réellement s'intégrer dans le domaine esthétique de la production des industries culturelles.
L'oeuvre initiale. Un important changement s'est produit dans la relation entre les unités de « texte » produites en masse (qu'il s'agisse de romans, de films ou de dessins animés) et la production de recueils de textes qui fonctionnent. Des exemples de ceci incluent des histoires de personnages récurrentes (Sherlock Holmes, James Bond), des cycles de romance qui étendent la recherche du héros à travers plusieurs histoires (une technique qui est particulièrement courante dans les genres imaginaires de la fantasy et de la science-fiction), et plus encore.C'est le concept même d'œuvre unifiée qu'il faut fixer.Enfin, depuis quelques décennies, on assiste à la prolifération d'univers « transmédias », conçus à l'origine comme des collections de productions interconnectées pouvant être diffusées sur différents supports. Les univers Marvel, DC et Star Wars en sont des exemples, qui apparaissent comme des réseaux complexes de "textes" supplémentaires qui encouragent le spectateur à s'engager plus profondément dans l'œuvre. La relation à un texte unique cède la place à un système d'expériences d'une œuvre qui apparaît à la fois comme un monde et une collection d'histoires et d'objets, et qui éloigne considérablement l'expérience esthétique de ce monde vers les frontières floues qui lient la variété des textes et des marchandises.
Cette fragmentation de l'expérience implique qu'un consommateur devra travailler pour la réassembler lorsqu'il se déplace entre les textes et les médias dans une expérience fluide. Le périmètre de l'œuvre flotte puisque de nouvelles histoires s'y ajoutent constamment. Le concept d'une œuvre unique qui exprime une vision du monde et un geste sonore puissant est erroné.Le deuxième effet tout aussi significatif de la modification est une nouvelle définition de la personnalité de l'auteur. Les auteurs des différents textes ne sont que les contributeurs d'une œuvre qui les dépasse si la compréhension esthétique de chaque histoire est placée dans un jeu de circulation entre les textes composant le monde et la franchise. De plus, ils n'agissent souvent qu'en tant qu'exécutants dans les négociations avec les franchisés et les ayants droit, les producteurs, les avocats, les directeurs marketing et une foule d'autres participants qui ont contribué d'une manière ou d'une autre à la définition de l'œuvre.Est-il encore pertinent de penser une œuvre d'art comme le projet de son créateur alors qu'elle est produite par un grand nombre d'intermédiaires et qu'il s'agit généralement d'une entreprise collective impliquant des enjeux économiques, industriels, artistiques et communicationnels ? Qui est le créateur d'une émission de télévision, d'un film Marvel ou Disney, d'un jeu vidéo, etc. ? Bien sûr, des tentatives sont faites pour réintroduire des figures héroïques traditionnelles, comme le showrunner et le game designer, ou pour mettre en avant des cinéastes souvent réduits à des rôles d'acteurs. Ou, serait-il plus intéressant d'essayer de comprendre comment elle s'éloigne des rôles qui lui ont été assignés dans notre imaginaire plutôt que d'essayer en vain de restructurer l'image aristocratique pour l'adapter aux définitions modernistes qui valorisent un type radical d'autonomie ?Les rôles d'un artiste et d'un entrepreneur sont de plus en plus explicitement confondus.Par exemple, dans les œuvres culturelles produites en série, l'auteur n'est plus seulement l'exécuteur de l'œuvre, mais son maître : le producteur plutôt que le réalisateur, le créateur de l'émission télévisée plutôt que le scénographe et réalisateur d'épisodes, le game designer plutôt que les artistes et programmateurs. L'auteur délègue alors l'exécution de ses œuvres à une équipe d'exécutants, ce qui modifie profondément le statut de l'auteur en raison du caractère collectif de l'entreprise de création. Cette logique entrepreneuriale explique pourquoi les rôles de l'entrepreneur et de l'artiste se confondent de plus en plus. Prenons une illustration simple : Quel est le personnage authentique qui unit les nombreux films de la série Marvel ? Est-ce James Gunn, qui a été remercié pour un tweet embarrassant, ou l'un des autres réalisateurs dont le travail est devenu indiscernable en raison de son style spectaculaire ? Est-ce Stan Lee, qui se contente de jouer ce rôle dans des vidéos qui font le bonheur de ses admirateurs ? Sont-ce des acteurs qui ont conscience que dans quelques années ils n'auront plus l'opportunité de jouer Iron Man ou Captain America ?Non, Kevin Feige est la figure la plus proche de ce que l'on entend par auteur. Cela est vrai non seulement parce qu'il est à la tête des studios Marvel, mais aussi parce qu'il a la tâche difficile de rendre l'univers Marvel cohérent, c'est-à-dire de donner aux intrigues et aux chronologies des films et des émissions de télévision un sentiment d'unité. Ou alors, la construction de ce monde est moins motivée par un désir de créer un corps de fiction cohérent pouvant supporter un grand nombre d'histoires que par un besoin de s'aligner sur la marque Marvel. Rassembler les différentes fictions dans un univers cohérent, c'est aussi garder le contrôle de la marque et de ses objectifs.
Depuis, chaque nouvelle vidéo sert à la fois d'élément d'une gamme de produits et d'énoncé qui s'éloigne de la fiction et fait avancer le message de la marque. On peut dire que la marque (Marvel, DC, Star Wars) occupe à la fois la position d'auteur (qui unifie le sens) et l'œuvre (dans laquelle ce sens est déterminé) dans une perspective de construction identitaire. En témoigne, par exemple, la manière dont le nom Disney désigne à la fois le créateur et l'univers de la marque matérialisé dans les différents parcs à thème.De ce fait, on assiste à une reconfiguration profonde du rôle de l'auteur, à l'opposé de la figure dissidente de l'artiste romantique (même si les univers élargis et leurs implications cosmiques restent dans la mémoire) ou de la figure cérébrale de l'artiste moderniste (puisque la sophistication a largement éloigné d'une articulation entre logique narrative et logique marchande). Cela a également un impact sur la manière dont les œuvres sont reçues et engage une logique esthétique plus faible. Sans l'expérience sublime, l'appréciation des œuvres est ici dominée par une dynamique d'amusement et de plaisir momentanés ; le jugement est porté volontairement à partir d'un vocabulaire de plaisirs quotidiens, fréquemment associé à la consommation (comme « cool », « sympa », « marrant », « mignon », « kitsch », etc.). Cela ne veut pas dire pour autant que ces critères de jugement seraient moins esthétiques que ceux appliqués à des expériences artistiques plus conventionnelles ; au contraire, la recherche a montré que le jugement de goût est le plus souvent utilisé dans les expériences quotidiennes liées aux médias et aux consommateurs. En termes simples, lorsque nous parlons d'expériences esthétiques dans le domaine de la culture, les normes de jugement sont d'un autre type et nous obligent à remettre en question nos présomptions.Ce que le travail perd en individuation, il le gagne en socialisation.Esthétique expérientielle ancrée dans le quotidien, mais naviguant dans l'espace médiatique à travers un large éventail de variations (y compris les stéréotypes, la transformation d'un support en un autre, et la série continue d'épisodes de semaine en semaine et de saison en saison), l'œuvre offre une perspective qui gagne en pertinence par rapport à l'actualité et aux enjeux sociaux tout en perdant en densité symbolique. En passant d'un texte à l'autre, en rassemblant des expériences et produits connexes, et en suivant le déploiement des histoires sur plusieurs mois, l'amateur pourra s'approprier l'œuvre pour une expérience spontanée à la fois banale et intense. Il est également possible de le partager au fil des mois voire des années avec des amis proches. C'est le pouvoir de ces expériences esthétiques d'organiser une expérience de groupe sur une période de temps potentiellement prolongée. Ce que le travail perd en individuation, il le gagne en socialisation. Il est possible de se moquer des fans et de leurs commentaires exagérés sur des œuvres que l'on considère comme de simples produits, tout en ignorant les implications sociales internes et externes de ces plaisirs esthétiques.Ces quelques exemples n'ont pas vocation à représenter toutes les mutations culturelles dans toute leur complexité, mais ils permettent de mesurer la complexité des phénomènes contemporains qui modifient en profondeur non seulement les frontières de notre culture mais aussi notre façon de voir les œuvres d'art et de formuler notre jugements esthétiques. Ce n'est pas tant le type d'œuvres ou les critères pour les évaluer qui sont nouveaux - le régime médiatique et marchand a imposé des normes pour ces usages depuis le XIXe siècle - que le fait que ces activités et ces objets habitent désormais pleinement le domaines du discours esthétique. Depuis, nous ne pouvons plus agir comme si les médias et les cultures de consommation nous étaient étrangers alors qu'ils ont façonné nos expériences et notre vision du monde pendant plus d'un siècle.
C'est pourquoi il vaut mieux s'interroger sur ces mutations, démêler leur logique inhérente et tenter de comprendre ce qu'elles nous disent sur les mutations profondes qui affectent nos sociétés alors même qu'elles réussissent à tourner la page du modernisme plutôt que de déplorer le déclin irréversible d'une culture basée sur le consumérisme ou jouant le jeu de l'artifice de la pop culture sans fin.
Rédigé par Arthur Torchy-Tissier.
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#TRAILER exclusif et dernière ligne droite avant la sortie du nouveau single d'ALE[X] : #NousSavons. A paraître sur toutes les plateformes le 20 août prochain ✊🏼💪🏼 Pré-sauvegarde du titre ici : https://backl.ink/147790635 CONCOURS spécial (participation gratuite) toujours en cours, voici le lien Instagram : https://www.instagram.com/p/CSPb0TfssDM/ Abonnez- vous à la chaîne d'ALE[X] :https://www.youtube.com/c/al3ixi/?sub_confirmation=1 Retrouvez ALE[X] sur : Instagram : https://www.instagram.com/al3ixi Facebook : https://www.facebook.com/AL3IXI Twitter : https://www.twitter.com/al3ixi TikTok : https://www.tiktok.com/@al3ixi Odyssee : https://odysee.com/@al3ixi "Conspiracy Social Club" est un nouveau concept dont fait partie ce morceau.Si vous avez des questions ou si vous voulez échanger, vous êtes les bienvenus en commentaires ! Concernant ce trailer 🎞️ : Conception & Moyens Techniques : @lesassociablesfilms Prise de vue & Montage : @jahizp Assistance Technique : @heisenngreg Studio : @xlabstudio Logos : ALE[X] (@al3ixi] #Rap #hiphop #Rapfrancais #rapmusic #rapartist #rapfr #hiphopmusic #hiphopnation #rapindé #rapconscient #al3ixi #frenchkonnexionmusic #ConspiracySocialClub #rapfrance #SethGueko #orelsan #NTM #eminem #Yelawolf #machinegunkelly
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Tant qu’on est là - Hugo Boss, TSR Crew
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Yes yes yo 🎤🎼 @phalo_pantoja à la prod 👊 rdv le 10 mai à @international.oberkampf #gratuit #tiemokohiphopmusique #lamixtiem #wip #dubonrap #support #hiphop #paris #indé #rap
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Voici la liste des sorties FR chanson-pop-rock-electro-rap-indé annoncées pour octobre ! J’ai pris beaucoup de retard ; j’actualiserai cette page régulièrement, so come back soon!
04-oct Aja - Solitaire | EP 04-oct Alex Beaupain – Pas Plus Le Jour que La Nuit | LP 04-oct Baden Baden - La Nuit Devant | LP 04-oct Barbi(e)turix - Compilation | EP 04-oct Electro Deluxe - Apollo | LP 04-oct Franz Kirmann - Madrapour | LP 04-oct Gesaffelstein - Novo Sonic System | EP 04-oct Lucie Antunes – Sergeï | EP 04-oct The Wampas – Sauvre Le Monde | LP 11-oct Ali Danel – Sur Mon Île | LP 11-oct Botibol – La Fièvre Golby | LP 11-oct Chevalrex - Amiral Pop | EP 11-oct David Sztanke - Air India | LP 11-oct Izïa – Citadelle | LP 11-oct La Féline – Vie Future | LP 11-oct Limousine - L’Été Suivant... remixes | EP 11-oct Scratch Massive - Garden Of Love remixes | EP 11-oct Tahiti 80 - Fear Of An Acoustic Planet | LP 11-oct Yuksek - DoBeijo | EP 18-oct Alain Souchon – Âme Fifties | LP 18-oct Bagarre - 2019-2019 | EP 18-oct Frustration - So Cold Streams | LP 18-oct Gemme – Retour Durable De L’Être Aimé | LP 18-oct Lion Says | LP 18-oct Lysistrata – Breath In/Out | LP 18-oct Marie-Flore - Braquage | LP 18-oct Maud Geffray with Lavinia Meijer - Still Life (A tribute to Philip Glass) | LP 18-oct Naive New Beaters | LP 18-oct Oiseaux-Tempête - From Somewhere Invisible | LP 18-oct Poupard – Nous Avons Joué Tous Les Deux | LP 18-oct Robi – Traverse | LP 18-oct SBRBS - By Lust & Gold | EP 18-oct Skip The Use – Past And Future | LP 18-oct Toh Imago - Nord Noir | LP 18-oct Vincent Delerm – Panorama | LP 18-oct Von Pariahs - Radiodurans | LP 25-oct Alma Forrer - L’Année du Loup | LP 25-oct Centredumonde - Tigre, Avec États D’Ame | LP 25-oct Da Silva – Au Revoir Chagrin | LP 25-oct Hypnolove - Plexus | LP 25-oct Maison Neuve - Vivi | LP 25-oct Michel Jonasz - La Méouge, Le Rhône, La Durance | LP 25-oct Somehow - Low Tide | LP 25-oct Theo Lawrence - Sauce Piquante | LP
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Poetry and bewitching melodies
Poetry and bewitching melodies --- #musicblog #music #newmusic #musicblogger #musician #musicislife #hiphop #musicvideo #musiclife #musiclover #blog #rap #musicindustry #hiphopmusic #musicproducer #instamusic #spotify #musiclovers #explorepage
Auteur-Compositeur interprète, multi-instrumentiste, LOMNOUVO nous emmène dans un univers Pop/Rock Indé, teinté de poésie et de mélodies envoûtantes… Son premier single, “Au Commencement”, est un mélange d’élégance, de puissance et de profondeur… A découvrir absolument! Les Fourmis”, c’est également le premier titre jusque là enregistré en studio, avec 2 musiciens. Julien 0’Connor à la batterie,…
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-wild-nothing-indigo/
INTERVIEW - Wild Nothing vogue sur le calme bleu
Avec ce quatrième album, l’incarné « Indigo », Wild Nothing s’est aventuré à Los Angeles pour mieux cultiver son leitmotiv rock et shoegaze… paroles de Jack Tatum
Comme d’autres formations, telles que Cocteau Twins, The Cure ou encore Beach Fossils et DIIV, Wild Nothing a pour vocation l’invitation au voyage, à l’errance. À la croisée des chemins entre la dream pop et un rock épuré découlant vers les contrées du shoegaze, le groupe originaire de Virginie et formé en 2009 par Jack Tatum brille dès son premier opus, Gemini. En 2012, le fameux défi du deuxième album est largement relevé ; Nocturne est encore et toujours ce que Wild Nothing a fait de meilleur. Si le troisième et jusqu’à récemment dernier album, Life of Pause n’a pas été à la hauteur des espérances – par manque de renouvellement -, Wild Nothing a changé d’environnement, donc de schéma de vie, pour repartir sur de bonnes bases.
Malgré tout, Indigo ne sonne ni dépassé, ni avant-gardiste. Il témoigne d’un temps imprécis, tâtant dans des années et des années d’expériences accumulées…
Que s’est-il passé depuis la sortie de Life of Pause, en 2016 ?
Jack Tatum : Au tout début de l’année 2016, j’ai déménagé à Los Angeles, juste avant la sortie de l’album. Cette dernière tournée m’ayant beaucoup fatigué, j’avais besoin de faire un break. Ce que j’ai fait. Petit à petit, sans même m’en rendre compte, je me suis remis au travail. Puisque c’est aussi ça, être musicien. La frontière entre le loisir et le boulot est souvent délicate. Je me mets à gratter quelques accords et je me rends compte, au bout d’une heure, que je tiens le début d’un probable nouveau morceau. J’écrivais, je composais, je sortais avec des amis… Bref, je vivais normalement. Finalement, cet album a été le plus limpide à concevoir de ma carrière.
Pourquoi ?
J.T : J’étais dans mon propre studio de Glassell Park à Los Angeles, j’y vivais presque ! Je pouvais travailler à mon rythme, sans réelle contrainte. Avec du recul, je sais que la période qui entoure Life of Pause m’a mis beaucoup de pression. J’avais cette fichue impression de stagnation. Qu’il n’y avait pas d’évolution qui me contentait totalement. Je pense même que j’ai en quelque sorte perdu l’essence propre du projet pendant un certain temps… Je vis avec mes disques depuis pas mal de temps déjà… Je me suis avoué intérieurement que certains de mes anciens morceaux ne me correspondaient plus. Qu’ils n’étaient plus miens. Ils appartenaient à un autre temps.
« Je sais que ma musique n’est pas intemporelle. Mais tout ce que je souhaite, c’est qu’il soit difficile de l’identifier à une époque particulière »
Et vous avez eu une nouvelle prise de conscience après ça ?
J.T : Oui. Je me suis vite remis sur pieds et j’ai tout simplement constaté que ces anciens morceaux étaient aussi témoins de l���évolution de Wild Nothing. Ils sont toujours là.
Ça vous a donné envie de revenir…
J.T : Disons que ça m’a vraiment permis d’apprécier le retour en studio, comme un vrai vent de fraîcheur.
L’album Nocturne nous hante encore. Ce morceau, Paradise, est sûrement votre plus grand, qu’est-ce qu’il signifie à vos yeux maintenant ?
J.T : Je continuerai encore à jouer mes anciens morceaux, promis. J’ai toujours cette impression que j’aurai pu mieux faire, qu’il manque quelque chose à un certain titre, une variation d’arrangement, par-ci par-là… Mais cette sensation est normale. On n’est jamais satisfait de notre propre travail. Et l’album parfait n’existe pas.
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Comment s’est passée la production avec le groupe pour Indigo ?
J.T : Je commence toujours par la musique. On dit souvent que la mélodie trace le schéma pour le songwriting. C’est bien vrai ! Quoi qu’il en soit, j’ai retrouvé mes potes Cam Allen et Benji Lysaght au Sunset Sound pour enregistrer les prémices. Ils ont pu ajouter des touches personnelles. Tout est venu plutôt naturellement, la production s’est faite dans une optique de clarté, c’est pourquoi l’album est si « oxygéné, » tu vois… Chaque instrument respire et aucune ligne n’empiète sur une autre. Jorje Elbrecht (qui a produit Ariel Pink et Japanese Breakfast, ndlr) était là pour m’aider à finaliser le disque. Je voulais que la chanson se suffise à elle-même, sans dépendre des autres.
De quoi parle cet album ?
J.T : Tous mes précédents disques sont des collections de chansons, sans un concept en particulier. Indigo est, en revanche, très romantique. Il parle beaucoup du fait de s’installer quelque part, d’y rester, d’y faire sa vie. Il y a des chansons d’amour, qui parlent de vivre au jour le jour. J’ai aussi pensé à la manière dont l’album pouvait vieillir. Je sais que ma musique n’est pas intemporelle. Mais tout ce que je souhaite, c’est qu’il soit difficile de l’identifier à une époque particulière. À mon sens, le disque sonne actuel et aussi dépassé. C’est ce qui fait que j’en suis fier.
« Si je n’avais pas fait de musique, je pense que j’aurais repris des études d’arts graphiques »
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Vous avez été bercé par quelles influences ?
J.T : On me pose souvent cette question. J’ai toujours eu du mal à identifier mes influences les plus flagrantes. Écouter de la musique, ça a toujours été l’étincelle de mon processus créatif, comme une évidence…
Disons que Wild Nothing est plutôt difficile à étiqueter.
J.T : Vous trouvez ? C’est peut-être vrai… À vrai dire, il me semble que les genres en musique commencent par s’effriter, se mêler. Dans le sens où un groupe de rock peut très bien approcher l’electro, le rap virer à l’acoustique… Bon, si je devais vous donner mes principales lignes directrices, je pourrais dire Roxy Music, qui m’a apporté des conseils en terme de production. J’aime beaucoup Kate Bush aussi. Je suis attaché à l’énergie que peut transmettre le pop-rock britannique, particulièrement celui de la fin des années 70. C’est assez indémodable. Sinon, j’admire des compositeurs comme Ennio Morricone. Il arrive très bien à capturer l’image d’un film avec la bande-son. Aucun mot, juste la musique.
Wild Nothing composerait la bande-originale parfaite pour un film de Gregg Araki…
J.T : Pourquoi pas ! Je suis un grand fan d’Araki. Mais vous savez, c’est loin d’être la même partie de plaisir, c’est une manière de composer radicalement différente, il faut s’adapter à l’image. Si ça pouvait marcher avec Wild Nothing, c’est parce qu’il y a un leitmotiv dans notre musique, avec les mélodies, les instrumentations… Tout est très aérien. Parfait pour un film indé assez obscur. *rires*
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Qu’est-ce qui se cache derrière la pochette ?
J.T : Si je n’avais pas fait de musique, je pense que j’aurais repris des études d’arts graphiques. Je suis passionné par l’art japonais, celui des 70’s. Tout comme le propos de l’album, la pochette n’est pas ancrée dans un contexte particulier. Il n’y a pas de message caché. Juste des formes géographiques, ça rappelle les vieilles pochettes de disques poussiéreux, trouvés au fond d’un rayon de disquaire. Et il y a cette couleur, bleutée, qui se répand…
L’indigo ? On dit souvent que le bleu apaise, soigne, qu’il communique une sensation onirique.
J.T : C’est aussi pour ça que l’album porte ce nom. Sa méthode de conception est saine, je m’y sens bien. L’indigo est ma nouvelle couleur spirituelle. Ce mot, pour qualifier l’album, est venu en toute logique. J’ai hâte de faire vivre ses morceaux sur scène.
Un passage en France de prévu ?
J.T : On entamera une grosse tournée américaine cet automne. Je pense que nous attaquerons l’Europe, donc la France, au début de l’année prochaine.
Pochette de l’album « Indigo » de Wild Nothing
Indigo, de Wild Nothing, disponible le 31 août via Captured Records.
Propos recueillis par Samuel Regnard
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Feel Like March 2018
Firestarter – Traverse
Ouverture du bal avec une des premières sorties du mois : le très attendu premier LP de Traverse. 11 titres Punk-Rock tout frais, jouissifs et suffisamment marquants pour qu’on se surprenne à les chantonner sans jamais avoir fait l’effort de mémoriser les paroles. Bref, un opus qui prouve qu’on sait aussi y faire dans l’Hexagone et pas qu’un peu (si jamais on n’en était pas déjà convaincu).
Ecoute : https://traverseparis.bandcamp.com/track/firestarter
I Thought You Didn’t Like Even Like Leaving – Prince Daddy & the Hyena
Pop-Punk américain sauce FIDLAR, PUP ou encore Rozwell Kid, ensemble solide et formule résolument efficaces qui tapent dans le mille avec des riffs et refrains accrocheurs. Le tout, parsemé de solos bien fignolés. Il suffit de quelques notes et paroles pour capter l’idée et s’engager complètement dans la chanson qu’on écoute : un gage de la qualité de leur songwriting, sans aucun doute.
Ecoute : https://princedaddyandthehyena.bandcamp.com/track/i-thought-you-didnt-even-like-leaving
Perfect World – Not Scientists
L’instant Cocorico n°2 : Not Scientists revient avec un premier single qui puise dans l’esthétique Cold Wave 80’s pour un mariage musique/paroles au top qui s’agrémente d’une vidéo qui colle parfaitement et une annonce d’album pour le 13 Avril 2018. Bring it on !
Ecoute/Regarde : https://www.youtube.com/watch?v=eKcPz5W1dmg
Dust on Trial – shame
Fleuron tout récent de chez Dead Oceans Records bien que écumant la scène Londonienne depuis 2014, shame délivre une fureur post-punk orchestrée d’une main de maître qui nourrit leurs performances live très remarquées ainsi que l’ensemble de ce premier album, acclamé pour ces explosions brutales et son ambiance orageuse tirant vers le cynique.
Ecoute : Link not found. Sorry, friend.
Danger – Radioactivity
Radioactivity ou la version américaine de The Novice formée au Japon puis rapatriée au U.S. par Jeff Burke est, en somme, un super-groupe qu’on ne présente presque plus. Rassemblant des membres de The Marked Men, Mind Spiders, Bad Sports et Sweet Talk et déjà auteurs de 2 albums, Radioactivity est une des références Garage/Punk-Rock incontournables de ces dernières années avec une recette travaillée et facilement reconnaissable : une musique rapide et nerveuse aux mélodies et gradations vocales cachées derrière une simplicité trompeuse.
Ecoute : https://secretmissionrecords.bandcamp.com/track/danger
Seed of Hysteria – Exit order
Déjà 1 an que ‘Seed of Hysteria’ d’Exit Order est sorti. Un album de Punk Hardcore intense, frénétique et percutant à souhait qui n’est clairement pas tombé dans l’oreille d’un sourd mais plutôt, à point nommé, entre les mains de fans du genre. La tension et l’urgence sont palpables et entretenues à coup de guitares furieuses et lignes de chant perçantes : emprunts et hommages respectueux aux protagonistes des scènes Hardcore et Post-Punk 80’s.
Ecoute : https://exitorder.bandcamp.com/track/seed-of-hysteria
How Simple – Hop Along
Comment parler de Hop Along sans mentionner le régal que sont les infléchissements vocaux de Frances Quinlan ? Impossible. C’est sans compter la capacité du groupe à écrire des chansons aux mélodies intriquées et paroles pleines de petites gemmes, qui peuvent commencer à un premier endroit sur le spectre musical et finir à un autre, complètement différent, à la fin. Bref, du talent à (re-re-)re-confirmer à la sortie du nouvel album : le 6 Avril 2018.
Ecoute : https://hopalong.bandcamp.com/track/how-simple
Yr Beast – Kermes
Un groupe anglais et une autre sortie d’album de plus sur lesquels garder un oeil dans les prochains mois : Kermes ! Un quartet Indie-Punk débarqué de Leicester avec un premier EP, sorti en 2016, à son actif et un album annoncé pour le 13 Avril 2018. ‘Yr Beast’ en est le dernier single en date et s’il commence sur une note de vulnérabilité notable, il ne manquera cependant pas d’en surprendre plus d’un lorsqu’il explosera, plaisamment, en un cocktail grungy puissant au moment du refrain.
Ecoute : https://kermes.bandcamp.com/track/yr-beast-3
Dry – Dogeyed
Les petits derniers de chez Specialist Subject Records ! Derniers arrivés mais pas si inconnus au bataillon qu’on pourrait le penser. Projet relativement nouveau, construit autour d’Harriet Elder (chant/guitare) et enrichi de Jonathan Minto (Caves) à la batterie et Tim Rowing-Parker (Woahnows) à la basse et production. Le premier EP est prévu pour le 11 Mai 2018 et, si ce premier single en est une bonne indication, il devrait être un fidèle compagnon de route pour tout fan de rock indé avec un penchant soft.
Ecoute : https://dogeyed.bandcamp.com/track/dry-3
Fading – Gulfer
Emo au top de sa forme, Gulfer a déjà apporté sa contribution à l’année musicale 2018 sous forme d’un album aux influences Indie Punk et Math Rock plus que jamais affûtées : un ensemble de chansons cohésif, témoin de l’évolution du groupe depuis son premier opus . C’est solide, émotionnel, effervescent, luisant sans être trop poli, avec des bords toujours rugueux. Les riffs, mélodies et lignes de batterie fusent tandis que le chant vacille entre apaisement et déchirure émotionnelle. On se répète : Emo au top de sa forme.
Ecoute : https://gulfer.bandcamp.com/track/fading
Graveyard – Jake & The Jellyfish
Jake & The Jellyfish, groupe de Leeds estampillé Folk-Punk, revient avec un nouvel album à la formule qui, bien que toujours fidèle à ses origines, semble avoir pris du muscle et ce n’est pas pour déplaire aux fans de d’hymnes Punk-Rock en tout genre. Le violon, l’accordéon et la guitare folk sont toujours là et accompagnent savamment des refrains singalongs honnêtes et défouloirs à volonté.
Ecoute : https://jakeandthejellyfish.bandcamp.com/track/graveyard
About Her – Gender Roles
Nouvellement signés chez Big Scary Monsters et un deuxième EP annoncé pour le 13 Avril 2018, Gender Roles est un hybride Emo-Grunge-Punk relativement récent et à suivre de près, assurément. Mélodies bien ficelées et énormes refrains au rendez-vous.
Ecoute/Regarde : https://www.youtube.com/watch?v=gABzXEFvrf0
Being Alive – Frankie Cosmos
Extrait du prochain album de Frankie Cosmos (‘Vessels’, sortie le 30 Mars 2018), ‘Being Alive’ est la nouvelle version d’une ancienne démo du groupe. Le titre alternent entre moments rapides et énergiques servis par une batterie féroce et des interludes rêveuses et poignantes qui voient le groupe harmoniser en coeur sur les paroles “Being alive, matters quite a bit, even when you feel like shit”. Une introspection en musique et paroles de thèmes fondamentaux, avec un petit intermède percussif en cadeau au milieu.
Ecoute : https://ingridsuperstar.bandcamp.com/track/being-alive-2
Fear Is The New Bliss – Dead To Me
7 ans sans un nouvel album de Dead To Me ! Voilà qui devrait être réparé cette année avec un nouvel opus produit par Chris Dugan (Iggy Pop, Green Day). ‘Fear Is The New Bliss’ en est le premier extrait et, si l’on en croit ce qu’on entend, le premier tube d’une série. Du Punk mélodique bruyant et entraînant, fun voire dansant, et néanmoins chargé d’instants précieux de fulgurance : ‘strong tune and serious feelings’.
Ecoute : https://deadtome.bandcamp.com/track/fear-is-the-new-bliss
Sometimes Dead Is Better – Harker
Power chords et mélodies Pop-Punk sont au rendez-vous sur le nouveau Harker. ‘Sometimes Dead is Better’ est un titre pour les enfants du Skate-Punk qui annonce la couleur dès les premières paroles : ‘No one here is elite !”. Harker maîtrise son sujet et l’explore dans l’ensemble de son album avec distinction. Indémodable.
Ecoute : https://harker.bandcamp.com/track/sometimes-dead-is-better-2
St. Theresa – Pale Kids
Les Pale Kids de Durham s’apprêtent à sortir leur nouvel EP sur le label Father/Daughter Records aux U.S.A et introduisent le nouveau 7” avec un premier single consistant en 2 minutes de Power Pop-Punk parfaitement packagée et bien punchy : classique instantané.
Ecoute : https://fatherdaughterrecords.bandcamp.com/track/st-theresa
Guts Grown Up – Blowout
Blowout apporte un peu de fraîcheur à la scène Emo Pop-Punk américaine avec un premier LP plus que prometteur, sorti l’année dernière. Mélodies et refrains fabriqués sur mesure qui semblent parfaits pour accompagner une journée d’été au soleil (mais pas que), des accroches typiques du style et, tout de même, des touches de sérieux qui ramènent les pieds sur terre.
Ecoute : https://blowoutpdx.bandcamp.com/track/guts-grown-up-2
Peach Generation – Krimewatch
Un des groupes de Hardcore les plus excitants de ces dernières années et seulement une démo à leur actif : Krimewatch, avec les meilleurs références Hardcore en poche, s’exprime, il faut le noter en Anglais et Japonais, avec une rage explosive à peine mise en bouteille pour tenir sur l’enregistrement de ces 5 titres magnifiques. A surveiller, donc.
Ecoute : https://krimewatch.bandcamp.com/track/peach-generation-2
Standing on My Head – DeeCRACKS
Le génie du Pop-Punk Old School tendance “RamonesCore”, incarné par des Autrichiens , de retour avec une collection de titres catchy au possible. Les refrains et mélodies, presque trop facilement mémorable (et c’est tout à leur honneur), produisent exactement l’effet attendu : on fait difficilement plus fun, à la fois en live et sur l’album.
Ecoute : https://deecracks.bandcamp.com/track/standing-on-my-head
Beat up Kidz – The OBGMs
The OBGMs (ou The Oooh Baby Gimme More) sont les auteurs d’un Garage Punk sur-dopé. Parcours peu commun, ils ont démarré en tant que trio de Rap et ont fini par plonger, tête première, sous forme de quartet, dans la scène Punk de Toronto après que le chanteur ait décidé d’apprendre la guitare par lui-même. Ca buzz à la guitare, ça tape bien fort à la batterie et ça se paraît de touches de synthé bien placées : énergie débordante garantie.
Ecoute/Regarde : https://www.youtube.com/watch?v=KKX8L52h2Sc
77 – Alice Bag
Quand Alice Bag (The Bags), légende du Punk depuis les 70’s, fait appel aux légendes Riot Grrrl que sont Kathleen Hanna (Bikini Kill) et Allison Wolfe (Bratmobile) sur un titre aussi décapant et dénonçant l’écart salarial hommes/femmes, on se tait et on écoute. Pour anecdote, les commentaires Youtube sont aussi une vraie promenade de santé qui accusent agressivement les artistes de participer à la perpétration d’un mythe et/ou d’une théorie complotiste : bref, Alice Bag a visé dans le mille.
Ecoute/Regarde : https://www.youtube.com/watch?v=ZmnTGTyRjEM Playlist par Léna
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Souvent du rap
Quand je suis au toilette j'entend souvent un voisin qui écoute souvent du rap indé, j'ose pas aller le voir pour parler musique ; alors que ça a l'air plutôt cool (souvent).
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Sélection Musicale Octobre 2019
Voici ma sélection musicale d'octobre 2019 :
Polish Girl - Neon Indian - Indé - détente mélancolique
Dreams tonite - Alvvays - Alternative - Chill et évasion
Same old story - Skepta - Hip hop - Good vibe
Magnets - Disclosure, Lorde - House - Song for sleep
Charcoal Baby - Blood Orange - Indé - Chill, detente et concentration
So am I - Ava Max - Pop - Hot dancefloor
Start the par-dee - Chef BRD , Lil Yatchy, Donny Osmond - Rap US - Listening in the car
Thundercloud - LSD - Pop Co - Sport fitness
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« Pas fan des nouvelles rencontres j’ai que des frères autour de oim » TSR CREW ! Merci !
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Revue de web du 3 octobre 2019
«Le user centric est un sujet d’intérêt général et une mesure d’équité » - Alexis de Gemini revient sur la campagne de Deezer en faveur du User Centric pour NewsTank
Ou l’on apprend notamment que Deezer songe déjà à l'étape d’après : la rémunération au prorata temporis.
« Dis Siri, tu t'es réellement associé à Spotify ? »
Visiblement oui, la dernière mise à jour iOS 13.1 permet à Spotify de lire des titres et/ou playlists grâce à Siri
Deezer signe avec 5 nouveaux partenaires (ou hébergeurs) de podcasts
Article qui met en avant la réelle augmentation d’écoute de podcasts sur Deezer !
Un très bon accueil de La Relève de Deezer sur les réseaux des médias Rap !
Hip Hop Corner est le premier à parler de La Relève dans un article, et on est pas peu fiers !
Vald est partout et (surtout) au 4 coins du monde.
Une campagne qui affiche Vald et Deezer à Time Square, Dubaï…
Snapchat travaille son Lens Studio pour une réalité augmentée qui profite à l'industrie de la musique.
Plusieurs artistes comme Missy Elliot ou Bruno Mars (rien que ça), profitent pleinement de ces effets, partagés instantanément à leurs communautés.
Encore une nouvelle collaboration pour Spotify, avec Microsoft sur Xbox !
Ils s'associent et lancent une promotion spéciale, 6 mois offerts, pour les nouveaux abonnés à Xbox Game Pass Ultimate (service tout-en-un qui associe Xbox Live Gold et Game Pass pour console et PC.)
Spotify permet désormais d’ajouter des podcasts à ses playlists
Une fonctionnalité pour répondre à l’usage croissant des podcasts, annoncée le jour du International Podcast Day.
YouTube Music sera préinstallé sur tous les appareils fonctionnant sous Android 10 (remplaçant ainsi Google Play Music)
Plus besoin de passer par la case téléchargement…
En Suède, la part de marché des artistes distribués de manière indépendante dans le top 50 a augmenté de 38% en septembre
Une croissance des indés drivé par le hiphop local (ça vous rappel un truc ? ;) ). Sur ce marché pionnier du streaming, les majors commencent à grincer des dents.
Quel âge musical avez-vous ?
Prenant en compte le top des écoutes des différentes générations, mais aussi leurs appétences pour le live, l’acoustique, la dansabilité (etc.) ce site permet aux utilisateurs de Spotify de découvrir leur âge musical.
Facebook annonce Horizon, entre réseau social et MMORPG
Instagram lance les notifs pour les lancements de produit.
Un genre de « countdown » spécial shopping quoi.
Instagram lance une fonctionnalité vous permettant de bloquer les harceleurs.
Les instagrammeurs, ces rats de bibliothèques ?
Ils seraient en tout cas des centaines de milliers à lire via les stories de la New York Public Library #InstaNovels
Snapchat de retour dans la course aux annonceurs.
En lançant les formats de 6sec non skippable, Snapchat a fini par réussir à séduire les annonceurs qui lui consacre maintenant 10 à 20% des budgets social média d’après une étude menée en Grande Bretagne.
Quelles sont les tendances digitales pour 2020 ?
Essor des conversations et des réseaux comme Tik Tok, progrès du podcast consommé en réaction aux contenus snacks des réseaux, et contents factory pour produire toujours plus de contenus.
Les 10-13 ans passent 15h par semaine en ligne mais que font-ils ?
Tik Tok, Snapchat, Messenger (qui surclasse Facebook) mais aussi d’autres applications que vous ne connaissez pas, comme Plato, F3 ou les plus connues Discord et Twitch.
Icones8 étoffe son offre avec des musiques libres de droit !
194 journalistes démissionnent des titres de Mondadori
Après le rachat par Reworld Media, ils ont fait valoir leur clause de cession, face à la volonté des nouveaux dirigeants d’externaliser au maximum la production des contenus. Ainsi les rédacteurs en chef étaient déjà renommés « directeur de marque » et aucun plan n’a été élaboré pour remplacer les 60% des effectifs qui s’en vont. La sortie de magazines comme Grazia, Télé Star, Closer est particulièrement menacée.
L’emoji OK ajouté à la liste des symboles haineux
Particulièrement utilisé par les suprémacistes blancs pour troller, cet emoji apparemment inoffensif prend une toute autre dimension…
Au travail, jeunes et plus âgés demandent plus de reconnaissance
Les jeunes demandent plus de respect suite à leur formation et l’effort que ça a demandé, tandis que les plus âgés souhaitent que leur expérience soit reconnue.
Comment l’INA met en valeur ses images d’archives
Sur Youtube comme sur Facebook, l’INA mise sur du remontage d’images d’archives pour rebondir sur l’actualité et interagir avec leur audience tout en mettant l’actu en perspective. Une stratégie maline et efficace qui permet à l’INA de voir ses communautés YouTube croitrent de 10 à 15%
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