#prévôt
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22 avril 1370 : pose de la première pierre de la Bastille ➽ http://bit.ly/Premiere-Pierre-Bastille C’est le jour où le prévôt de Paris, Hugues Aubriot, pose la première pierre de la Bastille. A l’époque, elle n’a pas encore vocation à devenir une prison. Dans l’esprit de Charles V, il s’agit simplement de renforcer la défense de Paris
#CeJourLà#22Avril#Bastille#prison#prévôt#Paris#Aubriot#roi#CharlesV#construction#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes). Plus trop loin du présent….
2017, une journée à Bruges avec ma sœur et son mari. En 2, le Grand Reliquaire du Saint Sang (1617), En 4, le collier du Prévôt (vers 1900)
#souvenirs#belgique#flandres#bruges#brugge#médiéval#art gothique#vitraux#vitrail#reliquaire#saint sang#prévôt
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The transition of executive power was not the basis for the right that granted the military leader complete entitlement; it was just an administrative–technical means of placing the bureaucratic apparatus in his hands. Therefore he also received functions related to the administration of justice: for all the offences that he would not entrust to ordinary courts, he used the police judiciaire [military police/crime squad] (that is, a department that dealt with all the matters involving criminal prosecution, including those under the jurisdiction of the examining magistrate), and he did so through a prévôt militaire [military provost/provost martial]; he also appointed military courts in place of the ordinary courts.
Carl Schmitt, Dictatorship
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"Traité sur l'épée" par Henry de Saint-Didier, Paris, 1573
Figures 17 et 18 : Le lieutenant trompant la menace d’arrêt au bras, dégage dans la ligne de sixte (style moderne). Le prévôt oppose tierce.
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A trop lire Alexandre Dumas on finirait par croire que les duels se sont arrêtés au XVIIe siècle par la volonté de Richelieu et que d’Artagnan et Cyrano n’ont pas eu de postérité. Les combats les plus spectaculaires à l’épée ou au pistolet ont eu lieu à l’époque de Napoléon. Ils eurent pour cadre l’armée car la police parvint à empêcher les duels entre civils. Un mauvais regard, un mot de trop, une querelle politique suffisait. L’honneur d’un régiment était souvent le prétexte de l’affrontement, ce que rappelle fort bien – transposé dans le monde des reconstitutions de batailles napoléoniennes – Demain dès l’aube, de Denis Dercourt. On se bat aussi pour passer le temps. Il y a des spécialistes, les maîtres d’armes et les prévôts. On se bat au sabre droit de cavalerie ou au sabre courbe, plutôt qu’à l’épée, au premier sang pour les offenses légères, à mort pour les injures graves. Des règles non écrites s’établissent. Napoléon n’est pas favorable au duel, meurtrier pour ses officiers et ses meilleurs soldats. Des sanctions sont prévues dans certains règlements de service mais peu appliquées.
Jean Tulard
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Poitiers
Poitiers est une ville de l'ouest de la France riche de ses ruelles médiévales, de ses nombreux parcs et églises ainsi que de son passé. On se perd agréablement à la recherche des façades anciennes, des hôtels particuliers et des chapelles romanes. Sa localisation pratique permet d'en faire une étape centrale pour un grand week-end dans le département.
Comment venir ?
Poitiers se situe :
en train : 30min de Tours, 1h20 de Paris, 1h45 de La Rochelle, 1h50 de Bordeaux, 2h de Limoges
en voiture : 1h de Tours, 1h30 de La Rochelle, 1h50 de Limoges, 2h d'Angers, 2h d'Orléans, 2h de Le Mans, 2h20 de Bordeaux
en bus : 1h50 de Tours, 2h25 de La Rochelle, 2h50 de Bordeaux
Quand et combien de temps ?
Poitiers est une ville à taille humaine qui se visite facilement en une journée. Cela vous laissera le temps de contempler les multiples églises du centre et de vous promener dans les parcs verdoyants. Pour rester sur place plus longtemps il faudra prévoir des expéditions dans les villes ou villages des environs.
Quoi voir à Poitiers ?
Des bâtiments historiques : place du Maréchal Leclerc, Hôtel de la Bidolière, Hôtel Fumé, Hôtel de ville, Hôtel Claveurier, Palais des Comtes de Poitou-Ducs d'Aquitaine, Amphithéâtre, Hôtel Jean Beaucé, Prévôt, Échevinage
Du patrimoine religieux : Eglise Notre-Dame-la-Grande, Cathédrale Saint-Pierre, Église Saint-Hilaire le Grand, Église Saint-Jean de Montierneuf, Église Saint-Paul, Église Saint-Porchaire, Église Sainte-Thérèse et Sainte Jeanne d'arc, Église Sainte-Radegonde, baptistère Saint-Jean, Eglise st germain, Eglise st hilaire le grand, Chapelle st louis
Des musées : Musée st croix, musée d'Histoire naturelle, musée du Palais des Comtes
Des parcs et jardins : parc de Blossac, jardin des plantes, parc floral de la Roseraie
Quoi faire dans les environs ?
Des villes et villages : Niort, Bourges, Tours, Chauvigny, Châtellerault, Saint-Savin-sur-Gartempe, La Roche-Posay, Angles-sur-l'Anglin, Parthenay, Montmorillon
Des lieux historiques : château à Moncontour, Église Saint-Hilaire de Melle, château de Thouars, Abbaye de Nouaillé-Mauperthuis, Abbaye de Saint Savin sur Gartempe
Des espaces verts : Laverré, Touffou, Jardin du château de La Mothe, La Guyonnière, Arboretum du chemin de la découverte, Vallée des singes, Grotte de Norée, Lac de St Cyr
Des activités ludiques : Futuroscope
crédits photos @lilstjarna
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Les Frères des victuailles (ou Vitaliens, fratres Vitalienses, Vitaliebrødre en danois, Vitalienbrüder en allemand) est un groupe de corsaires qui devinrent pirates.
Leur classe dirigeante a été recrutée au début dans des familles pauvres du Mecklembourg. Une crise agricole persistante depuis le début du xive siècle a conduit de nombreux hommes de la basse noblesse menacés par la pauvreté à chercher leur fortune au-delà des lois, tant sur terre qu'en mer. L'appauvrissement devait être ainsi compensé par des expéditions criminelles. Cependant même à la fin des Frères des Victuailles, les membres de la noblesse n'étaient pas rares. Par exemple, deux fils du prévôt de Kuressaare, Wilhelm Varensbeke.
Les premiers capitaines de la "première génération" des Frères des Victuailles sont Arnd Stuke, Henning Mandüvelet Nikolaus Milies. Les noms Gödeke Michels, Klaus Störtebeker, Hennig Wichmann, Klaus Scheld ou Magister Wigbold seront toutefois cités plus tard. Cette "deuxième génération" n'a plus été supposément recrutée dans des familles pauvres de la vieille noblesse du Mecklembourg, mais a acquis leur position dirigeante par leur habileté et leur hardiesse.
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Extending royal authority
As Henry I sought to extend his authority over the relatively welldefined territories of England and Normandy, King Louis VI of France (1108–1137) and his son Louis VII (1137–1180) sought to improve their position relative to that of their great vassals, including Henry himself. At the beginning of his reign, as noted above, Louis VI directly controlled only a small fraction of the territory he theoretically ruled as king —the ‘royal domain’— and that area itself could be profoundly unstable. Local nobles engaged in private warfare and created a general atmosphere of fear. The contemporary writer Guibert of Nogent (c. 1060–c. 1125), wrote that a castellan named Thomas of Marle, ‘a robber of paupers and pilgrims to Jerusalem’, resisted royal authority, sought to consolidate his power, and committed countless crimes (related in stomach-churning detail) against the defenseless. It has been calculated that, in his time as a warrior, first as a prince and then as a king, Louis VI responded to some 27 documented cases of local violence or oppression. The biographer Suger insists that Louis VI could repay violence for violence. When he attacked a disruptive vassal named Ebles of Roucy, ‘the plunderers were themselves plundered and the torturers were tortured with the same or even more pain than they had used to torture others.’ Louis VI’s primary task, then, was to bring peace to the royal domain while simultaneously keeping an eye on his most dangerous vassals. Before his reign was half over, he had largely succeeded in bringing peace to the area around Paris.
He had several assets to help him consolidate his gains. First, the French crown had been safely in the hands of his Capetian dynasty since the tenth century. Most Capetians had the good fortune of long reigns, so succession disputes were rare, and at any rate Louis VI had been designated king in his father’s lifetime (possibly to guard against a rival reviving the memory of Frankish elective kingship). In addition, despite periods of relative weakness, and some rather disreputable and much-censured sexual misbehavior by his father Philip I, Louis VI’s forebears had managed to create an air of sacrality about them; they had relatively few major disputes with the Church. Because authority in France was so fragmented, the French kings had never attained the level of control over bishops that the English and German kings had, and therefore lay investiture was a less pressing issue. Louis VI tended to negotiate with the Church regarding episcopal appointments rather than to make bold claims of theocratic kingship in order to get their way. Although France had its own version of the Investiture Controversy under Philip I, by Louis VI’s reign it had been essentially resolved, and he enjoyed mostly amicable relations with the papacy. The French kings demonstrated the sacred character of their kingship frequently and ostentatiously. The great royal abbey of St Denis, just outside Paris and rebuilt in the middle of the twelfth century, testified to royal holiness through its new Gothic elements. As early as the reign of Robert II ‘the Pious’ (996–1031), the Capetians had been thought to have the power to cure skin diseases —either scrofula or leprosy, depending on the source— as a reverberation of the healing powers of Christ. This power was also imputed to English kings, but they were apparently less successful at it.
The French kings also had more concrete, and more easily documented, means of securing their domain. Philip II had established small administrative units called Prévôtés, to allow for more orderly and manageable organization at the local level. These units were administered by royal agents, prévôts, who collected revenue, looked to royal interests, and tried to ensure some modest consistency in the meting out of justice. During the reigns of Louis VI and his son Louis VII (1137–1180), the prévôts would prove an effective means of extending royal power. But nothing was quite so effective at representing royal authority than the presence of the king himself, and French royal court was constantly traveling. Louis VI benefitted from a small core of trusted advisors, literate men with connections who helped regularize the business of government. Under mostly competent leadership, the production of written charters increased during the century: whereas an average of 5.7 royal charters per year survive from Philip I’s reign, the figure increases to 14.0 for Louis VI, and 28.1 under Philip II ‘Augustus’ (1180–1223).
Despite early difficulties with local uprisings in the royal domain, the Capetians always had their eye on the rest of France, and they intervened when they could, generally with a view to checking the power of the great princes, especially the dukes of Normandy, as Louis VI did repeatedly in the 1110s. Louis also intervened in a succession dispute in Flanders in 1126. In 1137, just before his death, he married the soon-to-be Louis VII to Duchess Eleanor of Aquitaine, which loosely joined the royal domain to much of the territory of southern France (though Eleanor’s lands were not formally integrated into those of Louis). Louis brought Eleanor with him on the Second Crusade, where she was rumored to have had dalliances with at least one other man. Partly for this reason, but also because she did not produce an heir, Louis had the marriage annulled in 1152, leading to one of the more significant instances of dynastic politics impinging on the conjoined history of France and England.
John Cotts - Europe's Long Twelth Century- Order, Anxiety and Adaptation, 1095-1229
#xii#john cotts#europe's long twelth century#louis vi#the robber barons#thomas de marle#louis vii#aliénor d'aquitaine
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Mise à jour n°36
Crédits : Tom Bagshaw, Instagram ; Dragon Age Concept Art (Matt Rhodes, BioWare) ; 27.11 (Ivan Stan, ArtStation).
Maintenant, Starkhaven se réveille, prête à se défendre contre le siège à venir.
Partout dans la ville, des bras s'élèvent pour porter plus haut les boucliers et frapper plus fort de leurs armes. Partout dans les échoppes, des paroles s'échangent aussi sûrement que des promesses de soutien et des denrées précieuses. Partout dans les chambres discrètes, des traités se rédigent comme autant d'accords commerciaux et d'alliances de soutien. Partout l'on s'active sans savoir quel danger guette.
Un mot résonne contre la pierre orangée de la Cité des Princes : Enclin. Avec appréhension, on regarde les griffons s'élever dans le ciel et les réfugiés se presser contre les grandes portes. Les greniers d'abondance se remplissent et les visages sous les casques se rajeunissent, vieillissent aussi, mais ne s'endurcissent pas assez rapidement pour affronter les nuages qui s'annoncent à l'horizon. Je ne vois qu'un mot d'ordre, répété inlassablement en bas des feuilles : ce qu'il faudra pour survivre.
Maintenant, Starkhaven se dresse comme une digue contre la tempête qui approche, dans l'objectif de protéger Thédas du Quatrième Enclin. Tiendra-t-elle seulement lorsque la lame s'abattra sur sa pierre ?
Statistiques
Ainsi tomba Thédas compte actuellement 46 comptes pour 40 personnages validés ! Les Factions sont globalement toutes équilibrées, sauf la Garde des Ombres qui a un désavantage.
Animation en cours : Aucune.
Prédéfini mis à l'honneur
Nom : Ansgar Ferald. Âge : 46 ans. Genre : Masculin. Peuple : Nain. Nation d'origine : Orzammar.Garde-Prévôt de Starkhaven, ancien Façonneur d'Orzammar. Religion ou croyances : la Pierre. État civil : Libre.
J'aime cette idée qu'on ne saura jamais tout de nos ancêtres, qu'il y aura toujours une nouvelle histoire à apprendre et à transmettre : ancien Façonneur, toujours Garde des Ombres, désormais Garde-Prévôt, j'ai toujours été un collecteur de souvenirs et un administrateur né. Si j'ai fait le choix délibéré de quitter Orzammar, une blessure m'a éloigné des Tréfonds et je ne cesse de soupirer à les retrouver ; mais tant que la paix durait, l'Ordre ne souhaitait pas me rappeler à nos expéditions, préférant que je continue de consigner leurs aventures et la paperasse dans les Marches Libres. Mais maintenant que l'Enclin s'est déclaré en Antiva, n'est-il pas temps que j'abandonne mes petites statuettes de bois pour reprendre mes haches, rouillées par la paresse ? Voir plus...
Scénario mise à l'honneur
Nom : Elain Callaigh. Âge : 20 ans. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Marches Libres (Starkhaven). Religion ou croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Célibataire.
« Nul ne vacille qui a la valeur de l'esprit », paraît-il. Et ce n'est pas ma famille qui s'en dédierait : après tout, nous revendiquons le trépas des âmes affaiblis ! Est-ce pour cela qu'on permit à ma sœur et mon frère de faire régner leur terreur ? Est-ce pour nous endurcir que nos parents laissèrent leurs plus jeunes filles subir, afin que nous fassions nos griffes entre nous, tels une portée de lionceaux fous ? Si c'était la leçon que je devais retenir, croyez-moi : j'en ai appris plus encore. Qu'ils m'oublient maintenant, ces géniteurs rougissant sous l'échec. Qu'ils me haïssent, ces adelphes dédaigneux de ma dignité. Comme ils se débarrassent bien proprement du rôle qu'ils n'ont su tenir, que j'ai endossé à leur place pour notre Lyneth terrifiée, et que mon exil au Cercle me prive de poursuivre pour le petit Tristan. Qu'on raye mon prénom de la généalogie, par défiance de ma magie ; je le revendiquerai pour moi, le ferai fleurir entre mes seules mains ensorcelées. Héritière de personne sinon moi-même, je suis Elain Callaigh, et par l'arcane ou par l'esprit, je prouverai que ma valeur n'a jamais failli. Voir plus...
Organisation mise à l'honneur
Aujourd'hui, nous vous présentons le Clan Tanassavir, Dalatiens installés près de Starkhaven devant faire le choix entre rester ou partir ?
À l’origine, il n’existait pas un clan Tanassavir, mais deux clans Shiralhen et Eranavir : pour faire face à de nombreuses urgences et nombreux problèmes, les deux groupes fusionnèrent et devinrent les Tanassavir. Chacun garde son rôle et, pour sceller l’union du clan, de jeunes enfants de chaque clan sont promis entre eux. Tous les membres du clan n’acceptent pas bien ce changement, certains s’exilent d’eux-mêmes, d’autres restent et ne cachent par leur mécontentement en gardant le nom de leur ancien clan. Ils sont néanmoins très très minoritaires. Pour cette minorité Eranavir, venus du nord et voyageant sans crainte à travers l’immatériel, les Shiralhen sont des elfes froussards et peu fiables. A contrario, quelques elfes du sud trouvent les Eranavir bien trop confiants par rapport à la magie, ce qui les rend dangereux.
Jamais décision n'aura été aussi terrible pour ces Dalatien.ne.s : il n'a fallu qu'un Enclin et rien de moins que cela. Une réunion un soir, autour de leur grand feu allumé en l'honneur de Sylaise, les deux Archivistes ont annoncé leur décision de se réfugier dans les murs de la cité, l'une accrochée à ses visions, l'autre plus obscur quant à ses motivations. Un tel choix pourtant n'est pas passé et ne passe toujours pas auprès du reste du clan : comment osent-iels s'abaisser au niveau de leurs cousins citadins ? Où se trouve leur dignité ? Quels sacrifices cela leur demanderait-il ? Leur culture, leurs biens, leurs savoirs, leurs mages, leurs fidèles hahls ? Pour certain.e.s, la nécessité de se protéger face à un Enclin dévastateur est réelle, et iels accepteront de passer les portes ; mais pour d'autres, ce choix est contre-nature. Les un.e.s et les autres tentent de se convaincre au maximum, alors que l'on négocie avec les autorités havenoises pour permettre au clan de s'installer à Starkhaven - même les mages dalatien.ne.s… À l'heure de franchir les portes de Starkhaven, il est certain qu'il n'y aura qu'une partie du clan Tanassavir…
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7 septembre 1655 : mort du poète dramatique Tristan l’Hermite ➽ http://bit.ly/Tristan-Lhermite François l’Hermite dit Tristan l’Hermite, poète dramatique, se prétendait issu de Tristan l’Hermite, grand prévôt de Louis XI, et comptait au nombre de ses ancêtres le fameux Pierre l’Ermite, auteur de la première croisade
#CeJourLà#7Septembre#TristanLhermite#poète#dramatique#littérature#biographie#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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L'affaire Ganymède ou l'olympique défi
01072024
Les dieux seraient-ils donc toujours des Immortels? Dans le cratère en or contenant l'ambroisie se cache le secret de la vie éternelle Quelle est la vraie recette de l'ultime alchimie?
Un miel plutôt sucré graisses de sacrifices parfum de volupté quelques rares épices Que dire du nectar et qui donc les prépare? Le sommet de l'Olympe préserve ses techniques et disons le parfois ses frasques et ses émois
Quelques-uns condamnés à un an d'agonie pour avoir parjuré privés de l'ambroisie Aujourd'hui on dirait que ce sont des zombies D'autres tels Ganymède furent portés aux nues
Gentil berger phrygien* au bonnet bien connu Zeus l'avait repéré et aussitôt élu zébrant le ciel d'éclairs se transformant en aigle ramena sur l'Olympe le berger son point faible
Lui qui avait coutume d'enlever ses maîtresses voici que le consume une flamme traîtresse (sans doute un coup de Cupidon) Pour Héra c'en est trop! Zeus le nomme échanson Quoi un mortel prévôt?
Leur fille Hébé tenait jusque-là la maison
Bien qu'Homère l'ait tu Zeus fort embarrassé chérissait Ganymède Difficile il était pour lui de concéder le départ du berger! D'un choix si cornélien il dut pourtant trancher
Il finit par changer le jeune Ganymède en la constellation d'un magique verseau produisant la potion depuis ce coin très haut en libérant Hébé qui avait besoin d'aide
La soeur du dieu Arès promise à Héraklès ne pouvait plus longtemps produire les onguents Zeus ramena alors Héraklès grand brûlé sur l'Olympe où Hébé soigna si bien son corps
Les tous nouveaux mariés eurent de beaux jumeaux qui préservent des guerres que jamais rien n'altère! Happy end pour leur père leur mère et puis Héra
Un ballet de colombes dans le ciel s'éleva
#french poetry#Ganymède#olympie#Héra#Hébé#zeus#ambrosia#love#stop war#jeux olympiques#elections#gemini#aquarius
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"There shall be four worthy men of this craft who shall loyally ensure by their oath the aforesaid matters whom the Prévôt of Paris may appoint and remove at will. Whosoever wants to become a craftsman of this craft must purchase it (the right) from the King’s dues for 12 Parisian sous. The King shall have eight sous of this and the worthy men who are Wardens of the Craft four sous. Whosoever contravenes in any way the articles aforesaid shall pay a fine of seven sous. The King shall have five sous of this and the Wardens of the Craft two sous."
Statutes of the Armourers of Paris, 1296
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Interview de David Marchand et Guillaume Prévôt
Bonjour à tous ! Aujourd’hui je vous propose de découvrir l’interview des co-auteurs David Marchand et Guillaume Prévôt qui ont eu la gentillesse de répondre à mes questions. Quel est votre parcours professionnel ? Guillaume travaille dans un laboratoire d’astrophysique, et David dans le secteur social associatif. Depuis 12 ans, l’écriture est notre second métier. Qu’est-ce qui vous a poussé à…
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"Les prévôts cernés, le déserteur fuit," La Patrie. August 4, 1943. --- QUEBEC, 4. - Cent cinquante mineurs d'Asbestos Corporation, de Thetford-Mines auraient empêché quatre membres du Corps des prévôts de l'armée canadienne d'opérer l'arrestation d'un mineur qui avait négligé de se rapporter pour son service militaire.
Les autorités du Corps de Prévôté ont confirmé que quatre policiers militaires s'étaient rendus à Thetford-Mines pour y arrêter un déserteur de l'armée, mais ont refusé de faire tout commentaire sur l'incident. Le chef de police de Thetford a de même refusé de dire quoi que ce soit sur l'incident.
Les rapports disent que l'un des militaires est descendu dans un puits de 600 pieds pour s'emparer de son homme. Toutefois, lorsqu'il eut atteint le sommet du puits, en ne lui permit pas, ainsi qu'aux trois autres, d'amener le réfractaire avec eux. Bien plus, les mineurs auraient ensuite cerné les policiers de façon à permettre à leur prisonnier de prendre la poudre d'escampette, ce qu'il fit sans tarder.
#thetford mines#asbestos mining#mining town#miners#provost corps#resisting arrest#obstructing police#resistance to conscription#conscription in canada#working class struggle#histoire de quebec#canada during world war 2#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada
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KATHERINE LA DENTELLIÈRE
FILLE AMOUREUSE
Elle naquit vers le milieu du quinzième siècle, dans la rue de la Parcheminerie, près de la rue Saint-Jacques, par un hiver où il fit si froid que les loups coururent à travers Paris sur les neiges. Une vieille femme, qui avait le nez rouge sous son chaperon, la recueillit et l’éleva. Et premièrement elle joua sous les porches avec Perrenette, Guillemette, Ysabeau et Jehanneton, qui portaient de petites cottes et trempaient leurs menottes rougies dans les ruisseaux pour attraper des morceaux de glace. Elles regardaient aussi ceux qui pipaient les passants au jeu de tables qu’on appelle Saint-Merry. Et sous les auvents, elles guettaient les tripes dans leurs baquets, et les longues saucisses ballottantes, et les gros crochets de fer où les bouchers suspendent les quartiers de viande. Près de Saint-Benoît le Bétourné, où sont les écritoires, elles écoutaient grincer les plumes, et soufflaient la chandelle au nez des clercs, le soir, par les lucarnes des boutiques. Au Petit-Pont, elles narguaient les harengères et s’enfuyaient vite vers la place Maubert, se cachaient dans les angles de la rue des Trois-Portes ; puis, assises sur la margelle de la fontaine, elles jacassaient jusqu’à la brume de la nuit.
Ainsi se passa la prime jeunesse de Katherine, avant que la vieille femme lui eût appris à s’asseoir devant un coussinet à dentelles et à entrecroiser patiemment les fils de toutes les bobines. Plus tard, elle ouvragea de son métier, Jehanneton étant devenue chaperonnière, Perrenette lavandière, et Ysabeau gantière, et Guillemette, la plus heureuse, saucissière, ayant un petit visage cramoisi qui reluisait comme s’il eût été frotté avec du sang frais de porc. Pour ceux qui avaient joué à Saint-Merry, ils commençaient déjà d’autres entreprises ; certains étudiaient sur la montagne Sainte-Geneviève, et d’autres battaient les cartes au Trou-Perrette, et d’autres choquaient les brocs de vin d’Aunis à la Pomme de Pin et d’autres se querellaient à l’hôtel de la Grosse Margot, et sur l’heure de midi, on les voyait, à l’entrée de la taverne, dans la rue aux Fèves, et sur l’heure de minuit, ils sortaient par la porte de la rue aux Juifs. Pour Katherine, elle entrelaçait les fils de sa dentelle, et les soirs d’été elle prenait le serein sur le banc de l’église, où il était permis de rire et de babiller.
Katherine portait une chemisette écrue et un surcot de couleur verte ; elle était tout affolée d’atours, ne haïssant rien tant que le bourrelet qui marque les filles lorsqu’elles ne sont point de noble lignée. Elle aimait pareillement les testons, les blancs, et surtout les écus d’or. C’est ce qui fit qu’elle s’accointa à Casin Cholet, sergent à verge au Châtelet ; sous ombre de son office, il gagnait mal de la monnaie. Souvent elle soupa en sa compagnie à l’hôtellerie de la Mule, en face de l’église des Mathurins ; et, après souper, Casin Cholet allait prendre des poules sur l’envers des fossés de Paris. Il les rapportait sous son grand tabart, et les vendait très bien à la Machecroue, veuve d’Arnoul, belle marchande de volaille à la porte du Petit-Châtelet.
Et sitôt Katherine cessa son métier de dentellière : car la vieille femme au nez rouge pourrissait au charnier des Innocents. Casin Cholet trouva pour son amie une petite chambre basse, près des Trois-Pucelles, et là il venait la voir sur la tarde. Il ne lui défendait pas de se montrer à la fenêtre, avec les yeux noircis au charbon, les joues enduites de blanc de plomb ; et tous les pots, tasses et assiettes à fruits où Katherine offrait à boire et à manger à tous ceux qui payaient bien, furent volés à la Chaire, ou aux Cygnes, ou à l’hôtel du Plat-d’Étain. Casin Cholet disparut un jour qu’il avait mis en gage la robe et le demi-ceinct de Katherine aux Trois-Lavandières. Ses amis dirent à la dentellière qu’il avait été battu au cul d’une charrette et chassé de Paris, sur l’ordre du prévôt, par la porte Baudoyer. Elle ne le revit jamais ; et seule, n’ayant plus le cœur à gagner d’argent, devint fille amoureuse, demeurant partout.
Premièrement, elle attendit aux portes d’hôtelleries ; et ceux qui la connaissaient l’emmenaient derrière les murs, sous le Châtelet, ou contre le collège de Navarre ; puis, quand il fit trop froid, une vieille complaisante la fit entrer aux étuves, où la maîtresse lui donna l’abri. Elle y vécut dans une chambre de pierre, jonchée de roseaux verts. On lui laissa son nom de Katherine la Dentellière, quoiqu’elle n’y fît point de la dentelle. Parfois on lui donnait liberté de se promener par les rues, à condition qu’elle rentrât à l’heure où les gens ont coutume d’aller aux étuves. Et Katherine errait devant les boutiques de la gantière et de la chaperonnière, et maintes fois elle demeura longtemps à envier le visage sanguin de la saucissière, qui riait parmi ses viandes de porc. Ensuite elle retournait aux étuves, que la maîtresse éclairait au crépuscule avec des chandelles qui brûlaient rouge et fondaient pesamment derrière les vitres noires.
Enfin Katherine se lassa de vivre close dans une chambre carrée ; elle s’enfuit sur les routes. Et, dès lors, elle ne fut plus Parisienne, ni dentellière ; mais semblable à celles qui hantent à l’entour des villes de France, assises sur les pierres des cimetières, pour donner du plaisir à ceux qui passent. Ces fillettes n’ont point d’autre nom que le nom qui convient à leur figure, et Katherine eut le nom de Museau. Elle marchait par les prés, et le soir, elle épiait sur le bord des chemins, et on voyait sa moue blanche entre les mûriers des haies. Museau apprit à supporter la peur nocturne au milieu des morts, quand ses pieds grelottaient en frôlant les tombes. Plus de testons, plus de blancs, plus d’écus d’or ; elle vivait pauvrement de pain et de fromage, et de son écuellée d’eau. Elle eut des amis malheureux qui lui chuchotaient de loin : « Museau ! Museau ! » et elle les aima.
La plus grande tristesse était d’ouïr les cloches des églises et des chapelles ; car Museau se souvenait des nuits de juin où elle s’était assise, en cotte verte, sur les bancs des porches saints. C’était au temps où elle enviait les atours des demoiselles ; il ne lui restait maintenant ni bourrelet, ni chaperon. Tête nue, elle attendait son pain, appuyée à une dalle rude. Et elle regrettait les chandelles rouges des étuves parmi la nuit du cimetière, et les roseaux verts de la chambre carrée au lieu de la boue grasse où s’enfonçaient ses pieds.
Une nuit, un ruffian qui contrefaisait l’homme de guerre, coupa la gorge de Museau pour lui prendre sa ceinture. Mais il n’y trouva pas de bourse.
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Une explosion dans une banlieue résidentielle samedi matin a fait cinq morts et trois blessés, ont indiqué des responsables américains.L'explosion et le grand incendie à Plum, en Pennsylvanie, une banlieue au nord-est de Pittsburgh, ont détruit trois maisons et en ont endommagé au moins une douzaine d'autres, ont indiqué les autorités.Les premiers intervenants qui se sont précipités vers Plum ont trouvé des personnes piégées sous des débris et ont emmené trois personnes à l'hôpital. Sur les trois, deux ont été libérés et le troisième est hospitalisé dans un état critique, ont rapporté la police.Les conséquences d'une explosion à Plum, en Pennsylvanie, le 12 août. (WTAE)Les restes de cinq victimes - quatre adultes et un adolescent - ont aussi été retrouvés sur les lieux.L'incident a semblé commencer lorsqu'une maison a explosé, engloutissant aussi deux maisons voisines dans les flammes, d'après le comt��.Plusieurs autres maisons ont été endommagées avec des fenêtres soufflées.Des équipes de 18 services d'incendie différents ont convergé sur les lieux pour éteindre les flammes et passer au crible les décombres tandis que "plusieurs" personnes sont restées portées disparues samedi après-midi.On ne sait pas ce qui a déclenché l'explosion. Les autorités affirment que la cause fait toujours l'objet d'une enquête.Les systèmes de gaz "fonctionnaient comme prévu" au moment de l'explosion, a annoncé Michael Huwar, président du service de gaz Peoples Natural Gas. Pourtant, le service de gaz a été fermé à un certain nombre de maisons du quartier par mesure de précaution.Un porte-parole de la société a annoncé dimanche à CNN que ses équipes continuaient de travailler et de se coordonner avec le prévôt des incendies du comté d'Allegheny, qui dirige l'enquête.La vidéo de la sonnette obtenue par l'affilié de CNN, WTAE, semble montrer l'une des maisons explosant dans une boule de feu, projetant un épais panache de fumée et dispersant des débris dans la zone.Les conséquences de l'explosion et de l'incendie peuvent être vues sur des images aériennes du quartier, qui montrent trois structures complètement incendiées, entourées de débris lourds recouvrant les pelouses et les maisons environnantes.Plusieurs voitures près de la zone brûlée pouvaient aussi être vues carbonisées et fumantes."J'ai entendu ce 'boum'. C'était si fort que ça m'a réveillé. J'ai pensé que c'était le tonnerre des orages de la nuit dernière", a annoncé le voisin Alexis Typanski à WTAE."Ma bouteille d'eau est tombée sur moi instantanément. Je tremblais. Ça m'a tellement fait peur."L'imagerie satellite révèle la dévastation à HawaïÀ 16 h 30, heure locale, la zone était toujours considérée en tant qu'une "scène active" et les premiers intervenants devaient y rester pendant des heures, d'après le comté.Plum est à environ 24 kilomètres au nord-est de Pittsburgh.Le gaz a été coupé dans la région pendant que les équipes d'urgence travaillaient sur les lieux, ont annoncé les autorités lors d'un entretien avec les médias, ajoutant que plusieurs représentants de différentes sociétés gazières étaient sur les lieux.La Croix-Rouge et l'Armée du Salut viennent en aide aux résidents touchés par l'explosion, a indiqué le comté.Inscrivez-vous ici pour recevoir nos newsletters quotidiennes et nos alertes d'actualités, envoyées directement dans votre boîte de réception.
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