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FURIOSA : UNE SAGA MAD MAX (2024)
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Après l'effondrement de la civilisation humaine en Australie, quelques humains, les Vuvalini, ont réussi à établir une communauté dans un oasis, surnommé la Terre Verte. Un jour, alors que Furiosa, une enfant, est en train de cueillir des pêches avec Valkyrie, une de ses amies, elle découvre des pillards en train de dépecer un cheval. Sachant que ces derniers reviendront sans doute plus nombreux, compte tenu des riches ressources de l'endroit qu'ils qualifient de "Terre d'abondance", Furiosa sabote l'une de leurs motos mais se fait repérer, puis enlever, non sans avoir donné l'alerte. Bassa, sa mère, se lance à leur poursuite et tue quasiment l'intégralité du groupe à l'exception du dernier homme qui réussit à atteindre un campement de motards auquel il appartient. Furiosa est introduite au seigneur de guerre Dementus, chef du camps, qui souhaite se rendre en Terre Verte mais le pillard (que Furiosa a grièvement blessé à leur arrivée) succombe à ses blessures avant d'avoir pu révéler quoi que ce soit. Dementus décide donc d'attendre que Furiosa lui révèle d'elle-même, mais sa mère s'introduit dans le camp et réussit à la libérer. Sachant qu'elles seront rattrapées tôt ou tard, Bassa lui demande de continuer seule pendant qu'elle ralentira la horde. Ne pouvant l'abandonner, Furiosa retourne sur ses pas et la voit se faire torturer, puis tuer, sous ses yeux. Reprise par Dementus, Furiosa est alors sans cesse témoin de la cruauté du chef-guerrier mais n'abandonne pas son rêve de rentrer chez elle en se tatouant la position des étoiles sur l'avant-bras.
Au gré de son errance, le convoi trouve un War Boy blessé, qui leur indique l'existence de la Citadelle tenue par Immortan Joe. Dementus, confiant et orgueilleux, imagine qu'il prendra l'endroit facilement avec ses plus d'un millier d'hommes, mais doit finalement battre en retraite en constatant que les War Boys de Joe, sont des kamikazes fanatiques, prêts à mourir pour lui. Loin de se décourager, Dementus réussit malgré-tout à prendre le contrôle de Pétroville, qu'il menace de faire sauter, si Joe ne troque pas l'essence du site envahi, en échange d'eau et de nourriture de la Citadelle. Conscient qu'il est pris au piège, Joe accepte la trêve, non sans pression et négociation avec Dementus et prend possession de son docteur, mais également de Furiosa, dont il remarque rapidement qu'elle n'est pas sa fille. Furiosa est alors emmenée dans le quartier des femmes qui doivent donner des fils sains (non-mutants), au chef de guerre. Une nuit, Rictus Erectus, l'un des fils de Joe, la kidnappe, probablement pour la violer, mais Furiosa s'échappe et grandit dans la clandestinité. Réussissant à se distinguer, Furiosa est promue sous l'identité secrète d'un jeune garçon muet, jusqu'à devenir mécanicienne sur un nouveau Porte-Guerre, conduit par le Prétorien Jack. La jeune femme compte s'y cacher avec une moto et s'échapper lors du trajet jusqu'à Pétroville, mais le convoi est attaqué par d'anciens motards de Dementus qui ont fait défection. Seuls elle et Jack s'en sortent vivants. Ayant vu le talent et le sang-froid de Furiosa, Jack lui propose de lui apprendre la survie à travers les Terres Désolées ce qui les fait se rapprocher l'un de l'autre.
Quelques mois plus tard, Major Kalashnikov, le chef du Moulin à Balles (une ancienne mine de plomb à ciel ouvert où sont fabriqués armes et munitions) leur demande qu'Immortan Joe tienne un conseil de guerre sur la gestion désastreuse de Pétroville par Dementus. En s'y rendant pour obtenir de l'essence, Jack et Furiosa constatent que le chef de guerre n'arrive plus du tout à contrôler ses troupes et souhaite lui aussi un conseil de guerre. Allié à Kalashnikov, Joe ordonne à ses deux prétoriens de retourner au Moulin à Balles pour rapporter le maximum de munitions afin de lancer une attaque sur Pétroville. Jack et Furiosa s'y rendent et sont convenus de s'enfuir sur le chemin du retour, mais en arrivant, ils comprennent aussitôt que Dementus s'est déjà emparé de l'endroit. Après avoir causé des dégâts considérables, Jack et Furiosa s'enfuient mais sont rattrapés par Dementus ; suite à un choc violent de leur voiture, Jack se prend une balle dans l'épaule et le bras gauche de Furiosa est violemment brisé, écrasé par les roues. Encerclés, Jack est attaché à l'arrière d'une moto et doit courir s'il ne veut pas être dévoré par des chiens, tandis que Furiosa est attachée à une chaîne via son bras en lambeau. Quelques heures plus tard, Jack succombe à la fatigue et à ses blessures, mais Furiosa a profité du bruit et de la poussière pour s'arracher le bout de son bras condamné et voler une moto pour retourner à la Citadelle. Tandis qu'elle y retourne dans l'agonie, Max Rockatansky, accompagné de son Interceptor, observe au loin les horizons, où il fait une courte apparition. La prise du Moulin à Balles déclenche alors la guerre des 40 jours où les forces de Joe et de Dementus s'affrontent quotidiennement.
Guérie et équipée d'une prothèse mécanique au bras gauche, Furiosa se rend sur le champ de bataille où les hommes de Joe ont décimé ceux de Dementus, qui lui, a pris la fuite. Se lançant à sa poursuite, elle réussit à le rattraper et tente de lui faire avouer ses regrets pour la mort de sa mère, mais ce dernier, insensible et sarcastique, refuse. La mort de Dementus est alors nimbée de mystère : selon le narrateur, elle aurait pût le tuer d'une balle dans la tête, le faire courir derrière sa voiture jusqu'à qu'il meure d'épuisement ou encore le torturer en l'attachant à un arbre, mais elle l'aurait en réalité emprisonné dans un coin secret, au dessus de la citadelle, pour y faire pousser un arbre (dont elle conservait le noyau depuis des années), qui utilise les cellules humaines du corps très affaibli de Dementus pour grandir.
La dernière scène montre Furiosa emmener les "pondeuses", les femmes restantes d'Immortan Joe jusqu'au camion pour les y cacher, faisant ainsi le lien avec Mad Max: Fury Road.
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whencyclopedfr · 7 months
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Popée
Poppée (Poppæa Sabina, 30-65 de notre ère) fut l'épouse du préfet prétorien Rufrius Crispinius, puis de Marcus Salvius Othon (r. 69 de notre ère) avant de devenir la seconde épouse de l'empereur romain Néron (r. de 54 à 68 de notre ère). Considérée par les sources antiques comme séduisante et intelligente, elle utilisa sa beauté et son charme pour persuader Néron de divorcer d'Octavie, la fille de Claude (r. de 41 à 54 de notre ère) et de Valeria Messalina, et de l'épouser.
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oviri7 · 1 year
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« Son incomparable nudité blanche rayonne sur un fond de crépuscule. Ses bras musclés, les bras d'un garde prétorien accoutumé à bander l'arc et à manier l'épée, sont levés selon un angle gracieux et ses poignets liés sont croisés juste au-dessus de sa tête. Son visage est légèrement tourné vers le ciel et ses yeux grands ouverts contemplent avec une profonde sérénité la gloire céleste. Ce n'est pas la souffrance qui erre sur sa poitrine tendue, son ventre rigide, ses hanches légèrement torses, mais une lueur d'un mélancolique plaisir, pareil à la musique. N'étaient les flèches aux traits profondément enfoncés dans son aisselle gauche et son côté droit, il ressemblerait plutôt à un athlète romain se reposant, appuyé contre un arbre sombre, dans un jardin. »
Yukio Mishima - Confession d’un masque
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aurevoirmonty · 6 months
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« Les politiciens exprimait les opinions les plus di­verses mais se ralliaient tous, fort curieusement à quelques idées monolithiques, exactement comme les prétoriens de César ! Ils défendaient tous la liberté, prêchaient une égalité aussi fraternelle que burlesque entre les hommes, encourageaient la confusion des races. Ils promettaient tous un bonheur illimité sur cette terre, la démocratie chrétienne seule accordant un supplément de bonheur dans le ciel ».
Saint-Loup, La peau de l'aurochs (1995)
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comme-du-monde · 7 months
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Val-Terreur 14 Lettres d'Ordiglâbre le Traître au prétorien Félirodme
Salut Félirodme. Je sais pas si tu te souviens de moi. Ça fait déjà une couple de printemps qu’t’es parti servir l’Empereur pis on s’est pas vraiment déjà parlé sauf la fois qu’Èstraflim t’avait pété le nez parce que j’t’avais stoolé après que t’aies pris une bouchée de son givrefruit. Anyway j’t’écris parce que ça commence à chauffer pas pire dans les Hauts. Y’a presque pu personne qui cueille pis j’ai bin peur que ma prochaine livraison à Passage Sud va être ma dernière. On est rendu qu’on pige din réserves de l’hiver prochain pis quand je pose des questions au Père il répond vaguement en me disant que toute va être correct. Le pire, c’est que pas mal tout le monde dans le clan boit le même Kool Aid. J’ai beau les avertir qu’à la minute qu’on arrête de fournir la Capitale en fruits on va perdre nos privilèges impériaux, ils me disent tous la même affaire. Bin non Ordiglâbre! Fais-toi s’en pas Ordiglâbre! Continue comme ça, fais tes livraisons! Fak je cache ce mot-là dans une boîte d’iricourge, tes préférées. Je vais faire la même chose le mois prochain. ---
Félirodme, j’espère que t’as trouvé ma dernière lettre pis que tu vas trouver celle-là. Un soir, voyant que j’avais rien d’autre pour la Capitale qu’un sac de pelures, j’ai suivi le Père jusqu’à sa hutte. Normalement, lui pis la Mère ont un stash d’urgence pour la ponte d’hiver. Comme je l’ai vu descendre dans le caveau, j’ai décidé de le suivre pis je suis pas encore certain de comprendre ce que j’ai vu. En premier je pensais que le vieux parlait tout seul, mais en m’approchant j’ai entendu son interlocuteur. C’était un son à mi-chemin entre un murmure pis deux pierres à aiguiser qui se frottent. La pièce baignait dans une lueur rouge qui modulait son intensité en même temps que les étranges murmures incorporels. C’est dans ce rouge-là que j’ai remarqué que le caveau était plein. Pas plein de fruits, mais plein de longs bâtons avec des couteaux de cueillette attachés au bout par de la fibre d’iricourge. Y’avait aussi des baguettes en bois, plus petites, avec des noyaux de givrefruit à une extrémité pis des plumes d’ogalbecque à l’autre. De l’autre côté du Père étaient empilés des genres de murets portatifs avec une petite poignée. Pis la sinistre voix, qui sortait d’un coffre ouvert aux pieds du Père, arrêtait pas de parler d’une affaire que j’avais jamais entendue avant : gai riant– ou guériya ou quelque chose de même. Félirodme, je sais pas comment je vais faire pour te transmettre ma prochaine lettre, mais fais bien attention si tu remets les pieds dans la jungle. ---
Guérilla. C’était «guérilla».
Le Kool Aid coule à flots dans le clan maintenant. On s’entraîne à la lance, à l’arc à flèche et au bouclier chaque jour. On a même fait sécher des gousses d’arbre à dents qui projettent leurs épines au moindre choc pour les enterrer un peu partout le long des routes impériales. On apprend à se camoufler, à travailler en formation et à se déplacer en tenailles. Nos vivres sont entreposés un peu partout dans la jungle et cinq des sept clans se sont joints à la cause et participent activement aux activités de sabotage.
J’ai confronté le Père à propos de ce que j’ai vu dans le caveau. Il dit qu’il l’a trouvé au dernier pèlerinage reproductif, quand les Pères pis les Mères des sept clans se rejoignent sur l’Île féconde. Quelques nuits avant la traversée, il s’est mis à voir des éclairs rouges dans le ciel pis il s’est levé pour finir par le trouver dans un trou. Pas plus gros qu’un noyau d’ogal, chaud comme une pierre au soleil. C’est seulement huit jours après leur retour que Mars a commencé à parler au Père, dans notre langue à nous à part de ça! Mettons que le Vieux et Mars s’entendaient pour dire que le deal qu’on avait avec l’Empire c’était d’la marde.
Je laisse cette lettre au même endroit où je laisserai les prochaines : dans la bouche du malheureux légionnaire qui tourne le dos à la jungle.
---
Arrêtez d’envoyer vos légionnaires mourir dans la jungle! On les brise comme les falaises brisent  les vagues! Pis le Patriarche qui jubile! Une vie c’t’une vie! Impériale ou non! Félirodme, si vous changez pas de stratégie, on va continuer de massacrer votre jeunesse pis je vais avoir de la misère à convaincre les clans de pas aller mettre la Capitale à feu et à sang. Mars ressemble maintenant à un bracelet que le Père porte et caresse en donnant ses ordres. J’attends le bon moment pour les séparer. Vous trouverez une carte des zones à éviter au dos de cette lettre. Par pitié Félirodme, raisonnez l’Empereur! ---
Mars a pris la forme d’un heaume– écarlate, brûlant. Il ne quitte plus ma tête. Il est mon confident, mon conseiller, mon protecteur et mon serviteur. C’est lui qui a guidé mon poignard quand il s’est plongé dans le cœur du Père. C’est lui qui prend la parole quand je m’adresse aux troupes, c’est lui qui forge mes songes quand la nuit tombe. Métallurgie, chimie, psychologie, maintien du moral des troupes, manufacture, projectiles, bombes. J’en peux plus Félirodme. J’ai fait construire un temple– une prison. Je pense que c’est là que Mars dormait avant qu’on le trouve. Je te le donne. Mon armée et moi quitterons le territoire de l’Empire si vous permettez aux deux clans pacifiques de joindre l’Empire sans persécution.
Soyons clairs : nous ne capitulerons pas. Les idoles sont une malédiction et l’avarice de l’Empereur ne connaît aucune limite. Nous serons un refuge pour les gens de toute origine qui s’opposent aux pratiques destructrices de l’Empereur Adofar I. J’achète ma liberté et celle de mon peuple avec Mars. Ses frères et ses sœurs reposent dans les abysses. Que mes lettres servent de manifeste! --- ---
Ces cinq lettres furent découvertes sporadiquement au cours des trois années qui précédèrent la Première Expansion de l’Empire. Les deux premières dans une cargaison de fruits en route pour la Capitale et les trois autres dans la bouche de trois légionnaires morts au combat.
Félirodme, emprisonné– puis exécuté, ne put jamais lire ces lettres.
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lepartidelamort · 10 months
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Nous vivons une période de transition cataclysmique. Nous avons face à nous ce que l’histoire retiendra comme les Très Grandes Invasions, qui feront pâlir celles de la chute de Rome. C’est à ce moment précis que les juifs nous ont poussés dans une guerre calamiteuse contre la Russie, dont l’Ukraine, éviscérée pour l’occasion, ne se remettra pas. Au niveau social, c’est le pourrissement généralisé. Tout réflexe de santé est sauvagement réprimé par les juifs, leur police, leurs médias. On ne peut pas comprendre les blocages sans saisir qu’il y a des bloqueurs. Ces bloqueurs sont circonscrits à des segments sociaux et générationnels de la population. Bien sûr la classe dirigeante, inféodée aux juifs, comme on le sait, mais aussi le bloc des retraités, masse inerte en croissance constante qui va atteindre le chiffre astronomique de plus de 20 millions d’unités d’ici 2030, et davantage par la suite. Ce bloc électoral rend absurde toute discussion à propos de solutions qui reposeraient sur les élections. À cette masse amorphe de blocage, s’ajoute la masse colossale d’allogènes pour mettre échec et mat la population blanche. Une fois que l’on comprend ce principe d’éviction électorale permanente des Blancs que concoctent les juifs et leurs acolytes, la démocratie n’est plus seulement une escroquerie, mais une machine génocidaire dont la seule existence constitue une menace mortelle. De ce fait, toutes les institutions changent de nature et les flics ne sont plus les flics qui, demain, « seront avec nous » par la vertu du suffrage victorieux, mais de simples gardes prétoriens rétribués dans un système conçu pour que l’homme blanc perde tout le temps. C’est une domestication qui est à abattre, celle des élections, de l’état de droit, du respect de la loi. C’est une culture révolutionnaire qui doit devenir la norme. Cela ne peut s’obtenir qu’en arrachant les gens à leur adhésion aux règles foncièrement et irréversiblement truquées.
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patern29 · 1 year
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Wauquiez Pilot Saloon 42, le voilier de voyage qui a la classe
Le chantier Wauquiez a présenté son nouveau voilier de voyage, le Pilot Saloon 42, en 2018. Un voilier qui reprend tout ce qui a fait l'histoire du chantier. Le chantier naval Wauquiez est devenu une référence, depuis 1965, pour les voiliers hauturiers. En effet, son histoire a commencé avec des bateaux devenus des légendes, comme l'Elizabethan, le Centurion 32, le gladiateur ou encore le Prétorien. Depuis, le chantier est synonyme de qualité, de confort, de performance et d'une certaine élégance avec ces gammes Centurion et Pilot Saloon.Cette histoire continue avec le Pilot Saloon 42, qui sera présenté à Düsseldorf. La gamme Pilot Saloon a été lancée en 1991, avec la sortie du Pilot Saloon 60. Depuis, le chantier Wauquiez a livré plus de 300 unités dans le monde. Cette gamme, à salon de pont, offre beaucoup de luminosité et d'ouverture sur la mer. Et dans le même temps, ses voiliers confortables savent offrir de belles performances sous voiles.
Le Pilot Saloon 42, voilier version Deck Saloon
Après la sortie du Pilot Saloon 58 en début d’année 2017, le Pilot Saloon 42 vient compléter la gamme en direction d’une clientèle recherchant une capacité de couchage de 4 à 6 personnes. En effet, ce voilier de 13 mètres signé d’Olivier Racoupeau, répond à tous les programmes de navigation en famille ou entre amis. Le bateau sera disponible en 2 ou 3 cabines et les finitions intérieures seront disponibles en teck ou chêne clair.
Des lignes agressives et modernes
La première chose qui ressort, quand on regarde les dessins du Pilot Saloon 42, est sa ligne agressive. Le roof du salon de pont donne une impression de dynamisme et d'élégance. Il fait penser à une certaine DS, de Citroen. La carène semble aussi tournée vers la performance. L'étrave verticale, ainsi qu'une voute rasante permettent au bateau d'optimiser sa longueur à la flottaison Les lignes d’eau arrière ont été particulièrement travaillées par l'architecte et le chantier. Elles permettent de jouer sur la puissance sur la surface mouillée pour le portant et le petit temps. Enfin, le chantier a fait le choix du bi-safran et le bateau est proposé en version avec une quille GTE en plomb de 2.15 pour 3 tonnes et un PTE pour les amateurs de mouillage. L'architecte explique : « Le nouveau Wauquiez PS 42 a été conçu autour d’une carène résolument performante. L’étrave verticale et la voûte rasante donnent au bateau une longueur à la flottaison maximum, signe de modernité mais surtout garant de vitesse moyenne élevée.   Une étrave puissante et une carène à bouchain adouci et évolutif donnent une stabilité de forme très importante pour rendre le bateau stable et facile à mener dans la brise, tout en augmentant, par des mouvements amortis, le confort à la mer. Nous avons particulièrement travaillé les lignes d’eau arrière qui, tout en jouant la carte de la puissance, optimisent la surface mouillée pour le portant et le petit temps. Outre la carène, les appendices ont été l’objet de toutes nos attentions : - Le bi-safran : la manœuvrabilité, que ce soit sous voile ou au moteur, est renforcée et le contrôle du bateau est total dans toutes les conditions, même les plus dures. - Bien lestés avec une quille GTE en plomb de 2.15m pour 3 tonnes et un PTE pour les amateurs de mouillage en eaux peu profondes, ils sont en L à centre de gravité bas pour améliorer la stabilité dans la brise. » 
Confort en croisière hauturière
Comme les autres Pilot Saloon, le 42 est ouvert sur l’extérieur. Le bateau est confortable et destinée au voyage, le tout en ne sacrifiant rien à son allure dynamique. De plus, c’est un bateau très maniable et facile à manoeuvrer. En fait, pensé pour la navigation en équipage réduit. Son carré surélevé, laisse entrer beaucoup de lumière. En plus de profiter de la lumière naturelle dans le bateau, l'équipage pourra profiter d’une vue imprenable sur l’horizon. Dans le même temps, ses ouvertures sur la mer sont composées de vitrages en véritable verre. De plus, l’opacité peut être réglée à la demande des passagers. Autant d’éléments qui offrent une qualité et des espaces de vie à bord faisant entrer ce Pilot Saloon 42 dans la catégorie des voiliers de luxe. Enfin, ce confort se traduit également par l’intégration de technologies innovantes. C'est le cas, notamment, des interfaces d’utilisation en gestion des fonctions à bord par touchscreen ou smartphone.
Caractéristiques Pilot saloon 42
Longueur hors tout 12,99 m Longueur de flottaison 11,79 m Bau maximum 4,34 m Tirant d’eau standard 1,65 m Tirant d’eau long 2,15 m Réservoir d’eau 615 litres Carburant 415 litres Moteur 54 CV Yanmar SD – standard (80 CV Yanmar SD – option) Grande voile 46m² Génois 43,5m²  https://youtu.be/tXvtXSDrh04 Read the full article
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the-spirit-of-yore · 2 years
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Fragment du décor d'un arc de triomphe : gardes prétoriens, vers 50 apr. J.-C., Collections du Louvre, France
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deylord · 3 years
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la macronie à bout...
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philoursmars · 2 years
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Au Louvre-Lens, une expo : “Rome, la Cité et l’Empire”
- les 3 premières : le “Relief des Prétoriens” - Rome, 52 apr. J-C.
- les autres: couple représenté en Vénus et Mars - Rome, 150 apr. J-C. (étonnante coiffure de l’épouse)
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clement-d-nocto · 3 years
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La cacophonie : Des va-t-en-guerre qui ont peur de leurs frères -Ils boivent aux mariages et Aux enterrements- (Être belliqueux et saoul c'est bien sûr avoir toujours raison) Des défavorisés qui parient sur le malheur des autres. -Fantasme de Crésus et Arrogance d'Horus- (Être du coté des faibles pour l'ornement de la séduction) Tout le monde pense qu'en tant que personne ; personne ne naît vraiment mauvais. Comme une rue commerciale. Tu peux pousser les autres et Être désolé. Tu peux faire l'aumône pour Être ignoré. C'est comme s'arrêter au milieu du passage piéton. Et C'est avoir deux euros pour mourir plus pleinement. Du sang, des migraines et des sourires mal interprétés -Ca crée les historiens car Rien n'est retenu de l'Histoire- (Être spectateur et avoir la meilleur place, en toute sécurité) Des problèmes harmonieux comme un cancer généralisé. - Ca crée les prétoriens et Des citoyens qui votent- (Être parmi le charnier des coeurs brisés et s'en accommoder) C'est comme parler quand tout le monde parle. Et C'est disparaître, dans les faits. Clément Dugast (nocto)
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d-rpg · 4 years
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whencyclopedfr · 2 years
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Dèce
Dèce fut empereur romain de 249 à 251 de notre ère. En 249, l'empereur romain Philippe l'Arabe envoya le sénateur Dèce en tant que gouverneur des provinces troublées de Mésie et de Pannonie. Les légions romaines, sous le commandement inefficace du gouverneur de l'époque, avaient déserté de colère devant les envahisseurs goths, parce que Philippe avait réduit les paiements d'indemnités. Après avoir repoussé les Goths et rétabli la stabilité dans la région, les légions de Dèce, déjà fatiguées du règne de Philippe, le déclarèrent empereur. Avec le retour des légions qui avaient déserté et l'encouragement de ses troupes, Dèce avança vers Rome en septembre 249 de notre ère. Bien que certains historiens pensent que Dèce était réticent à l'idée de combattre Philippe, les armées des deux empereurs se firent face à Béroé en Macédoine où Dèce vainquit et tua Philippe. Peu après, le jeune fils et héritier de Philippe fut tué au camp prétorien à Rome. Rome avait officiellement un nouvel empereur. Il serait le premier d'une longue lignée d'empereurs originaires des Balkans.
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claudehenrion · 4 years
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Qu'est-ce qui est “essentiel” ?
 La manière pitoyable avec laquelle le gouvernement français a résolu par l'absurde la mini-crise dite de “la jauge à 30 personnes par église ou par cathédrale” est révélatrice du mépris qu'éprouvent nos dirigeants pour le catholicisme, et de leur ignorance du “phénomène religieux”. Allez vous étonner, ensuite, qu'ils nous accablent de contre-vérités dangereuses lorsqu'ils parlent de ce qu'ils croient être “l'islam”… et qui n'est qu'un autre des “prêts-à-penser” qu'ils répètent… sans rien en savoir. Les catholiques ont été les cocus d'une farce “à qui perd… perd’’ où ne sont dits ’‘besoins essentiels” que ceux de la survie biologique. Mais qu'on se rassure : la justice immanente finit toujours par “remettre les pendules à l'heure”.
  Les attitudes d'un gouvernement qui a eu besoin d'être sévèrement recadré par le Conseil d'Etat pour daigner entendre les cris de désespoir de nos rues en colère démontrent, une fois de plus, que le pouvoir macronien ne tient aucun compte de la mobilisation des français, surtout s'ils ont le malheur (?) d'être catholiques, ces génies ayant simplement oublié que, en 2017, Macron avait été élu grâce aux  votes de 62% des catholiques pratiquants. Le mépris affiché par Matignon et l'indifférence de l'Elysée sont tellement outranciers et insultants qu'ils appellent la question : “Les cathos et le vote Macron : combien de temps encore ?”. Alors que la “relaxe” riquiqui annoncée pour le 15 décembre se ratatine en une nouvelle démonstration de la nocivité du “et en même temps”, un premier bilan s'impose.
  L’Etat a franchi un nouveau pas dans son offensive contre les catholiques, avec le discours pathétique, si faussement compassionnel et si ridiculement infantilisant d'Emmanuel Macron annonçant le retour des messes “à partir du 28 novembre mais… sous réserve que soit respectée une jauge de trente participants par office”… ce qui ne veut dire qu’une chose : “pas de messe” pour 99,98 % des pratiquants ! Détail pathétique :il a osé le même genre de “foutage de gueule” pour les stations de sports d'hiver : on les ouvre, mais en les privant de leur raison d'être. Soit il est idiot (ce que je ne peux pas me résigner à croire, par orgueil de français), soit il prend ces français, tous autant que nous sommes, pour des cons. 
  Il n'a même pas eu un mot de sympathie pour les croyants qui entraient en Avent, ni pour la messe de Noël, qui est un “non-sujet” pour lui  : il est bien connu, depuis plus de 2000 ans, que la commémoration de la naissance du Christ n'a rien à voir avec les “Saturnales de fin d'année”.  La preuve ? On voit très rarement un père Noël escalader la façade des églises : il n'a pas besoin de la Messe pour transpirer, suer, et blatérer les 3 mêmes phrases, d'une voix faussement enjouée… cqfd ! D'où la piètre estime dans laquelle nos “cuistres au pouvoir” tiennent ces assemblées de vieilles bigotes réactionnaires en Céline et de vieux messieurs en loden Burberry’s.
  Une phrase méprisante a scellé le court terme des catholiques, de la manière la moins “classe” qui soit (qui attendait de la classe du ‘‘rugbyman’’ de Matignon ?). Le président de la République a réussi le tour de force de faire sortir de leurs gonds nos prélats qui s’étaient jusque là fait un devoir de respecter à la virgule la nouvelle “constitution civile du clergé” imposée par l’Etat macronien. Mais tout de même, dès l’allocution finie, des gens dits “bien informés” (dont Mgr de Moulins-Beaufort) nous rassuraient, par des rumeurs et des bruits de couloir : cette stupide jauge de 30 personnes était un “malentendu”, et des discussions allaient ramener le bon sens et proposer un protocole plus réaliste. “D’ici jeudi”, précisaient-ils même.
  Les chrétiens ne l'ont pas cru, et ils ont eu raison : ce gouvernement n'est pas prêt à écouter les catholiques, ni à faire preuve d'intelligence, d'empathie, de bon sens et de respect à leur égard, alors qu'il ne leur reconnaît aucune existence autre que celle d'une minorité déclinante. L’Eglise n’est, pour nos progressistes de salon, qu'un grain de sable dans leur modernisme stérile. Jean Castex est donc venu, accompagné de la cohorte inutile mais devenue rituelle de ministres destinés à endormir les téléspectateurs, confirmer le maintien de la limite intenable de trente personnes, sans la moindre empathie (ne parlons pas de “politesse”, c'est une matière qui ne fait pas partie du cursus de l'ENA). Après cet énorme camouflet, venant après tant de semaines où la hiérarchie catholique a caressé les autorités dans le sens du poil, il n’y a décidément rien à attendre de ce gouvernement. Et d'ailleurs il est dangereux… pas que pour les cathos !
  La Conférence des évêques de France a donc enfin pris “en marche” le train lancé par quelques communautés et de courageux prélats isolés, et a choisi d’adopter un champ lexical plus ferme. Les plus galonnés de nos Pasteurs ont enfin découvert le mépris proche de l'hostilité de ceux qui nous gouvernent et pour qui la France n’a rien de chrétien, ni dans son identité ni dans son histoire, et que les cathos n’ont aucune empreinte, ni sociale, ni politique. Mais il a fallu que la base de l’Eglise militante se mobilise et manifeste dans toute la France, et instaure un rapport de force qui est le seul langage qui ait une toute petite chance d’être entendu.
  Ceci explique pourquoi, le vendredi 27 novembre, devant cette nouvelle gifle, les évêques ont déposé un nouveau référé devant le Conseil d’Etat. Un nouveau simulacre de “concertation” (contrainte et forcée) a accouché d'une motion chèvre-chou : on élargit un peu, mais en dessous tout de même de tout ce qui existe dans les autres activités. Et on devrait applaudir ? Nous nous battons, nous espérons, mais il faut voir beaucoup plus loin. L’échéance des présidentielles se rapproche à grands pas, et notre pays, esquinté par cinq années d’une gestion désastreuse aggravée par une pandémie traitée par l’absurde, va se chercher une nouvelle tête.
  Comment vont réagir les catholiques de France face à ce scrutin ? Vont-ils, avec la mémoire de poisson rouge qui caractérise, hélas, beaucoup de Français et les cathos en particulier, oublier les semaines d’humiliation, les dimanches sans messe et sans communion, ce mépris du pouvoir qui accorde au culte moins qu’au commerce et aux églises moins qu’aux superettes ? Pendant le mandat de Macron, scrutin après scrutin, ceux qui se définissent comme ‘’cathos’’ ont soutenu de leur vote le parti gouvernemental…. par légitimisme, par confort et par habitude, ou par attachement à un pseudo “ordre dit républicain” qui ne défend rien et ne protège pas les plus faibles. Vont-ils glisser, une fois de plus, un bulletin “Macron” ou “LREM” dans l’urne ? Pour moi… “I have a dream to-night” : que les électeurs qui ont le souci de mettre en cohérence leur foi avec leur vote ouvrent enfin les yeux et désavouent Emmanuel Macron et tous les vrais nuls qu'il nous a imposés.
  Quelques questions se posent, auxquelles il faudra bien répondre avant 2022 : la messe est-elle moins essentielle que les Sex-Shops ? La vie spirituelle est-elle moins importante que la vie biologique (privée de liberté en plus…) ou que la pizza ou l'aspirine ? Un pouvoir ne devient-il pas tyrannique quand il interdit l’expression de la liberté religieuse ? Ces questions ne sont pas tirées des sujets de philosophie pour ce bac que les mortifères “pédagos” socialistes de la rue de Varenne ont rendu à leur image : absolument nul en tout et partout, et même avant dernier mondial. Elles ont toutes été “sur la table”, depuis le début de ce quinquennat.
  De nombreux catholiques se sont rebellés, protestant (ce qui est le comble, pour un catholique !) et même manifestant sur les parvis et en justice, au grand dam du gouvernement (qui a sorti le gros bâton et a osé menacer de faire “donner ses prétoriens”), mais aussi de la hiérarchie ecclésiastique. Bien sûr, certains évêques comprennent, voire approuvent du bout des lèvres la fureur de ces fidèles. Mais, globalement, l’Église préfère l’allégeance au pouvoir au nom de la santé, comme s'il y avait quelque rapport entre ces 2 abstractions contraires. Nos Monsignori  ont montré là leurs limites, et “c'est pas terrible”. Quant à nous.. . chrétiens, nous pardonnons –c'est dans notre “job-description”– mais nous n'oublierons pas !
H-Cl
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furiefrancaise · 5 years
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🇫🇷𝗟𝘂𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗢𝘀𝘁𝘆 𝗱𝗶𝘁 « 𝗝𝗲𝗮𝗻 𝗟𝗮𝗿𝘁𝗲𝗴𝘂𝘆 »💥
Spécimen typique de cette « caste fiévreuse des correspondants de guerre en Asie » (comme disait Pierre Schoendoerffer), Jean Lartéguy fut avant tout le témoin privilégié et le meilleur conteur des guerres de décolonisation. Il le fit dans de solides reportages publiés dans Paris Match comme dans ses romans. Sa trilogie – Les Mercenaires, Les Centurions, Les Prétoriens raconte avec justesse la fraternité d’armes, le don de soi et l’insondable amertume de ceux qui firent ces guerres. Irremplaçables pour comprendre cette période si particulière, ses livres fascinent jusqu’aux théoriciens américains contemporains de la guerre de contre-insurrection. Comme ses héros, il ne semblait « se soucier que fort peu de l’opinion de ses contemporains » ; mais il avait une intelligence et une empathie impressionnantes pour saisir ce qui faisait l’humanité de cette génération brûlée.
Une vie exceptionnelle : commando de la France Libre, officier, journaliste de guerre, auteur à succès, il est, avec son célébrissime Les Centurions, « à l’origine d’innombrables vocations militaires ». Né en 1920 d’un père ancien combattant et militant nationaliste, Lucien Osty s’engage dès l’automne 1939, à l’âge de 19 ans et suit bientôt un peloton d’élève-officier avant de réussir le concours d’entrée à Saint-Cyr au moment où les armées allemandes écrasent les résistances françaises : « Dans ces heures fiévreuses de la défaite, Lucien Osty découvre sa double nature de soldat et de rebelle. L’aventure de la guerre ne le lâchera plus ».
Un peu d’errance, les prisons espagnoles, l’arrivée en Angleterre, l’engagement dans la France Libre et la formation précèdent le débarquement, la campagne de France, la Libération. Désigné pour suivre un stage dans une école d’officier au printemps 1945, il préfère quitter l’armée comme sous-lieutenant. Rapidement, il est plus ou moins recruté par les services spéciaux et séjourne à Téhéran, sous couverture de journaliste. Journaliste qu’il va devenir effectivement, tandis que son appartenance formelle aux services de renseignement français reste sujette à caution. C’est alors que paraissent dans Le Parisien Libéré les premiers articles sous pseudonyme, signé Jean Lartéguy. C’est Max Corre, patron de Paris-Presse-L’Intransigeant qui lui propose de devenir « officier-reporter » pour décrire aux Français la guerre de Corée. Lartéguy y rencontre en particulier un chef mythique, Monclar, général de corps d’armée rengagé volontaire comme simple lieutenant-colonel, mais, s’il fait son devoir et gagne au passage une nouvelle citation, il ne parvient pas à faire sienne cette guerre : « C’est pour cela que cette guerre est sinistre : parce que personne ne fait sa guerre à lui et que le technocrate a remplacé l’entraîneur d’hommes ». Blessé, il séjourne un temps au Japon et, dès son retour en France, écrit Du sang sur les collines, publié en 1954, qui, ré-écrit, deviendra Les Mercenaires.
Désormais, c’est l’Indochine qui l’envoûte. Non seulement il suit les opérations, mais participe même à certains coups de main : « Pour les militaires, Lartéguy n’est pas un journaliste comme les autres. Courageux, présent au feu, c’est un des leurs ». Le drame de Dien Bien Phu est un choc et se développe le sentiment que l’armée a été lâchée par le politique : « Les Français ne pensent plus qu’à s’enfermer dans leur petit pays, leurs petites villes, leurs petites maisons et, comme des vieillards, ils ne regardent plus le monde qu’à travers leurs fenêtres … Ils veulent leur retraite, toucher des pensions et qu’on les laisse épousseter leurs vieilles gloires. La France capitule, par égoïsme, par paresse, pour qu’elle puisse s’endormir dans une douillette décadence ». Il tire de ces expériences la matière de nouveaux romans, qui seront autant de succès et observe maintenant les progrès du Viet Minh au Sud et au Laos. La guerre se poursuit désormais en Algérie, où il se montre sévère pour tous, y compris l’armée française et critique « la culture développée de l’esprit de boutique ou de chapelle », et ne passe rien à de Gaulle : « Ce fut la cause d’une cassure durable entre la France et son armée et, peut-être plus grave encore, d’une perte de foi et de caractère toute aussi longue chez beaucoup de chefs militaires ». Seuls les hommes comme Bigeard, l’un des modèles des Centurions, trouvent grâce à ses yeux : « chez les officiers américains, le livre devient peu à peu un livre culte ». Grand reporter reconnu, il est contacté pour rejoindre l’OAS, ce qu’il refuse. Il ne prend parti ni pour, ni contre et s’efforce de rester un journaliste neutre malgré ses amitiés. Pendant de longues années, il alterne entre l’écriture de romans et la rédaction d’articles à partir de toutes les zones de guerre ou de crise, le Liban, le Vietnam, Cuba, la Bolivie où il se laisse un temps fasciner par le mythe de Che Guevara. Israël puis à nouveau l’Extrême-Orient l’appellent et ce sera L’Adieu à Saigon, « chronique au jour le jour de la fin du Sud-Vietnam ». L’homme vieilli et c’est bientôt la fin des voyages et des aventure, même pour Lartéguy. Jean Lartéguy s’est éteint le 23 février 2011.
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comme-du-monde · 10 months
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Val-Terreur 7 Natesht
Mardi Julia trouve ça pas mal poche qu’on cancelle encore les Saturnales c’t’année. J’essaie d’y expliquer qu’on a pas assez de bouffe pour un festin pis que les barbares aiment ça frapper quand on est occupé avec les traditions de la Capitale, mais ‘est un peu jeune pour comprendre. En plus les Collectionneurs ont fouiné dans nos réserves de bois d'œuvre pis là j’ai rien pour y gosser le berceau que j’voulais faire pour sa catin. Faut vraiment qu’on répare le mur.
Mercredi L’Assemblée vote demain pour savoir qu’est-ce qu’on va faire avec le trou. Je vais proposer de défaire la maison d’Adrien pis de fendre les poutres de la fondation pour refaire une palissade. Y reviendront pas. J’vais pouvoir recoller les planches du plancher pis faire le berceau. On va voir c’que ça donne.
Jeudi J’ai pu commencer à défaire la maison d’Adrien à matin. Une bonne chance parce qu’y a commencé à neiger. J’tais après enlever les fermes de toit quand j’ai vu arriver trois hurluberlus, à pied! Une cigale, une sauvageonne pis une fille de la Capitale, si j’me fie à son linge. J’me rappelle pas de la dernière fois que des aventuriers sont venus à Val-Terreur. Pas vrai, j’m’en rappelle : j’y avais fait un écu pis j’avais fini mon huile de lin sur le manche de sa hache. Avoir su que l’Ouest aurait raison de lui, j’aurais gardé mon huile. Ça aurait fait beau su’l berceau de Julia.
Vendredi La petite nouvelle est venue me voir chez Adrien. Elle doit avoir douze ou treize ans. P't'être quatorze. Y’ont pris la chambre de la Collision Frontale qui a pu de porte depuis qu’on l’a défoncé pour sortir Pachdem. Il s’était enfermé en plein delirium tremens avec huit amphores qu’on avait reçues de la Capitale – du gros jus – en traitant Adrien de Collectionneur pis en l’accusant d’avoir volé du vin, ha!
J’y ai proposé de le faire à sa place, mais a rien voulu savoir. Est partie avec sa porte pis toute la quincaillerie. Du toit, je l’ai vu rusher à tirer sa porte dans bouette.
Saturdi Julia a vu la petite nouvelle au spot où qu’a l’attrape des grenouilles. J’y ai rappelé qu’on se méfie toujours des aventuriers pis j’t’allé faire un tour avant d’aller à’ Collision. Y’avais personne pis la place était encore tout croche. Le quai est pourri pis y’a des quenouilles hautes comme moi. J’y étais pas retournée depuis ce que papa appelait la Déconsécration. J’étais ti-cul pis papa a été forcé de défigurer la sculpture que son arrière-grand-père avait fait pendant que trois gros prétoriens r’gardaient. J’avais jamais vu mon père pleurer pis je l’ai jamais revu non plus. J’en ai profité pour prier. Je l’sais, c’est interdit, mais j’ai compris y’a longtemps que c’qui se passe à Val-Terreur reste à Val-Terreur. Je sais pas à qui j’ai prié, mais j’ai prié pour du bois pis pour de la bouffe. Pis pour Julia.
Soldi Y reste presque pu de colle. J’ai commencé le berceau pour la catin de Julia pis j’ai décidé de l'amener au spot à la mi-journée. On s’est assis proche de la statue pis on a rien dit pendant un boutte. A m’a demandé pourquoi la madame avait pas de face. J’y ai dit que je le savais pas pis elle m’a répondu qu’elle allait y en faire une. J’y ai dit qu'a pouvait prendre mes outils. Le soir, j’ai pleuré.
Mardi J’ai fini la palissade, mais Pachdem crie encore aux collectionneurs. Il lui manque des ciseaux pis sa faux. Il les a sûrement perdu su’a brosse, vieil ivrogne! J’ai quand même fait tout le périmètre avant d’aller au spot, pour être sûr. Tout est beau, mais il manque une couple d’affaires sur la maison d’Adrien.
Vendredi J’t’allé au spot à tous les jours depuis Saturdi passé. Après ma prière d’à matin, j’ai remarqué que le quai avait été réparé pis l’herbe coupée. Il m’est venu un mot en tête pis je l’ai dit:
«Natesht.»
Je l’sais, c’est interdit de pas parler latin, mais j’sais même pas c’que ça veut dire. Je pense que ma mère m’appelait comme ça quand j’étais p’tit.
Soldi J’ai ramené Julia au spot pis la petite nouvelle était là, assise où je m’assois d’habitude. On est resté là un boutte en silence, les trois. On a jasé un peu pis elle va ramener la faux pis les ciseaux à Pachdem.
Vendredi Augustine s’en va à l’Ouest avec les autres demain. Il paraît qu’une arkourangue vole pas loin. C’est plate, c’était l’fun prier à trois.
Vendredi J’aide Julia avec son projet, elle est bonne. On fait un genre de masque. Elle trace pis je grave avec elle. Ça ressemble beaucoup à sa mère, mais j’ai pas été capable d’y dire.
Jeudi J’ai passé la journée à consoler Julia. Elle a mis un peu trop de pression avec son rifloir pis le masque a fendu en deux. On a pu de bois. Quand il fera assez chaud, on ira coller les deux morceaux sur la statue. Elle dort enfin.
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Aujourd'hui y’a finalement fait assez chaud et sec pour coller. Quand on est arrivé, Augustine était là. Ses cheveux et sa peau étaient sales, ses vêtements en lambeaux. Elle boitait. J’ai du mal à m’expliquer comment c’est possible, mais elle a pris les morceaux du masque des mains de Julia pis a chuchoté quelque chose. Comme si a les avait convaincu de se remettre ensemble, les deux morceaux se sont collés – non, réparés tout seuls. J’ai pas été capable de m’empêcher de le dire:
«Natesht!»
Augustine m’a souri avant de répondre: «Miracle.»
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