#président du conseil
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fidjiefidjie · 2 years ago
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Hommage à l'homme d'affaires, de médias puis Président du Conseil italien Silvio Berlusconi 🌹🇮🇹🎈le "Cavaliere" R.I.P 🕊
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Photo de Carlo Carino, 1981
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Silvio Berlusconi et Mariano Apicella 🎶 Meglio 'na Canzone
Bonne soirée
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lescientifique · 10 months ago
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Élection d'un président : le CPT respecte le projet du décret initial
Suite à leur prestation de serment au Palais National d’Haïti et leur installation à Villa d’accueil en date du 25 avril 2024, les membres du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) se sont mis tout de suite au travail en commençant par le choix d’un président ou mieux encore d’un coordonnateur du CPT. Alors que le choix de Monsieur Edgard Fils Leblanc comme président ou coordonnateur du conseil…
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malibuzz · 1 year ago
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L'Ordre des Architectes du Mali (#OAM) était face à la presse pour clamer que le Mali devrait se passer d'architectes formés au rabais.
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iweb-rdc001 · 2 years ago
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Exclusivité : Le président du CNSA Joseph Olenga Nkoy mandaté par le pouvoir en place pour négocier avec Joseph Kabila une transition de 12 à 18 mois avec Tshisekedi
Par Gilbert Ngonga   Le pouvoir, dit-on, est comme une drogue. quand on y a goûté, il est terriblement dur de s’en passer. Arrivé au pouvoir en 2019 à l’issue d’un scrutin très contesté par l’Opposition politique, Tshisekedi ne veut pas si tôt céder le fauteuil présidentiel.   En effet, l’élection présidentielle très attendue qui doit désigner éventuellement le successeur du président Félix…
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atthecenterofeverything · 20 days ago
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good article about the new immigration law project in france. tldr: it would emphasize primacy of national french law over international law, reference an undefined "French identity" and guarantee a "national priority" which would uphold french (understand white and catholic) citizens over everyone else.
don't think I agree with the framework of the fifth republic being in shambles and under threat as if this was a new, unpredicted development, but anyway.
behind paywall but full article under the cut:
C’est un texte trop peu remarqué et commenté. Il a été déposé à la présidence de l’Assemblée nationale par Marine Le Pen et les député·es du Rassemblement national (RN) le 25 janvier 2024, soit le jour même de la censure par le Conseil constitutionnel de 35 des 86 articles de la dernière loi sur l’immigration. Intitulée « Citoyenneté-Identité-Immigration », cette proposition de loi constitutionnelle est la formulation la plus complète et la plus explicite du projet politique de l’extrême droite en cas de victoire à une future élection présidentielle.  
On doit à un haut fonctionnaire, Pierre-Yves Bocquet, actuellement directeur adjoint de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, une alerte aussi pertinente qu’inquiétante sur sa portée et sa dangerosité. En cas d’adoption par référendum de ces dispositions, explique-t-il, ce ne serait pas un changement de politique, mais un changement de régime, « une nouvelle Révolution nationale, autoritaire, plébiscitaire et xénophobe. La VIe République du RN ».  
Développée de façon fort pédagogique dans une récente livraison de la collection « Tracts / Gallimard », cette démonstration surgit au moment même où deux figures éminentes du gouvernement de François Bayrou, le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau et le ministre de la justice Gérald Darmanin, plaident pour un référendum sur l’immigration. Au-delà de l’enjeu invoqué, dans la foulée de sa remise en cause à Mayotte, qui est la fin du droit du sol, leurs plaidoyers légitiment par avance la voie choisie par le RN pour son coup de force institutionnel.  
Reprenant et développant un projet de loi référendaire présenté lors de la campagne présidentielle de 2022, le texte déposé en 2024 par le RN montre combien la question obsessionnelle de l’immigration, et donc des droits des étrangers et des étrangères, est le cheval de Troie d’une remise en cause de l’État de droit, et donc des droits des citoyen·nes.  
Son premier objectif est l’affirmation de « la primauté du droit national », c’est-à-dire le rejet radical de tout droit supranational veillant au respect par un État des droits humains fondamentaux. Exactement ce que met en œuvre Donald Trump depuis qu’il a pris ses fonctions de président des États-Unis, mais aussi ce que revendiquent la Russie de Vladimir Poutine et la Hongrie de Viktor Orbán, explicitement mentionnées par le RN dans l’exposé des motifs.  
Cette inversion de la hiérarchie des normes entre le droit interne et le droit international, que partagent tous les régimes autoritaires et identitaires, se traduit dans le texte du RN par une modification radicale de l’article 1er de la Constitution : « La Constitution est la norme suprême de l’ordre juridique français. Elle s’impose aux pouvoirs publics et aux autorités administratives et juridictionnelles. Aucun engagement international de la France, aucune règle du droit international public ou de la coutume internationale ni aucune décision d’une juridiction internationale ne peut avoir pour effet de remettre en cause la Constitution. Toute juridiction doit, le cas échéant, laisser inappliquées de telles stipulations, règles ou décisions. »  
L’instauration de ce « bouclier constitutionnel », selon la formulation du RN, signifierait que la France ne serait plus tenue de se conformer au droit international et européen qui protège les libertés fondamentales. Le droit des étrangers sert ici de levier pour un coup de force antidémocratique, instaurant, écrit Pierre-Yves Bocquet, « une prison juridique à la taille de la France, qui prive tous ses habitants, français comme étrangers, de la faculté qu’ils ont aujourd’hui de saisir les juridictions internationales pour faire reconnaître leurs droits fondamentaux ».  
Le deuxième bouleversement introduit par ce projet référendaire est l’instauration de la « priorité nationale », autrement dit d’une xénophobie légale. Ce nouveau principe constitutionnel est ainsi formulé : « Afin de garantir aux Français, en toutes circonstances, une priorité dans l’accès à l’emploi, à égalité de mérites, dans le secteur privé et, le cas échéant, dans le secteur public, ainsi que dans le bénéfice de l’action des services publics et des politiques publiques, y compris le logement, la loi y limite l’accès des étrangers. »  
Cette xénophobie d’État accompagne toute une série de dispositions qui constitutionnalisent le rejet des étrangers et des étrangères – suppression du droit du sol, discrimination des binationaux et des binationales, limitation des politiques de lutte contre les discriminations.  
Enfin, le projet du RN instaure explicitement une République identitaire en faisant entrer dans la Constitution plusieurs références à « l’identité de la France » sans prendre la peine de la définir, sinon par le refrain sous-jacent qu’elle est menacée par les migrant·es et les étrangers et étrangères.  
« La République assure la sauvegarde de l’identité de la France et la protection de son patrimoine historique, culturel et linguistique et de ses paysages, en métropole et en outre-mer », énonce l’article 2 révisé, tandis qu’un amendement à l’article 5 de la Constitution confie au président la République la responsabilité de veiller « à la sauvegarde de l’identité et du patrimoine matériel et immatériel, historique et culturel de la France ».  
« Pistolet braqué sur la Constitution »  
Continuant de faire la courte échelle à l’extrême droite, les apprentis sorciers du gouvernement Bayrou légitiment donc, en revendiquant eux aussi un référendum sur les questions migratoires, la voie institutionnelle choisie par le RN pour son coup de force contre une République garante des droits fondamentaux.  
L’esprit bonapartiste de la Constitution de la Ve République, qui permet la confiscation de la volonté de toutes et tous par le pouvoir d’un·e seul·e, offre au présidentialisme cette arme redoutable : le référendum. « En proposant aux électeurs de trancher des problèmes compliqués avec une réponse simple (oui ou non),écrit Pierre-Yves Bocquet, le référendum ne leur donne la parole que pour les empêcher de délibérer. »  
C’est en fait la perpétuation du plébiscite dont Napoléon Bonaparte fut l’inventeur – de l’instauration du Consulat à celle de l’Empire héréditaire – et son neveu Napoléon III le perpétuateur – pas moins de cinq durant son long règne, dont celui qui a rétabli l’Empire sur les décombres de la Deuxième République.  
Avec une grande cohérence, le projet référendaire du RN s’empare de cette arme redoutable en revendiquant l’usage discrétionnaire qu’en fit, à deux reprises, le fondateur de la Ve République. « La voie la plus démocratique qui soit » : ces mots de Charles de Gaulle sont cités dès les premières lignes de son exposé des motifs par le RN.  
Par deux fois – en 1962 avec succès pour imposer l’élection du président au suffrage universel et en 1969 en vain pour réduire les pouvoirs du Sénat –, le général de Gaulle s’est appuyé sur l’article 11 de la Constitution pour contourner les assemblées, opposées à des réformes qui affaiblissaient le pouvoir législatif au bénéfice du pouvoir présidentiel.  
« Pistolet braqué sur la Constitution », cet article 11, qui donne au président de la République le pouvoir de soumettre un référendum, est au cœur d’un débat entre constitutionnalistes. À l’instar de Laurent Fabius en 2022, alors président du Conseil constitutionnel, ils lui opposent l’article 89 qui à la fois contraint tout référendum au préalable d’un vote identique des deux assemblées et en limite le champ, précisant notamment que « la forme républicaine du gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision ».  
Un scénario à la Donald Trump  
Au-delà de l’alarme sur le projet politique de l’extrême droite, l’intérêt du « tract » de Pierre-Yves Bocquet est de démontrer que cette parade est bien fragile face à l’absolutisme présidentiel dont on ne cesse de constater combien il peut allègrement malmener les principes démocratiques les plus élémentaires.  
Outre le général de Gaulle, qui en 1962 fut accusé par ses opposants de violer la Constitution, le RN peut même convoquer l’un d’entre eux, et non des moindres, qui se convertit avec zèle au présidentialisme alors même qu’il était supposé le défaire. En 1988, François Mitterrand, président de la République depuis 1981, n’hésita pas à déclarer que « l’usage de l’article 11 établi et approuvé par le peuple peut désormais être considéré comme l’une des voies de la révision concurremment à l’article 89 ».  
En cas de victoire de l’extrême droite à la prochaine élection présidentielle, le scénario d’un coup de force institutionnel est donc écrit, à l’image de celui que met en pratique Donald Trump depuis qu’il est à la Maison-Blanche, ne se privant d’aucun des leviers de l’abus de pouvoir présidentiel. Forte de l’effet de souffle qui lui conférerait sa légitimité électorale, Marine Le Pen, s’il s’agit d’elle, invoquera l’article 11 pour imposer ce référendum dans un délai que Pierre-Yves Bocquet estime à 70 jours après le deuxième tour de l’élection présidentielle.  
Et si le « oui » l’emporte, la xénophobie d’État aura valeur constitutionnelle, « ointe de la légitimité que donne l’expression directe de la volonté populaire ». Dès lors, poursuit Pierre-Yves Bocquet, la devise de la France sera transformée en : « Liberté – seulement pour les Français –, Égalité – seulement entre les Français – et Fraternité – seulement des Français entre eux ».  
Il n’y a d’autre parade que de tenir bon, politiquement, sur le refus de cette perdition politique. Elle n’a d’autre but que de détourner notre pays des urgences démocratiques, sociales, écologiques…  
Pour éviter cette catastrophe, le haut fonctionnaire suggère aux responsables politiques de ne pas trop tarder à la rendre impossible par l’instauration d’un simple alinéa à l’article 89 de la Constitution, énonçant que celle-ci « ne peut être révisée que selon les procédures prévues par le présent article ».  
Mais cette parade constitutionnelle, qui entend désamorcer la machine infernale de l’article 11, semble bien fragile quand les digues politiques ne cessent de céder. C’est ainsi que François Bayrou, devenu premier ministre, propose de relancer un débat sur l’identité française alors même qu’en 2009, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, il fit partie des opposants à cette diversion xénophobe autour de « l’identité nationale ». Aujourd’hui, il n’hésite pas à convoquer un imaginaire que ne renierait pas l’extrême droite, après avoir utilisé ses mots de « submersion migratoire » : « C’est une remise en cause de ce que nous sommes, nous, Occidentaux », a-t-il déclaré le 8 février au Parisien.  
Comme Mediapart l’avait défendu en 2009, dans un appel intitulé « Nous ne débattrons pas » dont les signataires allaient de Dominique de Villepin à Olivier Besancenot, en passant par François Hollande, il n’y a d’autre parade que de tenir bon, politiquement, sur le refus de cette perdition politique. Elle n’a d’autre but que de détourner notre pays des urgences démocratiques, sociales, écologiques, etc., qui permettent de construire du commun, dans la diversité de notre peuple.  
Depuis 1945, la France a connu 118 textes majeurs sur l’immigration (lire ici et là leur inventaire), à un rythme qui s’est accéléré depuis 1980, avec 49 lois et ordonnances en quatre décennies, soit plus d’une par an. Cette frénésie n’a rien réglé des problèmes vécus au quotidien par toutes celles et tous ceux qui vivent dans ce pays. Bien au contraire, elle n’a fait que donner crédit aux adversaires historiques de la promesse démocratique d’une égalité des droits, sans distinction d’origine, de condition, d’apparence, de croyance, de sexe ou de genre.  
Renvoyée aux marges politiques par la défaite du nazisme, puis par la décolonisation, l’extrême droite, dont la haine de l’égalité est le socle idéologique, n’est revenue en force dans le débat public qu’avec ce refrain du bouc émissaire, l’immigration. Tous les élus et gouvernants, de quelque bord qu’ils soient, qui acceptent de l’entonner à leur tour lui ouvrent grand la route du pouvoir.  
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aurevoirmonty · 4 months ago
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«Un référendum sur l’adhésion de la Serbie aux BRICS» en 2027: Vucic refuse la prison européenne de Von der Leyen
«Cela ne plaira à personne», a prédit le président serbe.
«Mais le débat [choisir entre l’UE ou les BRICS] sera très sérieux dans ce pays dans les 18 à 24 prochains mois.»
Je n’exclus pas que ce soit l’un des principaux sujets des élections présidentielles de 2027… et cela pourrait aussi être un sujet de référendum.
«La Serbie n’a pas imposé et n’imposera pas de sanctions contre la Russie, malgré les pressions extérieures, a encore rappelé Vucic après un entretien avec Poutine, le premier depuis plus de deux ans.
«La Serbie est un pays véritablement souverain et indépendant», a déclaré le vice-président du Conseil de la Fédération de Russie, Konstantin Kosachev.
«Peu de pays dans le monde peuvent probablement en dire autant.»
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empiredesimparte · 15 hours ago
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⚜ Le Cabinet Noir | N°29 | Francesim, Château de Versailles, 16 Fructidor An 230
In the majestic Congress Chamber at Versailles, the Empress Charlotte solemnly opens the doors to Parliament. On this historic day, the Regency makes its reappearance in Francesim, for a duration of one year.
Article 17 of the Regency Title, senatus consultum of November 2001. The oath taken by the empress-regent or the regent is worded as follows:
‘I swear loyalty to the emperor; I swear to govern in accordance with the Constitution, the senatus consulta, and the laws of the Empire; to uphold the integrity of the rights of the nation and those of imperial dignity; to consult only my devotion to the emperor and to Francesim in the exercise of my authority.’
A record of this oath is drawn up by the Prime Minister. This record is sent to the Senate and filed in its archives. The document is signed by the empress-regent, by the princes of the imperial family, by the members of the Regency Council, by the ministers, and by the presidents of the Senate, the Legislative Corps, and the Council of State.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
À la majestueuse salle du Congrès à Versailles, l'impératrice ouvre solennellement les portes au Parlement. En ce jour historique, la Régence fait sa réapparition en Francesim, pour une durée d’un an.
Article 17 du Titre de la Régence, sénatus-consulte de novembre 2001. Le serment prêté par l'impératrice-régente ou le régent est conçu en ces termes :
« Je jure fidélité à l'empereur ; je jure de gouverner conformément à la Constitution, aux sénatus-consultes et aux lois de l'Empire ; de maintenir dans leur intégrité les droits de la nation et ceux de la dignité impériale ; de ne consulter, dans l'emploi de mon autorité, que mon dévouement pour l'empereur et pour la Francesim. »
Procès-verbal de cette prestation de serment est dressé par le Premier Ministre. Ce procès-verbal est adressé au Sénat et déposé dans ses archives. L'acte est signé par l'impératrice-régente, par les princes de la famille impériale, par les membres du Conseil de régence, par les ministres et par les présidents du Sénat, du Corps législatif et du Conseil d'État.
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ekman · 1 year ago
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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ptns-orageuses-rpg · 3 months ago
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LES ZARBI·ES
1994, ça a commencé par dix membres du Refuge de Bescel dans les bas fonds des catacombes. Aujourd'hui, les Zarbi·es siègent dans un beau bâtiment dans le 11e. On les définit parfois avec des métaphores bien guerrières, bien nobles : « le fer de lance de la cause altérée », « les premiers défenseurs de notre communauté ». Vrai ou pas, à chacun d'en juger : les Zarbi·es avant le deuxième mandat de Chirac, c'était comme un syndicat qu'organisait des manifs. Aujourd'hui, c'est un espèce de médiateur pour porter nos messages à Matignon.
Comme beaucoup d'asso' 1901, il y a un bureau, un conseil d'administration et une assemblée générale. L'AG a beaucoup de poids, les votes des membres participent énormément à la vie du groupe. Le conseil, lui, gère tout ce qu'est budget, sans vraiment de pouvoir exécutif, ce sont des petites mains et des petites têtes qui s'assurent que tout flotte bien, que le navire n'a pas de trou dans la coque. Et le bureau, ce sont les têtes d'affiches, élues par l'AG, ils représentent souvent le courant de pensée politique majoritaire au sein des altéré·es. Bref, c'est beaucoup de politiques, beaucoup de bla bla... mais sans eux, la plupart de nos droits resteraient au fond de l'eau avec nos autres bateaux.
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LA PRÉSIDENTE — f / nb (libre) • +45 ans TW - mort.
Petite, c'était un monde cruel. Elle a connu toutes les conjugaisons du mot galère sauf au conditionnel. À l'époque, les psys, c'était pas trop ça. Alors, elle s'asseyait contre le tronc d'un arbre et elle parlait aux morts. Son but, c'est plus qu'aucune petite fille soit paumée, qu'aucun petit garçon n'ait à pleurer. Elle s'immobilise d'une rage froide, inflexible, à ne jamais plier sous les frappes de la majorité. Faut dire que l'opposition, c'est elle. Politicarde de renom, elle est apparue, il y a un peu plus de 5 ans, comme une solution à une politique trop laxiste. On a jamais bien avancé au 21e siècle depuis qu'on suit sa ligne directive. Les altéré·es ont réussi à atteindre l'Assemblée, à avoir leur voix à Matignon. Elle n'a pas peur d'employer les Misérables, elle n'hésite pas à rediriger les flux budgétaires vers le Refuge de Bescel. Son ton est convaincant, rafraichissant : c'est l'une des meilleures oratrices altéré·es depuis longtemps. Pour elle, cantonner la population altérée aux Catacombes, c'est un manque d'ambition.
Ouais, parfois elle fait un peu flipper. Mais faut bien que la peur change de camp.
FT. Indira Varma, ...
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LE SECRÉTAIRE — m / nb (réservé) • +45 ans
Avocat qui raconte pas de salade (tu l'as ?). C'est le genre d'humour qu'il traine, un rire qu'égaie sa mâchoire tranchante. Il a des airs de daron, surtout avec ses tempes grisonnantes. Ce qu'il fait de mieux dans son métier : formé les autres, protégé les siens. Patient, agréable, pédagogue : beaucoup de gens se demandent pourquoi il enseigne pas à la FAC. C'est une belle âme, noble, d'un de ses hommes dont on se souviendra de la carrière. Il aurait pu être pote avec un Camus, une Louise Michel. Aujourd'hui, les tribunaux le voient moins, occupé par ses responsabilités dans l'asso. À l'époque des grands frères, c'était le cauchemar des réac'. C'était la terreur des parquets, le prédateur des privilégié·es. Reconnu pour avoir bouclé des dossiers super connus, son cabinet forme et embauche les prochaines figures du droit altéré. Entre autre, Glauque, défenseuse des Misérables, provient de sa formation. Un style élégant, une timbre calme et jamais déstabilisé : une douceur d'un type qu'aurait pu cultiver des plantes, les fleurs du mal.
FT. Cilian Murphy, ...
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LA TRÉSORIÈRE — f / nb (libre) • ≈ 25 ans
Mioche, elle avait traité la future présidente des Zarbi·es de poule mouillée. Celle-ci n'avait pas le temps de jouer aux dames, la future trésorière s'en était vexée. Ça a commencé comme ça : des parties de dames. Puis, le futur secrétaire lui aussi a eu le droit aux mots doux de la gamine. Ce sont les deux figures principales dans sa vie, parce que la petite n'a connu que le Refuge de Bescel. Ils lui ont payé ses études de journalisme, sa première voiture et ses téléphones. C'est devenue l'une des meilleures têtes de son école, devenue l'une des meilleures reporters de sa génération. Elle travaille sur les altéré·es, a déjà coopéré avec des organismes internationaux. Son CV rote de mentions, de stages, de diplômes, de formations. Beaucoup de gens la critiquent pour sa position dûe à ses deux seules relations. C'est vrai que ça a accéléré les choses, mais penser qu'elle n'y serait jamais arrivé avec ses capacités : c'est vraiment s'étouffer avec sa putain de mauvaise foie. C'est une bosseuse, extravertie, l'envie de changer l'ordre établi : d'utiliser la vérité et sa plume pour y parvenir.
FT. Simone Ashley, ...
LE CONSEIL D'ADMINISTRATION — f / nb / m (10/10 libres)
Iels sont comptables, avocats, notaires. Iels sont les fourmis de l'administration, chez eux il y a les imprimantes qui halètent, les agrafeuses qui claquent. Les chiffres, les emails, tout vient d'eux. Ce sont les merveilleux rouages, les merveilleuses pagaies de la barque.
LES MEMBRES — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les membres de l'association, quoi de plus clair ? On va du simple militant au chargé de presse. Chacun à son rôle, chacun à son vote. Les Zarbi·es, c'est une voix démocratique directe. La présidente, le bureaux : iels ne servent que de gouvernail au décision du peuple.
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
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fidjiefidjie · 1 year ago
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Robert Badinter, Photo de Michel Lacroix
Hommage à l'ancien Garde des Sceaux et président du Conseil constitutionnel ,Robert Badinter🌹⚖️🎈R.I.P 🙏🕊
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Extrait du discours à l'assemblée nationale, pour l'abolition de la peine de mort en 1981
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christian-dubuis-santini · 7 months ago
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Fraude sur les mots, fausse science et fascisme postmoderne… deux ou trois mots sur l’idéologie du point de vue de la psychanalyse
Lorsque Nicolás Gómez Dávila écrit: «La science nous trompe de trois manières: en transformant ses propositions en normes, en divulguant ses résultats plutôt que ses méthodes, en passant sous silence ses limitations épistémologiques», il parle de la science d’avant, une science "baconienne" certes trompeuse mais dont la réfutabilite était de structure (cf. Karl Popper: "il n’y a de science que réfutable"), mais une "science" non encore passée par la moulinette idéologique de "l’innovation technologique" postmoderne, qui en pervertit radicalement la structure, ce qui se traduit en termes de logique borroméenne par: passer du statut SIR (la science Symbolise ce qu’elle Imagine du Réel) au nœud RSI caractéristique de la religion (la religion Réalise le Symbolique qu’elle Imagine)…
Qu’est-ce que ça veut dire?
La "vraie" science revendique la rigueur de sa méthode qui s���appuie d’abord sur des faits consciencieusement répertoriés, ("table des présences" de Bacon, qui implique un primat du Réel sur le Symbolique dans l’observation et la collecte des données…), puis la logique consiste à rapporter les dits faits dans un ordre qui permet d’en tirer les conséquences mesurables donnant lieu à des anticipations. Le réel est a priori visé, cerné, décrit par le symbolique. Aujourd’hui, avec l’arrivée de la "fausse science" charriée par le discours dominant (Discours Capitaliste dans son acception stricte lacanienne) la plupart de ceux qui sont présentés comme des "scientifiques" s’appuient a priori sur des modélisations mathématiques, des calculs de probabilités qui leur confèrent une "imaginarisation du réel" auxquels ils croient et ils demandent "à tout le monde" de croire comme si c’était "la réalité"... à venir! Pour un véritable esprit scientifique, il n’y a rien de plus anti-scientifique que cette procédure invertie. Le réel est évacué, il reste seulement du symbolique détrempé d’imaginaire, autrement dit du fantasme, homologue au plan de la structure, à la mousse religieuse… Qui croit "les professeurs" Delfraissy ou Fauci comme à des prophètes? Réponse: les sujets pris dans le discours courant…
Rappelons ici que c’est suite à une note confidentielle du mathématicien universitaire modélisateur Neil Ferguson prévoyant un demi-million de morts en France, parvenue le 12 mars 2020 au président Macron, qu’un confinement généralisé fut décidé le soir même...
On sait depuis lors que c’est ce même Neil Ferguson (devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements) qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre britannique Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante). En 2002, l’expert Neil Ferguson calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsque elle se transmettrait aux moutons. Il y en eut en réalité 177. En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eut au total 457. (C’est ce même genre de "raisonnement" qui fait conclure à l’Intelligence Artificielle qu’il faut une infirmière pour quinze lits, ou qu’un résident en Ehpad doit manger pour 4,57€ par jour. )
Le sujet postmoderne, formaté par soixante-dix ans de l’idéologie qui a accouché du "numérique", devrait être averti qu’il n’existe aucun bouton "réinstaller les réglages d’origine" ou "restaurer le système" en cas de nécessité ultime.
Le système immunitaire naturel fonctionne selon le principe que toute récupération confère l’immunité et aura renforcé le sujet dans l’épreuve, ainsi en est-il de l'espèce qui devient plus forte. L’être peut s’enorgueillir d’un milliard d'années de perfectionnement biologique, et depuis le petit million et demi d’années que l’homme est arrivé sur Terre, c’est ce qu’il fait, les animaux ayant commencé avant lui.
Une politique réfléchie et responsable de santé publique aurait isolé les quelques uns qui risquaient de mourir suite à l’infection virale et aurait laissé l’immunité faire son travail, la récupération offranr toujours de loin la meilleure sécurité immunitaire, pareil pour toutes les mutations.
Ce n’est pas la médecine qui a inventé la santé, encore moins l’ascience. Quant aux politiques… faire confiance à un gouvernement pour "éradiquer un virus", a-t-on déjà entendu proposition plus délirante? Évacuez les intérêts de l’industrie pharmaceutique de l'équation, et vous verrez que les choses se présentent avec une certaine logique: ne pas se faire tester sauf en cas de symptômes précis, l’attraper quand on n’aura pas pu faire autrement (ce n’est pas dans le "moi" que ça se décide…) et le surmonter.
Voilà ce qu’un "président" sain aurait pu dire à un peuple sain. Les peuples ont le gouvernement qu’ils méritent…
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malibuzz · 1 year ago
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Charte du Liptako-Gourma instituant l`Alliance des États du Sahel
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iweb-rdc001 · 2 years ago
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Exclusivité : Le président du CNSA Joseph Olenga Nkoy mandaté par le pouvoir en place pour négocier avec Joseph Kabila une transition de 12 à 18 mois avec Tshisekedi
Par Gilbert Ngonga   Le pouvoir, dit-on, est comme une drogue. quand on y a goûté, il est terriblement dur de s’en passer. Arrivé au pouvoir en 2019 à l’issue d’un scrutin très contesté par l’Opposition politique, Tshisekedi ne veut pas si tôt céder le fauteuil présidentiel.   En effet, l’élection présidentielle très attendue qui doit désigner éventuellement le successeur du président Félix…
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francaistoutsimplement · 16 days ago
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Le parquet de Paris ouvre une enquête pour prise illégale d’intérêts Arte a financé à hauteur de 750 000€ les documentaires de Bernard-Henri Lévy, alors que ce dernier est aussi président du conseil de surveillance… d’Arte
En plus de ses propres films, 12 films produits par la société de BHL ont vu le jour grâce au concours financier d’Arte, dont certains avec Arielle Dombasle, épouse du dit "philosophe" (Les Ames Fortes de Roul Ruiz et Gradiva d'Alain Robbe-Grillet)
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aurevoirmonty · 1 month ago
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Thierry Breton, ancien Commissaire européen, ancien Ministre de l’Économie et des Finances, membre du conseil consultatif international de Bank of America, ancien président-directeur général de Thomson, d’Orange et d’Atos, ancien conseiller principal à Rothschild & Company, membre de l’Académie des technologies, ancien membre du conseil d’orientation de l’Institut Aspen France, ancien membre du Siècle.
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empiredesimparte · 10 months ago
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Europeansim Council Summit: Francesim, Iona and Pierreland play spoilsport
The 8 heads of state of Europesim met for a summit of the Europeansim Council, one of the major institutions of the Europeansim Union. The role of the Europeansim Council is to decide on the next directions of the E.U. in the coming months, and it is currently presided over by the Empire of Francesim for 6 months.
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Official photograph of the Europeansim Council summit.
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H.I.M Emperor Napoléon V of the French, who presided over the meeting, wanted to impose stricter police measures throughout the EU.
The topics discussed at the diamond table focused mainly on the security of member states. As a reminder, Francesim and Iona have been the victims of attacks on their sovereigns, Emperor Napoléon IV and Queen Viviana I, in recent months. These terrorist acts raise many questions about policing and surveillance measures in the Europeansim Union. A few years ago, Pierreland also had to deal with a regicide.
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H.I.M Emperor David of Pierreland brought his country's experience of crisis management to the diamond table.
While the national security vote is being prepared everywhere in the Europeansim institutions, uncertainty remains as to the severity of the legislation. This law is likely to have a major geopolitical impact on all Europeansim countries, allowing them to strengthen or not their surveillance measures, and leading to a clear reduction in individual freedoms.
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Pierreland's proposals did not meet with unanimous approval, particularly from the heads of state in Iona and Greecesim.
Some countries, such as Greecesim, condemned these exchanges as a "terrible mistake". Queen Viviana II called for calm, proposing "reinforced surveillance" rather than fully aligning herself with the vigorous police measures proposed by the French Presidency.
From this meeting, we can only conclude that the Europeansim Council Summit will require further sessions to achieve fruitful debates. A rift between the Europesim countries is more than tangible, and is worrying the people of the E.U.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Sommet du Conseil européen : Francesim, Pierreland et Iona jouent les troubles-fêtes
Les 8 chefs d'états d'Europesim se sont réunis pour un sommet du Conseil Européen, l'une des grandes institutions de l'Union Européenne. Le Conseil Européen a pour rôle de décider des prochaines directions que prendront l'U.E les prochains mois, et est actuellement présidé par l'Empire de Francesim pour 6 mois.
Photographie officielle du sommet du Conseil Européen.
L'Empereur Napoléon V, président de la séance, a souhaité imposer des mesures policières renforcées dans toute l'U.E.
Les sujets engagés à la table losange se sont principalement concentrés sur le thème de la sécurité des états-membres. Pour rappel, la Francesim et l'Iona ont été victimes ces derniers mois d'attentats sur leur souverain, l'Empereur Napoléon IV et la reine Viviana I. Ces actes terroristes soulèvent beaucoup de questions quant aux mesures de police et de surveillance dans l'Union Européenne. On se souvient, quelques années plus tôt, que Pierreland avait également dû faire face à un régicide.
L'Empereur David de Pierreland a apporté à la table losange l'expérience de son pays en matière de gestion de crises.
Alors que le vote de sécurité nationale se prépare un peu partout dans les institutions européennes, l'incertitude demeure quant à la sévérité des textes de lois. Cette loi devrait avoir un impact géopolitique majeur sur l'ensemble des pays d'Europesim, leur permettant ou non de durcir leurs mesures de surveillance et entraînant une diminution des libertés individuelles.
Les propositions de Pierreland n'ont pas fait l'unanimité, notamment auprès des chefs d'états d'Iona et de la Grèce.
Certains pays comme la Grèce fustigent ces échanges parlant d'une "terrible erreur". La reine Viviana II appelle au calme en proposant une "surveillance renforcée" plutôt que de s'aligner totalement sur les mesures policières vigoureuses proposées par la présidence française.
De cette réunion, on peut seulement conclure que le Sommet du Conseil Européen nécessitera de nouvelles sessions pour parvenir à des débats fructueux. Une fracture entre les pays d'Europesim est plus que tangible et inquiète les habitants de l'U.E.
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