#prendre habitude
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" Être libre demande un certain courage. Le courage de se libérer d'un semblant de sécurité… Le courage d'oser être soi…. Le courage d'assumer ses choix…. Le courage de se détourner de ce que les autres attendent…. Le courage de se faire passer en priorité… Le courage de se responsabiliser… Le courage de ne plus rien attendre de personne… Le courage d'apprendre toujours plus… Le courage de donner le meilleur de soi… Le courage de choisir, se choisir et le courage d'aimer qui on veut…. Oui, dans cette société basée en grande partie sur la conformité, qui nous conforte par habitude, dans une forme de victimisation, il faut un certain courage pour oser briser ses chaînes, prendre soin de soi, et Être. Sortir du cocon devenu inconfortable, et Vivre. Tout simplement…"
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English version here ^^
envie d'écrire un peu aujourd'hui, donc...un peu d'écriture.
Lost soul au.(french)
« Laissez-moi une minute…»
Macaque posa doucement ses yeux sur la fourrure rousse ternie de Wukong. Elle avait perdu de son éclat après qu’il a terminé son voyage et soit rentré à la montagne de fleur et de fruit. Macaque avait pensé que ce changement de couleur passerait au lavage ; mais cela n’a jamais été le cas. La fourrure gardait cette teinte de soleil sur le point de s’éteindre. Macaque éloigna son regard de la fourrure pour porter son attention sur l’ensemble du singe de pierre, assis dans l’herbe. Il laissait les petits singes le toiletter sans faire le moindre geste. Parfois, un petit demandait pour de l’attention, et Wukong le prenait dans ses bras avec un petit sourire. Les petits singes à la fourrure sombre avait appris à rester loin du roi, car les voir faisait pleurer le roi à chaque fois. Et avec la tristesse du roi, venait la mélancolie du peuple de la montagne de fleur et de fruit.
– Toujours en train de te lamenter ?
Demande Macaque, en sachant parfaitement que Wukong ne l’entendrait pas. Il ne l’a jamais entendu. Plus depuis qu’il était mort. Macaque reste perdu dans ses pensées au souvenir de sa propre mort. Il ne lui restait plus rien que des bribes de ce qui constituait son ultime dispute avec le roi singe. Il était courant pour Macaque et Wukong de se battre. C’était une habitude qui avait souvent été teinté de colère et de rancœur depuis que Wukong était parti en voyage avec ses amis pèlerins. Macaque ne supportait tout simplement pas cette distance. Et aucun d’eux n’était réellement bon avec les mots ; où avec le fait de parler de leurs sentiments. Alors l’éloignement a tout simplement rempli de colère le cœur de chacun. Tout ce dont Macaque se souvient était grâce au souvenir des sons du futur qu’il avait entendu lorsqu’il avait rencontré Wukong. Ses oreilles l’avaient prévenu qu’il mourrait de la main de Wukong. Et il l’a ignoré.
Macaque se souvient encore de ses propres cris comme si son assassinat s’était passé la veille. Il se souvient de combien il était devenu difficile de crier, mais qu’il avait forcé sur sa gorge meurtrie, car il était terrifié, et qu’il pensait que si Wukong entendait à quel point il avait peur, peut-être que cela mettrait fin à leur énième combat. Wukong et Macaque s’arrêtaient toujours quand ils se rendaient compte ; non ; quand ils savaient, que leur ami n’était plus capable de tenir leurs petites guéguerres. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’une petite dispute normale. Macaque le savait parfaitement. Mais il a espéré. Et c’est cela qui l’a tué. Tout comme c’était cela qui l’avait fait rester aux côtés du jeune roi imprudent.
Macaque ne mentirait pas en disant qu’il était désolé pour ce qu’il avait fait. Si on lui avait donné une seconde chance ; il aurait fait exactement la même chose. Il n’était pas désolé pour ce qu’il avait fait. Il aurait agi différemment à la fin, peut-être, il aurait essayé de mettre fin à cette dispute plus tôt, peut-être. Mais il n’aurait rien changé aux choix qu’il avait fait. Les six oreilles de Macaque se déployèrent une seconde fois aujourd’hui, et il écouta sa propre voix dire ses adieux à Wukong. Le roi ne l’entendrait certainement pas. Il était impossible que ce soit le cas dans cette situation. Cela voulait sans doute dire que les envoyés des dieux des enfers viendraient bientôt récupérer Macaque.
-Il semblerait que l’on va bientôt se quitter Wukong.
Le singe de pierre resta imperturbable à cette nouvelle. Macaque avait pris l’habitude de parler dans le vide. Alors il ne s’en soucia pas.
-Je ne sais pas quand est-ce qu’ils viendront me prendre. Mais je suppose que ce sera dans peu de temps. De ce que j’entends, cela n’a pas l’air si loin dans le futur.
Toujours aucune réponse.
– Hey… Je sais que cela fait un moment que je ne t’ai plus demandé de trouver un moyen de me ramener à la vie. Mais je pense que si tu dois avoir une illumination vis-à-vis du fait de ramener les morts, c’est maintenant.
Le roi singe regarda au loin, les yeux perdus dans le vide. Il joua un peu avec la fourrure d’un des petits singes avant de sursauter légèrement lorsque le petit lui fila entre les doigts, pour rejoindre ses parents. Wukong regarda la scène du couple qui tenait fermement leur petit. Le roi détourna le regard. Macaque pouvait entendre leur cœur se mettre à battre plus vite. Il jeta un œil à ce qu’avait pu voir Wukong, et sentit son propre cœur se briser. Il aurait aimé pouvoir faire un câlin à Wukong lui aussi. Depuis quand n’ont-ils plus eu de câlin ? De vrais câlins. Il se souvient qu’il avait souvent repoussé le singe par mesquineries, lorsque ce dernier revenait occasionnellement à la montagne. Oh ; comme il regrettait cela. S’il avait su que son dernier câlin lui serait donné juste avant sa mort ; il aurait mis sa colère de côté, et aurait laissé Wukong le câliner autant que le roi le souhaitait.
– Tu es un véritable idiot Wukong…
Le singe de pierre sembla réagir à son nom, et regarda un peu autour de lui. Macaque ignora le geste. Il ne se faisait plus de faux espoirs. Il y avait des moments comme ça où il pensait que Wukong l’entendait. Mais il avait compris depuis longtemps qu’il ne s’agissait que de brefs instants étranges où Wukong semblait avoir un sixième sens concernant Macaque.
– Si tu arrêtais de te plaindre un instant, et réfléchissait, tu pourrais peut-être me ramener !
Toujours pas de réponses de Wukong. Le singe de pierre cessa de regarder autour de lui. Il semblerait qu’il n’a pas trouvé ce qui l’avait premièrement sorti de son était végétatif.
– Tu as toujours été si obsédé par le fait de mourir. Tu as cherché par tous les moyens à vaincre la mort. Tu peux bien… je ne sais pas, venir me chercher n’est-ce pas ?
L’absence de réponse pousse Macaque à baisser les bras. Cette fois encore, Wukong n’allait pas sortir de son état étrange. Serait ce le regret ? Où le deuil ? Macaque n’était pas sûr. À vrai dire, il se serait juré que Wukong l’oublierait au bout d’une semaine grand maximum avant de passer à une autre aventure palpitante, où, peut importe ce qui l’attirait de l’autre côté de la montagne de fleurs et de fruits qu’ils considéraient tous les deux comme leur maison.
– Peu importe…
Macaque décida de prendre place aux côtés de Wukong. Il fit mine de poser son épaule contre celle de Wukong. Il savait parfaitement que s’il se laissait vraiment s’accouder contre Wukong, il passerait à travers lui. Alors, il resta stable, et posa sa main contre celle de Wukong. Comme prévu, sa main passa au travers de cette de Wukong. Macaque ne s’en préoccupa pas. Il fit de son mieux pour imaginer qu’il était physique. Il essaya de se rappeler la chaleur de la peau de Wukong contre la sienne.
Babum…
Il essaya de se souvenir combien il était bon de se laisser se reposer sur l’épaule de son ami sans penser à rien.
Babum…
Il enfonça sa tête contre son écharpe. Unique souvenir qu’il lui restait de Wukong dans sa mort. La seule chose qui gardait encore cette impression qu’une part de Wukong était avec lui. Macaque laissa ses oreilles siffler en entendant son propre cœur battre à mille à l’heure. Cela faisait tellement mal. Il avait envie de pleurer. Il n’avait pas envie de faire semblant d’être contre Wukong. Il le voulait. Il le voulait si avidement. Il voulait ressentir sa chaleur, poser son oreille contre sa poitrine, et entendre le cœur de son ami se mettre à battre follement au contact peu familier qu’initierait Macaque. Il avait envie que Wukong le serre contre lui de toutes ses forces ; et il avait envie de dormir à ses côtés en sachant que Wukong allait encore l’écraser dans son sommeil, parce que Wukong finissait toujours par trop bouger dans son sommeil.
– Putain, Wukong…
-Désolé Macaque…
Et cette fois encore, Macaque l’ignora. Car il savait que ces excuses n’étaient pas vraiment pour lui. Après tout. Wukong ne savait pas qu’il était là. Le singe de pierre se parlait juste à lui-même pour essayer de calmer sa conscience pour l’erreur qu’il avait faite.
¤¤¤
« Tu es un véritable idiot Wukong. »
Le singe de pierre sursaute et sort de ses pensées pour regarder autour de lui. Il avait entendu la voix de Macaque. Il cherche un moment autour de lui avant de se rendre compte qu’il s’agissait seulement d’une voix dans sa tête. C’était arrivé souvent ces derniers temps. Quand il était perdu si fort dans ses pensées qu’il avait l’impression de ne plus exister ; il y avait la voix de Macaque qui le sortait du néant pour le gronder ou lui dire quoi faire. C’était une torture douloureuse que Wukong n’avait pas encore complètement assimilé. Petit à petit Wukong se calme, et retourne à ses pensées. Il rejoua en boucle la scène de la mort de Macaque dans sa tête. Il ne voulait pas l’oublier. Il ne voulait rien oublier de Macaque. C’était encore horriblement trop frais dans son esprit. Son cœur qui s’emballait sous la colère, la douleur de la couronne contre son crâne, qui semblait attiser les flammes de sa rage, puis, sa perte de contrôle. Macaque et lui se sont battus, comme très souvent récemment. Et Wukong ne s’expliquerait pas pourquoi il avait réagi aussi violemment. C’était stupide. Complètement insensé. Peut-être était-ce à cause des mots cinglants de Macaque ; où en avait-il eu tout simplement marre de leurs disputes constantes, et cela l’avait fait péter un câble. Mais tel était que cela l’avait mené à sortir de son état, complètement essoufflé, la colère disparaissant petit à petit ; et le corps de Macaque devant lui. Wukong se rappelle trop douloureusement ne pas avoir immédiatement paniqué. Il a regardé l’œil de Macaque se vider de vie pendant de longues secondes avant de comprendre ce qu’il se passait et prier pour que Macaque ne parte pas. Wukong jura. Il avait perdu de si précieuses secondes. Si seulement il avait agi plus vite. Il aurait pu emmener Macaque à son maître plus tôt, et ce dernier aurait certainement pu le sauver. S’il avait…s’il…
Il fit soudainement plus froid sur sa gauche. C’était certainement une impression. Cela faisait longtemps qu’il était au soleil, immobile. Peut-être que cela jouait ? Il ne savait pas. Il savait juste que soudainement, il se sentit mieux. Il ressentit quelque chose de familier. Il repensa à Macaque. S’il était là. Il serait certainement en train de lui raconter une histoire ; où quelque chose qu’il ne comprenait pas complètement. Peut-être qu’il lui lancerait des piques ? Wukong resta pensif. Il imagina quelque chose de plus simple. Quelque chose qu’il aimerait. Il aimerait que Macaque soit encore à ses côtés. Lui et le singe de l’ombre assis sur l’herbe, au soleil. Ce serait bien. Vraiment bien.
Le cœur de Wukong était douloureux à cette pensée. Mais qu’importe. C’était mieux que lorsqu’il était vide. Il préférait savoir qu’il ressentait encore quelque chose à la pensée de Macaque plutôt que de rester douloureusement vide comme il le faisait si souvent ces derniers temps. Si seulement il n’avait pas été aussi stupide… Si seulement il avait été moins impulsif. Il…
-Désolé Macaque.
Murmura Wukong en espérant que Macaque lui pardonne. Mais c’était impossible. Macaque lui en voulait certainement. Wukong ne lui en voudrait même pas. Pourquoi pardonnerait-il l’ami qui l’avait tué ? Pouvait-il même encore être considéré comme un ami ? Les amis ne se tuent pas n’est-ce pas ? Il était certainement le pire ami du monde. Nous vivrons heureux pour toujours mon cul ! Wukong n’avait pas été capable de tenir la seule promesse qu’il voulait vraiment réaliser avec lui. Le singe de pierre serra le poing sur l’herbe sous ses doigts. S’il avait rendu Macaque immortel et l’avait fait officiellement roi de la montagne à ses côtés, Macaque n’aurait peut-être pas été si en colère. Le singe de l’ombre était quelqu’un qui s’inquiétait vraiment pour la montagne. Nul doute que si Wukong l’avait fait roi, il se serrait préoccupé de leur peuple comme personne. Peut-être alors qu’il aurait été trop occupé pour penser à ce pathétique ami qu’était Wukong, et qu’ils auraient échappé à ce scénario lamentable. Il y a tant de suppositions ; et si peu de réponses. Wukong ferma les yeux dans un soupir. Macaque lui manquait tellement.
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Comment font les filles ?
Suite des confidences de Lace…
J'étais dans l'année de mes 15 ans, ma sœur ses 14 ans. Nos petits échanges de culottes s'étaient installés comme une habitude. Je me masturbais assez souvent et notre seau hygiénique ou un mouchoir recueillait ma liqueur. De temps à autre, ma sœur insistait pour regarder mais cela n'allait pas plus loin. Nous n'échangions pas de caresses mutuelles. Un frais dimanche matin d'hiver, ma sœur s'est glissée dans mon lit, en me réveillant. Elle prétextait avoir un peu froid et me demanda de la prendre dans mes bras. Nous étions tous les deux en culotte et tee-shirt. Je la serrais doucement, sans rien tenter de plus, lorsque qu'elle m'a dit : "Tu m'as montré comment font les garçons. Tu veux que je te montre comment font les filles pour avoir du plaisir ?" Tout émoustillé à cette idée, j'ai bien sûr accepté ce cadeau. Alors elle s'est dégagée de mes bras pour se mettre sur le dos. Elel a glissé ses doigts sur son entrejambe et par dessus sa culotte elle a commencé à se caresser. J'avais repoussé la couverture pour profiter de ce petit spectacle. Alors elle a pris ma main, l'a placé sur sa culotte et m'a guidé en doux mouvements de haut en bas. A un moment, sa respiration s'est accélérée et elle a émis de petits gémissements, lors j'ai su qu'elle avait du plaisir. Juste après, elle m'a dit " Hé bien petit cochon, je vois que ça t'a fait de l'effet ! Regarde, tu vas craquer ta culotte !" Elle a alors baissé le devant de ma culotte pour dégager ma queue raide et fièrement dressée. Elle a commencé a me prendre dans sa main pour la première fois. C'était tellement doux et agréable, j'étais prêt à exploser. J'ai retenu sa main en lui disant " Si tu continues, je vais cracher et il y en aura plein le lit !" Alors elle à enlevé sa culotte et l'a enroulé sur ma queue en couvrant mon gland de la doublure plus épaisse. C'était chaud, humide…Hummm ! et c'était juste à temps pour que je lâche une grosse giclée. Nous avons attendu que ma queue dégonfle et finisse de se vider puis elle a repris sa culotte trempée de nos plaisirs et je crois que la coquine s'est aussi léché sur les doigts ce qui avait débordé…
Continuation of Lace's secrets… How do the girls do it?
I was 15, my sister was 14. Our little exchanges of panties had become a habit. I masturbated quite often and our sanitary bucket or tissue would collect my juice. From time to time, my sister insisted on watching but it didn't go any further. We did not exchange mutual hugs. On a chilly winter Sunday morning, my sister crawled into bed, waking me up. She pretended to be a little cold and asked me to hold her. We were both in panties and t-shirts. I squeezed her gently, without trying anything more, when she said to me: "You showed me how boys do it. Do you want me to show you how girls do it to have pleasure?" Exhilarated by this idea, I of course accepted this gift. Then she got out of my arms and got on her back. Elel slid her fingers over her crotch and over her panties she began to caress herself. I had pushed the cover aside to enjoy this little spectacle. So she took my hand, placed it on her panties and guided me in gentle up and down movements. At one point, her breathing accelerated and she made small moans, then I knew she was having pleasure. Right after, she said to me, "Well, little piggy, I see that had an effect on you! Look, you're going to burst your pants!" She then pulled down the front of my panties to reveal my stiff and proudly erect cock. She started to take me in her hand for the first time. It was so sweet and nice, I was ready to explode. I held his hand and said, "If you continue, I'm going to spit and there will be a bed full of them!" Then she took off her panties and wrapped them over my cock covering my glans with the thicker lining. It was hot, humid…Hummm! and it was just in time for me to release a big load. We waited for my cock to deflate and finish emptying then she took back her panties soaked with our pleasures and I think the naughty girl also licked what had overflowed from her fingers…
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Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte 🍆🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
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You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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Elle n'est pas la fille la plus facile à aimer. Elle a cette mauvaise habitude de trop réfléchir, elle a tendance à exagérer plus qu'elle ne devrait, et elle devient un peu anxieuse de temps en temps. Elle aura besoin de votre attention, elle voudra littéralement prendre tout votre temps, et elle aura besoin de beaucoup de rassurance. Elle est tout ce que tu ne voudrais pas chez une petite amie. Elle n'est pas capable de te faire pleinement confiance, elle ne sait pas quand arrêter de se battre avec toi même si elle a tort, et elle n'a aucun problème à te repousser si elle a l'impression que tu es proche de lui faire du mal. L'aimer vous stressera, l'aimer vous mettra en colère, l'aimer vous brisera le cœur parfois, l'aimer vous mettra à l'épreuve, l'aimer vous défiera, et l'aimer vous changera. Cela peut devenir tellement exigeant que vous serez tenté de partir, que cela devient si difficile que vous pensez à abandonner, et cela peut devenir tellement compliqué que vous ne voudrez plus avoir affaire à elle. L'aimer signifie que vous pouvez la voir au pire et au plus vulnérable et c'est quelque chose que vous aurez assez de force pour gérer parce qu'elle a besoin de quelqu'un assez patient pour comprendre pourquoi elle est qui elle est aujourd'hui. Ça ne va pas être une relation facile avec elle. Mais si elle est amoureuse de toi, alors elle peut promettre que tu seras aimé avec tellement de passion et d'intensité que tu oublieras ce que la vie ressentait avant qu'elle n'arrive parce qu'elle sera toujours là pour recoller ton cœur après l'avoir brisé. Peut-être qu'elle n'est pas la meilleure pour être aimée, mais elle est assez incroyable pour aimer.
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Pendant longtemps j'ai cru que je n'étais pas addicte à la cigarette. J'ai arrêté de fumer des joints du jour au lendemain après une consommation excessive pendant deux ans à raison de 5 à 10 par jour. Donc je me suis souvent dit que ce serait pareil avec la clope. Et des fois, je me le dis encore. Le fait est que je fume essentiellement dans 2 cas: quand je suis stressée et quand je m'ennuie. Quand je m'ennuie je préfère fumer que me triturer la peau ou manger. C'est vrai que c'est un vieux réflexe de trouble alimentaire. J'ai en partie commencer pour couper ma faim. Maintenant je fume par habitude/besoin quand je suis stressée et par substitut quand je ne sais pas quoi faire. Je ne sais souvent pas quoi faire. Mais je sais aussi que lorsque je suis occupée je ne ressens pas l'urgence de fumer ou la déception de ne pas avoir le temps de le faire. Je ne me méprends pas, évidemment que c'est une addiction, ce n'est pas parce que je peux m'en passer une soirée ou un week end que je le vis bien ou que ça veut dire que c'est récréatif. Mais de plus en plus, quand je fume, ou plutôt, au moment d'allumer ma clope, je n'ai plus envie de la fumer. En fait, c'est rare maintenant les moments où je ressens un réel bien être après une bouffée. Souvent, j'ai juste envie d'en prendre une taffe et de l'éteindre. Ça doit être intéressant en terme de processus. Après évidemment, je n'ai pas encore de répercussions visible sur ma santé mais ça viendra. Je me demande comment ça évoluera et si un jour j'arrêterai car il y a des matins où je me lève avec cette pensée de "ça aussi tu pourrais t'en passer". Dans les faits, c'est vrai, je pense qu'on peut se passer de beaucoup de choses. Puis mon mode de vie est encourageant dans le sens où je ne fume plus de weed, je ne bois plus ou très très occasionnellement, je ne prends plus aucune drogue, je ne regarde pas les écrans outre mesure, je n'achète quasiment plus d'habit, j'essaie de manger équilibrée et brut, je ne sors plus manger dehors, ect. J'ai fait un vrai travail niveau minimalisme et conception du plaisir. Je n'ai jamais été une consommatrice de folie mais j'ai eu consommé plus que ça outre mes besoins, juste par envie. Bien que ça ressemble plus à un besoin qu'une envie la clope, j'espère un jour arrêter car j'y vois de moins en moins l'intérêt en réalité. Je sais juste que ce n'est pas le moment dans le sens où je n'ai pas assez de volonté ni le déclic réel mais j'ai bon espoir que ça arrive et que j'ai un mode de vie extrêmement sain.
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« J'adore naviguer dans les mers interdites et atterrir sur des rives barbares. "
- Herman Melville
Il est dit que sur les anciennes cartes les cartographes avait pour habitude d’inscrire des mises en garde sur les zones non explorées « là vivent des monstres » …
j’aurais dû prendre garde …
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Note
Ce n'était pas violent mais c'était condescendant au possible. IRL, ça ne passerait pas et faut arrêter de mentir en faisant semblant qu'il y avait le moindre chill dans le pointage d'origine.
En plus, cet échange n'était pas particulièrement utile, on le sait. D'un côté, y'a des indécrottables qui ne changeront pas leurs habitudes de jeu et de l'autre des gens qui ont potentiellement raison mais dont le point se perd quand on se souvient qu'ils n'ont pas la moindre intention d'un jour rejoindre le projet concerné et qu'on sait qu'ils pointent ça du doigt juste pour faire de la provocation.
De toute façon, de part et d'autre, les gens sont coincés dans un complexe de supériorité. Vouloir évoluer les consciences, c'est super et oui, le RPG reflète le monde dans lequel on vit mais faudrait pas non plus se fourvoyer à penser qu'on sauve le monde ou qu'on change la société en boycottant trois avatars ou en faisant des call out de merde.
C'est aussi bien hypocrite que les fc juifs ne comptent dans la case "not white" que lorsque ça arrange le discours, parce que les calculs ne sont pas bons.
Toujours changer les règles tacites pour toujours pouvoir gueuler.
Être moqueur pour se la jouer bad bitch et dire aux gens de fermer leur gueule mais crier au tone policing quand un peu plus de CNV est demandée.
Bref, laissez les cons entre eux, on sait, pas besoin de se rabaisser à les malmener, je ne vois vraiment pas l'intérêt. En dehors de poser les truffes qui se sont faites attaquer en martyre pour les whities à la recherche de justification pour leur racisme et leur entre-soi, vraiment, je ne vois pas ce que ça peut accomplir.
mais personne ne dit que le message de base était chill? de toute façon, il n'avait pas à l'être. on a, et quand je dis on je dis nous les racisé·es, on a disais-je le droit d'être en colère et de l'exprimer comme bon nous semble en voyant pour la énième fois une majorité de fcs blanc·hes dans la liste d'un projet/forum rpg. pcq hey ça fait chier de voir que même dans l'un de nos loisirs, on n'existe peu/pas du tout, que même là les blanc·hes sont la norme. et ça fait d'autant plus chier que quand on ose prendre la parole, on soit pointé·s du doigts comme des personnes violentes, qui se plaignent pour rien, etc. on le connaît le discours, on l'a vu et entendu mille fois, c'est un vrai running gag et il s'appelle les white tears 101.
et honnêtement osef de l'intention de s'inscrire ou pas à l'ouverture, le truc est public, il est là pour être commenté si on le désire. et je suis content·e que quelqu'un ait pris l'initiative de le faire, donc merci à toi si tu passes par ici.
pour les fcs juif·ves, je comprends pas tu sors ça d'où. ils sont racisé·es, point.
bref, je suis fatigué·e.
#forum rpg#jspr c clair#flemme de me relire#no beta we die like la blanchité#l'espoir fait vivre askip
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Printemps 1921 - Champs-les-Sims
9/10
Même Constantin a consenti à quelques efforts. Car si l'Egypte semble occuper presque tout son esprit, il a commencé à davantage parler avec les enfants. Il a commencé par suivre mon conseil et prend régulièrement le goûter avec eux plutôt qu'enfermé dans son bureau. Les filles sont bavardes et curieuses, alors elles ont fini par parvenir à le dérider. Cette habitude de goûter semble avoir ravivé un souvenir car il a jeté il y a quelques mois un oeil aux lettres de candidature pour engager une nouvelle cuisinière (Madame Legens ne peut plus tout gérer seule) et son attention s'est fixée sur celle d'une femme venue du Canada, et même de Kingston. Je doute que vous la connaissiez, mais elle se nomme Suzanne Armadet. Il m'a expliqué vouloir l'engager car il avait envie de manger ce que vous appelez des crêpes américaines, et que c'est apparemment quelque chose de typique. Il en mangeait autrefois chez Jeanne, la soeur de Jules.
Transcription :
Arsinoé « Alors Papa, qu’est-ce que vous en pensez ? »
Constantin « C’est bon, mais je ne pensais pas que cela aurait ce goût. Et je crois que Madame Armadet s’est trompée de recette. »
Arsinoé « Ce ne sont pas des crêpes américaines ? »
Constantin « Elles sont supposées être rondes me semble t-il. Pas ressembler à un parpaing. Et ce ne doit pas être croustillant. C’est vraiment dommage, car j’ai expressément demandé à ta mère d’engager une cuisinière canadienne. »
Arsinoé « Quel est le rapport ? »
Constantin « Et bien, les cuisinières canadiennes savent faire les crêpes américaines. Elles sont américaines, et elles parlent français, c’était donc idéal. »
Arsinoé « Vu de cette façon… Mais pourquoi des crêpes américaines ? »
Constantin « Je n’en ai pas mangé depuis que je suis enfant. Et cela me manque. »
Arsinoé « Vous en mangiez enfant ? Qui vous les faisait ? »
Constantin « Tante Jeanne. Elle est arrivée du Canada quand j’étais encore très jeune, et il arrivait fréquemment que nous allions prendre le goûter chez elle, durant lesquels elle en servait. Tous ces goûters avec Adelphe, Rose, Juliette et mes cousins me manquent un peu. »
Arsinoé *fixe*
Constantin « Tout va bien Arsinoé ? Ai-je des miettes sur la cravate ? »
Arsinoé « Oh non. Mais c’est bien la première fois que vous me parlez de votre enfance. Tout ce que je sais à ce sujet, c’est ce qu’Oncle Adelphe et Tante Rose racontent parfois. Les petites anecdotes drôles, tout ça... »
Constantin « Oh… Tu veux que je te parles de mon enfance ? »
Arsinoé « Oui, s’il vous plait ! »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Constantin Le Bris#Arsinoé Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Jeanne Le Bris#Jules Le Bris#Adelphe Barbois#Rose Le Bris#Juliette Le Bris
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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Eden ne te manque pas trop?
C'est fou comme une habitude peut se prendre et se perdre.
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j'aime prendre des risques et tordre les habitudes j'aime me déshabiller et renaître ensuite j'aime être en vie même si c'est difficile j'aime pouvoir croire qu'on peut s'améliorer j'aime entendre rire et me dire que tout est correct j'aime rager sans savoir où crier j'aime parcourir les profondeurs sans trop m'y noircir j'aime sourire face à mon ignorance j'aime déconstruire et voir sur quoi ça se compense j'aime m'amarrer dans la tempête ou dans un lit chaud j'aime me baigner dans les émotions inconfortables j'aime comprendre pour me rendre à l’évidence j’aime que rien ne soit pas parfait j'aime les occasions où je peux pleurer j'aime perforer toujours plus creux à n'en crever j'aime penser qu'on va s'y rendre j'aime voir que les choses finissent par revenir en arrière j'aime revisiter ma vie et la tienne j'aime que la fin soit demain et non aujourd'hui j'aime pouvoir prendre un autre verre sans me soucier j'aime pouvoir m'étendre et m'enfarger dans ma vie j'aime faire des erreurs et croiser un regard complice j'aime y croire que nous sommes tous liés
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Inondations sous la couette…
Ce dimanche matin là, changement de programme🙂 Face à face et nus comme à notre habitude, nous nous sommes embrassés pour nous dire bonjour. Puis elle a entrepris mes couilles ce qui m'a immédiatement fait bander. Elle m'a glissé ''ce matin tu te laisses faire, j'ai envie de frotter mon clito sur ton gros clito. Mais attention ! Je t'interdit de me le mettre, même si je te le demande. Et tu attends que je te le dise et que je me recule pour cracher ton jus, je ne veux pas risquer d'attraper un môme !'' J'avais la queue raide et dure comme un os. Elle l'a prise, elle l'a forcée à l'horizontal, ce qui m'a fait un peu mal et elle l'a glissé entre ses cuisses puis elle a écarté ses lèvres, pour éviter, m'a t'elle dit que cela ne tire ses poils. Ensuite elle a plaqué son ventre contre le mien. La sensation sur ma bite était délicieuse. C'était chaud, doux et humide j'étais au paradis 🥰 Puis elle a commencé ses petits coups de reins comme elle faisait sur ma cuisse. J'avais envie de la prendre !!! A m'en mordre les lèvres ! Je savourais les merveilleuses caresses de sa chatte sur mon gland et sur ma queue. Je m'excitais du petit bruit humide que faisaient ses mouvements 🍆🍆🍆 c'était comme si nous faisions l'amour 😍😋❤️ Puis elle a accéléré, elle a émis de petits gémissements et j'ai senti ses cuisses serrer ma queue presque à l'écraser. Je ne sais pas si elle a lâché de la cyprine ou un petit pipi de plaisir mais ma bite était trempée. Et moi qui me suis retenu, retenu, retenu à me faire mal aux couilles, à ce moment là, dans attendre qu'elle se recule, j'ai lâché de grands jets de sperme qui n'en finissaient plus. C'est bien simple, j'avais l'impression de pisser 💦💦💦💦💦💦💦💦 Vu notre position et le fait que nous étions collés, je ne pense pas qu'elle en ai reçu dans la chatte. Mais … Elle avait les fesses dégoulinantes, les cuisses trempées ainsi que ma queue. Et surtout le lit ! Il avait pris cher ! Nous étions dans une petite flaque de nos sécrétions et j'avais craché du sperme plein les draps 🥴🥴🥴 Elle s'est tout de suite levée et s'est inspectée l'entrejambe pour voir si je ne l'avais pas arrosée. Cela avait l'air d'aller. Elle s'est essuyée avec sa culotte en frottant bien entre ses lèvres et elle est allée pisser dans notre seau de chambre. C'était la première fois que nous avions une telle inondation. Il fallait changer les draps et surtout le justifier… Alors je m'y suis collé. Je suis allé trouver notre mère discrètement et je lui ai dit ''maman je ne comprends pas, ce matin en me réveillant mon lit était tout trempé…'' Elle m'a répondu '' Ce n'est pas grave mon grand, tu sais a ton âge, tous les garçons ont des fois des fuites nocturnes. C'est normal, c'est parce que tu deviens un homme !'' La pauvre, si elle savait le nombre de giclées de sperme elle avait déjà passé en machine avec nos culottes !
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Flooding under the duvet…
That Sunday morning, change of program 🙂 Face to face and naked as usual, we kissed to say hello. Then she started on my balls which immediately made me hard. She whispered to me "this morning you let yourself go, I want to rub my clit on your big clit. But be careful! I forbid you to put it in me, even if I ask you to. And you wait until I tell you and I move back to spit your juice, I don't want to risk catching a kid!" My cock was stiff and hard as a bone. She took it, she forced it horizontally, which hurt me a little and she slid it between her thighs then she spread her lips, to avoid, she told me, that it would pull her hair. Then she pressed her belly against mine. The feeling on my cock was delicious. It was hot, soft and wet I was in heaven 🥰 Then she started her little thrusts like she did on my thigh. I wanted to take her!!! To bite my lips! I savored the wonderful caresses of her pussy on my glans and on my cock. I was excited by the little wet noise her movements made 🍆🍆🍆 it was like we were making love 😍😋❤️ Then she accelerated, she emitted little moans and I felt her thighs squeeze my cock almost to crush it. I don't know if she released cyprine or a little pee of pleasure but my cock was soaked. And I who held back, held back, held back to hurt my balls, at that moment, without waiting for her to move back, I released big jets of sperm that never ended. It's quite simple, I felt like I was peeing 💦💦💦💦💦💦💦💦 Given our position and the fact that we were stuck together, I don't think she got any sperm in her pussy. But… Her butt was dripping, her thighs were soaking wet, as was my cock. And especially the bed! It had taken a beating! We were in a small puddle of our secretions and I had spat sperm all over the sheets 🥴🥴🥴 She immediately got up and inspected her crotch to see if I had seed her. It seemed okay. She wiped herself with her panties, rubbing it well between her lips, and she went to pee in our bedroom bucket. It was the first time we had such a flood. The sheets had to be changed and above all justified…
So I did it. I went to find our mother discreetly and I told her "Mom I don't understand, this morning when I woke up my bed was soaked…" She answered me "It's not serious my big boy, you know at your age, all boys sometimes have nocturnal leaks. It's normal, it's because you're becoming a man!" Poor thing, if she knew the number of spurts of sperm she would have already put it in the washing machine with our panties !
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Vendredi 22/09 - Les informations de WB011
Fit s'est réveillé en se donnant une mission pour célébrer les 6 mois de son arrivée sur Quesadilla Island : se venger des monstres qui ont enlevé sa première vie à Ramon. Pour cela, il est revenu dans le bateau volant où Ramon a été tué, a exterminé les monstres présents, puis a fait explosé le donjon. Il a pris une photo de ce moment et l'a affiché dans sa chambre pour faire travailler sa mémoire.
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https://www.twitch.tv/fitmc/clip/VivaciousOriginalOpossumBloodTrail-i80fc5aCyncpmbxk
Tubbo, comme à son habitude, est allé voir près du banc si Fred lui avait répondu. Il n'y avait pas de livre dans le coffre, ce qui signifie que quelqu'un a bien pris sa lettre, mais n'y a pas répondu. Tubbo est un peu inquiet, il craint que la fédération n'ai pu intercepter leur conversation.
Tubbo Fit et Foolish se sont introduit dans les locaux de la fédération pour trouver des indices sur l'absence de Philza. Fit n'était pas trop d'accord, par peur de perdre son boulot. Tubbo a découvert les égouts dans les toilettes de la fédération, mais n'a pas réussi à aller jusqu'au bout. Cucurucho est ensuite intervenu, et leur a demandé de partir. Tubbo lui a demandé s'il avait une idée sur la localisation de Philza, Cucurucho a répondu que non, et a sorti un pistolet. Fit ensuite a prévenu Tubbo qu'il y avait quelque chose dans les égouts ("une terrible vérité"), mais que la sécurité là bas était très élevé, et que s'il y allait et se faisait prendre, il y aurait de grave conséquences. Tubbo a donc eu envie d'y retourner, s'est préparé des potions d'invisibilité et de vision nocturne, et est allé refaire un plongeon dans les égouts. Il a finalement pu tomber sur la grande salle d'eau et a vu la photo de tilin, sans trop comprendre ce à quoi il assistait. Fit lui a donc expliqué ce que cela signifiait.
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https://clips.twitch.tv/ThoughtfulAbnegateRatPeteZaroll-EV_hgVStO1eQgyRx
Double annonce de QuackityStudios : Carre rejoint QSMP, dimanche à 22h. L'annonce s'accompagne d'un "7", probablement le numéro sur laquelle la roue tombera demain. Les comptes d'informations ont aussi parlé d'un froid intense, d'eau et de glace.
BadBoy a démarré son live dans la panique. Il a peur d'être jugé, il ne savait pas quoi faire. Il pense que Dapper se moquera de lui lorsqu'il saura ce qu'il a fait. Il est allé a contrecœur dans la geôle où il garde Ron le travailleur et lui a confessé son erreur : il n'a pas réussi a faire un Beef Wellington, seulement un sandwich au poulet.
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https://clips.twitch.tv/FrigidSassySashimiKappa-pKOLfcf02yvnhpVU
BadBoy a demandé à Ron plus d'informations au sujet de la menace. Ron lui a répondu qu'il n'en savait pas plus, il avait entendu parler de ça via un collègue, et n'a pas demandé plus d'informations car la hiérarchie lui interdit. Il lui a aussi demandé pourquoi il l'appelait "Ron", alors que le seul nom qu'il possède est "WB011". BadBoy l'a donc interrogé sur cette règle hiérarchique. Ron a expliqué que le W voulait signifier les travailleurs ("worker"), et la lettre suivante était le niveau hiérarchique de l'individu, allant de A (haut gradé) à D (chair à canon). Tout le monde commence au niveau D, et certains montent dans les échelons. Son boss, un travailleur a casquette bleu (Fred) est au grade A, lui au grade B, et il a connu quelqu'un qui était C, mais qui a fait de la prison. La fédération l'avait choisi pour représenter tout ce qu'il fallait éviter d'être, le manque de conformité étant une imperfection aux yeux de la fédération. Ron a ainsi peur de ce qui va lui arriver s'il est libéré.
Badboy s'est donc mis en quête de retrouver le travailleur bleu ou WalterBob pour avoir plus d'informations. Il a rejoint Foolish et Forever pour discuter. Foolish a théorisé sur pourquoi il était de plus en plus bleu (Bad feignant de pas comprendre ce dont ils parlaient, pretextant que "être bleu" signifiait "être triste"). Foolish a listé tout ce qui était bleu, et pense qu'il peut être infecté par un champignon, ou devenir un animal. Foolish a donné son livre des animaux à Bagi, et lui a dit de regarder si un animal correspondait. Bagi a remarqué le "vautour d'âme" et en lisant l'entrée lié à cet animal, a remarqué que leur plus grand ennemi est un Piglin. Elle a donc relâché un Piglin, qui est allé attaquer BadBoy directement. Bagi a donc assumé qu'il était bien en train de se transformer en vautour d'âme même si Bad lui a expliqué qu'il a simplement attaqué le joueur le plus proche.
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https://clips.twitch.tv/FairPatientSkunkOptimizePrime-InAEGnzjSpHHyfyo
Quackity s'est connecté et a reçu une mission de Cucurucho : il doit aller dans le centre d'adoption et le nettoyer. Bagi et Forever l'ont rejoint, Bagi l'aidant dans sa tâche, et Forever lui proposant une autre tâche supplémentaire : prendre en photo les endroits qui auraient besoin d'un changement. En nettoyant le centre d'adoption, Quackity a trouvé une photo de lui avec Tilin, et un journal appartenant à son œuf Tilin. Il ne se rappelle de rien à son propos, et en lisant ses écrits, s'est dit que cet enfant avait eu un père affreux. Cucurucho lui a ensuite appris a écrire "Classified". BadBoy et Bagi espionnaient la conversation, et Quackity les a dénoncé à Cucurucho. Ce dernier a tiré sur Bagi encore une fois. Bagi souhaite désormais tuer Cucurucho pour se venger des deux fois où il lui a tiré dessus. Tina la supporte dans cette quête.
Quackity a ensuite rejoint Roier et lui a demandé qui était Tilin et cette personne qui lui ressemblait sur la photo. Roier lui a expliqué que Tilin était sa fille. Forever lui a ensuite expliqué que Cucurucho l'utilise et lui a probablement supprimé la mémoire car il en savait trop. Forever l'a ensuite emmené dans la tombe de Tilin pour essayer de lui provoquer un choc mental, mais comme il n'y avait pas de lit dedans, Quackity pense que Forever le manipule et lui ment, et s'est déconnecté directement.
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https://clips.twitch.tv/OutstandingFragileNuggetsPipeHype-jVh1ahQ9i-buej_R
Forever a proposé un combat 1v1 au bâton contre Etoiles. Etoiles a tellement eu le dessus sur lui que Forever se sent humilié. Il a demandé à BadBoy de le venger, mais celui-ci n'a pas réussi a tuer Etoiles. Il compte s'entrainer au pvp, et a proposé à Bad de l'aider dans ce domaine pour pouvoir battre Etoiles la prochaine fois.
Foolish a continué à enquêter sur Badboy. Il a noté tout ce que Bad disait pour y trouver des indices. Bad a joué sur ça et a insisté sur certaines phrases telles que "tout vient au bout d'un moment". Pendant que Foolish et Bad parlaient, Tina Bagi et Etoiles ont essayé d'espionner la conversation, mais Etoiles est tombé de sa chaise et a attiré l'attention sur eux. Quand Foolish a rappellé à Bad qu'il avait dit que "lui aussi avait une cage", Bad lui a dit qu'ils devraient peut-être aller autre part en discuter.
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https://clips.twitch.tv/DreamyBloodyWolverinePRChase-5RrL3FMVEHR8Hl4l
Foolish et Bad ont tenté de s'isoler, mais Tina Etoiles et Bagi les ont suivi. Bad a pris des photos en noir et blanc et les a montré à Foolish. Foolish lui a dit que la photo était super, mais il avait l'air mort dessus. Badboy ne comprenant pas ce qu'il voulait dire, Foolish lui a demandé de quelle couleur était le cristal de son dragon. Bad a répondu "de la même couleur qu'il a toujours été, on sait tout les deux de quelle couleur je parle".
Ils ont ensuite réussi a s'isoler, et Bad lui a expliqué qu'il pense que quelqu'un parmi eux travaille pour la fédération, et qu'il ne sait pas qui faire confiance. Badboy a sous-entendu qu'il lui a donné des informations pour voir s'il pouvait lui faire confiance, et si des informations censé être privées fuitaient. Il trouve que les enquêtes avancent beaucoup plus facilement lorsqu'il garde les informations pour lui que lorsqu'il les partage. Il pense pouvoir lui faire confiance, même s'il est proche de la fédération. Foolish a accepté de travailler avec lui pour trouver la taupe (si elle existe), et lui a avoué qu'il peut lui faire confiance car la fédération lui a pris Leo. Bad a dit qu'une fois qu'il aurait trouvé la marionnette, ça ne serait qu'une question de temps avant de remonter les fils et tomber sur le marionnettiste.
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https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/CrepuscularBlatantOxTheThing-QDMpSiDD3yVQCpNC
Bad lui a ensuite demandé si "Ron" était un bon nom, car il essaie de nommer un poisson dans son aquarium. Foolish voulait savoir de quelle couleur était ce poisson, Bad lui a répondu bleu, et qu'il lui montrera son aquarium la semaine prochaine. Il lui a demandé s'il était possible d'aller "trop" loin quand il s'agit de la famille, Foolish lui a répondu qu'il ne pense pas. En rentrant chez lui, Bad a regardé la photo de Foolish qu'il a prise, en se disant qu'il a éliminé beaucoup de gens de sa liste, mais qu'il n'étais toujours pas sûr pour Foolish.
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https://clips.twitch.tv/DarlingCuriousHerringFUNgineer-i_wHe_5j5AGhqrv0
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Tagged by @garnetrena thanks !!
Rules: list the first line of your last 10 (posted) fics and see if there's a pattern!
Sentinelles (Les Trois Mousquetaires, Aramis/Original Character, M)
Âmes sœurs.
La volupté de l'honneur (Les Trois Mousquetaires, Athos Comte de la Fère/Marie de Rohan Duchesse de Chevreuse, T)
Quand le mousquetaire Athos, Comte de La Fère, avait abandonné l’idée de l'amour, il l'avait fait en pleine et entière conscience des moqueries que ce choix de vie allait faire pleuvoir sur ses épaules encore jeunes mais déjà fatiguées par la discipline et la mélancolie.
Crimes Célèbres (Les Trois Mousquetaires, Aramis/Original Character & Original Character/Original Character, T)
Mes chers enfants, ce que je vous écris aujourd’hui doit, pour toujours, demeurer entre nous.
La maîtresse abandonnée (Kaamelott, Ygerne & Uther Pendragon, G)
Si on avait dit à la petite princesse Ygerne de Tintagel qu'elle allait un jour épouser le roi de toute la Bretagne elle aurait simplement souri.
Arthur, roi de Bretagne - Anthologie établie par Eugène Molozay (Kaamelott, Arthur Pendragon/Venec, G)
« Le roi Arthur, bien que nous ayons des preuves historiques de l'existence d'un personnage semblable à celui décrit dans les récits de chevalerie du Moyen-Âge et dans les films et séries de notre époque contemporaine, reste un homme de fiction.
Le Bon, la Brute et le Friand (Kaamelott, Multiple ships, G)
Fic co-écrite avec @kabbal, je mets donc la première phrase du chapitre que j'ai écrit.
Bordel.
La belle inconnue (Kaamelott, Arthur Pendragon/Guenièvre, M)
Quand ses lèvres se posent sur la peau blanche et crémeuse du cou de son épouse retrouvée il ne peut plus penser à autre chose qu'à leurs corps enlacés sur une épaisse fourrure dans l'intimité de leur tente.
La faute à Nanterre (Les Misérables, Enjolras/Grantaire, T)
En se réveillant ce matin pour aller, comme à son habitude, prendre un café sans sucre mais avec un nuage de lait au Petit Saint-Benoît, Grantaire a eu l'étrange impression qu'il n'allait pas passer une bonne journée.
Beautiful wonder (Desperate Housewives, Bree Van de Kamp/Gabrielle Solis, T)
To fall in love with someone was one thing.
Sleeping pill (House MD, Gregory House/James Wilson, T)
The doctor Gregory House was always the best at everything he did.
Je tagge @aramielles et @kabbal
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