#réseau sociaux
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#graphiste#réseau sociaux#logo#site web#carte de visite#Logo#flyer#publications pour les réseaux#vignette#miniature
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Je suis bien embêtée ... ✒️
Il y a quelques temps, j'ai louché sur un set de cachets de cire qui est juste magnifique !
J'ai pas osé me le prendre ...
Le problème c'est que je ne m'en servirai probablement pas car pour faire des cachets de cire, il faut avoir une correspondance. Et notre correspondance, on la fait tous par mail ... quand on ne donne pas des nouvelles directement sur les réseaux sociaux histoire de toucher un max de monde en une seule fois ...
J'étais déjà dégoutée quand j'ai remarqué qu'on n'apprenait plus à écrire avec un stylo plume alors qu'elle fait une si belle écriture ...
On ne va pas se mentir : ça n'aurait pas eu la même classe si Harry Potter avait appris son admission à Poudlard dans un publipostage tapuscrit en Arial taille 12, plié dans une enveloppe blanche format DL avec fenêtre ...
#cachet de cire#wax seal#set#correspondance#letter writing#email#réseau sociaux#réseau social#social networks#writing#écriture#stylo plume#feather pen
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la langue qui parle à personne de la journée
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dIASPORA, le meilleur RÉSEAU SOCIAL d'échanges authentiques
dIASPORA, le meilleur RÉSEAU SOCIAL d'échanges authentiques
Toute image s’agrandit au CLIC FORUM de Demain l’Homme : La BONNE CONJONCTION des PASSIONS Le forum Quora de Demain l’Homme 10 novembre 2024 17 December 2024 Temps de lecture 2 minute Graphisme HD réalisé par Michel G. avec l’IA Copilot pour Demain l’Homme Mais, des deux réseaux, DECOUVREZ d’abord dIASPORA, le nouveau Réseau Social (par centres d’intérêts) VRAIMENT HORS DU COMMUN et qui…
#Comment envisagez-vous le FUTUR de l&039;Humanité et de l&039;écosystème#meilleur réseau social Diaspora#meilleurs réseaux sociaux par centre d&039;intérêt#moteurs de recherche IA et liberté des médias#réseau social et forum de Demain l&039;Homme#réseau social sans fake news
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N'oubliez pas de donner vos avis en commentaire !
#Réseau social#Réseaux Sociaux#Site communautaire#facebook#instagram#pinterest#snapchat#whatapp#x.com#twitter#tumblr
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Essayez mes réseaux sociaux !
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Apparemment, Tumblr n'est pas complètement mort... et espère bien faire son retour
Devant la fuite des utilisateurs de Twitter et dans une moindre mesure de Reddit, Mark Zuckerberg n'est pas le seul à avoir compris qu'il avait une carte à jouer avec Threads notamment. Et c'est dans cette logique que Tumblr espère bien sortir de son état végétatif, en développant des fonctionnalités qui devraient la rendre plus user friendly.
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J'ai essayé l'application Threads et voici ce que j'en ai pensé!
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#actualités#application Threads#les zackardises#Les Zacktualités#Meta#réseau social#réseaux sociaux#Techno#Threads#zachary barde
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Lemon8, quelle est cette nouvelle application de TikTok ?
[et_pb_section fb_built=”1″ prev_background_color=”#ffffff” admin_label=”Header Section��� _builder_version=”4.16″ _dynamic_attributes=”background_image” use_background_color_gradient=”on” background_color_gradient_stops=”rgba(26,10,56,0) 0%|#1a0a38 100%” background_color_gradient_overlays_image=”on” background_color_gradient_start=”rgba(26,10,56,0)” background_color_gradient_end=”#1a0a38″…
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Angel dust hazbin hotel fan art
réseau sociaux ravcos_art
#drawing#drawthisinyourstyle#digitale art#drawinyourstyle#dessin#hazbin art#hazbin angel dust#hazbin hotel#angel dust#fanart#angel dust edit#hazbin hotel fanart#hazbin alastor#hazbin lucifer#helluva boss
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Back to the Future est un projet de forum city, basé à Mariposa en Californie. City, oui… mais avec un twist 👀
On (@monoclegraphic et @undecided-rpg) a eu l’idée d’un forum city un peu rétro, vintage, ancré dans une ambiance familière de ces films qu’on aime tous·tes. D’où le titre, d’ailleurs, référence directe au cinéma, le premier d’une grande liste de références disséminées sur le forum…
Le contexte officiel va rester secret encore un petit peu, mais voilà quelques éléments pour vous teaser le projet :
Mariposa est une petite ville aux abords du parc national de Yosemite, et dans notre version, le réseau n’y est pas top. Pas seulement le réseau d’ailleurs, puisque vous ne trouverez aucun appareil technologique très récent. La ville entière, dans son style, dans ses habitudes et surtout dans son rapport au monde extérieur, est restée coincée entre les années 1980 et les années 1990. Oui oui, dites bonjour aux mulets et aux vestes fluos puisque vous allez en voir passer !
L’idée de la ville coupée de la technologie est venue en contraste avec le monde dans lequel on vit, parce qu’aujourd’hui c’est tellement simple de zieuter ses mails, de savoir ce qui se passe à l’autre bout du monde en étant chez soi. La technologie est partout, sans même qu’on ne s’en rende compte. Et puis, en ouvrant un forum rpg city, on a eu envie, aussi, d’y ajouter un petit twist en plus et soyez certain·e·s que des intrigues se préparent en coulisses pour jouer avec la différence de Mariposa !
Le jeu se déroulera bien en 2024 (eh oui, c’est même le futur par rapport à maintenant 👀) et les personnages du forum en auront conscience. Il est important pour nous que le forum soit un lieu inclusif et bienveillant, où chacun·e peut se sentir à l’aise. Si la ville peut sembler figée dans le temps, ça ne sera pas le cas des valeurs qui elles seront bel et bien similaires à celles que nous voulons défendre aujourd’hui. BttF, c’est donc un mix des époques, avec nos progrès sociaux de 2023/2024, et en même un temps une inspiration d’il y a quelques décennies.
Donc si vous avez envie de vous perdre dans la nature de Yosemite, de glisser en patins à roulette et de lâcher les smartphones, Back to the Future pourrait être pour vous !
#projet rpg#forum city avec twist#french rpg#forum francophone#rétro 80#découvrez l'idée derrière le forum#ouverture 2024
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Roman-photo, septembre 2024
Bilan de ce mois de rentrée où j'ai commencé ma thèse, repris mon manuscrit en cours et préparé mon déménagement 📚
Cet article est aussi disponible sur Substack, où vous pouvez choisir de lire mes articles dans l'application ou de les recevoir par mail dès qu'ils sont publiés !
C’est d’ici que je vous écris.
Mais, avant de commencer…
Qui suis-je, et qu’est-ce que je fais ici ?
Tout a commencé le samedi 21 septembre, quand j’ai décidé de lire la dernière newsletter de Sophie Gliocas, Ecrire une newsletter pendant un an : ce que j’ai appris et ce qu’il me reste à apprendre.
Dans son article, Sophie cite quelques newsletters qu’elle a aimé lire, dont une intitulée “the end of our extremely online era.” de Tommy Dixon. C’est un texte dans lequel l’auteur explique que, selon lui, cette “ère” où tout le monde est sans cesse “en ligne” va prendre fin, un jour, et que les signes de cette fin commencent déjà à se voir. Ce n’est pas que cet article m’ait révélé quelque chose – ça fait des années que je quitte, petit à petit, les réseaux sociaux avec lesquels j’ai grandi (RIP Twitter ⚰️) et que je critique (avec quelque mépris, je l’avoue) ces personnes incapables de lâcher leur écran plus de 2 minutes – mais il m’a fait me rendre compte qu’il ne tenait qu’à moi de donner vie à cette nouvelle ère, en supprimant le dernier réseau social auquel j’étais encore attachée… Instagram. J’y étais attachée, et pourtant ça faisait des années que je ne l’utilisais plus que comme une vitrine : vitrine vers ma chaîne Youtube, plus précisément. Et pourtant je suis bien plus suivie sur Youtube que sur Instagram… cherchez la logique.
Quelques jours plus tard, je supprimais Instagram de mon téléphone. Et je décidais d’inventer une manière, plus personnelle, de partager mes photos, et surtout de les mêler à du texte, du vrai texte, pas une pauvre description de deux lignes sous un carrousel de photos. C’est ici qu’a surgi l’idée du roman-photo – je parlerai de la naissance de ce genre narratif du XIXe siècle dans mon prochain article, c’est promis. L’idée était telle : tous les mois, récupérer les photos prises pendant le mois et les expliquer, les contextualiser, les accompagner avec du texte ; ainsi, réunir les deux passions qui me suivent depuis l’enfance : l’écriture et la photographie.
Bonnard, Young Woman Writing, 1908.
Et moi, alors ?
Je suis, avant tout, une grande passionnée de littérature. J’ai obtenu l’agrégation de lettres modernes en 2023, ce après quoi j’ai effectué mon stage obligatoire d’enseignement dans le secondaire (j’ai tellement détesté que j’ai fait un burn-out, et ça, je n’en ai jamais parlé sur Youtube, mais peut-être qu’ici, cachée derrière mes mots, je pourrais l’évoquer ?). En même temps que cette année de stage, je préparais un projet de thèse, dans l’espoir d’obtenir un contrat doctoral dans mon université : et ce fut le cas. 🥳 Ce mois de septembre, c’était donc mon premier mois de thèse, un mois surtout très administratif et pendant lequel j’ai peaufiné mon organisation.
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Réaliser un seul rêve à la fois ne me suffisant pas, je suis aussi en train d’écrire un livre, un recueil de nouvelles pour être exacte. Là aussi, je pense qu’il faudra attendre un article séparé pour entrer dans les détails, sinon cet article va finir par être plus long que mon manuscrit… On va en parler un peu, mais je vous raconterai l’histoire de sa création un autre jour.
Enfin, n’oublions pas que je suis aussi, à mes heures perdues, professeure de lettres. Pour “valoriser” mon contrat doctoral, j’ai quelques missions d’enseignement à l’université : une classe de L1 au semestre 1, et une classe de M1 au semestre 2. Et pourquoi ne pas commencer par ça ?
Mercredi 25 septembre, je donnais mon premier cours, un cours de littérature contemporaine de 3 heures, pour des L1. Je vous passe le fait que non seulement je suis arrivée avec 2 minutes de retard, mais en plus j’avais complètement oublié de demander ma clef pour ouvrir la salle, donc j’ai du aller chercher la gestionnaire pour qu’elle m’ouvre la porte… tout ça pour me retrouver devant 60 élèves dans une classe qui contenait 30 chaises. Mais la vérité c’est que rien de tout cela n’était stressant, parce que cette université c’est un peu comme ma maison, et qu’y travailler c’était tout simplement un rêve. Forcément, j’avais un peu d’appréhension après le fiasco de mon année en lycée, et puis… je me suis vite rendue compte que 60 élèves de fac, c’était terriblement plus silencieux que 25 élèves de 2nde, et je me suis éclatée pendant 3 heures à parler de notions parfois un peu compliquées, mais qui étaient pour moi beaucoup plus simples à expliquer que la grammaire de la phrase complexe que l’on est forcés de se farcir dans le secondaire. Pas de bavardages, pas d’heures de colle, pas de grammaire : 60 élèves plus ou moins perdus, plus ou moins attentifs, mais qui savaient que s’ils voulaient partir, rien ne les retenait, et qui restaient à m’écouter leur expliquer les débats autour de l’écriture féminine dans les années 1970 et la naissance des gender studies en France. Un pur bonheur.
Forcément, qui dit rentrée, dit organisation. J’ai donc ressorti mon agenda Muji (♡) que j’ai interdiction (établie par moi-même) d’utiliser pour autre chose que le travail. Comme j’avais préparé mon premier cours la première semaine de septembre, j’ai pu me consacrer à ma thèse pendant la deuxième : j’ai donc continué de lire Romans fin-de-siècle, une anthologie de romans décadents que je lis pour ma thèse (qui est centrée sur le mouvement décadent. Ça aussi, vous voulez un article dessus ?).
Et puis, je me suis dit que ces articles seraient l’endroit idéal pour parler de ces livres que je parcours pour ma thèse, mais que je ne lis pas en entier, et qui n’ont donc pas le privilège d’être rentrés dans mon Storygraph et comptés dans mes lectures du mois.
En septembre, j’ai donc travaillé avec La Femme auteur, n°1 de la revue Le Magasin du XIXe siècle. Je pensais y trouver une mine d’or d’informations, finalement je n’ai retenu que l’article de Martine Reid, “Éditer les femmes auteurs”, et l’article de Laurence Brogniez, “Le Naturalisme en bas-bleus : Marc de Montifaud et l’école de la chair”, qui concerne une des autrices de mon corpus principal (Marc de Montifaud, de son vrai nom Marie-Amélie Chartroule de Montifaud).
Je me suis ensuite penchée sur Le Mal dans l’imaginaire littéraire français, une collection d’articles dirigée par Myriam Watthee-Delmotte et Metka Zupančič. En plus de la préface de Max Milner de l’introduction, j’y ai retenu un grand nombre d’articles, tous passionnants pour mon sujet :
“‘Laisse au vieux Platon se froncer l’œil austère.’ Baudelaire, le romantisme français et la thématique du Mal” de Michel Brix
“De Sade à Lautréamont : L’Altérité et le problème du Mal” de Daniel Castillo Durante
“Homosexualité et images du Mal (1900-1950)” de Christopher Robinson
“Malédiction de la féminité” d’Anne-Laure Bucher → ❤️❤️❤️
“L’Infortune des Rougon ou Le mal des origines” d’Auguste Dezalay
“Un roman coupable : Le Jardin des supplices de Mirbeau” d’Emmanuel Godo
“Celles par qui le scandale arrive : Éthique de l’innocence chez Gérard d’Houville et Anna de Noailles” de Catherine Perry
J’ai aussi travaillé avec l’ouvrage de Christophe Cima, Vie et œuvre de Jean Lorrain, ou Chronique d’une “guerre des sexes” à la Belle Époque, qui m’a surtout servi avec son développement sur “Le dandy et la décadence” (II, 2) et, surtout, sur “Le mythe de la ‘femme fatale’” (II, 3). J’y ai pioché un nombre de références incalculable.
Enfin, j’ai commencé à ficher La Décadence. Le mot et la chose, un ouvrage de Jean de Palacio dans lequel il propose une étude linguistique et stylistique de l’écriture décadente, une base nécessaire pour embrayer sur mes propres recherches.
Alors, forcément, j’ai passé la grande majorité de mes journées à la bibliothèque universitaire…
… où à lire dans mon canapé :
Mais je suis enfin parvenue (ce week-end, en fait) à me créer une petite organisation bien équilibrée.
C’est écrasant de logique, mais pour quelqu’un qui a tendance à accumuler les projets, c’est terriblement nécessaire. Du lundi au vendredi, je passe mes journées sur ma thèse et la préparation de mes cours, en faisant l’équivalent d’un 9h-17h ou 10h-18h, sachant que trois soirs par semaine, je me rends dans mon club de natation synchronisée (je ne mens pas quand je dis que je ne m’arrête jamais). Puis, dès que vendredi soir arrive, vient l’heure des passion projects : je me consacre à ma chaîne Youtube, où je publie une vidéo par semaine, et à mon recueil de nouvelles. Mon objectif étant d’écrire trois fois par semaine, j’ai réussi ce week-end à écrire 1 heure vendredi, 1 heure samedi, et je compte bien m’y atteler ce soir. Récemment, j’ai imprimé mon manuscrit et je complète une nouvelle inachevée à la main : je me suis rendue compte que j’étais bien plus motivée à écrire quand je savais que ça ne me forcerait pas à passer 1 heure (ou plus) devant un écran. Donc j’écris à la main, sans vraiment me relire, et quand la nouvelle sera terminée je l’ajouterai au “tapuscrit” (ou alors j’attendrais d’avoir achevé le recueil entier… qui sait).
Pour finir (et après je vous libère !), j’avais annoncé dans mon dernier vlog que j’allais bientôt déménager. Ce mois-ci, je me suis attelée à un premier tri de mes livres : j’ai vendu ceux que je pouvais vendre sur momox, j’ai mis de côté ceux qui partiraient en boîte à livres (voir photo) et j’ai rangé dans de grandes boîtes transparentes ceux dont je n’aurai pas besoin pour ma thèse, mais que je veux quand même garder. J’ai noté les titres et les auteurs sur des feuilles pour ne pas me perdre quand je chercherai désespérément à retrouver un livre en particulier.
Le roman le plus drôle que j’aie lu ce mois-ci.
Sur ce… c’est la fin de ce premier roman-photo, qui sera suivi par d’autres (tous les mois !) et par des articles un peu plus thématiques, qui eux viendront quand vient le temps, l’envie et l’inspiration. Mais me connaissant, ça ne saurait tarder. ⏳
Littérairement vôtre,
Ève Antonov
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Les Sages de Sion à l’origine de l’arrestation de Pavel Durov
Durov est la cible d’une cabale aux larges ramifications.
L’angle d’attaque de la « justice » française est basique : comme patron de Telegram, Durov est coresponsable de tous les crimes ou délits que des utilisateurs auraient pu commettre via son réseau social, partout dans le monde.
Selon cette logique, le patron d’Orange devrait être arrêté pour avoir fourni internet à des criminels.
De même pour le patron d’Apple pour avoir fourni des smartphones à des criminels.
Macron, tout comme les juges à sa botte, n’est que l’instrument de commanditaires beaucoup plus puissants.
Il s’agit bien sûr du gouvernement américain.
Washington se sert des états croupions de l’UE pour faire ce que la loi américaine ne permet pas.
L’idée des juifs est de faire plier les réseaux sociaux qui seraient tentés de leur résister, même partiellement.
Ces derniers temps, Durov n’était pas dans les petits papiers des juifs.
Haaretz :
Il y a quelques mois, des pirates informatiques étrangers ont réussi à s’introduire dans un ordinateur lié au ministère israélien de la justice. Des dizaines de milliers de fichiers classifiés et de courriels sensibles ont été divulgués. Des liens permettant à quiconque de télécharger ces fichiers ont été publiés sur Telegram, l’application de messagerie instantanée la plus populaire.
Cependant, ils ont rapidement commencé à disparaître. L’un après l’autre, les canaux Telegram des pirates ont été supprimés, leurs utilisateurs effacés et les messages contenant les liens de téléchargement disparus.
Selon un certain nombre de personnes bien informées, Israël mène une guerre numérique sur plusieurs fronts pour tenter d’endiguer la fuite apparemment sans fin de ses informations. Il s’agit notamment de surveiller le web et les sites de médias sociaux à la recherche de fuites et d’adresser des demandes de retrait légal à des entreprises technologiques telles que Google, Amazon, Meta et même Telegram, afin de les supprimer ou de les bloquer.
Depuis le 7 octobre et jusqu’à aujourd’hui, nous avons assisté à un effort concerté de cyber-attaques, dont certaines sont directement liées ou attribuées à des États ennemis et à des organisations terroristes, pour mener des « attaques de perception sous la forme de publication de fuites », explique Haim Wismonsky, directeur de l’unité cybernétique du bureau du procureur de l’État israélien, qui fait partie du ministère de la justice et qui est l’organisme chargé de déposer les demandes effectives auprès des entreprises technologiques.
« La publication de ces fuites a pour but de faire peur, d’inspirer la panique au public et de donner le sentiment que nous sommes exposés et pénétrables, mais elle vise également à causer des dommages économiques, voire à mettre en danger la vie des personnes dont les données personnelles sont incluses dans ces fuites », a expliqué M. Wismonsky à Haaretz.
Cette politique et la manière dont elle est mise en œuvre font d’Israël un cas unique. De nombreux pays, dont les États-Unis, prennent généralement des mesures pénales ou juridiques à l’encontre des auteurs de fuites, qu’ils soient étrangers ou locaux, mais s’accommodent de l’existence de la fuite en ligne. Israël, en revanche, utilise les règles internes des entreprises technologiques pour les inciter à retirer les produits piratés en son nom – et empêcher ainsi les données divulguées d’atteindre le public ou les journalistes, tant en Israël qu’à l’étranger.
Les plateformes, même celles qui sont considérées comme hostiles aux demandes des gouvernements, comme Telegram, ont mis en place des règles destinées à les défendre contre les ramifications juridiques de la conduite de leurs utilisateurs. Il peut s’agir de demandes de retrait pour violation des droits d’auteur ou de plaintes pour diffamation.
Les documents piratés entrent dans la catégorie générale des biens volés, de sorte que les politiques mises en place pour empêcher la diffusion de fichiers permettant de télécharger illégalement des films ou des séries télévisées peuvent également être utilisées pour retirer des documents piratés, volés sur des serveurs israéliens sans le consentement de l’utilisateur.
Ces derniers mois, par exemple, des demandes israéliennes signalant des violations des conditions d’utilisation de Telegram ont conduit à au moins dix suppressions d’utilisateurs et de canaux de groupes de pirates. Souvent, ce sont les mêmes groupes de pirates qui, sans se laisser décourager, ont ouvert un nouveau canal et posté de nouveaux liens vers les mêmes fuites.
Depuis le début de la guerre, Telegram s’est révélé être un défi de taille pour Israël. Alors que de nombreuses entreprises technologiques ont rationalisé les mécanismes par lesquels les États peuvent les contacter, Telegram est considéré comme le moins coopératif de tous.
Qui plus est, alors que de nombreuses plateformes de médias sociaux ont investi massivement dans la modération, permettant aux personnes et aux organisations d’aider à surveiller le contenu – par exemple, le retrait de contenu antisémite ou de messages incitant au terrorisme ou même le retrait de vidéos du massacre du 7 octobre – Telegram ne l’a pas fait. Les États et les utilisateurs disposent d’une adresse électronique unique à laquelle ils peuvent envoyer leurs griefs.
Telegram est apparu au début de la guerre comme une plateforme clé utilisée par le Hamas dans sa guerre de l’information contre Israël, une plateforme qu’Israël n’a pas été en mesure de traiter correctement, faute de capacités de surveillance et de compréhension de la plateforme. Préoccupés par la vague de contenus pro-Hamas, qui comprenait des vidéos de l’attaque elle-même ainsi qu’un flux constant de matériel de propagande, des Israéliens du secteur des hautes technologies ont tenté, à la fin de l’année 2023, de contacter le fondateur de Telegram, Pavel Durov.
Bien qu’ils aient réussi à contacter Durov, qui vit aux Émirats arabes unis, celui-ci s’est montré peu réceptif à ces demandes privées d’amélioration de la modération sur la plateforme. Bien que quelques pages liées directement à l’aile militaire du Hamas aient été bloquées localement par la suite, l’initiative privée n’a pas réussi à convaincre le fondateur de l’application. Des sources expliquent que Google ou Meta retireront une page s’il s’avère qu’elle est directement liée au Hamas et qu’Amazon supprimera un site web pour avoir hébergé du matériel terroriste.
Sur Telegram, le contenu ne peut pas être supprimé avec de tels arguments. Seules les marchandises manifestement volées seront retirées, ce qui fait des réclamations de contenu la seule voie efficace pour les autorités juridiques israéliennes. Les données parlent d’elles-mêmes : Selon les chiffres officiels fournis par Israël, le ministère de la justice a envoyé à Facebook plus de 40 000 demandes de retrait de « contenu illégal » qui ont été acceptées. Il ne s’agit pas de messages pro- ou anti-israéliens, mais de contenus illégaux au regard des normes occidentales. Même TikTok a retiré plus de 20 000 messages signalés par Israël. Sur Telegram, ce nombre est légèrement supérieur à 1 300.
Les juifs veulent faire main basse sur Telegram.
Si Durov veut pouvoir à nouveau faire le tour du monde avec des prostituées slaves, il va devoir donner aux juifs ce qu’ils veulent.
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Comment utiliser une carte de visite digitale dans le cadre d'un événement professionnel ?
Introduction
Dans le monde des affaires d'aujourd'hui, les cartes de visite sont un outil essentiel pour établir des contacts professionnels. Cependant, avec l'avènement de la technologie numérique, les cartes de visite traditionnelles ont évolué vers des cartes de visite digitales. Dans cet article, nous explorerons comment utiliser efficacement une carte de visite digitale lors d'un événement professionnel. Nous verrons comment cette nouvelle forme de carte de visite peut faciliter la communication et améliorer votre présence lors d'événements professionnels.
Comment créer une carte de visite digitale attrayante ?
Lorsqu'il s'agit de créer une carte de visite digitale attrayante, il est important de prêter attention aux détails et à la conception. Voici quelques https://absolu-wood.com/carterie-bois/carte-de-visite-nfc-connectee/ conseils pour vous aider à créer une carte de visite digitale qui se démarque :
Utilisez un design professionnel : Optez pour un design propre et moderne qui reflète votre image professionnelle. Utilisez des couleurs harmonieuses et une typographie lisible pour assurer un aspect soigné.
Incluez vos informations importantes : Assurez-vous d'inclure vos coordonnées telles que votre nom, votre entreprise, votre poste, votre adresse email et votre numéro de téléphone. Vous pouvez également ajouter des liens vers vos profils sur les réseaux sociaux professionnels.
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Ajoutez un QR code : Les QR codes sont un excellent moyen d'intégrer facilement plus d'informations sur votre carte de visite digitale. Vous pouvez inclure un lien vers votre site web, un portfolio en ligne ou même une vidéo de présentation.
youtube
Utilisez des images et des vidéos : Pour rendre votre carte de visite digitale plus attrayante, n'hésitez pas à inclure des images ou des vidéos pertinentes. Cela peut être une photo professionnelle de vous-même ou une vidéo présentant votre entreprise.
Faites preuve de créativité : Ne soyez pas timide pour expérimenter avec des éléments visuels intéressants tels que des icônes, des illustrations ou des graphiques. L'objectif est d'attirer l'attention et de marquer les esprits.
Comment partager votre carte de visite digitale lors d'un événement professionnel ?
Lorsque vous participez à un événement professionnel, il est essentiel de partager votre carte de visite digitale avec les personnes intéressées par vos services ou produits. Voici quelques méthodes efficaces pour partager votre carte de visite digitale :
Utilisez la technologie NFC : La technologie NFC (Near Field Communication) permet aux utilisateurs de transférer facilement leurs coordonnées en plaçant simplement leur téléphone près d'un autre appareil compatible NFC. Vous pouvez intégrer un tag NFC à votre carte de visite digitale afin que les personnes puissent simplement toucher leur téléphone pour enregistrer vos informations.
Envoyez-la par email : Si vous avez établi un contact précieux lors d'un événement professionnel, vous pouvez lui envoyer votre carte de visite digitale par email. Cela permettra à la personne de l'avoir à portée de main dans sa boîte de réception et facilitera le suivi ultérieur.
Partage via les réseaux sociaux : Profitez des opportunités offertes par les réseaux sociaux pour partager votre carte de visite digitale. Vous pouvez publier un lien vers votre carte de visite sur LinkedIn, Twitter ou tout autre réseau socia
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