#profite de la vie
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C’est grave docteur ? On a vu Julia et Justine discuter en souriant juste avant le podium tout à l’heure, et ça a calmé un petit quelque chose en moi. Elles riaient même ensemble sur le podium. 🥺
#je sais pas quoi penser de toute l’affaire#et je trouve ça vraiment triste de me dire que c’est la guerre dans l’équipe#meme si c’est la vie faut être réaliste#mais ​du coup je suis contente de voir que quand même elles arrivent à profiter des podiums en relais ensemble#biathlon#Justine Braizas Bouchet#Julia Simon
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Je vis m’a best life comme quand j’avais 20 ans sauf que mon corps me fait remarquer que je n’ai plus 20 ans. Pourtant je ne suis pas beaucoup plus vieux c’est terrible
#On se calme#probablement le fait de travailler de nuit qui a détruit ma santé#pas grave on vit dans le déni ici#je suis encore MALADE#mais je profite de la vie#mon corps qui me dit STOP#moi qui dit aller on n’a qu’une vie on va rire !!#on rit moins quand on passe proche de pass out devant les gens#mais j’ai ris#et ils ont tous rient#un peu gênant mais plus facile à digérer avec humour#la santé incarnée ici quand je vais avoir du temps je vais peut-être aller consulter pour mon système immunitaire#j’ai l’impression de ne plus avoir de système immunitaire#lol#je vous parle pas du fait que mon job m’a un peu traumatisé sur le fait de vieillir#c’est une autre histoire
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COMMENT REVENIR AU MOMENT PRÉSENT ?
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Voici quelques conseils pour vous aider à revenir au moment présent afin que votre éternité devienne meilleure ici et maintenant… 1. Donnez-vous la permission de profiter de la vie, quoi qu’il arrive Nous nous laissons entraîner par les choses auxquelles nous pensons que nous “devrions” penser. On nous a enseigné ce à …
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La Criminelle Arnaque du Covid 19: Une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars pendant que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid
Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer claironne : « 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont…
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#COVID-19#crime organisé#Défenseurs de la Terre#dictature totalitaire sanitaire#Illuminati#La criminelle arnaque du Covid-19#Michel Duchaine#Politique#profits#Sociétés secrètes#survie#vie
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Comment créer un complément de revenus sur internet pour sa retraite
Introduction Atteindre la retraite et avoir l’occasion de profiter de cette nouvelle phase de sa vie est le rêve de nombreuses personnes. Toutefois, les finances doivent également être un des éléments à prendre en considération et à gérer correctement. Heureusement, il est possible d’améliorer ses finances en créant un complément de revenus sur internet avant la retraite et ainsi profiter…
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#argent internet#ciblecash#complément de revenu#complément revenus retraite#France#partir en retraite tôt#profiter de la vie#réforme des retraites#retraites#revenus passifs#travail#travail à domicile
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« La vie est un voyage fou et merveilleux. Il y a du chaos, puis vient la paix, et puis tout recommence. Le secret est de profiter du voyage. » ~ Regina Brett
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Il y a
(Note: * means it is a negative sentence: il n'y a)
Anguille sous roche - there's something fishy going on
Belle lurette - it's been a while
Bien longtemps (que) - it's been a while (since)
Comme un goût de - it almost tastes like
De ça - you are right but there is more to it (casual)
De ça (+ duration), - it was (X time) ago that
De la friture sur la ligne - there's static on the line
De l'ambiance - there's a great atmosphere
De l'eau dans le gaz - there's trouble brewing
De l'idée - that's not a bad idea (although it's incomplete)
De l'orage dans l'air - there's trouble brewing
De quoi - it is justified (casual)
De quoi ĂŞtre fier - /one/ can be proud about that
De quoi faire - there are enough supplies for the project
*De roses sans Ă©pines - there are no roses without thorns
Des baffes/claques qui se perdent - /one/ deserves a slap
Des coups de pied au cul qui se perdent - /one/ deserves a kick in the butt
Des hauts et des bas - there are ups and downs
Des limites - there are limits (not to cross)
Des moments oĂą - there are times when
Des nuages - it's cloudy
Du brouillard - it's foggy
Du boulot - we have a lot of work to do
Du monde/peuple - it is really crowded
Du monde au balcon - /one/ has big breasts
Du soleil - it's sunny
Du vent - it's windy
Du vrai (dans ce que tu dis) - /one/ is not wrong
Erreur (sur la personne) - /one/ is mistaken
Fort/gros Ă parier que - it is a safe bet that
Intérêt à (+ infinitive or que + verb) - there better (be): il y a intérêt que tu te calmes, il y a intérêt à se taire
Largement de quoi faire - there are enough supplies for the project
Le feu - fire!
Longtemps que - it's been a long time since
MĂ©prise - there is a mistake
Moyen de moyenner - we can make that work (casual)
*Pas Ă dire - you have to admit
*Pas Ă tortiller - there's no getting away from it (casual)
*Pas de fumée sans feu - there's no smoke without fire
*Pas de mais (qui tienne) - no arguing with me
*Pas de mal - no worries, you meant no harm
*Pas de mal Ă se faire du bien - a little of what you fancy does you good
*Pas de petits profits - look after the pennies and the pounds will look after themselves
*Pas de quoi - you're welcome (casual)
*Pas de quoi s'Ă©nerver - no need to get annoyed
*Pas de sot métier - all job is noble
*Pas de temps Ă perdre - there is no time to lose
*Pas le feu au lac - we are not in a rush (casual)
*Pas longtemps que - it hasn't been long since
*Pas mort d'homme - calm down (casual)
*Pas photo - clearly (casual)
*Pas un chat/rat - there is no one around
Peu de temps que - it hasn't been long since
Prescription - it's time to move on
*Plus de saisons - seasons don't mean anything anymore
*Que ça de vrai - this is what really matters
*Que la vérité qui blesse/fâche - you're angry because you know it's right
Quelque chose qui cloche (chez) - something is wrong (with)
Quelque chose qui m'Ă©chappe - I don't understand something
Quelques années - a few years ago
*Qu'un pas - /something/ is only one step away
*Rien Ă faire - there's nothing to do (bored or stuck)
*Rien de nouveau sous le soleil - there is nothing new
Un avant et un après - there is a before and an after
Un coup Ă jouer - /one/ has an opportunity here
Une éternité que - it's been an eternity since
Un temps pour tout - timing is everything
Il y en
A marre - /one/ has had enough, this is too much
*A pas un pour rattraper l'autre - you two are as bad as each other
+
Il y a X + X - there is a spectrum to it (unhappy): "Pierre said he stole the neighbours' cat as a joke!" "il y a blague et blague!"
Qu'est-ce qu'il y a ? - what's up ? what's wrong ?
S'il y a lieu - if applicable, needed
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir - where there's life, there's hope
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Message d'intérêt général -
Quand vous achetez mes skins, je vous en remercie profondément mais ça ne vous donne en rien le droit de demander des services gratuits par derrière. Juste au cas où ça échappe à certains, il y a un être humain derrière l'écran qui a donné de son temps pour réunir quelques skins à vendre pour arrondir ses fins de mois. Quand vous me demandez de modifier un skin en y ENLEVANT des choses pour ensuite vous plaindre de ne pas utiliser l'entiéreté du skin, vous ne pouvez pas demander des choses gratuites par derrière. Quand je prend une soirée entière pour modifier GRATUITEMENT les codes pour que ça colle à votre vision, ça ne vous donne pas le droit de profiter encore plus. Venir par la suite me culpabiliser de ne pas avoir utilisé entièrement le skin pour que je vous offre des choses gratuites, c'est non. Me culpabiliser d'avoir un jour dit "oui" pour installer quelque chose pour me forcer à le faire quand je dis ensuite non... le consentement ça vous dit quelque chose ?
Donc là je me retrouve face à un cas d'une personne qui n'a pas utilisé tout le skin, m'a demandé de retirer des éléments du dit skin, m'a fait installé toutes les catégories différentes parce que "je ne savais pas que le code serait si compliqué", puis se sert de cette excuse pour me demander de lui offrir le pack de fiches. Puis cette personne me demande ensuite de lui installer autre chose, screens à l'appui, bien que j'ai finalement dit plus tard ne pas savoir comment totalement faire.
Donc on va être clair. Oui, merci d'avoir acheté mes skins et si vous avez besoin d'aide, il n'y a aucun souci. Oui, j'ai aidé à peu près tous ceux qui ont acheté les skins et les fiches à les installer correctement parce que oui, on est pas tous calés en code. Non, je ne suis pas à votre disposition. Non, je ne vous doit rien, si ça n'est un merci. Non, quand je taff gratuitement à littéralement vous installer la moindre catégorie jusque dans le panneau d'administration, la moindre fiche, la moindre couleur, ça ne vous donne ni le droit de venir me demander de l'aide pour la moindre petite chose en MP tous les jours sur Discord, et encore moins de me demander des choses gratuites par derrière.
Je commence à être fatiguée de rappeler à certains que j'ai une vie en dehors de mon écran et que reçevoir tous les jours des demandes à l'aide est franchement épuisant alors qu'il existe je ne sais trop combien de forums d'entraide qui pourraient le faire tout aussi vite.
Je vends mes codes non seulement pour aider ceux qui le veulent à installer entièrement un forum entier sans se prendre la tête, et aussi pour pouvoir mettre un peu d'argent de côté. Je vous demande de me respecter en tant que personne, et c'est bien triste d'en arriver à demander ne serait-ce qu'un peu de respect. Soyons clairs, non je n'offre plus rien gratuitement depuis très longtemps, les raisons sont diverses et variées et peut-être qu'un jour je vous ferais ici un joli long post pour vous expliquer chaque situation qui m'a poussé un peu plus à m'isoler de la commu' RP.
En attendant, merde pour certains, merci pour les autres.
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A Farewell to Unicorns...
If you have been following me long enough, you probably know that about a year ago I have started a crazy cross-stitch project, see post here . I have posted updates here n there throughout 2023 with the tag #ladyandtheunicornproject . As every crafter & artist would know, when you embark on such a journey, it keeps lingering in the back of your mind every damn day that you don't work on it. I didn't touch it in months, then I finally found the energy to get back to it. This is the progress I made in a year, a little shy of 1.5 pages out of a 60-page pattern:
It just felt hopeless, the amount of confetti in this pattern is insane. And most of the time, it didn't even look like it made much difference. Then it kinda dawned on me; is this pattern the product of a pattern mill?
What it is a "pattern mill" you might ask... Some cross-stitch pattern shops on etsy simply use photos of artwork and convert them to cross-stitch patterns using free websites. They don't credit the artist, they don't pay a dime for the software, yet they profit from their work. The end result usually does not translate well to cross-stitch; lots of confetti, the project is unmanageable, kills the joy of crafting and when you're finished, it looks like a pixelated photo taken with an early 2000s phone camera.
After further research, I was convinced that my pattern is also from a pattern mill - considering the amount of money I spent on this project, it felt like a punch in the gut. My family will never have generational wealth & afford a vacation home on Rhode Island coast because of this fucking project! But hey, c'est la vie! You live and you learn... See related posts here & here
Sometimes, you just gotta know when to say "enough of this bullshit", cut your losses and walk away from a situation. For that reason, there's no point in working on this project anymore and making it my "Sagrada de Familia". So, I came up with an idea to finish it in an alternative way:
"Unfinished paintings are more admired than the finished because the artist's actual thoughts are left visible." This is a quote from Gaius Plinius Caecilius Secundus, some important guy who lived during the Ancient Roman times. I think it is a fitting quote because it represents my vision of saying "fuck this" and not having the fallacy of the sunk costs. Finished it, framed it and now displaying it in my library room in front of another tapestry from the Unicorn series.
It gives me closure rather than disappointment for a project that I started with such high hopes & excitement. If I just put it in a bag and threw it to the bottom of a closet, it'd make me feel guilty. But this still makes me feel accomplished, because it honors the hours of effort I put into it. It turned into a nice little conversation piece with a story. I still love cross-stitching and will work on better patterns in the future. There's already enough to dread about in life. Unfortunate experiences shouldn't take the joy out of pleasant activities!
#ladyandtheunicornproject#lady and the unicorn#a mon seul desir#unicorn tapestries#farewell to unicorns
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saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là , notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain Ă Barcelone Ă son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
RĂ©veils Ă 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi JoĂŁo et Romain Ă l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là , Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
 A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là -dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons Ă la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
JoĂŁo me prend Ă part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là -bas pour la première fois.
Jardinier
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Il faut profiter sans attendre de toutes les joies qu’offre la vie, et notamment celle du plaisir charnel, car quand nous ne serons plus que quelques os blanchis, le plaisir, ce sera fini…
V. H. SCORP
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Ne pensez pas trop et vis, ris, aime, pardonne, profite de la vie et sois très heureux. Tu sais, la vie c'est un peu de temps...
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La cantine
Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiés. Et au souvenir de la fête que c'était, enfant, les jours de cordon bleu, de steak haché, de bourguignon et de petit salé, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine était l'un des trésors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux à la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissière des plateaux-repas, la fumée des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde compréhensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplément de cordon bleu, de yaourt à l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul à table, longtemps après le départ des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'était temporaire. Tintement des couverts en arrière-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps après la fin de ces services, parfois jusqu'à la sonnerie de fin de récréation tandis que les "dames de la cantine" s'étonnaient de trouver encore un élève à table. Je n'irai pas jouer, le monde est décevant, il fait meilleur dans la proximité des grandes personnes qui sont là pour nous. J'allais encore chercher du supplément. Tout revenait dans l'ordre. C'était la vie stable et la paix, peut-être un aperçu d'éternité bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, à Paris, là -bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et âgés. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait à moi pourtant, à demi-étranger, un ordre qui me donnait hospitalité, amour, avenir. J'ai immensément aimé ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventés, gagnés sur l'engrenage obligatoire, moments de récollection, de récapitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de récré c'était les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans répit de la réputation et de la sentimentalité qui vous hameçonnent et vous enlèvent à vous même. Rester longtemps à la cantine c'était être rendu à soi-même dans la joie contenue, sans commentaire, sans éclat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui délimite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimé que la vie variée, les "excitantes opportunités" pour "profiter de la vie" et "s'éclater comme des malades" dans des nouveautés étonnantes et toujours renouvellées, qui vous mettent la tête à l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le démon qui vous accuse d'être un raté, accumuler en une seule journée un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sûr, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journée avoir gagné de l'argent, avoir été beau, avoir été bien habillé, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serré une petite et s'en être réservé une autre pour plus tard, avoir été drôle, avoir été profond, avoir été guerrier de la survie immédiate dans un tête à tête avec l'existence tout en ayant accepté avec dégagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goûté cette stabilité.
Il fallait en une seule heure avoir capté au réveil une musique nouvelle et opportune qui avait éteint vos doutes et façonné votre optimum d'état d'esprit, puis s'être douché en étrennant un fabuleux gel douche dérobé la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passé vos vêtements favoris tout en honorant simultanément un rendez-vous téléphonique pris de longue date qui allait permettre un déblocage administratif auquel on ne croyait plus, être sorti et avoir marché face au soleil tout juste revenu et croisé au moins un regard de jolie passante, être monté dans le métro à la seconde exacte où les portes fermaient, et s'en être allé ainsi vers la foule des opportunités de l'heure suivante, de la journée suivante, des années suivantes sous l'égide d'une présence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passées dehors à courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits là au bout de moi-même, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et réussir à la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas à moi et j'assumais de la prendre avec méthode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, à ce pourquoi j'avais jusqu'ici vécu sans avoir osé y aller. Aussitôt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais était de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abîmer, s'évader, s'oublier. La musculation, l'éducation, le gain d'argent, les belles possessions matérielles, les appuis mondains étaient des potentiels laborieusement amassés, mais ils étaient comme de l'huile dans des outres fatiguées de les contenir et qui ne demandaient qu'à crever, qu'à se répandre, qu'à purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est là . À quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hédoniste ! À cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-même parce qu'il est seul, habité d'un monde de désir et assiégé d'un monde d'impossibilités. Telle est la cruelle condition des hommes, voilà ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indifférence totale. J'ai beaucoup aimé les auteurs qui ont su exprimer ce moment précis, ce lieu précis de l'existence, ce vrai tête à tête avec les choses, un face à face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalité de votre être qui veut de toutes ses forces faire naître un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, Céline. Et plus près de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'êtes pas de taille, que vous êtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra très vite un support, "un lieu où reposer sa tête", une grâce, une aide externe, une réponse à vos tentatives comme une bouée de sauvetage à un naufragé haletant qui s'épuise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les étudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de déclassés comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvée, re-perdue, regagnée, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modèle, les filles qui ont la mèche sur le front et le collant qui s'arrête à la cheville. Planer au-dessus du marécage où s'enfonce le monde impie des indifférents, et parfois se débattre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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J'ai vécu heureuse
J’aurais pu devenir riche si j’avais choisi l’or plutôt que mes amitiés.
J’aurais pu être célèbre si j’avais cherché la renommée pendant les heures où je m’appliquais à jouer.
Et me voici, assis au milieu de ma vie, jetant un coup d’œil derrière moi pour voir tout ce que j’ai fait avec ces jours et ces années qui étaient miens et tout ce qui m’est arrivé.
Je n’ai pas vraiment de fortune à léguer à ceux qui porteront mon nom.
Et je n’ai rien fait qui soit susceptible de m’assurer une place sur les registres de la renommée.
Mais j’ai adoré le ciel et ses grands espaces bleus;
J’ai vécu avec les arbres et les oiseaux; J’ai dédaigné l’or et l’argent pour partager des plaisirs comme ceux-là .
J’ai donné mon temps à mes enfants, amis
Et je n’échangerais pas les heures heureuses passées avec eux pour tout l’argent que j’aurais pu faire.
J’ai choisi d’être connu et aimé par quelques personnes,
et j’ai fait la sourde oreille aux applaudissements des hommes;
et je referais les mêmes choix si la chance m’était donnée de revivre ma vie.
J’ai vécu avec mes amis
et j’ai partagé leurs joies,
connu leurs peines avec toutes leurs larmes;
J'ai fait une belle récolte avec les quelques arpents de ma vie,
Même si certains prétendent que j’ai gaspillé mon temps.
J’ai été à même de bien profiter de mes belles choses, et je crois avoir ainsi rempli ma vie de mon mieux.
Et a mon demie siècle de ma vie, je ne regrette pas tout l’or que j’aurais pu posséder. .."aujourd’hui je faites mes 56 ans ....et je peux vous affirmez que j’ai aimé c’est 56années... je suis une femme heureuse... épanouie... j’ai mon trésor.... mes enfants, ma famille, mes amis ❤️❤️
Et je ne regrette rien vraiment rien de ma vie ❤️
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"C'est dimanche... On se détend, on se fait plaisir et on profite de sa journée. La vie est faite de moments : ne les attendez pas, créez-les !"
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