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#radio béton
mamostedin · 1 year
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voilà un nouveau projet de bd intitulé : Dans le béton.
petit synopsis : Il est six heures. Alberto Conti se rend au travail, ses écouteurs plantés dans les oreilles comme tous les matins, quand il se retrouve happé par une émission de radio relatant un braquage mené par deux hommes en trottinette. Un témoin raconte les événements incroyables qui se sont déroulés sous ses yeux et l’arrestation des différents protagonistes. Mais ce récit anecdotique surprenant et burlesque prend une autre dimension quand Alberto arrive sur son lieu de travail où il découvre la disparition de deux de ses collègues.
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segolenethuillart · 1 year
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Activation de la performance divinatoire “22 manières d’envisager son emploi” dans le cadre de l’émission “Des bouches tes oreilles” sur Radio Béton
11 avril 2023
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thewul · 29 days
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Superphénix 2
Bonsoir mon jeune ami!
Bonsoir Professeur
J'ai eut de longues conversations radio avec mes correspondants, ils insistent que le volume restant est trop important et se demandent ce que vous pouvez en faire
Nous avons les turbines
Même si!
Donc Professeur, il y a cette question qu'une centrale nucléaire produit de l'énergie et que le réseau la distribue, mais elle ne stocke pas cette énergie
Vous voulez…
Effectivement, nous avons amplement assez de surface et de volume pour y installer une capacité de stockage, sous forme de batteries, ou autres, ce qui permet par exemple a cette centrale de produire 1MW, a titre d'exemple, et de disposer de 1MW en stock, donc de délivrer 2MW pendant un pic de demande
D'autant plus qu'avec ce ventilateur hors norme nous détenons une solution pour conserver ces batteries a une température adéquate
Bien donc il y avait ce point, ils se demandent également puisque vous disposez de bassins a la base si vous ne jugez pas utile d'augmenter considérablement la taille de votre réservoir, et de passer de 2 turbines a 4 ou même a 6
Oui c'est pertinent cela, il reste que la capacité des 2 RCS est de tant, donc il peuvent amener a ébullition tant de mètres cubes, cela va dépendre également de ce que cette pompe accordéon peut développer en termes de volumes
A priori Professeur oui nous avons des bassins sur les cotés, et 4 ou 6 turbines c'est le double ou le triple en production d'énergie, ensuite il faut voir ce qui est trop peu, ce qui assez et ce qui dépasse la capacité de la pompe surtout
Vu comme cela, 4 turbines au 1er niveau, donc 4MW et 4MW en capacité de stockage au 2ième niveau soit 8MW effectif
Et a la base?
C'est un volume d'air Professeur, c'est la que la centrale dégage le plus de température
Sans augmenter le bassin?
Non sans, les proportions indiquent que cela tiens
D'accord vous avez disposé le tout sur les cotés?
Exact Professeur
Et sur le devant qu'avons nous?
Des équipements électriques, transformateurs et autres
Quel intérêt ces transformateurs?
Encore une fois le réseau assure la distribution, pour cela il transforme a différent points du réseau, théoriquement cette centrale pourrait proposer plusieurs voltages différents, jusque 3, a la source
C'est flexible comme solution, tant de MW a tel voltage, tant a tel, produits ou en stock, c'est un atout dans un réseau de distribution électrique
En simultané?
En simultané
Nous tenons Superphénix! Elle peut stocker de l'énergie depuis le réseau?
Ce n'est pas le but mais elle peut, ensuite sans doute que EDF a parfois des MW a stocker
Et lors du décommissionnement pour le stockage des RPS usés?
C'est clean cut Professeur, ils restent encapsulés on ne touche a rien, il suffit de les stocker dans une couche rocheuse jusqu'à ce qu'ils soient complètement neutralisés, la question de porosité de la roche ne se pose même pas
Qu'en est il du démantèlement de la structure en béton?
Structurellement le réservoir est extrêmement solide parcequ'il supporte les RPS au dessus et que la pression de la chambre a vapeur est importante
Le tout en fait les équipement c'est un poids considérable, donc son démantèlement n'est pas chose facile, ceci dit elle a des avantages conséquents la question des émissions, pas de combustibles a transporter
C'est un développement tout a fait inattendu de HEXIRON!
C'est possiblement un prototype pour des centrales nucléaires encapsulées a destination d'exosystèmes distants Professeur, la structure en béton est construite sur place tandis que les composants sont embarqués
Bravo! De toutes tailles?
Bien vu Professeur, a priori oui cette centrale peut même être portable, et contenir un liquide réfrigérant, une colonie ne dispose pas d'infrastructure de support a part ce que le vaisseau peut déposer sur place
Pour cette équipe de scientifiques, d'ingénieurs et de techniciens une source quasiment illimitée d'énergie portable, certes par rapport a leurs besoins, est une avancée majeure dans la viabilisation de bases avancées, le but étant de développer l'infrastructure de support sur place et d'agrandir cette colonie initiale
Nous rejoignons le spatial!
Effectivement Professeur
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lili-zine · 2 months
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Les palmiers noirs 
La pièce est petite avec beaucoup d’appareils électroniques qui tombent en panne un par un. J’attend l’étincelle qui court-circuite et qu’on soit ensemble éclairé à la bougie.
Je me réveille pour la première fois chez mon père, on ne se voit plus trop, on s’appelle pas souvent. Je ne connais pas chez lui depuis qu’il vit sans ma mère sur une île. Personne ne m’avait prévenu que les familles se dissipent. “Tu vas faire ta vie” c’est tout ce que je me rappelle. 
J’ouvre les yeux sur la nuit orange qui s’échappe des montagnes noires dans le ciel de Phuket. J’ai le sentiment que je n’ai pas bien dormi et pourtant je me souviens d’un rêve. J’entend des insectes et le bruit du soleil arriver, les couleurs sont sombres mais il y a une promesse évidente qu’il va faire chaud et lumineux bientôt. Mes yeux et mon dos me tirent, j’ai passé la nuit presque à même le sol à côté de mon frère. Il n’y avait ni assez de place ni assez de draps pour nous accueillir chez lui parce qu’il n’a plus beaucoup d’argent, d’énergie, d’engagement. La vie lui ai passé dessus violemment et il a du comprendre dans son enfance que sentir la culpabilité c’est bizarre alors il la transpire, il est trempé et j’ai du mal à respirer. Il vit maintenant à la mer, et toujours sans l’entendre le dire, j’ai l’impression qu’il a au moins réaliser un rêve. Loin de sa région désindustrialisée, proche de l’eau et l’air chaud, pour y baigner sa solitude, ses souvenirs de failles et de famille. 
Je ne sais pas comment il se souvient alors je passe mon temps à imaginer ce qu’il pense et à travers quelques mots j’essaye de le regarder de l’intérieur. J’essaye encore de voir dans ses yeux notre enfance devant le vide où la nuit restait tard tous les jours de l’hiver pour nous conduire au collège. L’habitude de ce même trajet dans les champs de brume glacé qui défile comme les musiques commerciales de la radio pour rejoindre des amitiés remplies de voyages imaginaires. Il était perdu dans ses pensées d’adulte autant que moi en pleine adolescence. On ne s’est jamais connu profondément et quand même un amour existe comme des odeurs de végétation au printemps. 
Je referme un peu les yeux parce que je n’ai pas encore la force d’improviser ma relation avec lui. Le temps passe trop vite pour nos deux coeurs fragiles.
J’ai rêvé d’une femme que je connais un peu à Paris. Elle est assise dans un escalier en béton comme une sortie de club. Les personnes autour qui font la fête sont des ombres. Je viens m’agenouiller devant elle, mes mains sur ses jambes, pour l’embrasser, ses lèvres sont abimées et ont le goût de cendres en papier. Quand je suis en Thaïlande, mes sentiments sont révélés et mes visions sont décuplés. Je suis une autre personne et quelque chose de délicat coule le long de mon corps à cause de l’humidité. Je me demande si aujourd’hui je l’aime parce que mes nuits sont mes réalités. Elle va hanter mes journées à la plage. 
On part en voiture dans le nord de l’île pour aller voir des cascades que j’ai vu sur internet. Cette ville veut essayer de plaire à tout le monde et la route principale est remplie de trucs à vendre. Aux côtés de mon père, je sens la culpabilité d’un secret alors que je n’ai pas besoin de vérité mais comment empêcher quelqu’un de se consumer ? Alors, je fais comme depuis toujours, je regarde le paysage et je me perd dans mes pensées. J’ai branché la musique pour tout le monde et elle chante : 
There are violets in your eyes
There are guns that blaze around you
There are roses in between my thighs
And fire that surrounds you
It's no wonder every man in town
Had neither fought nor found you
Everything you do is elusive
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titou-nz · 7 months
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Chronologie de la construction
21 septembre 2004 : ouverture du chantier.
février 2005 : début de la construction des étages.
7 avril 2007 : réalisation du 120e étage pour 422,5 m : c’est le plus grand nombre d'étages pour un bâtiment.
21 juillet 2007 : Burj Khalifa devient le plus haut gratte-ciel du monde, culminant à 512,10 m et dépassant ainsi celle du voisin Taipei 101 à Taipei, Taïwan, détenteur du précédent record avec une hauteur de 508 m.
13 septembre 2007, Burj Khalifa atteint une hauteur de 555,3 m et dépasse la Tour CN de Toronto. Elle devient à cette date la plus haute structure autoportante13 du monde.
10 décembre 2007 : la structure de béton de la tour est terminée et la construction de la structure en acier débute.
27 mars 2008, Burj Khalifa atteint 630,5 m de haut avec le début de la construction de la troisième mezzanine. Elle dépasse alors l'antenne KVLY-TV Mast du Dakota du Nord et devient ainsi la plus haute construction humaine du moment.
20 mai 2008 : Burj Khalifa devient la plus haute structure humaine jamais construite. Elle mesure alors 649,7 m soit 3,32 mètres de plus que la tour de transmission de Radio Varsovie qui mesurait 646 m mais s'était écroulée en 1991.
17 janvier 2009 : la tour atteint sa hauteur finale, 828 m.
8 octobre 2009 : l'extérieur de la tour est complètement terminé. Il ne reste plus que les travaux d’aménagement intérieur.
4 janvier 2010 : la tour est inaugurée avec la fin des travaux. Mais avant qu'elle ne soit totalement occupée, il restera une longue période de finition, puis d’installation des résidents et des groupes commerciaux. Le 5 janvier 2010, deux parachutistes dubaïotes s'élancent d'une nacelle fixée sur la tour à 672 m et battent ainsi le record du monde de base jump depuis un bâtiment.
6 février 2010 : la tour est fermée au public à la suite d'une panne d’ascenseur. Elle rouvre le lendemain, mais la plateforme d'observation installée au 124e étage reste fermée. Des rumeurs prétendent ensuite, à tort, qu'elle doit rouvrir pour la Saint-Valentin (le 14 février) ; elle n'est rendue de nouveau accessible au public que le 4 avril 2010.
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pdj-france · 1 year
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Par Jason Collins | Publié il y a 28 secondes Au cas où vous vous demanderiez quels effets le béton armé utilisé dans l'édification a sur la vie sexuelle des canards sauvages, ne vous inquiétez pas ; l'actrice Joleen Lutz est là pour s'expliquer. L'actrice de Chicago, autrefois une habituée de la sitcom Night Court diffusée de 1984 à 1992 pendant neuf saisons, a enseigné au public la vie sexuelle des animaux en collaboration avec le zoo de Los Angeles. La Greater Los Angeles Zoo Association a démarré à organiser la présentation annuelle inspirée de la Saint-Valentin réservée aux adultes qui célèbre la romance dans le règne animal, avec Lutz comme conférencier hôte. Dans sa vie personnelle, d'après une interview avec Lancer Radio Network, Lutz a toujours été fascinée par l'aide aux animaux, ce qui a certainement conduit à son rôle dans le zoo de Los Angeles. Même enfant, la star de Night Court trouverait un bébé lapin ou un oiseau avec une aile cassée, et elle le soignerait et le relâcherait dans la faune urbaine. Cela a continué dans ses années d'adulte, à quel point elle avait trop d'animaux dans sa maison. À la suggestion de son mari, elle est allée au zoo de Los Angeles, où elle a démarré à faire du bénévolat. Peu de temps après, la Greater Los Angeles Zoo Association a démarré à organiser la présentation annuelle inspirée de la Saint-Valentin réservée aux adultes qui célèbre la romance dans le règne animal, avec Lutz comme conférencier hôte. Il convient de noter que les événements étaient caritatifs et que les bénéfices ont été utilisés pour soutenir les efforts de préservation et de conservation de la faune au zoo et à travers le monde entier. Le cœur de toute la soirée, mis à part un dîner de quatre plats, était une présentation provocante sur les relations dans le règne animal, tenue par la star de Night Court, qui est aussi connue pour son travail de naturaliste interprétative de la zoologie, offrant un aperçu sur l'accouplement, la datation et la cohabitation des animaux. Joleen Lutz au tribunal de nuit Joleen Lutz au tribunal de nuit L'actrice Joleen Lutz a dépeint une sténographe optimiste Lisette Hocheiser, un personnage connu pour avoir fait un commentaire coloré et décalé sur Night Court, une émission qui, certes, avait de nombreux personnages décalés et hilarants. Lutz a dépeint Lisette pendant deux saisons de l'émission, par la suite elle a été présentée dans plusieurs émissions différentes, notamment Port Charles, Pushing Daisies et Desperate Housewives. En qualité de sténographe de la Cour, Lisette était connue pour sa personnalité naïve et pétillante. Le public de l'époque a été affiché à son personnage en changement de l'ex sténographe de la Cour, car elle est une amie de l'huissier de justice Bull Shannon. Et malgré son attitude quelque peu idiote, Lisette est décrite comme étant compétente dans son travail. La représentation de Joleen Lutz de Lisette Hocheiser a été vue pour la dernière fois dans la finale de la série originale et, pour le moment, ni Lutz ni son personnage n'ont l'intention de revenir dans la nouvelle série Night Court - le seul acteur qui a repris son rôle de l'original série est John Larroquette. En fait, il y a de nombreux clins d'œil intelligents à la série originale dans la version 2023 de Night Court, en particulier au juge Harry Stone. Ceux qui souhaitent découvrir Night Court, c'est sur le service de streaming Peacock. Même enfant, la star de Night Court trouverait un bébé lapin ou un oiseau avec une aile cassée, et elle le soignerait et le relâcherait dans la faune urbaine. Toutefois, ceux qui souhaitent voir la présentation de Night Court Joleen Lutz sur la romance animale devront recourir à la recherche de ces clips vidéo sur YouTube. Est-ce qu'une personne d'autre se souvient du format d'image 4:3 ?
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double-croche1 · 1 year
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[DISQUAIRE DAY] 2023
La journée des disquaires indépendants a lieu demain (samedi) en France ! 📀 Une vaste sélection de raretés vinyles et d’inédits sera pour l’occasion mise en vente, avec de nombreux évènements sur toute la France. La liste des vinyles exclusifs par ici ! Tous les évènements par là ! On vous conseille vivement d’aller à la passionnante et passionnée boutique Balades Sonores pour y dégoter les plus beaux disques. A noter, en plus de leurs boutiques historiques du 1-3 Avenue Trudaine (18ème), ils ouvriront pour la première fois leur future adresse du 8 rue Pierre Picard (à 300m des autres boutiques). A noter, un showcase de Théo Lawrence aura lieu le lendemain (dimanche) à 18h. Toute la liste de leurs références par ici. Parmi les autres disquaires parisiens, on vous recommande également Ground Zero (114 Rue du Faubourg Poissonnière, 10ème), Supersonic Records (9 Rue Biscornet, 12ème), le Cracki Records Shop (30 Rue Etienne Dolet, 20ème) et Born Bad Record Shop (11 Rue St Sabin, 11ème). Parmi les références qui ont retenu notre attention, on pense notamment à un EP inédit 'Become' de Beach House, à un repressage avec pochette exclusive du premier album 'Yesterday's Gone' de Loyle Carner, à la première édition physique du single 7 Seconds de Porridge Radio accompagné par une démo inédite titrée Jealousy, à un live de DIIV en 2017 au Murmrr Theatre de Brooklyn, à un EP deluxe 'Mount Wittenberg Orca' de Björk et Dirty Projectors et enfin de la reprise de l'intégralité de l'album '(What’s the Story) Morning Glory' d'Oasis par Yumi Zouma. Pour cette journée exceptionnelle, de nombreux concerts seront également organisés. A Paris notamment, l’épicentre sera comme depuis quelques années désormais le Point Éphémère avec la Convention des Labels Indépendants. Plusieurs lives et DJ sets y auront lieu, avec notamment Quasi Qui, Rendez-Vous (DJ set) et Kevin Heartbeats (DJ set). On y retrouvera notamment nos labels chouchous suivants : S76, Born Bad Records, Pan European Recording, La Souterraine et Midnight Special Records. Horaires de la Convention des Labels Indépendants @ Point Ephémère : 14h : Kevin Heartbeats (DJ - salle Expo) 16h : Pleasure Principle (DJ - salle Expo) 17h : Beatrice Melissa (salle Concert) 18h : Paper Tapes (DJ - salle Expo) 18h10 : Dye Crap (salle Concert) 19h15 : Annabel Lee (salle Concert) 20h : Vestes (salle Expo) 20h45 : Nemo (salle Concert) 21h30 : Marie Delta (salle Expo) 22h15 : Quasi Qui (salle Concert) 23h : Rouge-Gorge (salle Expo) 23h45 : Lulu Van Trapp (DJ - salle Expo) 0h : Dalle Béton (salle Concert) 0h45 : Rendez-Vous (DJ - salle Concert) Les disquaires ont besoin de vous autant que vous avez besoin d'eux ! 📀 Une belle fête en perspective. A&B
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stephscanvic · 2 years
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Arte Radio, nos voisin.e.s de bureau, vivent la vie de château, ou plutôt la vie de palais, jusqu’au 12 décembre. En gros, quand nous on a dû déménager d’un Studio cosy à un immeuble décati, eux se sont installés au Palais de Tokyo. Pour l’acoustique muséographique du lieu, propice à la création sonore & propice à la célébration de 20 ans de podcasts, riches histoires pour l’amour du lobe. Et le truc chouette c’est qu’ils font bureaux ouverts : c’est un peu comme une table ouverte mais pour partager leur boulot. Attention pas le sale boulot, uniquement le beau, on n’est pas à l’usine ici. D’ailleurs le béton a été très joliment tapissé de souvenirs vibrants… Bref, si vous avez envie d’écouter-voir des podcasts en live ou même de donner de la voix, sortez vos Nagra au Palais de Tokyo, the palace to be cette semaine : https://palaisdetokyo.com/exposition/arte-radio-part-en-live/ "You are a radio star" https://youtu.be/W8r-tXRLazs (C’est pas moi qui ai fait la blague Ed & Michael, me serai pas permise.) #arteradio #livesession #theoffice #palaisdetokyo #thebuggles #videokilledtheradiostar https://www.instagram.com/p/Cl2M0y0K5a3/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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beatlesonline-blog · 2 years
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elleferrocerium · 4 years
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Nu emporté par de vagues chaleurs.
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Lunettes bleues métalliques, cheveux en chignon gris extatique : Je ne voyais que son nez et plus haut, émerger de la piscine. La chaleur, à plat, plaquée, écrasant toutes mes velléités pour le rejoindre, je terminai mon livre avec infinie lenteur. Quand je me décidai, fondue ou presque, il était déjà trop tard. Mon corps liquidé n’atteint jamais le premier boudin. Je fis flaque, os et peau, lamentablement échouée. J’entendis clairement pourtant, juste avant les ténèbres, un amas métallique gris et bleu de lunettes et de chignon demander : « tu viens, chérie, elle est bonne ».
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Concert de Lou Doillon au festival Terres du Son le 13 juillet 2019. Pour de nombreuses autres photos et vidéos https://stephanmarylezebre.wordpress.com/2019/07/17/lou-doillon-au-festival-2019-terres-du-son/
Ou sur Soundcloud https://soundcloud.com/stephanmaryslamlezebre/lou-doillon-terre-du-son-13-07-2019
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julioificada · 2 years
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💔 18.07.22, j'étais sur la route toute la sainte journée (lol) quand j'entends à la radio que les Monts d'Arrée sont en flammes. Je fais alors un petit détour en espérant découvrir le Mont Saint-Michel de Brasparts et sa chapelle toujours en vie. Ces lieux qui m'apaisent tout autant que les tempêtes. Quelques routes barrées plus tard je commence à prendre quelques photos en m'attachant aux alentours plutôt qu'aux murs de flamme. Voici quelques images qui représentent ce que j'ai vu et pu ressentir. Il y avait déjà pas mal de photographes sur place quand je suis arrivé et notamment un gars avec une cibi reliée aux ondes de la police ou des pompiers - je sais pas trop, tellement j'ai halluciné - pour lui permettre d'être sur les lieux avant tout le monde et même de savoir quand un hélico ou Canadair allait arriver pour apaiser le brasier. C'est là que j'ai compris que je ne vivais et ne comprenais pas ce monde ultra connecté, du live stream, des infos en continu mais qu'on y était pourtant à ras bord. Sur la route proche de l'antenne, les bas-côtés étaient remplis de véhicules. Sur un petit bloc de béton se trouvaient des fleurs fanées, charbonneuses, comme brulées, assemblées par un pauvre papier alu. Un gars en voiture s'arrête près de moi et ouvre la fenêtre passager : - il se passe quelque chose ? - ouais ça crame - ah oui, ça je sais - du coup tu pensais qu'il y avait un technival ? - ah non c'est juste que je dois faire un détour... - ... Le monde ne tourne vraiment pas rond, vivement que Bill Gates lâche toute sa fortune pour régler les soucis de la planète (lol). Peace ! #montsdarree #montsaintmicheldebrasparts #canicule #incendie (à Mont Saint-Michel de Brasparts) https://www.instagram.com/p/CgM3jgoMHM2/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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thebusylilbee · 3 years
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"Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil, et puis du lit au lit. Cela fera trois ans en septembre que Guy Lambert, 95 ans, est coincé dans son 40 mètres carrés, au treizième étage de sa tour HLM de Bagnols-sur-Cèze (Gard). Les bons jours, ils les passent à la table de la cuisine. Il rêve de prendre l'air. Mais c'est chose impossible: depuis son AVC, ses jambes ne le tiennent plus assez pour descendre les marches menant à l'ascenseur. Il ne dessert que les étages pairs de sa tour, or son appartement est au treizième étage.
Guy Lambert vit dans les souvenirs « à temps plein », comme il dit. Ce sont toujours les mêmes qui remontent : ceux de la guerre, « des mains qui tremblent quand vous êtes au front », des visages des camarades dans le maquis. L'homme était résistant pendant la Seconde Guerre mondiale. Peu le savent. Il n'a pas sa carte d'ancien combattant, et a toujours refusé les honneurs.
« Un petit pépin »
Quand on le rencontre le 20 juillet, les volets roulants sont baissés, à cause de la chaleur. Guy Lambert est torse nu, mutique. Il fixe le vide en buvant son bol de lait. « On n'est pas en avance, nous avons eu un petit pépin ce matin », entame Lucienne, son amoureuse de 89 ans. On l'appelle « Lulu » ou Mme Moulin. Il est 10 heures, elle porte un pyjama rose et blanc, et n'est pas bien souriante. Elle s'est cassé la bobine en se levant ce matin. Cela lui arrive de plus en plus souvent ces derniers temps. Le voisin, Mario Deparrois, la quarantaine, s'est affolé l'autre jour. Lucienne était tombée, elle avait un énorme hématome au-dessus de l'oeil. « J'avais peur d'une hémorragie. J'ai appelé les pompiers. Ils n'ont pas voulu venir. Le Smur [service mobile d'urgence et de réanimation, ndlr], pas mieux. Idem pour le médecin. J'ai gueulé en rappelant à sa secrétaire le serment d'Hippocrate. Elle m'a répondu qu'il fallait se déplacer au cabinet car les médecins sont débordés. » Cette fois-là, Mario est monté voir sa voisine toutes les heures, inquiet. Mais aussi en colère. « Comment peut-on laisser des gens seuls comme ça. Guy, c'est un héros de la Libération, et le voilà enfermé dans une tour de béton. A quoi ça sert d'attendre sa mort pour lui rendre hommage ? »
L'infirmier passe le matin pour prendre les constantes, surveiller le diabète mais ça s'arrête là, assure Lucienne Moulin. « Il dit qu'il ne peut plus faire la toilette, la cabine de douche est trop étroite. Et puis Guy est grand, et lourd. Alors je me débrouille seule comme je peux. » Tout en parlant, elle touche sa tête, comme si elle était en bois. « S'il glisse, il se tue. Si seulement j'avais une barre ou quelque chose pour se tenir. »
D'impuissance, le voisin a alerté le quotidien régional Midi libre. L'article a ému. Comment se fait-il qu'en France, des personnes âgées se re- trouvent dans une telle situation ? Pourquoi ne pas les avoir relogées a minima dans un étage desservi par l'ascenseur ? L'office HLM, Habitat du Gard : « Dès qu'on nous alerte, on cherche des solutions. Mais il faut qu'une demande de mutation soit faite. Ce n'était pas le cas avec M. Lambert, nous n'étions vraiment pas au courant. » A la mairie, Michèle Fond-Thurial, l'élue en charge de la Santé et de la Solidarité, formule la même réponse : « La dame venait chercher les bons d'achat que l'on donne à Noël aux personnes âgées, mais jamais elle a dit que ça n'allait pas ! Comment pouvait-on deviner ? » Après coup, l'élue reconnaît que le voisin les a alertés dès le mois de juin. Ses services, explique-t-elle, ont aussitôt contacté la compagne pour apporter de l'aide, notamment pour constituer un dossier de demande en Ehpad. Elle affirme que Lucienne Moulin les a envoyés paître.
En apprenant la situation de Guy Lambert, le sergent Desormières a débarqué à toute berzingue, au nom de l'association Vétérans solidaires, fraîchement créée. Il est ressorti de l'appartement abasourdi: « Ces gens sont tombés dans l'oubli. On a touché le fond. Dans quelle prison on enferme les gens sans qu'ils puissent prendre l'air ? J'en ai la chair de poule. » Lors de sa première visite, Guy Lambert n'a pas voulu quitter son lit. Petit moral. Et puis, dimanche dernier, le sergent est revenu avec un déambulateur. Le visage de l'ancien résistant s'est éclairé. Ils ont commencé à parler, les souvenirs ont jailli. « Ces images qui envahissent On connaît tous ça, quand on est ancien militaire. Entre nous, on se comprend. » Lui est convaincu que l'enfermement qu'il subit aujourd'hui a un impact sur sa mémoire. « Il retourne psychologiquement à cette époque de sa vie où il dormait dehors, au grand air. »
Guy Lambert avait 15 ans quand il est devenu résistant. Par hasard. Il venait d'être embauché dans un champ de céréales dans les Hautes-Alpes, en dessous du parc du Queyras. Un jour, les Allemands ont installé un barrage tout près. Le fils du patron le tire alors par la manche, il le suit, et se retrouve embarqué dans le maquis. Pendant dix-huit mois, il dort dans des cachettes, se bat à la baïonnette. « C'était des combats très durs, au corps à corps. D'une extrême violence, explique le sergent Desormières. M. Lambert était en première ligne pour ralentir la progression des Allemands. » Il rejoint ensuite le 11e bataillon des chasseurs alpins. Attablé dans sa cuisine, il se souvient de ces colis « qui tombaient du ciel ». Les Américains et les Anglais leur parachutaient des munitions et des vivres. « Il fallait les réceptionner avant les Allemands, pardi. On ne pouvait pas charrier beaucoup d'armes dans les montagnes. » Il décrit ces « gros biscuits blancs et secs », dans les paquets venus d'Angleterre. « La faim, quand tu n'as pas de quoi manger tous les jours. » Ils étaient 27 au départ dans son camp. Seuls quatre ont survécu. « Tous les autres ont été tués, plusieurs de ses amis sont morts dans ses bras », explique Mario à voix basse. L'ancien résistant n'en parle pas directement, il dit juste : « Dans la vie, il y a des passages tristes. De ceux-là, on s'en souvient bien. »
Portes cabossées
A mesure qu'il parle, ses yeux semblent briller un peu plus. « Un jour, ils m'ont démobilisé, quand le caporal a vu ça. » Il montre sa balafre sur le bas-ventre : on lui a enlevé un rein quand il était bébé. En découvrant la cicatrice, l'armée l'a congédié direct. Officiellement, parce qu'une telle blessure est incompatible avec la vie de militaire. « Il faut dire aussi que la consigne après la guerre, c'était de dégrossir les rangs de l'armée, cela a peut-être joué », explique le sergent.
On sent du regret dans la voix de Guy Lambert d'avoir été stoppé dans l'élan, même s'il ne le formule pas. Il dit plutôt: « J'aurais fait du chemin dans ma vie, alors que rien n'était prévu. » Son père, confiseur, était un bel homme, qui plaisait aux femmes. « Seulement un jour, il s'est mal débrouillé. Et je suis arrivé. » Après sa naissance, sa mère le place à la Charité à Nice. « Je l'ai revue à l'âge de 12 ans, elle faisait le ménage dans l'hospice où j'étais, c'est elle qui m'a reconnu. » Elle l'envoie se présenter à son père pour qu'il paye une contribution à l'hospice. « C'était un drôle de passage, je peux vous dire. » Toujours devant son bol, Guy Lambert repart pour un tour : le bataillon des chasseurs alpins, sa cicatrice. « Oui c'est bon, on sait ! Tu vas pas recommencer », l'enguirlande «Lulu». Quand il est éjecté de l'armée, Guy Lambert devient chauffeur. D'abord à la compagnie provençale de transport : Avignon, Carpentras Puis il atterrit au laboratoire de recherche d'énergie nucléaire de Marcoules, qui ouvre ses portes en 1955. Lambert conduit les ingénieurs et les ouvriers sur site, il fait la navette. La plupart logent à Bagnols-sur-Cèze, la ville toute proche. En un temps record, cette ville au bord de la Cèze, affluent du Rhône, passe de 3 000 à 18 000 habitants.
Les logements manquent : dare-dare, l'architecte Georges Candilis dessine le quartier des Escanaux, le long des canaux (d'où le nom). Cet ensemble architectural, très moderne à l'époque, est présenté comme une réussite : un ensemble de six tours, dont quatre flirtent avec les nuages. Deux d'entre elles sont pensées pour les ingénieurs : appartements spacieux avec du parquet en chêne. Le bâtiment C, où vit Guy Lambert, est lui vite rebaptisé «la Tour des célibataires» - «parce qu'il n'y a que des studios, avec une chambre en alcôve et une loggia», explique Simon Vignat, responsable d'agence à Habitat du Gard. Dans les années 80, le bailleur social rachète la plupart des tours du quartier, «elles ont été désertées par les travailleurs de Marcoules, qui se sont construit des villas tout autour de Bagnols». Guy Lambert s'y installe à ce moment-là, peu de temps avant sa retraite. Il y rencontre Lulu, sa voisine, « en 1997 ou quelque chose comme ça ». Elle n'était déjà pas commode : « Je n'ai jamais aimé les gens de Bagnols, ils ne m'ont jamais intéressé », mais il parvient à la séduire. Depuis, ils sont inséparables.
Guy Lambert passait son temps en bas de l'immeuble, avec son voisin Jean-Paul, qui nourrissait en douce tous les chats du quartier. « C'est lui qui tenait la bavette. Quand il est parti, ça n'a plus été pareil. » La tour ne fait pas rêver aujourd'hui : les portes sont cabossées, il y a des mégots écrasés dans le couloir, les habitants se plaignent des incivilités. « Il n'y a plus la solidarité d'avant », selon Mario Deparrois, le voisin. Lucienne Moulin hausse les épaules : « C'est Radio Bagnols. Ils savent tout, mais ne demandent jamais des nouvelles. » Une voisine, croisée dans la cage d'escalier, lui renvoie l'ascenseur: « Quelle vieille peau. Je les connais tous les deux. Je vais vous dire la vérité : ils n'ont réclamé de l'aide à personne. »
Dossier de relogement
Lucienne Moulin n'a qu'une trouille : être séparé de son amoureux. «J'ai peur qu'ils décident de le mettre dans un Ehpad sans moi, vu qu'on n'est pas mariés.» Le voisin abonde: «Les séparer, c'est inenvisageable. Sans sa Lulu, Guy ne peut pas manger. Ils ont besoin l'un de l'autre.» La médiatisation de leur situation a-t-elle fini par payer? Le 28 juillet, les services sociaux de la mairie sont venus les voir. Un lit médicalisé va être installé pour Guy, une aide ménagère viendra les aider. Un dossier de relogement a été lancé, et le couple va visiter un Ehpad, afin de voir si la formule leur convient. Ensuite, ils prendront leur décision. Mais pour le moment, Guy reste encore cloîtré chez lui. Sur la bibliothèque en formica qui déborde de prospectus, un cadre à photo poussiéreux montre Guy et Lucienne danser, élancés et souriants. En regardant le cliché, le visage du nonagénaire s'éclaire: « Ah, la danse, ce que j'aimais. Je n'étais pas le meilleur, mais j'en faisais des kilomètres pour danser. » "
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SAMEDI 21 AOUT 2021 (Billet 1 / 3)
« BAC NORD » (1h 44min)
Un film de Cédric Jimenez, avec Gilles Lellouche, Karim Leklou, François Civil, Adèle Exarchopoulos, Kenza Fortas…
Ayant lu toutes les critiques (voir ci-dessus : les critiques professionnelles et celles des spectateurs), excellentes sauf celles des journaux ou magazines de Gauche – ce qui l’a conforté dans son choix, JM est allé voir ce film jeudi en début d’après-midi. Marina n’aimant pas particulièrement les films d’action est restée à la maison.
Allons droit au but, JM a ENORMEMENT aimé « Bac Nord ». Il hésite encore ce matin dans l’attribution de sa note qui oscille entre ♥♥♥♥,8 et ♥♥♥♥♥ sur 5, c’est vous dire !
Ce film ne comportant au demeurant aucune scène de torture, de meurtre sanguinolant ou de violence gratuite, il le recommande vivement à tous les lecteurs/abonnés du Blog et regrette sincèrement que Marina ne l’ait pas accompagné.
Pour rappel : il n’a jamais été question de comparer un film d’action, par exemple comme « Mad Max : Fury Road » avec, dans un genre tout à fait différent, « 3 Billboards, les Panneaux de la vengeance ». Nous notons bien sûr chaque film par rapport à sa catégorie.
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Au début des années 2010, on se souvient des quartiers où l'ambiance était chaude et la drogue flambait. Pressée par la mairie de Marseille, la police a intérêt à afficher des résultats fissa. L'unité de l'agent Gregory Cerva entend monter un spectaculaire coup de filet.
Pour se donner les moyens de leurs ambitions, les flics de la BAC vont eux-mêmes se lancer dans un petit trafic. Jusqu'où peut-on enfreindre la loi pour mieux l'appliquer ? Rapidement, le groupe se retrouve dans le collimateur de la justice.
« BAC Nord » s'inspire d'une histoire vraie et le revendique. En 2012, 18 policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Marseille ont été mis en examen. Etaient-ils devenus des gangsters ou luttaient-ils contre la criminalité en détournant ses méthodes ? Le procès ne s'est ouvert que le 12 avril dernier, « BAC Nord » aurait dû sortir dès décembre 2020, la date a été reculée suite à la fermeture des salles. Depuis, onze policiers ont été condamnés à des peines de prison avec sursis, sept ont été relaxés.
Evidemment, on ressent une certaine gêne face à un scénario qui prend parti pour l'innocence des prévenus avant même le verdict de la cour [JM pas du tout – NDLR du Blog]. De cette réalité, le film tire néanmoins ses qualités. « BAC Nord » est un polar en béton armé, tissé d'humanité.
Chaque flic affiche sa personnalité, ses habituelles fêlures de macho fracassé. Gilles Lellouche joue parfaitement la partition classique du quinqua ravagé, Karim Leklou campe le sage de la bande, futur papa qui veut croire en l'avenir. Le héros le plus romanesque reste celui que porte François Civil. Chien fou solitaire, il est le d'Artagnan des mousquetaires marseillais. Ses motivations, l'attachement qu'il éprouve pour sa jeune indic, jouée par Kenza Fortas [César du meilleur espoir féminin pour son rôle dans « Shéhérazade », superbe ici aussi – NDLR du Blog], écrivent la page la plus touchante de « BAC Nord ».
Fort de son trio, Cédric Jimenez enchaîne des scènes d'action suffocantes, dont l'attaque en temps réel d'une barre d'immeuble transformée en véritable arcane de jeu vidéo (*). Réalisateur de « La French », Jimenez est un enfant du port. Et l'on sent son plaisir à filmer ce monde familier : la Méditerranée, la chaleur du Midi, les exploits de l'OM en fond sonore, les joggings Adidas et une tchatche qui claque comme un coup de sirocco : « arrête de faire le beau ! »
L'affaire ne s'est peut-être pas passée tout à fait comme ça, mais c'est ainsi qu'on la raconte au cinéma, comme dans un bar du Panier, dans le labyrinthe fada d'une ville pas tout à fait réelle, la « planète Marseille » de Cédric Jimenez.
(Source : « lesechos.fr »)
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(*) Il y a au moins 2 scènes qui vont devenir culte (« s » ?) dans ce film :
Celle, hilarante, où les 3 flics embarquent un gamin d’environ 13 ans qui fracassait le parebrise d’une voiture, hyper-agité… et, pour le calmer, l’un d’entre eux allume la radio et met à fond un rap particulièrement rythmé aux paroles sûrement très violentes [mais incompréhensibles pour JM – NDLR du Blog]. La séquence ne dure pas plus que 2 minutes, moins peut-être, mais c’est l’éclate totale !
Et l’attaque de cette barre d’immeuble en haut de laquelle se trouve le repaire du chef des dealers. Littéralement EPOUSTOUFLANTE !
Les curieux qui voudraient savoir si l’on doit mettre un « s » à culte ou pas, qu’ils lisent l’article ci-dessous. Les autres, on vous attend dans le Billet suivant…
https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/expressions-francaises/2017/10/07/37003-20171007ARTFIG00006-des-films-cultes-ne-faites-plus-la-faute.php
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(Stephan Mary slam Le zèbre) "Le surdon, réalité avérée aujourd'hui grâce aux neurosciences, se traduit par un mode de fonctionnement du cerveau qui se manifeste, entre autres, par des fonctions sensorielles particulièrement développées. De là résulte un décalage permanent entre la perception de ce que vit le surdoué et la réalité perçue par son environnement social ..." Cécile Bost (quatrième de couverture)
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theoppositeofadults · 4 years
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Il n’est pas rentré de la nuit. D’habitude, lorsqu’il découche, il prend le temps de m’envoyer un texto pour me prévenir, parce que même s’il a dix-neuf ans, j’estime qu’il doit me respecter et ne pas prendre mon appartement pour un hôtel, un lieu de passage, un squat dans lequel balancer son linge sale, piller le réfrigérateur, puis disparaître comme un fantôme, un nugget entre les dents. Tant qu’il vivra ici, il devra se plier aux règles de sa mère, participer aux tâches communes, descendre la poubelle, m’avertir de ses allées et venues afin que je ne me fasse pas un sang d’encre lorsqu’il est absent, que je ne ronge pas le peu d’ongles qu’il reste encore au bout de ces doigts abîmés.
Tourmentée, je me retourne sur le flanc gauche puis sur le flanc droit, des fourmis dans les jambes, dans la tête, dans le ventre, au milieu d’un lit trop grand, dans une chambre où l’atmosphère est pesante, moite, après une journée caniculaire d’août et malgré l’arrivée imminente d’un orage. Un moustique kamikaze me provoque, survolant le haut de mon crâne, tentant de se poser sur mon avant-bras appétissant afin d’en sucer le nectar rouge qui pourrait lui permettre de survivre quelques heures encore, voir quelques jours, si ma main endormie ne le projette pas contre un mur à la tapisserie défraîchie. Le vecteur du paludisme, c’est le moustique, mais le vecteur de la folie, c’est l’Homme et je deviens folle d’attendre de ses nouvelles, narguée par un radio réveil muet qui indique déjà 4 h 03.
Les volets se mettent à battre des ailes cherchant à s’envoler vers un horizon autre que la tour en béton d’en face, que le ballet perpétuel des bagnoles qui klaxonnent et crachent une fumée étouffante, que les mollards verdâtres qui jonchent la station du tram. Le vent se lève, il faut s’abandonner à vivre écrivait Paul Valéry. C’est beau, mais la vie n’est pas un poème romantique dont les rimes cadencées paient le loyer. Dans deux heures, je serai à genoux, à lustrer la moquette tâchée d’un des bureaux d’un concessionnaire automobile, à vider des poubelles où les gobelets en plastique à l’agonie s’entassent sans émettre le moindre gémissement de protestation. La pluie se fait de plus en plus puissante malmenant les visages des passants courageux qui ne savent plus très bien ce qu’ils font là, à cette heure du petit matin. Un sachet au logo Auchan tente de contrôler sa trajectoire, mais termine empalé sur la branche tranchante d’un arbre dont les feuilles se tiennent la main pour ne pas finir comme un cerf-volant au milieu d’une tempête.
Un éclair jaillit de nulle part illuminant les nuages l’espace d’un instant. En comptant le nombre de secondes qui séparent la vision de l’éclair et le bruit du tonnerre et en divisant ce nombre par 3, j’aurais la distance me séparant de l’orage en kilomètres. Je faisais cela lorsque j’étais enfant, subjuguée par la force des éléments, me sentant vivante et invincible sous la pluie alors que mes parents craignaient pour ma sécurité. Les parents ont une petite tendance à oublier qu’ils ont été des enfants eux-mêmes. La lave de l’impatience bouillonne en moi. L’éruption de colère n’est pas loin, l’Etna gronde au milieu de ce T2 strasbourgeois. La rue ne ressemble plus qu’à un tambour de machine à laver dans lequel  les détritus dansent à quelques centimètres du sol.
« Mais où est-il donc encore bon sang ? », marmonnais-je intérieurement.
Le téléphone se mit soudainement à vibrer comme une délivrance inattendue, un électrochoc sans douleur. Je souris sans m’en rendre compte, imaginant l’excuse qu’il aura inventée cette fois. Une panne de batterie, un pneu crevé sur son vélo ou bien encore un accident de tram. Je ne sais pas et je ne veux pas savoir : ce qui m’importe d’abord, c’est qu’il soit sain et sauf, pour la sanction nous verrons lorsque je rentrerai de ma journée de travail.
Je décroche, décidée à écourter la discussion afin de profiter de quelques minutes supplémentaires de sommeil. Il est 4 h 57.
Je me souviendrai toute ma vie de ce moment, de la voix ferme et à la fois douce de cet homme au bout du fil, de ces minutes interminables où une enclume de plusieurs millions de kilos s’écrasa sur ma carcasse anesthésiée pour briser ma vie, celle d’une jeune femme et de sa mère à quelques kilomètres de là.
J’étais là sans être là. J’écoutais sans écouter.
Pas mon fils, il n’a pas pu faire ça. Les yeux rougis, comme si je venais de prendre une violente gifle en plein visage. J’ai certainement mal entendu. C’est une erreur, un malentendu. Je lui ai consacré dix-neuf ans de ma vie en tentant de lui donner le meilleur malgré un père absent, enchaînant deux emplois pour qu’il ne manque de rien, pour qu’il puisse avoir la vie que je n’ai pas eue et je m’aperçois qu’en fait, je ne sais rien de lui, que c’est un parfait inconnu, un étranger, un gamin sans histoire qui pourtant vient de basculer dans l’horreur, la barbarie. Lorsque je lui demandais si tout allait bien, il me répondait d’arrêter de lui prendre la tête, mais si j’avais su, aujourd’hui, je creuserais encore et encore pour savoir. J’ai peut-être été naïve parce que je l’aimais.
C’est dur pour une mère d’apprendre que son fils est un prédateur sexuel. C’est comme si j’avais transmis le diable à mon enfant, moi qui lui ai appris à lire, à marcher. Comment dois-je réagir ? Ai-je été une mauvaise mère ? J’ai essayé de faire au mieux. Je n’ai rien vu venir et je pense à cette jeune fille, Lucie, qui aurait pu être ma fille. C’est comme si c’était moi qui l’avais fait, ce mal. J’aimais penser, en tant que parent, que mon amour et ma patience le protégeraient et que si quelque chose clochait avec lui, je le saurais, mais je n’en savais rien, je n’ai pas été capable de l’empêcher de meurtrir cette étudiante dont la vie est détruite. Nos vies sont détruites. Celle de sa mère est détruite.
Je suis désolé pour ce que mon fils a fait et en même temps, je sais qu’être désolée est une réponse inadéquate à toute cette souffrance. Il n’y aura pas un jour qui passe sans que je pense à Lucie, à ses sanglots, à ces cris, aux bleus sur ses bras. Ce qu’il lui a fait est abominable.
Désormais, je suis une mère condamnée à perpétuité.
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