#quatre-quarts ballet
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9uatre · 2 years ago
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Just A Corpse第二便、入荷いたしました!
今回はTシャツ、スカ��トが主に入荷となっております。
ご予約くださっておられました皆様へは既に発送完了となっております。
その他ご予約分、当ブティックストック分など全てのアイテムが未だ入荷とはなっておらず、お待たせしており誠に申し訳ございません。
昨今の世界情勢によりかなりの遅延となっております。
何卒ご理解のほどよろしくお願い申し上げます。
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まるでバターのようにとろける・・とはデザイナーのこの生地への表現。
滑らかで上質な素材を求めたどり着いたボタニカルテンセル。
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自然染色家のBrinas Studioの協力を得て花や果物、根っこ、木を使って手染めを施すといった工程・・
想像するだけでもそれは多大な労力を要するはず・・
生地だけでなく染める工程までもエコを貫くという強固な取り組みが、この優しさ溢れるTシャツに込められています。
よく見ると虫たちがちょこんと^^
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こういうさりげないフィニッシングタッチが、ニクイ!
各色お揃いカラーのカシミアレッグウォーマーも第一便にて入荷済み。
ぜひトータルルックで😉
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極上のフレンチチュールで出来た軽やかでエレガントなバレエスカート。(ロング、ショートとございます)
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レギンスやスキニーデニムなどとのレイヤーコーデを楽しみつつ、普段の装いに取り入れワンランク上の着こなしにもぜひ。
デリケートで美しい花の刺繍を施し、さら���水玉チュールを重ね奥行きのある仕上がりに・・。
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JACが採用するスクエアカットのスカートは、この独自のデザインにより裁断の際の廃棄物が出ません。
美しく貴重な生地だからこそ、全てをアイテムにしたい。
そして無駄を出さない。
これぞまさに現代的で一歩先行くバレエスカートの提案。
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☞ Just A Corpseはコチラから
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quatrequartsballetstudio · 8 months ago
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【大切なお知らせ】
スタジオはおかげさまで今年で二十歳になりました🙊
長い方ではスタジオ発足時からずっとという方もおられ、そして週1、2回とコンスタントに通って来てくださる方とはもう家族以上にお会いしているかも・・感慨深いです。 皆さまの温かいお気持ちに支えられ、伸び伸びと一緒にレッスン出来ること、そして素敵なご縁に心より感謝申し上げます🙇🏻‍♀️
今まで分からなかったところ、気にもとめてなかったことなどがクリアになった、というお声もいただくようになりました❣️ こちらからも見ましても、格段に美しくなられている方が殆どでバレエの持つパワーを皆さまからも感じております。
さて。 久しぶりのブログ更新ですが、、今日は各レッスンチケット及び、体験レッスン、入会金を2024年4月1日より改定させていただくというお知らせブログです。
20年前と同じ価格帯でのチケットでこれまで続けて参りましたが(消費税に伴う変動はありましたが・・)、少し現実的な対価へと移行させていただければと思っております。
詳しくは4月以降のスタジオのHPにてご確認くださいませ。
▶︎これまで通り有効期限は設けず、「全て使い切り」というスタンスは変えませんので、ご安心を。(ただしチケットを紛失された場合は無効となりますので各自での管理をお願いいたします。)
▶︎2024年3月31(日)までのご購入・お支払いまで現在の価格でのご案内をしております。
▶︎スタジオにて現金でのお支払いの他、お振り込み、そして4月から *オンライン経由(クレジットカード)でもお支払いいただけるよう設置いたします。 *オンライン決済の場合別途お手数料5%加算となりますので、ご了承くださる方のみ「チケットお渡し前日までに」お申し出及びご利用ください。
3月末までにレッスンのご参加が難しい方でも「チケットを価格改定までに買っておきたい!」という方は、ご連絡くださいましたら事前のお振り込みのご案内も可能ですのでお気軽にスタジオ専用LINEよりメッセージくださいね。
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Rainbow Skirt : DESIGNED BY ALICE
Maison de 9uatreオンラインブティックにてお取り扱い中です🍒
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leblogdemarinaetjeanmarie · 5 years ago
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JEUDI 31 OCTOBRE 2019 (Billet 3/3)
« LES INDES GALANTES »
Opéra-ballet en quatre entrées et un prologue (3h50 avec 1 entracte), donné à l’Opéra Bastille du 26 septembre au 15 octobre 2019
En quelques mots :
Œuvre‑phare du siècle des Lumières, « Les Indes Galantes » (1735) s’apparente à un éblouissant divertissement. Mais le premier opéra‑ballet de Rameau témoigne également du regard ambigu que l’Européen pose sur l’Autre : Turc, Inca, Persan, Sauvage…
Alors qu’en a fait Clément Cogitore, le metteur en scène, de ces « Indes Galantes » ?
Il les a servies aux danseurs de la compagnie Rualité. En lieu et place des ballets, le spectacle propose une avalanche de danses de rue chorégraphiées par Bintou Dembélé dans un écrin baroque.
Les Turcs de Rameau sont transposés chez les migrants, l'eldorado des Incas se trouve dans la réussite médiatique, un manège pour enfants devient une prison... Ce n'est pas très fin mais on a déjà vu pire. Cette production ne sert pas non plus forcément les chanteurs, qui se retrouvent souvent statiques face au public comme dans une version de concert. 
Mais Alarcon est magnifique, tout comme le plateau vocal, et les danseurs tiennent la place avec assurance : ce sont eux les héros, leur corps et gestes mis en avant comme jamais.
Cette mise en scène provoque dans la salle un engouement certain et absolument massif. Imaginez : une standing ovation d’un quart d’heure, avec modification de l’organisation des saluts, comme pour montrer que quelque chose d’inédit se produit entre la salle et le plateau. C’est aussi ça, ce que nous montre cette production mise en scène par des artistes éloignés des codes de l’opéra.
Du Rameau « hors les clous » qui aboutit à des sensations « hors les clous » elles aussi. Et rien que pour ça, ça vaut le coup !
(Source : « francemusique.fr »)
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Bon, les représentations sont terminées mais auriez-vous aimé assister à l’une d’entre elles ?
Regardez l’extrait ci-dessus (il dure un petit peu plus de 5 minutes) et dites-nous si vous vous seriez levés vous aussi pour une standing ovation d’un quart d’heure.
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la-bassijysuis · 7 years ago
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Le Couple détestable (Edward Gorey, Oskar) https://le-tripode.net/livre/edward-gorey/le-couple-detestable L’un des livres les plus célèbres d’Edward Gorey, et l’un des plus polémiques. Au début des années soixante, un couple kidnappe, violente et trucide des enfants non loin de Manchester. Ce fait divers sordide ébranle l’Angleterre et entre dans la mémoire collective du pays sous le nom de Moors Murders. A partir de ce drame, il faudra dix ans à Edward Gorey pour rendre l’histoire de ces deux monstres. En une vingtaine de planches magnifiquement et méticuleusement dessinées à l’encre noire, accompagnées en symétrie parfaite d’une écriture satirique, Gorey réalise un chef-d’oeuvre où l’art devient un moyen de dépasser l’horreur. L’Auteur Edward Gorey (1925 -2000) est un dessinateur singulier. Ne nous attardons pas sur sa vie sentimentale ou le nombre de ses bagues, et retenons l’essentiel. Certains se souviennent de lui comme de l’étrange individu, portant jeans et manteau de fourrure, qui assista pendant un quart de siècle à toutes les représentations du New York City Ballet. D’autres savent que sa belle-mère chantait la Marseillaise dans le film Casablanca ou qu’il vivait avec en moyenne sept chats dans un petit appartement new-yorkais. Les plus érudits le connaissent pour son générique de la série Mystery !, les plus âgés se rappellent son décor renversant pour le Draculadonné à Broadway en 1977. Le plus étonnant, c’est le nombre d’Américains qui ont eu, un jour ou l’autre, un livre d’Edward Gorey entre les mains. Extravagantes, inclassables, souvent d’inspiration surréaliste, toujours brèves et délicieuses à parcourir, ces œuvres farfelues font la joie des amateurs de livres décalés. Les recueils de Gorey sont aujourd’hui rassemblés dans des anthologies. Sa maison de campagne — Elephant House — a été transformée en musée. Plusieurs essais explorent son univers. Tim Burton le revendique comme maître. La méconnaissance de cet auteur en France est d’autant plus étonnante... Quelques pensées d’Edward Gorey "Parfois, je me dis que ma vie aurait été complètement différente si j’avais appris à dessiner." "Disons que les choses auxquelles je m’intéresse sont par essence paresseuses." "En y réfléchissant, j’ai assassiné des enfants dans mes livres pendant des années." "Ma mère a eu une attaque vers quatre-vingts ans et son caractère en fut entièrement changé. Tout ce qui en elle relevait d’un amour hypocrite pour l’espèce humaine disparut." " Il est probable que je vais davantage intéresser quelqu’un qui a grandi dans une ville que quelqu’un qui a grandi dans une ferme du Dakota du Nord, bien que vous trouviez des gens effroyablement décadents dans les fermes du Dakota du Nord." "J’ai beaucoup d’affection pour la série Buffy et les vampires, je la recommande fortement à tout le monde." "Dans mon espèce, je suis le seul." Le Traducteur Oskar est une personne très discrète, née de la rencontre d’une femme presque italienne et d’un homme presque belge.
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idealconservateur · 5 years ago
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Maurice BEJART
Journal intime autographe
1969, 16,8x21,6cm, carnet en spirales.
Journal intime autographe de Maurice Béjart écrit sur un agenda de l'année 1969 célébrant le centenaire de la naissance de Mahatma Gandhi.
52 feuillets autographes, rédigés aux stylos rouge et bleu dans un cahier à spirales. Ce journal figure parmi les très rares manuscrits de Béjart en mains privées, les archives du chorégraphe étant partagées entre sa maison bruxelloise, la fondation Béjart de Lausanne et le Théâtre Royal de la Monnaie.
Journal du chorégraphe Maurice Béjart, écrit durant l'année 1969. Rarissime collection de pensées, d'interrogations, d'introspections sous le prisme de l'hindouisme et de la sagesse bouddhique, que Béjart adopte à la suite d'un premier voyage en Inde en 1967.
Le journal constitue un témoignage emblématique de l'époque indo-hippie des années 1960, renaissance spirituelle et artistique qui inspira au chorégraphe de nombreux ballets (Messe pour le temps présent, Bhakti, Les Vainqueurs).
Une sélection de ce journal fut publiée par Maurice Béjart dans le second tome de ses mémoires (La Vie de Qui ? Flammarion, 1996).
Durant l'année 1969, Béjart prend quotidiennement des notes dans un agenda publié à la mémoire de Mahatma Gandhi. Fasciné par le mysticisme hindou depuis un voyage en Inde en 1967, il remplit ce journal spirituel de nombreux mantras et prières (« Krishna guide mon char, la lumière est au bout du chemin. OM » ; « Le Bouddha est partout présent » ; « Laisser Dieu entrer, mais comment ouvrir la porte ? ») et invoque tant les divinités hindoues que les Bodhisattvas Mañjuśrī et Tārā – figures apaisantes du panthéon bouddhique. La « période indienne » de Béjart fut particulièrement riche en chefs-d'œuvre chorégraphiques, dont on suit la progression dans son journal (Baudelaire en début d'année, la création des Vainqueurs à Bruxelles et des Quatre fils Amon à Avignon, ainsi que le tournage et la projection de son ballet indien Bhakti). à la croisée du New Age et du mouvement hippie, la « conversion » de Béjart est symptomatique d'une époque en refus du progrès et en soif de spiritualité : « Calcutta n'est pas l'Inde mais notre visage occidental. Ce n'est pas la religion ni la pensée traditionnelle qui est coupable mais le capitalisme. L'Inde pays riche avant la colonisation ». La visite des Beatles dans l'āshram du guru Maharishi et le concert de Ravi Shankar à Woodstock en 1969 marquèrent le début d'une véritable passion occidentale pour la musique et la culture indiennes, qui fut déterminante dans les ballets de Béjart à cette époque.
L'Inde s'offre également aux yeux de Béjart comme un lieu où l'art et les traditions ancestrales n'ont pas subi les perversions du positivisme. Il cherchera dans ses créations à exprimer l'esprit d'une culture qui unit intimement le corps et l'esprit, et dans laquelle la danse joue un rôle cosmique et spirituel majeur. Les
syst��mes de danse indienne et les chants védiques découverts grâce à l'orientaliste Alain Daniélou furent insérés dans ses ballets – en 1968, il ouvre la Messe du temps présent par un long solo de vînâ qui dura quinze minutes : « Béjart est dans son quart d'heure hindou. Et là-bas, les quarts d'heure hindous, ça peut durer des heures... » commenta Jean Vilar, directeur du festival d'Avignon. Un vent de mode indienne passera également dans les costumes de la troupe du Ballet du XX
ème
siècle : larges pantalons de soie, tuniques, bijoux et yeux orientaux. Dans le journal, Béjart affirme qu'il n'y a « pas de vérité sans yoga », un art découvert auprès d'un maître indien que l'on trouve dans nombre de ses ballets sous la forme d'exercices de danse à la barre. Il décide également de faire de Bhakti « un acte de Foi » en filmant lui-même la chorégraphie du ballet, et prépare pendant l'été les Vainqueurs, une rencontre insolite entre Wagner et les ragas traditionnels indiens.
Au-delà de l'artiste prolifique, on découvre aussi dans le journal la personnalité troublée du chorégraphe, en proie au doute et à la mélancolie : « état vague d'apesanteur physique et de vide moral. Léthargie ou paresse. Faiblesse. Vertige. Torpeur. Inconscience ». Malgré les succès, Béjart tentera d'apaiser son état fragile par la méditation et l'enseignement de prophètes et brahmanes indiens, qu'on rencontre au fil des pages du journal (Ramana Maharshi, Swami Ramdas, le Dalaï-Lama, Apollonios de Tyane). Ses amours parfois contrariées avec son danseur fétiche Jorge Donn l'accaparent et le plongent dans l'angoisse – à la veille de la première des Vainqueurs, il écrit « Avant-générale. Chaos. [Jorge] Donn parti. Tara absente. Moi perdu. ». Déchiré entre la jouissance et la maîtrise de soi, il voyage à rythme effréné avec sa troupe du Ballet du XX
ème
siècle, d'abord aux Pays-Bas puis en Italie à Milan, Turin et Venise : « Je quitte Venise complètement asservi à la paresse au sexe et à la facilité et pourtant étrange bien-être de la brute qui a bu et baisé ». Pourtant, ces moments heureux ne parviennent pas à satisfaire Béjart, pour qui la « Joie a un arrière-goût de mort » malgré la « vie de travail et de discipline » qu'il s'impose durant cette année riche en créations. à la fin de sa vie, Béjart reviendra avec humour sur ses frasques indiennes et le ton résolument sombre de son journal : « Je ne peux pas m'empêcher de rire de cet idiot qui pleure et qui geint, alors qu'il créait des ballets en grand nombre [...] Quand je pense qu'à la fin de ce journal de 1969 je songeais résolument à la retraite ! ».
Rarissime document retraçant la rencontre entre l'Orient et l'Occident dans la vie intime et l'œuvre chorégraphique de Maurice Béjart. Ce journal incarne une époque de contre-culture et de syncrétisme culturel qui marqua durablement le ballet d'avant-garde européen.
Provenance : archives personnelles de Maurice Béjart.
https://www.edition-originale.com/fr/beaux-arts/editions-originales/bejart-journal-intime-autographe-1969-65528?
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akpdancehistory-blog · 6 years ago
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Pas de Quatre: The Ballerina Rivalry
This week we talked more in depth about ballet. We did an exercise where Jenn gave us a fake article title, and had us discuss how we’d approach writing it. Our article title was Pas de Quatre: The Ballerina Rivalry. 
My group did some research and found a lot of articles about the rivalry between 4 ballerinas in the romantic era in which the first Pas de Quatre was set on. We also found information on how ballet is a battle between yourself and your body, as well as other dancers for select roles. 
So, if I were to write this article I’d start with the nature of ballet and how competitive charachteristics turn unhealthy within the field. How ballet itself is a rivalry of your body against itself. “agonizingly counts the seconds as she struggles to keep her leg, her limbs, her will aloft.” Next, I’d move to pas de quatre definition/purpose/execution. It is an advertisement set on four dancer, which emphasizes the strengths of the four competing with each other within the piece. I’d also go into the rivalry of the 4 ballerinas in the romantic period. It appeared to be a respectful rivalry, that recognizing each others strengths.The original Pas de Quarte was choreographed by Jules Perrot on dancers; Taglioni, Grahn, Cerrito, and Grisi. He showed their strengths compared to eachother, played on their rivalry to be the best. Their were only 6 performances. To finish up the article, I’d talk about replications that followed: with the same principle of “rivalry” but within different plots and works because this idea is just a divertissement and can be applied to many different plots.
Tune in next week for (probably) more ballet.
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atelier-da · 7 years ago
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こんにちは。atelier douceです。 朝晩気温が下がって体調など 崩されていませんか。 体調を崩されている方チラホラと聞きます… アロマは香るもの! と思われてる方も多いのでは? 実は感染予防に役立てる精油もあるのです。 抗菌、抗真菌、抗ウィルス作用をもつ 精油があります。 ティートゥリー、ユーカリ.ラディアタ、 オレガノ、バジルなどなど。 いい香りで予防できちゃうので、 一石二鳥ですね^ ^ さてさて、 お気に入りの香りでロールオンアロマ♡ 作りませんか。 指先の乾燥してるところにも コロコロと。 気分をリフレッシュするために 手首にコロコロと。 化粧ポーチにも入るので いつでもどこでも使えちゃいます! 先日、ロールオンアロマをお友達に こっそりプレゼントしたのですが 喜んでもらえたかな? 香りは好みがあるので 気に入ってもらえるかな?とか 思いながらブレンドしました。 気に入ってくれたらいいのですが。 いつも頑張ってる彼女。 たまには香りで癒されてほしいです♪ そんな思いで こっそりプレゼントしました(*^^*) 彼女は広島でバレエスタジオの先生と 海外の素敵なバレエウ���アやグッズなどを 探されて Webstoreもされています! ↓ quatre-quarts ballet company 彼女との出会いは… もう何年前?? 彼女とはあるプロジェクトで ご一緒させていただきました^ ^ いろいろ話をしてたな〜。 その頃から何かできないかなと思ってて、 そんなこんなを 聞いてもらってたかな笑 またいろいろ話をしたいですね(o^^o) ロールオンアロマ、 作ってみたいなと思われた方は お気軽にご連絡くださいね^_^
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joaquimblog · 8 years ago
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La donzella de neu a la ONP Fotografia de Sebastien Mathe_onp
La donzella de neu a la ONP, producció de Dmitri Tcherniakov
La donzella de neu, producció de Dmitri Tcherniakov, fotografia ©-Elisa-Haberer
Un teatre imponent i de primera categoria fa coses imponents i d’excel·lent i primera categoria. L’Opéra National de París ha programat en la temporada 2016/2017 la bellíssima òpera de Nikolai Rimski-Kósakov “La donzella de neu“.
Es tracta de la tercera de les quinze òperes que va composar el compositor rus i segons diuen, l’òpera que més estimava del seu opus, un opus farcit d’obres imprescindibles que ens hem hagut d’acostumar a prescindir-ne degut a la miopia dels programadors que insisteixen en el de sempre amb l’intent de mantenir als de sempre abonats com sempre.
A París han triat un tàndem rus per dirigir una companyia quasi exclusivament russa, garantint d’aquesta manera una idoneïtat  idiomàtica i una adequació estilística que si més no atorgui autenticitat. El resultat com no podia ser d’altra manera, és un estímul cultural d’altíssim valor i un orgull per a la institució que la programa i ofereix al seu públic, per l’obra i per la manera de donar-la a conèixer.
Potser a la direcció de Mikhail Tatarnikov no tingui la grandesa que de ben segur li atorgarien Gergiev, Petrenko o Jurowski, però hi ha una bona paleta de colors en la sonoritat que l’exuberant orquestració demana i ell tot i que el discurs es torna feixuc en més d’una ocasió, dóna notorietat als grans i nombroses conjunts amb un Cor en estat de gràcia que enlluerna per la sonoritat i cohesió, en una temporada que la programació l’ha posat al límit, sabent superar tots els reptes amb una nota excel·lent.
L’extens equip vocal està encapçalat per la dolcíssima Snegúrotxka de l’emergent Aida Garifullina en la millor prestació que li he escoltat fins ara. Una veu bonica, gens forçada, d’emissió fàcil i sobretot amb una aura encisadora, té àngel.
El contratenor Yuriy Mynenko és la segona vegada, que jo sàpiga, que assumeix el rol de mezzosoprano en un rol transvestit de l’òpera russa, va ser Ratmir al Ruslanf et Ludmyla a Moscou també sota la direcció de Dmitri Tcherniakov i ara és el desitjat Lel. Canta admirablement i la veu és dolcíssima, però escènicament no és del tot creïble, hi ha una dissonància entre el físic i el cant i la interpretació que costa de superar, però és innegable que l’aposta per a un contratenor (altres vegades ho ha fet un tenor) l’apropa més a la vocalitat original.
Martina Serafin tampoc dóna el físic idoni a la jove Kupava, però vocalment està molt més convincent que en les incursions en els exigents i poc apropiats rols de soprano dramàtica verdiana que han malgastat la seva sumptuosa veu. Aquí està esplendorosa i passional.
Qui havia de ser l’original holandès liceista, el baríton Thomas Johannes Mayer es fa càrrec del rol de Mizguir amb contundència vocal i escènica. mentre que el tenor Maxim Paster tot i complir vocalment amb el rol, no dóna credibilitat escènica al Tsar Berendeï, és clar que la credibilitat escènica en els muntatges de Tcherniakov aviat salta pels aires  gràcies a la fascinant i trencadora dramatúrgia.
No m’han convençut gaire La fada primavera d’Elena Manistina i el rei de glaç de Vladimir Ognovenko, ja una mica gastat per esdevenir creïble en un rol que encara ha de mostrar autoritat, té un gran ofici i moltes taules escèniques però la veu mana. Franz Hawlata possiblement tampoc sigui el millor baix per atorga grandesa a Bobyl Bakula.
El conjunt funciona esplèndidament perquè al darrera també hi ha una gran producció escènica amb el segell inconfusible de Dmitri Tcherniakov, que quan es posa a dirigir òperes russes mai defrauda, i si en el Kitej ens va enlluernar, com també ho va fer en els muntatges de La núvia del Tsar a Berlín, El príncep Igor a Àmsterdam i el MET, Ruslan i Ludmila a Moscou crea una fascinació dramàtica i escènica absolutament genial, molt lluny de les fallides aproximacions verdianes.
Dmitri Tcherniakov recrea un món possible, molt contemporani de la Rùssia actual i que per tant segurament un rus identificaria molt millor que nosaltres, per a un conte inicialment fantàstic i d’arrels molt populars. Hi ha una barreja de vestuari que ja no ens hauria de sorprendre, i sobretot hi ha una escenografia imponent per recrear aquesta comunitat neo-rural on el conte de Snegúrotxka intenta, no sempre de manera convincent però finalment poc discutible  gràcies a un quart acte d’absolut somni, màgic i altament poètic, convencer de les bondats d’aquesta història que enfronta a déus, semi-déus i humans, de manera ben diferent però altament influenciada per el món wagnerià.
En el pròleg assistim a un classe de dansa a una escola, on la mare de  Snegúrotxka no és la fada primavera sinó una professora de ballet, mentre que en els quatre actes successius l’acció transcorre en un frondós bosc,  de impactant realisme quan convé.
SINOPSI
Filla del rei Glaç i de la fada Primavera, Snegúrotxka, la donzella de neu, té el cor de neu, que el sol no pot fondre-li. Un dia, des del fons del bosc on viu, sent els cants de Lel, el pastor. Encisada per aquella veu i pel que canta, Snegúrotxka demana als seus pares anar a viure entre els homes. Un cop allà, l’adopten una parella de pagesos i la noia comença a viure com ells. En una ocasió en què escoltava les cançons de Lel, el pastor li demana un petó en paga, però ella li dóna només una flor. Aleshores Lel fuig amb tot d’altres noies que el reclamen. Snegúrotxka és consolada per Kupava, la noia que està a punt de casar-se amb el pastor Mizguir. Però quan apareix aquest darrer, resulta que s’enamora perdudament de Snegúrotxka.
Llavors l’abandonada Kupava recorre a la justícia del bon tsar Berendei, que és festejat pels seus músics i cortesans (que es queixen del fred que no s’atura). El tsar ordena la preparació d’una gran cerimònia nupcial i ofereix un premi a qui sigui capaç d’enamorar Snegúrotxka, sabedor que el fred no cessarà fins que el cor de neu de la noia s’arribi a fondre. Durant la festa, Lel torna a cantar i en acabat li és concedit com a premi un petó de la noia que ell esculli. Però Lel tria Kupava, contra les esperances de Snegúrotxka.
Aleshores, la noia de neu reclama l’ajuda de la seva mare, que finalment li concedeix el do d’estimar qui l’estimi. Snegúrotxka dóna el seu amor a Mizguir, però això no fa sinó que la noia acabi fonent-se finalment, escalfada pel sol de l’amor. Mentre Mizguir es llança al riu, desesperat, el tsar i tota la seva cort celebren amb una gran festa la tornada del sol
Nikolái Rimski-Kórsakov Снегурочка–Весенняя сказка o Snegúrochka–Vesénnyaya Skazka LA DONZELLA DE NEU (1873) Òpera en un pròleg i 4 actes amb llibret del compositor basat en l’obra d’Aleksandr Ostrovski
Snegourotchka (La donzella de neu), Aida Garifullina Lel, Yuriy Mynenko Kupava, Martina Serafin El Tsar Berendeï, Maxim Paster Mizguir, Thomas Johannes Mayer La fada primavera, Elena Manistina El rei de glaç, Vladimir Ognovenko Bermiata, Franz Hawlata Bobyl Bakula, Vasily Gorshkov Bobylicka, Carole Wilson L’Esperit dels boscos, Vasily Efimov Primer herald, Vincent Morell Segon herald, Pierpaolo Palloni Un patge, Olga Oussova
Orchestre et Choeurs de l’Opéra national de Paris La Maîtrise des Hauts-de-Seine Director del cor: José Luis Basso Director musical: Mikhail Tatarnikov
Director d’escena: Dmitri Tcherniakov Escenografia, Dmitri Tcherniako Disseny de vestuari, Elena Zaitseva Disseny de llums, Gleb Filshtinsky Vídeo, Tieni Burkhalter
La Bastille, París 25 d’abril de 2017
Aquest streaming que ens va proposar el Canal Arte és una de les coses més belles, estimulants i gratificants de la temporada i no cal dir que després del que us vaig explicar ahir aquí, encara més. Els incondicionals del Kitej per suposat, però tota la resta també, no us ho podeu perdre.
ONP 2016/2017: LA DONZELLA DE NEU DE RIMSKY-KÓRSAKOV (Garifullina-Serafin-Manistina-Paster-Mayer-Mynenko;Tcherniakov-Tatarnikov) Un teatre imponent i de primera categoria fa coses imponents i d'excel·lent i primera categoria. L'Opéra National de París…
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MONACO MUSIC FORUM OU LES CORPS ET LES SONS EN MOUVEMENT
Monaco Music Forum, dimanche 2 avril, présenta dix concerts et spectacles à  l’Auditorium Rainier III à Monte-Carlo. Cette Journée consacrée à l’art contemporain comprenait de la musique et de la danse. Et des moments exceptionnels.
Monaco Music Forum : un plateau impressionnant
Monaco Music Forum se pose comme un moment incontournable pour entendre et voir l’expression artistique contemporaine. Un nombre impressionnant de compositeur sont présents pendant cet après-midi : Luc Ferrari, Francesco Filidei, Sofia Goubaïdoulina, Régis Campo, Franck Bedrossian, Klaus Huber, Ramon Lazkano, Yoshihisa Taïra, Miroslav Srnka, Henry Cowell, Gilbert Amy et George Antheil. Et pour la danse, Léa Montravers, performance, et l’École Supérieure de Danse de Cannes Mougins Rosella Hightower présentée par le Cannes Jeune Ballet. Mais sans oublier les interprètes : l’Orchestre Philharmonique de Nice sous la direction de Pierre-André Valade, le flûtiste Mario Caroli, l’accordéoniste Jean-Etienne Sotty, Thierry Miroglio, percussions et Wilhem Latchoumia, pianiste.
Monaco Music Forum : une programmation riche et variée
Les œuvres présentées comptent trois créations mondiales commandées par le Festival du Printemps des Arts de Monte-Carlo, Sull’essere angeli de Francesco Filidei, Hondar de Ramon Lazkano et move 03 de Miroslav Srnka. Celles-ci furent jouées en présence des compositeurs. A cela s’ajoute quatre compositions de quatre compositeurs différents pour accordéon seul. Et trois compositeurs pour piano solo et un pour percussion. Sans oublier l’œuvre récente pour le ballet du Cannes Jeune Ballet de Nice. En tout ce sont quinze œuvres données pendant dix concerts. Une journée bien remplie…
Monaco Music Forum : commence par un tunnel…
Sous le Tunnel Louis II, là où passent les voitures du Grand Prix F1, commence « Corps et sons en mouvement ».
Ouverture : Performance à cheval
Arrive un cheval monté par Léa Montravers. La tête en feu elle longe les spectateurs. Droit sur son cheval, sans broncher, elle crache des flammes. L’artiste présente cette performance « comme préparant le public à une entrée dans un monde parallèle emprunt de sensibilité artistique. Ce ne sont là que les prémices de la découverte... ».
Danse (création) : Luc Ferrari, The chosen one
(Danse, de Anja Berhend – © Alain Hanel)
Toujours sous le tunnel, suit un ballet Danse, dont la chorégraphie est de Anja Berhend et la musique, The chosen one de Luc Ferrari. Celle-ci est une des sources d’inspiration du ballet. L’autre est cette proximité avec l’eau, en plein jour et dans un espace ouvert. Pour la chorégraphe, la musique renvoie à la turbulence de la nature et ses destructions. Elle lui rappelle le célèbre ballet du Sacre du Printemps dont elle fut danseuse dans les deux versions, celle de John Meier avec le Ballet de Hambourg et celle de Béjart avec les Ballets de Monte-Carlo. S’il y eut quelques hésitations chez les jeunes danseurs du Cannes Jeune Ballet, dut à leur jeune âge, l’ensemble a fait preuve d’un très grand esprit collectif. Ils ont tous, à leur niveau, démontré que la puissance et la souplesse est le fruit d’un travail personnel. Dans ce corps de ballet, il se trouve, à n’en pas douter, de futures étoiles.
Monaco Music Forum se poursuit dans l’Auditorium Rainier III
Orchestre : Francesco Filidei, Sull’essere angeli
(Sull’essere angeli de Francesco Filidei, à gauche, Mario Caroli, flûtiste, au centre, et Pierre-André Valade, à droite, direction de l’Orchestre Philharmonique de Nice – © Alain Hanel)
Dans la salle Kreizberg a lieu la première mondiale de cette pièce commandée par le Festival du Printemps des Arts de Monte-Carlo. Une réussite exceptionnelle tant sur le plan de l’écriture que de l’exécution. Le point d’orgue de la journée. L’Orchestre Philharmonique de Nice sous la baguette de Pierre-André Valade a su entendre la partition. Il devient magistralement enveloppant, épousant le jeu de la flûte. Mario Caroli, flûtiste, nous fait entrer dans un monologue quasi transcendantal. L’instrument entre ses mains devient chant et déploie pendant trente minutes une longue mélodie affinée par l’utilisation de quarts de ton. Mario Caroli le dit clairement :  » ce n’est pas la difficulté technique des notes qui s’impose mais cette concentration sur une seule ligne. La pièce dure très longtemps, trente minutes. Mais si je joue cette oeuvre, c’est qu’il existe une empathie entre elle et moi « . Le sous-titre dit bien son contenu et par là sa difficulté : Dédicace à la mémoire d’un autre ange. En effet, Francesco Filidei avoue sa fascination, en aucun cas morbide, pour le destin d’une photographe américaine morte à l’âge de 22 ans. Francesca Woodman (1958-1981) se défenestra de son appartement new-yorkais, incapable de circonvenir sa mélancolie. Ici se situe l’impressionnant sentiment qui étreint l’auditeur. Il est pris dans sa raison comme dans ses sens. L’entièreté de sa personne se trouve déplacé par le jeu du flûtiste et de l’orchestre. Nous pénétrons un monde où le son de l’instrument se transforme en une mise à nu. Francesco Filidei a beau dire « je ne peux plus regarder que du côté de l’ombre« , celle-ci donne une richesse de coloris et de formes, lourde de présence. Cette richesse devient consubstantielle à tout voyageur épris d’art. La musique de Francesco Filidei est pour nous la quintessence de la musique contemporaine. Car elle nous amène dans des espaces insoupçonnés, des sons rares, grâce à une écriture pleine de finesse, de subtilité, d’esprit. Mais aussi sans tapage ni provocation exhibitionniste. Où dit autrement, elle a ce pouvoir très rare de rendre l’Homme qui l’écoute plus Homme encore. Instant d’une beauté mystique.
Pole dance contemporain : Sofia Goubaïdoulina, De profundis
Crée en 1980 à Moscou, l’œuvre est composée pour bayan solo. Jean-Etienne Sotty, accordéoniste, s’est montré particulièrement inspiré dans l’interprétation d’une partition devenu emblématique de l’accordéon moderne. On y trouve l’opposition chère à l’auteur entre ténèbres et lumières. Elle s’exprime par la confrontation du diatonisme et des accords parfaits. Et tout autant du chromatisme et des dissonances. Fait de nuances malgré certains accords d’oppositions le jeu de l’interprète nous ouvre un vaste horizon grâce à une palette expressive. La performatrice Léa Montravers accompagnait le jeu de l’accordéon. Au début proche de la pole-danse, les mouvements se dégageaient petit à petit de la simple verticalité pour se mouvoir à l’horizontal. Et revenir à la verticalité, début d’une montée spirituelle.
Accordéon : Régis Campo, La Follia (extrait du Livre de Sonates), Franck Bedrossian, Bossa Nova, Klaus Huber, Winter Seeds (extraits)
Jean-Etienne Sotty joue seul les trois pièces très courtes, respectivement 2’30 », 7′ et 5′. Dans ces œuvres contemporaines, l’accordéon donne des fragments diatoniques, des tremblés ou simule des sons affectés par un traitement électronique. Mais d’autres formes sont exploitées. Frottement des pieds de l’interprète, voix parlé-rythmé, l’ensemble produit de savoureux effets de consonances et dissonances mêlées. Il faut avoir une grande maîtrise de son art pour maintenir l’attention. Jean-Etienne Sotty tire dans tous les sens son instrument à la limite de lui faire rendre l’âme. Et nous sommes entraînés vers des rivages étranges, poétiques.
Orchestre : Ramon Lazkano, Hondar
(Ramon Lazkano © Tina Merandon)
Retour à la salle Kreizberg pour entendre la deuxième création mondiale et commande du Festival du Printemps des Arts de Monte-Carlo, Hondar de Ramon Lazkano. Le sable, dont il s’agit, vient de loin dans le temps et son écoulement est sa mesure. Basque d’origine, l’auteur exprime une souffrance extérieure. Il pense pouvoir la calmer par une mission dont il se sent habiter : détruire pour reconstruire en association avec les autres arts basques. D’une écriture en micro-intervalle, la partition permet à chacun d’entrer dans une écoute et une concentration toute en finesse. Comme le sable, Hondar. Conduit par Pierre-André Valade, l’Orchestre Philharmonique de Nice a su rendre avec minutie ces espaces temps propices à la méditation.
Performance avec le feu : Yoshihisa Taïra, Monodrame I
(Léa Montravers © Alain Hanel)
Au Troparium de l’Auditorium Rainier III, Thierry Miroglio, percussions, et Léa Montravers, performance, s’exprimèrent, chacun avec ses moyens. Pour l’un, c’est un ensemble d’objets composant son instrumentarium : cloche de vache, blocs et plaques de bois, gongs, cymbale suspendue, rins (bols bouddhiques japonais), carillons, toms, congas, bongos et timbales. Mais tous sont utilisés de manière traditionnelle. Le jeu demande un agencement de gestes simples et puissants, chargés d’un hiératisme de rituel japonais. Composé de brèves sections improvisées d’après un matériau donné, le son laisse au temps de s’épanouir, voir de s’évanouir. Léa Montravers ressent dans les sonorités qui lui rappelle le théâtre No la possibilité de guider son corps. Le flux ondulatoire du feu amène celui-ci au stade primitif de l’expression. Cette interaction entre la musique exécuté par Thierry Miroglio et la danse par Léa Montravers nous fait passer par diverses épreuves. De la régression à l’exaltation. De l’humain à l’humain senti. Brutal, sophistiqué, brut et harmonieux. Saisissant.
(Thierry Miroglio)
Orchestre : Miroslav Srnka, move 3
(Miroslav Srnka © Vojtech Havlik)
Retour pour la dernière fois à la salle Kreizberg. Nous écoutons la troisième création mondiale et commande du Festival du Printemps des Arts de Monte-carlo : move 3 de Miroslav Srnka. Elle s’inscrit dans une série inspirée de l’idée de mouvement. Cette sensation est donnée par l’interaction foisonnante et coordonnées de multiples flux. Le compositeur s’en sert comme un peintre utilise les couleurs de sa palette pour donner à sa toile un ensemble de vibrations construit. Comme le dit Pierre Rigaudière «  par la mise en relation complexe d’éléments sinon simples, du moins identifiables, le compositeur crée une complexité perceptible qui, loin de saturer – et donc neutraliser – l’écoute, la stimule ». L’œuvre demande, en effet, une écoute attentive tant la division des cordes rend une certaine « fibrosité ». Les attaques sont estompées sans être pour cela absorbées. Là, il faut signaler la qualité du jeu de l’Orchestre Philharmonique de Nice, sous la direction de Pierre-André Valade, qui rend toute la subtilité de la partition. Cela est d’autant plus exceptionnel qu’il joua les trois créations mondiales en trois fois. Et, ceci ajoute à la difficulté, avec des entractes d’une longueur supérieure au temps d’exécution.
Piano : Henry Cowell, The Banshee, The Aeolien Harp, First Irish Legend, Gilbert Amy, Oblique II : le récit, George Antheil, Jazz Sonata, Henry Cowell, The Fairy Bells
(Wilhem Latchoumia © Alain Hanel)
Dernier concert dans l’Auditorium Rainier III. Wilhem Latchoumia au piano commence le premier morceau en activant la vibration des cordes avec les mains. Nous avons déjà rencontrés cette approche chez George Crumb, le compositeur, pendant le « Voyage Surprise » de cette année. Dans le deuxième, une main appuie silencieusement sur les touches tandis que l’autre gratte ou pince les cordes. L’intérêt de ces œuvres se situe pour le pianiste dans la « variété de produire des sonorités nouvelles ». Pour Jazz Sonata de Georg Antheil, Wilhem Latchoumia montre sa virtuosité dans l’enchaînement de trois ou quatre mouvements en deux minutes. Les interprétations magistrales ont convaincues le public.
Monaco Music Forum : un concentré d’art
En cinq heures un nombre impressionnant de compositeurs, d’artistes et d’interprètes dévoilent les richesses de la création contemporaine. Comme un alchimiste Marc Monnet a su associer les divers concerts et représentations pour rendre attentif et intéressé le public. Des instants exceptionnels ont fait sailli, comme par exemple, Sull’essere angeli de Francesco Filidei avec le flûtiste Mario Caroli. Une journée qui restera en mémoire.
Pour plus d’informations sur les compositeurs et les œuvres : FESTIVAL DU PRINTEMPS DES ARTS DE MONTE-CARLO
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9uatre · 2 years ago
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下のお写真はボリショイのプリマ、エフゲーニャ・オブラスツォーワ(Evgenia Obraztsova)さんの着こなし。(着用のレオタードはまた別のセットでも登場しています!)
見えるかしら・・?足捌きも良くなるようにサイドスリット入り。
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9uatre · 2 years ago
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バレエ団によって様々な演出がされたりしますが、
どこのを観ても楽しくワクワク、童心に返ります😉
特にボストンバレエの熊さん🧸が出て来ると、毎度テンションが上がります😅
動画では2分過ぎたあたりから登場しますよ。
この熊さん、やはり人気者のようで、クリスマスシーズンのプロモーションには必ずナビゲーターとしてSNSなどにも登場!
今年も���速ボストンバレエのインスタグラムで��ケット購入の様子がアップされていました😉
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いつかこの熊さんの舞台をボストンで観たい!!
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9uatre · 1 year ago
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9uatre · 1 year ago
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9uatre · 1 year ago
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9uatre · 1 year ago
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9uatre · 2 years ago
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