#répulsion
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CATHERINE DENEUVE through the 60's LE VICE ET LA VERTU (1963, dir. Roger Vadim) LES PARAPLUIES DE CHERBOURG (1964, dir. Jacques Demy) RÉPULSION (1965, dir. Roman Polanski) LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT (1967, dir. Jacques Demy) BELLE DE JOUR (1967, dir. Luis Buñuel) MAYERLING (1968, dir. Terence Young) LA SIRÈNE DU MISSISSIPI (1969, dir. François Truffaut) HAPPY BIRTHDAY TO THE LEGENDARY QUEEN 👑 October 22 1943
#catherine deneuve#le vice et la vertu#les parapluies de cherbourg#répulsion#les demoiselles de rochefort#belle de jour#mayerling#la sirène du mississipi#french#gifs:mine
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"répulsion", un film que je n'ai pas particulièrement apprécié, d'une part car malheureusement entaché par les crimes de son auteur, de l'autre parce que je n'ai simplement pas accroché au sujet ; néanmoins, dont je reconnais la qualité stylistique et qui, s'il ne m'a pas plus, m'a au moins intriguée.
Ensuite, je commente rarement le jeu d'acteur (j'y suis peu sensible/je n'ai pas confiance en mon jugement en la matière), pour cette fois-ci j'ai trouvé que deneuve rendait l'image d'une femme à la fois ingénue et dérangée avec suffisamment de talent pour que j'y croie (alors que le concept m'inspirait peu).
donc en ce moment arte diffuse des films de catherine deneuve et par curiosité, la connaissant que de nom, je m'y suis collé, et donc le premier étant dancer in the dark j'ai décongestionné mes sinus au passage via torrents de larmes
#répulsion#je commenterai pas la vie de château pcq je l'ai loupé :(#je vais essayer de pas me rater pour potiche je veux vraiment le voir#apparemment mon deuxième film de polanski! j'avais vu rosemary's baby#chatterbones
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Être toujours prêt à lutter… voilà ce qu’il faut que chacun d’entre nous croie de tout son cœur.
A lutter le matin contre le désir de rester au lit après le réveil… à lutter contre la répulsion de l’eau froide… à lutter contre la « flemme » qui s’insinue peu à peu… à lutter contre les mauvais exemples, les sales entraînements qui se présentent à nous… à lutter contre tout ce qui dégrade et abaisse… à lutter contre le sort qui quelquefois peut paraître adverse… à lutter contre la nonchalance et le « je-m’en-fichisme.
Paul L’Herbier
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Je ne puis tout bonnement pas croire aux conclusions que je tire de mon état actuel, qui dure déjà depuis presque un an, il est trop grave pour cela. Je ne sais même pas si je puis dire que c’était là un état nouveau, j’en ai connu d’analogues, je n’en ai pas encore connu d’identiques. Car je suis de pierre, je suis comme ma propre pierre tombale, il n’y a là aucune faille possible pour le doute ou pour la foi, pour l’amour ou la répulsion, pour le courage ou pour l’angoisse en particulier ou en général, seul vit un vague espoir, mais pas mieux que ne vivent les inscriptions sur les tombes. Pas un mot – ou presque – écrit par moi ne s’accorde à l’autre, j’entends les consonnes grincer les unes contre les autres avec un bruit de ferraille et les voyelles chanter en les accompagnant comme des nègres d’Exposition. Mes doutes font cercle autour de chaque mot, je les vois avant le mot, allons donc ! le mot, je ne le vois pas du tout, je l’invente. Ce ne serait pas encore là le pire, mais il faudrait que je pusse inventer des mots propres à chasser l’odeur de cadavre dans une autre direction, afin qu’elle ne nous saisisse pas aussitôt à la gorge, moi et le lecteur. Quand je m’assieds à ma table de travail, je ne me sens pas plus à l’aise que quelqu’un qui tombe sur la place de l’Opéra en plein trafic et se casse les deux jambes. Les voitures, silencieuses en dépit du vacarme, cherchent de tous côtés à gagner toutes les directions. Mais mieux que les agents de police, la souffrance de cet homme assure l’ordre, cette souffrance qui lui ferme les yeux et vide la place et les rues, sans que les voitures soient obligées de faire demi-tour. Tant de vie lui fait mal, car il est, lui, un obstacle à la circulation ; mais le vide n’est pas moins affreux, il déchaîne sa souffrance proprement dite. Kafka, Journal, 1910
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Ce serait donc ça l’amour… Rencontrer une personne, apprendre à la connaître, rire, partager des moments complices, peut-être même des projets communs. Et puis après plus rien ? Ce serait donc ça l’amour... S’ouvrir, se défaire de ses peurs, faire entrer l’autre dans son univers, le laisser toucher votre cœur et votre corps. Et puis après plus rien ? Se recroqueviller, retourner à soi, se murer dans le silence, le renvoyer si loin qu’il ne peut plus vous atteindre… Ce serait donc ça l’amour… Offrir son temps, ses sourires, ses désirs, sa curiosité, ses élans, ses pensées intimes. Et puis après plus rien ? Faire comme si rien n’avait existé, comme si l’autre perdait tout intérêt et toute valeur. Ce serait donc ça l’amour… Une question de point de vue qui oscille entre l’attraction et la répulsion, entre un cœur qui y croit et une tête qui redoute, entre optimisme et pessimisme. Ce serait donc ça l’amour… Une période de lune de miel où l’on idéalise l’autre (merci la dopamine) à laquelle succède une prise de conscience d’une réalité très pragmatique et malheureusement systématique : l’autre n’est pas parfait. C’est le moment où l’on fait le choix d’accepter cette imperfection (en s’appuyant sur les qualités du partenaire) ou au contraire où l’on veut changer son partenaire, le/la modeler pour la faire coller à notre idéal. La dernière option consistant à partir pour rêver d’une perfection qui n’existe pas... Ce serait donc ça l’amour… Un interrupteur intérieur qui permet à l’affectif de se diffuser ou non, de grandir et se développer ou à l’inverse de se rétracter pour finalement disparaître. Un interrupteur qui allume ou éteint la relation en mode On/Off, Je veux / Je ne veux pas, C’est OK / Ce n’est pas OK. Un sentiment binaire où l’on reprend ses billes au moindre accroc, au moindre indice qui nous fait penser que le conte de fée n’en est pas un... Ce serait donc ça l’amour… Construire un lien grâce à nos différences. Le détruire par l’indifférence… L’amour est tel un organisme vivant. Il ne grandit et se développe que si on l’alimente en permanence. Si on ne l’arrose pas, il meurt. Si on communique pas, il pousse de travers et finit par mourir aussi. Si on le nourrit de nos peurs, ses fruits ne sont pas comestibles. Si on en prend soin, qu’on l’accompagne, qu’on le cajole, qu’on le rassure comme un enfant, alors il s’épanouit et prend de la vigueur. Il n’y a rien à attendre de l’amour si l’on n’est pas en mesure d’y investir de sa personne, de son temps et son énergie...
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« Désir et alternative nous asservissent en nous ballotant de l'attachement à la répulsion, de l'exaltation à la dépression, et nous cachent l'univers réel. Pour leur échapper, il faut s'en tenir à l'essence et, en toute chose spécifique, rester attentif à la Conscience qui constitue son être véritable ! »
Daniel Odier - Tantra Yoga
Ce passage met en lumière l'idée que les désirs et les émotions dualistes, comme l'attachement et la répulsion, peuvent nous éloigner de notre véritable nature et de la réalité ultime. En se concentrant sur l'essence des choses et en restant attentif à la conscience pure, on peut transcender ces fluctuations et se rapprocher de notre être véritable.
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(banque de personnages) Fiel
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Coven des Braises d'ébène ( 15 / 15 )
Le coven des Braises d'ébène est foncièrement axé chaos. Ce sont les prêtre.sses du dieu de la mort, celleux qui se revendiquent comme ses représentants impériaux. Iels sillonnent souvent Junfark pour faire de nouvelleaux adeptes à leurs pratiques occultes et religieuses.
2/2 libres ;; Les gardien.nes de l'autel - sorcier.es les plus émérites et les plus ancien.nes du coven qu'on estime chef.fes légitimes du groupe. (1 des gardien.nes se trouve dans les pv). 1/1 ;; Lea pénitent - guide spirituel, cellui qui permet la pénitence des péchés. ( pv ). 5/5 ;; Les prêtre.sses - celleux qui proclament la bonne parole dans tout l'empire. ( 1 en pv ). 1/1 ;; Lea divinateur.rice - ( 1 en pv ). 6/6 ;; Les braises - l'ensemble des sorcier.es du coven.
Coven des Nymphéa ( 11 / 11 )
Le coven des Nymphéa est un espèce de monastère au milieu des terres de Dreadmire. Il se murmure que c'est un lieu où toutes les races sont les bienvenues pour recevoir des soins, quelques soient leurs aspirations et leurs magies.
1/1 libre ;; Lea grand.e prêtre.sse - dirigeant.e du coven, toujours présent.e lors des rites de bénédiction. ( pv ).
Les différents rôles sont réunis selon les techniques de guérison utilisées. Certain.es faisant partie de ce coven ne sont pas des Fiel de naissance, mais ont rejoint le coven, oubliant ainsi leurs premières origines.
2/2 ;; Les prieur.ses. - utilisation de la prière de bénédiction comme technique de soin. (1 dans les pv). 2/2 ;; Les astrologues. - utilisation de l'astrologie, des lunes et des saisons comme technique de soin. (1 en pv). 4/4 ;; Les sorcier.eres. - utilisation de potions, d'herbes et de magie occulte pour soigner autrui. (1 dans les pv). 2/2 ;; Les savant.es. - utilisation des prémices de la médecine savante - saignées et autres techniques de soin. (1 en pv).
Coven du Dernier Âge ( 9 / 9 )
Le coven du Dernier Âge se caractérise par une répulsion caractéristique || tw : extra-raciale ||. Iels se lancent régulièrement dans des expéditions punitives en Junfark, tuant nombre de peuplade issus d'autres races. Iels prient le dieu de la mort, et sont axé.es vers le chaos.
1/1 libre ;; Lea sorcier.e du premier Âge - dirigeant.e du coven. 4/4 libres ;; Les sorcier.es du deuxième Âge - niveau plus élevé dans le coven que les nouvellement initié.es 4/4 libres ;; Lea sorcier.e du troisième Âge - les sorcier.es d'un niveau initial, les initié.es récent.es.
#forum rpg#projet francophone#projet rpg#jdr#med-fan#projet forum rpg#projet rpg med-fan#guildes#banque de personnages
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"Allons bon nos filles ne peuvent plus s'habiller en putes en public et agir comme tel pour l'honneur de notre déshonneur?? ON NE SE LAISSERA PAS FAIRE!"
Le débat "pute vs voilée porte en germe la Troisième Voie, la bonne, comme toujours dans ces débats truqués type USA/URSS, voie qui ici s'appelle le vêtement européen ou "modestie chrétienne". Et l'élégance est même donnée par surcroît lorsque sont respectées les standards de cette culture spécifique.
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des génératios du Peuple dans le temps.
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50 anecdotes sur "The Lady" (01/02)
Un nouvel article sur un personnage entouré de mystère, j'ai nommée " The Lady" ou " La Dame". Pour faire un petit brief, The Lady est l'un des personnages clés du jeu Little Nightmares. Il existe de nombreuses interprétations de ce personnage énigmatique, nous allons décortiqués plus de 50 points mystérieux sur ce personnage. Cet article peut contenir de nombreux spoilers.
Partie 01/02 | voir la partie 02
The Lady est l'un des personnages centraux de Little Nightmares. Elle est souvent considérée comme l'antagoniste principal du jeu.
Le visage de The Lady est caché derrière son masque, ce qui crée une aura de mystère autour de son identité et de ses motivations.
The Lady est considérée comme le chef du Maw, le navire étrange dans lequel se déroule l'histoire du jeu. ( on en parlera dans un autre article)
Elle est obsédée par sa propre apparence et par l'entretien de la perfection esthétique du Maw.
The Lady est décrite comme étant très puissante et influente, ayant un contrôle absolu sur le fonctionnement du Maw et sur les autres personnages qui y vivent.
On suppose que The Lady est motivée par la peur de perdre sa beauté et sa jeunesse, ce qui la pousse à prendre des mesures extrêmes pour préserver son apparence.
Certains joueurs ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait représenter une métaphore de la vanité et de l'obsession pour l'image de soi.
Dans le DLC "The Residence" de "Secrets of the Maw", les joueurs peuvent en apprendre davantage sur le passé et l'histoire personnelle de The Lady, révélant des éléments troublants sur sa vie antérieure.
The Lady est connue pour sa cruauté envers les autres personnages du jeu, notamment envers Six, le protagoniste principal.
Elle utilise les autres habitants du Maw pour servir ses propres intérêts, les réduisant souvent à l'état de marionnettes dociles.
The Lady possède un pouvoir de contrôle mental, qui lui permet de manipuler les autres personnages et de les forcer à obéir à ses ordres.
Malgré son apparence fragile et délicate, The Lady est capable de se défendre et de se montrer dangereuse lorsqu'elle est menacée.
The Lady entretient une relation ambiguë avec Six, oscillant entre moments de gentillesse feinte et de violence sourde.
Son obsession pour l'apparence et la perfection peut être interprétée comme une critique de la société qui valorise l'image et la superficialité.
The Lady est un personnage complexe qui suscite souvent des réactions mitigées chez les joueurs, oscillant entre fascination et répulsion.
Sa présence dans le jeu ajoute une dimension psychologique et émotionnelle, explorant des thèmes tels que la manipulation, le pouvoir et la quête de l'immortalité.
The Lady représente également la quête vaine de contrôle total sur un monde qui échappe finalement à toute emprise.
Son masque pâle peut être interprété comme un symbole de l'anonymat et de l'autorité impersonnelle.
Certains fans ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait être inspirée par des figures mythologiques telles que la déesse grecque Hécate, associée à la sorcellerie et aux mystères.
Son domaine, connu sous le nom de "The Lair" (le repaire), est un endroit sombre et labyrinthique, reflétant son esprit tortueux et manipulateur.
The Lady possède une horloge mécanique qui joue un rôle important dans l'intrigue du jeu, symbolisant peut-être le temps qui lui échappe et la futilité de sa quête de jeunesse éternelle.
Son obsession pour la perfection esthétique et sa volonté de maintenir l'ordre dans le Maw peuvent être interprétées comme une métaphore de la peur du chaos et du déclin.
The Lady est l'un des personnages les plus emblématiques de la franchise Little Nightmares, avec une présence marquante malgré son silence presque total.
Sa relation complexe avec Six est l'un des éléments clés de l'histoire, suscitant de nombreuses spéculations et interprétations de la part des fans.
The Lady est également présente dans le jeu Little Nightmares II, bien que son rôle y soit différent de celui du premier jeu. (un petit easter egg bien caché)
Certains joueurs ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait représenter une métaphore du pouvoir tyrannique et de l'oppression qui règnent dans le monde réel.
Son design distinctif, avec sa silhouette élégante et son masque énigmatique, en fait l'un des personnages les plus reconnaissables de la franchise.
The Lady incarne la dualité entre beauté et monstruosité, soulignant les contradictions inhérentes à la nature humaine et les conséquences de la recherche excessive de perfection.
Certains fans ont émis des théories selon lesquelles The Lady représenterait la société ou l'élite dirigeante, exploitant les plus faibles pour maintenir leur propre statut et privilèges.
Son rôle en tant que gardienne du Maw et son obsession pour la beauté peuvent être interprétés comme une métaphore de la société consumériste qui privilégie l'apparence extérieure au détriment de la compassion et de la véritable humanité.
Malgré son apparence immaculée, The Lady est en réalité en proie à une profonde solitude et à un vide intérieur, ce qui peut susciter une certaine compassion ou compréhension chez les joueurs.
Certains joueurs ont interprété The Lady comme un symbole de la mort, du passage du temps et de la futilité de lutter contre ces inéluctables réalités de la vie.
The Lady est connue pour sa voix douce et mélodieuse, ce qui crée un contraste frappant avec ses actes cruels et son comportement manipulateur.
Certains fans ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait être une métaphore de l'archétype de la mère destructrice, représentant la figure maternelle toxique et étouffante.
Sa relation avec Six est complexe et ambiguë, avec des moments de tendresse apparente et de manipulation émotionnelle, créant un lien troublant entre les deux personnages.
The Lady est souvent considérée comme le dernier obstacle que Six doit surmonter pour trouver sa propre liberté et échapper aux horreurs du Maw.
Certains joueurs ont souligné la dualité de The Lady, oscillant entre un personnage effrayant et tyrannique et une victime de ses propres obsessions et peurs.
Les développeurs de Little Nightmares ont intentionnellement laissé certaines zones d'ombre autour de The Lady, permettant aux joueurs de spéculer sur ses motivations et son histoire personnelle.
Certains joueurs ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait représenter l'aspect sombre de la féminité, brisant les stéréotypes traditionnels et explorant les facettes complexes et parfois terrifiantes de la féminité.
Son masque pâle et son apparence élégante pourraient être interprétés comme une représentation de la façade que les individus construisent pour cacher leur véritable nature et leurs intentions.
The Lady est souvent considérée comme un personnage emblématique de l'horreur psychologique, jouant sur les peurs profondes de l'isolement, de la manipulation et de la perte de soi.
Certains joueurs ont souligné la ressemblance entre The Lady et des figures de la noblesse ou de l'aristocratie, représentant une classe dominante qui utilise son pouvoir pour maintenir l'ordre et la hiérarchie sociale.
Son obsession pour la beauté et la jeunesse éternelle peut être interprétée comme une critique de la pression sociale exercée sur les femmes pour correspondre à des normes irréalistes de beauté.
The Lady est souvent représentée dans des poses gracieuses et théâtrales, renforçant son image de figure dominante et contrôlante.
Certains joueurs ont remarqué des parallèles entre The Lady et des figures mythiques telles que la reine des contes de fées ou la sorcière maléfique, représentant le pouvoir corrompu et la cruauté.
Son domaine, le "Lair", est un endroit oppressant et austère, rempli de symboles de son autorité et de sa domination, tels que des portraits d'elle-même et des sculptures à son effigie.
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"Être toujours prêt à lutter… voilà ce qu’il faut que chacun d’entre nous croie de tout son cœur.
A lutter le matin contre le désir de rester au lit après le réveil… à lutter contre la répulsion de l’eau froide… à lutter contre la « flemme » qui s’insinue peu à peu… à lutter contre les mauvais exemples, les sales entraînements qui se présentent à nous… à lutter contre tout ce qui dégrade et abaisse… à lutter contre le sort qui quelquefois peut paraître adverse… à lutter contre la nonchalance et le « je-m’en-fichisme. »
A lutter contre, oui !"
Paul L’Herbier — Juin 1931.
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Cinéma américain
Alfred Hitchcock
Les oiseaux Psychose Marnie Fenêtre sur cour
Orson Welles
Mr Arkadin Citizen Kane (41) Le procès
John Carpenter
Invasion LA
Schunmacker
Phone Game
Gene Kelly et Donen
Chantons sous la pluie Un american à Paris
Martin Scorsese
Who’s that knocking at my door Meanstreet (choc) Taxi Driver (choc) Le loup de Wall street Casino Bertha Boxcar (72) Les Affranchis Raging Bull Shutter Island Silence
Quentin Tarantino
Pulp Fiction (94) Reservoir Dogs (92)(choc) Jackie Brown Inglourious Bastards (09) Django Unchained (12) Les 8 salopards (15)
Francis Ford Coppola
The outsider (83) Apocalypse Now (79) Dracula Le Parrain la trilogie
Sofia Coppola
Virgin Suicide Somewhere The bling ring Marie Antoinette Lost in translation
Tim Burton
L’etrange noel de M.Jack Sleepy Hollow Le cavalier sans tête Edward aux mains d’argent Charlie et la chocolaterie Miss Peregrines et les enfants particuliers
Milos Forman
Vol au-dessus d’un nid de coucou Amadeus
Nicolas Ray
La fureur de vivre (Analyse) **** Johnny Guitar
Joaquim Trier
Oslo 31 Aout Julie en 12 Chapitres ***
Nicolas Winding Refn
Drive Pusher la trilogie Only god forgives Neon Demon
Beith Zeitlin
Les bêtes du Sud Sauvage (2012)
Paul Thomas Anderson
Magnolia Inherent Vice There will be blood Boogie Night
David Fincher
Fight Club (99) Seven The Social Network Gone Girl **** L’etrange histoire de Benjamin Button Panic Room Alien 3
Roman Polanski
Carnage (2011) Ghost Writter Le pianiste Oliver Twist Rosemary baby (98) La neuvième porte Répulsion Le locataire ***
David Lynch
Erashead (77) Elephant Man (80) Dune (84) Blue Velvet (86) (Analyse) Sailor et Lula (90)***** Lost Highway Une histoire vraie Twin peaks série et film Muholland Drive INLAND EMPIRE (06)
Stanley Kubrick
The Shining (reprise de la scène La charrette fantôme) Barry Lindon Full Metal Jacket Eyes Wide Shut (Analyse) Lolita Orange Mécanique (choc)
Brian de Palma
Carrie (76)(adapt nouvelle de Stephen King) Scarface (83)(Howard 33) Les Incorruptibles (87)
Joel et Ethan Coen :
No country for an old man O Brother The Big Lebowski Fargo Burn After Reading Ave Cesar
Gus Van Sant
Elephant Paranoid Park (Analyse) My own private Idaho Gerry (Analyse)
Larry Clark
Kids The Smell of us Ken Park
Woody Allen
Annie Hall Manhattan Minuit à Paris
Terrence Malik
Badlands (73) (Analyse) Le nouveau monde (Analyse)
Jim Jarmush
Patterson Permanent Vacation
James Gray
Little odessa Two lovers
Cimino
Voyage au bout de l’enfer***
John Mc Teigue
V pour vendetta Matrix Sense8
John Cassavetes
Opening Night (77) Faces Une femme sous infuence *** Gloria***
Darren Aronofsky
Requiem for a dream The foutain The Whale *
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"La répulsion envers la nature et le détachement violent de celle-ci mènent à sa profanation, à la destruction de la conception organique du monde en tant que cosmos, en tant qu'ordre de formes reflétant un sens supérieur, en tant que 'manifestation visible de l'invisible' - une conception (d'origine indo-européenne) qui est une partie intégrante de la vision classique du monde et qui est également à la base de diverses formes de connaissance d'un genre différent par rapport à la science profane et moderne."
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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La Belle et la Bête
« La Belle et la Bête (Beauty and the Beast) est le 39e long-métrage d'animation et le 30e « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1991 et réalisé par Gary Trousdale et Kirk Wise, c'est le troisième film du « Second âge d'or » des studios Disney.
Inspiré du conte éponyme de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont publié en 1757 tout en reprenant les idées du film français du même nom de Jean Cocteau, La Belle et la Bête mélange les genres de la comédie musicale et du fantastique. »
« Doté d'un budget de 25 000 000 dollars, La Belle et la Bête en rapporte 331 907 151 à travers le monde, dont 4,1 millions d'entrées en France. Il devient le troisième plus gros succès de l'année au box-office américain en 1991 avec des recettes de 145 millions de dollar et le troisième plus gros succès de l'année au box-office français en 1992. Acclamé de façon unanime par la critique professionnelle du monde entier ainsi que par le public, le film est récompensé de la statuette du meilleur film musical ou de comédie aux Golden Globes, devenant le tout premier film d'animation à être récompensé dans cette catégorie. Il est ensuite nommé pour l'Oscar du meilleur film et devient le premier film d'animation à être nommé dans cette catégorie avant la création de l'Oscar du meilleur film d'animation. Il obtient à cette même cérémonie l'Oscar de la meilleure musique de film et l'Oscar de la meilleure chanson originale pour Histoire éternelle, alors qu'il concourt également dans cette même catégorie pour les chansons C'est la fête et Belle. »
« Il était une fois, dans un pays lointain, un jeune prince qui vivait dans un somptueux château. Bien que la vie l’ait comblé de tous ses bienfaits, le prince était un homme capricieux, égoïste et insensible.
Un soir d’hiver, une vieille mendiante se présenta au château et lui offrit une rose en échange d’un abri contre le froid qui faisait rage. Saisi de répulsion devant sa misérable apparence, le prince ricana de son modeste présent et chassa la vieille femme. Elle tenta de lui faire entendre qu’il ne fallait jamais se fier aux apparences, et que la vraie beauté venait du cœur. Lorsqu’il la repoussa pour la seconde fois, la hideuse apparition se métamorphosa sous ses yeux en une créature enchanteresse. Le prince essaya de se faire pardonner, mais il était trop tard car elle avait compris la sécheresse de ce cœur déserté par l’amour. En punition, elle le transforma en une bête monstrueuse et jeta un sort sur le château ainsi que sur tous ses occupants.
Horrifiée par son aspect effroyable, la Bête se terra au fond de son château, avec pour seule fenêtre sur le monde extérieur un miroir magique. La rose qui lui avait été offerte était une rose enchantée qui ne se flétrirait qu’au jour de son vingt-et-unième anniversaire. Avant la chute du dernier pétale de la fleur magique, le prince devrait aimer une femme et s’en faire aimer en retour pour briser le charme. Dans le cas contraire, il se verrait condamné à garder l’apparence d’un monstre pour l’éternité. Plus les années passaient et plus le prince perdait tout espoir d’échapper à cette malédiction ; car en réalité, qui pourrait un jour aimer… une bête ? »
— Prologue du film. Texte français de Claude Rigal-Ansous.
« La Belle et la Bête est un conte-type, identifiable dans le monde entier en dépit de variantes locales (numéro 425 C dans la classification Aarne-Thompson), contenant des thèmes ayant trait à l'amour et la rédemption.
Une jeune fille que l’on appelle « la belle » se sacrifie pour sauver son père, condamné à mort pour avoir cueilli une rose dans le domaine d'un terrible monstre. Contre toute attente, la Bête épargne la Belle et lui permet de vivre dans son château. Elle s'aperçoit que, derrière les traits de l'animal, souffre un homme victime d'un sortilège. Le conte a fait l'objet de nombreuses adaptations au cinéma, au théâtre et à la télévision au cours du XXe siècle, notamment un long-métrage de Jean Cocteau et deux adaptations, l'une d'animation, l'autre en prise de vue réelle, par les studios Disney. »
« [Ce conte] apprend aux enfants à distinguer la laideur morale de la laideur physique, à favoriser le rayonnement d’une intelligence, d’un cœur, d’une âme que rend timide un extérieur ingrat. […] Les deux sœurs de la Belle ont épousé deux gentilshommes dont l’un symbolise la beauté et l’autre l’intelligence ; ce n’est pas là le vrai fondement d’un amour solide, mais la bonté. Ainsi la Belle ne peut se défendre d’aimer la Bête à cause des attentions inlassables dont celle-ci l’entoure. Le don de soi est justifié par l’estime des bonnes qualités de la personne à laquelle on veut unir sa vie ; ainsi les jeunes filles apprennent l’usage du véritable amour. La Belle, voyant à quelle extrémité elle réduit par ses refus la pauvre Bête, passe sous l’impulsion de la compassion unie à l’estime, de l’amitié à l’amour. Des sentiments purs, estime, délicatesse, élégance morale, reconnaissance en sont les motifs. On trouve ici la justification des mariages fréquents à cette époque, entre hommes mûrs, souvent veufs, et filles très jeunes. Il ne restait à ces maris âgés qu’à entourer leur jeune épouse de tous les égards, et aux jeunes femmes à respecter la situation mondaine et la valeur des quadragénaires. »
— Marie-Antoinette Reynaud, Madame Leprince de Beaumont, vie et œuvre d'une éducatrice, 1971
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La Belle et la Bête - Histoire éternelle
Histoire éternelle Qu'on ne croit jamais De deux inconnus Qu'un geste imprévu Rapproche en secret
Et soudain se pose Sur leur cœur en fête Un papillon rose Un rien, pas grand chose Une fleur offerte
Rien ne se ressemble Rien n'est plus pareil Mais comment savoir La peur envolée Que l'on s'est trompé ?
Chanson éternelle Aux refrains fanés C'est vrai, c'est étrange De voir comme on change Sans même y penser
Tout comme les étoiles S'éteignent en cachette L'histoire éternelle Touche de son aile La Belle et la Bête
L'histoire éternelle Touche de son aile La Belle et la Bête
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Fascination et répulsion
Je connais Donald Trump bien avant qu'il ne soit connu en tant que président. C'est au début des années 90 que j'ai acheté son livre "Le plaisir des affaires". J'étais fasciné par le monde de l'immobilier. Et encore aujourd'hui se monde me fascine. J'ai justement regardé dernièrement sur Netflix "Owning Manathan". Et une autre qui se déroule à Londres "Buying London". Et il y en a une autre qui était pas mal aussi "Buying Beverly Hills". Concernant Trump, c'est dans une semaine que l'on saura s'il sera réélu président des États-Unis. Si sa personnalité fascine, je le trouve assez extrême ! Ce qui me révulse, c'est la haine de beaucoup de ses supporters. Je regarde et suit ces élections avec grand intérêt. Je serai américain, je ne voterai ni pour Trump, ni pour Harris. Ces deux candidats ont des programmes contraires à ma vie et ma vision du monde.
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Je suis ma répulsion que je noie dans le vœu de mes harmonie
Pour vibré d'un navire
Sur le seuil de mes maisons
Shad et le lion de Dori
Je suis l'Étrange de la(devant) Magnificence
Qui prend soin de moi et de sa joie
Sous les....rire enjolivé...
Etc
...
...
.et j'importe la mienne
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Mediapart instaure un commissaire politique « aux questions raciales ».
La droite : « Non, Fatima, les races n’existent pas ».
Aussi la droite en soirée :
Alors que les losers de la droite antiraciste française s’enfoncent dans le négationnisme racial, la gauche radicale avance et vite.
Mediapart a annoncé la nomination d’un commissaire politique aux questions raciales.
Mediapart :
Parler de « race » aujourd’hui en France suscite des polémiques sans fin, alors que le racisme se déchaîne et se propage dans toutes les sphères de la société, et de la politique. Le mot est tabou, il a même été rayé de la Constitution au nom des valeurs qui sont censées nous animer.
Justement, c’est à Mélenchon que l’on doit cette régression lexicale. Lui et sa bande ont exigé et obtenu cette censure du mot « race » dans la constitution.
Notez qu’en 2018 aucun député – zéro ! – n’avait jugé odieux l’abolition de ce concept essentiel. Et surtout pas les députés inutiles du RN dirigés par cette nationaliste mahoraise fanatique de Marine Le Pen.
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Mais l’influence de ces obscurantistes s’évanouit rapidement.
Avec désormais 17 millions d’allogènes en France, l’époque où la gauche juive pouvait imposer la négation du fait racial en culpabilisant les Blancs est révolue.
Une nouvelle ère commence. Une ère hyper raciste.
Mais alors comment décrire le racisme, si nous ne pouvons pas nommer – ni mesurer – les expériences vécues par celles et ceux qui subissent des oppressions raciales liées au fait d’être perçus, et traités, comme « Arabe », « Noir », « Asiatique », etc. ? Comment décrire les hiérarchies raciales si le mot « Blanc » est interdit du vocabulaire ? En octobre 2020, Mediapart a décidé de créer un poste de responsable éditoriale aux questions de genre pour « veiller, de manière transversale, à ce que le journal concerné soit plus inclusif dans son traitement éditorial et dans son fonctionnement interne ». Quatre ans plus tard, fidèle aux valeurs « radicalement démocratiques » que porte le journal, Mediapart complète ce poste de « gender editor » en créant une fonction de responsable éditoriale aux questions raciales, pour veiller aux biais discriminatoires dans les contenus éditoriaux (texte, vidéo, podcasts…) et dans le choix des interlocuteurs et des interlocutrices.
Cette créature marron va faire régner la terreur dans les couloirs de Mediapart
Ce choix vient concrétiser des discussions plus anciennes, notamment dans le cadre de la Commission diversité de Mediapart – devenu Comité antiraciste –, et qui ont rebondi à l’occasion de plusieurs débats au sein de la rédaction au moment de la préparation du nouveau projet éditorial porté par Lenaïg Bredoux et Valentine Oberti. Il figure également dans les recommandations de l’Ajar, l’association des journalistes antiracistes et racisé·es.
Apparemment c’est un vrai truc.
Pour mener à bien cette noble et audacieuse mission, nous nous sommes fixé une feuille de route, avec des chantiers à démarrer rapidement, et d’autres à développer au long cours. Premier chantier : les mots Le mot « race » fait peur. Nous le savons bien. Il évoque l’esclavagisme, le colonialisme, le nazisme. Il est même l’objet d’une répulsion républicaine, tant nous aimons au « pays des droits de l’homme » se croire indifférent à la couleur. Alors, pour parler de ce (ceux) qui dérange(nt), certains préfèrent le vocable euphémisant de « quartiers populaires », de « minorités visibles », de « descendants d’immigrés », ou encore d’« ethnie »… D’autres carrément de « sauvageons », quand ce n’est pas de « racailles »… Mais substituer les mots est à la fois incorrect et fallacieux. Cela détourne le regard en fixant notre intérêt sur les groupes jugés problématiques, plutôt que sur la politique de racisation qui vise à séparer certains Français·es du reste de leur concitoyen·nes, de certains êtres humains de l’humanité…
« La bataille » des mots – notre terrain de jeu – est à ce sujet, essentielle. Pour la mener, il faut porter la plume dans la plaie, en parlant plus franchement de la race (la racialisation, la racisation…), la blanchité, les privilèges, etc. Mais avec justesse, et clarté. Ce champ nous intéresse en tant que journalistes – nous comptons élaborer un glossaire et un guide des bonnes pratiques –, car le vocabulaire que nous choisissons détermine ce que l’on s’autorise à regarder et les moyens que l’on se donne pour décrire la société. Ces mots sont donc des outils, mais pas seulement, ils sont aussi l’objet d’une bataille idéologique violente, où les intimidations et les anathèmes font rage.
C’est absolument exact.
On ne peut pas changer la réalité si la décrire avec exactitude est impossible.
Cela vaut bien sûr pour les Blancs dotés d’une volonté de vie qui veulent en finir avec l’inhibition de leurs instincts commandés par la pudibonderie des curés antiracistes.
Autant dire que la droite Martin Luther King ne va pas du tout aimer.
La droite, c’est la gauche d’hier, en toutes circonstances. À présent que les populations non-blanches s’affirment racialement, la droite hexagonale reprend à son compte ce qui en 2018 encore était un combat de gauche.
Celui de Mélenchon en l’occurrence.
Et très vite le mythe de l’holocauste est convoqué, ce qui est parfaitement logique puisque l’antiracisme – la haine de l’homme blanc – a été érigé en système à Nuremberg.
C’est une heureuse évolution.
L’édifice politique, juridique, idéologique et culturel mis en place à Nuremberg ne pouvait être détruit que de l’intérieur sous l’effet de ses contradictions.
Rééduquées dès l’enfance par ce système pour être dépourvues de toute conscience raciale collective, les populations blanches ne pouvaient pas s’émanciper d’elles-mêmes.
Sans l’immigration non-blanche, l’empire antiraciste juif aurait pu durer mille ans.
C’est sous l’effet concret du système de Nuremberg – antifascisme, démantèlement des frontières, dissolution des appartenances ethniques dans le monde blanc, immigration de masse – que les conditions de sa destruction se forment.
Cette rupture terrifie les juifs.
Les juifs ont systématiquement soutenu la démocratie libérale dans les pays blancs en raison de son caractère dissolvant pour les peuples blancs. Dans une démocratie libérale, l’État et le marché remplacent progressivement les unités collectives organiques, qu’elles soient familiales, ethniques, nationales, religieuses. Si le juif ne se départit jamais de sa conscience raciale, pour s’infiltrer et se mouvoir sans craindre de résistance autochtone il doit concasser les peuples en individus atomisés, sans loyauté commune pour leur propre race.
Le juif peut alors s’ingénier à diviser pour régner, jouant une sous-catégorie sociale contre une autre : gauche contre droite, religieux contre athées, prolétaires contre patrons, homosexuels contre hétérosexuels, etc.. Le juif est le destructeur par excellence pour cette raison, le principe fondamental de toute division, de toute guerre.
Pour le juif, il s’agit de jouer sur les deux tableaux : appliquer aux autres la démocratie individualiste qu’il se garde bien de s’infliger.
Ce double-jeu se manifeste de façon spectaculaire depuis la formation du soi-disant « état » juif en Palestine, et singulièrement depuis le début de la guerre à Gaza. Tous, comme un seul homme, dans tous les pays où ils vivent, agissent ouvertement comme une cinquième colonne entièrement dévouée à la cause de la race juive au Proche-Orient.
Parce qu’il est désormais dénoncé pour ce qu’il est par le groupe arabo-musulman concurrent, le juif est de plus en plus démasqué aux yeux de tous.
Sans le camouflage de son mimétisme social, le juif ne peut subvertir pour l’intérêt bien compris de sa race. Il doit assumer sa politique au grand jour. Or, en démocratie, le seul rapport de force numérique face à un groupe racial et religieux conscient de lui-même le condamne à la défaite.
La pseudo lutte contre « l’antisémitisme » n’est que l’arrogante prétention du juif à faire taire ceux qui constatent son double-jeu racial.
Les démocraties antiracistes soutiennent le nationalisme racial juif, y compris dans ces opérations militaires les plus brutales.
Dans le même temps, elles répriment avec zèle toute manifestation de défense collective chez les Blancs.
Un homme a été emprisonné pour deux ans après avoir apposé des autocollants portant des slogans tels que « C’est normal d’être blanc » et « Rejetez la culpabilité blanche ». Il s’agit d’un outrage à la liberté. Emprisonner des personnes pour ce qu’elles pensent et disent relève de la tyrannie, déclare Brendan O’Neill.
Le fascisme, singulièrement le fascisme allemand, a été une réaction au processus de dissolution racial qui était en cours.
Après une guerre mondiale pour stopper la libération de l’homme blanc initiée par l’Allemagne nationale-socialiste, Nuremberg visait à river définitivement dans sa cervelle l’impossibilité de sortir de la matrice antiblanche qu’est la démocratie juive. Depuis 80 ans, la religion de l’holocauste culpabilise l’homme blanc pour qu’il accepte sa domestication.
La mentalité du bourgeois blanc, zombifié par les juifs et leur démocratie, consiste à rejeter d’instinct toute loyauté fondée sur les liens intimes du sang.
En démocratie, c’est l’argent qui détermine la légitimité des liens. L’antique loyauté gratuite du sang est remplacée par l’anonyme « contrat social » démocratique au terme duquel le légalisme, l’impôt et le marché fixent la valeur des hommes et des choses.
Remplacer les Français de souche par l’Afghanistan ? Oui, si ces Afghans entrent LÉGALEMENT, PAIENT LEURS IMPÔTS et DISENT MERCI.
Le golem qu’est la droite antiraciste aboie comme un chien de garde quand un Blanc essaie de sortir du goulag mental de la démocratie de marché.
L’hostilité petite-bourgeoise vis-à-vis de l’islam n’est la plupart du temps qu’une réaction atavique de peur qui résulte du conditionnement libéral.
Contrairement aux apparences, l’antiracisme de la petite-bourgeoisie blanche de gauche est identique, mais cible un autre objet. En lieu et place des populations musulmans grégaires, c’est le spectre du grégarisme blanc qui la terrifie.
C’est pour cette raison qu’elle guette avec désespoir l’ombre d’un catholicisme oppressif qui n’existe plus : ancienne religion « des Blancs », son retour tant désiré permettrait de culpabiliser « comme avant » les Blancs tentés par un collectivisme communautaire.
La peur que le groupe prime l’individu terrifie le bourgeois blanc, anarchiste mou soucieux de la suprématie de son égoïsme, indissociable de la société de consommation et de loisirs à laquelle il est tant attaché.
Dans le monde horizontal de la démocratie marché, aucune valeur collective ne doit animer l’homme blanc. Les seules « valeurs » légitimes sont des anti-valeurs, c’est-à-dire des injonctions à ne respecter aucun principe collectif. De la déification des juifs (dont le négatif est la diabolisation de l’homme blanc), au féminisme (idem) en passant la préférence étrangère, l’homme blanc, pilier naturel des sociétés aryennes, doit être empêché de rétablir l’ordre.
En tant que force réactionnaire sous direction juive, la droite antiraciste devient logiquement l’alliée d’évidence pour la juiverie. Idéale parce que domestiquée, elle permet de maintenir l’homme blanc dans l’absence de conscience raciale, condition dont le juif a besoin pour continuer de se mouvoir dans les pays occidentaux, tout en servant de gourdin pour intimider les groupes raciaux concurrents qui se forment sous l’effet de l’immigration.
CNews est l’outil de propagande privilégié de cette stratégie juive qui vise à utiliser le golem blanc à la fois contre les allogènes et les rebelles blancs qui voudraient renverser l’ordre judéo-démocratique au nom des intérêts de la race blanche.
La gauche marron est en train de nettoyer la gauche juive de l’hypocrite antiracisme juif. D’ici peu, le paradigme racial effacera les thèses séniles de 1789 et replacera la réalité matérielle de la race au coeur du combat politique.
Le nouveau chantier consiste à réhabiliter le racisme chez les Blancs, ce qui implique de combattre avec détermination la droite antiraciste, proxy de la juiverie antiblanche.
Il nous faut, à nous aussi, des commissaires politiques aux questions raciales afin de mener le travail d’épuration sans lequel l’homme blanc restera l’esclave des races étrangères.
Démocratie Participative
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