#prinzhofer
Explore tagged Tumblr posts
diemelusine · 3 months ago
Text
Tumblr media
Hector Berlioz (1845) lithograph by August Prinzhofer.
21 notes · View notes
harvard-art-museums-prints · 4 years ago
Photo
Tumblr media
M. Pleichl, August Prinzhofer, 1846, Harvard Art Museums: Prints
Harvard Art Museums/Fogg Museum, Museum Collection
https://www.harvardartmuseums.org/collections/object/260134
1 note · View note
toanunnery · 8 years ago
Photo
Tumblr media
Portrait of Nina Kienzel
August Prinzhofer, 1864
1 note · View note
maxciti · 3 years ago
Text
L'Invincibile di Stanisław Lem
L’Invincibile di Stanisław Lem
L’Invincibile è un romanzo di Stanisław Lem, autore, per chi non lo ricordasse, di Solaris, uno testo magistrale dal quale sono stati tratti due film, il primo, di Andrei Tarkovskij, a mio parere assolutamente inimitabile. Il testo originale di Lem è del 1964 e l’edizione Nord, rigorosamente tradotta dal polacco da Renato Prinzhofer, è del 1974. Il testo, ripescato nella mia seminesplorata…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
projetofotociencia · 6 years ago
Text
Tumblr media
No meio de tanta folha seca, as minuciosas folhas verdes conseguem realçar seu brilho e esplendor.
Gabrielli Prinzhofer Cheosia
0 notes
b-sides-magazine · 4 years ago
Text
FANTAITALIA - Editrice NORD - le copertine
FANTAITALIA – Editrice NORD – le copertine
All’inizio degli anni Settanta Gianfranco Viviani fonda la meravigliosa Editrice Nord e porta nelle librerie fantascienza e fantasy, due generi letterari ritenuti inferiori che prima trovavano spazio solo nelle edicole. Sceglie importanti opere di narrativa anglo americana e si avvale di collaboratori di tutto rispetto: Renato Prinzhofer, Riccardo Valla, Sandro Pergameno. Fa conoscere all’Italia…
View On WordPress
0 notes
akemoi · 5 years ago
Text
L’hydrogène et son avenir, par Alain Prinzhofer
http://dlvr.it/RH73Fs
0 notes
utopiedujour · 5 years ago
Text
L’hydrogène et son avenir, par Alain Prinzhofer
Ouvert aux commentaires.
L’hydrogène gaz (ou dihydrogène) est devenu ces dernières années un sujet débattu dans le domaine de l’énergie, comme possible solution pour réduire les émissions de CO2 liées à notre consommation énergétique actuelle. Il faut rappeler que le marché de l’hydrogène est aujourd’hui très important (60 millions de tonnes par an, environ 100 milliards de dollars par an). Cependant, il faut aussi noter que :
Il ne s’agit que d’hydrogène manufacturé, donc fabriqué à partir d’une autre énergie (hydrocarbures pour 96% de la production d’hydrogène, électricité pour les 4% restants). Pour produire 1kg d’hydrogène à partir de méthane (principale source d’hydrocarbure pour l’hydrogène), on relâche 20 kg de CO2 !). L’électrolyse est plus vertueuse, mais son coût financier est nettement plus important que la fabrication d’H2 à partir d’hydrocarbures, ce qui explique la prédominance de ce dernier,
Son utilisation ne concerne quasi-exclusivement que l’industrie chimique et non notre besoin en énergie pour le futur : synthèse de l’ammoniac et raffinage de produits pétroliers pour l’essentiel. L’hydrogène comme vecteur énergétique représente une proportion du marché hydrogène qui reste dans l’épaisseur du trait.
De nombreux projets dans le monde envisagent d’utiliser l’hydrogène comme « tampon » pour les énergies renouvelables : le soleil et le vent étant intermittents, il est nécessaire de stocker leur énergie (récupérée sous forme d’électricité) pour les moments de besoin et de pic de consommation, qui ne correspondent généralement pas aux pics de production. Les batteries ne pouvant convenir à ce stockage pour des raisons technologiques (prix, matières premières nécessaires, usure rapide, quantité de stockage sans commune mesure avec les besoins envisagés), la solution proposée est l’hydrogène. On transforme l’électricité en hydrogène par électrolyse, cet hydrogène peut être facilement stocké, et on le retransforme en électricité quand on en a besoin par des piles à combustible. En d’autres termes, il s’avère plus facile de stocker une molécule (H2) que des électrons (électricité).
En gros et en résumé, aujourd’hui, le monde s’est habitué à l’importance de l’hydrogène dans l’industrie chimique, et est prêt à l’accepter comme solution de stockage/déstockage de l’électricité. Mais le monde n’est pas prêt à considérer cette énergie comme une solution pour la transition énergétique. Et elle justifie ce choix avec d’excellents arguments financiers et scientifiques : la transformation d’une énergie en une autre se fait toujours avec un rendement inférieur à 1, donc, pourquoi transformer les hydrocarbures en hydrogène, en perdant au change et en continuant à relâcher du CO2 ? En tant que vecteur énergétique, l’électricité a de nombreux avantages sur l’hydrogène, sans parler de son acceptation sociétale maintenant totalement confirmée par plus d’un siècle d’utilisation à grande échelle.
Ces simples faits induisent des réactions fort simples dans l’opinion publique : l’hydrogène ne peut devenir un vecteur énergétique avec le même succès que son concurrent l’électricité. Il ne peut qu’aider au développement de génération d’électricité vertueuse et renouvelable, rien de plus ! On ajoute à cela quelques lobbies (nucléaire, fabricants de gaz industriels, industrie pétrolière) qui n’aident pas à évoluer dans cette direction, et l’hydrogène comme énergie semble avoir un avenir compromis.
Ce constat peut apparaitre réaliste et fataliste, mais il manque un élément d’information qui peut devenir essentiel : l’hydrogène gaz existe sur Terre à l’état naturel, notre planète le fabrique depuis toujours sans nous en avoir bien informé, et il est même exploitable à faible coût environnemental et financier ! Ceci change la donne et amène un espoir immense de pouvoir évoluer vers une SOURCE d’énergie (et non un vecteur) propre (en le brûlant, on n’émet que de l’eau) dont le coût deviendrait acceptable pour l’humanité. Bien sûr, cette affirmation cache de nombreux questionnements, liées à un manque évident de connaissance scientifique sur cette nouvelle matière première. Mais nous avons commencé à exploiter le pétrole vers 1850, 80 ans avant de comprendre sa source, et un siècle avant de pouvoir essayer de prédire les lieux de sa présence. Alors, les lacunes concernant l’histoire géologique de l’hydrogène naturel ne devraient pas être un frein à sa valorisation. Et c’est plutôt sa valorisation qui permettra d’investir pour la recherche et la connaissance meilleure de ce système naturel.
L’hydrogène naturel est connu sur Terre depuis les années 1970. Mais il s’agissait de découvertes au fond des océans dans des zones volcaniques et hydrothermales, où son exploitation est encore aujourd’hui de l’ordre de la science-fiction. Puis il fut découvert à terre, dans des formations géologiques appelées ophiolites (anciens lambeaux de croute océanique coincés dans les chaines de montagne). Cette fois, l’argument était que les quantités observées sont bien trop faibles pour une exploitation rentable. Puis on le découvrit au milieu des continents, lors de forages à pétrole ou à eau qui, par hasard et par accident, rencontraient des accumulations d’hydrogène. Les fabricants d’hydrogène ont alors clamé que les réserves étaient trop faibles pour menacer leur « business plan » de fabrication d’hydrogène à partir des méthodes déjà décrites. Et la conséquence est que nous restons aujourd’hui avec une économie de l’hydrogène essentiellement chimique et très peu énergétique.
Or, malgré cette tendance mondiale à reculer devant ce possible, un entrepreneur Malien, Aliou Boubacar Diallo, a décidé d’investir il y a une dizaine d’années dans son pays sur cette nouvelle source d’énergie, à la suite d’un puits à eau foré en 1987 et qui avait trouvé du gaz avec 98% d’hydrogène. Aujourd’hui, 25 puits d’exploration ont été forés, tous avec des découvertes d’hydrogène, le village de Bourakébougou où se trouvent ces gisements est alimenté en électricité par l’hydrogène naturel, ce qui est une première mondiale. Le développement futur de ces champs d’hydrogène est en cours, non plus au niveau de l’exploration ou de l’utilisation locale, mais de la valorisation industrielle à l’échelle de la planète.
Par ailleurs, dans d’autres pays (Brésil, USA), des travaux de R&D sont faits sur l’hydrogène naturel, autorisant d’imaginer que d’autres aventures industrielles comparables à celle du Mali vont éclore dans les prochaines années.
Même si nous ne sommes pas encore devant un marché mature, force est de constater que l’équation de l’hydrogène est en train de changer totalement. L’hydrogène naturel ne va pas se positionner en concurrence avec l’hydrogène manufacturé, pas plus qu’en unique pourvoyeur de ce gaz, ces deux business vont se compléter et s’aider mutuellement, un marché avec deux bras de levier au lieu d’un seul a plus de chance d’avancer. Et peu importe si un des bras de levier devient prédominant dans le futur, l’hydrogène comme énergie vertueuse est en train d’éclore. Suivons sa croissance, mettons de la connaissance, de la recherche, de l’investissement, et surtout de l’information publique à son sujet.
from Blog de Paul Jorion https://ift.tt/34dfwxR via IFTTT
0 notes
netmassimo · 7 years ago
Link
Il romanzo "Abisso del passato", conosciuto anche come "L'abisso del passato" ("Lest Darkness Fall") di L. Sprague de Camp è stato pubblicato per la prima volta nel 1941. In Italia è stato pubblicato come "L'abisso del passato" da Ponzoni Editore nel n. 42 di "Cosmo" e nel n. 20 di "Cosmo. I Capolavori della fantascienza" nella traduzione di Gianni Atom, come "Abisso del passato" dall'Editrice Nord nel n. 4 di "Cosmo Oro" e da Mondadori come "L'abisso del passato" all'interno del n. 1361 di "Urania" e come "Abisso del passato" all'interno del n. 175 di "Urania Collezione" nella traduzione di Renato Prinzhofer.
Martin Padway è un archeologo americano in visita a Roma. Un giorno del 1938 sta visitando il Pantheon quando scoppia una forte tempesta e viene quasi colpito da un fulmine. Stordito, si rende lentamente conto che la gente attorno a lui è vestita in modo strano e parla in modo quasi incomprensibile in una lingua che non è l'italiano.
Ripresosi dallo stordimento, Martin Padway cerca di capire cosa sia successo e, chiedendo la data nel latino parlato dalle persone che incontra, scopre di essere nella Roma del 535 d.C. durante il regno di re Teodato. Non ha alcun modo di ritornare al suo tempo perciò deve cercare di sopravvivere sfruttando le sue conoscenze moderne con la consapevolezza che l'Italia sta per essere invasa dall'esercito dell'imperatore Giustiniano.
Tumblr media
0 notes
projetofotociencia · 6 years ago
Text
Leucanthemum vulgare
Tumblr media
E quando elas florescerem, aproveite o quanto puder, porque você nunca saberá quando virá uma tempestade e a levará embora!
Gabrielli Prinzhofer Cheosia
0 notes