#réchauffement global
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Argumentaire de droit et climato-sceptique en faveur d'une ville sans voitures.
Ceux qui me connaissent, ont déjà lu mes positions climato-sceptiques. En gros, je crois que la lutte contre la CO2 aura des effets concrets uniquement si les 8 propositions ci-dessous sont toutes vraies: Le climat est en train de changer Le climat est en train de changer parce que, dans l’atmsphère il y a trop de CO2 Dans l’atmosphère il y a trop de CO2 parce qu’on brûle trop de combustibles…
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🗺️🌱 [Environment] The Real Impact of Nitrous Oxide (N₂O)
298 times more potent than CO₂ over 100 years, nitrous oxide (N₂O) contributes to global warming and the destruction of the ozone layer. Its impact is disproportionate to its quantity. 🏭
🇫🇷🌱 [Environnement] Le Véritable Impact du Protoxyde d’Azote (N₂O)
298 fois plus puissant que le CO₂ sur 100 ans, le protoxyde d’azote (N₂O) contribue au réchauffement climatique et à la destruction de la couche d’ozone. Son impact est disproportionné par rapport à sa quantité. 🏭
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¿Se puede comer carne y proteger el medio ambiente al mismo tiempo?
No, si la carne es responsable de la contaminación actual, eso no significa que debamos dejar de comer carne.
Siempre habrá carne (gallinas viejas, vacas, etc.) porque sin ella tendríamos que producir mucha más fruta y verdura para obtener las proteínas que necesitamos. Y la vitamina B12 se encuentra exclusivamente en los productos animales. Además, los animales son necesarios para el equilibrio del suelo.
Por otro lado, es posible comer menos carne y sólo la que se produce en un sistema de producción mucho más respetuoso con el medio ambiente y los animales. Menos pero de mejor calidad, ¡eso es lo que hemos hecho con el vino! Las vacas, en particular, pueden encontrar hierba en pastos marginales (bordes de carreteras, terraplenes, montañas, residuos, etc.) sin tener que ganar terreno a las tierras agrícolas y forestales (maíz, trigo, etc.). El consumo de agua vinculado a la producción de maíz y soja para alimentar al ganado es una fuente importante de contaminación.
El ganado no es el resultado de la selección natural, sino de la selección humana. Las especies se seleccionan en función de determinadas condiciones (resistencia a las enfermedades, por ejemplo), pero también pueden seleccionarse según criterios medioambientales (una vaca que metabolice mejor la hierba y produzca menos CO2). El 28% de la contaminación animal está relacionada con la lucha contra las enfermedades causadas por su concentración. Como consecuencia de las enfermedades vinculadas a la concentración de animales, éstos están siendo atiborrados de antibióticos, lo que aumenta el riesgo de que resurjan enfermedades resistentes a los antibióticos. Esto es peligroso para la salud tanto de los humanos como de los animales.
Hay enormes posibilidades de reducir la contaminación (CO2 y metano) cambiando los métodos de producción (cría y selección de animales). «Por ejemplo, en Japón, el 52% de los residuos de la industria alimentaria se utiliza ahora como pienso para el ganado, gracias a políticas adecuadas y a un sistema de certificación”(FAO: Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura).
Livestock solutions for climate change – FAO: http://www.fao.org/3/a-i8098e.pdf
Veggieworld: Why eating greens won’t save the planet | New Scientist: https://www.newscientist.com/article/mg20727691-200-veggieworld-why-eating-greens-wont-save-the-planet/
En Français dans Courrier International, Renoncer à la viande est une fausse bonne idée: https://www.courrierinternational.com/article/2011/02/17/renoncer-a-la-viande-une-fausse-bonne-idee
Livestock and landscapes – FAO: http://www.fao.org/3/ar591e/ar591e.pdf
El CETA es un crimen democrático porque permite a Canadá vender en Europa productos que no son respetuosos con el medio ambiente, los animales, los trabajadores o los consumidores. Es injusto para los trabajadores europeos, que están sujetos a normas. Depende de Europa y Norteamérica adaptarse y adoptar una industria más respetuosa con el medio ambiente y los animales, porque ellos solos representan la mitad de la contaminación mundial.
How to green the world’s deserts and reverse ClimateChange | Allan Savory | TEDTalks: https://youtu.be/vpTHi7O66pI
CO2 Global World Atlas – greenhouse gases data: http://www.globalcarbonatlas.org/en/CO2-emissions
CETA threatens food safety even before national parliaments sign off – Green Peace: https://www.greenpeace.org/eu-unit/issues/democracy-europe/880/ceta-threatens-food-safety-even-before-national-parliaments-sign-off/
French parliament approves controversial EU-Canada trade deal CETA: https://www.youtube.com/watch?v=xEIyGQ74-no&feature=youtu.be
Voiture , Industrie , viande … Quelles sont les causes du réchauffement climatique en France ? – Le Monde: https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/07/08/voiture-industrie-viande-quelles-sont-les-causes-du-rechauffement-climatique-en-france_5486767_4355770.html
Sin embargo, sería ilusorio querer comer los sustitutos de la carne que venden los fabricantes. Es mejor sustituir la carne por legumbres, alubias, lentejas o garbanzos.
Effects of different processing degrees of plant-based meat on the blood biochemical level, inflammation and intestinal microorganisms in mice: https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0963996923009432
La viande végétale n’est pas si bonne que ça pour la santé: https://www.24heures.ch/la-viande-vegetale-nest-pas-si-bonne-que-ca-pour-la-sante-394359505237
Swiss veg: https://www.swissveg.ch/?language=fr
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Viande et environnement, est-ce possible?: https://www.aurianneor.org/viande-et-environnement-est-ce-possible-non-si/
Meat and environment, is that possible?: https://www.aurianneor.org/meat-and-environment-is-that-possible-no-if/
Le parapluie à cachetons: https://www.aurianneor.org/le-parapluie-a-cachetons-la-recherche-sur-les/
Préserver l’eau: https://www.aurianneor.org/preserver-leau/
Comercio justo y ecológico: https://www.aurianneor.org/comercio-justo-y-ecologico/
Le goût et la santé: https://www.aurianneor.org/le-gout-et-la-sante-savoir-lire-les-etiquettes/
Recetas veganas: https://www.aurianneor.org/recetas-veganas/
Fight food waste: https://www.aurianneor.org/fight-food-waste-buy-only-what-you-need-invent/
Malgré les champignons: https://www.aurianneor.org/malgre-les-champignons-plus-les-ingredients-sont/
Poulet doré: https://www.aurianneor.org/poulet-dore-1-de-la-qualite-des-ingredients/
#agricultura#alimentación#aurianneor#canadá#carne#ceta#consumidor#contaminación#ecosistema#eeuu#efecto invernadero#emisiones#europa#fao#flexitariano#ganado#industria#medio ambiente#pastos#sostenible#vacas#vegano#vegetariano
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Les États-Unis et les 12 pays suivants ont tous signé un accord qui, en pratique, détruira l’agriculture mondiale tout en ouvrant la voie à la famine et à la famine à l’échelle mondiale :
Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Burkina Faso, Chili, Espagne, Équateur, Panama, Pérou, République tchèque, Uruguay
Une perte de production de viande en Australie, au Brésil et aux États-Unis suffirait à elle seule à affamer d’innombrables personnes, sans parler de tous les autres aliments élevés et cultivés dans ces trois pays.
Citant le « changement climatique » et le « réchauffement climatique » comme raisons pour lesquelles des mesures aussi drastiques doivent être prises, les mondialistes derrière l'escroquerie climatique poussent l'idée selon laquelle l'agriculture, y compris l'élevage, doit cesser afin d'empêcher les flatulences animales de réchauffer l'environnement. .
"Je suis heureux de constater l'engagement commun de la communauté internationale à atténuer les émissions de méthane provenant de l'agriculture comme moyen d'atteindre les objectifs que nous avons signés dans l'Accord de Paris sur le climat", a déclaré Luis Planas, ministre espagnol de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation. dans un rapport.
Marcelo Mena, PDG du Global Methane Hub, est bien sûr d’accord.
"Les systèmes alimentaires sont responsables de 60 pour cent des émissions de méthane", a expliqué Mena dans un communiqué.
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What does " faire comme si de rien n'était " mean in French ?
lit. translation "do as if of nothing was " Faire comme si de rien n'était = to pretend nothing happened / to pretend nothing is happening / (to act as if nothing happened) "Louise et Rémi ont rompu ! Leurs parents n'en savent rien, donc fais comme si de rien n'était, okay ?" // Louise and Rémi broke up ! Their parents don't know anything about it, so pretend nothing happened, okay ? "C'est difficile de faire comme si de rien n'était quand on s'intéresse un peu aux conséquences du réchauffement climatique" // It's hard to pretend that nothing is happening when you are a little bit interested in the consequences of global warming. Note : You can use it with other verbs as well. - "Il s'est cassé le pied il y a deux jours et pourtant il marche comme si de rien n'était" // He broke his foot two days ago and yet he walks like nothing happened. - " Elle a perdu 5 dents et pourtant elle mange comme si de rien n'était" // She losts 5 teeth and yet she eats like nothing happened.
-"Je l'ai poignardé 10 fois et il s'est relevé deux minutes plus tard comme si de rien n'était" // I stabbed him 10 times and he got up two minutes later like nothing happened
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Promesses de campagne... menaces à la Ville...
L'un des grands avantages des campagnes électorales –duquel je trouve qu'on ne parle pas assez-- c'est de permettre à chaque candidat de faire une démonstration grandeur nature de ses capacités d'imagination, de ses fantasmes et de ses rêves les plus absurdes, les plus irréalisables et les plus funestes, comme s'ils étaient intéressants, souhaitables, et bons pour la France et l'humanité : le seul fait d'avoir été ''une promesse de campagne'' en fait des objets de culte, à révérer (NB : on ne nous dit jamais s'ils ont des rêves qui pourraient être bons ou qui ne coûtent rien !).
Dans le chapitre ''Promesses d'estrade'', une petite digression en forme de cauchemar : imaginons une version 2027 de la séquence rituelle et quinquennale du ''plus irresponsable que moi, tu meurs'', qui verrait une candidature de Bruno Lemaire, notre Wagner de la finance, puisque Macron, disent certains, en serait le Mozart : il aurait réalisé un unique deal, préparé d'avance, quand il campait chez Rothschild (NB-bis : ceux qui croient ce ''narratif'' sont les survivants de ‘’la pseudo n-ième vague ''vague'' et les suites du vaccin n° 8 –''suites'' qu'ils nient... même après en être morts ! Il en resterait encore ''ε %'' (en grec d'époque : έψιλον %, ou τοις εκατό ! Ça peut servir –à rien, par exemple !). Pour en revenir à Lemaire, son dernier roman, riche (?) de ses fantasmes sexuels de puceau prolongé (NB-ter : ''le dernier'' ? Si seulement !), entre ''dilatation'' et '' renflement brun''... qu'ont dû ''se taper'', punition méritée, les 3000 bobos qui ont acheté ce vrai faux chef d’œuvre confidentiel, est une ''professe de campagne'', si j’ose ! (Fin de la digression).
Revenons donc aux choses sérieuses... Parmi toutes les promesses néfastes, funestes, mortifères, létales, inutiles, et à éviter ''quoi qu'il en coûte'', certaines sont encore plus non-souhaitables que les autres. Dans la série ''Le réchauffement anthropique'' et ''Tout le monde aux abris'', une nouvelle de France Info nous alerte, en ce matin de mai, sur la pénurie d’eau qui nous guette, cet été. Les médias ''main stream'' participent à cette campagne d’affolement volontaire mais improductif d'une population-qui-n’y-peut-rien, au moment précis où des trombes d'eau et de grêle s'abattent sans prévenir sur 90 à 95 % du territoire national. Cette ''catastrophe annoncée'' (question : la sécheresse ou l'inondation ?), serait due -comme le reste- au réchauffement climatique... qui est sans doute vrai, si on supprime le renvoi-en-bas-de-page qui en rend l'homme seul responsable, ce qui ne saurait l'être (vrai !).
Les dérèglements paraissent plus fréquents, du fait de l'omniprésence des phones parfois pas très smart, qui ''shootent'' tout ce qui passe à portée, et en raison d'une augmentation de fait des températures moyennes. Mais à l’échelle de la planète, il ne saurait y avoir pénurie d’eau car, excepté pour une partie infime qui est transformé en oxygène et hydrogène, il n’y a pas de perte dans le ‘’cycle’’ de l'eau : toute eau consommée ou utilisée est un jour rendue à la nature sous forme liquide ou gazeuse... et si elle est polluée, on sait de mieux en mieux la traiter. Craindre une pénurie globale d'eau sur une Terre couverte par des océans sur les 2/3 de sa surface peut paraître surprenant. Sa répartition... peut-être, mais ça, on devrait savoir faire : ce n'est qu'un problème de l'affectation de nos ressources, donc de nos priorités. Et si c'est ''ça'' l'enjeu, il suffit de généraliser, à terme très court, le recours à la désalinisation de l’eau de mer et son transport par pipe-line (ce qu'on maîtrise, maintenant). Le vrai problème de l'eau est... financier !
On sait que la France métropolitaine dispose de 6000 kilomètres de côtes, où la ressource ‘’eau’’ est infinie, et que aucun point de ''l'hexagone'' –comme il ne faut pas dire-- n’est à plus de quelques centaines de kilomètres d’un océan ou d'une mer. Il suffit donc de prévoir. Mais est-ce que ce verbe a encore un sens ? La réponse est ''Non'', tout le monde sait ça. Heureusement (''Non ! Je plaisante...'', comme disent nos jeunes) que nous avons les meilleurs administrateurs du monde, grâce à ''feue l'Ena'' qui, malgré sa suppression et son remplacement par un clone-en-pire, n'a pas fini des faire des ravages en France, et nos génies, joignant leurs efforts à ceux du Giec et le l'Europe-institution réunis ont trouvé la réponse : la suppression sans solution de remplacement de tous les moteurs thermiques, le parc automobile (lourd et tourisme) devenant ipso facto ''100 % électrique'' dans peu d’années. Ah ! Quelle bonne idée ! Ils sont géniaux, nos princes ! Sauf que...
Rien que pour la France, donc, et en appliquant les règles élémentaires qui régissent la ''Fée-électricité'' (maîtrisées dès la classe de seconde, dans les anciens programmes des lycées et collèges), on démontre sans possibilité d'erreur que cet assassinat technocratique équivaut à une interdiction structurelle de se déplacer après la date artificielle choisie, au doigt levé. Résumons : il y a en France une quarantaine de millions de voitures. Si, dans un premier temps, le parc devenait électrique à 50 % (contre le 12 % actuels, qui coûtent ''une blinde'' à notre Etat, en subventions masochistes), il y aurait, chaque soir --au retour du boulot-- une dix-douzaine de millions de bagnoles branchées pour se recharger (= une sur 2 ou une sur 3, en fonction du chargeur et de la puissance de la batterie), soit une demande de 60 à 80 000 MW (millions de watts). Jusque là, tout va bien... Enfin... un peu !
Car il faut tout de même se souvenir que, en février dernier, à cause des conneries XXL qu'ont été la fermeture de Fessenheim et l'assassinat programmé de notre merveilleuse filière nucléaire, la France, ex-5ème puissance mondiale avant Hollande et Macron, a failli connaître un black-out total devant un besoin ponctuel de 75 Millions de Watt --toutes consommations et toutes utilisations comprises. Il est évident qu'un parc électrifié à 100 % ne pourra jamais, en aucun cas et quelque hypothèse réaliste qu'on retienne, être fourni en temps et en heure, même en mettant en construction immédiate 80 réacteurs nucléaires de 1400 MW... c'est à dire dans les 10 fois le plan que Macron croit ambitieux... Outre que c'est impossible économiquement, techniquement, juridiquement, humainement et financièrement, elles ne seraient jamais prêtes à temps... Folie des politicards de gauche, qui confondent gaz de schiste et maso...chistes !
Ce qui nous pend au bout du nez, c'est une interdiction, à la fois brutale et progressive, d'utiliser des véhicules personnels, en enrobant cet échec politique dans des arguments qui n'en sont pas. On nous dira que c'est la faute à la météo, à la sécheresse et à la pluie, à pas de pot, à Poutine, à l'extrême droite et aux complotistes, aux non-vaccinés ou à l'homme-blanc-hétéro-et-chrétien, dont ont si fort besoin ceux qui disent vouloir s'en passer puisqu'il serait encore plus coupable des malheurs du monde que les gaz à effet de serre : il suffira de taxer le moindre écart à 135€-et-3500-en-cas-de-récidive, de les menacer de les suspendre, Macron leur promettra de les emmerder... et le tour sera joué : les grandes promesses de campagne –ces ''grand-messes des pros''-- seront réputées avoir été tenues. Et si la vérité éclate (le système est bien verrouillé par la presse-aux-ordres, mais on ne sait jamais...), ils clameront, comme à chaque fois : ''Mais on n'savait pas...''
Certains, par boboïsme suiviste, s'étonneront que d'autres trouvent que l'on n'est plus en démocratie. Et c'est vrai qu'en appelant ''démocratie'' le trognon de liberté conditionnelle que nous concède chichement l'administration... on pourrait presque croire qu'on est heureux. Il suffira d'oublier de quoi ce mot, Liberté, était porteur, en d'autres époques, hélas en cours d’être oubliées...
H-Cl
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Un certain nombre d'organes de presse viennent de se faire l'écho d'une lettre signée par un ensemble d'entreprises "représentant environ 1000 milliards de dollars de chiffre d'affaires" et qui, à la veille de la COP 28, réclame aux gouvernements de "s'attaquer aux combustibles fossiles". A première vue, cela semble prometteur : des entreprises qui réclament que l'on s'occupe sérieusement de la question climatique, on se dit que cela peut signifier qu'elles acceptent des contraintes sur le transport routier de marchandises, sur l'emploi de matières premières énergivores (acier, métaux, plastiques, ciment...), sur le prix de l'énergie fossile pour les entreprises et les ménages, sur le transport aérien, voire qu'elles sont prêtes à accepter la sobriété, c'est à dire qu'on achète moins de leurs produits. On pourrait aussi se dire qu'elles acceptent un accès plus difficile aux prêts et au capital pour développer ou même simplement maintenir des activités qui ne sont pas compatibles avec un monde qui voit ses émissions baisser de 5% par an (ce qu'il faut atteindre pour limiter le réchauffement à 2°C). Mais quand on lit la lettre, ce n'est pas vraiment cela que l'on découvre. Ce que souhaitent les signataires, c'est essentiellement que les états développement massivement les ENR, en "faisant ce qu'il faut pour orienter les flux de financement", pour permettre l'accès (aux signataires) à une énergie décarbonée abondante. Il n'est pas fait mention du prix, mais quand on lit dans cette lettre que "The transition to net zero could boost global GDP by 4% by 2030" on comprend que ce n'est pas le sujet : puisque la décarbonation va créer de la croissance verte, il y aura au sein des entreprises en croissance l'argent nécessaire pour payer la transition. En clair, cette lettre réclame surtout des efforts... chez les autres ! Après la COP de Glasgow, c'était le secteur financier qui avait multiplié les effets d'annonce. S'était alors créé le "Glasgow Financial Alliance for Net Zero", regroupant beaucoup de grands noms de la place (https://www.gfanzero.com/ ), au sein desquelles il y avait des sous-alliances sectorielles, comme par exemple la Net Zero Banking Alliance, la Net Zero Asset Manager Initiative, et j'en passe. On pourrait se dire que cela signifie que ces acteurs acceptent que, plus ils financent des activités dépendant des combustibles fossiles, et plus les contraintes réelles (exigence en fonds propres par exemple) sont élevées. Mais là non plus ce n'est pas ce qui s'observe : en pratique il n'y a pas eu de différences significatives sur les process opérationnels internes aux entités signataires entre avant et après. En matière de décarbonation, l'union doit suivre l'action. Ce sont les entreprises qui ont déjà fait la preuve de leur mutation - en ayant des produits, marchés, procédés et chaines de valeur compatibles avec une décarbonation rapide - qui sont fondées à se regrouper pour en réclamer plus aux autres
Que cette masturbation d'esprit s'arrête et place aux actes
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Réchauffement climatique - ou alerte mondiale ? (jeu de mots en anglais entre Global Warming – or Global Warning?)
Par Martin Brofman - écrit en 2010 et suivi par l'article de Philippe Hannetelle en 2023 "Conscience globale et changement climatique".
Les scientifiques ont attiré notre attention avec des images de l'espace montrant la fonte des glaciers, la diminution des calottes polaires, des prédictions terribles de ce qui pourrait / pourrait / va se produire avec de légères augmentations de la température de la terre.
Une conférence des Nations unies sur le changement climatique s'est tenue à Copenhague en décembre 2009, à laquelle ont participé des dirigeants du monde entier, afin de discuter de la situation et de prendre des décisions. Certains affirment que la conférence a été un succès, tandis que d'autres ne sont pas d'accord. Difficile de dire qui a raison.
Ce que nous savons, c'est qu'immédiatement après cette conférence sur le réchauffement climatique, l'hémisphère nord a connu des tempêtes de neige et des vagues de froid record.
Comment comprendre cette situation ?
On a beaucoup parlé d'une nouvelle phase de notre évolution planétaire, une phase que certains appellent l'ère du Verseau, et l'une des caractéristiques de cette ère est que nous fonctionnerons de plus en plus comme une famille mondiale, en pensant au-delà des frontières individuelles, et en reconnaissant que c'est une nécessité, puisque nous devons travailler ensemble pour résoudre les problèmes qui nous affectent tous.
Certains décrivent ce changement de conscience planétaire comme un mouvement du chakra du plexus solaire vers le chakra du cœur. Le chakra du plexus solaire concerne le pouvoir, le contrôle et/ou la liberté, les intérêts individuels, tandis que le chakra du cœur concerne les relations avec les autres.
Lorsqu'un individu passe par ce processus, il prend la décision profonde d'évoluer, et cette évolution peut être facile ou difficile, selon la façon dont il a fonctionné au niveau du chakra du plexus solaire.
S'il a fonctionné du point de vue du contrôle, en décidant ce que les autres devraient faire pour satisfaire ses propres besoins individuels perçus, et qu'il veut passer à l'acceptation et à la relation, il doit passer par le lâcher-prise. Plus ils s'accrochent au contrôle, plus les choses deviennent incontrôlables, jusqu'à ce qu'un choc les oblige à accepter ce qui est et à reconnaître l'importance des concepts mutuels de liberté. Lorsqu'ils y parviennent et voient les choses sous un nouvel angle, ils peuvent se voir avec compassion et comprendre que toute la douleur et l'inconfort qu'ils se sont infligés sont dus au fait qu'ils se sont accrochés au contrôle.
Vivre l'aspect de la liberté dans le chakra du plexus solaire rend la transition beaucoup plus douce.
Nous sommes sortis de 2000 ans de chakra du plexus solaire, où notre force de motivation était nos propres intérêts primaires, et nous avons maintenant commencé à penser davantage comme une famille mondiale. Certaines parties du monde ont davantage progressé dans cette direction que d'autres, mais quoi qu'il en soit, nous sommes sur la bonne voie. L'évolution est, après tout, inévitable.
Certains disent que la Terre a une conscience et qu'elle est sensible à ce qui se passe en relation avec les êtres qu'elle soutient et entretient.
Peut-être qu'à la suite de cette conférence sur le changement climatique, les gens sont désormais plus conscients de la manière dont ils utilisent les ressources planétaires, et la Terre mère pourrait répondre à ce changement, considérant qu'elle n'a plus besoin de créer des avertissements terribles sur ce qui pourrait être autrement.
Nous devons attendre de voir si tout ce temps froid et cette neige record ont eu pour effet de reconstituer les glaciers et les calottes polaires. Si c'est le cas, nous pouvons peut-être considérer qu'il s'agit simplement d'un avertissement mondial, qui nous a permis de faire face à une menace commune perçue, afin de nous motiver à établir des relations différentes de celles que nous avions auparavant, davantage comme une famille mondiale qui comprend l'importance de communiquer et de travailler ensemble pour un bien commun, d'une manière qui fonctionne pour tout le monde.
Martin Brofman -2010 ©
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Conscience mondiale et changement climatique
Ce que Martin a écrit il y a treize ans est devenu non seulement un réchauffement climatique, non seulement un avertissement, mais une menace pour la vie de tous les êtres vivants.
Du point de vue où tout commence dans notre conscience, nous avons attiré à nous une menace qui devrait et doit maintenant nous faire réagir. Et comme nos perceptions créent notre réalité, plus les gens perçoivent ce qui se passe comme une menace, plus cette menace se manifeste dans la réalité physique.
Lorsqu'il y a un symptôme dans le corps physique, le reste du corps se mobilise pour aider la partie disharmonieuse, et il est bon de soutenir les efforts du corps pour se guérir lui-même en le nourrissant de pensées positives et en envoyant de l'amour à la partie du corps qui en a besoin.
Lorsque notre planète a commencé à présenter des symptômes liés au comportement humain, quelques voix se sont d'abord élevées pour faire prendre conscience de notre attitude à l'égard des êtres vivants. D'un autre côté, nombreux étaient ceux qui voulaient que l'humanité continue dans la même direction sans rien changer, tandis que d'autres préféraient ne rien dire et pratiquer la politique de l'autruche.
Maintenant que les symptômes sont visibles partout sur la planète, la majorité des gens continuent dans la même direction, vers le mur, même si de plus en plus commencent à sentir qu'il faut changer quelque chose, mais surtout les autres avant eux.
Notre espèce humaine, par son comportement, continue aveuglément à démontrer son irrespect du vivant et son stupéfiant nombrilisme. Combien de secousses devrons-nous encore affronter avant que chacun d'entre nous, dans sa conscience, n'entreprenne un changement profond ?
Les changements climatiques, les températures élevées en de nombreux endroits, les incendies, les inondations et les cyclones plus forts que jamais, les guerres et la pauvreté nous montrent que nous devons nous mobiliser ensemble pour prendre une autre direction que celle vers laquelle nous nous dirigeons si nous continuons à voir, à entendre et à ne rien faire.
Tout cela reflète une énergie du plexus solaire très forte, où se mêlent la compétition, la volonté de prendre le pouvoir sur les autres, la négation des droits de nombreux êtres humains et animaux, le sentiment de séparation (moi ici et les autres à l'extérieur).
L'élément lié au chakra du plexus solaire est le feu, et ce chakra est le chakra du soleil. Lorsque l'on met trop d'emphase sur un chakra, il est en disharmonie, et il y a apparition de symptômes liés aux aspects de la conscience liés à ce chakra - en termes de pouvoir il peut s'agir de se sentir impuissant, de donner son pouvoir/liberté à l'extérieur, en termes de contrôle il peut s'agir de se contrôler soi-même, de vouloir contrôler les autres, de se sentir séparé.
La conscience de groupe, qui est la somme de toutes les consciences individuelles, est actuellement déséquilibrée et attire des expériences qui reflètent son état de conscience.
La prise de conscience d'un nombre croissant de personnes, voyant le lien entre le corps et l'esprit et la nécessité pour chacun de changer son comportement intérieur et extérieur, peut nous permettre de changer la direction de l'humanité. Tout peut être guéri, mais pour que la guérison fonctionne, chaque individu doit cesser de se regarder le nombril et réaliser que nous vivons une transformation extraordinaire, et faire en sorte que cette transition se fasse d'une manière plus douce qu'à l'heure actuelle.
Il s'agit de prendre la décision consciente de se déplacer vers le cœur.
Ce qui gouverne le monde en ce moment, c'est la peur. Et plus nous nous concentrons sur la résistance, plus nous l'augmentons et plus nous attirons des événements où la peur se manifeste.
Bien sûr, dans l'absolu, nous pourrions tout changer tout de suite, mais il faut du temps pour que chacun fasse un choix. Chacun est créateur et a le pouvoir de changer et d'aider son entourage à changer. Pourtant, jusqu'à présent, beaucoup de gens veulent revenir à l'ancien monde "où c'était mieux", justifiant leur façon d'être et leurs réflexes.
Alors oui, il faut du courage pour regarder à l'intérieur de soi, pour reconnaître ce qui ne fonctionne pas, pour le changer, pour être honnête avec soi-même et avec les autres, pour être généreux et pour avoir la volonté de se concentrer sur ce que l'on peut faire, chacun dans son domaine, pour aller vers un monde meilleur.
Cela demande un grand changement, de cesser de juger et de dénigrer les autres, quels qu'ils soient, et de prendre la décision consciente d'aller vers ton chakra du cœur, un endroit où tu peux voir le monde avec compassion, en acceptant les autres, quoi qu'ils aient fait.
À la fin de la journée, tu peux te demander combien de temps tu as passé à être compatissant, à accepter et à ressentir un amour inconditionnel pour toi-même et pour les autres. Et le lendemain, tu te dis que tu feras encore mieux.
Dans diverses philosophies ésotériques, ce moment est également décrit comme un moment où le pendule cosmique arrive à son point final de descente avant de remonter, et ce moment peut être chaotique en fonction de l'attitude de chaque individu et donc de la conscience du groupe.
Un autre point de vue est parfaitement expliqué dans plusieurs ouvrages, dont un en particulier "Les Yugas". De ce point de vue, l'humanité passe par des âges clairement discernables, ou yugas. Chaque yuga modifie la conscience de l'humanité. Alors que nous nous trouvons dans le Dwapara Yuga ascendant, cela a commencé par la montée en puissance de l'individu et la longue poursuite du bonheur personnel sans tenir compte de son impact sur les autres. Vers la fin du Dwapara Yuga, l'humanité apprendra que le bien-être des autres est essentiel au bonheur de chaque individu, et l'exploitation, l'iniquité et l'injustice prendront progressivement fin.
Le développement de l'humanité est inextricablement lié au développement de la conscience de chaque homme.
Puissions-nous tous être un exemple pour les autres, les aider à voir les choses autrement et à agir pour matérialiser une autre réalité.
Avec amour et gratitude,
Philippe Hannetelle - 2023 ©
The Yugas - David Steinmetz and Joseph Selbie - Crystal Clarity Publishers
fondationbrofman.org
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3. Quand une femelle arachnide recourt à la fellation pour éviter une copulation non désirée
4. Automédication collective chez les fourmis
5. Une méta-analyse mondiale révèle une activité nocturne globalement plus élevée que l'activité diurne dans les communautés d'insectes
6. C'est confirmé : le déclin des pollinisateurs fait baisser les rendements agricoles à travers la planète
7. Première démonstration d'une culture "cumulative" animale
8. Inflammations, brûlures, danger pour l'écosystème... Le "ver de feu" prolifère en Méditerranée et inquiète
9. Ce printemps aura lieu un phénomène naturel rare : l'émergence simultanée de deux couvées de cigales dans l'est des États-Unis, des insectes fascinants aux cycles de vie de 13 ou 17 ans
10. Les Myrtils s'adaptent au réchauffement climatique : les femelles qui se développent à des températures plus élevées ont moins d'ocelles, ce qui les rend plus difficiles à voir dans l'herbe sèche
Suite du classement (Top 20) :
Les différentes visions du monde et les systèmes de connaissances influencent la façon dont les personnes interagissent avec la nature et la valorisent.🌱
Les abeilles mellifères sont porteuses de plus de pathogènes que les bourdons ou les osmies, et ces pathogènes peuvent se transmettre d’une espèce d’insectes pollinisateurs à une autre
L'un des pesticides les plus utilisés en Europe nuit gravement à la biodiversité
Quand un gastro-entérologue découvre une mouche, une mite ou une autre bestiole, intacte dans le côlon du patient
L’écrevisse est le premier invertébré chez lequel un comportement de type dépressif a été mis en évidence
Première occurrence du frelon géant méridional Vespa soror (Hymenoptera, Vespidae) sur le continent européen, dans le nord de la péninsule ibérique (Espagne)
Santé des abeilles : de nouvelles données grâce au projet PoshBee
Le Service des Données et Études Statistiques du Ministère de l'écologie vient de publier le Bilan Environnemental de la France 2023 et les moyens financiers affectés aux actions de protection
Intelligence animale : comme nous, les bourdons savent transmettre leurs connaissances
Des moustiques-tigres infectés par le virus de la dengue détectés pour la première fois en France hexagonale
Image : Fleurs de glace sortant du sol sur un chemin de forêt en Haute-Loire, le 23 novembre 2024
Crédit B. Cassel
Bernadette Cassel's insight:
Joyeuses fêtes à tous et à toutes !
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Atmo Bourgogne-Franche-Comté et ses homologues des autres régions s’associent pour mettre à disposition de tous des données clés sur le changement climatique. La COP 29 met de nouveau en lumière qu’il n’existe qu’une solution connue pour ralentir le réchauffement climatique : réduire les émissions de gaz à effets de serre (GES). La fameuse expression « penser globalement, agir localement » prend ici tout son sens. Pour aider à cette transition, les Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA), fédérées au sein du réseau Atmo France, réalisent depuis des années un travail essentiel : elles mesurent et répertorient les émissions de polluants de l’air, de gaz à effet de serre et les consommations d’énergie. Ces « inventaires d’émissions » permettent de comprendre l’origine des émissions dans chaque Région et voir comment elles évoluent. Ces données fiables et impartiales, produites par plus de 700 experts que regroupent les 18 AASQA (en France métropolitaine et dans les DROM), offrent une vision complète pour soutenir les territoires dans leurs actions pour la qualité de l’air, le climat et l’énergie. Qu’est-ce qu’un inventaire d’émissions et à quoi sert-il ? Un inventaire d’émissions est une sorte de « bilan » qui recense la quantité de polluants de l’air et de gaz à effet de serre émis par les différents secteurs d’activité (industrie, transport, agriculture, etc.) sur un territoire donné. Ce bilan aide à identifier les principales sources d’émissions et permet aux collectivités territoriales de mieux planifier leurs actions pour réduire la pollution de l’air et protéger le climat. Grâce à la collaboration entre les AASQA, cet inventaire est réalisé de manière homogène selon des méthodes validées par le Ministère de la Transition Écologique, assurant ainsi une cohérence des données à l’échelle nationale. Par exemple, PRISME, une plateforme dédiée, permet aux collectivités et aux pouvoirs publics d’anticiper et de mieux planifier leurs politiques climatiques et énergétiques. Des outils accessibles pour tous Pour que chacun puisse accéder facilement à ces données, Atmo BFC, en partenariat avec l’Université de Franche-Comté, et avec le soutien financier de la Région et de l’ADEME BFC, a développé OPTEER, la plateforme des données Air Climat Energie, ouverte aux acteurs territoriaux et au public. Sur OPTEER, vous pouvez ainsi explorer les émissions de polluants de l’air et de gaz à effet de serre dans chaque département de Bourgogne-Franche-Comté, à l’échelle de chaque EPCI, secteur par secteur, et suivre l’évolution depuis 2008 des efforts locaux pour un avenir plus durable. Ces données sont accessibles sur www.opteer.org en libre accès. infos > www.opteer.org Read the full article
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En 2024, on n’a jamais autant consommé de pétrole, charbon et gaz
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.
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Justice climatique : deux ONG attaquent l’UE pour manque d’ambition !
Deux organisations de défense de l’environnement, CAN Europe et Global Legal Action Network (GLAN), ont décidé de passer à l’offensive en portant plainte contre la Commission européenne. Leur accusation ? Avoir fixé des objectifs climatiques qu’elles estiment bien en deçà des exigences nécessaires pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique. Selon ces ONG, les cibles de l’UE…
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NUAGES EN DÉCALAGE - 25/06/2024 - 12 H 39 UTC
Image du satellite NOAA-20, le 25/06/2024 à 12 h 39 UTC : alors que les conditions sont globalement calmes sur les trois quarts du pays, la France semble cernée par deux perturbations : l'une sur le proche Atlantique et l'autre sur l'Italie, qui engendre des débordements orageux sur le quart Sud-Est. Mais le plus remarquable sur cette image est le phénomène qui se produit le long des côtes de la Manche. Les cumulus apparus vers la mi-journée avec le réchauffement des sols sont repoussés vers l'intérieur des terres par la brise, en conservant une forme presque parfaite du trait de côte.
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Climat : Un Été Plus Froid Signifie-t-il la Fin du Réchauffement Global ?
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Climat : Un Été Plus Froid Signifie-t-il la Fin du Réchauffement Global ?
Été, les températures sont plus fraîches que l’année dernière, suscitant des questions et des débats sur la réalité du réchauffement…
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Record Breaking! A few Olympic tipping points… Peter Kuper cartoon
En attendant d'avoir le résultat pour mai, avril 2024 a continué la série de mois les plus chauds depuis le début des relevés de température. Sur les 12 derniers mois, la moyenne planétaire a dépassé de plus de 1,5 °C la moyenne dite préindustrielle, couvrant la période 1850-1900.
Nous étions certes en année El Nino, et il est un peu tôt pour dire que l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C est définitivement mort. Mais nous n'en sommes plus très loin.
Le CO2 étant une molécule chimiquement très stable, une fois que l'on a créé un surplus de ce gaz dans l'atmosphère, ce dernier ne se résorbe pas vite même après arrêt des émissions. De ce fait, la hausse de température atteinte en 2100 dépendra essentiellement des émissions cumulées mises dans l'atmosphère jusqu'à 2100.
Ne pas dépasser durablement les 1,5 °C supposerait que les émissions se mettent à baisser de 10% par an environ à partir de maintenant. Sauf à avoir à très bref délai une chute de comète ou une pandémie éradiquant 90% de l'humanité, on peut dire que cela ne va pas arriver.
Les 1,5 °C vont donc être bientôt un souvenir du passé. Et après, diront certains, on a certes de temps en temps une récolte qui souffre un peu et quelques fissures dans les maisons, mais rien de dramatique !
Voir les choses comme cela est malheureusement ne pas raisonner aux bonnes échelles de temps :
- dans les conditions actuelles nous allons quand même perdre une large partie des glaciers des Alpes et des Pyrénées et donc avoir des problèmes d'accès à l'eau fluviale l'été qui vont un jour aller croissant
- les arbres souffrent déjà et peuvent mettre longtemps avant de dépérir dans les nouvelles conditions
- le Groenland a déjà commencé à fondre et ne va plus s'arrêter, et il y a aussi une incertitude sur une partie (heureusement pas énorme) de l'Antarctique, avec pour résultat que le niveau de l'océan va continuer à s'élever pendant des siècles au minimum
- pour le moment l'abondance énergétique nous protège contre les désordres que nous avons créés, mais un jour ce sera moins le cas
Enfin et surtout, au train où vont les choses, nous n'allons pas nous arrêter à 1,5°C, et, quelle que soit l'élévation de température atteinte, elle sera irréversible pour une longue période une fois atteinte.
Il faut aussi comprendre que les dégâts ne vont pas être proportionnels à l'élévation de température : comme pour notre corps, où une hausse de la température interne de 5°C n'est pas "5 fois plus grave" qu'une hausse de 1°C, puisque la première nous tue alors que la seconde nous rend juste un peu patraque, chaque fraction de degré en plus amènera des ennuis bien plus sévères que ceux qui avaient lieu avant.
Très accessoirement, quand les 1,5 °C seront derrière nous, les entreprises qui ont pris des "engagements 1,5 °C" revoir leur communication : cela n'aura plus de sens de déclarer faire sa part pour atteindre un objectif qui n'existe plus ! Mais ça ne sera clairement pas le problème premier... (par Adrien Couzinier) Source : April 2024 Global Climate Report
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