#pour le plaisir des yeux
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The Great Review en télétravail au ZEVENT
#thegreatreview#augustin heliot#french side of tumblr#zevent#pour le plaisir des yeux#je vais faire une pĂ©tition pour que vous ayez tous coller vos putains de yeux sur la chaine de ce petit ĂȘtre humain adorable au possible#bon un peu edgy aussi#mais il est pipou avant tout
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Je fĂȘte mes 4 ans sur Tumblr đ„ł
#4 year tumblrversary#tumblr milestone#4 ans de joie plein de belles choses beaucoup de blogs pour le plaisir des yeux merci đ
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A Closer Look at Belle's Book: Part II
In Part I, I went into some detail about the illustration inside Belle's book, but now I want to turn the page, so to speak.
Thanks to the magic of 4K, I was able to zoom in on some details in Beauty and the Beast that I had never noticed before, and this time I wanted to see what story Belle was reading. I've seen theories that it was either foreshadowing Aladdin or referencing Sleeping Beauty, and I myself noticed that it bears some artistic resemblance to Snow White... but it turns out that it has nothing to do with Disney, or its fairy tales.
It's something else entirely, and it's in French!
After zooming in and studying each frame, I managed to make out the following text:
une languissante sirene! Enfin, il sera bientĂŽt heureux, si c'est lĂ ce qui doit causer son bonheur. Je sais que je suis agrĂ©able Ă regarder, puisque j'y ai du plaisir moi-mĂȘme, et de ce plaisir je ne priverai pas mon mari, au contraire. Je ne sais si je l'aimerai, je l'espĂšre; mais je veux qu'il m'aime lui, et je ferai pour lui plaire tout ce qui lui plaira. Ah! chĂšre AdĂ©laĂŻde, je suis pleine de rĂȘves absurdes et de pensĂ©es contradictoires! Je songe Ă des choses qui me semblent Ă la fois douces et vilaines, et j'ai des imaginations qui me font rougir en mĂȘme temps que pleurer! Au moins, je ne m'ennuie pas. Je vis plus en une heure de ces journĂ©es que l'an passĂ© je ne vĂ©cus en toute l'annĂ©e. Chaque heure me renouvelle, me grandit et m'Ă©panouit. Je me semble un rosier qui fleur rirait Ă vue dâĆil, je suis fraĂźche et parfumĂ©e; je suis lĂ©gĂšre et forte: j'attends le bonheur. Paul est plus beau que je ne l'avais encore jamais tu. Il est pĂąle avec de grands yeux pleins de fiĂšvre et d'amour. Je le trouve sublime quand il s'agenouille prĂšs de moi pour me regarder comme en priĂšre. J'ai envie de le priĂšre aussi, parfois, et de coucher ma joue sur ses genoux, mais quand j'ai cette envie-la, je me fĂąchĂ© contre moi-meme et je boude Paul.
Which, roughly translated into English, means:
a languid siren! Finally, he will soon be happy, if that is what will make him happy. I know that I am pleasant to look at, since I take pleasure in it myself, and of this pleasure I will not deprive my husband, on the contrary. I do not know if I will love him, I hope so; but I want him to love me, and I will do whatever he pleases to please him. Ah! dear Adelaide, I am full of absurd dreams and contradictory thoughts! I think of things that seem to me both sweet and ugly, and I have fantasies that make me blush and cry at the same time! At least, I am not bored. I live more in one hour of these days than I lived in the whole year last year. Each hour renews me, makes me grow and blossom. I seem to myself a rosebush that blooms laughing before my eyes, I am fresh and fragrant; I am light and strong: I await happiness. Paul is more handsome than I have ever seen him before. He is pale with big eyes full of fever and love. I find him sublime when he kneels down next to me to look at me as if in prayer. I want to pray to him too, sometimes, and to lay my cheek on his knees, but when I have this desire, I get angry with myself and I sulk at Paul.
By the way, there is one more sentence (maybe even two) at the bottom of the page that is partially obscured by Belle's shoulder and right hand. It may or may not be important to the rest of the excerpt, but for completion's sake, I'll share it here:
Il est ... maintenir un homme dans les ...
Which translates to:
He is ... to keep a man in the ...
Intriguing, isn't it? What was she trying to say?
Overall, the author appears to be an unwed woman dreaming of her future marriage to a man named Paul. Her confidante is someone named Adelaide, but I suspect she is actually writing to herself. Regardless, she is either betrothed to Paul or she longs to be, since she calls him her husband. Perhaps it is an arranged marriage? She goes on to dwell upon his handsomeness, and how she longs to be close to him, but then she gets angry at herself for feeling this way. The last line of the passage is incomplete, but my best guess is that the author is saying that Paul is not to blame for her sulking, so it is not right to keep a man in the dark, i.e. ignorant. I could be wrong, though. In any case, she is conflicted about her feelings on the matter. You could even say that her feelings are "new, and a bit alarming".
I can see why the filmmakers chose this passage for Belle's book.
It may not be a fairy tale, but it certainly has elements from the film. There are references to beauty, roses, imagination, and eyes filled with love, and passion.
Belle:
"Oh, isn't this amazing? It's my favorite part becauseâyouâll see Here's where she meets Prince Charming But she won't discover that it's him 'til Chapter Three!"
Do the lyrics match the story hinted at on the page itself? No, but I really respect the filmmakers for going out of their way to include this kind of detail in the film. They could have taken the easy way out, by writing out something like "Once upon a time" to echo the opening narration, or used "Lorem ipsem" Latin filler, or even meaningless brush strokes just to fill the page... but they didn't. They chose something in French that Belle herself might have liked to read. And I think that's really cool.
#belle's book#disney belle#blink and you miss it#blink and you miss it batb#disney beauty and the beast#beauty and the beast#batb 1991#disney batb#disney art#disney closeup#disney gifs#disney belle pink dress#new and a bit alarming
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
â ïž warnings : caractĂšres sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insĂ©curitĂ©s, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
Global
l'odeur est trĂšs importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crĂšme pour visage, et il fait toujours la tĂȘte pendant plusieurs jours Ă cause de ça.
dans le mĂȘme thĂšme, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est trĂšs jaloux, mĂȘme s'il ne le montre pas forcĂ©ment. Il est plutĂŽt du genre Ă tout intĂ©rioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'Ă ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te dĂ©fendre par toi-mĂȘme, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de mĂȘme, Ă la maison lorsque tu as un projet en tĂȘte, comme un meuble Ă monter ou un mur Ă repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la mĂȘme piĂšce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier Ă te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mĂ©moire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est mĂȘme lui qui te rappelle ta soirĂ©e jeu de sociĂ©tĂ© avec Ororo ou mĂȘme tes rendez-vous mĂ©dicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mĂ©moire, il retient juste ce qui est important Ă ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le cùliner sur le cÎté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va trÚs bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes Ă©normĂ©ment en fait et il se souvient de tous, mĂȘme les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que trĂšs peu car ils veulent dire beaucoup Ă vos yeux. MĂȘme si bien sĂ»r, "bub" est celui qu'il a le plus utilisĂ© depuis votre toute premiĂšre rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi Ă©normĂ©ment avec âson instinctâ comme tu aimes lâappeler. Bien sĂ»r il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problĂšme de santĂ©, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu rĂ©flĂ©chis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il sâen fout. Que tu pĂštes ou rotes ? Il sâen fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu Ă©tais malade sur une longue pĂ©riode et la douleur Ă©tait tellement puissante que tu nâavais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il sâen foutait totalement, tout ce qui importait Ă©tait que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement Ă lâaise avec ce genre de sujet, quâil tâaide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu Ă©vites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumĂ© ce qui vous permet d'ĂȘtre tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats Ă chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa prioritĂ©, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures Ă te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est Ă toi de le plaquer contre le matelas et de le dĂ©shabiller la plupart du temps, mĂȘme s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, mĂȘme si tu sais trĂšs bien reconnaĂźtre les signes.
FOR AFAB : il te répÚte tout le temps à quel point il aime la maniÚre dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'Ă ce que ton prĂ©cum dĂ©goulines sur toute ta longueur, et de mĂȘme, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accĂ©lĂ©rer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hĂ©sitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour Ă©loigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrĂŽler et que ses griffes sortent.
de mĂȘme, lorsqu'il a un sommeil agitĂ©, il se forcera Ă rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a dĂ©jĂ passĂ© une heure entiĂšre Ă juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est dĂ©jĂ tellement dur et fermĂ© au quotidien, la chambre est le seul endroit oĂč il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'Ă©tait le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille Ă©poque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste ĂȘtre avec toi. Il a carrĂ©ment de l'expĂ©rience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimĂ© le faire en public ou le dirtytalk.  Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est trĂšs Ă l'Ă©coute, et parfois il prĂ©fĂšre ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tĂȘte qui te prĂ©occupe.
de la mĂȘme maniĂšre, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprĂ©cies ce qu'il te fait, lĂ oĂč il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq siĂšges, le seul et unique oĂč tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crÚme ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, mĂȘme s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est mĂȘme lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux jurĂ© avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-ĂȘtre qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'Ă©tait de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son ùge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-pÚre aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent trÚs fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achĂšte de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, mĂȘme si tu trouves ça dĂ©goĂ»tant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, mĂȘme s'il Ă©vite de te faire goĂ»ter trop souvent de peur que tu te mettes Ă fumer Ă cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évÚnements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là , il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colÚre ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent Ă des kilomĂštres et il fait tout pour te faire te sentir Ă l'aise. Il a mĂȘme Ă©tĂ© chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionnĂ©.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'Ă©quipe occupent une place importante dans son cĆur, mĂȘme s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là -bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est trÚs gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sĆur Ă tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlĂ© de Jean, et honnĂȘtement, au dĂ©but tu n'aimais pas vraiment parlĂ© d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'Ă©tait juste une sorte de trĂšs trĂšs gros crush mais qu'il t'a rencontrĂ© et que maintenant rien ne t'Ă©gale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux Ă©checs avec Charles, mais tu as prĂ©fĂ©rĂ© ne pas t'en mĂȘler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxiÚme famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la premiÚre fois que Logan t'a amené là -bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens lĂ , viens dans mes bras darl'
SEXUALITĂ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet Ă©tat huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
° x-men masterlist
gif : @/asgardswinter
banniĂšre : @/saradika-graphics and @/thecutestgrotto
#logan howlett#wolverine#queer#ftm reader#logan howlett x ftmreader#logan howlett x reader#headcanon#wolverine x ftmreader#gn reader#wolverine x reader#logan howlett hc#xmen headcanon#logan howlett x you#wolverine x you#wolverine x gnreader#logan howlett x gnreader#x men#logan howlett!ew#ew!writings#gn!ew#ew!frenchversion
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La regarder, je ne mâen lasse pas
Ses cheveux bouclés sur ses épaules
Le ton chĂątain clair et quelques touches grisonnantes
Recouvrant par endroits ses oreilles percées
Dâun petit diamant et dâune boucle argentĂ©e
Le sourire de sa bouche délicatement entrouverte
Aux lÚvres dessinées en rouge trÚs vif
Son cou absolument irrésistible
A déposer un baiser qui la fait frémir
Descendant jusquâĂ ses Ă©paules
Avec ces petites cavitĂ©s oĂč jâaime dĂ©poser ma langue
Puis au milieu des seins descendre
Dans ce sillon formé par ses globes généreux
Aux tétons durcis de plaisir
Son joli nombril que je me délecte à farfouiller
Avant dâexplorer sur son mont de VĂ©nus
Partiellement dégarni
Ne laissant quâune ligne de poils
Pour juste cacher son intimité luisante de plaisir
Cuisses ouvertes sur ce spectacle affriolant
Et fesses rebondies Ă la demande de caresses
De longues jambes bronzées
Terminant sur de jolis pieds au vernis impeccableâŠ
Les larmes aux yeux
Je contemple les deux clichés
RĂ©sultat dâune soirĂ©e de petits dĂ©lires
Elle en modĂšle et moi en photographe
Je suis seul avec elle sur le papier
Et je la désire encore
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Faire lâamour, ça commence le matin par le premier regard que lâon se donne, le premier sourire, la premiĂšre caresse et le premier bonjour.
Faire lâamour, câest dâapporter le petit dĂ©jeuner au lit ou simplement un cafĂ©, un jus de fruits accompagnĂ© dâune petite chanson dâamour ou de mots tendres rĂ©citĂ©s avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire lâamour, câest lancer Ă lâautre dans la glace un clin dâĆil complice lorsquâil fait sa toilette, câest aussi lâembrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire lâamour, câest demander Ă lâautre quelle nuit il a passĂ© et Ă©couter attentivement sa rĂ©ponse. Câest prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant dâentreprendre la journĂ©e de travail.Faire lâamour, câest accompagner lâĂȘtre cher Ă la porte au moment oĂč il se prĂ©pare Ă partir; câest de lui souhaiter une bonne journĂ©e; câest de sâinstaller Ă la fenĂȘtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire lâamour, câest de se tĂ©lĂ©phoner pour un rien, juste pour se dire que lâon sâaime ou prendre des nouvelles; câest de se faire des surprises sans rien attendre en Ă©change.
Faire lâamour, câest prendre lâautre dans ses bras chaque fois que câest possible, juste pour sentir la chaleur de lâĂȘtre aimĂ©, rĂ©tablir le contact et se donner de lâaffection.
Faire lâamour, câest parfois dâaccorder Ă lâautre la libertĂ© de vivre pour lui-mĂȘme, sans attachement excessif, en lui laissant sentir quâon lâaime toujours mĂȘme si nos corps sont loin lâun de lâautre; câest dâĂȘtre assurĂ© que nos Ăąmes se moquent des distances et sont tendrement enlacĂ©es en toute situation, quelque soit le nombre de kilomĂštres qui nous sĂ©parent.
Faire lâamour, peut aussi se rĂ©sumer en une pensĂ©e lancĂ©e vers lâautre, les yeux fermĂ©es, pendant un instant.
Faire lâamour, câest de sâaccueillir et de sâĂ©treindre au retour Ă la maison, câest de sâinformer de ce que lâautre a vĂ©cu durant la journĂ©e, câest Ă©galement le petit verre de vin que lâon prend le temps de dĂ©guster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goĂ»tant tout simplement la sagesse du silence.
Faire lâamour, câest mĂȘme dâĂ©couter le tĂ©lĂ©, serrĂ©s lâun contre lâautre, câest de rire ou de sâĂ©mouvoir ensemble, câest de vivre Ă deux et nourrir cette complicitĂ© de nâimporte quelle façon.
Enfin, faire lâamour, câest aussi « faire lâamour », mais ce nâest pas que ça! Câest une partie dâun tout indispensable⊠tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
Jâai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », ⊠je dĂ©sire le repas au complet et surtout le dessert nâest pas indispensable Ă la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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saga: Soumission & Domination 349
Florian préparation 1er contrat (suite), contrat
Dimanche : Â
Je me réveille en premier. Je visionne en hyper rapide la nuit dans la chambre d'à cÎté. Rien, ils n'ont fait que dormir mais quand je vois comme nous avons écrasé nous aussi ça ne m'étonne pas.
J'attends mes dormeurs puis dĂ©cide que c'est suffisant. Je tire doucement la couette qui les recouvre et je les admire. Ils sont beaux dans le sommeil. Instinctivement aprĂšs mon dĂ©part, ils se sont rapprochĂ©s et dorment enlacĂ©s. La jambe de PH recouvre celles de Ludovic et la tĂȘte de ce dernier est collĂ©e sur son Ă©paule. Je leur laisse encore quelques instants puis me coule vers eux. Ma langue remonte du gros orteil de Ludo Ă son aine juste interrompu par le dĂ©tour de la cuisse de PH.
Son sexe est plus gros qu'au repos mais pas franchement bandĂ© non plus. Sans poser ma tĂȘte sur lui, je sors ma langue et vient titiller le bout de gland laissĂ© apparent par son prĂ©puce. Pas de rĂ©action, je m'enhardi. Avec mes lĂšvres je repousse cette peau et peut ainsi prendre le gland entier dans ma bouche. Je me contente de ça. Je salive puis tourne ma langue dessus. Je dois bientĂŽt reculer ma tĂȘte car mon Ludovic se met Ă vraiment bander. Il gĂ©mit. Je le regarde persuadĂ© de l'avoir rĂ©veiller mais non. Il doit faire un rĂȘve Ă©rotique. Je prends moins de prĂ©caution et ça fini par le vraiment le rĂ©veiller. Sa main se pose sur ma tĂȘte et d'une lĂ©gĂšre pression m'indique qu'il souhaite plus. Je me penche plus et m'enfonce son gland dans ma gorge. Il m'Ă©touffe, ça me fait bander encore plus.
Ăa fait un peu comme le jeu du foulard mais par la face interne. L'Ă©touffement provoque une dĂ©charge d'hormones qui booste mon excitation. Je ne me tue pas pour autant et pompe mon mec comme un affamĂ©. Il ne bouge pas pour ne pas rĂ©veiller PH mais quand il explose, ses spasmes le secouent et ce dernier ouvre les yeux. Ses premiers mots sont pour nous traiter d'obsĂ©dĂ©s sexuels.
Ăa lui vaut une immobilisation complĂšte et un abus de son corps. Sa bite trouve la bouche de Ludovic comme capuchon et sa rondelle sert d'Ă©tui Ă la mienne. Sur l'Ă©cran qui est toujours branchĂ© sur la chambre d'Ă cĂŽtĂ©, je vois que nos jeunes se sont rĂ©veillĂ©s aussi avec une libido encore plus alerte. Eux aussi se donnent un peu de plaisir avant le petit dĂ©jeuner.  J'explose au fond de PH et lui, remplit la gueule de Ludovic qui vient partager avec nous. Trop bon !
On sort de nos chambres en mĂȘme temps. Embrassades, et on monte au 4Ăšme. Petit dĂ©jeuner puis la matinĂ©e se passe Ă travailler nos cours. J'aide Romain en français et nous bossons jusqu'au dĂ©jeuner.
L'aprĂšs-midi je reprends en main la prĂ©paration de Florian mais ce coup-ci, seul je le travail au sous-sol. On commence par un passage Ă la douche interne. Il connait pas mais il aime bien, enfin pas la premiĂšre fois mais aprĂšs ça Ă©tĂ© mieux. Je dĂ©cide d'en faire autant. Une fois bien propres, j'installe un gode de 25x6.5 sur la selle spĂ©ciale et aprĂšs avoir bien graissĂ© le trou de Florian, je le fais s'assoir dessus. Il y va Ă son rythme mais doucement il se le prend en entier. Je l'encourage, le flatte, lui fais sniffer un peu de poppers quand il me le demande et sa chevauchĂ©e prend des allures de grand prix de l'arc de triomphe. Je l'arrĂȘte avant qu'il ne jouisse, j'ai bien l'intention de profiter de ses 7cm de diamĂštre ! Je m'installe sur le sling et lui demande de me travailler l'anus. Il fait ça bien. Je me gaze Ă fond en prĂ©vision de sa large pine. Quand il me pĂ©nĂštre c'est une vĂ©ritable dĂ©fonce avec un grand D. Des 7 de diamĂštre, j'en ai connu qu'avec mes clients. Mais non suis-je bĂȘte, un des lads de Bordeaux en a une de 26x7 mais ça va faire depuis le nouvel an que je m'en suis quand mĂȘme pas pris une pareille. Il n'est montĂ© que de 18 de long mais ça me va quand mĂȘme. Ses coups de rein un peu dĂ©sordonnĂ©s au dĂ©but font place Ă un rythme bien efficace. Je sniffe Ă nouveau mon flacon de poppers et mes mains posĂ©es sur ses fesses, j'augmente sa cadence de pilonnage. Il butte une fois de trop sur ma prostate et j'explose m'envoyant du sperme jusque dans mes yeux. Il dĂ©cule vite et je ressens un bref coup de frais avant que ma rondelle se referme. On se calme 1/4 d'heure et je termine sa formation express. Il prend ma place sur le cuir suspendu et je le dĂ©fonce au gode de la taille juste infĂ©rieure Ă son client. Je rebande, quelle forme ! Du coup je sors le monstre de son cul et lui en enfile un autre trĂšs raisonnable. Il ne comprend pas tant que je n'ai pas ajoutĂ© ma bite au morceau de plastique. Je le sodomise jusqu'Ă ce qu'il jute et il rĂ©siste bien mĂȘme aprĂšs m'avoir limĂ© le cul.
Le client sera content, il ne lui explosera pas en 5mn ! Quand nous en avons fini, une bonne douche fait disparaitre les " salissures ". Un jet d'eau froide sur nos rondelles accélÚre le processus de rétraction. Retour au 4Úme. Les autres nous attendaient pour une biÚre. Leurs derniÚres heures studieuses les avaient soulés.
AprÚs diner je reconduis Florian au pensionnat. Quand il sort de la SLS c'est pour tomber sur un de ses potes qui rentrait aussi. Je ne m'éternise pas. Il m'appelle une heure plus tard pour me dire qu'il est grand temps qu'il quitte le lycée, il a dû expliquer pourquoi il revenait en MERCEDES, qui était le mec au volant etc. Il m'a dit qu'il était désolé mais qu'il m'avait fait passer pour un de ses cousins mais qu'il n'est pas sûr que ses détracteurs l'aient cru ! Je ris, le rassure que ce n'est pas grave puisqu'il y avait peu de risque que je croise ses copains de promo.
Le contrat :
Pour rappel le client est black 50ans dans les 1m80 entretenu question tour de taille et surtout une bite de 26x7. Soit le mĂȘme diamĂštre que la queue de Florian mais 8cm plus longue. Il y va avec son scooter Ă©quipĂ© cuir de la tĂȘte au pied. Ăa lui donne un look racaille qui va avec son parlĂ© un peu basique encore.
Rapport de Florian :
Je suis un peu stressĂ©. Sasha a eu beau me prĂ©parer la rondelle avec les habitants du blockhaus le WE dernier, j'ai un peu les foies. Sasha m'a mis au parfum, le client est montĂ© comme moi avec 8cm de plus en longueur. Jamais encore vu ça en rĂ©el. Le scooter 3 roues est gĂ©nial. Je me fais plaisir Ă faire des accĂ©lĂ©rations qui sĂšchent mĂȘme les caisses qui attendent comme moi le feu vert. Daniel le mec Ă qui Sasha m'a envoyĂ© n'a pas voulu me dire le montant de la dĂ©pense mais je pense que ça du couter un max. Que des marques, du cuir et le casque est trop kiffant. Il me fait une tĂȘte de robot. Les 7 heures de formation entre les pattes de son pote Ăric se sont bien passĂ© mais le mec est sĂ©vĂšrement burnĂ© ! Sa combinaison de moto fait une coque Ă©norme en haut de ses cuisses. J'aurais bien aimĂ© tĂąter le morceau mais je veux pas faire honte Ă Sasha avec un comportement qui va pas. Bon je reviens Ă mes moutons ou plutĂŽt au loup qui m'attend moi pĂŽvre petit agneau innocent ! Je sonne au portail d'une grande maison particuliĂšre. Je dois ĂŽter mon casque pour qu'il me voie Ă la vidĂ©o. Le portail s'ouvre tout seul et je pousse jusqu'aux marches de l'entrĂ©e. Il m'attend en haut. Je suis pas grand mais en contre plongĂ©e, il fait gĂ©ant. Quand je le rejoins je vois qu'il fait bien 15 Ă 20cm de plus que moi. Il m'accueille gentiment. L'entrĂ©e doit faire la moitiĂ© de la maison de mes parents ! Il me demande de me " dĂ©faire de ma carapace ". Je pose le casque sur une tablette, retire mon blouson. Le fait que je paraisse en marcel (c'est un LĂ©otard) dessous Ă l'air de lui plaire. Je quitte mes chaussures montantes et fait tomber le pantalon. Je suis en fuseau de gymnastique (sokol), moulant mes jambes et surtout mes fesses rondes. J'en ai choisi un trop petit qui me rentre bien dans la raie des fesses.
Il a devant lui le parfait petit gymnaste en tenue classique du travail aux anneaux. Et Ă ce que je vois se dĂ©velopper dans son pantalon, ça le fait kiffer grave. Ăa dĂ©forme le tissu, et je vois le gland descendre vers son genou gauche.   J'en Ă©tais hypnotisĂ© au point que c'est lui qui m'a rappelĂ© Ă la rĂ©alitĂ©. Il me demande de le suivre. On monte l'escalier et on entre dans une grande chambre avec un lit en cage. Un baldaquin je crois mais rĂ©alisĂ© en tube. Le plafond est Ă plus de 3m et je note que je dois pouvoir faire de la barre fixe si le support est solide. Je me lance, au pire je m'Ă©tale sue le matelas.
Je saute et attrape la barre au-dessus du pied de lit. Elle rĂ©siste et quand je la teste en me balançant un peu, je vois qu'elle est solidement fixĂ©e. Je m'Ă©chauffe avec quelques mouvements sous la barre avant de me lancer dans un tour complet. Aie ! J'ai pas mes maniques ! Je relĂąche et tombe le dos sur le grand lit. Je n'ai pas fait attention mais il s'est dĂ©shabillĂ© pendant ma petite exhibition.  Sur le dos je le vois Ă l'envers mais il est impressionnant. Le noir est trĂšs noir et sa bite un vrai monstre. Il me tire par les Ă©paules vers le bord du lit et quand ma tĂȘte est en dehors du matelas, il m'ouvre la bouche et enfonce son pieu. Il bute sur ma glotte et me dis de respirer un grand coup. J'obĂ©i et il me dĂ©fonce la gorge ! Il se retire et me fait le coup plusieurs fois sa bite devient de plus en plus raide, dure et droite. Quand il bande Ă fond, avec tout ma bonne volontĂ© j'en laisse bien 4 cm dehors !
Alors qu'il me baise la bouche je tente de me dĂ©shabiller. Il m'arrĂȘte aussitĂŽt. Il veut me baiser en tenue. J'avais pas pensĂ© à ça mais ça va me la saloper grave et je me vois pas la ramener pleine de sperme Ă ma mĂšre ! Tant pis ! Il cesse de me dĂ©truire la gorge et me retourne comme une crĂȘpe. Mes 70Kg ne semblent pas peser entre ses bras. Il me roule un patin. Sa langue est proportionnĂ©e Ă sa bite, elle envahi ma bouche. Puis il se met Ă me lĂ©cher le corps, enfin les parties nues, cou, trapĂšzes, Ă©paules, aisselles. Puis il attrape le haut de mon LĂ©otard et le dĂ©chire jusqu'au Sokol. Merde ! C'Ă©tait le plus correct de mes LĂ©otards. Les autres sont soit trop petits soit usĂ©s.
Il continu le massacre et je me retrouve Ă poil, mes vĂȘtements en lambeaux ! Je n'ai pas le temps de pleurer dessus qu'il attrape mes jambes, et les tire vers le haut jusqu'Ă ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Je pose mes mains au sol et assure l'Ă©quilibre. Je le sais actif, j'Ă©carte donc les jambes pour lui prĂ©senter mon cul. Il devait attendre ça car il s'est aussitĂŽt penchĂ© et direct m'a lĂ©chĂ© la rondelle. Pour le fun je lui fais un grand Ă©cart mais je ne crois pas qu'il s'en soit aperçu. Par contre moi je me rends bien compte qu'il travaille avec sa langue. Si tout Ă l'heure elle me remplissait la bouche Ă en vomir, lĂ , elle pointe ma rondelle et la pĂ©nĂštre de quelques cm. Trop bon ! Je redresse mes jambes et emprisonne (gentiment) sa tĂȘte entre mes cuisses. Ăa repose mes fessiers. Je sens sa salive couler dans mon trou. Mais le temps passe et de rester la tĂȘte en bas, je commence Ă avoir des Ă©blouissements. En appuis de mes jambes sur ses Ă©paules, je me cambre, lentement pour qu'il ait le temps de contrebalancer mon poids. Je m'Ă©tale le ventre sur le lit mais reste les reins creusĂ©s pour lui signifier que ce n'Ă©tait qu'un changement de position, pas un refus de me faire bouffer l'oignon.
D'ailleurs il me suit la langue toujours enfoncĂ©e dans mon trou. AprĂšs peut ĂȘtre 15mn de bouffage de rondelle, il les redresse, pose une de ses mains sur mon dos pour m'immobiliser et j'entends qu'avec l'autre, il se kpote. Quand c'est fait, ses mains agrippent mes hanches et il me tire au bord du lit. Les pieds au sol, j'Ă©carte bien les jambes pour dĂ©gager le passage. Il ajoute une dose de gel maousse sur mon cul et s'enfonce dedans.
Merci Sasha pour la prĂ©paration sinon il m'aurait fendu en deux. En attendant il ne s'arrĂȘte qu'avec ses couilles collĂ©es aux miennes, incapable d'en rentrer plus. Moi ça me coupe le souffle. Je sens son gros gland en moi c'est impressionnant comme sensation. Il pousse mes boyaux. Je le laisse un moment me limer la rondelle dans cette position puis me dis qu'il doit en vouloir plus d'un gymnaste. C'est pour ça qu'il s'Ă©tait battu avec l'autre mec pour m'avoir. Je bascule le buste sur le cĂŽtĂ© et gardant mes jambes bien Ă l'Ă©querre, je me retrouve sur le dos, mes chevilles sur ses Ă©paules. Lentement je contracte mes abdos (ce qui fait que je sens encore plus sa grosse bite en moi), pose mes mains derriĂšre son cou et me colle Ă lui (enfin Ă mes jambes surtout). Je tends alors les bras vers la traverse du baldaquin et m'accroche Ă elle. LĂ , j'utilise la force de mes bras pour monter et descendre sur sa bite. Ăa le fait car il cesse de me soutenir les fesses et ses mains caressent mes biceps qui gonflent sous l'effort.
Il me dĂ©croche de la barre et me pose dos sur le lit. Son corps recouvre le mien et Ă part mes Ă©paules qui dĂ©passent sur le cĂŽtĂ©, je dois disparaitre sous son corps. Sa bite elle est bien restĂ©e tout le temps dans mon cul. Puis il attrape des menottes Ă chaque pilier de coin et je me retrouve enchaĂźnĂ© façon Ă©cartĂšlement comme on en voit dans les fils d'Ă©poque. Ce qui me surprend c'est quand il actionne un mĂ©canisme qui tends les chaines puis qui me soulĂšve. Ma ceinture abdominale est sollicitĂ©e un max pour pouvoir rester Ă l'horizontal. AbsorbĂ© par ce qu'il me faisait, je n'avais pas notĂ© que je bandais ferme moi aussi. C'est quand il s'est mis Ă me sucer la bite que je me suis rappelĂ© que j'avais aussi un engin de plaisir devant. Quand il sent que les abdos fatiguent (tremblements importants), il actionne Ă nouveau son truc et les chaines se rejoignent sur les cĂŽtĂ©s me pliant en 2 mais bras et jambes Ă©cartĂ©s. LĂ il se remet Ă m'enculer non sans avoir remis une couche de gel. Il ne s'arrĂȘtera plus avant d'avoir juter des litres dans sa kpote. Il m'a fait jouir quelques minutes avant, ça doit ĂȘtre les spasmes de ma rondelle qui ont raison de sa rĂ©sistance.
Il me décroche et je tombe sur le lit un peu scié par ce qu'il vient de m'infliger. J'étale mon sperme sur mon torse pour pas qu'il coule sur le lit et reprend mon souffle. Le client se dékpote et me montre le résultat de ma prestation. Quand je dis des litres j'exagÚre mais la quantité qu'il y a, j'avais encore jamais vu ça. Il la jette et me rejoint sur le lit. Il passe son bras sous mon cou, se mets sur le cÎté et sa main libre vient parcourir mon corps. Elle suit les contours de mes muscles. Il ramasse avec ses doigts mon sperme éparpillé et l'apporte à ma bouche. J'hésite mais aprÚs tout c'est le mien et je lui lÚche les doigts. Putain que ça doit faire " salope " !
Je bascule sur lui, le repoussant sur le dos et comme un jeune chiot sur un adulte, je cale ma tĂȘte en haut de son pec et ma bite trouve place sur son nombril. Il me laisse un moment comme ça. On rĂ©cupĂšre doucement Ă la limite de s'endormir. C'est le cas mĂȘme puisque je me rĂ©veille quand il me plonge dans sa baignoire. Un machin immense oĂč il peut se mettre avec moi. Je me laisse faire. Il me lave, c'est bon mĂȘme si c'est un peu infantilisant. Quand je veux faire pareil, il m'en empĂȘche et je ne fais que le regarder. SĂ©chages, retour dans la chambre. Je ramasse les restes de ma tenue de sport et j'ai dĂ» faire une tĂȘte bizarre puisqu'il me dit de ne pas m'en faire. Il en a de bonne ! C'est pas lui qui va devoir en acheter une nouvelle tenue complĂšte. Il me laisse seul alors que je me dis que je vais avoir un peu froid Ă poil (que je n'ai pas) dans mes cuirs, les seules choses rĂ©cupĂ©rables Ă©taient mes chaussettes. Et vue l'heure avancĂ©e de la nuit, ça va cailler ! Il revient avec un grand sac et me dit que c'est pour moi. Je suis surpris mais j'ouvre. Plein de tissus synthĂ©tiques, je tire dessus et je sors une bonne demi-douzaine de lĂ©otards, pareil de sokol et mĂȘme de short. Il Ă©clate de rire et me dit que je n'avais quand mĂȘme pas cru qu'il allait dĂ©truire mes vĂȘtements sans les remplacer quand mĂȘme !
Je suis gĂȘnĂ© c'est exactement ce que j'avais pensĂ©. Je les regarde tous. C'est la marque de l'Ă©quipe de France. Il me dit de les essayer. Je tombe mon pantalon en cuir et passe les vĂȘtements. Ils sont tous Ă ma taille et les imprimĂ©s qu'il a choisis pour les lĂ©otards sont top. Quand je me retourne pour le questionner, il me devance et me dit qu'il avait eu mes tailles par Sasha. Je suis trop content, je commençais Ă ĂȘtre juste question Ă©quipements. Dans le fond du sac je trouve encore plusieurs paires de maniques avec attaches diffĂ©rentes. Je ne sais comment le remercier. Je me colle Ă lui, tends mes lĂšvres pour une pelle bien sentie et commence Ă me frotter contre son sexe. Il me repousse et me dit que j'en ai dĂ©jĂ fait bien assez pour cette fois. C'est vrai que ça va faire 6h qu'on est ensemble. J'ai dĂ» oublier de dĂ©crire quelques positions Oups !
Je me choisis l'ensemble que je kiffe le plus avant de remettre mes cuirs. Il me tend une sacoche dans lequel il a mis les autres vĂȘtements. Je ne dis plus rien et accepte ce nouveau cadeau. En plus en cuir, c'est raccord avec le reste. Il s'habille et m'accompagne jusqu'au portail. Je rentre directe au blockhaus. Sasha m'a rĂ©servĂ© une chambre au premier et il veut me voir dans quelques heures puisque le matin est dĂ©jĂ lĂ !
Je trouve un mot sur la porte du bureau de Sasha avec mon nom dessus. Il me dit juste de dormir tout ce que je veux ce matin (samedi) et de monter au 4Úme pour le petit déjeuner.
Trop content de mon cadeau, je m'endors dedans.
Jardinier
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
âą Ăviter un maximum d'utiliser des polices avec des empĂątement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
⹠Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et aprĂšs. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
⹠l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point mĂ©dian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel prĂ©fĂšre le âą, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'Ă©criture inclusive Ă©tait vraiment inclusive pour un max de gens).
âą Essayez d'ĂȘtre assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que EugÚne mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
⹠Si on répond a cÎté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
âą Ăcrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'Ă©nergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, mĂȘme avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
âą Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut ĂȘtre... ExtrĂȘmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et mĂȘme avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Ăcrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcĂ©ment envie d'avoir un court de français, mĂȘme si de base le geste Ă©tait bienveillant.
âą Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux Ă faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prĂ©venir en cas de problĂšme. Et a vous, les autres, d'ĂȘtre cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre Ă©criture n'est pas parfaite que vous Ă©crivez mal. Nous ne sommes pas bĂȘte, pas fainĂ©ants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal Ă©crire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colÚre en ce moment.
La bise ! â„
#dyslexic#dys en tout genre#dysorthographic#forum rpg#rpg#rpg francophone#Bisounours time#jé fé dé fote mé c pa grav
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«Que fais-tu grand-mÚre, assise là , dehors, toute seule ?
-Eh bien, vois-tu, jâapprends...
Jâapprends le petit, le minuscule, lâinfini.
Jâapprends les os qui craquent, le regard qui se dĂ©tourne.
Jâapprends Ă ĂȘtre transparente, Ă regarder au lieu dâĂȘtre regardĂ©e.
Jâapprends le goĂ»t de lâinstant, quand mes mains tremblent, la prĂ©cipitation du cĆur qui bat trop vite.
Jâapprends Ă marcher doucement, Ă bouger dans des limites, plus Ă©troites quâavant et Ă y trouver, en espace plus vaste que le ciel.
-Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mĂšre ?
-Jâapprends avec les arbres, et avec les oiseaux,
Jâapprends avec les nuages.
Jâapprends Ă rester en place, et Ă vivre dans le silence.
Jâapprends Ă garder les yeux ouverts, et Ă Ă©couter le vent.
Jâapprends la patience et aussi lâennui.
Jâapprends que la tristesse du cĆur, est un nuage, et nuage aussi le plaisir .
Jâapprends Ă passer sans laisser de traces, Ă perdre sans retenir, et Ă recommencer sans me lasser.
-Grand-mÚre, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ?
-Parce quâil me faut apprendre, Ă regarder les os de mon visage, et les veines de mes mains, Ă accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits, et le goĂ»t prĂ©cieux de chaque journĂ©e, parce quâavec lâĂ©lan de la vague, et le long retrait des marĂ©es.
Jâapprends Ă voir du bout des doigts, et Ă Ă©couter avec les yeux.
Jâapprends quâil faut aimer, que le bonheur des autres, est notre propre bonheur, que leurs yeux reflĂštent dans nos yeux, et leurs cĆurs dans nos cĆurs.
Jâapprends quâon avance mieux, en se donnant la main, que mĂȘme un corps immobile danse, quand le cĆur est tranquille.
Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement lĂ .
-Et avec tout ça, pour finir, quâapprends-tu donc grand-mĂšre ? »
Jâapprends, dit la grand-mĂšre Ă lâenfant,
J'apprends Ă ĂȘtre vieille ! »
[ Joshin Luce Bachoux ]
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ăa commence le matin par le premier regard que lâon se donne, le premier sourire, la premiĂšre caresse et le premier bonjour...
Faire lâamour, câest dâapporter le petit dĂ©jeuner au lit ou simplement un cafĂ©, un jus de fruits accompagnĂ© dâune petite chanson dâamour ou de mots tendres rĂ©citĂ©s avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Câest lancer Ă lâautre dans la glace un clin dâĆil complice lorsquâil fait sa toilette, câest aussi lâembrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire lâamour, câest demander Ă lâautre quelle nuit il a passĂ© et Ă©couter attentivement sa rĂ©ponse. Câest prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant dâentreprendre la journĂ©e de travail.
Câest accompagner lâĂȘtre cher Ă la porte au moment oĂč il se prĂ©pare Ă partir; câest de lui souhaiter une bonne journĂ©e; câest de sâinstaller Ă la fenĂȘtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire lâamour, câest de se tĂ©lĂ©phoner pour un rien, juste pour se dire que lâon sâaime ou prendre des nouvelles; câest de se faire des surprises sans rien attendre en Ă©change.
Câest prendre lâautre dans ses bras chaque fois que câest possible, juste pour sentir la chaleur de lâĂȘtre aimĂ©, rĂ©tablir le contact et se donner de lâaffection.
Faire lâamour, câest parfois dâaccorder Ă lâautre la libertĂ© de vivre pour lui-mĂȘme, sans attachement excessif, en lui laissant sentir quâon lâaime toujours mĂȘme si nos corps sont loin lâun de lâautre; câest dâĂȘtre assurĂ© que nos Ăąmes se moquent des distances et sont tendrement enlacĂ©es en toute situation, quelque soit le nombre de kilomĂštres qui nous sĂ©parent.
Cela peut aussi se rĂ©sumer en une pensĂ©e lancĂ©e vers lâautre, les yeux fermĂ©es, pendant un instant.
Faire lâamour, câest de sâaccueillir et de sâĂ©treindre au retour Ă la maison, câest de sâinformer de ce que lâautre a vĂ©cu durant la journĂ©e, câest Ă©galement le petit verre de vin que lâon prend le temps de dĂ©guster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goĂ»tant tout simplement la sagesse du silence.
Câest mĂȘme dâĂ©couter le tĂ©lĂ©, serrĂ©s lâun contre lâautre, câest de rire ou de sâĂ©mouvoir ensemble, câest de vivre Ă deux et nourrir cette complicitĂ© de nâimporte quelle façon.
Enfin, faire lâamour, câest aussi « faire lâamour », mais ce nâest pas que ça ! Câest une partie dâun tout indispensable⊠tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
Jâai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je dĂ©sire le repas au complet et surtout que le dessert, nâest pas indispensable Ă la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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"J'ai du savon qui lave Les pĂ©chĂ©s capitaux Un stylo-bille qui grave Le goĂ»t d'un apĂ©ro Un soutien-gorge Ă piles Qui n' s'allume qu'aux beaux yeux Un dentifrice habile Ă blanchir les aveux Un buvard facĂ©tieux Qui sĂšche les chagrins Un Ćil pour lire Ă deux Quand le jour s'est Ă©teint Un violon capital VoilĂ© de Chambertin A faire sonner le mal Plus fort que le tocsin Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La PoĂ©sie On t'ouvrira MĂȘme si elle n'est pas lĂ D'ailleurs, elle n'est pas lĂ Mais dans la tĂȘte d'un fou Ou bien chez des voyous HabillĂ©s de chagrin Qui vont par les chemins Chercher leur bonne amie La PoĂ©sie
J'ai des bas pour boiteuse à faire boiter l'ennui Et des parfums de gueuse à remplir tout Paris Des pendules à marquer Le temps d'un beau silence Des lassos à lacer Les garces de la chance Des machines à souffler Le vert de l'espérance Et des vignes à chanter Les messes de la démence Des oiseaux-transistors Qui chantent sur la neige Garantis plaqués-or Plaqués par le solfÚge
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La PoĂ©sie On t'ouvrira MĂȘme si elle n'est pas lĂ D'ailleurs, elle n'est pas lĂ Mais dans la tĂȘte d'un fou Qui s' prend pour un hibou Ă regarder la nuit HabillĂ©e de souris Comme sa bonne amie La PoĂ©sie
J'ai du cirage blond Quand les blĂ©s vont blĂȘmir De la glace Ă façon Pour glacer les soupirs Des lĂšvres pour baiser Les aubes dĂ©vĂȘtues Quand le givre est passĂ© Avec ses doigts pointus J'ai tant d'azur dans l'Ăąme Qu'on n'y voit que du bleu Quand le rouge m'enflamme C'est moi qui suis le feu J'ai la blancheur du cygne Ă blanchir tout Saint-Cyr Et sur un de mes signes On meurt pour le plaisir
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La PoĂ©sie On t'ouvrira Des fois qu'elle serait lĂ Elle te recevrait mĂȘme pas Elle n'est lĂ pour personne Elle n'aime pas qu'on la sonne C'est pas une domestique Elle sait bouffer des briques Mais quand elle veut, elle crie La PoĂ©sie !"
Léo Ferré
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Ma nuit est comme un grand cĆur qui bat.
Il est trois heures trente du matin.
Ma nuit est sans lune.
Ma nuit a de grands yeux qui regardent fixement une lumiĂšre grise filtrer par les fenĂȘtres.
Ma nuit pleure et lâoreiller devient humide et froid.
Ma nuit est longue et longue et longue et semble toujours sâĂ©tirer vers une fin incertaine.
Ma nuit me précipite dans ton absence.
Je te cherche, je cherche ton corps immense à cÎté de moi, ton souffle, ton odeur.
Ma nuit me répond : vide ; ma nuit me donne froid et solitude.
Je cherche un point de contact : ta peau. OĂč es-tu ? OĂč es-tu ?
Je me tourne dans tous les sens, lâoreiller humide, ma joue sây colle, mes cheveux mouillĂ©s contre mes tempes.
Ce nâest pas possible que tu ne sois pas lĂ .
Ma tĂȘte erre, mes pensĂ©es vont, viennent et sâĂ©crasent, mon corps ne peut pas comprendre.
Mon corps te voudrait.
Mon corps, cet alĂ©a mutilĂ©, voudrait un moment sâoublier dans ta chaleur, mon corps appelle quelques heures de sĂ©rĂ©nitĂ©.
Ma nuit est un cĆur en serpilliĂšre.
Ma nuit sait que jâaimerais te regarder, chaque courbe de ton corps, reconnaĂźtre ton visage et le caresser.
Ma nuit mâĂ©touffe du manque de toi.
Ma nuit palpite dâamour, celui que jâessaie dâendiguer mais qui palpite dans la pĂ©nombre, dans chacune de mes fibres.
Ma nuit voudrait bien tâappeler mais elle nâa pas de voix.
Elle voudrait tâappeler pourtant et te trouver et se serrer contre toi un moment et oublier ce temps qui massacre.
Mon corps ne peut pas comprendre.
Il a autant besoin de toi que moi, peut-ĂȘtre quâaprĂšs tout lui et moi ne formons quâun.
Mon corps a besoin de toi, souvent tu mâas presque guĂ©rie.
Ma nuit se creuse jusquâĂ ne plus sentir la chair et le sentiment devient plus fort, plus aigu, dĂ©nuĂ© de la substance matĂ©rielle.
Ma nuit me brĂ»le dâamour.
Il est quatre heures du matin.
Ma nuit mâĂ©puise.
Elle sait bien que tu me manques et toute son obscurité ne suffit pas pour cacher cette évidence.
Cette Ă©vidence brille comme une lame dans le noir.
Ma nuit voudrait avoir des ailes qui voleraient jusquâĂ toi, tâenvelopperaient dans ton sommeil et te ramĂšneraient Ă moi.
Dans ton sommeil, tu me sentirais prĂšs de toi et tes bras mâenlaceraient sans que tu te rĂ©veilles.
Ma nuit ne porte pas conseil.
Ma nuit pense Ă toi, rĂȘve Ă©veillĂ©.
Ma nuit sâattriste et sâĂ©gare.
Ma nuit accentue ma solitude, toutes mes solitudes.
Son silence nâentend que mes voix intĂ©rieures.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Ma nuit aurait peur que le jour nâapparaisse jamais plus mais Ă la fois ma nuit craint son apparition, parce que le jour est un jour artificiel oĂč chaque heure compte double et sans toi nâest plus vraiment vĂ©cue.
Ma nuit se demande si mon jour ne ressemble pas Ă ma nuit. Ce qui expliquerait pourquoi je redoute le jour aussi.
Ma nuit a envie de mâhabiller et de me pousser dehors pour aller cherche mon homme.
Mais ma nuit sait que ce que lâon nomme folie, de tout ordre, sĂšme-dĂ©sordre, est interdit.
Ma nuit se demande ce qui nâest pas interdit.
Il nâest pas interdit de faire corps avec elle, ça, elle le sait. Mais elle sâoffusque de voir une chair faire corps avec elle au fil de la dĂ©sespĂ©rance. Une chair nâest pas faite pour Ă©pouser le nĂ©ant.
Ma nuit tâaime de toute sa profondeur, et de ma profondeur elle rĂ©sonne aussi.
Ma nuit se nourrit dâĂ©chos imaginaires. Elle, elle le peut. Moi. jâĂ©choue.
Ma nuit mâobserve. Son regard est lisse et se coule dans chaque chose.
Ma nuit voudrait que tu sois lĂ pour se couler en toi aussi avec tendresse.
Ma nuit tâespĂšre. Mon corps tâattend.
Ma nuit voudrait que tu reposes au creux de mon Ă©paule et que je me repose au creux de la tienne.
Ma nuit voudrait ĂȘtre voyeur de ta jouissance et de la mienne, te voir et me voir trembler de plaisir.
Ma nuit voudrait voir nos regards et avoir nos regards chargés de désir.
Ma nuit voudrait tenir entre ses mains chaque spasme.
Ma nuit se ferait douce.
Ma nuit gémit en silence sa solitude au souvenir de toi.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Elle perd la tĂȘte mais ne peut Ă©loigner ton image de moi, ne peut engloutir mon dĂ©sir.
Elle se meurt de ne pas te savoir lĂ et me tue.
Ma nuit te cherche sans cesse.
Mon corps ne parvient pas à concevoir que quelques rues ou une quelconque géographie nous séparent.
Mon corps devient flou de douleur de ne pouvoir reconnaĂźtre au milieu de ma nuit ta silhouette ou ton ombre.
Mon corps voudrait tâembrasser dans ton sommeil.
Mon corps voudrait en pleine nuit dormir et dans ces tĂ©nĂšbres ĂȘtre rĂ©veillĂ© parce que tu lâembrasserais.
Ma nuit ne connaĂźt pas de rĂȘve plus beau que celui-lĂ .
Ma nuit hurle et déchire ses voiles, ma nuit se cogne à son propre silence, mais ton corps reste introuvable. Tu me manques tant. Et tes mots. Et ta couleur.
Le jour va bientĂŽt se lever.
- Frida Kahlo, Lettre Ă Diego Rivera (12 septembre 1939)
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Lâespoir reviendra toujours. Tu peux te jurer que tu nây touchera plus, que lâamour ça ne tâas pas plus. Que rien ne vaut ces maux, que ça tâas brisĂ©, mis en mille morceaux. Lâamour est partout. Il sâinfiltre, innocemment, tu souris et ça vient presque naturellement. Câest pas des sentiments, câest bien plus simple, plus tendrement. Câest une personne qui par son naturel te redonne foi en lâhumanitĂ©. Yâa beaucoup dâĂąmes Ă©corchĂ©es, mais la sienne parvient encore Ă briller. Elle illumine la tienne, mĂȘme contre son grĂ©. Elle parseme des jolis souvenirs, qui quand ça va mal te rappelle que tout nâest pas jouĂ©. Il suffit dâune personne, dâune prĂ©sence enjouĂ©e, dâun sourire Ă©changĂ©, dâun regard en toute simplicitĂ©. Les gens sont mauvais mais lui y a Ă©chappĂ©. Lâamour, il le donne, sans contrepartie, sans compromis, juste comme ça, il sâen dĂ©laisse, tâen donne un peu, par pur gentillesse. Il le rend acceptable, toi qui lâa rendu condamnable, discutable, plus que minable, cet amour te gagne. Il lâenveloppe dâhumour, dâamitiĂ©, de bravoure, dâun peu de compĂ©titivitĂ©. Câest un second souffle. Toi tu ne savait pas, que lâamour pouvait ĂȘtre simplement partagĂ©. Que ce nâĂ©tait pas donnĂ© sans retour, pas se briser en dernier recours. Ce nâest pas se dĂ©tester pour mieux donner. Devenir faible pour rendre lâautre fort. Câest simplement Ă©changer, une connexion sans efforts. Un lien qui nâa rien Ă voir avec les plaisirs du corps. Câest simplement deux Ăąmes qui font un bout de chemin, qui sâalimentent rĂ©ciproquement parce que pourquoi pas finalement. Lâamour doit ĂȘtre simple. Discret. Un petit geste qui fait sourire, une phrase qui fait doucement rire. Mais des yeux qui eux ne savent pas mentir.
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L'acteur américain "Clint Eastwood", ùgé de 94 ans, a récemment prononcé un discours émouvant. "Vieillir, c'est terrifiant, n'est-ce pas ? Vous voyez tout cela de vos propres yeux. Les os ne bougent plus avec souplesse, la lumiÚre fatigue vos yeux et vos poumons saisissent l'occasion de se reposer aprÚs avoir cherché désespérément un souffle... Mais ce qui est encore plus terrifiant et épuisant, c'est d'atteindre l'ùge de quatre-vingt-dix ans sans avoir personne parmi ceux que vous aimez prÚs de vous pour écouter avec exaspération les histoires de votre passé rempli de prouesses imaginaires, tout en sachant qu'ils ne sont pas vraiment intéressés, mais en prenant plaisir, en tant que grand-pÚre, à transmettre ce que vous jugez approprié à vos petits-enfants.
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DĂ©sir....
Ce que je vous propose de vivre auprÚs de moi est autre chose. Vous devez tout d'abord faire le vide, oublier un instant, vous débarrasser de vos sensations, de vos jouissances passées, et venir à moi neuf, nu de ces plaisirs que vous avez ressentis avec une autre.
Je veux faire appel à votre esprit, votre réflexion, et votre imagination.
Je veux avoir la jouissance et vous l'offrir, mais, comme je la veux sans trouble, je veux la possĂ©der et ĂȘtre possĂ©dĂ©e.
Je veux que nous profitions de la vie et de tous ses biens comme un bon repas, en y prenant plaisir, mais prĂȘts aussi Ă en sortir sans trop de regrets.
Je ne pense ni au passé ni à l'avenir, je ne songe qu'au présent. Je veux que nous soyons maßtres de nos plaisirs, nous pourrons à volonté ou le poursuivre jusqu'au bout ou le refuser pour un meilleur.
C'est cela que je veux vivre avec vous.
Vous en sentez-vous prĂšs ?
Je vous en prie, élevez-vous et mettez de coté ces désirs vus, connus, expérimentés...
Imaginez une autre femme...
Non pas un autre corps, car celui-là , il existe, et il ne se change pas. Mais une autre substance, d'autres mouvements, voluptés, d'autres envies, fantasmes, d'autres folies, extravagances...
tout cela dans une mĂȘme enveloppe...
Je ne vous transporte pas vers un leurre, une autre. Non, je veux vous emmener visiter une Inconnue, un double, mĂȘme bouche, mais des mots diffĂ©rents, mĂȘme yeux, mais un regard diffĂ©rent, mĂȘme corps, mais une sensualitĂ© diffĂ©rente, mĂȘme esprit, mais rĂ©flexions diffĂ©rentes....
Ne vous transposez pas dans le vécu, mais dans le nouveau, l'imaginaire, d'autres sphÚres, d'autres limbes...
Voulez-vous venir Ă moi ?
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