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Ochiba: des personnages en feuilles mortes par un professeur d'art japonais
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/ochiba-personnages-en-feuilles-mortes/
Ochiba: des personnages en feuilles mortes par un professeur d'art japonais
#agencement#anime#Anpanman#automne#catbus#composition#Demon Slayer#feuille#japon#Kirby#manga#Ochiba#personnage#Pikachu#pokemon#pop culture#totoro#Winnie#Zenitsu Agatsuma#art#geek
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Photo
Broche "Hirondelle" (XIXe siècle) présentée à la conférence “La Faune en Haute Joaillerie : Inspiration et Création” par Caroline Benzaria - Historienne d'Art et Journaliste - et Inezita Gay-Eckel - Historienne de l'Art et Professeur - de L’École des Arts Joailliers, mars 2023.
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monologue
L'anniversaire de la mort de mon professeur d'art approche. Si mon professeur avait vécu, ma vie de peintre n'aurait peut-être pas été aussi douloureuse. Mon professeur est mort et je ne peux même pas lui parler de ma faiblesse.
Niet beschreven in het Japans omdat het moeilijk is voor de geest.
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Extraction\ : Over the hill
Diable la jungle appelle mobilisation des esprits la muraille protectrice du sang et du verre le quelque-chose perdu music forms a new circle le reste de la nuit sous le soleil ne sommes-nous pas patriotes yeux vides de pensée l'alto concetto je demande le frère la bête honnie maiden voyage empreintes de footprints l'énervé du total le gâté de mots ration de dévorations en colère on passe trop trop de réel escalator over the hill il y a un homme qui prend des noms oh il y a un homme il y a une femme délibérer fleurs forcées fleurs forcées trappe de fonte réunion forcée character concept du berceau de la lutte fait d'émettre plus grand que la musique la fonction de la ligne prévenance toile peinte taudis de l'autel le définitif mourir en mer spécial reste de chemin le dieu de la trahison polar d'art rêve toujours no l'univers des mentalités les grosses difficultés elle vous en dit attache-toi à moi l'heure facile du côté des conservateurs du plus grand bonheur extrapolation dans le calme il y a là vision à péage le plus indispensable.
(Professeur Stump, Extrait de L'Annuaire officiel des titres du Le Compost, 2023)
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Post n°64:
Suite de mes dessins d'observation en cours de mes amis/professeurs!
Table d'Arts Plastiques et Mr Thivol.
Crayons de couleur et crayons graphite gras.
Chaque dessin m'a pris environ 15 minutes.
Cours d'anglais dans une salle d'informatique.
Crayons graphite gras, stylo à encre, stylo Bic et feutre violet.
Environ 20 minutes.
Croquis de mes amies en Option Arts Plastique à l'aide de crayons graphite gras et crayons de couleur en 10 minutes.
Mon amie Kenza, au stylo à encre (25 minutes environ).
Meyssa en cours d'histoire, crayons graphite (25 minutes).
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Plaque en hommage à : Lucien Lautrec
Type : Lieu de résidence
Adresse : 10 rue Tournefort, 75005 Paris, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Le peintre Lucien LAUTREC (Nîmes 1909 - Paris 1991) a vécu dans cette maison de 1955 à 1991. Fondateur des Académies Populaires d'Arts Plastiques, il y dispensa son enseignement jusqu'en 1983.
Quelques précisions : Lucien Lautrec (1909-1991) est un peintre français, prolifique en peinture non figurative. Il étudie à l’École des Beaux-Arts de Nîmes avant de se rendre à Paris, où il fonde avec d'autres artistes l'Académie populaire d'Arts plastiques. Il fut un professeur d'art rigoureux.
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Albert Marquet Biographie, Valeur Nette, Date De Naissance
Le monde de l'art est souvent pénétré de figures fascinantes, mais combien connaissent réellement Albert Marquet? Né le 27 mars 1875 à Bordeaux, cet artiste français a souvent été éclipsé par ses célèbres contemporains du Fauvisme. Pourtant, ses paysages calmes et réfléchis ont captivé le regard de nombreux amateurs d'art.
Albert Marquet a acquis une reconnaissance significative au cours de sa carrière, malgré une fortune personnelle plus modeste par rapport à d'autres artistes de son époque. Sa date de naissance, le 27 mars, est souvent célébrée dans les cercles artistiques pour rappeler l'impact singulier de son œuvre. En tant qu'un des pionniers d'une approche plus apaisée du Fauvisme, il laisse un héritage riche en émotion et en maîtrise artistique.
Albert Marquet : Biographie
Albert Marquet, un peintre apprécié pour ses paysages, est né le 27 mars 1875 à Bordeaux. Dès son jeune âge, il montre un grand intérêt pour l'art. Il fréquente les Beaux-Arts de Paris, où il rencontre Henri Matisse. Ensemble, ils participent à l'émergence du Fauvisme, un mouvement artistique audacieux. Cependant, Marquet se démarque par un style plus doux et apaisant.
La vie de Marquet est marquée par ses nombreux voyages. Il aime peindre sur les rives de la Seine à Paris, mais explore aussi d'autres régions. Son travail en Algérie, en particulier, révèle sa capacité à capturer la lumière et l'atmosphère uniques. Contrairement aux coloris vifs des autres Fauves, Marquet utilise des tons plus subtils. Ses peintures transmettent une tranquillité rare. Pour plus d’informations, visitez Les secrets des stars françaises
Albert Marquet évolue artistiquement tout au long de sa vie. Il refuse de se limiter à un seul style. Marquet explore différentes techniques et approche divers sujets. Néanmoins, ses paysages de ports et de fleuves restent les plus iconiques. Sa capacité à rendre simple le monde complexe impressionne encore aujourd'hui.
Malgré le succès, Marquet reste modeste sur sa renommée. Ses œuvres sont largement exposées après sa mort en 1947. Elles continuent d'inspirer tant les amateurs d'art que les critiques. Sa vision unique et calme du monde demeure très influente. Albert Marquet reste une figure incontournable de l'art moderne.
Les débuts de Marquet : enfance et formation
Albert Marquet est né le 27 mars 1875 à Bordeaux, dans une famille modeste. Dès son enfance, il montre un intérêt marqué pour le dessin. Encouragé par sa mère, il passe des heures à explorer sa créativité. Son père, un fonctionnaire, lui offre souvent des matériaux pour qu'il puisse exprimer son talent naissant. Cette passion précoce pour l'art guide tout son avenir.
À l'adolescence, Marquet déménage à Paris, où il s'inscrit à l'École des Beaux-Arts. L'école, à cette époque, est un environnement stimulant pour les jeunes artistes. Albert y rencontre Henri Matisse, qui devient l'un de ses amis les plus proches. Leur amitié influence fortement l'évolution artistique de Marquet. Ensemble, ils explorent de nouvelles formes d'expression.
La formation de Marquet aux Beaux-Arts est diversifiée et enrichissante. Il étudie sous la direction de Gustave Moreau, un professeur renommé de l'époque. Marquet apprend à maîtriser différentes techniques, du dessin à l'huile. Il montre une préférence pour les paysages, qu'il capture avec une sensibilité unique. Ses années d'études sont essentielles dans son évolution stylistique.
Ses jeunes années sont également marquées par quelques voyages d'étude. Marquet visite plusieurs régions en France, enrichissant son expérience personnelle et artistique. Chaque paysage observé devient une source d'inspiration pour ses œuvres futures. Ces débuts modestes définissent son style simple et raffiné. Ainsi, chaque toile témoigne de sa passion pour la nature et l'art.
Valeur nette d'Albert Marquet: évaluation de sa fortune
Bien que très apprécié de son vivant, Albert Marquet n'a jamais accumulé une grande richesse. Les critères d'évaluation de la valeur nette d'un artiste ne se limitent pas à la simple accumulation d'argent. Ses toiles, aujourd'hui très prisées, témoignent de sa valeur artistique. Le marché de l'art a vu les prix de ses œuvres augmenter considérablement ces dernières décennies. Cette reconnaissance tardive compense en partie sa fortune modeste de son vivant.
Lors de ventes aux enchères, les peintures de Marquet se vendent à des prix impressionnants. Une seule de ses œuvres peut se vendre pour plusieurs milliers d'euros. Les collectionneurs reconnaissent la qualité et l'impact de ses paysages calmes et réfléchis. Cependant, durant sa carrière, il était souvent payé modestement pour son travail. Cela montre le contraste entre la valeur actuelle et sa situation financière passée.
Marquet a vécu simplement, préférant son art aux richesses matérielles. Il investissait son temps dans la quête de scènes à peindre plutôt que dans la recherche de gains financiers. Cette approche a souvent limité ses ressources. Cependant, son réseau d'amis artistes lui apportait parfois le soutien nécessaire. Ses priorités reflétaient son dévouement à l'art.
La fortune actuelle des œuvres de Marquet rappelle l'importance de la valeur artistique. L'estimation de sa valeur nette dépend en grande partie de la réputation posthume de son œuvre. Dans les musées et collections privées, ses tableaux continuent d'attirer l'attention. Marquet a laissé un patrimoine culturel significatif. Sa véritable richesse réside dans l'impact durable de son art sur les générations futures.
Date de naissance d'Albert Marquet et son importance dans l'histoire de l'art
Albert Marquet est né le 27 mars 1875 à Bordeaux, une date qui marque l'arrivée d'une figure incontournable dans l'art moderne. Cette période coïncide avec le développement de nombreux mouvements artistiques en France. Le contexte historique et culturel de sa naissance a influencé sa perspective artistique. Grandir pendant la fin du 19ème siècle a offert à Marquet une riche tapisserie d'influences. Cela a façonné son style distinctif qui se démarque encore aujourd'hui.
La date de naissance de Marquet est aussi symbolique pour une autre raison. Elle place Marquet parmi la génération d'artistes qui ont assisté à la transition entre le post-impressionnisme et le modernisme. Les artistes de cette époque cherchaient à rompre avec les méthodes traditionnelles. Marquet lui-même a exploré la lumière et la simplicité, refondant les codes de représentation. Sa naissance et ses premières années ont ouvert la voie à ces explorations novatrices.
L'importance de sa date de naissance dans l'histoire de l'art réside également dans les cercles qu'il a fréquentés. Il a côtoyé des artistes tels que Matisse et Derain, avec qui il a formé le Fauvisme. Ce mouvement cherchait à laisser une empreinte durable sur la scène artistique. Le fait d'être contemporain de ces artistes a enrichi ses expériences et élargi ses horizons. Ainsi, il a pu contribuer de manière unique aux évolutions de son époque.
La date de naissance de Marquet revêt aussi une signification particulière dans le calendrier artistique. Chaque année, le 27 mars est l'occasion de célébrer son impact mondial. Des expositions et des événements commémorent ses contributions à l'art. Ils renforcent l'influence continue de son style apaisant et introspectif. En se souvenant de la date de sa naissance, on garde vivante sa présence dans le domaine artistique.
Grâce à cette date emblématique, l'héritage de Marquet continue d'influencer de nombreux nouveaux artistes. Ses œuvres sont étudiées dans le monde entier, inspirant ceux qui écoutent les échos de son approche contemplative. Son impact est perceptible dans la manière dont les artistes et les historiens perçoivent sa contribution au 20ème siècle. En observant les dates importantes, nous pouvons apprécier encore plus pleinement sa place dans l'histoire de l'art. Albert Marquet, à travers sa naissance, reste un pilier de l'art contemporain. Pour plus d’informations, visitez Le succès des acteurs français
Questions Fréquemment Posées
Albert Marquet, artiste français renommé, a laissé une empreinte indélébile dans le monde de l'art. Découvrez certaines questions autour de sa vie, ses inspirations et ses contributions artistiques.
1. Quels étaient les principaux sujets des peintures d'Albert Marquet ?
Albert Marquet est surtout connu pour ses paysages apaisants et ses vues urbaines. Ses œuvres dépeignent souvent des ports, des rivières et des scènes de la vie quotidienne en France. Son style unique, caractérisé par la douceur des couleurs et une composition équilibrée, distingue ses toiles des autres Fauves. Les scènes de Paris, notamment les quais de la Seine, occupent une place spéciale dans son œuvre.
Il aimait capturer la lumière changeante et l'atmosphère environnante, créant ainsi une connexion émotionnelle avec le spectateur. Sa capacité à enchanter les scènes ordinaires a fait de lui une figure respectée. En voyageant fréquemment, Marquet a exploré différents paysages, augmentant la diversité de ses thèmes. Sa palette subtile et ses thèmes captivent toujours les amateurs d'art.
2. Comment Albert Marquet a-t-il influencé le mouvement fauviste ?
Albert Marquet a joué un rôle clé dans le mouvement fauviste, bien qu'il ait gardé son propre style distinctif. Ses travaux avec Henri Matisse ont contribué au développement de ce mouvement artistique audacieux au début du 20ème siècle. En dépit de la flamboyance des autres Fauves, Marquet privilégiait une approche plus douce. Son utilisation subtile des couleurs contrastait avec les tons vifs des autres.
Sa contribution au Fauvisme réside dans sa capacité à préserver l'émotion à travers la simplicité. Marquet a montré qu'il est possible d'exprimer l'intensité tout en maintenant la nuance. Cette divergence a offert une profondeur différente au mouvement, enrichissant encore plus sa diversité. Ses œuvres continuent d'inspirer les artistes avec leur élégance intemporelle.
3. Quelles étaient les inspirations artistiques d'Albert Marquet ?
Marquet a trouvé l'inspiration principalement dans les paysages naturels et les scènes urbaines. Étant un grand voyageur, ses voyages à travers la France et à l'étranger ont considérablement influencé son travail. La lumière et l'atmosphère de chaque lieu visité enrichissaient sa palette artistique. L'eau, en particulier, était un thème récurrent dans ses œuvres.
Les motifs aquatiques, comme les fleuves et les ports, étaient capturés avec une précision poétique. Il était également influencé par ses contemporains, mais ses observations personnelles demeurent la force motrice derrière son art unique. Marquet s'imprégnait de chaque instant, transformant ses expériences en magnifiques compositions visuelles. Ses inspirations reflètent un équilibre entre l'observation et l'émotion.
4. Où peut-on voir les œuvres d'Albert Marquet aujourd'hui ?
Les œuvres d'Albert Marquet sont exposées dans plusieurs musées prestigieux à travers le monde. En France, le Musée d'Orsay à Paris possède une collection incontournable de ses peintures. Le Musée Albert Marquet, situé dans sa ville natale Bordeaux, offre également un aperçu de ses œuvres. Ces lieux offrent aux visiteurs une immersion dans l'univers paisible de Marquet.
À l'international, ses toiles se trouvent dans des collections comme celles du MoMA à New York. De nombreuses galeries privées exposent également ses œuvres lors d'expositions temporaires. Cette répartition globale montre l’impact durable de son travail. Les amateurs d'art peuvent ainsi découvrir sa vision unique de la vie à travers le monde.
5. Comment le marché de l'art évalue-t-il les peintures de Marquet aujourd'hui ?
Le marché de l'art accorde actuellement une grande valeur aux œuvres d'Albert Marquet. Lors de ventes aux enchères, ses peintures atteignent souvent des prix élevés, reflétant leur importance. L'intérêt renouvelé pour sa technique et son style y contribue également. Sa simplicité captivante attire les enchérisseurs.
Les œuvres de Marquet bénéficient d'une reconnaissance croissante au niveau international. Cela s'explique par la fascination durable qu'elles suscitent chez collectionneurs et amateurs d'art. Cette appréciation accrue témoigne de l'impact et de l'innovation de Marquet dans l'histoire de l'art. Son œuvre continue d'inspirer et de captiver.
Conclusion
Albert Marquet demeure une figure incontournable de l'art moderne. Sa capacité à transcender les conventions tout en maintenant une simplicité désarmante est remarquable. Son influence perdure, marquant les générations d'artistes qui suivent. Cet artiste insuffle une poésie subtile à travers chaque toile.
Les paysages sereins et les scènes urbaines de Marquet continuent d'attirer l'admiration et l'étude. Ils offrent un regard unique sur le monde, reflétant son approche inégalée. Ainsi, son œuvre reste un témoignage intemporel, enrichissant le patrimoine artistique mondial. Sa vision artistique est appréciée par le grand public et les experts.
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instagram
En résidence d'artiste au Collège Aimé Césaire à Étang-Salé, j'ai la chance de collaborer avec ses talentueux élèves et son incroyable équipe pédagogique dont mon ancienne professeure d'arts plastiques @sybille.chazot .
Merci à la classe ULIS, la classe de 3eme Takamaka (prépa-métiers) et la 5eme Kiwi pour leur enthousiasme et leur investissement. Déjà de beaux objets et encore de très belles choses à venir !
𝐃é𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐧𝐨𝐬 𝐢𝐦𝐚𝐠𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐫𝐞𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐧𝐭 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝, 𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 à 𝐝𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐥𝐞 𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭, 𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥'𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥, é𝐜𝐫𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞𝐬 𝐦𝐲𝐭𝐡𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞𝐬.
Un projet de Résidence de Recherche et Création en territoire scolaire subventionné par la DAC Réunion (2024)
#residencedartistes#territoire#ildelareunion#etangsalé#artistes#scolaire#tressage#vannerie#art#artisanat#dacreunion#Instagram
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Mary Colman Wheeler (1846 - 1920)
Au siècle, la voie des femmes est toute tracée : un bon mariage, une belle famille. Mais Mary Colman Wheeler, elle, rêve d'autre chose. D'enseignement. De voyage. De liberté. Des Etats-Unis jusqu'au village normand de Giverny, de l'enseignement jusqu'à l'art, la grande dame est bien décidée à mener sa vie comme elle l'entend. Portrait d'une peintre libre...
Mary Colman Wheeler naît le 15 mai 1846 à Concord, dans le Massachusetts (nord-est des Etats-Unis). Concord est alors un milieu progressiste et abolitionniste : le père de Mary est par exemple membre du Chemin de fer clandestin, un réseau de routes, refuges et itinéraires sûrs qui permettaient aux esclaves en fuite de gagner le Canada. Cet environnement familial a participé à forger le caractère libre et humaniste de Mary.
La mère de l’artiste, Harriet Lincoln Wheeler, par Mary Colman Wheeler, 1883, Collection Richard & Betty Ann Wheeler
Mary commence à dessiner jeune. Pour développer son appétence créative, elle suit plusieurs cours. Pour l'anecdote, elle partage des cours de dessin avec sa camarade et amie May Alcott, qui a inspiré à sa sœur Louisa May le personnage d'Amy dans Les Quatre filles du docteur March. Et en parlant d'inspiration, Mary a également été muse à son tour : son amie Anna Fuller s'inspire d'elle dans son ouvrage Pratt Portraits. L'héroïne, une professeure, doit choisir entre l'enseignement et le mariage, question à laquelle s'est retrouvée confrontée Mary. Dans le livre, le personnage choisit le mariage, mais la vraie Mary Colman Wheeler, elle, choisit de voyager et d'enseigner, comme nous allons le découvrir dans cet article.
Diplômée en 1864 de la Concord High School puis de la Abbot Academy deux ans plus tard, Mary obtient très rapidement un poste au lycée de Concord : entre 1866 et 1868, elle enseigne les mathématiques et le latin. Elle rejoint ensuite l'équipe éducative de la ville de Providence pour enseigner les mathématiques.
Sciences, langues... voilà une femme accomplie. Mais je vous ai présenté Mary comme une peintre et, exception faite de ses cours de dessins, nous n'avons pas encore parlé d'art. Comment cela se fait-il ? Et bien c'est simple : Mary n'a pas encore bifurqué. Cela sera chose faite en 1870. A cette époque, la sœur de Mary se marie et déménage en Allemagne. Mary, qui a toujours rêvé de voyages et de contr��es lointaines, se saisit du prétexte pour se rendre en Europe. Elle en profite alors pour apprendre l'art en Allemagne, alors Prusse. Le problème, c'est que la guerre franco-prussienne fait rage... et Mary est victime de l'ambiance tendue de l'époque : alors qu'elle est en train de peindre dans une petite bourgade, deux soldats allemands la prennent à partie. La raison ? Elle est étrangère. Américaine, et non pas française, mais à l'époque, c'est presque du pareil au même. Les soldats sont alors intimement persuadés que Mary est un espion français... déguisé en femme. L'artiste est arrêtée, avant d'être finalement libérée grâce à l'intervention de son beau-frère. Une anecdote absurde et cocasse que Mary se plait beaucoup à raconter par la suite.
Un drôle de quiproquo
Cette drôle de mésaventure aurait pu éloigner Mary des pinceaux, mais elle continue d'apprendre, de travailler. Dans les années 1870, elle part ainsi étudier la peinture en Italie, puis en France. La consécration parisienne arrive alors : elle est acceptée avec une Tête d'étude en 1880 au Salon.
En 1882, elle revient finalement aux Etats-Unis. Elle retrouve Providence, mais enseigne cette fois-ci la peinture. Ses cours se destinent aux femmes de tous horizons, tous âges. La majorité de ses étudiantes se trouve néanmoins être les enfants de ses anciennes amies, désormais mères de famille. Mary ouvre finalement sa propre école, la Wheeler School, en 1889.
Les classes de Mary C. Wheeler
Mais Mary ne s'arrête pas là. Dès 1887, elle décide d'organiser des voyages d'été pour emmener plusieurs de ses élèves en France. A 40 ans, Mary est désormais complètement bilingue. Elle profite de son aisance avec le pays pour organiser pour ses étudiantes des cours de peintures ou de sculptures.
Si ces séjours sont évidemment profitables pour les jeunes femmes que Mary encadre, elle-même continue de se former, d'enrichir sa peinture. C'est lors d'un voyage français qu'elle découvre l'art de peindre en plein air. Car oui, peindre en plein air est un art, une façon de vivre : il ne s'agit pas simplement de planter son chevalet sous un arbre avant de se ruer sur sa palette. On prend au contraire le temps de découvrir le paysage, de se familiariser avec, en somme, on apprend à le connaître. De là vient l'inspiration. La libération, même, puisque Mary réalise plusieurs nus en plein air !
Nu, 1887-1904, Collection Emily Wheeler
Mary, alors quadragénaire, alterne entre cours, productions, voyages : c'est simple, elle ne s'arrête pas.
Autoportrait à 40 ans, Mary Colman Wheeler
En 1907, Mary organise un nouveau séjour d'été, mais cette fois-ci dans un lieu un peu spécial : elle se rend à Giverny. Ce petit village normand pourrait être tout à fait banal, si ce n'est la présence de Claude Monet, installé dans le village depuis 1883. La présence du maître a attiré une colonie d'artistes, pour beaucoup anglo-saxons. Quand elle arrive avec ses élèves, Mary n'est ainsi pas la première américaine à avoir foulé la terre givernoise. En revanche, elle parvient à se rapprocher de Claude Monet, pourtant très attaché à sa solitude, et peu désireux de se faire des fréquentations.
Il faut dire que Mary sait se faire remarquer : la façon dont elle s'occupe de ses jeunes élèves ne passe pas inaperçue, puisque Jean-Pierre Hoschédé, le beau-fils de Claude Monet, raconte dans son Claude Monet, ce mal connu que Mlle Wheeler était l'une de ses "peintresses" (terme qui n'a rien de péjoratif et avec lequel les habitants et artistes désignaient les femmes peintres), célèbre pour son école de peinture pour jeunes filles. Mary s'investit également dans la vie du village. Elle fréquente la famille Butler, peint avec d'autres artistes.
Cette époque givernoise est évoquée dans une toile conservée en France, la Fille au jardin. L'on y voit une femme, tout de bleue vêtue, assise à l'ombre. En fond, on reconnaît la végétation luxuriante de ce bout de campagne normand. Un tableau qui évoque le jardin loué par Mary, proche de la maison Monet, mais également une coutume, celle du partage de modèles. A l'époque, il peut en effet arriver aux artistes de peindre un même modèle lors d'une même séance de pose, solution économique puisqu'elle permet de partager les frais. Mary se prête non seulement volontiers au partage de modèle, mais n'hésite pas non plus à payer la part d'artistes moins fortunés qu'elle. On peut ainsi retrouver la dame ci-dessous dans les tableaux d'autres artistes, vêtue de la même robe, portant la même ombrelle, figée dans la même position.
Fille au jardin, Mary Colman Wheeler, 1910, Musée des impressionnismes Giverny
Il est alors important pour l'artiste d'avoir un style propre, qui lui permette de se démarquer. La touche vibrante et colorée de Mary est ainsi un atout.
Mary cesse ses voyages givernois en 1913, mais n'arrête jamais de peindre. Elle décède d'un malheureux accident en 1920 : elle glisse sur une rue gelée et les complications de cette chute ont raison d'elle.
Mary Colman Wheeler, alors septuagénaire, en pleine séance de travail
Mary Colman Wheeler a ainsi eu une vie remplie. Elle a participé à représenter l'art états-uniens à l'étranger, elle a voyagé, s'est formée tout au long de sa vie mais a aussi et surtout aidé des jeunes femmes à découvrir l'art, à affiner leurs goûts, à oser s'exprimer. En somme, Mary Colman Wheeler a eu la vie qu'elle voulait mener : une vie dédiée à l'enseignement et à l'art. Une vie dont on peut encore s'inspirer aujourd'hui, en nous rappelant qu'il n'est pas interdit de rêver.
Pour en savoir plus : - Mary Wheeler Art Gallery - The Wheeler Schoo - Claude Monet, ce mal connu, Jean-Pierre Hoscédé - Musée des impressionnismes - Giverny, site internet
Sauf mention contraire, toutes les images proviennent du site The Wheeler School
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professeur d'art dramatique
🔔 Poste vacant : http://dlvr.it/T8Qv12 . Voir l'annonce ⬇️
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MARK FRANKO
Lundi 29 avri 2024 à 19h (heure de Paris)
Monday April 29th 2024, 7pm (Paris time)
@ MSH, 16 – 18 RUE SUGER, 75006 (métro Odéon ou St – Michel)
Mark Franko est un historien de la danse de réputation internationale. Il a renouvelé notre compréhension de la danse baroque autant que de la performance et de la chorégraphie du XXe siècle dont il a étudié particulièrement les relations avec le champ politique et la constitution des collectifs. Depuis Dancing Modernism/Performing Politics en 1995, il a publié Dance as Text: Ideologies of the Baroque Body traduit en Français par les Éditions de l’Éclat sous le titre La danse comme texte : Idéologies du corps baroque ; The Dancing Body in Renaissance Choreography: Kinetic Theatricality and Social Interaction (2022) ; The Work of Dance: Labour, Movement and Identity in the 1930s (2002) ; Martha Graham in Love and War : The Life in the Work (2012 )et, en 2020, The Fascist Turn in the Dance of Serge Lifar: Interwar French Ballet and the German Occupation. Il est aussi le co-éditeur de Acting on the Past: Historical Performance Across the Disciplines (2000). En 2018 une anthologie de ses écrits a été publiée par Routledge : Choreographing Discourses: A Mark Franko Reader qui permet de retrouver les nombreux articles qu’il a publiés dans Discourse, PMLA, The Drama Review, Res: Anthropology and Aesthetics, Theatre Journal… Mark Franko est professeur de Danse et président du département des Arts du Théâtre de l’Université de Californie, Santa Cruz. Mais Franko a aussi poursuivi une carrière de danseur et de chorégraphe, d’abord (1964-1969) dans le cadre du Studio for Dance, à New York, un bastion précoce de la danse post-moderne auquel il a consacré un livre, Excursion for Miracles: Paul Sanasardo, Donya Feuer, and Studio for Dance. Avec sa propre compagnie, NovAntiqua, fondée en 1985, il a travaillé le répertoire classique autant que la restitution des danses du Bauhaus par exemple. Son œuvre de chorégraphe a obtenu le soutien du National Endowment for the Arts, the Harkness Foundation for Dance, the Getty Research Center for the History of Art and the Humanities, the Zellerbach Family Fund and the New Jersey State Council on the Arts. NovAntiqua s'est produite au J. Paul Getty Museum (Malibu), au Berlin Werkstatt Festival, à la de la Torre Bueno Award Ceremony (Lincoln Center, New York), au Mueée d'Art de Toulon, à l'Opéra de Montpellier,au Lincoln Center Out-of-Doors Festival, aux Princeton University Theater and Dance Series, au Haggerty Art Museum (Milwaukee), et le ODC Theatre San Francisco.
[EN] Mark Franko is an internationally renowned dance historian. He has renewed our understanding of Baroque dance as much as of twentieth-century performance and choreography, whose relations with the political field and the constitution of collectives he has studied in particular. Since Dancing Modernism/Performing Politics in 1995, he has published Dance as Text: Ideologies of the Baroque Body, translated into French by Éditions de l'Éclat as La danse comme texte: Idéologies du corps baroque; The Dancing Body in Renaissance Choreography: Kinetic Theatricality and Social Interaction (2022); The Work of Dance: Labour, Movement and Identity in the 1930s (2002); Martha Graham in Love and War: The Life in the Work(2012 )and, in 2020, The Fascist Turn in the Dance of Serge Lifar: Interwar French Ballet and the German Occupation. He is also the co-editor of Acting on the Past: Historical Performance Across the Disciplines (2000). In 2018, an anthology of his writings was published by Routledge: Choreographing Discourses: A Mark Franko Reader, which brings together the many articles he has published in Discourse, PMLA, The Drama Review, Res: Anthropology and Aesthetics, Theatre Journal... Mark Franko is Professor of Dance and Chair of the Department of Theatre Arts at the University of California, Santa Cruz. But Franko has also pursued a career as a dancer and choreographer, first (1964-1969) with New York's Studio for Dance, an early bastion of post-modern dance to which he dedicated a book, Excursion for Miracles: Paul Sanasardo, Donya Feuer, and Studio for Dance. With his own company, NovAntiqua, founded in 1985, he has worked on the classical repertoire as well as the restitution of Bauhaus dances, for example. His choreographic work has been supported by the National Endowment for the Arts, the Harkness Foundation for Dance, the Getty Research Center for the History of Art and the Humanities, the Zellerbach Family Fund and the New Jersey State Council on the Arts. NovAntiqua has appeared at the J. Paul Getty Museum (Malibu), the Berlin Werkstatt Festival, the de la Torre Bueno Award Ceremony (Lincoln Center, New York), France's Toulon Art Museum, the Montpellier Opera, Lincoln Center Out-of-Doors Festival, the Princeton University Theater and Dance Series, the Haggerty Art Museum (Milwaukee), and ODC Theatre San Francisco.
Programmation et prochains rendez-vous sur ce site ou par abonnement à la newsletter : [email protected]
Pour regarder les séminaires antérieurs : http://www.vimeo.com/sysk/
Séminaire conçu et organisé par Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Natasa Petresin-Bachelez et soutenu par la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte
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"Bracelet" en dents de requin de Teresa Milheiro (2010) présenté à la conférence “La Faune en Haute Joaillerie : Inspiration et Création” par Caroline Benzaria - Historienne d'Art et Journaliste - et Inezita Gay-Eckel - Historienne de l'Art et Professeur - de L’École des Arts Joailliers, mars 2023.
#conferences#inspirations bijoux#cabinet de curiosités#Milheiro#Benzaria#GayEckel#EcoleVanCleef&Arpels
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Le Sim: David Bond
ID: itslyloo
NAME: R-t-U | David
David Bond a toujours été très évasif sur son passé, ne voulant pas être associer à ses parents artistes bohémien. Leurs modes de vie ne lui plaisait pas et il leurs a toujours fais comprendre, prenant de la distance avec eux au fur et à mesure. Très jeune, il savait qu'il devait atteindre les grandeurs de la société, que tous les regards devaient être sur lui alors il a commencé à s'orienter sur le théâtre. Il était naturellement bon, captivant le publique avec une facilité déconcertante.
Dans son adolescence, il a commencé à travailler d'arrache pied pour quitter la caravane de ses parents. Pousser par ses professeurs, David c'est inscrit à l'université de Britchester, y décrochant un diplôme d'art dramatique avec honneur et mention.
Plus rien ne pouvait arrêter David. Plus rien est personne. Sauf son nom de famille le ramenant encore et toujours à ses parents. Alors il s'en ait débarrassé comme on jetterait un vieux vêtements troués par le temps, devenant quelqu'un d'autre. Comme le ferait un agent secret. Il montait les marches de la gloire à une vitesse fulgurante faisant de lui le premier sim à devenir une superstar mondiale à seulement 21 ans.
Malgré tout, une certaine nostalgie de temps plus simple l'améne à chercher du réconfort avec le toucher d'une guitare en bois d'érable et les murmures vagabonds des chansons de ses parents.
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👤: jeune adulte
💰: 500 000$
⭐️: célébrité 5☆
📜: diplôme d'art dramatique prestigieux avec mention
💼: acteur - icône du grand écran
⚜️: aspiration "célébrité de renommée mondiale" - aspiration terminé
— 02 —
🔅: snob | sûr de lui | réticent à s'engager | sociable | perfectionniste | célébrité inébranlable
🔆: pilier de salle de gym | indépendant | sans gêne | captivant
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🍷: grappo blanco de Granite Falls
🌂: parapluie noir
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🔧: chant (5) | charisme (10) |entrepreneuriatt (5) | fitness (8) | guitare (8) | jeu d'acteur (10) | logique (8) | piano (10) | ski (5) | violon (8)
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📋: réputation - très bonne
👑: coqueluche des paparazzis | palais raffiné | courrier de "fan" | aime côtoyer des stars
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LE CULTUREL 2.0 avec Winston McQuade et Sylvie Harvey : Geoffrey Gaquère, professeur et metteur en scène nous invite à l’Événement-Bénéfice du Conservatoire d’art dramatique de Montréal le 25 mars dès 18 heures. La pièce « Il n’y a que l’amour » est signée par le dramaturge Jean-Marc Dalpé…
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Dessin d'observation de mes professeur d'art pour leur badge des portes ouvertes de mon lycée.
Fevrier 2024
#145
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