#racines de mer
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Le jardin de quatre colonnes by Vincent Dumay and Baptiste Wullschleger
Revealing this year’s International Garden Festival designs
Maillage by Friche Atelier
matière-matière by Studio Haricot, Rose-Marie Guévin and Vincent Ouellet
Racines de mer by Cassandra Ducharme-Martin and Gabriel Demeule
S’Y RETROUVER by Jinny Yu, Ki Jun Kim and Frédéric Pitre
#vincent dumay#baptiste wullschleger#artist#art#sculpture#international garden festival designs#le jardin de quatre colonnes#maillage#friche atelier#matiere-matiere#studio haricot#rose-marie guevin#vincent ouellet#racines de mer#cassandra ducharme-martin#gabriel demeule#s'y retrouver#jinny yu#ki jun kim#frederice pitre
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Hardelot-Plage: la destination idéale pour des vacances en bord de mer
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Le cœur se partage
il est comme l'orage
On y cherche abri
On y attend la nuit
Ruissellement bu de l'intérieur
Voix douces comme la mousse
Deux visages remplissent la pénombre
Leurs mains cherchant leurs mains
Dressées
Comme le sont les racines rieuses
Ô cible de ses beaux yeux
Son sourire qui hameçonne la lumière
La mer qui se retourne sur ses pas
Il a dit
Il s'est entendu lui dire
"Comme il fait bon dans les yeux qui croisent
un moment la douceur de toi"
jacques dor
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Les êtres - peuple de l'eau
HÉRÉDITÉ ‧₊˚ De nature héréditaire, le gène spécifique aux êtres de l’eau est transmis à la descendance, mais peut demeurer inactif. Ainsi, un·e sorcier·e issu·e d’un triton et/ou d’une sirène n’est pas forcément voué·e à l’être à la naissance. Iel demeurera alors similaire en tout point aux sorcier·e·s lambda et n’aura pas de réelle appartenance avec ce peuple, élevé·e à la surface par sa·on parent sorcier. En revanche, si le gène est actif et l’enfant naît sirène ou triton, iel dépendra du royaume sous-marin où iel sera élevé·e par son parent sirène/triton.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Êtres de l’eau évoluant en son sein, iels possèdent — et ce, dès la naissance, une queue de poisson aux écailles duochromes, des branchies et doigts palmés leur permettant de se mouvoir. Il est vital pour elleux d’être placé·e·s dans l’eau une fois extraits du ventre maternel, sous peine de ne pas pouvoir respirer, ne maîtrisant pas encore leur transformation humaine.
Avec l’apprentissage vient la capacité de muer la queue en une paire de jambes, rétracter ses branchies et palmes, afin d’évoluer sur la terre ferme. Le moindre contact avec la substance aqueuse les ramène toutefois à leur forme d’origine s’iels ne possèdent pas l'entraînement adéquat. Pour pallier à cela, une potion a été créée, les maintenant sous leur forme humaine pour une durée limitée. Les contreparties sont cependant lourdes et les prises doivent être rapprochées pour que l’effet persiste, les saignements de nez récurrents se muant par la suite en aiguilles sous la plante des pieds puis en faiblesse généralisée, les jambes lâchant sans plus réussir à supporter le poids du corps.
L’appel de la mer reste dans tous les cas dévorant, qu’importe que l’individu soit en communion ou non avec ses racines et son identité. Il lui faudra s’immerger s’iel ne veut pas dégrader sa santé, risquant le cas échéant d’éprouver des malaises, étourdissements, maux de tête, ainsi qu’une faiblesse généralisée et persistante, et par la suite, développer diverses carences. Iel entrera alors en phase de déshydratation avancée, la sensation de soif inassouvie le·a drainant et le·a rongeant, forcé·e de boire environ 3L d’eau par jour afin de compenser le manque d’eau.
Leur voix est une arme dont la mélodie chantante est fortement persuasive, aptes à manipuler autrui sans qu’iels n’en aient conscience. D'un simple "j'ai entendu dire que…", tournure essentielle à l'enclenchement du don, la personne est sous influence. Le secret se transmet de sirène en sirène — rendant celui-ci inefficace sur elles, ces dernières se gardant bien de partager la clé aux sorcier·e·s qui ne se souviennent pas de ce qu'iels ont pu entendre. Attention toutefois à ne pas dépasser les limites, l’équilibre restant subtil entre persuasion et contrainte, sous peine de risquer de déclencher un mécanisme de défense.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ peuple pratiquement autonome grâce au commerce de ressources sous-marines — comprenant ingrédients de potions, baguettes et trésors engloutis, l’entente avec les sorcier·e·s est cordiale. Leurs enfants sirènes/tritons sont scolarisés parmi eux, mais restent voués à retourner vivre dans leur cité engloutie, l’inverse étant très mal considéré.
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien traum und existenz
tw - mention d'alcoolisme
kaito ça date, kaito ça prend racine dans des vieilles théories du complot fumeuses et des jets de jouets par-dessus la balustrade pour voir lequel survivra à l'apesanteur. kaito c'est l'autre côté de la pièce, c'est un micmac complémentaire, lui aime pas lire, elle elle adore lire, lui passe mille ans sur l'instru, elle crache des paroles comme un missile qui fend la mer en deux. kaito ça a été aussi celui qu'a joué au plus con, qui s'est retrouvé alcoolo à force d'accepter les verres lors des soirées, qui finissait pété à midi, qui s'est retrouvé à pas pouvoir assumer un concert. lulu l'a dégommé, lulu l'a dézingué, lulu l'a embrouillé comme jamais, dans l'inquiétude pour son pote mais aussi le flippe que le contrat pète entre la maison de disque et eux. la semaine d'après il avait son cul bien enfoncé dans une chaise en plastique chez les AA, et elle l'a accompagné lulu, elle l'a accompagné en lui serrant parfois la main. lulu c'est à la vie à la mort, lulu c'est les résidus d'un chaos doux qui tape des fous-rires à deux heures du matin.
#forum rpg#forums#rpg francophone#forumactif#rpg français#avatars rpg#faceclaim rpg#ressource rpg#pub rpg#nava mau#nava mau avatars
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Même le plus friable
des mots
a des racines dans le soleil
comme le matin
des barques sur la mer
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Eugénio De Andrade (Le poids de l'ombre)
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"Malgré le bouddhisme, ils ont une vague nostalgie du culte solaire. Il n'y a pas si longtemps, l'Asie était blanche. Le feu y était vénéré, de la mer du Japon à la Finlande. Le chamanisme reste la religion des racines. […] Pour faire revivre tous ces cultes anciens. […] Les temples renferment Dieu, pour le trouver, il faut abattre les murs. Le soleil. Le vent. La forêt et l'océan. Glace. Nos ancêtres connaissaient les messages de la terre. Superstition, tu es la sagesse."
Jean Mabire, Ungern, Le Dieu de la Guerre (1973)
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Bagne AP - Traces-Mémoires du Bagne
Jean-Luc de Laguarigue, Patrick Chamoiseau
Ed.Gang, Ivry-sur-Seine 2011, 104 pages, 34x32,8cm, ISBN 978-2-915 784-053
euro 25,00
email if you want to buy [email protected]
De Saint-Laurent jusqu'aux îles du Salut, le bagne de Guyane n'a encore jamais fait l'objet d'un travail de photographies d'auteur. Bagne est un projet d'ouvrage d'art ayant pour ambition de " donner la parole " à ces vestiges historiques qui sont une part essentielle du patrimoine de nos régions Antilles-Guyane. Le projet sera réalisé par Jean-Luc de Laguarigue, photographe, auteur de nombreux ouvrages sur le patrimoine créole, et Patrick Chamoiseau, écrivain, prix Goncourt 1992 pour Texaco (Gallimard), dont le texte suit les photographies. L'instant de la découverte déclencha une charge émotionnelle si puissante que je fus submergé par des sentiments contradictoires : l'envie de passer rapidement tout en voulant pousser plus loin l'exploration ; l'idée d'être totalement perdu et la conviction d'être naturellement au bon endroit, au bon moment ; l'illusion de vivre un rêve éveillé et la révélation de mille formes humaines et inquiétantes dans chaque ombre ou racine, comme quand j'étais enfant ; la constatation que j'étais seul et l'intuition que des yeux invisibles m'épiaient ; et puis ces ondes du vent sur ma peau qui faisaient écho aux vibrations du lieu et de la mer... Je voyais la pierre suintant qui m'offrait toutes ses mémoires ; la couleur des arbres qui, par osmose, se décalque sur les murs ; les murs qui épousent les racines comme des corps fossilisés, formant çà et là des tumeurs et des excroissances. De partout venaient à moi le silence et le bruit, la chaleur et l'humidité, et le ressac de la vie et de la mort imbibant cette forêt de pierre et de bois de laquelle surgissait une danse de fantômes.
23/10/24
#Bagne de Guyane#JeanLuc de Laguarigue#photography books#Patrick Chamoiseau#Guiana#fashionbooksmilano
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J’ai beaucoup aimé ce roman, aux forts accents autobiographiques semble-t-il.
Le voyage à Tel-Aviv, une vraie corvée au départ, est l’occasion pour Eduardo de se remémorer des personnes de son passé, de s’interroger sur son identité de celui qui ne considère être juif que « parfois ».
Il a un rapport complexe avec cette judéité qui est principalement subie. D’autant qu’il vit au Guatemala, loin de ce bazar là, mais au cœur d’un autre. Sa sœur va épouser un juif orthodoxe très strict, et ça ennuie Eduardo au plus haut point, car tout le décorum et les interdits l’indiffèrent. Il n’a fait en sorte que de fuir cette religion. J’ai l’impression que beaucoup de ses livres parlent de ce désir de fuite, d’éloignement. Comme si c’était impossible de grandir pour de bon et de s’affranchir une bonne fois de cet encombrant héritage. Il erre mollement dans Jérusalem, pour faire plaisir à sa sœur ou à sa mère… puis il prend la tangente, du moins c’est ce qu’il croit. Auprès de la charmante Tamara, au bord de la mer Morte, il se sent plus près que jamais de son grand-père, de ses racines. Il sait qu’il ne peux pas les repousser totalement, que c’est trop lourd à déplacer, il lui faut trouver une façon de s’en accommoder, d’exister avec, à la bonne distance.
Après l’ironie mordante (et désopilante) dont il fait preuve à l’aéroport et dans les taxis, il se laisse toucher par quelque chose d’indicible, et comprend le casse-tête que constitue son arbre généalogique, avec pas moins de trois ascendants juifs-arabes.
J’ai aimé la distance du narrateur face à un passé et des mythologies plus grandes que lui, vertigineuses. Son humour, son regard fin, son élégance aussi. Je me suis empressée de commencer son dernier, qui a remporté le Médicis étranger cette année.
#Eduardo Halfon#éditions quai voltaire#littérature#livres#litterature#roman#livre#autobiographie#judéité
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"Tu ne sais pas d'où tu viens. Peut-être es-tu née en route? tu n'as pas d'autre pays que les bras de ta mère, pas d'autres racines que ses jambes qui vous ont portées jusqu'ici. Tu ne sais d'où tu viens, ni où tu vas.T u as appris à marcher en chemin.T u joues avec des cailloux sur la plage immense et vide.T u attends sans poser de questions.T u fais des tas, des petits murs qui s'écroulent, tu imagines que tu te construis une maison qui pourrait vous abriter toutes les deux. Une maison si solide que le vent n'y entrera pas ni le sable ni la chaleur ni la douleur ni les larmes ni les vagues.T u t'appliques, mais, malgré ta patience et les jours de labeur, rien ne tient jamais et il faut recommencer sans fin. Le soleil arrose ton monde de lumière sèche, tu as soif et tu as peur de regarder la mer. Tu lui tournes le dos depuis que tu l'as vue pour la première fois, tu lui tournes le dos pour l'oublier. Mais tu l'entends...Tu entends son souffle, elle s'avance,puis se retire. Sa langue d'eau salée tente de t'attraper. Langue liquide, plus large que la plage, langue énorme qui claque, qui lèche le sable, qui rampe jusqu'à toi. La mer est une bête et ta maman dit qu'il va falloir monter sur son dos..../..." Carole Martinez extrait de: "SOS Méditerranée-Les écrivains s'engagent" Editions Gallimard
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Port Racine, le plus petit port de France - Saint Germain des Vaux - Août 2022
Port Racine est un petit port de pêche situé à Saint-Germain-des-Vaux, dans le département de la Manche, en Normandie. Il est réputé pour être le plus petit port de France, avec une superficie d'environ 8 ares et une capacité d'accueil de 27 bateaux. Le port est situé sur la côte nord de la Hague, une région connue pour ses paysages sauvages et ses falaises abruptes. Il est entouré de falaises de granit qui offrent une vue imprenable sur la mer. Le port a été construit en 1870-1886 pour protéger les bateaux des tempêtes. Il a été utilisé par les pêcheurs locaux pendant de nombreuses années, mais il est aujourd'hui principalement utilisé par les plaisanciers. Port Racine est une destination populaire pour les touristes. Il est un endroit idéal pour se détendre et profiter de la beauté de la nature. Camera: Panasonic Lumix DMC-GF2 Objectif: Panasonic Lumix G Vario 14-42mm f/3.5-5.6 ASPH Mega OIS Post-production avec Skylum Luminar 4 Read the full article
#bateaux#Cotentin#France#LaHague#Manche#maritime#Normandie#patrimoine#paysagecôtier#pêche#port#PortRacine#SaintGermaindesVaux#touristes#touristique
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Character concept
Il ferme les yeux, détourne la tête.
LE SPHINX — Inutile de fermer les yeux, de détourner la tête. Car ce n'est ni par le chant, ni par le regard que j'opère. Mais, plus adroit qu'un aveugle, plus rapide que le filet des gladiateurs, plus subtil que la foudre, plus raide qu'un rocher, plus lourd qu'une vache, plus sage qu'un élève tirant la langue sur des chiffres, plus gréé, plus voilé, plus ancré, plus bercé qu'un navire, plus incorruptible qu'un juge, plus vorace que les insectes, plus sanguinaire que les oiseaux, plus nocturne que l'œuf, plus ingénieux que les bourreaux d’Asie, plus fourbe que le coeur, plus désinvolte qu’une main qui triche, plus fatal que les astres, plus attentif que le serpent qui humecte sa proie de salive ; je sécrète, je tire de moi, je lâche, je dévide, je déroule, j’enroule de telle sorte qu’il me suffira de vouloir ces nœuds pour les faire et d’y penser pour les tendre ou pour les détendre ; si mince qu'il t'échappe, si souple que tu t'imagineras être victime de quelque poison, si dur qu'une maladresse de ma part t'amputerait, si tendu qu'un archet obtiendrait entre nous une plainte céleste ; bouclé comme la mer, la colonne, la rose, musclé comme la pieuvre, machiné comme les décors du rêve, invisible surtout, invisible et majestueux comme la circulation du sang des statues, un fil qui te ligote avec la volubilité des arabesques folles du miel qui tombe sur du miel. ŒDIPE — Lâchez-moi ! LE SPHINX — Et je parle, je travaille, je dévide, je déroule, je calcule, je médite, je tresse, je vanne, je tricote, je natte, je croise, je passe, je repasse, je noue et dénoue et renoue, retenant les moindres nœuds qu'il me faudra te dénouer ensuite sous peine de mort ; et je serre, je desserre, je me trompe, je reviens sur mes pas, j'hésite, je corrige, enchevêtre, désenchevêtre, délace, entrelace, repars ; et j'ajuste, j'agglutine, je garrotte, je sangle, j'entrave, j'accumule, jusqu'à ce que tu te sentes, de la pointe des pieds à la racine des cheveux, vêtu de toutes les boucles d'un seul reptile dont la moindre respiration coupe la tienne et te rende pareil au bras inerte sur lequel un dormeur s'est endormi.
(Jean Cocteau, La Machine infernale, 1934)
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EMPIRE DE VESPERIA —
tw : mention de classes sociales, discriminations, politique.
Empire forgé sur les ossements d’un ancien monde, terres sacrées autrefois Seelies, passées aux mains des mortels avant d’être arrachées par les crocs Unseelies. L’Empire de Vesperia était jadis simplement connu comme le Continent de Vesperia. Auparavant appartenant à la Cour Seelie, le continent fut légué aux Humains qui y bâtirent des cités et des royaumes centenaires avant d’être écrasés par la force brute des Unseelies venus de ce qui sont aujourd'hui les Terres Damnées.
Géographie —
RÉGIONS — Silva, Narakashad, Okeanos, Basarova, Nyumbani, Hanazora. CAPITALE & CITES IMPORTANTES — Kalipur (capitale de l’empire située à Narakashad), Lupercus (Silva), Nephelion (Okeanos), Vranozgrad (Basarova), Marabara (Nyumbani), Kireinaka (Hanazora).
Narakashad — la Cour d’or et d’ombre Située à l’ouest du continent de Vesperia, la région de Narakashad s’élève parmi ses sœurs. Fief de la maison impériale, c’est tout naturellement qu’on y trouve la capitale de l’Empire, à savoir Kalipur. Région au climat tropical, les côtes de la région sont bordées de plages de sables fins et de petits villages, tandis que ses terres possèdent des cités aux merveilles architecturales. Des jungles luxuriantes jalonnent son territoire et de nombreux fleuves et rivières parcourent l’étendue de Narakashad. Pour autant, malgré sa beauté, la région de Narakashad est à l’image de sa capitale. Une terre d’ombre et d’or, où la richesse apparente de ses paysages et de ses habitants n’est parfois qu’un leurre pour mieux vous berner.
Silva — la Cour des arbres Les habitants et les forêts ne semblent faire qu’un, dans la région de Silva. Située au Nord-Est de l’Empire, elle est bordée par les régions de Narakashad et Nyumbani et fait face comme l’une de ses consœurs à la mer des Brumes. Silva se veut à la fois envoutante, mais également dangereuse. Nombreux sont les vestiges des anciennes cours Seelies, qui peuplaient autrefois le continent de Vesperia avant de l’offrir aux mortels. C’est pour cette raison que la majorité des cités et villages de la région tendent à s’y méprendre avec celles du Bois d’Argent. Ici, cependant, il n’est pas question d’habitations à même le sol, mais nichées dans les cimes des arbres. Car les bois de la région sont dangereux pour ceux qui osent poser pied à terre, entrant directement sur les territoires des bêtes qui n’attendent qu’une brebis égarée pour la dévorer. Lupercus, le chef-lieu de la région, est raccordé à toutes les autres villes de la région par des ponts flottants faits de racines et de branches entremêlées.
Okeanos — la Cour orageuse Bordée par la mer des Brumes et située au nord de l’Empire, la Cour orageuse – comme elle est surnommée par les peuples de Vesperia – est montagneuse et tempétueuse. De nombreuses falaises vallonnent la région, peu praticables pour quiconque n’y est pas natif. Le chef-lieu de la région, Nephelion, se trouve au cœur même des Falaises Foudroyantes faisant face aux eaux courroucées de la mer. Considérée comme l’une des rares cités imprenables de l’empire, Nephelion n’est accessible que via des chemins tortueux au cœur des falaises qui mènent tout droit dans les entrailles de la terre. Malgré l’impétuosité de la mer – à l’image de cette région – les habitants d’Okeanos ont su tirer profit de cette dernière et semblent être les rares à avoir su tempérer ses flots et à en retirer les richesses qu’elle abrite.
Basarova — la Cour des cauchemars Basarova est sûrement la région la plus froide de l’Empire. Région montagneuse, elle est également constituée de fjords enneigés. Si Nephelion est considérée comme la cité la plus imprenable de l’empire, Vranozgrad la suit de près. Ce n’est pourtant pas par rapport à son architecture ou ses fortifications, mais bien parce que la région et sa capitale sont entourées d’une aura de mystères et d’ombres. Ici, tout n’est qu’illusions et cauchemars. Les créatures obscures s’éveillent à la lueur des lanternes des voyageurs perdus, et les cauchemars s’éveillent au rythme des illusions engendrées par les Fay. Région considérée comme maudite, c’est ici qu’est principalement vénéré Khurus, l’Evanuri de l’horreur et de la souffrance. Basarova est une terre d’illusions, une cour des cauchemars que la lumière ne semble pas atteindre.
Nyumbani — la Cour du savoir Le climat chaud de Nyumbani est le plus propice à l’agriculture, c’est pourquoi le sobriquet de Cour du savoir est souvent remplacé dans la bouche des vesperiens par le Grenier de l’Empire. Si certains de ses paysages tendent à s’y méprendre avec ceux de Narakashad, les panoramas y sont plus diversifiés. Les jungles luxuriantes laissent place à une savane immense, composée de nombreux cours d’eau auxquels bêtes et habitants paraissent se mêler. Le chef-lieu de la région, Marabara, se trouve au cœur de l’oasis située dans la savane. Les habitants de cette région sont connus pour vivre dans le respect presque sacré de la nature et de ses environs. Iels vivent principalement de l’agriculture et des nombreux vergers éparpillés aux quatre coins de Nyumbani, mais également de la chasse. Peuple de grands savants, l’empire doit de nombreuses créations technologiques aux nyumbanais.
Hanazora — la Cour des fleurs Région à la fois montagneuse et insulaire, où les nuits sont très froides tandis que les journées très chaudes. Hanazora est couverte de montagnes, de pagodes élancées, mais aussi de nombreux cours d’eau au torrent calme. Ses forêts sont couvertes d’arbres millénaires qui��fleurissent au rythme des saisons, apportant une ambiance solennelle et chatoyante à la région. On dit des hanazorois qu’ils sont sages et honorables, grâce à leur apparent respect envers leur région et autrui. Le chef-lieu de cette région, Kireinaka, est sûrement le chef-lieu qui inspire le plus de sérénité de tout Vesperia. Nombreux sont les voyageurs qui viennent y séjourner le temps de quelques jours pour s’y ressourcer au cœur de ses temples et de ses sources chaudes.
Terres Libres — Bastion de l’humanité Si les Terres Libres n’appartiennent à proprement parler pas à l’Empire, elles font malgré tout partie du continent de Vesperia. Situées au Sud-Est de Vesperia, les Terres Libres font face à l’ancien continent des Terres Immortelles, considéré comme la mère patrie des Unseelies. Trois cités coexistent au cœur des terres chaudes et jonchées de sables des Terres Libres. Elgarasan, Shemlaran et Irassalan. Ici, les trois espèces vivent sur un pied d’égalité, sous l’œil avisé de la Guilde des Marchands. Si pour autant la mixité apparente de ces terres pouvait être la preuve de la tolérance qui pourrait exister entre les différentes espèces, il n’en est rien en vérité, tant certains aprioris sont ancrés dans le cœur des uns et des autres. La criminalité est à son plus haut taux au sein de cette région, pirates, assassins et criminels trouvant refuge au sein de cette terre d’asile. Mais aux yeux de certains, tel est le prix de la liberté.
Généralités —
Langues — La langue parlée au sein de Vesperia est nommée la langue commune, pour autant, chaque région possède son propre dialecte qui tend malgré tout à disparaître. On parle de l’hanazorois, nyumbanien, basarovais, silvan, okeanien et narakashi (noms donnés autant aux langues qu’aux habitants de ces régions). La langue ancienne est encore toujours parlée par les Unseelies, bien que les nouvelles générations utilisent principalement des mots et locutions connues, plus qu’elles ne le parlent réellement.
Éducation — Les humains de Vesperia doivent aller dans les écoles communes situées dans les différentes cités et villages de leurs régions, de leurs cinq ans à leurs dix-sept ans, moyennant de l’or. Celleux qui ne peuvent se permettre d’envoyer leurs enfants à l’école, les font éduquer généralement par les anciens de leur village ou les envoient dans les temples afin d’être éduqués par les Mères Révérées. Tous les Unseelies font leurs études au sein du Temple d’Astoria, au sein de la capitale de l’empire. Iels y sont scolarisés de leurs dix ans à leurs vingt-cinq ans.
Religion — Les pratiques religieuses spécifiques aux Evanuris sont nombreuses au sein de l’Empire de Vesperia, mais les paroles de la Divine et des membres du clergé sont hautement respectées au sein des différentes régions de l’empire. Les Fay Unseelies sont considérés sur ces terres comme les descendants des Evanuris dont iels tirent leurs pouvoirs. Il est à noter que si toutes les divinités sont représentées dans toutes les régions de l’empire, seule l’Evanuri Ishtari n’y possède aucun temple.
Classes sociales — La société de l’Empire de Vesperia est structurée en groupes hiérarchisés qui forment une pyramide. On trouve à sa base les paysans et à son sommet l’Empereur. L’appartenance à ces groupes est en grande majorité dû à la naissance de l’individu : un enfant de paysan sera un paysan, et un enfant de noble sera un noble. Pour autant, des exceptions existent et selon les règles du Grand Jeu, certains peuvent se voir gravir les échelons de la pyramide sociétale.
On retrouve donc : — L’empereur et la famille impériale. — La Divine et les membres de la Chantrie. (les membres de la religion) — Les nobles (les familles seigneuriales et leurs vassaux, ainsi que les personnes anoblies. principalement unseelies.) — Les roturiers (généralement humains. les membres du peuple, les paysans, artisans et bourgeois)
La bâtardise — Le terme de bâtard·e désigne un individu né hors mariage, ou dans le cas des hybrides d’un parent Fay et d’un parent humain. Celleux ayant au moins un parent noble ne peuvent porter son nom, sauf dans le cas où iel a été reconnu par son parent et accepté par l’Empereur. Le patronyme de celleux qui ne sont pas reconnus est déterminé selon la région d'origine de leurs parents.
— Narakashad : Les bâtard·es portent le patronyme Marathi. — Okeanos : Les bâtard·es portent le patronyme Astrapi. — Silva : Les bâtard·es portent le patronyme Corvi. — Hanazora : Les bâtard·es portent le patronyme Hana. — Basarova : Les bâtard·es portent le patronyme Cosmar. — Nyumbani : Les bâtard·es portent le patronyme Swen.
Politique —
L’Empereur de Vesperia détient les pleins pouvoirs, législatifs, exécutifs et judiciaires. Il est cependant secondé par un conseil de sept personnes, six d’entre elleux nommés les Seigneurs Suzerains, qui se réunissent au minimum deux fois par mois. Si l’Empereur dirige l’empire au sein du palais impérial, les seigneurs suzerains, elleux, dirigent les régions de l’empire. Iels ont pour devoir d’appliquer les lois de l’Empire au sein de leur région et de la diriger sous l’étroite surveillance de l’Empereur. Les seigneurs suzerains sont hautement respectés et sont parfois même considérés comme des rois au sein de leurs terres. Le Commandant de la Garde Impériale participe également aux conseils.
Si sur le papier, tout semble minutieusement agencé, un jeu politique nommé le Grand Jeu est la roue qui fait réellement tourner l’empire. Chaque vesperien de noble naissance est sujet à la manipulation de ses pairs, en tant que pion ou joueur. Si les membres de la Chantrie paraissent être en dehors de ces jeux politiques, il n’en est pas le cas. En vérité, chaque habitant de Vesperia est soumis au Grand Jeu. Le but est de gagner en prestige, en réputation en écrasant celleux qui se mettent en travers de leur route. La règle est simple, ne pas se faire prendre. Les nobles emploient donc généralement des assassins, ou plus souvent encore, des bardes pour atteindre leur but. En découvrant les secrets des uns et des autres, iels s’assurent une possible évolution dans la pyramide sociétale vesperienne, ou aux yeux de l’Empereur. Mais les secrets ne sont pas les seules choses qui permettent de se faire remarquer, c’est pourquoi, pauvres ou riches tendent à s’habiller avec des vêtements hors de prix, du maquillage à la mode et s’engagent dans de nombreuses festivités et réceptions pour obtenir des miettes de pouvoir. Si ce Grand Jeu semble concerner les castes les plus riches, la vérité est que même les roturiers y participent continuellement dans le désir d’obtenir un titre et des terres, ou pour s’affranchir du titre de bétail.
crédit des icons : MEMORY CARD VIII.
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Marécage
Des marais à perte de vue !
Moins connu que Gauvain, Tugdual venait aussi du pays de Galles. Il avait traversé les mers pour trouver ce que les chevaliers de la table ronde cherchent depuis toujours, le Saint Graal. Dans le nord, il avait combattu des hommes des glaces. A l’ouest, il s’est opposé au terrible serpent de mer, A l’est, c’était la fameuse horde sauvage qu’il défia pour sauver un petit village sans richesse. Quant au sud, il affronta le géant des sables. Mais de tous ses défis, il ne pensait pas que celui-ci serait le plus compliqué.
Des marais à perte de vue !
Voilà comment les paysans de la région décrivirent l’endroit. La piste donnée par un marchant local obligeait de s’enfoncer dans les terres de Nimué. Mais, à l’approche, il comprit qu’il ne serait pas facile d’entrer dans ces terres. C’était une immense étendue d’eau et de bois où personne n’allait par peur des superstitions. On disait qu’il était hanté, qu’un monstre habitait la zone et dévorait tout être vivant pénétrant dans le marécage. D’ailleurs, Tugdual n’entendit aucun chant d’oiseau, preuve que même ceux qui sont censés être à l’abri, ne se sentent pas protégés.
Le chevalier suivit son instinct. « Si le Graal est au centre de cet enfer », j’irai le chercher, pensa-t-il. Personne ne voulut l’aider. Ainsi, il acheta une barque et s’enfonça sous le regard médusé et désolé des villageois. Au début, tout se passait bien. Mais après avoir traversé le lac, ou plutôt la grande étendue d’eau, sa barque pénétra le sanctuaire interdit.
Puis, il fut confronté à différents problèmes. La chaleur étouffante du jour laissait sa place à au froid glacial de la nuit. L’humidité fut si importante et l’air si vicié qu’il vit, de ses propres yeux, son épée commencer à rouiller. Son bateau n’avançait que rarement dans l’eau croupie, l’obligeant à ramer et à se jeter dans le marais pour couper les racines des arbres ou des plantes qui, l’empêchaient de continuer sa route. Et le brouillard toujours présent, devenait de plus en plus dense quand il s’enfonçait dans ce marais infect. Dès lors, il réalisait que sa quête devenait absurde.
Des marais à perte de vue !
Après quelques jours, Tugdual pensait avoir fait le plus dur. Mais quelque-chose ne lui convenait pas. En effet, plus il avançait, plus il avait la sensation de déjà-vu. « Cet arbre, je l’ai aperçu. Et cette broussaille qui ressemble à un cheval, je le reconnais.» se disait le chevalier. De même, les arbres ressemblaient énormément à des formes humaines. Il crut même qu’ils gesticulaient des bras en voyant le vent bouger les branches.
Des marais à perte de vue !
Il avait fini ses provisions. Dès lors, il se mit à pêcher et récupérer quelques poissons. Tous avaient une terrible odeur de vase. Il vomit, sentant la maladie l’envahir. Et les moustiques qui s’amusaient à sucer son sang. Sa tête était chaude, il regrettait cette quête.
Des marais à perte de vue !
Dans son rêve, Tugdual vit une jeune femme aux cheveux d’or et à la peau blanche. Elle sortait de l’eau et l’invitait à le rejoindre. Il tendit le bras pour attraper sa main et se laissa glisser hors du bateau. Lorsqu’il se réveilla en avalant une gorgée d’eau putride, il se rendit compte qu’il était au milieu de rien. Sa barque avançait lentement. Lui qui ne savait pas nager, dut faire un effort surhumain pour la rejoindre, Enfin sur les planches, il souffla et s’endormit de nouveau. Le brouillard se faisait de plus en plus épais.
Il regrettait l’absence de son écuyer ou d’un compagnon. Son homme de main tomba malade quelques jours avant d’arriver dans ce village maudit. Il aurait pu attendre qu’il se rétablisse mais son esprit contenait trop d’impatience. Alors, il laissa son fidèle serviteur pensant le revoir dans quelques jours au plus. Et les autres chevaliers suivaient une autre piste à l’autre bout du pays ou en Calédonie. Dieu qu’il se sentait seul dans ce monde perdu. Même les oiseaux ne chantaient pas pour lui.
Soudain un craquement puis un cri. C’était le hurlement d’un animal. Devant son embarcation, l’eau se mit à bouillir. Il serra son épée à moitié tachée de rouille et observa cette eau remuer dans tous les sens. Le bateau continua d’avancer avec une lenteur insupportable. Il se mit à prier n’importe quel dieu. Malgré son baptême, il demeurait encore païen et louait toujours quelques dieux celtes. La rivière se calma brusquement. Tugdual observa les semblants de rives touffues et inaccessibles. Il jeta un œil sur un morceau de bois flottant. C’était les restes d’un cor de cerf. La tête arrachée regardait Tugdual en tirant la langue. L’intrépide semblait lire dans ce regard vide un danger.
Des marais à perte de vue !
A peine remis de cette vision d’horreur, le chevalier sentit quelque-chose frapper son épaule. C’était un tentacule. L’homme se releva immédiatement l’épée à la main. Face à lui, un monstre se dressait, des yeux globuleux le dévisageaient. Un second tentacule sortit de l’eau puis un troisième. Dès lors, le poulpe s’amusa avec la barque en la bousculant. Tugdual tomba, mais réussit à se maintenir dedans. Le monstre jouait, le bateau, collé aux bras de la pieuvre, ne touchait plus l’eau. Un tentacule enroula la barque avant de l’écraser comme un vulgaire insecte. Le jeune héros plongea, malgré lui, dans une eau noire et dangereuse.
Il se débattait aussi bien pour ne pas se noyer que pour se défendre du poulpe. Son poignard frappait l’eau sans toucher le monstre. Il frappait et essayait en même temps de rejoindre la rive. Enfin il arriva à avoir pieds et put courir jusqu’au bord. Il regarda l’étendue d’eau. Tout était calme. La pieuvre avait disparu. Jamais il n’aurait pensé rencontrer un pareil animal en cet endroit.
Des marais à perte de vue !
Tugdual avait tout perdu. Il ne lui restait qu’un couteau accroché à sa ceinture. Il avançait à travers les ronces et les feuillages denses. Le brouillard n’aidait pas. Il essaya de chercher de la nourriture. Mais c’était le rôle de son écuyer que de chasser les petits animaux. Lui était habitué aux sangliers, aux cerfs et autres gibiers de grande envergure. Il marchait cherchant à longer la rivière.
Des marais à perte de vue !
La traversé devint encore plus longue et périlleuse. Il risqua de s’effondrer d’épuisement dans la boue et les flaques. Ses vêtements se déchirèrent au contact des ronces et autre plantes à aiguilles. Il sentait la verdure blesser sa chair. Il avait mal. Mais il ne voulait pas mourir en cet endroit. Savoir que son corps finirait ici, imaginer ses ossements pourrir dans ce marécage, le révulsait. Alors, il trouva la force de continuer.
Des marais à perte de vue !
A cause de la soif, de la faim et de la fatigue, son imagination joua des tours. Il entendit une étrange mélodie. C’était un chant doux, une voix féminine harmonieuse. Il s’arrêta, chercha à regarder le ciel à travers la brume. Celle-ci parut moins épaisse. Et si ce n’était pas un mirage ? S’il entendait bien une femme chanter ? Aussitôt il s’engouffra au milieu des buissons en direction de ce chant. Il trébucha sur les racines, s’arracha la peau des bras et des jambes. Il faillit se crever un œil avec une branche tendue. Enfin, le brouillard avait disparu ainsi que la forêt et les marécages.
Tugdual avait réussi. Un château de pierre se dressait devant lui. Il marcha difficilement, ses jambes tremblantes avaient de plus en plus de mal à avancer. Il s’agenouilla, se mit à ramper vers ce château fantastique. Puis il s’endormit. Pendant ce temps, une jeune femme chantait à côté d’une fenêtre. A ses côté, un homme sourire aux lèvres, tenait une coupe de vin. Ses habits étaient des plus éclatants. Il était envouté par la beauté de la chanteuse… A moins que ce soit par sa magie, parce qu’il ressemblait trait pour trait à Tugdual.
Alex@r60 – août 2023
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SAMEDI 13 JANVIER 2024 (Billet 2 / 3)
Comme promis nous vous racontons l’histoire des photos que nous avons choisies pour notre Carte de Vœux 2024. Elles ont toujours une histoire nos Cartes de Voeux, souvenez-vous de celle de l’année dernière, illustrée par une belle aquarelle de la Place Jemaa el Fna et une calligraphie en arabe et en français, le tout réalisé par un ami marocain, Rachid, un ancien GO, retrouvé par le plus grand des hasards dans la Médina de Marrakech. Mais les hasards existent-ils ?...
Jeudi 28 décembre 2023 nous avions rendez-vous à 16 heures avec Justin à l’entrée du Village. Nous avions connu Justin en 2014 lorsque nous sommes allés pour la première fois au Club Med de Cap Skirring. Cette année-là nous avons fait pratiquement toutes les sorties au programme du service des Excursions, mais pas uniquement avec le Club.
Sur la plage, entre les rangées de transats et les parasols réservés aux GM (rappel : les GM ce sont les clients du Club) et l’océan, tous les jours, défilent des Sénégalais qui vendent des paréos, de l’artisanat local… et certains proposent diverses excursions, souvent analogues à celles du Club mais à des tarifs beaucoup plus intéressants. Dans le cas de Justin, ce fut un peu particulier car nous avons fait partie de ses tout premiers « clients ». Nous nous souvenons lui avoir même donné des conseils de « marketing », un bien grand mot mais qui consistaient essentiellement à lui dire d’avoir par exemple dans son sac à dos un book, avec des photos pour « montrer » ses excursions, des horaires et des tarifs précis…
Revenus en 2018 puis en 2019, nous lui sommes restés fidèles et avons même gardé le contact le reste de l’année grâce à WhatsApp. Nous avons eu comme ça l’occasion de le recommander à plusieurs reprises à des GM qui ont été toujours très satisfaits de ses services. Parmi les derniers, Corinne et Dominique (devenus des amis et des lecteurs/abonnés du Blog depuis), qui sont venus à Cap Skirring l’année dernière. Ils l’ont beaucoup sollicité et gardent un excellent souvenir de ce qu’ils ont fait ensemble, dont de la bicyclette pour Dominique, grand amateur de la Petite Reine.
Ce (long ?) préambule pour que vous compreniez les liens qui peuvent se tisser entre les GM, le personnel (70% des GO et 100% des GE sont sénégalais), mais aussi la population locale. Le village de Cap Skirring (1823 âmes) s’est créé « autour » du Village du Club Med. Avant, il n’y avait quasiment rien, si ce n’est quelques paillotes de pêcheurs…
Mais revenons à Justin qui nous a proposé d’assister à un coucher de soleil dans les bolongs, les bolongs étant « des bras de mer, répertoriés comme de petits affluents à l’embouchure du fleuve Casamance » (merci Wikipédia pour la définition). Ils sont bordés de mangroves à palétuviers dont les racines sont souvent recouvertes de petites huitres. Ils servent aussi de refuges à toutes sortes d’oiseaux. [Pour info, voir les 2 cartes ci-dessus qui montrent la région du Sénégal appelée La Casamance, située entre la Gambie et la Guinée Bissau… et, tout en bas, pratiquement à la frontière entre La Casamance et la Guinée Bissau, le Village du Club Med de Cap Skirring.]
La balade se fait bien sûr en pirogue et comme entre la plage et la pirogue il peut y avoir un mètre ou deux de sable vaseux, Marina a été portée par le piroguier et JM par Justin.
Les photos qui suivent se passent de tout commentaire, à noter seulement que nous nous sommes arrêtés sur une petite île où nous avons fait la connaissance de quelques familles qui y vivent presque en autarcie. Justin les connaissant, nous avons pu avoir des échanges très sympathiques avec de jeunes mamans (tous les hommes devaient être partis à la pêche), entre autres au pied d’un baobab majestueux,nous offrant un somptueux contre-jour… le début d’un coucher de soleil, au fil de l’eau, en longeant les mangroves, dans un silence magique juste rompu de temps en temps par les cris d’un oiseau dans le lointain... Un moment totalement « out of the world ! ». Lorsque nous avons regagné la terre ferme, il était 19h45.
Le lendemain, après avoir visionné les photos, nous nous sommes dit que c’était cette excursion que nous voulions évoquer pour nos Vœux. Voilà pourquoi tous les mots qui nous sont venus en les rédigeant ne pouvaient qu’évoquer l’émerveillement, la sérénité, la paix et l’amour…
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Visite guidée du ''Jardin d'Eden''...
Sans que nos contemporains s'en rendent parfaitement compte, la situation actuelle du monde est d'une gravité consternante, que rien ne vient contrebalancer et où aucun espoir n'est visible ''à vue d'homme'', à un point qui rend utile de revenir sur nos ''éditoriaux'' des jours derniers, où nous expliquions que un retour rapide aux ''fondamentaux'' de notre civilisation est non seulement... fondamental (pardon... mais c'est ce que je veux dire !), mais ''vital'', au pied de la lettre.
Pour des raisons que la morale ne comprend pas toujours (NB : Allons ! Soyons honnête : ''ne comprend pas souvent, voire jamais ''!), la chrétienté occidentale a accepté que des esprits mal intentionnés (Jospin et Chirac ayant été deux de ces pervers-masochistes malfaisants) lui arrachent ses racines, la laissant sans défense devant un vide mortifère... dont la nature a horreur et qu'elle s'est donc empressée de combler, par ''people-boats'' entiers, pleins de ''boat-people''. Nos grands hommes –dont on ne dira jamais à quel point ils sont petits-- ont suivi de longs ''cursus'' bourrés de savoirs inutiles (s'ils avaient été utiles, ça se saurait : des résultats, même petits eux aussi, auraient suivi. Or ils n'ont à montrer, à leur minable actif, que... leur effroyable passif !) n'ont jamais appris qu'un arbre, privé de ses racines, commence par flotter dans le vent... puis meurt. Il n'y a pas d'alternative connue. Ils nous ont mis dans cet état, sciemment, volontairement.
Un regard un peu profond démontre sans ambiguïté que la plupart des maux qui affligent en ce moment notre ''ex-belle planète bleue''(en commençant par ses habitants les plus malheureux) sont le fait des hommes eux-mêmes ou plus exactement de l'incapacité dont ils se sont dotés de ne plus être capables de ''tenir'' la mission de gardiennage respectueux, de travail intelligent, de maîtrise dans la domination et d'exploitation pacifique. Et non seulement ils ont délibérément –mais sans le moindre motif valable-- tourné le dos à leur ''définition de fonction'' et à leur seule et unique ''raison d'être'', mais ils ont trouvé malin d'accuser Dieu de tout ce qui va mal, et de s'auto-attribuer (toujours sans raison) ce qu'ils croient aller bien... tant que ''la suite inattendue des événements'' ne leur fournit pas de mauvaises bonnes raisons de se défausser, là comme ailleurs...
Pour bien comprendre ce qu'aurait du ou pu être notre destinée si nous étions restés ''dans les clous'', il faut et il suffit de relire le premier chapitre de la Genèse –qui est, en plus, l'un des plus beaux textes de toute la littérature. Quelques extraits, en vrac : ''Et Dieu dit : '' Que les eaux foisonnent d’une profusion d’êtres vivants, et que les oiseaux volent au-dessus de la terre, sous le firmament du ciel''... Dieu fit les bêtes sauvages selon leur espèce, les bestiaux selon leur espèce, et toutes les bestioles de la terre. Et Dieu dit : ''Que l'Homme soit le maître des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, des bestiaux, de toutes les bêtes sauvages, et de toutes les bestioles'' … Dieu créa l’homme à son image, (puis) il les créa homme et femme... et leur dit : ''Soyez féconds et multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Soyez les maîtres des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, et de tous les animaux qui vont et viennent sur la terre.''... Le Seigneur Dieu prit l’homme et le conduisit dans le jardin d’Éden pour qu’il le travaille et le garde... Le Seigneur Dieu donna à l’homme cet ordre : ''Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin, mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas, ou tu mourras''...
Mais non contents de nous croire tout permis, nous avons ignoré et mal traité cette Terre et ses autres habitants... dont nous étions responsables, et nous avons goûté et re-goûté à ce maudit ''arbre de la connaissance'' (que nous avons appelé ''la Science'') ? Nous avons déduit de sa fréquentation exagérée que nous pourrions commander aux lois de la Terre, de la Nature, et de l'humanité, à la vie, à la mort. Et, comme cela avait été annoncé en des temps hors de notre temps, la science, ce fruit défendu, poussé à ses extrémités ultimes, nous a donné l'impression de pouvoir supplanter Dieu : sans même nous en rendre compte , non seulement nous avons coupé nos racines, mais nous avons pris plaisir à nous goinfrer de fruits défendus. Résultat... nous mourons... et le monde, avec nous...
Vous ne me croyez pas ? Dans la seule matinée du 27 novembre, j'avais compté 4 articles dans la presse qui disaient : ''La Terre (variants : l'Homme ici, et l'Humanité, là) risque de mourir par la faute de l'Intelligence artificielle, l'IA''... ''Dès 2014, Elon Musk prévenait que ''l'IA est potentiellement plus dangereuse que les bombes nucléaires''... ''Hier (c'est moins loin !), le remplaçant de Sam Altman à la tête de ''OpenAI'' estimait ''entre 5 et 50 % la probabilité de voir l'IA anéantir l'humanité''... et Alain Rémond affirmait, dans le même cénacle : ''le but de OpenAI est d'anéantir l'humanité''. Et voilà que ressort sur nos petits écrans cette vidéo de 2020 où Bill Gates annonçait que ''pour sauver la planète, 3 milliards d'humains doivent disparaître''. (''Excusez du peu'', diraient les journalistes sportifs !). Dieu nous avait prévenus, avec sagesse : la connaissance est mortelle à l'homme.
A chaque relecture des superbes lignes de la Genèse, je me dis que les humains qui vivent dans nos régions –en réalité bénies par le sort, par le destin... et par le climat, malgré les inondations récentes-- témoignent à l'encontre de leur ''Créateur'' d'une immense ingratitude... dont nous constatons, chaque jour davantage et fut-ce ''à l'insu de notre plein gré'', les résultats dramatiques (NDLR : parce que, quoi qu,on raconte, ''le hasard et la nécessité'' sont bien insuffisants pour tout expliquer, et la Science, malgré les rodomontades de certains de ses membres indignes d'elle, n'a jamais pu élaborer l'amorce du début d'un commencement d'explication ''qui tienne la route''!),... Rendez-vous compte : ''L'homme aurait dû se comporter en responsable, et en comptable aussi, de tous les êtres vivants''... ça vous a une autre valeur eschatologique que toutes les lallations puériles d'une Greta Thunberg et toute la phraséologie technocratique du Giec –la litote en plus, et les mensonges en moins !
Cette forme moderne d'incapacité à admettre que le mystère de la vie (NB : jamais expliquée par la Science, ne craignons pas de le répéter), figure dans la longue liste de nos échecs et... de notre chute : irrespect devant le miracle qu'est un corps vivant... rêve fou de fabriquer (?) nous-mêmes la vie (?) dans un laboratoire... déterminisme matérialiste... folie transhumaniste d'un ''vivant augmenté'', plus ''cyborg'' qu'humain... etc... : tout est bon pour ''évacuer'' le Créateur et sa création. A l'arrivée, une humanité sans boussole, anxieuse, fuyant son humanisme, pas plus heureuse que ''avant'' –et même : beaucoup moins, en moyenne. Le temps passant, on ne peut même plus parler d'ingratitude mais d'une ignorance choisie, d'une incapacité fabriquée de toutes pièces de voir … ce qui est étalé devant nos yeux ''grand fermés''...
Le résultat, au stade où nous avons dégringolé, c'est un pays où une partie de la population se dit victime de judéophobie ou d'anti-sémitisme (ces deux mots étant souvent confondus dans le discours public)... où une autre partie de la population (pour une petite partie ''nationale-de-papier'' mais majoritairement ''immigrante'') se prétend soumise à ce qu'elle appelle de l'islamophobie –qu'elle est plus prompte à dénoncer qu'à démontrer... et une troisième partie, encore largement majoritaire, est si mal traitée qu'elle n'ose même plus se plaindre de son sort, pourtant peu enviable : les plus matraqués, fiscalement parlant, au monde... jamais écoutés et priés de se taire, politiquement) se sait frappée par un violent ''racisme anti-blancs'' qu'approuvent les ''woke'' maisque nient l'administration, les politiques, la presse vendue, et la justice –qui mérite de moins en moins souvent ce nom générique, qu'elle s'était octroyée en des temps où existait une corrélation entre le mot lui-même et la chose désignée... Autant en emporte le vent...
On en est réduits à rêver d'émigration massive vers la Lune... Les générations à venir –s'il reste une ''humanité''-- évoqueront peut-être les merveilles d'un néo ''jardin d'Eden'' qu'elles appelleront : le ''Paradis lunaire'' ! Pauvre humanité !
H-Cl.
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