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NYC
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"...Thor can't be the prettiest girl in Brooklyn. I'M in Brooklyn."
@stripesofbrooklyn
"I didn't enter this contest, Steve."
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NUEVA YORK, DESCUBRIENDO LA GRAN URBE; Por Rosana Saburo
Nueva York fue la puerta de entrada a la segunda visita a Estados Unidos, una gran urbe, conocida, famosa, muy filmada, con grandes símbolos, la ciudad que se reinventa para continuar siendo la más diferente. Uno de sus símbolos es La Estatua de la Libertad, ubicada en La Isla de la Libertad, Liberty Island, su silueta desde el ferry gratuito que une Manhattan y Staten Island era grandiosa,…
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#11S#Cental Park#estatua de la libertad#Gilder Center#Grand Central#Liberty island#Manhattan#Museo de Historia Natural.American Museum of Natural History#New Jersey#New York#Nueva York#Oculus#Puente de Brooklyn#rascacielos#Times square
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Había una heladería en mi ciudad que no era muy buena, la verdad era bastante mala. Pero el recuerdo que tengo de esa heladería era que tenía unos mosaicos verdes, unos azulejos bastante elegantes, y un precioso cuadro de Nueva York de noche con las Torres Gemelas aún ahí, mirando al puente de Brooklyn. Recuerdo que habían pasado pocos años de 2001 (la heladería, era, evidentemente más vieja) y mientras mi viejo y mí primo encargaban el helado y yo me quedaba esperando ahí en el aire acondicionado (todavía medio un lujo en el interior argentino de la época) me quedaba mirando ese cuadro.
Había algo, y nunca supe si eran las cámaras o las luces, con las fotos nocturnas de las ciudades en aquella época, especialmente Nueva York. Yo estoy seguro. Porque nunca era una luz blanca brillante como los LEDs de ahora, ni tampoco la luz cálida de los focos de aquel entonces. Era como un verde amarillo cálido y un poco distorsionado, una luz de ciudad que nunca supe bien que era, pero si querés verla, está en ese pequeño intervalo de tiempo donde había fotos a color pero aún no digitales, una especie de década perdida entre los 1970 y 1980, que nunca existió. Un tiempo un poco raro de describir, porque yo no lo viví, pero me crié en él, con fotos del Concorde y de las Torres Gemelas, de Buenos Aires con autos viejos y de una China donde todos andaban en bicicleta, de tocadiscos y videocaseteras.
Si buscas un poco en internet, vas a encontrar exactamente el cuadro que describí. Esa heladería ya no existe más, y menos mal porque era espantosa. Esa Nueva York tampoco existe más. Esa ciudad en algún lugar del norte de Argentina tampoco. Y ese tiempo nunca lo viví. Lo conozco por fotos nomás.
#cosas mias#todos los lugares de mi infancia cambiaron para ser irreconocibles#jajaja y ustedes que tal el domingo
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Erich Hartmann - Hombre fumando en las calles bajo el puente de Brooklyn, Nueva York, 1955 Magnum Photos
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LÉGENDES DU JAZZ
HAMIET BLUIETT, LE PLUS MODERNE DES SAXOPHONISTES BARYTON
“Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
- Hamiet Bluiett
Né le 6 septembre 1940 au nord de East St. Louis à Brooklyn, dans les Illinois, Hamiet Ashford Bluiett Jr. était le fils d’Hamiet Bluiett Sr. et de Deborah Dixon. Aussi connu sous le surnom de Lovejoy, le quartier de East St. Louis était majoritairement peuplé d’Afro-Américains. Fondé pour servir de refuge aux anciens esclaves affranchis dans les années 1830, le village était devenu plus tard la première ville américaine majoritairement peuplée de gens de couleur.
Bluiett avait d’abord appris à jouer du piano à l’âge de quatre ans avec sa tante qui était directrice de chorale. Il était passé à la clarinette cinq ans plus tard en étudiant avec George Hudson, un populaire chef d’orchestre de la région. Même s’il avait aussi joué de la trompette, Bluiett avait surtout été attiré par le saxophone baryton.
Après avoir amorcé sa carrière en jouant de la clarinette dans les danses dans son quartier d’origine de Brooklyn, Bluiett s’était joint à un groupe de la Marine en 1961. Par la suite, Bluiett avait fréquenté la Southern Illinois University à Carbondale, où il avait étudié la clarinette et la flûte. Il avait finalement abandonné ses études pour aller s’installer à St. Louis, au Missouri, au milieu des années 1960.
Bluiett était au milieu de la vingtaine lorsqu’il avait entendu le saxophoniste baryton de l’orchestre de Duke Ellington, Harry Carney, jouer pour la première fois. Dans le cadre de ce concert qui se déroulait à Boston, au Massachusetts, Carney était devenu la principale influence du jeune Bluiett. Grâce à Carney, Bluiett avait rapidement réalisé qu’un saxophoniste baryton pouvait non seulement se produire comme accompagnateur et soutien rythmique, mais également comme soliste à part entière. Expliquant comment il était tombé en amour avec le saxophone barytone, Bluiett avait déclaré plus tard: "I saw one when I was ten, and even though I didn't hear it that day, I knew I wanted to play it. Someone had to explain to me what it was. When I finally got my hands o n one at 19, that was it."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir quitté la Marine en 1966, Bluiett s’était installé à St. Louis, au Missouri. À la fin de la décennie, Bluiett avait participé à la fondation du Black Artists' Group (BAG), un collectif impliqué dans diverses activités artistiques à l’intention de la communauté afro-américaine comme le théâtre, les arts visuels, la danse, la poésie, le cinéma et la musique. Établi dans un édifice situé dans la basse-ville de St. Louis, le collectif présentait des concerts et d’autres événements artistiques.
Parmi les autres membres-fondateurs du groupe, on remarquait les saxophonistes Oliver Lake et Julius Hemphill, le batteur Charles "Bobo" Shaw et le trompettiste Lester Bowie. Hemphill avait aussi dirigé le big band du BAG de 1968 à 1969. Décrivant Bluiett comme un professeur et mentor naturel, Lake avait précisé: “His personality and his thoughts and his wit were so strong. As was his creativity. He wanted to take the music forward, and we were there trying to do the same thing.”
À la fin de 1969, Hemphill s’était installé à New York où il s’était joint au quintet de Charles Mingus et au big band de Sam Rivers. Au cours de cette période, Bluiett avait également travaillé avec une grande diversité de groupes, dont ceux des percussionnistes Tito Puente et Babatunde Olatunji, et du trompettiste Howard McGhee. Il avait aussi collaboré avec le Thad Jones-Mel Lewis Orchestra.
En 1972, Bluiett avait de nouveau fait équipe avec Mingus et avait fait une tournée en Europe avec son groupe. Collaborateur plutôt irrégulier de Mingus, Bluiett quittait souvent le groupe avant de réintégrer la formation un peu plus tard. En 1974, Bluiett avait de nouveau regagné le giron du groupe de Mingus aux côtés du saxophoniste ténor George Adams et du pianiste Don Pullen, qui deviendrait plus tard un de ses plus fidèles collaborateurs. Il avait aussi joué avec le groupe de Mingus à Carnegie Hall. Bluiett avait continué de travailler avec Mingus jusqu’en 1975, lorsqu’il avait commencé à enregistrer sous son propre nom.
Le premier album de Bluiett comme leader, Endangered Species, avait été publié par les disques India en juin 1976. L’album avait été enregistré avec un groupe composé d’Olu Dara à la trompette, de Junie Booth à la contrebasse et de Philip Wilson à la batterie. En 1978, Bluiett avait enregistré Birthright, un magnifique album live dans lequel il avait joué en solo durant quarante minutes et qui comprenait un hommage à son idole Harry Carney.
En 1976, la même année où il publiait son premier album solo, Bluiett avait co-fondé le World Saxophone Quartet avec d’autres membres du Black Artists Group comme Oliver Lake et Julius Hemphill. Le saxophoniste ténor (et clarinettiste basse) David Murray faisait également partie de la formation. Surnommé à l’origine le Real New York Saxophone Quartet, le groupe avait amorcé ses activités en présentant une série de cliniques et de performances à la Southern University de la Nouvelle-Orléans, avant de se produire au Tin Palace de New York. Menacé d’une poursuite judiciaire par le New York Saxophone Quartet, le groupe avait éventuellement changé de nom pour devenir le World Saxophone Quartet (WSQ).
Le groupe avait enregistré son premier album (d’ailleurs largement improvisé) sous le titre de Point of No Return en 1977. Jouant une musique diversifiée allant du Dixieland au bebop, en passant par le funk, le free jazz et la World Music, le groupe avait remporté un énorme succès (il est aujourd’hui considéré comme une des formations de free jazz les plus populaires de l’histoire) et avait reçu de nombreux éloges de la critique. Qualifiant le groupe de ‘’the most commercially (and, arguably, the most creatively) successful" de tous les ensembles de saxophones formés dans les années 1970, Chris Kelsey écrivait dans le All Music Guide: ‘’At their creative peak, the group melded jazz-based, harmonically adventurous improvisation with sophisticated composition." Commentant un concert du groupe en 1979, Robert Palmer avait déclaré dans le New York Times: “The four men have made a startling conceptual breakthrough. Without ignoring the advances made by musicians like Anthony Braxton and the early Art Ensemble of Chicago, they have gone back to swinging and to the tradition of the big‐band saxophone section.” Palmer avait ajouté: “Some of the music looks to the more archaic end of the tradition, to the hocket‐style organization of wind ensembles in African tribal music, and in doing so it sounds brand new.”
Reconnaissant la contribution de Bluiett dans la création du son d’ensemble du groupe, Kelsey avait précisé: "The WSQ's early free-blowing style eventually transformed into a sophisticated and largely composed melange of bebop, Dixieland, funk, free, and various world musics, its characteristic style anchored and largely defined b y Bluiett's enormous sound." Très conscient de l’importance de la mélodie, Bluiett avait toujours insisté pour que le groupe se concentre principalement sur les balades et l’improvisation. Il expliquait: “I think melody is very important. When we went into the loft situation, I told the guys: ‘Man, we need to play some ballads. You all playing outside, you running people away. I don’t want to run people away.’ ”
Parallèlement à sa collaboration avec le World Saxophone Quartet, Bluiett avait également publié d’autres albums comme leader comme Im/Possible To Keep (août 1977), un enregistrement en concert qui comprenait une version de quarante minutes de la pièce ‘’Oasis - The Well’’ (en trio avec le contrebassiste Fred Hopkins et le percusionniste Don Moye) et une version de trente-sept minutes de la pièce Nali Kola/On A Cloud en quartet avec le pianiste Don Pullen. En novembre 1977, Bluiett avait enchaîné avec Resolution, un album enregistré en quintet avec Pullen, Hopkins et les percussionnistes Don Moye et Billy Hart. À peine un mois plus tard, Bluiett avait récidivé avec Orchestra Duo and Septet, qui mettait à profit différentes combinaisons de musiciens comprenant le violoncelliste Abdul Wadud, le trompettiste Oldu Dara, le pianiste Don Pullen, le joueur de balafon Andy Bey, le flûtiste Ladji Camara, le contrebassiste Reggie Workman, le joueur de oud (un instrument à corde d’origine iranienne) Ahmed Abdul-Malik et le batteur Thabo Michael Carvin.
Avec le temps, les albums de Bluiett publiés en dehors de sa collaboration avec le World Saxophone Quartet étaient devenus de plus en plus accessibles. En faisaient foi des parutions comme Dangerously Suite (avril 1981), qui était une sorte de bilan de la musique populaire afro-américaine, et Ebu (février 1984), enregistré avec John Hicks au piano, Hopkins à la contrebasse et Marvin Smith à la batterie. L’album live Bearer of the Holy Flame (juillet 1983) documentait la collaboration de Bluiett avec un quintet composé de Hicks au piano et de deux percussionnistes. En juillet 1987, Bluiett avait aussi collaboré avec le trompettiste sud-africain Hugh Masekela dans le cadre de l’album Nali Kola qui mettait en vedette un saxophoniste soprano, un guitariste et trois percussionnistes africains
Littéralement passionné par son instrument, Bluiett avait également dirigé plusieurs groupes composés de plusieurs autres saxophonistes baryton. Également clarinettiste, Bluiett avait formé en 1984 le groupe Clarinet Family, un ensemble de huit clarinettistes utilisant des clarinettes de différents formats allant de la clarinette soprano E-flat à la clarinette contrebasse. Le groupe était composé de Don Byron, Buddy Collette, John Purcell, Kidd Jordan, J. D. Parran, Dwight Andrews, Gene Ghee et Bluiett à la clarinette et aux saxophones, de Fred Hopkins à la contrebasse et de Ronnie Burrage à la batterie. Le groupe a enregistré un album en concert intitulé Live in Berlin with the Clarinet Family, en 1984.
DERNIÈRES ANNÉES
Le World Saxophone Quartet avait continué de jouer et d’enregistrer dans les années 1990. Lorsque Julius Hemphill avait quitté le groupe pour former son propre quartet au début de la même décennie, c’est Arthur Blythe qui l’avait remplacé. En 1996, le groupe avait enregistré un premier album pour l’étiquette canadienne Justin Time. Intitulé "Four Now’’, l’album avait marqué un tournant dans l’évolution du groupe, non seulement parce que c’était le premier auquel participait le saxophoniste John Purcell, mais parce qu’il avait été enregistré avec des percussionnistes africains. Comme compositeur, Bluiett avait également continué d’écrire de nombreuses oeuvres du groupe, dont Feed The People on Metamorphosis (avril 1990) et Blues for a Warrior Spirit on Takin' It 2 the Next Level (juin 1996).
Lorsque le World Saxophone Quartet avait commencé à ralentir dans les années 1990 après la fin de son contrat avec les disques Elektra, Bluiett s’était lancé dans de nouvelles expérimentations comme chef d’orchestre. En collaboration avec la compagnie de disques Mapleshade, Bluiett avait fondé le groupe Explorations, une formation combinant à la fois des nouveaux talents et des vétérans dans un style hétéroclite fusionnant le jazz traditionnel et l’avant-garde. Après avoir publié un album en quintet sous le titre If You Have To Ask You Don't Need To Know en février 1991, Bluiett avait publié deux mois plus tard un nouvel album solo intitulé Walkin' & Talkin', qui avait été suivi en octobre 1992 d’un album en quartet intitulé Sankofa Rear Garde.
Depuis les années 1990, Bluiett avait dirigé un quartet appelé la Bluiett Baritone Nation, composé presque exclusivement de saxophonistes baryton, avec un batteur comme seul soutien rythmique. Mais le projet n’avait pas toujours été bien accueilli par la critique. Comme le soulignait John Corbett du magazine Down Beat, "Here's a sax quartet consisting all of one species, and while the baritone is capable of playing several different roles with its wide range, the results get rather wearisome in the end." Le groupe avait publié un seul album, Liberation for the Baritone Saxophone Nation’’ en 1998, une captation d’un concert présenté au Festival international de jazz de Montréal la même année. Outre Bluiett, l’album mettait à contribution les saxophonistes baryton James Carter, Alex Harding et Patience Higgins, ainsi que le batteur Ronnie Burrage. Commentant la performance du groupe, le critique Ed Enright écrivait: "In Montreal, the Hamiet Bluiett Baritone Saxophone Group was a seismic experience... And they blew--oh, how they blew--with hurricane force." Décrivant le concept du groupe après sa performance, Bluiett avait précisé:
‘’This is my concept, and it’s all about the baritone, really. The music has to change for us to really fit. I’m tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. I'm tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. It takes too much energy to play that way; I have to shut the h orn down. Later! We've got to play what this horn will sound like. So, what I’m doing is redesigning the music to fit the horn {...}. It’s like being in the water. The baritone is not a catfish [or any of those] small fish. It’s more like a dolphin or a whale. And it needs to travel in a whole lot of water. We can’t work in no swimming pools.The other horns will get a chance to join us. They’ve just got to change where they’re coming from and genuflect to us—instead of us to them.”
En mars 1995, Bluiett avait publié un album en sextet intitulé New Warrior, Old Warrior. Comme son titre l’indiquait, l’album mettait à contribution des musiciens issus de cinq décennies différentes. Le critique K. Leander Williams avait écrit au sujet de l’album: "The album puts together musicians from ages 20 to 70, and though this makes for satisfying listening in several places, when it doesn't w ork it's because the age ranges also translate into equally broad--and sometimes irreconcilable--stylistic ones.’’ Tout en continuant de transcender les limites de son instrument, Bluiett avait également exprimé le désir d’une plus grande reconnaissance. Il expliquait: "[A]ll the music these days is written for something else. And I'm tired of being subservient to it. I refuse to do it anymore. I refuse to take the disrespect anymore." En juin 1996, Bluiett avait publié Barbecue Band, un album de blues.
Après être retourné dans sa ville natale de Brooklyn, dans les Illinois, pour se rapprocher de sa famille, enseigner et diriger des groupes de jeunes en 2002, Bluiett s’était de nouveau installé à New York dix ans plus tard. Décrivant son travail de professeur, Bluiett avait commenté: “My role is to get them straight to the core of what music is about. Knowing how to play the blues has to be there. And learning how to improvise—to move beyond the notes on the page—is essential, too.”
À la fin de sa carrière, Bluiett avait participé à différentes performances, notamment dans le cadre du New Haven Jazz Festival le 22 août 2009. Au cours de cette période, Bluiett s’était également produit avec des étudiants de la Neighborhood Music School de New Haven, au Connecticut. Le groupe était connu sous le nom de Hamiet Bluiett and the Improvisational Youth Orchestra.
Hamiet Bluiett est mort au St. Louis University Hospital ade St. Louis, au Missouri, le 4 octobre 2018 des suites d’une longue maladie. Il était âgé de soixante-dix-huit ans. Selon sa petite-fille Anaya, la santé de Bluiett s’était grandement détériorée au cours des années précédant sa mort à la suite d’une série d’attaques. Il avait même dû cesser de jouer complètement du saxophone en 2016. Même si le World Saxophone Quartet avait connu de nombreux changements de personnel au cours des années, il avait mis fin à ses activités après que Bluiett soit tombé malade. Les funérailles de Bluiett ont eu le lieu le 12 octobre au Lovejoy Temple Church of God, de Brooklyn, dans les Illinois. Il a été inhumé au Barracks National Cemetery de St. Louis, au Missouri.
Bluiett laissait dans le deuil ses fils, Pierre Butler et Dennis Bland, ses filles Ayana Bluiett et Bridgett Vasquaz, sa soeur Karen Ratliff, ainsi que huit petits-enfants. Bluiett s’est marié à deux reprises. Après la mort de sa première épouse, Bluiett s’était remarié, mais cette union s’était terminée sur un divorce.
Saluant la contribution de Bluiett dans la modernisation du son du saxophone baryton, Garaud MacTaggart écrivait dans le magazine MusicHound Jazz: "Hamiet Bluiett is the most significant baritone sax specialist since Gerry Mulligan and Pepper Adams. His ability to provide a stabilizing rhythm (as he frequently does in the World Saxophone Quartet) or to just flat-out wail in free-form abandon has been appare nt since his involvement with St. Louis' legendary Black Artists Group in the mid-1960s."
Tout en continuant de se concentrer sur le saxophone baryton, Bluiett avait continué de jouer de la clarinette et de la flûte. Avec son groupe Clarinet Family, il avait même contribué à faire sortir de l’ombre des instruments moins bien connus comme les clarinettes contrebasse et contre-alto ainsi que la flûte basse.
Refusant de confiner son instrument à un rôle essentiellement rythmique, Bluiett avait toujours considéré le baryton comme un instrument soliste à part entière. Il expliquait: “Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
Refusant de se laisser dominer par les ordinateurs et les nouvelles technologies, Bluiett avait toujours été un ardent partisan d’un son pur et naturel. Il poursuivait: "I'm dealing with being more healthful, more soulful, more human. Not letting the computer and trick-nology and special effects overcome me. I'm downsizing to maximize the creative part. Working on being more spiritual, so that the music has power... power where the note is still going after I stop playing. The note is still going inside of the people when they walk out of the place." Doté d’une technique impeccable, Bluiett affichait une maîtrise remarquable de son instrument dans tous les registres. Le jeu de Bluiett, qui atteignait un total de cinq octaves, lui permettait de jouer dans des registres qu’on croyait jusqu’alors hors de portée du saxophone baryton.
À l’instar de son collaborateur de longue date, le saxophoniste ténor David Murray, Bluiett était un adepte de la respiration circulaire, ce qui lui permettait de prolonger son phrasé sur de très longues périodes sans avoir à reprendre son souffle. Reconnu pour son jeu agressif et énergique, Bluiett incorporait également beaucoup de bebop et de blues dans le cadre de ses performances. Très estimé par ses pairs, Bluiett avait remporté le sondage des critiques du magazine Down Beat comme meilleur saxophoniste baryton à huit reprises, et ce, sur quatre années consécutives de 1990 à 1993 et de 1996 à 1999. Décrivant la virtuosité et la polyvalence de Bluiett, le critique Ron Wynn écrivait dans le magazine Jazz Times en 2001: ‘’There haven’t been many more aggressive, demonstrative baritone saxophonists in recent jazz history than Hamiet Bluiett. He dominates in the bottom register, playing with a fury and command that becomes even more evident when he moves into the upper register, then returns with ease to the baritone’s lowest reaches.’’
Décrivant Bluiett comme un des saxophonistes les plus dominants de son époque, le critique Stanley Crouch avait déclaré: "He had worked on playing the saxophone until he had an enormous tone that did not just sound loud. And the way that Bluiett described Harry Carney's playing — he basically was telling you how he wanted to play: 'I want to be able to play that very subtle, pretty sound, way at the top of the horn, if necessary. I want to play a foghorn-like low note. And if they want a note to sound like a chain beat on a floor, I can do that, too.'"
Tout aussi à l’aise dans les standards du jazz que dans le blues, Hamiet Bluiett a enregistré près de cinquante albums au cours de sa carrière, que ce soit en solo, en duo, dans le cadre de petites formations ou en big band. Bluiett a collaboré avec de grands noms du jazz et de la musique populaire, dont Babatunde Olatunji, Abdullah Ibrahim, le World Saxophone Quartet, Stevie Wonder, Marvin Gaye, James Carter, Bobby Watson, Don Braden, Anthony Braxton, Larry Willis, Charles Mingus, Randy Weston, Gil Evans, Lester Bowie, Don Cherry, Eddie Jefferson et Arthur Blythe. Même s’il croyait que les musiciens devaient faire un effort pour se rapprocher du public, Bluiett était aussi d’avis que le public devait faire ses propres efforts pour comprendre la musique qu’on lui proposait. Il précisait: "Get all the other stuff out of your mind, all of the hang-ups, and just listen. If you like it, cool. If you don't like it, good too. If you hate it, great. If you love it, even better. Now if you leave the concert and don't have no feeling, then something is wrong. That's when we made a mistake."
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“Aullido” Allen Ginsberg
I
Vi las mejores mentes de mi generación destruidas por la locura, hambrientas histéricas desnudas, arrastrándose por las calles de los negros al amanecer en busca de un colérico pinchazo, hipsters con cabezas de ángel ardiendo por la antigua conexión celestial con el estrellado dínamo de la maquinaria nocturna, que pobres y harapientos y ojerosos y drogados pasaron la noche fumando en la oscuridad sobrenatural de apartamentos de agua fría, flotando sobre las cimas de las ciudades contemplando jazz, que desnudaron sus cerebros ante el cielo bajo el El y vieron ángeles mahometanos tambaleándose sobre techos iluminados, que pasaron por las universidades con radiantes ojos imperturbables alucinando Arkansas y tragedia en la luz de Blake entre los maestros de la guerra, que fueron expulsados de las academias por locos y por publicar odas obscenas en las ventanas de la calavera, que se acurrucaron en ropa interior en habitaciones sin afeitar, quemando su dinero en papeleras y escuchando al Terror a través del muro, que fueron arrestados por sus barbas púbicas regresando por Laredo con un cinturón de marihuana hacia Nueva York, que comieron fuego en hoteles de pintura o bebieron trementina en Paradise Alley, muerte, o sometieron sus torsos a un purgatorio noche tras noche, con sueños, con drogas, con pesadillas que despiertan, alcohol y verga y bailes sin fin, incomparables callejones de temblorosa nube y relámpago en la mente saltando hacia los polos de Canadá y Paterson, iluminando todo el inmóvil mundo del intertiempo, realidades de salones de Peyote, amaneceres de cementerio de árbol verde en el patio trasero, borrachera de vino sobre los tejados, barrios de escaparate de paseos drogados luz de tráfico de neón parpadeante, vibraciones de sol, luna y árbol en los rugientes atardeceres invernales de Brooklyn, desvaríos de cenicero y bondadosa luz reina de la mente, que se encadenaron a los subterráneos para el interminable viaje desde Battery al santo Bronx en benzedrina hasta que el ruido de ruedas y niños los hizo caer temblando con la boca desvencijada y golpeados yermos de cerebro completamente drenados de brillo bajo la lúgubre luz del Zoológico, que se hundieron toda la noche en la submarina luz de Bickford salían flotando y se sentaban a lo largo de tardes de cerveza desvanecida en el desolado Fugazzi’s, escuchando el crujir del Apocalipsis en el jukebox de hidrógeno, que hablaron sin parar por setenta horas del parque al departamento al bar a Bellevue al museo al puente de Brooklyn, un batallón perdido de conversadores platónicos saltando desde las barandas de salidas de incendio desde ventanas desde el Empire State desde la luna, parloteando gritando vomitando susurrando hechos y memorias y anécdotas y excitaciones del globo ocular y shocks de hospitales y cárceles y guerras, intelectos enteros expulsados en recuerdo de todo por siete días y noches con ojos brillantes, carne para la sinagoga arrojada en el pavimento, que se desvanecieron en la nada Zen Nueva Jersey dejando un rastro de ambiguas postales del Atlantic City Hall, sufriendo sudores orientales y crujidos de huesos tangerinos y migrañas de la china con síndrome de abstinencia en un pobremente amoblado cuarto de Newark, que vagaron por ahí y por ahí a medianoche en los patios de ferrocarriles preguntándose dónde ir, y se iban, sin dejar corazones rotos, que encendieron cigarrillos en furgones furgones furgones haciendo ruido a través de la nieve hacia granjas solitarias en la abuela noche, que estudiaron a Plotino Poe San Juan de la Cruz telepatía bop kabbalah porque el cosmos instintivamente vibraba a sus pies en Kansas, que vagaron solos por las calles de Idaho buscando ángeles indios visionarios que fueran ángeles indios visionarios, que pensaron que tan sólo estaban locos cuando Baltimore refulgió en un éxtasis sobrenatural, que subieron en limosinas con el chino de Oklahoma impulsados por la lluvia de pueblo luz de calle en la medianoche invernal, que vagaron hambrientos y solitarios en Houston en busca de jazz o sexo o sopa, y siguieron al brillante Español para conversar sobre América y la Eternidad, una tarea inútil y así se embarcaron hacia África, que desaparecieron en los volcanes de México dejando atrás nada sino la sombra de jeans y la lava y la ceniza de la poesía esparcida en la chimenea Chicago, que reaparecieron en la costa oeste investigando al F.B.I. con barba y pantalones cortos con grandes ojos pacifistas sensuales en su oscura piel repartiendo incomprensibles panfletos, que se quemaron los brazos con cigarrillos protestando por la neblina narcótica del tabaco del Capitalismo, que distribuyeron panfletos supercomunistas en Union Square sollozando y desnudándose mientras las sirenas de Los Álamos aullaban por ellos y aullaban por la calle Wall, y el ferry de Staten Island también aullaba, que se derrumbaron llorando en gimnasios blancos desnudos y temblando ante la maquinaria de otros esqueletos, que mordieron detectives en el cuello y chillaron con deleite en autos de policías por no cometer más crimen que su propia salvaje pederastia e intoxicación, que aullaron de rodillas en el subterráneo y eran arrastrados por los tejados blandiendo genitales y manuscritos, que se dejaron follar por el culo por santos motociclistas, y gritaban de gozo, que mamaron y fueron mamados por esos serafines humanos, los marinos, caricias de amor Atlántico y Caribeño, que follaron en la mañana en las tardes en rosales y en el pasto de parques públicos y cementerios repartiendo su semen libremente a quien quisiera venir, que hiparon interminablemente tratando de reír pero terminaron con un llanto tras la partición de un baño turco cuando el blanco y desnudo ángel vino para atravesarlos con una espada, que perdieron sus efebos por las tres viejas arpías del destino la arpía tuerta del dólar heterosexual la arpía tuerta que guiña el ojo fuera del vientre y la arpía tuerta que no hace más que sentarse en su culo y cortar las hebras intelectuales doradas del telar del artesano, que copularon extáticos e insaciables con una botella de cerveza un amorcito un paquete de cigarrillos una vela y se cayeron de la cama, y continuaron por el suelo y por el pasillo y terminaron desmayándose en el muro con una visión del coño supremo y eyacularon eludiendo el último hálito de conciencia, que endulzaron los coños de un millón de muchachas estremeciéndose en el crepúsculo, y tenían los ojos rojos en las mañanas pero estaban preparados para endulzar el coño del amanecer, resplandecientes nalgas bajo graneros y desnudos en el lago, que salieron de putas por Colorado en miríadas de autos robados por una noche, N.C. héroe secreto de estos poemas, follador y Adonis de Denver -regocijémonos con el recuerdo de sus innumerables jodiendas de muchachas en solares vacíos y patios traseros de restaurantes, en desvencijados asientos de cines, en cimas de montañas, en cuevas o con demacradas camareras en familiares solitarios levantamientos de enaguas y especialmente secretos solipsismos en baños de gasolineras y también en callejones de la ciudad natal, que se desvanecieron en vastas y sórdidas películas, eran cambiados en sueños, despertaban en un súbito Manhattan y se levantaron en sótanos con resacas de despiadado Tokai y horrores de sueños de hierro de la tercera avenida y se tambalearon hacia las oficinas de desempleo, que caminaron toda la noche con los zapatos llenos de sangre sobre los bancos de nieve en los muelles esperando que una puerta se abriera en el East River hacia una habitación llena de vapor caliente y opio, que crearon grandes dramas suicidas en los farellones de los departamentos del Hudson bajo el foco azul de la luna durante la guerra y sus cabezas serán coronadas de laurel y olvido, que comieron estofado de cordero de la imaginación o digirieron el cangrejo en el lodoso fondo de los ríos de Bowery, que lloraron ante el romance de las calles con sus carritos llenos de cebollas y mala música,
que se sentaron sobre cajas respirando en la oscuridad bajo el puente y se levantaron para construir clavicordios en sus áticos, que tosieron en el sexto piso de Harlem coronados de fuego bajo el cielo tubercular rodeados por cajas naranjas de Teología, que escribieron frenéticos toda la noche balanceándose y rodando sobre sublimes encantamientos que en el amarillo amanecer eran estrofas incoherentes, que cocinaron animales podridos pulmón corazón pié cola borsht & tortillas soñando con el puro reino vegetal, que se arrojaron bajo camiones de carne en busca de un huevo, que tiraron sus relojes desde el techo para emitir su voto por una eternidad fuera del tiempo, & cayeron despertadores en sus cabezas cada día por toda la década siguiente, que cortaron sus muñecas tres veces sucesivamente sin éxito, desistieron y fueron forzados a abrir tiendas de antigüedades donde pensaron que estaban envejeciendo y lloraron, que fueron quemados vivos en sus inocentes trajes de franela en Madison Avenue entre explosiones de versos plúmbeos & el enlatado martilleo de los férreos regimientos de la moda & los gritos de nitroglicerina de maricas de la publicidad & el gas mostaza de inteligentes editores siniestros, o fueron atropellados por los taxis ebrios de la realidad absoluta, que saltaron del puente de Brooklyn esto realmente ocurrió y se alejaron desconocidos y olvidados dentro de la fantasmal niebla de los callejones de sopa y carros de bomba del barrio Chino, ni siquiera una cerveza gratis, que cantaron desesperados desde sus ventanas, se cayeron por la ventana del metro, saltaron en el sucio Passaic, se abalanzaron sobre negros, lloraron por toda la calle, bailaron descalzos sobre vasos de vino rotos y discos de fonógrafo destrozados de nostálgico Europeo jazz Alemán de los años 30 se acabaron el whisky y vomitaron gimiendo en el baño sangriento, con lamentos en sus oídos y la explosión de colosales silbatos de vapor, que se lanzaron por las autopistas del pasado viajando hacia la cárcel del gólgota -solitario mirar- autos preparados de cada uno de ellos o Encarnación de Jazz de Birmingham, que condujeron campo traviesa por 72 horas para averiguar si yo había tenido una visión o tú habías tenido una visión o él había tenido una visión para conocer la eternidad, que viajaron a Denver, murieron en Denver, que volvían a Denver; que velaron por Denver y meditaron y andaban solos en Denver y finalmente se fueron lejos para averiguar el tiempo, y ahora Denver extraña a sus héroes, que cayeron de rodillas en desesperanzadas catedrales rezando por la salvación de cada uno y la luz y los pechos, hasta que al alma se le iluminó el cabello por un segundo, que chocaron a través de su mente en la cárcel esperando por imposibles criminales de cabeza dorada y el encanto de la realidad en sus corazones que cantaba dulces blues a Alcatraz, que se retiraron a México a cultivar un hábito o a Rocky Mount hacia el tierno Buda o a Tánger en busca de muchachos o a la Southern Pacific hacia la negra locomotora o de Harvard a Narciso a Woodland hacia la guirnalda de margaritas o a la tumba, que exigieron juicios de cordura acusando a la radio de hipnotismo y fueron abandonados con su locura y sus manos y un jurado indeciso, que tiraron ensalada de papas a los lectores de la CCNY sobre dadaísmo y subsiguientemente se presentan en los escalones de granito del manicomio con las cabezas afeitadas y un arlequinesco discurso de suicidio, exigiendo una lobotomía al instante, y recibieron a cambio el concreto vacío de la insulina Metrazol electricidad hidroterapia psicoterapia terapia ocupacional ping pong y amnesia, que en una protesta sin humor volcaron sólo una simbólica mesa de ping pong, descansando brevemente en catatonia, volviendo años después realmente calvos excepto por una peluca de sangre, y de lágrimas y dedos, a la visible condenación del loco de los barrios de las locas ciudades del Este, los fétidos salones del Pilgrim State Rockland y Greystones, discutiendo con los ecos del alma, balanceándose y rodando en la banca de la soledad de medianoche reinos dolmen del amor, sueño de la vida una pesadilla, cuerpos convertidos en piedra tan pesada como la luna, con la madre finalmente y el último fantástico libro arrojado por la ventana de la habitación, y a la última puerta cerrada a las 4 AM y el último teléfono golpeado contra el muro en protesta y el último cuarto amoblado vaciado hasta la última pieza de mueblería mental, un papel amarillo se irguió torcido en un colgador de alambre en el closet, e incluso eso imaginario, nada sino un esperanzado poco de alucinación-
ah, Carl, mientras no estés a salvo yo no voy a estar a salvo, y ahora estás realmente en la total sopa animal del tiempo y que por lo tanto corrió a través de las heladas calles obsesionado con una súbita inspiración sobre la alquimia del uso de la elipse el catálogo del medidor y el plano vibratorio, que soñaron e hicieron aberturas encarnadas en el tiempo y el espacio a través de imágenes yuxtapuestas y atraparon al Arcángel del alma entre 2 imágenes visuales y unieron los verbos elementales y pusieron el nombre y una pieza de conciencia saltando juntos con una sensación de Pater Omnipotens Aeterna Deus para recrear la sintaxis y medida de la pobre prosa humana y pararse frente a ti mudos e inteligentes y temblorosos de vergüenza, rechazados y no obstante confesando el alma para conformarse al ritmo del pensamiento en su desnuda cabeza sin fin, el vagabundo demente y el ángel beat en el tiempo, desconocido, y no obstante escribiendo aquí lo que podría quedar por decir en el tiempo después de la muerte, y se alzaron reencarnando en las fantasmales ropas del jazz en la sombra de cuerno dorado de la banda y soplaron el sufrimiento de la mente desnuda de América por el amor en un llanto de saxofón eli eli lamma lamma sabacthani que estremeció las ciudades hasta la última radio con el absoluto corazón del poema sanguinariamente arrancado de sus cuerpos bueno para alimentarse mil años.
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AMBIENTACIÓN
New York, ciudad vibrante y llena de energía, es el lugar perfecto para ti. Conocida como la "ciudad que nunca duerme", te ofrece una experiencia única en cada esquina, con una gran variedad de lugares para visitar, restaurantes para disfrutar, y actividades emocionantes para hacer.
Es la ciudad que tiene algo para todo el mundo. ¿Te gusta el arte y la cultura? Visita alguno de los numerosos museos, galerías de arte y teatros. ¿Eres un amante de la gastronomía? Prueba algunos de los restaurantes más famosos de Nueva York, desde comida callejera hasta alta cocina. ¿Te interesa la historia y la arquitectura? Explora los barrios históricos y los edificios emblemáticos de la ciudad.
Además, Nueva York es un centro importante de innovación y emprendimiento, con una gran cantidad de empresas creativas y tecnológicas. Es un lugar ideal para asistir a conferencias, ferias y otros eventos relacionados con la industria creativa.
No te pierdas la oportunidad de visitar algunos de los lugares más icónicos de la ciudad, como la Estatua de la Libertad, el Empire State Building, Central Park, el Puente de Brooklyn y Times Square y no solo eso, también algunas de las mejores universidades del país y del mundo.
En el corazón de esta ciudad, se encuentra la New York University (NYU), un centro académico de excelencia que ofrece una educación de alta calidad y una experiencia estudiantil incomparable.
El campus principal de NYU se encuentra en el pintoresco barrio de Greenwich Village, en el corazón de Manhattan. Este barrio histórico es conocido por sus calles empedradas, edificios de ladrillo rojo y cafeterías acogedoras. Aquí, los estudiantes de NYU pueden disfrutar de una experiencia de vida estudiantil única, rodeados de una vibrante comunidad artística y cultural.
Además de su campus principal en Greenwich Village, NYU también tiene campus asociados en todo el mundo, lo que significa que los estudiantes tienen la oportunidad de viajar y estudiar en el extranjero. Esto les permite experimentar diferentes culturas y perspectivas de la vida, y ampliar sus horizontes académicos y personales.
Nueva York es una ciudad llena de vida y energía, con una amplia variedad de actividades culturales, deportivas y de entretenimiento para disfrutar. Desde visitar el Museo Metropolitano de Arte hasta asistir a un partido de los Knicks de Nueva York, hay algo para todos en esta ciudad emocionante.
La ciudad de Nueva York y New York University ofrecen una experiencia única e inolvidable. Desde su incomparable vida estudiantil en el campus de Greenwich Village hasta las emocionantes actividades en la ciudad, los estudiantes de NYU tienen la oportunidad de vivir y aprender en una de las ciudades más emocionantes y cosmopolitas del mundo.
¡Te invitamos a visitarla y descubrir todo lo que tiene para ofrecer!
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Realizando trabajos de mantenimiento en el puente de Brooklyn. (1915) #amor #manabi #salinas #bentley #Autodesk #Archicad #sketchup #revit #SAP #ETABS #unrealengine #autpcad #AutoCAD #robotstructure #robot #lumion #energiasrenovable #Machala #ElOro #ingenierocivil #arquitectura #ingenieros #arquitectos #engineering #Guayaquil #ingeniero #ingenieria #engineers #guayas #samborondon https://www.instagram.com/p/CqEf8Z5r003/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Bridges January 12, 2025
Image: Still from Les Demoiselles de Rocquefort shot on the Rochefort-Matrou Transporter Bridge
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Carole King - Pleasant Valley Sunday (Demo) The Cowsills - The Bridge
DJ speaks over Michel Legrand - Le Pont Transbordeur
Carole King - Really Rosie Modey Lemon - Grandpa's Bones Crazy Hearts - Burning Bridges Charles Seeger - London's Bridge is Falling Down
DJ speaks over Tortoise - The Suspension Bridge at Iguaz
John Foxx - Underpass Lucienne Delyle - Sur le quais du vieux Paris Gray Matter - Burn No Bridges Brooklyn Funk Essentials - Stickman Crossing the Brooklyn Bridge
DJ speaks over The Incredible String Band - Bridge Theme
The Clash - London's Burning Spike Milligan - Tower Bridge George Jones - The Bridge Washed Out Kim Wilde - View from a Bridge The Bump - Winston Built the Bridge
DJ speaks over Ennio Morricone - Il Ponte di Corde
The Louvin Brothers - I See a Bridge Orange Juice - Bridge John Laurie - The Tay Bridge Disaster The Serfs - Suspension Bridge Collapse Jean Sabion - Sur le Pont d'Avignon Outpatients - Barriers to Bridges Unknown Artist - Puente de los Franceses
DJ speaks over Jean-Michel Jarre - Bridge of Promises
Manowar - Bridge of Death Syd Barrett - Feel Black Tambourine - Throw Aggi Off the Bridge Inez Foxx - Crossing Over The Bridge
DJ speaks over The High Level Ranters - The High Level Bridge Hornpipe
John Fahey - View East from the B&O Railroad Viaduct and the Riggs Road Intersection Aesop Rock - Drawbridge
DJ speaks over Deee-Lite - Build the Bridge
King Kong - Old Man on the Bridge
#radio#community radio#punk#music#playlist#post punk#wprb#new wave#hardcore punk#garage rock#bridges#psychedelic rock#psych folk#hip hop
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BROOKLYN BRIDGE - NYC
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Ni reprimir, ni rezar, ni traducir: latinos en Nueva York crean cuidados de salud mental incluyentes
Historia de Laura Rojas Aponte, 18/01/2025
La terapeuta Ingrid Camacho odia escuchar las últimas cifras del Departamento de Salud de Nueva York que dicen que sólo tres de cada diez latinos diagnosticados con depresión acceden a tratamiento. Mientras, más del 50% de los adultos blancos con la misma enfermedad logra acceder a cuidados de salud mental. La necesidad es evidente, pero el acceso a cuidado profesional para tratar la salud mental sigue siendo limitado para los latinos, lo cual deja una brecha crítica. “Creo que yo solía ser una de esas personas que decía que necesitaba ayuda y no podía acceder a ella”, dice Camacho. Esta terapeuta de 31 años creció en Queens en una casa puertorriqueña, donde las expectativas de comportamiento estaban regidas por la fe cristiana. “Me enseñaron que Jesús debería ser suficiente”, recuerda.
Aunque la salud mental se ha convertido en un tema de conversación más abierto en los últimos años, para muchos latinos acudir a terapia puede sentirse como cruzar un puente lleno de obstáculos: costos altos, falta de cobertura del seguro médico, estigma hacia el tratamiento y desconexión cultural entre pacientes y terapeutas.
Cuando hablamos de latinos en Nueva York, hablamos de un grupo diverso. Son, según el censo de 2020, alrededor de 2,5 millones de personas con ascendencia latinoamericana, de diferentes países, varias generaciones —unas con más arraigo en Estados Unidos que otras— y con distintos niveles socioeconómicos y educativos. Ante esta diversidad, terapeutas como la afrolatina Paola Voloquez, quien migró de República Dominicana a los 10 años, se precia de ejercer la competencia cultural, un enfoque que reconoce y valora el papel activo de la cultura en la salud de las personas. Para ella, los tratamientos requieren “una exploración y una curiosidad constante sobre cómo todo eso ha moldeado quién eres hoy y cómo te presentas en el mundo”. Desde terapeutas bilingües, como Camacho y Voloquez, hasta programas gratuitos con una perspectiva comunitaria, diversas iniciativas están haciendo que el cuidado en salud mental sea cada vez más accesible e incluyente en Nueva York.
“Es demasiado costoso”
“Mi historia psicológica es que todos los miembros de mi familia han tenido depresión”, aclara la colombiana Chiara Mazzanti. “Es un tema hereditario”. En 2016, recibió la noticia de que sus papás se separarían. Tenía 21 años, vivía en Brooklyn y estaba en la mitad de su pregrado. Aunque su presupuesto de estudiante era insuficiente, sintió que necesitaba conversar con un terapeuta profesional.
El costo exacto de la terapia en Nueva York es difícil de estimar. Similar a lo que ocurre con la renta o la ropa, no existe un único mercado. Algunas personas pagan el precio completo, mientras que otras recurren a su seguro médico y realizan un pago parcial. Los costos por sesión pueden variar de 10 dólares, con un copago, hasta sesiones privadas que se promocionan en línea por entre 200 y 350 dólares.
Mazzanti acudió a un servicio gratuito en su universidad. Una vez en la sesión, la terapeuta “no daba pie con bola”, recuerda.” Lo único que me decía era: “Devuélvete a tu país”. Quiso cambiar. Pero los psic��logos que le recomendaban eran impagables. Actualmente, tiene 29 años, trabaja en una agencia de casting y vive con su esposo. Cuando lo necesita, Mazzanti se conecta con una profesional en Colombia que cobra en moneda local, más barato que terapia en Nueva York. “Tengo una depresión de por vida y es una cosa que me toca tratar de vez en cuando, como cualquier enfermedad”, reconoce.
El instituto Arthur Ashe para la Salud Urbana, en colaboración con otras organizaciones, ha creado el directorio Community Together for Health Equity, que conecta a latinos con organizaciones comunitarias que ofrecen apoyo gratuito. Quienes necesiten ayuda pueden enviar un correo electrónico a la organización de su elección y acceder a terapia sin costo. Disponible en ocho idiomas, incluido español, la web filtra los servicios por ubicación.
Una de las personas detrás de la iniciativa es Camila Figueroa. Antes de completar su maestría en Psicología y Salud Mental Global en Nueva York, trabajó en la reunificación de familias migrantes. “Estos servicios y recursos existen, pero lastimosamente muchas veces no se usan”, explica. Uno de sus propósitos es divulgar la herramienta. Al trabajar con comunidades, encuentra que no es tan sencillo. “Hay un problema social muy fuerte de desconfianza”, explica, y dice que algunas personas que necesitan atención prefieren no dejar su información en internet. “Especialmente después de [Donald] Trump, si compartes tus datos, no se puede garantizar nada”, añade.
“Son mis asuntos, no necesito ventilarlos”
Otra barrera es el estigma. Para algunos, aparece en forma de preocupación por la confidencialidad. Para otros, en conflictos con creencias religiosas, sentimiento de culpa e incomodidad de las posibles opiniones de la familia. También hay quienes sienten temor por no saber lo que ocurre en una sesión.
Para Camacho, la terapeuta puertorriqueña, los factores se mezclan. En su caso, su familia asociaba sus estados emocionales con falta de devoción, mientras que en la escuela y la iglesia sufría de matoneo. Al comenzar sus estudios en psicología forense, descubrió que los síntomas de la depresión coincidían con lo que ella misma estaba viviendo: “Se me hacía muy difícil ir a trabajar, asistir a la escuela, comer, o pasar tiempo con mi familia y amistades”.
Fue entonces cuando decidió hacer algo hasta entonces tabú: buscar terapia mental. En el proceso entendió que no necesitaba compartir con otros que participaba en estas sesiones, ni tampoco la aprobación de su familia para hacerlo. Hoy, Camacho tiene su propio consultorio privado, que se especializa en atender a personas de comunidades latinas, negras, indígenas o de color. Allí usa con destreza su propia experiencia para contrarrestar prejuicios. “Si el conocimiento viene de Dios, entonces eso significa que las personas que trabajan en salud mental, su información, vienen de él”, dice.
La percepción Yamaly Barragán, una bióloga peruana y estudiante de doctorado, cambió luego de conversar con un amigo. “Nunca creí en los psicólogos, ¿sabes? Pero escuché que es como el dentista; no tienes que tener caries para ir”, dice Barragán. Escuchar a alguien de su círculo la animó a probar.
En el norte de Manhattan, la organización comunitaria NMIC usa otra estrategia. Ofrece clases a migrantes en temas como vivienda, finanzas, inmigración o inglés. Los estudiantes encuentran en su currículo una sesión extraordinaria que se llama wellness (bienestar). Durante esa hora, los terapeutas de NMIC visitan el salón y comparten información, pero, en especial, se aseguran de escuchar. “Invitamos a que ellos nos cuenten de sus experiencias. ¿Qué creen que es la salud mental? ¿Por qué el estigma?”, explica Rauly Chero, coordinadora de servicios de bienestar.
Chero cursó una maestría en consejería de salud mental bilingüe en la Universidad de Columbia motivada por ayudar a migrantes e hijos de migrantes como ella. En NIMIC, una vez que los participantes comparten sus preocupaciones, suelen cambiar de perspectiva y optan por asistir a terapia. Una ventaja, asegura, es que las sesiones ocurren en el mismo edificio de las clases.
“Es que me toca explicar mucho”
Aunque una persona supere el tabú con la terapia, sortee sus costos y logre reunirse con un profesional, queda un obstáculo menos visible pero igual de significativo: la desconexión cultural. En una ciudad como Nueva York, este factor está en el radar de las autoridades. El plan de acción más reciente, A Mental Health Plan for New York City, ofrece soluciones “culturalmente receptivas” y “conscientes de la raza y el trauma”.
Preguntado por la disparidad que existe en el acceso entre blancos y latinos en el acceso a terapia, el Departamento de Salud de Nueva York dijo que no existe un enfoque único para la salud mental. “Nos comprometemos a ofrecer servicios accesibles y culturalmente competentes para las diversas comunidades que atendemos”, añadió en un comunicado.
La brasileña Tatiana Bertolucci, vivió la desconexión cultural en dos frentes. “Tenía que dar cuatro frases para una cosa que eran tres palabras en portugués”, recuerda la mujer de 42 años. Entre las limitaciones de su seguro médico y los altos costos, no encontró un profesional que hablase su idioma así que tomaba sesiones en su tercera lengua, el inglés.
Bertolucci migró para asumir un nuevo rol en una organización sin ánimo de lucro. Tenía situaciones laborales que quería discutir y que solía hablar con su mamá. Cuando se lo contó a su terapeuta, se sintió incomprendida. Le tocó explicarle que, para ella, eso “no implica una relación de codependencia”. Es algo con lo que la comediante Isa Mediana ha bromeado en un reel de Instagram con más de 86.000 reproducciones: “Para las terapistas gringas, su conclusión es: “Deja de hablar con tus papás”.
La terapeuta Voloquez cree que desconocer factores culturales, como esa estrechez de vínculos entre la familia, pone la responsabilidad sobre el paciente de educar al terapeuta. Debe explicar las normas que usualmente rigen su entorno, lo cual genera un sentimiento de alienación. “Alguien que proviene de un contexto latino o latinx puede tener una orientación basada en una perspectiva colectiva, cooperativa y más comunitaria, en lugar de una más occidental, individualista e independiente”, reflexiona. Por ejemplo, al momento de establecer límites, Voloquez sugiere que los terapuetas examinen y honren la colectividad de la cultura latina.
Como solución, recomienda tomar prestados marcos de pensamiento del trabajo social. Esto significa examinar los entornos y los contextos en los que el ser humano está teniendo su experiencia. Para mitigar la desconexión, existe una serie de directorios que agregan terapeutas que experimentan con marcos de pensamiento que expanden la salud mental clínica, como Therapy for LatinX, Latinx Therapy y Psychology Today. Adicionalmente, la National Alliance for Mental Illness ha publicado una guía con recomendaciones para profesionales al atender a personas de la comunidad latina, que puede ser usada por profesionales y participantes para guiar la conversación.
Fuente: MSN
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Para mi o el SOL ..para la VERDAD O LUZ ..un IDOLO solo es GENIAL..si lo pongo AL REVES ..sino queda solo como ALGO que CIEGA O DESLUMBRA COMO EL ORO pero NO ILUMINA o como una ESTRELLA en la NOCHE
Por cierto.. Espere a Kylie Minogue en el PUENTE DE BROOKLYN con mi CARETA de THE SUN tras verla por el dia nazional de ESPAÑA de 2009 en NEW YORK (en el HAMMERSTEIN BALLROOM que era propiedad de la IGLESIA de la UNIFICACION que fundo el multimillonario koreano SUN Myang MOON que tambien fundo la Copa de la PAZ de futbol cuya 1era edicion se disputo en ESPAÑA y cancelandose al morir en 2012..se le murieron 3 hijos..2 en accidente , uno de coche y otro de tren..y un suicidio en un hotel en RENO viviendo en LAS VEGAS tras haberse casado pues organizaba BODAS MULTITUDINARIAS argumentando que JESUS se hubiera CASADO sino hubiera muerto ANTES jaja..en LAS VEGAS fue el 1er sitio que vi 3-10-09 a KYLIE MINOGUE y prefiero estar MUERTO a estar CASADO CON ELLA O CON ALGUNA OTRA aunque sea una DIVA jaja)..y citarla por Twitter pero lo unico que consegui es que en su ultimo concierto de NEW YORK o de 13-10-09 y fin de su 1era gira USA grabo un video en el backstage con VELENCOSO haciendo la V antes de besarla jaja
Ahí en el HAMMERSTEIN BALLROOM KYLIE grabó su 1er disco [no DVD o video] en directo LIVE IN NEW YORK ..y un concierto de Iron MAIDEN de la gira del cd DANCE OF DEATH [lanzado con single WILDEST DREAMS y RAIN_MAKER al que siguio el EP NO MORE LIES..siendo el anterior cd de estudio BRAVE NEW WORLD en el que volvio Bruce DICK_IN_SON tras ser sustituido en cd FACTOR X y cd VIRTUAL XI por la aficion al futbol del fundador HARRIS ..por BLAZE BAILEY al dedicarse DICKINSON tras el cd FEAR OF THE DARK a su carrera en solitario con cd MILLONARIO TATUADO y cd BALLS TO PICASSO..mientras que luego BLAZE BAILEY inicio carrera en solitario con CD SILICON MESSIAH y con el que me fotografie en sala LIVE en Avda NUESTRA SEÑORA DE FATIMA..en Abril 2018 teniendo de telonero a HORA LIMITE] ..tuvo que ser detenido porque un tipo estrelló una CERVEZA en una CAJA DE RESONANCIA y luego cancelo el ultimo concierto
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Carolina Maria Benedicks-Bruce (1856-1935) escultora y pintora sueca.
Nació en Estocolmo. Provenía de una familia industrial acomodada de Estocolmo. Su padre, Edward Otto Benedicks (1818-1877), era propietario de la ferretería Gysinge en Gästrikland. El nombre de su madre era Carolina Charlotta Cantzler y era obvio que la vena artística de Carolina venía por parte de su madre.
Varios de los tíos de Carolina y su abuela pintaron. Edward tuvo cuatro hijos, Gustaf (1848), Sofie (1856) y Carolina, que eran hermanos completos, y Carl (1875, profesor), que era medio hermano y considerablemente menor. Los Benedick procedían de una pequeña ciudad, Bleicherode, en la región de Harz, en el centro de Alemania.
Se mudaron a Estocolmo en 1790 y fueron propietarios de la ferrería Gysinge desde 1823 hasta 1903.
En la década de 1870, Carolina acompañaba a su madrastra, Sofia Elisabeth Benedicks, a Gotland durante los veranos. Probablemente su interés por Gotland se fundó durante estos veranos. Debido a que Carolina tenía talentos artísticos, se matriculó en la escuela de pintura para mujeres de August Malmström.
En 1881, fue aceptada como estudiante en la clase de escultura de la Real Academia de Artes Liberales. Fue la primera alumna en la clase de escultura. Durante su formación conoció, entre otras personas, a Hilma af Klint, que estudió pintura y que más tarde acompañó a Carolina a Francia.
Además de escultura, Carolina también estudió grabado y acuarela. En 1883 viajó a Grez sur Loing y a París, donde buscaron muchos otros artistas nórdicos. Después de completar sus estudios en Suecia en 1885, se trasladó a París, donde fue alumna del escultor Alexander Falguière y de gráfica con G. Rodrigues.
Estuvo en la Academia Colarossi en París.
El pintor William Blair Bruce (1859-1906) fue decisivo en su vida.
William conoce a Carolina en 1884 y se enamoran. Sin embargo, William está cansado de su producción artística pero sobre todo cansado por sus malas finanzas. Por lo tanto, envió una gran parte de su producción, alrededor de 200 pinturas, a Canadá en un barco de vapor para su venta. Sin embargo, el vapor SS Brooklyn se hundió y con él todos sus cuadros. Deprimido, William se va a casa a descansar indefinidamente.
Carolina va a Nueva York en 1885 y logra persuadir a William para que se reúna con ella allí y le exige la promesa de regresar a Europa. William cumple su promesa y en octubre de 1885 se comprometen.
El 4 de diciembre de 1888, se lleva a cabo una gran boda de sociedad cuando Carolina y William se casan en la embajada británica en Estocolmo, seguida al día siguiente por una boda ceremonial en la iglesia Hedvig Eleonora. Después de la boda, viajan de regreso a Francia y París.
Como tenían medios económicos, porque ella tenía dinero, viajaban mucho por el continente, pero su punto fijo siempre fue Grez. Los viajes duraron, entre otras cosas, a Capri, Italia, Estocolmo, Gotland, París y también una vez, en 1895, a Hamilton, el distrito natal de William.
Existen grandes similitudes entre la pareja de artistas Carl Larsson y Karin Bergöö y la pareja de artistas William y Carolina.
Tanto Carl como William tenían problemas económicos, mientras que Karin y Carolina eran financieramente independientes. Ambas parejas conocieron a sus futuros socios en Grez-sur-Loing y ambas parejas fueron a Estocolmo y se casaron.
Ambos crearon casas de artistas para ellos mismos, Sundborn y Brucebo, respectivamente. Se dice que Carl Larsson pintó un cuadro de Carolina en Grez. Es una vista hacia el puente y la ves desde atrás mientras se sienta y trabaja detrás de una pantalla de sombra.
Carolina y William viajan juntos a Gotland por primera vez en 1889. Luego visitan Gotland anualmente y se enamoran de la isla. Carolina también tiene amigos artistas en la isla, lo que hace que Gotland sea aún más interesante para la pareja de artistas. Durante sus visitas a Gotland, supuestamente vivieron en una villa situada entre Norderport y Snäck. En 1894, Carolina viaja sola a Gotland y probablemente sea entonces cuando los planes para adquirir una casa de verano en Gotland comiencen a tomar forma.
En 1900 compran una casa.
Carolina apoyó a William durante toda su vida y también se convirtió en su modelo favorita.
Se comprometió con el sufragio femenino.
No tuvieron hijos así que Carolina creó una fundación antes de su muerte que albergaría la casa de la artista con su colección.
Murió en Väskinde, condado de Gotland.
Le ponemos cara.
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Cartas desde América —03 Se acerca una nueva civilización… vivo solo con instinto by j re crivello
“Mi mujer no lo sabe, y he intentado callarlo y ocultarlo hasta el ultimo de mis amigos, pero esta mañana un hombre con entradas y gabardina, como Albert Camus, me ha venido persiguiendo por todo el puente de Brooklyn y me ha metido el miedo en el cuerpo” (pág. 23, Cartas desde América, Félix Molina) Hace dos noches en mi sueño caminaba por una ciudad y un poco más adelante veía que un grupo de…
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Cartas desde América —03 Se acerca una nueva civilización… vivo solo con instinto by j re crivello
“Mi mujer no lo sabe, y he intentado callarlo y ocultarlo hasta el ultimo de mis amigos, pero esta mañana un hombre con entradas y gabardina, como Albert Camus, me ha venido persiguiendo por todo el puente de Brooklyn y me ha metido el miedo en el cuerpo” (pág. 23, Cartas desde América, Félix Molina) Hace dos noches en mi sueño caminaba por una ciudad y un poco más adelante veía que un grupo de…
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