#projet photographique
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Derrière une Heure de Shooting Photo
Derrière une Heure de Shooting Photo : Ce que Vous Ne Voyez Pas La photographie est un art qui capture des moments éphémères pour les immortaliser. Derrière chaque cliché se cache un processus complexe, souvent méconnu du grand public. Lorsqu’il s’agit d’une heure de shooting photo, il y a bien plus à considérer que le simple déclenchement de l’appareil. Voici un aperçu détaillé des éléments qui…
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Afterwork de Benbere : Lutter contre la désinformation au Mali - Reportage photographique
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Tupolev ANT-20 Maxime Gorki – 1930's
Le Tupolev ANT-20 est le plus grand avion de conception entièrement métallique des années 30. Avion de propagande de l'union soviétique par excellence, l'avion disposait d'un puissant émetteur radio appelé 'la voix du ciel', d'une imprimerie, d'un laboratoire photographique, d'un projecteur de film avec son pour projeter des films en vol et d'une bibliothèque.
Lors d'un vol de démonstration au-dessus de Moscou le 18 mai 1935, il s'écrasa suite à une manoeuvre de boucle autour de son aile d'un chasseur Polikarpov I-5 piloté par Nikolaï Blaguine. L'accident fit 45 tués dont le pilote de chasse, l'équipage, les 33 passagers ainsi que neuf personnes au sol. La responsabilité de cet accident sera portée sur le pilote de chasse, les autorités indiquant que cette figure n'était pas prévue au programme... Le nom du pilote est à l'origine du néologisme 'blaguinisme' signifiant 'désobéissance effrontée face à l'autorité'.
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Morceaux d'été, entre Bourgogne et Auvergne : portrait et foisonnement urbain ; et classique autoportrait du début du mois.
Tout ceci en direct du carnet de la triche, carnet du moment pour ce qui est d'accueillir mes dessins d'observation.
Le carnet d'autoportraits, quant à lui, se poursuit bon gré mal gré. Je dois me motiver pour archiver les dessins qu'il contient, de la manière la plus adaptée. Il est assez grand (ce qui n'est pas une si mauvaise chose !), mais mon scanner ne l'est pas suffisamment, lui. La meilleure option serait une numérisation photographique... et à vrai dire, la grisaille alentour qui pompe toute source de lumière ne stimule en rien ce projet. J'y repenserai sans doute sous un soleil plus propice, et lorsque le carnet sera plus proche de la fin. Encore une trentaine de pages, et j'y suis depuis mai 2024, déjà.
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Evaluation Humanités Digitales
'La petite mort' Pilar Rosado - PP-PH 24/25
"LA PETITE MORT" est un projet photographique qui utilise l'IA pour générer une collection d'images évoquant le moment culminant d'un orgasme et de personnes décédées de mort violente. Ces collections sont générées à l'aide de GAN: Generative Adversarial Network, afin de créer un ensemble de données plus authentique.
Pilar Rosado tente de brouiller la frontière entre orgasme et mort pour amplifier la nature ironique de l'expression : "LA PETITE MORT" ; qui implique une petite perte de conscience ou un affaiblissement de l'esprit lors du relâchement complet de la tension d'excitation. Cependant, d'un autre point de vue, Rosado dénonce également la manière dont l'intelligence artificielle et l'utilisation de la génération d'images GAN sont capables d'imiter la réalité, des expressions des sujets à leurs positions. De plus, la densité et la taille avec lesquelles Rosado présente la collection renforcent le fait qu'il est plus difficile pour le lecteur de distinguer entre les sujets qui meurent ou qui ont un orgasme. Cela illustre encore davantage les dangers que la technologie peut apporter lorsqu'elle imite la vie pour paraître humaine ; brouiller les frontières entre le sans vie et le vivant, l'artificiel et le naturel.
'Can’t Help Myself' Sun Yuan and Peng Yu – PP-MID 24/25
'Can't Help Myself' est une grande sculpture cinétique créée par Sun Yuan et Peng Yu en 2016. Composée d'un bras robotique qui se déplace de manière répétée pour balayer le fluide cellulosique rouge sang qui s'échappe de son noyau interne par des mouvements rythmés, elle a attiré l'attention des médias internationaux.
Yuan et Yu ont attiré l'attention des médias internationaux grâce à leur sculpture en raison de sa dégradation progressive, qui devient une performance : la sculpture commence à ralentir et à ne plus être aussi efficace. Le spectateur finit souvent par traiter la sculpture comme un être humain, lui donnant ainsi une qualité anthropomorphique. Les lecteurs ont commencé à sympathiser et à s'identifier à la machine sans vie alors qu'elle se dégradait. En conséquence, les intentions des artistes ont été dénoncées, la technologie étant utilisée comme outil pour montrer comment elle peut imiter la vie et manipuler les émotions humaines. Par conséquent, cela modifie la discussion sur le but éthique de l'utilisation de la technologie, car celle-ci peut être frauduleuse lorsqu'elle s'adapte et manipule les émotions humaines pour humaniser les êtres sans vie. Elle rappelle ainsi les différentes façons dont la technologie peut être utilisée avec des intentions diversifiées.
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Alexander Mcqueen SS 1999 – PP-AV/Design de mode 24/25
Le défilé printemps-été 1999 de McQueen était une déclaration de mode révolutionnaire qui a mêlé mode et technologie pour clôturer l'un de ses défilés. Le mannequin Shalom Harlow portait une robe blanche, debout sur une plate-forme tournante installée sur le podium, tandis que des robots lui pulvérisaient de la peinture.
S'inspirant de la sculpture « High Moon » de Rebecca Horn, McQueen a créé une sorte de symétrie dans la composition. Il a emprunté deux machines à une usine de fabrication de voitures et a spécifié la manière dont elles devaient se déplacer, jointure par jointure, à la manière de cobras crachant. Cette interaction entre la machine et la mode pourrait être une façon de dénoncer la suprématie croissante des machines dans le monde du travail, notamment dans l'industrie de la mode. Une autre interprétation est que McQueen utilisait simplement les machines pour créer une déclaration visuelle sur la mode et faire l'impensable. L'utilisation de machines pour projeter de la peinture sur Shalom Harlow était certainement une image saisissante et mémorable, qui a suscité de nombreuses interprétations différentes chez les spectateurs et les critiques.
Au final, il appartient à chacun d'interpréter les intentions de McQueen. Cependant, il est clair que l'utilisation de machines pour pulvériser de la peinture sur Shalom Harlow était une déclaration puissante et stimulante qui résonne encore aujourd'hui.
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Journal du jeudi 10 Août 2023 / France / Le bal des oubliées
"Une si longue absence, journal d'Auvergne".
Grande commande photographique - BNF - Bibliothèque nationale de France/ Ministère de la Culture.
Comment choisir la Photo lorsque il en faut…dix sur des semaines de travail! Pour le photographe que je suis, c’est un énorme dilemme que j’ai toujours du mal à assumer.
On parle déjà chiffres, mais dix photos quand même, ce n’est pas beaucoup. Ou peut-être beaucoup en fonction de la manière de travailler des photographes.
Ce sont des photos vues mais non choisies que je vais publier en ce mois d’Août 2023, avec aussi certaines images supplantées par une voisine, qui elle aura été choisie, mais qui auraient aussi bien pu faire l’affaire !
Extrait de mon journal.
« Jeudi 14 juillet 2022.
Matin.
Saint-Éloy-les-Mines pour la cérémonie de la fête nationale. Des anciens combattants, un démineur de la marine nationale à la retraite, un très jeune maire Mr Anthony Palermo déjà rencontré il y a 2-3 mois, qui fera le discours et qui déposera une gerbe. Pas trop de monde comme spectateurs mais suffisamment pour le photographe que je suis, une lumière épouvantable, presque au zénith, une courte cérémonie suivie d’un vin d’honneur dans un café de la rue principale de Saint-Eloy, la télé allumée transmettant la cérémonie des Champs-Élysées à Paris avec le Président comme acteur principal.
Toujours plongé dans mes souvenirs de jeunesse, je me dirige ensuite vers Saint-Pourcain sur Sioule. Une terrasse ombragée, une omelette bien baveuse aux champignons comme repas. »
BNF / Au final il y aura un rendu de dix photographies. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande.
Les modestes textes de mon journal de bord essayeront de raconter le déroulé et les raisons de ce travail. Ils sont écrits à partir de notes glanées pendant la journée et de souvenirs de route.
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Cette photo, Arms Embrace, fait partie du recueil photographique de Marna Clarke, photographe Américaine, dont le titre est Time As We Know It. Provoquée par un coup d'oeil dans le miroir, Clarke vise à capturer son propre vieillissement avec les photos. Selon Clarke, elle s'est déshabillée immédiatement et a commencé de se photographier, sans filtres et sans poses. D'après Clarke, sa photographie lui permet de « lâcher prise » de la dysmorphophobie qu'elle a subit pendant toute sa vie et ses craintes qu'elle étaient « trop grosse. » Incroyablement inspirée, elle a commencé de capturer non seulement des photos de son corps, mais les anecdotes et les moments quotidiens de la vie, ainsi que des photos de son conjoint, Igor (c'est lui qu'elle embrasse dans cette photo).
Peu après le début du projet photographique de Clarke, Igor a atteint un cancer et a pris la décision de refuser la chimiothérapie. Malheureusement, il est mort peu de temps après. Clarke a documenté ainsi ce processus douloureux du deuil. Le but de son recueil, initialement conçu pour illustrer son acceptation de sa taille, a changé : non seulement de documenter son propre vieillissement, mais de capturer les moments intimes et tout à fait quotidiens du couple, malgré le vieillissement et la maladie, et de vraiment mettre en illustration l'acceptation de son avenir inexorable, la mort.
Comme Clarke, Michel Rabagliati s'intéresse à la représentation visuelle de la maladie et la mort à travers des images intimes du quotidien. Il explore ce qui vient avec le vieillissement dans sa bande dessinée touchante Paul à Québec en dépeignant la maladie de Roman Beaulieu et son réaction, ainsi que celle de sa famille.
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« BONNARD ET LE JAPON » Hôtel de Caumont, Aix-en-Provence
« BONNARD ET LE JAPON », visite du 30 Juillet 2024 à l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence) Bien nous en a pris d’attendre, cette fois-ci, calme et tranquillité loin, très loin, du « surtourisme » en début d’expositions précédentes. Donc de quoi prendre le temps de bien lire les cartels (pas toujours bien alignés) et le dossier de presse ; Hypothèse de la commissaire d’exposition Isabelle Cahn : « …l’influence de l’art du Japon sur Bonnard (Japonisme), jusqu’à la fin de sa vie en 1946 ! P.B. dessine, peint ou *photographie et collectionnera des estampes japonaises … » Excellente idée scénographique : la sélection d’estampes japonaises provenant de la prestigieuse collection Leskowicz. Pierre Bonnard : « J’avais compris au contact de ces frustes images populaires que la couleur pouvait comme ici exprimer toutes choses sans besoin de relief ou de modelé. Il m’apparut qu’il était possible de traduire lumière, formes et caractère rien qu’avec la couleur ». Je note sur la tendance dite « Japonisme » : « …l’impact du Japon sur les arts occidentaux. Le mode de penser des artistes de l’ukiyo-e. Le terme japonais ukiyo désigne un monde flottant en accord avec le principe bouddhiste de l’impermanence, ukiyo-e signifiant images du monde flottant. Sa peinture exprime le caractère éphémère des phénomènes, la beauté mystérieuse de la nature et des êtres, le charme subtil des choses. » Aparté photographique : *Marthe Bonnard sous l’objectif de Pierre Bonnard (1867-1947) https://dantebea.com/2013/11/07/marthe-bonnard-sous-lobjectif-de-pierre-bonnard-1867-1947/
Pierre Bonnard, La Promenade des nourrices, frise des fiacres 1897, Paravent constitué d’une suite de quatre feuilles lithographiées en cinq couleurs 45,3 x 114,3 (chaque panneau) Le Cannet, musée Bonnard © Musée Bonnard/Yves Inchierman
"…Dans les années 1860, suite à l’ouverture commerciale du Japon avec la France, les gravures ukiyo-e, méprisées par les Japonais pour la légèreté de leurs sujets, servent à caler les produits manufacturés dans les caisses d’expédition…" Extraits DP
Pierre Bonnard, Femmes au jardin : Femme à la robe à pois blancs ; Femme assise au chat ; Femme à la pèlerine ; Femme à la robe quadrillée, 1890-1891, Détrempe à la colle sur toile, panneaux décoratifs, 160,5 x 48 cm (chaque panneau), Paris, musée d’Orsay
Pierre Bonnard, Projet d’éventail Femmes et fleurs, 1895, gouache, aquarelle et encre de Chine. Van Gogh Museum, don de la Triton Collection Foundation
Katsushika Hokusai, Sous la vague au large de Kanagawa, série « Les Trente-six vues du Mont Fuji » Signé: Hokusai aratame Iitsu hitsu Editeur: Nishimuraya Yohachi (Eijudô) vers 1830, oban yoko-e, 25,5 x 37,7 cm Collection Georges Leskowicz
PIERRE BONNARD (1867-1947) La Revue blanche. Affiche. 1894. Lithographie. [582 x 778].
"…Les portraits de femmes d’Utamaro, les paysages d’Hokusai et d’Hiroshige ou encore les acteurs de Sharaku atteindront le statut de chef d’œuvre en Occident et de nombreux artistes du tournant du siècle seront fascinés à leur contact. Les estampes avec leurs couleurs posées en aplats, leurs voisinages chromatiques audacieux, leur stylisation décorative ou leurs vues à vol d’oiseau, vont bouleverser les certitudes académiques des artistes occidentaux…"
"Groupe de chien dansant" Projet de meuble, 1891 Aquarelle, plume et encre Coll. particulière
"…1872, Philippe Burty forge le terme de japonisme pour définir l’impact du Japon sur les arts occidentaux, dans un article publié dans Renaissance Littéraire et Artistique…"
…un arrêt du temps, l'instant présent… Très photographique tout ça. "Pierre Bonnard, photographe" (Relié) https://www.amazon.fr/Pierre-Bonnard-photographe-Fran%C3%A7oise-Heilbrun/dp/2904057242
"…Bonnard ne peint pas seulement pour le plaisir sensuel que le nu lui procure. Il considère ce sujet comme l’un des plus exigeants en raison de la fascination qu’il provoque et de l’interaction du modèle vivant avec l’environnement. Ses modèles évoluent dans des espaces complexes, traités de manière décorative, qui permettent de transformer le réel…"
Paul Verlaine "Parallèlement", poème Seguidille, 1900. Livre illustré de lithographies en couleur, Pierre Bonnard, Coll. Particulière
"…Dans l'intimité de leur vie quotidienne, par obsession ou par plaisir, Marthe aime à passer du temps à sa toilette. Ce rituel devient l'occasion pour l'artiste de scruter le jeu des reflets, des lumières, des couleurs. Il fige le bonheur de l'instant en peinture, mais aussi en photographie…" https://panoramadelart.com/sites/default/files/filesPanorama/FA224-02-bonnard-marthe-tub.jpg
"…Nabi : Mot d’origine hébraïque signifiant « prophète ». Il désigne un groupe d’artistes postimpressionnistes, à la recherche d’une peinture nouvelle. Rassemblés à partir de 1888 autour de Paul Sérusier, les nabis partagent une esthétique faite de formes épurées, d’aplats de couleur, de contours, et parfois un certain sens du symbolisme et de la religiosité. Par ses écrits, le peintre Maurice Denis ne tarde pas à en devenir le théoricien. Sa formule, « un tableau […] est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées », traduit bien l’esprit de synthèse qui anime les nabis…"
à lire aussi : Un Nabi très japonard https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/presentation/pierre-bonnard-peindre-larcadie
Le "spectacle" virtuel, partout, pour tout, pour tous. Terriblement XXIème s.
"… l’exposition présente de nombreuses œuvres exceptionnelles de Bonnard, jamais ou rarement vues en France comme Les deux caniches, Le Bar, L’Omnibus, La Place Clichy, Le Jardin de Paris, Conversation provençale, La Nappe blanche, Le Dessert, Le Nu gris de profil…"
Hôtel de Caumont 3, rue Joseph Cabassol (Portail à carrosses) Quartier Mazarin, Aix-en-Provence
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Restitution du projet "joyeuse manifestation"suite à la résidence à l'Ar[T]senal à Dreux.
Projet réalisé en partenariat avec le Lycée Branly de Dreux.
Avec le soutien de la région Centre-Val de Loire Crédit photographique : L' Ar[T]senal
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Vues de mon leporello format a5 appartenant au projet éditorial AVALANCHE 4 @avalanche_4.0, 5 faces recto (Sans titre #1 à #5, 2022, technique mixte sur papier, 29,7 x 21 cm) et 5 faces verso (archives photographiques personnelles, textes écrits en 2022 et 2023, coupure de presse etc.).
Projet @aisnestreetprojects (2018 - en cours) porté sur l'histoire récente de mon département d'origine, l'Aisne, principalement les territoires de Tergnier, Beautor, La Fère et Chauny. Un grand merci au @fracpicardie @bourdetti @miratmasson, les artistes participants, la DRAC Hauts-de-France, l'Artothèque de Tergnier, et les médiathèques de Tergnier, Condren et Sinceny.
Le projet @aisnestreetprojects sera en partie visible à Laon dès janvier 2024 dans le cadre de mon exposition personnelle CE QU'IL FAUT SAUVER, à la Maison des Arts et Loisirs, en partenariat avec le @fracpicardie !
Coordination graphique : Mirat-Masson
Crédit photographique : Gabriel Folli
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Mon travail photographique est publié par Le Quotidien de l'Art Article par Valentin Valette
En images le projet De dérive en dérive et le projet Immanences en collaboration avec Hakim Rezaoui
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En piste avec Muriel Bordier
En piste avec Muriel Bordier
La Galerie photographique du Carré Amelot de La Rochelle présente l’exposition “En piste”, photographies de Muriel Bordier du 7 septembre au 22 décembre 2023. L’exposition fait suite à la résidence rochelaise de la photographe Muriel Bordier pendant l’été 2023 dans le cadre du projet Entre les images, programme national de transmission et d’atelier de pratique photographique est développé par le…
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#artiste#carré amelot#clin d&039;art#cyclo#exposition#La Rochelle#Muriel Bordier#photographe#photographie#residence#vélo
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Le Monde à travers soi
Le travail photographique de Véronique Emmanuelle Bourgeois, artiste plasticienne, est principalement centré sur l’image de soi. Sa recherche, à la fois passionnée et prolifique, s’engage dans les voies de l’autoportrait en redéfinissant les champs photographiques qu’elle explore : le paysage, le portrait, le nu académique ou hors normes, la ville, la rue.
La mise en scène de son corps dans des endroits divers, et parfois improbables, produit en chaque image un effet de surprise : les espaces intérieurs et extérieurs s’organisent autour d’une présence insolite qui n’est pas d’abord un nu, mais une énigme visuelle, un chiffre. En fonction de la lumière et du lieu, le corps se courbe, se renfle, se bombe ou au contraire zigzague, se redresse ou se casse, devenant une empreinte graphique forte comme un tatouage à la surface du monde.
Dans cette quête photographique, Véronique Emmanuelle Bourgeois consacre une approche particulière à ses propres portraits : en buste ou en plan rapproché, ce sont des personnages choisis qui démultiplient son identité. En déclinant ainsi sa beauté dans des rôles très expressifs de danseuse, de clown, de pleureuse, de cover-girl, d’sdf ou de star, elle entame un projet de représentation du monde à travers soi, l’autoportrait comme visite sociale.
Ce dernier trait ainsi que l’érotisme qui irradie ses photographies font que son œuvre compte parmi les plus originales en matière d’autoportrait.
Robert PUJADE
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Mood Disorder de David Horvitz
est un projet photographique dans lequel l’artiste s’est photographié dans une position stéréotypée de la tristesse, telle que présentée dans les stocks images, avec en arrière-plan des vagues. Il l’a ensuite insérée dans la page Wikipédia pour « Trouble de l’humeur » (Mood disorder). De ce fait, cette image est libre de droit, comme toute image sur Wikipédia, et beaucoup de personnes ont commencé à l’utiliser pour illustrer des articles sur la dépression et autres sujets en rapport à la santé mentale. David Horvitz a ensuite rassemblé ces sites et ces articles pour en faire un livre.
Ce projet relève des interrogations intéressantes. Premièrement, celle du droit d’auteur et la question de l’appartenance d’une photographie à l’artiste. La photographie publiée sur Wikipédia n’est plus sujette au droit d’auteur et du coup peut être réappropriée et transformée. Certains l’ont modifiée en la recadrant et en changeant les couleurs faisant que l’artiste perd tout contrôle sur l’image et laisse la place au hasard. Cette image n’est plus la sienne.
Ensuite cette image stéréotypée, me fait penser à la republication des images sur les réseaux sociaux qu’on finit par voir partout et la perte de la source originale. On ne sait plus d’où elles viennent et on ne se pose plus trop la question.
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Journal du mardi 14 février 2023.
Vents d’Est : avril 1993-Avril 1999.
Les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe de l’est après la chute de l’empire soviétique.
Le livre Vents d’Est, publié en 2000 avait été conçu en quatre parties, les quatre saisons, métaphores de la vie qui passe. L’hiver regroupait les minorités en lutte ou en proies à des discriminations, le printemps accompagnait les minorités qui commençaient à s’en sortir avec une démocratie encore balbutiante et des portes qui s’ouvraient vers un futur, l’été et le bonheur retrouvé, ou tout simplement trouvé, et l’automne encore incertain avec des gouvernants qui se servaient des minorités comme d’une monnaie d’échange, donnant donnant, politique oblige.
Aujourd’hui dans l’été :
Lundi 5 juin 1995.
À côté du grand pèlerinage de Csiksomlyo pour la pentecôte, d’autres évènements plus locaux se déroulent, comme dans le village de Tekeropatak (Valea Strimba). Le lundi de pentecôte, le curé de la paroisse dirige la procession. C’est souvent plus facile de photographier les petits évènements que les grands où l’on peut se sentir vite submergé.
Je travaille en commande pour le magazine Géo, donc en couleur (Kodachrome, le roi des films couleur), mais parallèlement à cette commande je photographie en noir et blanc pour mon projet personnel sur les minorités. Je jongle par moment entre le noir et blanc et la couleur, mais si je vois en couleur, mon ressenti photographique est le noir et blanc, et les grands classiques qui me firent rêver jeune débutant, et même avant !
Deux ans plus tard en 1997, après la nouvelle qui annonçait que j’étais le lauréat du prix Eugene Smith à New York, le rédacteur en chef de Géo, Jean-Luc Marty me publia un portfolio de ce travail sur les minorités en noir et blanc, qui d’une certaine manière préfigura la maquette de Vents d’Est, publié en 2000 aux éditions Marval.
J’ai trouvé que c’était très classe de sa part. Jusqu’à son arrivée à la rédaction en chef, le magazine publiait uniquement de la couleur.
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New Farmer, Bruce Eesly, 2024, images générées par intelligence artificielle
Bruce Eesly est un artiste, photographe et jardinier Berlinois, né en 1984.
Le projet dont je vais vous parler s’intitule New Farmer (2024), ou Le fermier du futur en français. J’ai découvert cet artiste à travers ce projet lors du festival de photographie Les Rencontres d’Arles en 2024.
New Farmer est un projet photographique mêlant intelligence artificielle et images d'archives interrogeant les conséquences de l’agriculture industrielle et intensive, qui découle de la révolution verte des années 1960.
On y voit toutes sortes de légumes aux couleurs vives, à l’aspect lisse mais surtout aux tailles complètement démesurées, symboles des excès de la productivité à tout prix.
À travers son travail, Bruce Eesly parle des conséquences de l’agriculture industrielle, mais aussi des absurdités de notre culte technologique.
On peut établir un parallèle entre l’agriculture et les nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle dans ce cas précis, car toutes deux ont été et continuent d’être poussées à l’extrême pour maximiser les profits sans forcément de limites.
« Ce travail est né d’un sentiment de colère face à l’engloutissement de la diversité végétale, elle-même façonnée par des milliers d’années de culture humaine, par l’esprit de profit et de productivité » Bruce Eesly
Je trouve ce projet intéressant tout particulièrement car il démontre que peu importe le domaine d’exploitation, ici l’agriculture et la technologie, l’humain demande toujours plus, cherche constamment à dépasser les limites en s’éloignant de plus en plus des questionnement éthiques (agriculture intensive et intelligence artificielle capable de faire toujours plus).
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