#quatroze
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minasemdia · 2 years ago
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Itabira; Homem é morto nesta segunda-feira no Santa Ruth (28/11)
Itabira; Homem é morto nesta segunda-feira no Santa Ruth (28/11)
Um homem que ainda não identificado, foi morto na rua Quatroze, no bairro Santa Ruth em Itabira, na tarde desta segunda-feira 28 de novembro. Segundo informações preliminares, o Serviço de Atendimento Móvel de Urgência esteve no local mais só pôde constatar o óbito da vítima. Policiais militares isolaram o local até a chegada da pericia técnica da Polícia Civil, para os trabalhos de praxe. Em…
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miu-style · 3 years ago
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~~~ 飛躍 ~~~
最強な3人
2022年のパントンカラーベリーペリ(Very Peri)を身に纏って大きく飛躍する。
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panelun · 5 years ago
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Les artistes ne sont pas des dieux grecs.
Claude François, Gabriel Matzneff, Roman Polanski et j’en passe, sont autant d’hommes dont on dira qu’ils étaient des artistes avant tout, parce qu’on a envie d’oublier que les oeuvres artistiques peuvent-être le produit de criminels ou de prédateurs.
L’art, de manière générale, a longtemps primé sur la “morale”, comme l’affirme Pivot. Les hommes ont toujours accordé plus d’importance aux individus qui avaient une voix et les moyens de la faire entendre, surtout quand cette voix s’avérait charmante et mélodieuse. Tout le monde a bu leurs paroles comme si le talent excusait les propos, comme si les deux étaient indissociables.
Soudain, les voix silencieuses s’élèvent et tout le monde s’étonne, s’indigne qu’on nous mette le nez dans la merde qu’était ces déclarations. Il faut dire qu’on ne savait plus ce qu’on applaudissaient, des paroles ou des hommes. C’est bien là la grande plaie des milieux artistiques : les lettrés aiment idolâtrer les écrivains comme des dieux, et les dieux sont au dessus de la morale et de la loi.
 Gabriel Matzneff ne s’indigne pas qu’on mente, mais qu’on cherche à lui “nuire”. C’est Zeus qui, se réveillant un matin, découvre qu’Europa a révélé son viol et qui, en bon dieu grec, ne conçoit pas qu’on puisse l’inquiéter pour ce qu’il considère comme un dû. Il lui a fait un honneur et elle ose lui faire un reproche ? Pire ? L’accuser de lui avoir fait du mal ? C’est un dieu après tout. La loi ne s’applique pas aux dieux. La souffrance des autres ne compte pas puisqu’il l’a transfigurée en art. 
Gabriel Matzneff, comme bien d’autres, ont été des dieux pendant trop longtemps. Leur talent artistique leur offrait ce privilège. L’effondrement de leur culte, la contestation de leur art, est un acte d’apostasie au sein de la sphère artistique et culturelle. Si on condamne les propos, alors on passe dans l’autre camp : celui des censeurs, des autodafeurs, des méchants. On hurle au blasphème, on cherche des tares aux accusateurs même quand l’homme lui-même affirme de vive voix son crime. il l’a fait, oui, mais ce ne peut pas être un crime puisque c’est de l’art.
Contrairement à ce que dit Pivot, de nos jours, la morale ne passe pas avant la littérature : l’écrivain est séparé de l’homme. On peut admettre que Céline était un excellent écrivain et un antisémite aux propos condamnables. De même, on devrait pouvoir reconnaître à Grabriel Matzneff qu’au delà de ses qualités d’écrivain, il y avait un homme qui affirmait de lui-même sur le plateau d’Apostrophe qu’il enchaînait les conquêtes de jeunes filles aussi jeunes que quatroze ans.
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Le XXème siècle n’était pas “une autre époque”. Les lois protégeant les mineurs existaient déjà au temps ou Gabriel Matzneff faisaient ces déclarations, et il est honteux que Pivot ne profite pas de ce scandale pour faire un mea culpa sur sa position d’autrefois, au lieu de se complaire dans la nostalgie d’un temps où, contrairement à ce qu’il affirme, ce n’était pas la littérature, mais les littéraires qui étaient intouchables.
Il est temps que les dieux puissent se présenter devant la justice tels qu’ils ont toujours été : des hommes, et pour certains, des prédateurs sexuels, qui ne sont pas exempt du jugement de leurs crimes au nom de l’Art.
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jejivelicenstvoona · 6 years ago
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březen - za kamna vlezem
Une, deux, trois, quatre, cinq...
Mám prsty slepený sekundovým lepidlem a máma se ptá “co děláš, ty moje příšerko?” ale já neodpovídám a bezdůvodně ji vyháním z pokoje, chci bejt sama a myslet na tebe. Lepím si všude motýlky, možná chci, aby mi tě připomínali, ale spíš se mi jen líbí. Nechci se pořád ztrácet v minulosti, ve vzpomínce na tvůj hlas a smích a chytrý řeči a tělo a panebože, už tam jsem znovu, ztracená v tvým světě, do kterýho mě už nepustíš.
Six, sept, huit, neuf, dix...
Kdykoliv o tobě mluvím nebo píšu, kdykoliv na tebe myslím, zní to, jak kdybych tě milovala. Ale ty seš jen hloupý pobláznění, protože já jsem jen pitomá holka, co lásku nikdy nezažila a jestli náhodou jo, tak určitě ne s tebou. S tebou... s tebou je všechno jinak. Ty seš dvířka do Říše divů, seš pomatený Bílý Králík co všude někam spěchá, co nic nestíhá. “Bože, bože, určitě přijdu pozdě!” A já jsem moodrooká Alenka s ofinou, co tě pozoruje, užasle, zmateně, možná se tě trosku bojím. Všechno je pro mě nový, týdny mlčení a týdny touhy vecpat se ti do náruče, lacině se předhodit.
Onze, douze, treize, quatroze, quinze...
“Máry, Máry, přines mi nůžky!” Občas mám pocit, že vůbec nevíš, kdo jsem. Že ve mně vidíš někoho jinýho a i když stejně zmateně jak Alenka říkám, že nejsem Máry, neposloucháš. Chceš ze mě mít Máry nebo kohokoliv jinýho, chceš ze mě mít tu lehkou bohémskou holku co ti pochválí povídku a sbohem, žádný city, žádnej smích, už ne... už nic. Seš jako sen, stejně příjdeš a stejně zmizíš, nenecháš mě ani nadechnout.
Seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt...
“Ale začátky jsou stejně nejhezčí, viď?” Jasně že jo! Na začátku ses mě ráno ptal, jak jsem se vypsala a říkal jsi si sedmikrásko, říkal jsi: “Holka, potřebuju tě tady u sebe,” a smál ses se mnou a sliboval jsi plno věcí, o kterých jsme oba věděli, že je nesplníš, ale byly kouzelný. Bylo nám kouzelně. A já jen doufám, fakt upřímně, fakt z celýho mýho srdce doufám, že ti je teď kouzelně s někým jiným, klidně třeba víc než bylo nám. Jen abys nebyl smutnej a sám... to by znamenalo, že budeš radši smutnej a sám, než být se mnou.
Une, deux, trois, quatre, cinq...
Chci nový začátek, nový dvířka, nový život. Nemusí být líp, stačí, že bude jinak. S někým jiným. Francouzsky před spaním počítat ovečky a utíkat do lesa, utíkat do barů, do postele. Dávat životu novej smysl.
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blogfamososnaweb · 6 years ago
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BBB19: Vinícius é o primeiro eliminado do reality show
BBB19: Vinícius é o primeiro eliminado do reality show
Na noite desta terça-feira (22), no BBB19, foi revelado o primeiro eliminado do reality show da Globo: Vinícius, com apenas 3,73% dos votos. O inédito SuperParedão, formado por quatroze confinados, deixou todos os participantes surpresos logo na primeira semana de programa.
A votação consistia em uma espécie de ranking, em que o menos votado deixaria a atração e o sonho do grande prêmio. Durante…
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amalelrhazi · 7 years ago
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[Vidéo] Le Festival automobile international, l'exposition des concept-cars
Amal El Rhazi, [Vidéo] Le Festival automobile international, l'exposition des concept-cars. Du 31 janvier au 4 février 2018, quatorze concept-cars sont exposés au pied des Invalides : quatroze voitures qui définiront le design automobile de demain.  Voitures connectées, Formule 1 électrique, conduite automatique, le Festival de l’automobile international a ouvert ses portes et présente 14 concept-cars futuristes. Selon le […] Lire l'article
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panelun · 6 years ago
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Le coeur et la pierre, de Mohamed Amin (couple interculturel et homoparentalité)
Je l’appelle le “José Mohamed mais en bien”. Les auteurs sont trois jeunes marocains qui ont prit un seul et même pseudonyme. Au moins, eux, savaient  de quoi ils parlaient lorsqu’ils évoquaient le racisme qu’ils pouvaient subir à cette époque. 
Le texte n’est pas très ambigu, sauf pour quelques passages bien précis, mais quelques remarques suffisent à faire comprendre que la relation entre les deux garçons est très fusionnelle. Le début est un peu longuet mais il reste intéressant et agréable à lire.
Résumé : Abdeslam est un jeune marocain de quatorze ans dont la mère tombe gravement malade. Il décide de la suivre à Ksar-Es-Souk où elle est hospitalisée. On ne le laisse cependant pas rentrer dans l’hôpital en dehors des heures de visite et il décide de trouver un travail pour pouvoir subvenir aux besoin de sa mère. Il est embauché par les Kering, un couple de français racistes dont le mari est marchand de dattes.
Malheureusement, la mère d’Abdel meurt, et le garçon est dévasté, mais il s’est engagé auprès des Kering et décide de tenir sa promesse bien que ses patrons soient extrêmement déplaisants. Il ne s’absente que pour enterrer sa mère dans son village natal.
À son retour, les Kering héberge leur cousin, un jeune garçon de quatroze ans qui a perdu ses parents dans un accident d’avion. Alain, puisque c’est son nom, est plutôt renfermé. Abattu par son nouveau statut d’orphelin, il a, de plus, du quitter la ville dans laquelle il vivait depuis toujours et laisser sur place son meilleur ami, Jemmal.
 Les Kering l’incite à se distraire en se familiarisant avec d'enfants français, mais ils sont racistes et Alain les méprisent. Lors d’une dispute, Abdeslam s’interpose pour venir en aide à Alain.
Les garçons deviennent alors de grands amis et, malgré le jugement désapprobateur des habitants de la ville et des Kering, ils se promènent tous les jours ensemble.
En se tenant par la main.
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Alain l’attend quelques fois devant la mosquée pour le laisser prier. Il en profite une fois pour acheter deux bracelets identiques pour lui et son … petit-ami ? 
Je ne suis pas la seule à en douter, car les Kering désapprouve cette relation, et c’est bien la première fois qu’un personnage admet trouver ces “amitiés” pour le moins ambiguës.
— […] tu t’affiches partout en ville avec ce jeune Arabe dont tu t’es toqué au point que je me demande ce que vous faites ensemble ?
Alain rougit. L’insinuation était tellement basse.
Basse, certes, mais constatez qu’il ne nie pas…
Il part quelque jours avec Abdeslam dans son village natal et rencontre le meilleur ami de ce dernier, mais pendant ce temps, les Kering préparent un mauvais coup. Ils prévoient de congédier Abdou puis de partir en vacance pendant deux semaines, emmenant de force Alain, afin de séparer les deux garçons.
Tout ne se passe pas comme prévu car Abdeslam a un accident et les garçons rentrent d’urgence pour l’interner à l’hôpital. Alain rend tous les jours visite à son ami, mais il découvre le plan de ses tuteurs et n’a pas le courage d’avouer la vérité à Abdeslam car il sait que cette nouvelle lui fera de la peine. 
Pendant ce temps, Madame Kering est toujours aussi désagréable que lucide.
— Les deux garçons s’aiment beaucoup.
— Trop ! ne put s’empêcher de lancer la cousine. Enfin, c’est une autre affaire.
Le docteur Boussard ne releva pas l’allusion.
Moi non plus, mais je n’en pense pas moins.
Un jour, Alain découvre que toutes les valises sont faites et qu’ils doivent partir le jour même. Les Kering avaient menti sur la date de départ pour l’empêcher de dire au revoir à Abdeslam. Le garçon est désespéré. Abdou va croire qu’il l’a abandonné. Il demande à une domestique de bien vouloir apporter une enveloppe à son ami, ce qu’elle accepte, mais ne le fait pas par négligence. 
Abdeslam est malheureux et trahi lorsqu’il comprend qu’on l’a congédié et, pensant qu’Alain l’a oublié, décide de retourner dans son village. Il ne reçoit donc pas la lettre de son ami, expliquant en long en large et en travers à quel point il lui manque.
Tu sais, une idée fantastique m’est venue il y a deux jours. Je ne puis encore t’en parler, car cela dépend d’une réponse que je dois recevoir de France. Qu’il te suffise de savoir que nous ne serions plus séparés, même pendant l’année. Qu’est-ce que tu en penses ? Ne serais-tu pas heureux ?
Je te quitte pour que ma lettre parte tout de suite par le car de Tétouan, et je t’embrasse.
À son retour, Alain comprend que Adbeslam n’a rien su de tout cela. Il est fou d’inquiétude à l’idée qu’Abdou le déteste et il fugue donc pour le retrouver. 
Abdeslam apprend qu’un garçon l’a cherché partout dans son village et se lance à sa recherche. Lorsqu’il le trouve, Alain a été mordu par un serpent. Retour à l’hôpital. Heureusement, il n’est pas en danger de mort et les Kering ont eu tellement peur pour leur pupille qu’ils décident de fermer les yeux sur son “amitié” avec Abdou. 
De plus, Alain a une bonne nouvelle : il a demandé à son notaire la possibilité d’utiliser l’argent que lui ont laissé ses parents pour payer leurs études à tous deux. Abdeslam peut donc devenir médecin comme il l’avait toujours souhaité. 
L’épilogue se passe des années plus tard, alors que deux femmes voient des enfants blonds aux yeux bleus et d’autres à la peau mate jouer ensemble.
— Les Marocains sont les enfants d’Abdeslam Omar Sibar, l’un des meilleurs chirurgiens du Maroc, les autres sont les fils et les filles d’Alain Toussaint, l’ingénieur agronome qui rend fertiles les terres les plus ingrates. Les enfants sont seuls aujourd’hui car leurs parents sont à Tanger. Le docteur les a confiés à un ami de confiance.
Voilà les enfants :
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Et maintenant j’ai une question : comment se fait-il que tous ces enfants aient le même âge ? 
D’une part, il n’est jamais dit explicitement que les deux hommes sont mariés. D’ailleurs, pourquoi les quatre parents auraient du s’absenter en même temps au même endroit, surtout si les deux pères n’ont pas le même travail ? Ça me semble très étrange.
 D’autre part, tous ces enfants ne peuvent pas être de deux femmes différentes seulement.
Alors si j’ai décidé de croire que Abdeslam et Alain ont adopté sept enfants orpelins et vivent en ménage, c’est mon droit.
Pour la défense de l’auteur, c’est les dessins de Pierre Joubert qui m’ont convaincue. Bien joué Pierrot.
Edit : Les seuls livres D’Alain que l’auteur mentionnent sont des signes de piste et du Motherlant. Si c’était pas un signe, ça…
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