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Les coquillages ne s'ouvrent qu'en été de Clara Héraut
Clara Héraut aborde orientation sexuelle, dépression et pression parentale dans un roman poignant. Phœbe et Léna confrontent leurs démons familiaux. Une lecture commune intense, émotive, et loin d'être légère.
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– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait. – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service...
J.-M. M.
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Le avant après de l’atelier gonflage de ballons. J’avais le tête qui tournait et les doigts explosés sans parler justement du nombre de ballons qui ont éclaté dans ma gueule par leur médiocre qualité. Je me suis réellement sentie comme une organisatrice d’anniversaire pour un groupe de gamins.
J’étais finalement fière du résultats et de mes muffins en ❤️. Pendant ce temps pas de pression pour minouche toujours en sieste.
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À un ami qui me demandait l’autre jour comment j’allais, et pour ne pas lui répondre impeccable, ce qui aurait rompu nos retrouvailles, je lui dit que je venais de recevoir des résultats d’analyses sanguines, et que faute à une bactérie rare, on allait devoir me retirer les poumons, les deux, d’ici le mois prochain. Je racontai ça avec un air las et en regardant mon verre. Le serveur vint s’enquérir de nos choix de menus. Mon ami, qui m’avait confié, gai, vouloir tâter du tartare de bœuf, se rabattit sur autre chose.
N’ayant jamais été très doué en mensonges, je m’inquiétais pour la suite de la conversation. Naturellement, mon ami, passé quelques minutes de stupeur, me demanda comment il me serait possible de vivre sans poumons. Par chance, je travaillais comme correcteur pour un groupe de presse médicale, axé sur diverses spécialisations, dont la pneumologie, et il me fut facile de piocher ci-et-là dans mes souvenirs de lecture pour crédibiliser mon propos. Aussi me mis-je à lui parler d’un nouveau protocole de greffe de poumon externe, inspiré d’une ancienne machine qui avait fait son temps, et qui permettait à des patients souffrant d’une insuffisance de la ventilation pulmonaire de continuer à respirer. Cette invention, lui disai-je, consistait à remplacer les deux poumons malades par une grande poche – noire, précisai-je, de couleur noire et d’une matière proche du cuir – fixée sur le thorax, juste en dessous du sternum, et qui, par un système de pompe régulant la pression artérielle, assurait l’oxygénation du sang dans l’ensemble du corps.
Durant le reste du repas – ainsi nourri d’une riche conversation – mon ami s’efforça de me rassurer.
Rentrant chez moi, j’informai ma femme de ma future opération pulmonaire. Elle me demanda si, enfin, j’avais trouvé une nouvelle idée de roman. Je la vis, machinalement, prendre un tire-bouchon et commencer à ouvrir une bouteille de vin rouge. De nouvelle, peut-être, temporisai-je en levant les bras, peut-être simplement une idée de nouvelle. Elle me regarda, sembla jauger quelque chose, puis évacua tout de même le bouchon. Nous nous organisâmes ensuite pour véritablement faire croire à cet ami que j’allais, d’ici le mois prochain, respirer via des poumons artificiels, et, l’espace d’un instant, durant l’opération, en effet, prendre le risque de mourir, quitte à gâcher son mariage qui aurait lieu la veille, le 15.
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27/08/2023 -- Photo 9 :
J'étais assez contente de voir que quelques personnes voulaient faire des photos IA avec moi, j'avais très peu d'expériences mais on me faisait confiance. De plus j'avais énormément de marge de travail et je pouvais travailler sur pleins de styles de photos différentes comme la tenue, la pose, le décor ect... Je me mettais aucune pression et ça m'aider à progresser. Pour parler du résultat de cette photo, très satisfaite, je faisais de plus en plus de découvertes et à ce moment là, je ne pensais pas que j'allais devenir aussi matrixé que ça par le domaine
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Le saviez-vous ? Il m'arrive de faire des tests de couleurs 🤡
Quoi, comment ça "Oui on sait, on dirait même que tu fais que ça, quand est-ce que tu fais autre chose que des tests, d'ailleurs ?"
En fait je vais vous dire, ça soit surement porter un nom (y'a des noms pour tout), mais chaque fois que je me dis que je vais faire une "vraie œuvre d'art", je me met une telle pression que j'ai l'impression de ne faire que de la 💩
Tandis que quand je sort la tablette pour me détendre et seulement dans l'optique de griffonner sans arrière pensée, il m'arrive d'aboutir à des résultats qui ne sont pas toujours totalement dénués d'intérêt
Du moins je pense. Je n'ai pas l'impression d'être très bon juge d'une manière générale 😅
Mais quoi qu'il en soit, ça m'amuse, et c'est déjà beaucoup !
C'est un petit truc qu'on a peut être tous besoin d'apprendre et d'assimiler, ou tout simplement de se faire rappeler, mais tout ce qui fait appel à la créativité devrait rester amusant, même si c'est pour un boulot.
En ce qui me concerne en tout cas, la meilleure (voir la seule) façon pour moi d'être satisfaite de mon travail, c'est de ne pas le voir comme un travail, mais comme un jeu.
Ceci étant dit, je serai en déplacement la semaine prochaine, donc je ne suis pas sûre de pouvoir poster mercredi.
Des bisous à tous ceux qui me suivent, et merci à vous 🥰 !
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Le complexe médiatico-politique français évoque les 87% de Poutine en y voyant la preuve que c'était une élection fantoche et courue d'avance parce que la Russie est un régime verrouillé qui ne laisse pas s'exprimer convenablement les oppositions.
Pauvre Russie qui n'a pas la joie de vivre, comme nous, des élections vraiment saines et démocratiques où les médias se contentent d'informer sans interférer dans le processus de réflexion des électeurs par d'interminables campagnes de dénigrement, sans évoquer trente fois par jour le souvenir pourtant lointain des bottes nazies, sans faire croire aux électeurs qu'en dehors du seul candidat qui vaille l'autre est un démon qu'il faut combattre de toutes nos forces sinon le fascisme va revenir et déferler sur nous.
En somme des élections équilibrées où les candidats sont tous traités équitablement, des élections françaises quoi, où les électeurs ne sont soumis à aucune pression des pouvoirs et s'en vont dans l'isoloir l'esprit léger, sans craindre que leur vote risque de faire revenir Hitler, les camps, Drancy, Oradour et Klaus Barbie.
Des élections où le candidat qui a le plus de chances de l'emporter n'est pas la cible d'une campagne judiciaire et médiatique à quelques semaines du premier tour et condamné pour cela à voir son résultat être divisé par deux, permettant ainsi la victoire d'un minet sorti de nulle part à qui les mêmes milieux médiatiques et judiciaires déroulent depuis son élection un tapis rouge qui lui permet de faire tout ce qu'il veut sans jamais être dérangé y compris par les prétendus contre-pouvoirs.
Jonathan Sturel
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Crimes et dénis
Je suis un producteur et un distributeur de films au service du cinéma. Je n’ai guère l'habitude de participer à des débats publics. Mais avant d'aller plus loin, et dans le souci d'éviter tout malentendu, je tiens à préciser que je considère la pédophilie comme l'un des crimes les plus monstrueux qui soient. Plus largement, je condamne sans appel toute violence infligée à autrui, et singulièrement à un être en position de faiblesse. Et bien entendu, je rends hommage à tous les mouvements actuels de libération de la parole pour le respect des femmes.
Au-delà de mon métier et de ma passion, je reste un citoyen marqué par une culture européenne qui porte un regard sur son époque. Et bien que nous vivons dans une démocratie dont les institutions sont garantes de nos libertés publiques, j'ai le sentiment qu'un simple Tweet peut à l'heure actuelle faire basculer l'opinion et envoyer une femme ou un homme sur l'échafaud. Au lieu de peser les arguments, à charge ou à décharge, et de garder un certain recul pour se forger sa propre opinion, on se rallie à celui qui hurle le plus fort sur la Toile.
C'est dans ce contexte que je souhaite, m'exprimer sur Woody Allen parce que son cinéma a accompagné mon adolescence et a illuminé ma vie. Autant dire que je suis profondément touché par ce qui arrive aujourd'hui et qu'il me tient à cœur de tenter de rétablir les faits.
Je suis sidéré par le déferlement de haine que provoque l'affaire Woody Allen, particulièrement aux États Unis & sur les réseaux sociaux, par le manque de rigueur de certains médias, par la meute qui condamne sans chercher à savoir, par le mélange approximatif des témoignages. On a le sentiment d'évoluer dans un monde sans nuance, sans débat apaisé concernant un homme qui, je le rappelle, a été innocenté en 1993.
La haine atteint à présent des sommets d’ignominie. Et pourtant, il suffit de lire et d'examiner avec attention, et sans parti-pris, les faits et rien que les faits. C'est la démarche que j'ai choisi d'adopter pour comprendre. Simplement pour savoir et approcher la vérité : aurais-je travaillé aux côtés d'un pédophile pendant tant d'années ?
J'ai lu énormément, consulté des documents d’époque, et pris connaissance de témoignages.
Woody Allen a fait l'objet de deux enquêtes sérieuses, voire féroces, a été entendu par quatre pédopsychiatres, des policiers et des juges et été soumis à l'épreuve du détecteur de mensonges. Le résultat a été inversement proportionnel aux moyens spectaculaires déployés : pas la moindre preuve de culpabilité n'a été rapportée !
Essayons plus précisément de s’en tenir qu’aux faits :
Woody Allen est accusé d'avoir agressé sexuellement Dylan Farrow, fille adoptive du réalisateur et de Mia Farrow alors âgée de 7 ans, le 4 août 1992, soit près de quatre mois après la révélation de la relation entre le cinéaste et Soon-Yi Previn, fille adoptive de Mia Farrow.
Suite aux accusations de Mia Farrow, une enquête judiciaire est menée par la Connecticut State Police qui s'appuie sur l'expertise du Yale-New Haven Hospital. Après plusieurs interrogatoires, dont neuf avec Dylan menés entre septembre et novembre 1992, les experts concluent que la petite fille n'a pas été agressée sexuellement par Woody Allen. Ils repèrent ainsi de nombreuses incohérences dans son témoignage et un manque flagrant de spontanéité, suggérant qu'elle a été manipulée, et préparée, par sa mère.
En février 1993, un article du Los Angeles Times révèle que la nounou de Dylan, Monica Thompson, a été contrainte par Mia Farrow de faire une déposition à charge contre Woody Allen, puis qu'elle a choisi de démissionner lorsque la pression est devenue insupportable.
En mars 1993, Mia Farrow reconnaît elle-même qu'au cours de deux examens médicaux, Dylan n'a pas présenté de blessure sexuelle.
En avril 1993, le docteur John Leventhal, qui a piloté l'enquête conduite par le Yale-New Haven Hospital, déclare sous serment que Dylan a été conditionnée par sa mère pour diaboliser Woody Allen et le considérer comme un violeur. Il est également frappé par le fait que la petite fille lie systématiquement les attouchements présumés dont elle a été l'objet à la relation de son père avec Soon-Yi et par sa manière de plaindre sa mère qui, dit-elle, a gâché sa carrière à cause de Woody Allen.
En septembre 1993, le procureur du Connecticut abandonne les poursuites contre Woody Allen, tout en maintenant qu'il a de "solides raisons" de penser que Dylan dit vrai.
Ce que n’a jamais nié Woody Allen qui a toujours affirmé que Dylan croyait fortement ce qu’elle affirmait. S'il est innocenté sur un plan juridique, la décision du juge laisse planer sur le cinéaste un malentendu, Allen convoque une conférence de presse au cours de laquelle il qualifie le procureur de "irresponsable".
En octobre 1993, les services sociaux de New York rendent leur conclusion au terme d'une enquête profonde de 14 mois : aucune preuve crédible n'a été rapportée concernant les allégations de Dylan.
En 2014, Dylan Farrow s'exprime publiquement sur cette affaire dans les colonnes du New York Times.
En février 2014, Moses Farrow, fils adoptif de Mia Farrow et Woody Allen, prend la défense du cinéaste dans le magazine People : "Ma mère a gravé en moi une haine à l'égard de mon père pour avoir détruit la famille et agressé ma sœur. Et je l'ai détesté pour lui faire plaisir durant de nombreuses années. Je sais aujourd'hui qu'il ne s'agissait que d'une vengeance pour lui faire payer sa relation amoureuse avec Soon-Yi. Bien sûr que Woody n'a pas violé ma sœur. Elle l'aimait énormément et elle était toujours très heureuse lorsqu'il nous rendait visite. Elle ne s'est jamais enfuie en le voyant jusqu'à ce que ma mère réussisse à instaurer un climat de peur et de haine à son égard".
Profitant du climat de suspicion généralisé qui règne actuellement à Hollywood, Dylan publie une tribune dans le Los Angeles Times en décembre 2017 pour dénoncer, selon elle, l'impunité de Woody Allen.
Le 18 janvier dernier, elle réitère ses accusations dans sa première interview télévisée sur le sujet, diffusée sur la chaîne CBS sans qu’aucun élément nouveau ne justifie une réouverture du dossier.
Le 19 janvier, Moses Farrow réitère sur Twitter son démenti sans qu’aucun organe de presse ne relaie cette information.
Il est important, par ailleurs, de démêler le vrai du faux et de préciser certaines vérités :
« Soon-Yi était la fille adoptive de Woody Allen et de Mia Farrow". Faux : elle a été adoptée par Mia Farrow et André Previn, à qui elle était alors mariée, en 1978, soit deux ans avant que Woody Allen et Mia Farrow n’entament une relation amoureuse.
"Woody Allen et Mia Farrow vivaient sous le même toit". Faux : Mia Farrow habitait avec ses enfants dans son propre appartement et Allen, dans le sien. Le cinéaste n'a d'ailleurs jamais passé une seule nuit chez Mia Farrow.
"Soon-Yi considérait Woody Allen comme une figure paternelle". Faux : elle le voyait comme le compagnon de sa mère, d'autant plus qu'il ne l'a pas élevée. André Previn était son père adoptif.
"Soon-Yi était mineure quand elle a entamé une relation avec Woody Allen". Faux : elle avait 19 ou 21 ans (il y a en effet un doute sur sa date de naissance qui est 1970 ou 1972)
Toutes les conclusions des experts sont claires et accessibles. Celui qui prend la peine de les étudier doute du bien-fondé de cet acharnement méticuleusement planifié – ou plutôt, ne doute plus : cette affaire n'en est pas une puisqu'elle repose, si l'on en croit la justice, sur des allégations mensongères uniquement destinées à salir un homme.
Cette affaire me fait penser aux sorcières de Salem qu'Arthur Miller avait si judicieusement utilisées dans sa pièce comme allégorie du maccarthysme. Si les pratiques sordides de plusieurs hommes d'influence à Hollywood méritent largement d'être dénoncées et jugées, soixante-dix ans après la liste noire, la campagne de calomnies et de dénonciations recommence : l'histoire bégaie, le vitriol se répand à nouveau et des destins sont brisés pour rien, comme si les enseignements de l'hystérie anticommuniste n'avaient pas été tirés. Il est ainsi fascinant, et atterrant, d'entendre des actrices et des acteurs transformer Woody Allen en M le Maudit. Soit ils sont manipulés et n'ont pas conscience de la portée de leurs propos, soit ils sont absolument cyniques et cherchent à exploiter la frénésie médiatique actuelle pour se donner bonne figure, ce qui serait plus terrible encore. Nul ne peut présager de leur carrière future, mais ils resteront celles et ceux qui auront jeté Woody Allen aux chiens, alors qu'ils chantaient ses louanges et étaient prêts à se battre pour travailler avec lui il y a quelques années à peine. Dans cet océan de condamnations unilatérales, je tiens à saluer le courage d'Alec Baldwin qui se distingue de leurs confrères en soutenant le réalisateur.
De son côté, Woody Allen, dans sa défense, n'a jamais cherché à salir ses accusateurs, pas même ceux du clan Farrow qui ont eu les mots les plus durs à son égard. Sans doute parce qu'il a toujours clamé qu'il ne s'était rien passé, mais aussi parce qu'il n'est pas du tout adepte des réseaux sociaux. Heureux homme qui ignore les torrents de boue se déversant sur lui. À l'examen des faits, en revanche, il me semble que ces attaques relèvent bien davantage d'un règlement de comptes familial. Certes, on peut comprendre que Mia Farrow, et ceux de ses enfants qui lui sont d'une grande loyauté, vouent une haine tenace à l'homme qui a épousé Soon-Yi, fille adoptive de l'actrice et d'André Previn. Cependant, se répandre publiquement sur le cinéaste à un moment où la parole des femmes abusées sexuellement se libère enfin dans un mouvement magnifiquement salutaire, c'est non seulement faire preuve d'un opportunisme sans vergogne, mais c'est surtout, à mon sens, bafouer la dignité des – véritables – victimes.
Je travaille avec Woody Allen depuis dix ans. L'artiste est immense. Qui d'autre a produit une telle œuvre, empreinte de génie, d'acuité et d'humour, sur ses contemporains ? Profondément marqué par Ingmar Bergman, il s'est affirmé, de film en film, comme l'un des peintres les plus subtils du couple et des relations amoureuses. Hanté par la mort et l'absurdité de l'existence humaine, il a souvent manifesté son goût pour la féerie, la magie et l'imaginaire qu'il préfère – et de loin – à une réalité le plus souvent décevante.
Il a toujours été à mes yeux un homme incroyablement intelligent, discret et courtois. Et il est devenu au fil du temps un compagnon tellement bienveillant. Mais son talent et son effervescence créative n'en font pas un saint.
L’admiration que j’ai pour l’homme et le cinéaste est réelle mais n’a rien à voir avec l’objet de ma démarche.
Je suis intimement convaincu de l’innocence de Woody Allen. C’est mon droit. Même si je suis certain que ma prise de position ne manquera pas de susciter des réactions catégoriques, violentes qui m’accuseront de sacrifier la cause des femmes sur l'autel d’intérêts économiques. Classique.
Certains se réjouissent même que Woody Allen soit aujourd'hui vilipendé, considérant qu'il est resté trop longtemps impuni en raison de sa notoriété, ils se trompent totalement. C'est précisément parce qu'il est célèbre qu'une affaire vieille de vingt-cinq ans et jugée ressurgit et que les médias s'y intéressent. Il est presque certain que s'il s'agissait d'un anonyme, toutes agitations auraient été vaines.
Je demande donc simplement et humblement à tous les citoyens et aux médias en particulier, d'étudier les faits avant de juger, de faire preuve de retenue et de discernement dans leur condamnation d'un être humain qui n'a jamais fait l'objet d'aucune poursuite.
Woody Allen ne doit pas être rangé dans la même catégorie que les prédateurs sexuels récemment dénoncés par le tout-Hollywood et ne doit pas finir sa vie comme un paria dont l’œuvre déjà suspectée sera brûlée.
Réveillons nous avant qu’il ne soit trop tard. Trouvons la vérité. À une époque où l'outrance et la diatribe se substituent à l'analyse, où la rapidité d'exécution passe pour une vertu, où le tribunal populaire des réseaux sociaux se charge de rendre une justice expéditive, je suis bien conscient que ma requête est quasi illusoire.
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INCIDENT FUITE D’EAU RESIDENCE LES AMPHORES Déroulement des Evènements
Bonjour,
Dimanche 31 Mars 2024 en fin d’après-midi, des copropriétaires m’ont rapporté avoir entendu couler de l’eau dans le regard des vannes situé dans le massif devant le Bât. A. J’ai constaté effectivement une fuite importante.
Avec l’aide de MM. CAYREL et BURST, j’ai aussitôt contacté les artisans plombiers habituels mais en vain (week-end de Pâques oblige) 3 solutions s’offraient à nous 1- Couper l’eau de la résidence bât. A et B 2- Laisser couler jusqu’au mardi, le lundi étant férié . Inconvénients : l’HERAULT est en Vigilance Renforcée concernant la restriction d’eau . Le coût pour les copropriétaires 3- Essayer de réduire la fuite au maximum en réalisant un colmatage sommaire.
Dans l’urgence, nous avons opté pour la 3ème solution sous la pluie et les pieds dans l’eau.
J’ai appelé notre gestionnaire sans résultat. Il m’a rappelé 1 h plus tard et après lui avoir relaté les faits, il m’a informé qu’il allait contacter une entreprise pour une intervention mardi matin.
Mardi matin 2 Avril, 2 entreprises se sont déplacées mais aucune des deux n’a pu intervenir car elles ne possédaient pas le matériel adéquat qu’il fallait commander. Une intervention a été programmée pour fin de semaine. Mercredi matin, M. Burst en allant à son cellier a constaté que le couvercle du regard était posé en équilibre. Des enfants étant arrivés dans la résidence la veille, par sécurité, il a voulu repositionner le couvercle (couvercle qui aurait dû être remplacé depuis fort longtemps). Malencontreusement, celui-ci à peine touché est tombé dans le regard, brisant la conduite.
Sachant que je n’étais pas présent dans la résidence, il a pris l’initiative de couper l’eau puis il a appelé M. Antal qui s’est déplacé et a fait venir en urgence une entreprise qui a programmé une intervention pour jeudi matin. Il a également posé des affiches pour en informer les résidents.
M. Burst a fait le nécessaire auprès de son assurance dès le mercredi après-midi et en a informé M. Antal.
Jeudi, l’entreprise BNK a effectué la réparation mais en fin de journée, lors de la mise en eau, sous l’effet de la pression, une bride située en amont du regard et sous terre, a lâché. L’entreprise a pu tout de même réalimenter la résidence avec une pression limitée. M. Antal, présent sur site, a aussitôt dépêché une entreprise de T.P. qui est intervenue dans l’heure pour effectuer un terrassement donnant accès la la bride pour que l’entreprise BNK puisse la réparer dès le lendemain matin.
La coupure d’eau effective a duré de mercredi 11h00 au jeudi soir.
Vendredi midi, la résidence était réalimentée normalement en eau. Le remblaiement est prévu semaine prochaine.
Cet incident nous a permis de prendre conscience combien l’eau est un élément essentiel et qu’en cas de restrictions plus sévères, nous aurons appris comment nous débrouiller pour survivre quelques jours.
Bon week-end à tous
B. COUVIDAT
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Les goules blanches font ajouter une ligne dans la constitution pour tuer leurs enfants
La lesbienne Mélanie Vogel était très heureuse de constitutionnaliser le meurtre d’enfants hier. Il faut noter qu’elle a pu le faire avec l’aide des vieux mâles beta majoritaires au sénat.
La constitution est tellement irréversible, que Macron la change.
Je me suis engagé à rendre irréversible la liberté des femmes de recourir à l’IVG en l’inscrivant dans la Constitution. Après l’Assemblée nationale, le Sénat fait un pas décisif dont je me félicite. Pour le vote final, je convoquerai le Parlement en Congrès le 4 mars. — Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 28, 2024
Cette ligne ajoutée à un bout de papier est surtout le dernier clou dans le cercueil de cette démocratie finissante.
Les lois des cycles karmiques sont d’acier.
L’avortement en France, c’est à peu près 240,000 avortements en 2023. Sur une décennie, c’est plus de 2 millions d’enfants à naître éradiqués, soit le nombre de migrants du tiers-monde, principalement musulmans, qui submergent le pays sur la même période.
Ce dépeuplement dicté par les femmes blanches entraîne un vieillissement massif et rapide de la population. La moyenne d’âge en France est désormais de 43 ans, en augmentation constante.
La moyenne d’âge en Algérie est de 27 ans au Congo de 18 ans dans un continent dont les bassins de peuplement sont déjà saturés.
Ce vieillissement entraîne une compression généralisée du nombre de travailleurs en mesure de payer des impôts et des taxes, avec une masse de vieux dépendants des subsides de l’État, donc de l’impôt, en expansion constante.
Pour faire face à ces dépenses de retraite et de santé colossales, l’État s’endette toujours plus massivement.
À charge pour les actifs de payer le poids de cette dette, donc de voir leur revenu disponible se réduire toujours plus.
Faute de revenus adéquats, la pression sur les jeunes couples est toujours plus forte, ce qui décourage une natalité déjà faible.
Les conséquences du diktat vaginal sont claires : la destruction pure et simple de l’ordre social qui découle de la pression intense sur la reproduction des populations blanches.
Paradoxalement, les femmes sont les grandes demandeuses d’un large système sociale pour les protéger des conséquences de leur hypergamie. Sans ce vaste système social, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes et doivent s’assurer de trouver un parti masculin matériellement à l’aise et ne surtout pas s’en séparer.
Sans ce filet de sécurité pour les traînées, impossible de jouer aux putes jusqu’à 40 ans, voire plus.
Au delà de ça, si les quelques 16 millions d’allogènes qui vivent en France n’ont pas encore créé de véritables narco-émirats, c’est parce que l’État paye un tribut énorme sous forme d’aides sociales.
Le système se trouve face à une contradiction insoluble : d’une part organiser la dénatalité pour satisfaire les femmes blanches, d’autre part tenter de compenser le déficit fiscal par l’immigration en important des masses inassimilables qui, par ailleurs, sont résolument patriarcales et dont la natalité est boostée par les aides sociales.
Le résultat final, d’ici 30 ans, au maximum, ce n’est pas l’utopie féministe, c’est Tombouctou.
Mais oui, en effet, une ligne sur l’avortement va bien être ajoutée dans le texte rédigé par le juif Debré en 1958.
Les lois de la nature se moquent de la démocratie ou des crises d’hystérie des catins. Elles organisent le monde depuis des milliards d’années et continueront de le faire pour des milliards d’années.
Cette république juive sénile peut faire de la paperasse pour plaire à quelques bourgeoises qui s’ennuient, la loi brutale de vie s’imposera. Si un peuple dégénère en laissant ses femmes dicter la conduite de l’État, par définition le domaine réservé de l’homme, alors cet état et ce peuple se condamnent à un châtiment racial impitoyable.
Quand cet état fera faillite, devenu incapable d’entretenir 25 millions de vieillards, assiégé par autant de fanatiques musulmans et de noirs assoiffés de vengeance raciale, ce n’est pas le mince cordon des Blanches névrosées qui endiguera la désintégration du système social.
Il suffira d’un séisme pour que tout soit emporté en quelques semaines et, si l’on en juge par la situation, c’est la guerre de trop que les juifs veulent mener contre la Russie qui sera ce séisme.
Les lois des cycles font faire leur office et la grande épuration aura lieu, quoi qu’il arrive.
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La dépression chez les étudiants : Un mal silencieux qui gangrène les campus camerounais
Derrière l'image vibrante et dynamique de la vie estudiantine au Cameroun se cache une réalité sombre et souvent ignorée : la dépression. Ce trouble mental, qui touche de plus en plus d'étudiants, impacte négativement leur bien-être et leur performance académique.
Facteurs de risque
Les facteurs favorisant la dépression chez les étudiants camerounais sont multiples et complexes. Parmi les plus importants, on peut citer :
Le stress académique: La pression liée aux examens, aux résultats et à l'insertion professionnelle est une source majeure de stress pour les étudiants.
Les difficultés financières: Le manque de ressources financières peut engendrer des soucis quotidiens et un sentiment d'insécurité.
L'isolement social: L'éloignement de la famille et des amis, l'adaptation à un nouvel environnement et la difficulté à se faire de nouveaux amis peuvent contribuer à un sentiment de solitude.
Le manque de soutien: L'absence d'un système de soutien adéquat, que ce soit de la part de la famille, des amis ou des institutions universitaires, peut aggraver les symptômes de la dépression.
Symptômes et manifestations
La dépression ne se manifeste pas toujours de manière flagrante. Il est important de connaître les symptômes les plus courants afin de pouvoir identifier les étudiants en souffrance et leur proposer une aide adéquate. Parmi ces symptômes, on peut citer :
Tristesse persistante
Perte de motivation et d'intérêt pour les activités habituellement appréciées
Troubles du sommeil et de l'appétit
Difficultés de concentration et de mémoire
Sentiment de culpabilité et d'inutilité
Pensées suicidaires
Conséquences et impact
La dépression chez les étudiants peut avoir des conséquences graves sur leur vie personnelle, académique et professionnelle. Elle peut les conduire à :
Abandonner leurs études
Avoir des résultats scolaires médiocres
Se replier sur eux-mêmes et s'isoler socialement
Développer des comportements à risque
Attenter à leur vie
Lutter contre la dépression : Un enjeu collectif
La lutte contre la dépression chez les étudiants nécessite une mobilisation collective. Voici quelques pistes d'action :
Mettre en place des programmes de sensibilisation et de formation pour informer les étudiants sur la dépression et ses symptômes.
Créer des cellules d'écoute et de soutien psychologique accessibles et confidentielles sur les campus.
Former le personnel universitaire à la détection des signes de dépression et à l'orientation des étudiants en souffrance.
Encourager l'entraide et la solidarité entre étudiants.
Améliorer les conditions de vie et d'études des étudiants.
Conclusion
La dépression est un problème de santé publique qui touche de plein fouet les étudiants camerounais. Il est crucial de briser le silence et de mettre en place des mesures concrètes pour soutenir les étudiants en souffrance et leur permettre de s'épanouir pleinement.
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Le grand remplacement,
Le grand remplacement, à en croire la Gauche, serait une invention de la Droite –qui ne peut être qu'extrême. Et la macronie, qui n'est qu'un vocable creux, lui a emboîté le pas sur ce sujet comme sur la plupart des autres. Mais cette invention, ajoutent-ils, est l'une des pires : elle procède de l'amalgame, et débouche –pour la Gauche française, et elle seule-- sur ce fantasme absurde appelé ''l'Ultra-droite''. Il n'empêche... Ce soir, un pauvre touriste allemand a payé pour leur aveuglement poussé à l'insupportable... Où trouver une --ou la-- vérité ?
La France semblait condamnée à ne rien savoir, par une camarilla autiste. Mais voilà que refait surface, sur le Net, une étude de Harvard University qui remonte à Juin 2019, mais a été occultée par les Gauches au pouvoir en Europe, prêtes à tout pour ne pas que les citoyens sachent la vérité sur l'horreur à laquelle ces irresponsables nous condamnent. Sans surprise, c'est de Hongrie –un des rares pays européens encore libres-- qu'est venue cette information capitale..
Partant du fait que la plupart des pays musulmans actuels avaient, à l'origine, une autre religion (le christianisme pour la Turquie, l'Egypte, la Syrie et l'Afrique du nord, l'hindouisme pour le Pakistan, le bouddhisme pour l'Inde ou le zoroastrisme pour l'Iran...), cette étude s'est penchée sur le processus qui a fait passer ces pays d'un état ''A'' à un état ''B'', et a pérennisé cette nouvelle situation. Les résultats de cette étude sont terrifiants, et on comprend trop bien pourquoi les pleutres-et-myopes-au-pouvoir sont prêts à tout pour cacher ces informations aux braves gens.
Elle démontre en effet que lorsque l'islamisation d'un pays atteint la proportion de 16%, les religions qui y étaient pratiquées sont remplacées, et que ce processus semble inévitable (pas de contre-exemples existants). Au delà de cette première islamisation presque irréversible, il faudra encore une centaine d'années pour que l'islamisation soit complète (Application de la Charia'a, le Coran comme seule référence en tout... et les Médrassas –interdites aux filles-- comme seul système scolaire), tous les pays étudiés –dont le nôtre-- montrant des résultats très voisins.
En entrant dans les détails, on découvre que tant que les musulmans restent en dessous de 2% de la population d'un pays, ils sont considérés comme de braves gens , bosseurs et frustres : une minorité pacifique et intégrable, très rarement perçue comme une menace pour les autres citoyens. Nous avons connu ces temps heureux, avant les idées perverses de Giscard, en 1976, et ils sont toujours d'actualité aux USA (0,6 %), en Australie (1,5 %) au Canada ou en Chine (< 2 % chacun). La Norvège et l'Italie, qui ressortissaient de cette catégorie, ont basculé il y a peu dans le cauchemar, engrenage auquel nous commençons à être ''rodés'', en France.
En revanche, dès que leur pourcentage atteint entre 2 et 5 %, ils commencent à recruter des membres nouveaux, qu'ils vont chercher dans les minorités ethniques, les groupes de ''rejetés sociaux'', dans les prisons et dans les ''bandes des rues'' –dealers, ou autres malfaisants. Un français de 2023 comprend parfaitement ces mots et ce qu'ils veulent dire : depuis les années où la Gauche s'est instituée ''caution morale'', c'est notre vie quotidienne, comme en Thaïlande, en Espagne, au Royaume uni ou en Allemagne (tous autour de 5 %), et même au Danemark.
Au dessus de 5 %, on ''change de braquet'' : les ''croyants'' cherchent à exercer une influence disproportionnée par rapport à leur poids réel. Par exemple, ils ''poussent'' à la présence de nourriture ''hallal'' sur les rayons de magasins, ou à une spécificité vestimentaire... en exerçant pressions et menaces pour arriver à leurs fins. C'est le cas aux Philippines, en Suisse, aux Pays-bas, tous autour de ces 5 % fatidiques. La France serait à 8% selon les chiffres officiels (dont on sait ce qu'il faut penser !), et la Suède, arrivée à ce ''nadir'' par laxisme coupable, a quitté récemment ce groupe en découvrant à quels dangers elle s'exposait : les musulmans exigeaient de vivre selon la Charia'a et s'enfermaient dans des quartiers réservés, dans une sorte d'auto-ghetto-isation''.
Poursuivons : lorsqu'ils approchent ou dépassent les 10 % d'une population autochtone ''de souche'', les musulmans, dit cette étude, saisissent chaque occasion pour se plaindre de leur condition, même les néo-citoyens, qui font passer leur appartenance avant une néo-nationalité ''de papier''. Et toute action ''non-explicitement pro-islam'' est qualifiée d'islamophobe et entraîne des incendies de voitures, des dégâts sur la voie publique et des menaces... toute réaction étant soi-disant perçue comme une nouvelle insulte. C'est à partir de ce stade que se manifestent les tensions sur ''blasphèmes'', ''représentations du Prophète'', ou films ''pas convenables'' (= ''haram''). C'est le niveau où se trouvent l'Inde ou le Kenya (10 %), Israël et la Russie (16 %), mais nous avons eu, en France, quelques avertissements de ce sur quoi cela pouvait ouvrir..
A 16 % se situe un point de bascule, dit l'étude : les choses se corsent, avec des émeutes hyper-violentes, des réactions d'inspiration jihadiste de plus en plus intrusives dans les comportements individuels, des assassinats sporadiques, des incendies d'églises chrétiennes ou de synagogues. Ces excès débouchent, au delà de ce chiffre, sur des tueries à plus grande échelle, sur une terreur qui se généralise et sur une violence chronique contre les non-croyants, comme au Tchad (23 %), en Ethiopie (33 %), en Bosnie (40 %) et, hélas au Liban (59,7 %) autrefois si ouvert, lorsque les chrétiens y étaient légèrement majoritaires. La France, malgré ses soi-disant ''8 %'', a déjà largement expérimenté toutes ces horreurs.
Lorsque le pourcentage de musulmans dépasse le chiffre de 60 %, la persécution des ''infidèles'' et des ''non-croyants'' s'accroît significativement, allant jusqu'à de ''nettoyages'' (sic !) ethniques, à l'utilisation des règles de la charia'a comme arme de contrainte politique et à l'obligation de payer la ''Jizyia'', cette taxe pour non-conformité qui frappe les religions dites ''du livre''. Sont dans ce cas : la Malaisie (61 %), l'Albanie et le Soudan (70 %), ou le Qatar (77,5 %).
A partir de 80 %, il faut s'attendre à tout instant à des violentes manifestations d'intimidation, à des ''génocides'' (qui ne disent pas leur nom, puisque ces Etats n'existent que par le seul objectif d'une islamisation à 100 %, et se doivent donc de chasser les infidèles). On trouve dans ce groupe le Bangladesh, l'Egypte, l'Indonésie, la Syrie (85 à 90 %) et, à la limite, Gaza et la Palestine, l'Iran, l'Irak, le Pakistan et la Turquie (98 %)... avec les exception notoires que sont le Maroc (98 %), les Emirats et la Jordanie (93 %) où un quasi-monopole de l'Islam arrive à cohabiter dans la paix et l'harmonie avec toutes les autres religions, ces petites exceptions, sans doute, confirmant la règle, mais démontrant aussi que tout ceci est plus ''fabriqué'' que ''naturel'', ce qui rassure... et inquiète !
Un pays totalement islamisé se définit comme exclusivement dédié à l'Islam, seule Foi et seule Loi, et où aucune autre idée (présente, passée, ou simplement évoquée) n'est envisageable. Les femmes y sont cloîtrées, ignorées ou interdites, et physiquement réduites à l'état de sacs de charbon, et les hommes sont normalement barbus, hirsutes et le plus souvent sales, mais armés, fanatisés, sans jugement ni jugeote, et englobent tout ce qui n'est pas ''eux'' dans une haine sans limites, et sans le moindre respect pour toute vie humaine hors celles de leurs coreligionnaires... La paix, à leurs yeux, règne... puisque toute déviation est punie de mort (''Dar es-Salam'' veut dire : le pays de la paix... et ils le croient !). Dans ce ''paradis infernal'' à 100 %, on trouve l'Afghanistan, l'Arabie Saoudite, la Somalie ou le Yémen... sociétés qui sont le rêve fou d'Erdogan, le dingo turc, ou de Tebboune, l'idiot algérien, et le cauchemar de toute population encore libre de son choix...
Au delà de cette étude ''à ne pas rater'', un livre qui date un peu (2005), “Slavery, Terrorism and Islam”, expliquait que les sociétés ouvertes, libres et démocratiques, étaient particulièrement vulnérables à cette stratégie du pire : ''Lorsque des sociétés tolérantes, politiquement correctes et culturellement ouvertes cèdent aux demandes de privilèges religieux, elles se condamnent à céder peu à peu sur tout''. Le ''pas en arrière'' semble ne plus être possible, dans ce contexte. Ce livre se concluait sur une perspective que nous voyons se réaliser peu à peu (mais bien trop vite), chaque jour : ''Aujourd'hui, on compte 1,3 milliard de musulmans, soit 21 % de la population mondiale. Mais leurs taux de reproduction dépasse tellement ceux des chrétiens, des bouddhistes, des hindous, et de toutes les autres croyances, tous en baisse, qu'il se pourrait qu'ils atteignent les 50 % de la population mondiale avant la fin du siècle''.
''Le grand remplacement est un idée complotiste inventée par la Droite''... continuent d'affirmer les crétins qui n'ont jamais rien compris à la marche du monde. Sont-ils aveugles, criminels... ou dramatiquement cons ? Quant à nous... à chacun d'évaluer à quel stade il perçoit notre France et l'Europe, et quelles pourraient être les étapes suivantes, dont aucune ne me paraît souhaitable ! A quand le prochain coup de poignard mortel donné au hasard par un ''fiché S'' qui devrait être enfermé, alors que, hors de toute opinion personnelle, la loi des chiffres est claire et nette ?
H-Cl.
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Petit bilan de lecture 2023
Je vois beaucoup de bilans lectures fleurir sur les réseaux sociaux en ce moment, et j’en rajoute un sur le tas !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que 2023 a été riche en émotions et en lectures… Je m’étais fixée un objectif de lire 120 livres (romans, BD, mangas et albums jeunesse), 100 sans les albums, et j’ai réussi et je suis fière de moi 💪🏻 J’ai lu pas moins de 192 livres ! (Et 129 sans les albums.) Je m’étais aussi dit que j’essayerai de baisser ma PAL (sans commentaire mdr) ou à défaut d’en sortir des vieux titres présents depuis déjà quelques années (j’en ai sorti quelques-uns, c’est déjà ça). Je sais qu’un objectif de 120 livres c’est énorme, qu’en avoir lu 192 c’est énorme, que ça angoisse beaucoup de personnes, mais retenez bien que je ne fais que ça dès que j’ai un moment de libre. Je suis une personne renfermée et angoissée, je n’aime pas sortir, pour moi le meilleur moment c’est une après-midi avec mon chéri et mon livre. Donc : oui, j’ai lu énormément, mais j’ai aussi un rythme de lecture hyper rapide, et je ne fais que ça.
Cette année, je me suis aussi lancée (un peu) dans le BookTube game, et sur BookTok (un peu moins). J’ai aussi découvert la romance, et en fait j’aime bien 🤭 J’ai lu plein de romans trop cool, qui m’ont retournée et percutée, auxquels je pense encore plusieurs mois après — et c’est vraiment satisfaisant !
J’ai eu une année compliquée, surtout au niveau du travail : j’adore toujours autant ce que je fais, mais j’ai eu des moments vraiment pas marrants et des gros bouleversements qui m’ont beaucoup angoissée. Résultat, je râle et je suis frustrée… pour 2024, je me souhaite de retrouver plus de plaisir en librairie !
J’aime bien me mettre des objectifs / des vœux, donc j’aimerais lire 150 livres l’année prochaine (romans, bulles et albums compris), et puis si je n’y arrive pas c’est pas grave. Mais surtout, j’aimerais essayer de lire plus de livres pour moi, parce que lire un max pour le boulot c’est bien, mais en attendant ma PAL est en souffrance et moi je suis frustrée. Et peut-être continuer à découvrir la romance ? Et essayer de me mettre moins la pression. Ici, professionnellement, partout.
Top 3 des lectures de 2023 (c’est compliqué, pourquoi je m’inflige ça mdr) :
Soufi, mon amour de Elif Shafak
Une fin heureuse de Maren Uthaug
Daisy Jones & The Six de Taylor Jenkins Reid
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17/09/2023 -- Photo 18:
Aller je fais une magnifique conclusion de la journée avec celle là, cette fois pas de random mais une femme très chiante parce qu'elle était tellement pressée de voir le résultat qu'elle m'a mise une pression de malade mental et j'en pouvais plus, j'avoue que j'ai même pas voulu la faire de base mais bon je dois me montrer plus patiente ^^
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Sur terre, Ulrich est un garçon de taille moyenne, aux cheveux bruns. Il est issu d'une famille aisée et est fils unique. Il voit très peu ses parents, qui ne s'occupent de lui que pour sa scolarité, et lui font sans cesse pression pour qu'il se concentre sur ses études : son père, notamment, se montre impitoyable avec lui à ce sujet, et ne se préoccupe que de ses résultats scolaires, au point qu'Ulrich finira par se disputer avec lui. Ulrich est interne à Kadic et partage sa chambre avec Odd, avec qui il s'entend généralement bien malgré les fantaisies de ce dernier (et le fait que Odd soit presque son antagoniste). Ce n'est pas un très bon élève, bien que, contrairement à Odd, il fasse des efforts. En revanche, il est un excellent joueur de football et un pratiquant doué au Penchak Silat. Il est mystérieux, presque timide. Il cache et refoule ses sentiments, surtout vis-à-vis de Yumi, avec qui il partage une relation ambiguë, entre l'amour et l'amitié. Il affirme qu'il est capable de mourir pour Yumi. En revanche, il est totalement insensible au « charme » de Sissi qui, visiblement éprise de lui, ne cesse de l'asticoter. Il est du reste en rivalité perpétuelle avec William, également amoureux de Yumi. Bien que, contrairement à Odd, il soit discret et n'aime pas se faire remarquer, Ulrich est aussi considéré comme le plus beau garçon du collège, et reste l'objet de nombreuses convoitises féminines. Sur Lyoko, il devient un samouraï vêtu d'un bandeau fauve autour de la tête, un haut moulant noir marqué d'un symbole de soleil couchant, un kimono orange-fauve marqué de divers motifs sur le bas, une ceinture verte incorporant un fourreau, un pantalon noir et des scandales. Il est armé d'un sabre digital apparenté au katana japonais et retirant 10 PV par coup porté, avec lequel il peut aussi parer les tirs des monstres, et même leur renvoyer. Étant pratiquant du Pencak-Silat, son habileté au sabre est réelle sur Terre comme sur Lyoko. Étant incapable d'attaquer au tir, il compense ce handicap en optimisant sa vitesse et ses capacités de corps-à-corps, ce qui l'amène à être acteur de combats impressionnants. Le dos de la carte d'Ulrich montre un symbole circulaire avec une forme en boucle à l'intérieur du genre Triskèle en spirale. Ulrich utilise l'Overbike, une moto à une seule roue capable aussi bien de rouler à une vitesse spectaculaire que de voler. Ce véhicule permet d'effectuer des charges redoutables, et il arrive qu'Ulrich le lance sans pilote sur ses ennemis pour les abattre, le plus souvent avec des résultats redoutables. Il a de nombreuses aptitudes comme le triplicata, le supser sprint, le triangulaire et le pencak-silat qui lui permet d'être le plus fort des Lyoko-guerriers avec le sport de combat. Il n'est pas nécessaire de donner une apparence réelle à votre personnage, mais si vous le faites, soyez logique et prenez quelqu'un de ressemblant. Pour un meilleur jeu, mon Ulrich est lycéen et non collégien. Cela laisse plus de champs libres à mes yeux et le jouer au collège m'aurait freiné sur des aspects de lui que je souhaite traiter. Merci d'en tenir compte pour nos jeux.
Joue avec : Odd Dela Robbia
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Désillusion - Les F-16 seuls ne seront pas suffisants reconnaît déjà CNN
«Il suffit de ne pas piloter de F-16, Il faut se battre avec un F-16», explique le général James Marks.
«Il faut donc passer du temps dans le cockpit.»
Et Copenhague autant qu'Amestardem d'insiter sur le fait que les livraisons ne seraient pas rapide: «un certain nombre de conditions préalables doivent d’abord être remplies», a déjà temporisé le ministère de la défense néerlandais.
Or le temps est une denrée qui fait défaut à l'Ukraine, écrasée par la pression de ses sponsors occidentaux pour obtenir des résultats sur le terrain.
Au rythme où vont les choses (https://t.me/kompromatmedia/3901), rien ne dit que le soutien occidental sera aussi fervent qu'aujourd'hui lorsque les livraisons seront effectives et les pilotes formés. Et quelques dizaines de F-16 seuls ne changeraient alors rien, comme le souligne James Marks.
De quoi faire dire à Moscou que le Danemark «pousse l’Ukraine dans l’abîme et condamne son peuple à de nouvelles victimes».
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