#pour le plaisir des yeux
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The Great Review en télétravail au ZEVENT
#thegreatreview#augustin heliot#french side of tumblr#zevent#pour le plaisir des yeux#je vais faire une pétition pour que vous ayez tous coller vos putains de yeux sur la chaine de ce petit être humain adorable au possible#bon un peu edgy aussi#mais il est pipou avant tout
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Je fête mes 4 ans sur Tumblr 🥳
#4 year tumblrversary#tumblr milestone#4 ans de joie plein de belles choses beaucoup de blogs pour le plaisir des yeux merci 😘
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A Closer Look at Belle's Book: Part II
In Part I, I went into some detail about the illustration inside Belle's book, but now I want to turn the page, so to speak.
Thanks to the magic of 4K, I was able to zoom in on some details in Beauty and the Beast that I had never noticed before, and this time I wanted to see what story Belle was reading. I've seen theories that it was either foreshadowing Aladdin or referencing Sleeping Beauty, and I myself noticed that it bears some artistic resemblance to Snow White... but it turns out that it has nothing to do with Disney, or its fairy tales.
It's something else entirely, and it's in French!
After zooming in and studying each frame, I managed to make out the following text:
une languissante sirene! Enfin, il sera bientôt heureux, si c'est là ce qui doit causer son bonheur. Je sais que je suis agréable à regarder, puisque j'y ai du plaisir moi-même, et de ce plaisir je ne priverai pas mon mari, au contraire. Je ne sais si je l'aimerai, je l'espère; mais je veux qu'il m'aime lui, et je ferai pour lui plaire tout ce qui lui plaira. Ah! chère Adélaïde, je suis pleine de rêves absurdes et de pensées contradictoires! Je songe à des choses qui me semblent à la fois douces et vilaines, et j'ai des imaginations qui me font rougir en même temps que pleurer! Au moins, je ne m'ennuie pas. Je vis plus en une heure de ces journées que l'an passé je ne vécus en toute l'année. Chaque heure me renouvelle, me grandit et m'épanouit. Je me semble un rosier qui fleur rirait à vue d’œil, je suis fraîche et parfumée; je suis légère et forte: j'attends le bonheur. Paul est plus beau que je ne l'avais encore jamais tu. Il est pâle avec de grands yeux pleins de fièvre et d'amour. Je le trouve sublime quand il s'agenouille près de moi pour me regarder comme en prière. J'ai envie de le prière aussi, parfois, et de coucher ma joue sur ses genoux, mais quand j'ai cette envie-la, je me fâché contre moi-meme et je boude Paul.
Which, roughly translated into English, means:
a languid siren! Finally, he will soon be happy, if that is what will make him happy. I know that I am pleasant to look at, since I take pleasure in it myself, and of this pleasure I will not deprive my husband, on the contrary. I do not know if I will love him, I hope so; but I want him to love me, and I will do whatever he pleases to please him. Ah! dear Adelaide, I am full of absurd dreams and contradictory thoughts! I think of things that seem to me both sweet and ugly, and I have fantasies that make me blush and cry at the same time! At least, I am not bored. I live more in one hour of these days than I lived in the whole year last year. Each hour renews me, makes me grow and blossom. I seem to myself a rosebush that blooms laughing before my eyes, I am fresh and fragrant; I am light and strong: I await happiness. Paul is more handsome than I have ever seen him before. He is pale with big eyes full of fever and love. I find him sublime when he kneels down next to me to look at me as if in prayer. I want to pray to him too, sometimes, and to lay my cheek on his knees, but when I have this desire, I get angry with myself and I sulk at Paul.
By the way, there is one more sentence (maybe even two) at the bottom of the page that is partially obscured by Belle's shoulder and right hand. It may or may not be important to the rest of the excerpt, but for completion's sake, I'll share it here:
Il est ... maintenir un homme dans les ...
Which translates to:
He is ... to keep a man in the ...
Intriguing, isn't it? What was she trying to say?
Overall, the author appears to be an unwed woman dreaming of her future marriage to a man named Paul. Her confidante is someone named Adelaide, but I suspect she is actually writing to herself. Regardless, she is either betrothed to Paul or she longs to be, since she calls him her husband. Perhaps it is an arranged marriage? She goes on to dwell upon his handsomeness, and how she longs to be close to him, but then she gets angry at herself for feeling this way. The last line of the passage is incomplete, but my best guess is that the author is saying that Paul is not to blame for her sulking, so it is not right to keep a man in the dark, i.e. ignorant. I could be wrong, though. In any case, she is conflicted about her feelings on the matter. You could even say that her feelings are "new, and a bit alarming".
I can see why the filmmakers chose this passage for Belle's book.
It may not be a fairy tale, but it certainly has elements from the film. There are references to beauty, roses, imagination, and eyes filled with love, and passion.
Belle:
"Oh, isn't this amazing? It's my favorite part because—you’ll see Here's where she meets Prince Charming But she won't discover that it's him 'til Chapter Three!"
Do the lyrics match the story hinted at on the page itself? No, but I really respect the filmmakers for going out of their way to include this kind of detail in the film. They could have taken the easy way out, by writing out something like "Once upon a time" to echo the opening narration, or used "Lorem ipsem" Latin filler, or even meaningless brush strokes just to fill the page... but they didn't. They chose something in French that Belle herself might have liked to read. And I think that's really cool.
#belle's book#disney belle#blink and you miss it#blink and you miss it batb#disney beauty and the beast#beauty and the beast#batb 1991#disney batb#disney art#disney closeup#disney gifs#disney belle pink dress#new and a bit alarming
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Retrospective 2024
J'ai vu ce tag quelque part, et je me suis prêté au jeu pour me rappeler un peu ce que j'ai pu faire cette année par ici.
En 2024, j'ai visiblement aimé : les gros plans sur les yeux, les duplications de photos, jouer avec le hors-champ et les formes géométriques, les effets de lumière, 2 nuances par avatar mdr et composer avec des typographies.
(et avoir des gros pics de création d'avatars et puis 4 mois sans rien).
Merci pour votre suivi et vos différents likes et commentaires, ça fait toujours plaisir ❤️
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"De leurs griffes à tes bras"
Résumé : Alex, brisée par des relations abusives, tente de fuir après une nuit avec Spencer. Il la retient, patient et aimant, tandis qu’elle affronte les souvenirs d’un passé marqué par la soumission et la douleur. Peu à peu, il lui montre qu’elle mérite mieux.
Avertissements :Thèmes de traumatismes passés, relations toxiques, consentement, et reconstruction émotionnelle.
--- La chambre était plongée dans une douce pénombre, seulement troublée par la lueur vacillante des bougies.
Alex se redressa lentement, laissant glisser ses jambes hors du lit. Elle tira le drap autour d’elle, son esprit en proie à des pensées confuses.
Elle connaissait ce schéma par cœur : la passion, suivie de la distance, puis le départ inévitable. Pourtant, cette fois, alors qu’elle s’apprêtait à quitter la pièce, une voix douce, empreinte de chaleur, l’arrêta.
« Alex. » Elle se figea, ses épaules se crispant légèrement. Spencer était éveillé, ses yeux reflétant une tendresse teintée d’inquiétude.
« Tu vas où ? » demanda-t-il doucement en s’asseyant dans le lit, la couverture glissant sur ses hanches. Elle détourna le regard, serrant un peu plus le drap autour d’elle.
« Je... Je pensais te laisser un peu de temps. » Spencer tendit une main vers elle, son ton calme mais insistant. « Du temps pour quoi ? »
Alex hésita.
« Pour partir », murmura-t-elle, évitant son regard. Il attrapa délicatement son poignet, l’attirant doucement vers lui. « Je ne vais nulle part, » souffla-t-il, ses yeux cherchant les siens.
Elle resta immobile un instant, tentée de reculer, de fuir comme elle l’avait toujours fait. Mais il ne la laissa pas s’échapper, l’entourant de ses bras d’une étreinte rassurante.
Elle pouvait sentir la chaleur de son corps, la sincérité dans chacun de ses gestes. « Pourquoi es-tu encore là ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Spencer posa une main sur sa joue, son regard ne vacillant pas. « Parce qu’après ce qu’on vient de vivre, je veux être là. Pas seulement pour le plaisir, mais pour ce que nous sommes ensemble. »
Ces mots déclenchèrent en elle un flot d’émotions qu’elle ne pouvait plus contenir. Des souvenirs qu’elle avait si longtemps enfouis refirent surface.
--- **Flashback :**
Elle était assise sur le siège passager d’une voiture luxueuse, le cuir froid contre sa peau. L’homme à côté d’elle lui adressait un sourire condescendant. « Tu es vraiment mignonne quand tu te tais, » avait-il dit en posant une main possessive sur sa cuisse. Elle avait voulu protester, mais les mots étaient restés coincés dans sa gorge. « Tu veux me faire plaisir, n’est-ce pas ? » Le regard insistant, les attentes implicites, la peur de décevoir... Elle s’était figée, obéissant sans réfléchir.
--- **Présent :**
« Je n’ai jamais eu de relations comme celle-ci, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Spencer fronça légèrement les sourcils. « Qu’est-ce que tu veux dire ? »
Elle inspira profondément. « Les hommes avec qui j’ai été... tout était toujours à leur manière, pour leur plaisir. Moi, je n’étais qu’un moyen pour eux. »
Spencer sentit une colère sourde monter en lui, mais il la ravala, serrant doucement la main d’Alex dans la sienne.
« Tu n’étais pas un moyen, Alex. Tu es bien plus que ce qu’ils t’ont laissé croire. » Elle baissa les yeux, submergée par un mélange de honte et de soulagement.
--- **Flashback :**
Une chambre d’hôtel impersonnelle, la lumière tamisée. Elle était allongée, fixant le plafond, son cœur battant trop vite. L’homme au-dessus d’elle ne cherchait ni à comprendre ni à demander. « Ce sera vite fait, » avait-il murmuré avant de se pencher sur elle. Elle avait fermé les yeux, attendant que ça passe, s’efforçant d’effacer chaque sensation.
--- **Présent :**
Alex frissonna malgré la chaleur environnante. « Je pensais que c’était normal. Qu’on devait toujours dire oui. »
Spencer posa une main rassurante sur sa joue. « Ce n’est pas normal, et tu ne dois jamais te sentir obligée.
Tu comptes, toi, avant tout le reste. » Elle hocha la tête, les larmes perlant au coin de ses yeux. « Je sais… mais les souvenirs restent là. »
Spencer l’attira doucement contre lui. « Tu n’es plus seule. Et tu n’auras plus jamais à affronter ça seule. »
--- **Flashback :**
Le claquement sec d’une ceinture qu’on retire. Le bruit du cuir tombant sur le sol. Elle, assise au bord du lit, incapable de bouger. ---
Un sanglot lui échappa, et Spencer l’enveloppa dans ses bras, murmurant des paroles apaisantes.
« C’est fini, tu es avec moi. Ici et maintenant. » Peu à peu, ses tremblements s’apaisèrent, et elle releva lentement la tête vers lui.
« Pourquoi es-tu différent ? » demanda-t-elle, sa voix emplie de vulnérabilité. Spencer sourit doucement, caressant sa joue.
« Parce que je tiens à toi, et je veux que tu comprennes que tu mérites le respect et l’amour. »
Il l’embrassa avec une douceur infinie, et elle sentit son cœur s’ouvrir un peu plus à la possibilité d’un avenir différent.
--- Plus tard, lorsqu’ils étaient allongés dans le silence, Alex traça des cercles sur la peau de Spencer du bout des doigts.
« J’ai peur, » avoua-t-elle doucement. Il serra sa main.
« Je sais. Mais on prendra notre temps. Je suis là, et je ne vais nulle part. » Un léger sourire apparut sur ses lèvres. « Merci... pour tout. »
Spencer l’embrassa sur le front, puis sur les lèvres, mais cette fois, il n’y avait ni précipitation ni besoin d’aller plus loin.
Il y avait juste eux, et la promesse d’un lendemain sans ombres. Dans la chaleur de ses bras, Alex sentit que, peut-être, elle pourrait enfin se reconstruire.
#bibliothèquedesriders#criminal minds#dom spencer reid#dr spencer reid#fandom des esprits criminels#fanfic de spencer reid#fanfiction de spencer reid#fanfiction esprits criminels#mg
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
⚠︎ warnings : caractères sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insécurités, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
Global
l'odeur est très importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crème pour visage, et il fait toujours la tête pendant plusieurs jours à cause de ça.
dans le même thème, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est très jaloux, même s'il ne le montre pas forcément. Il est plutôt du genre à tout intérioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'à ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te défendre par toi-même, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de même, à la maison lorsque tu as un projet en tête, comme un meuble à monter ou un mur à repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la même pièce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier à te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mémoire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est même lui qui te rappelle ta soirée jeu de société avec Ororo ou même tes rendez-vous médicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mémoire, il retient juste ce qui est important à ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le câliner sur le côté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va très bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes énormément en fait et il se souvient de tous, même les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que très peu car ils veulent dire beaucoup à vos yeux. Même si bien sûr, "bub" est celui qu'il a le plus utilisé depuis votre toute première rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi énormément avec “son instinct” comme tu aimes l’appeler. Bien sûr il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problème de santé, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu réfléchis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il s’en fout. Que tu pètes ou rotes ? Il s’en fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu étais malade sur une longue période et la douleur était tellement puissante que tu n’avais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il s’en foutait totalement, tout ce qui importait était que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement à l’aise avec ce genre de sujet, qu’il t’aide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu évites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumé ce qui vous permet d'être tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats à chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa priorité, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures à te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est à toi de le plaquer contre le matelas et de le déshabiller la plupart du temps, même s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, même si tu sais très bien reconnaître les signes.
FOR AFAB : il te répète tout le temps à quel point il aime la manière dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'à ce que ton précum dégoulines sur toute ta longueur, et de même, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accélérer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hésitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour éloigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrôler et que ses griffes sortent.
de même, lorsqu'il a un sommeil agité, il se forcera à rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a déjà passé une heure entière à juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est déjà tellement dur et fermé au quotidien, la chambre est le seul endroit où il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'était le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille époque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste être avec toi. Il a carrément de l'expérience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimé le faire en public ou le dirtytalk. Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est très à l'écoute, et parfois il préfère ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tête qui te préoccupe.
de la même manière, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprécies ce qu'il te fait, là où il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq sièges, le seul et unique où tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crème ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, même s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est même lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux juré avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-être qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'était de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son âge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-père aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent très fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achète de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, même si tu trouves ça dégoûtant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, même s'il évite de te faire goûter trop souvent de peur que tu te mettes à fumer à cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évènements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là, il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colère ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent à des kilomètres et il fait tout pour te faire te sentir à l'aise. Il a même été chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionné.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'équipe occupent une place importante dans son cœur, même s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là-bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est très gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sœur à tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlé de Jean, et honnêtement, au début tu n'aimais pas vraiment parlé d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'était juste une sorte de très très gros crush mais qu'il t'a rencontré et que maintenant rien ne t'égale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux échecs avec Charles, mais tu as préféré ne pas t'en mêler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxième famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la première fois que Logan t'a amené là-bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens là, viens dans mes bras darl'
SEXUALITÉ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet état huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
° x-men masterlist
gif : @/asgardswinter
bannière : @/saradika-graphics and @/thecutestgrotto
#logan howlett#wolverine#queer#ftm reader#logan howlett x ftmreader#logan howlett x reader#headcanon#wolverine x ftmreader#gn reader#wolverine x reader#logan howlett hc#xmen headcanon#logan howlett x you#wolverine x you#wolverine x gnreader#logan howlett x gnreader#x men#logan howlett!ew#ew!writings#gn!ew#ew!frenchversion
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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La liberté ou la mort, extrait
Robespierre jouait à lancer des branches à Brount avec Elisabeth, à quelques distances devant eux. Il courrait pour entraîner le molosse derrière lui, et jetait le bâton de toutes ses forces, ne se souciant pas de voir s'il risquait de tacher ses bas blancs de boue. Brount partait comme un fou avec ses grandes pattes désordonnées, la langue pendant sur le côté et la queue frétillante. Quand il revenait avec le morceau de bois, Elisabeth et Maximilien devaient s'escrimer à le lui récupérer et tiraient de toutes leurs forces pour le lui arracher de la gueule. Le jeu recommençait ensuite, pour la plus grande joie des trois participants.
Saint-Just marchait les bras croisés dans le dos, au rythme d'Eléonore.
-Eléonore, maintenant que nous sommes bons amis, puis-je me permettre une question?
La jeune fille lui sourit d'un air indulgent.
- Voyons la question.
Saint-Just se racla la gorge et fixa son regard sur la pointe de ses bottes.
- Eh bien... je ne comprends pas que tu ne sois pas amoureuse de lui.
Eléonore laissa échapper un petit rire. Elle ne paraissait pas particulièrement vexée ou embarrassée par cette question indiscrète.
-Et pourquoi cela ? demanda-t-elle.
Saint-Just redressa la tête et fit un geste de la main vague vers Brount qui s'était mis à aboyer joyeusement, et Elisabeth qui faisait semblant de jeter le bâton pour la troisième fois.
- Je ne sais pas, regarde le... Tout à l'heure il faisait un travail de géant pour la patrie, et maintenant il se contente d'une récompense si simple ! Jouer avec son chien, nourrir ses oiseaux, manger le potage de ta mère ce soir, lire quelques pages de Rousseau au coin du feu...
-... quelques oranges, une visite de son cher Saint-Just...
- Si nous parvenons à installer et à protéger notre république, il ne cherchera aucune récompense pour lui même. Il ne faudra pas davantage que ces quelques plaisirs que nous avons évoqués pour faire son bonheur. Quand on en vient à le connaitre, il est si doux, si sincère. Parfois, cela me noue le coeur quand j'y pense.
- Certainement, approuva Eléonore en venant prendre le bras d'Antoine, et c'est pour cela que mes parents le considèrent comme leur fils et moi comme mon frère. Le sang ne me le rendrait pas plus cher.
- Un frère, oui...Mais imagine le comme époux, ne serait-ce pas mieux encore ? La voix de Saint-Just s'était réduite à un murmure rêveur. Il est si loyal, si dévoué. Non vraiment, tu ne trouveras pas mieux que lui.
-Pour ce qui est du physique... commença Eléonore
- Du physique ! répéta-t-il, le cri qu'il ne réussit par à réprimer attirant un instant l'attention de Brount vers lui. Comment peux tu parler du physique face à une telle âme ! Et puis de toute façon la physionomie de Maximilien n'a rien de désagréable, regarde, il est petit certes, mais il a les mollets bien fait, une mine intelligente, des yeux verts, un joli nez...
- Tu ne trouves pas qu'il a un style un peu démodé?
- Maximilien s'en fiche des fariboles de la mode! Il prends soin de ses vêtement et il est toujours bien mis. On ne peut pas en dire autant des trois quarts des députés qui siègent à la Convention avec les cheveux gras et les bottes crottées. Son style est très respectable.
Eléonore se mit à rire de bon coeur devant l'air révolté de Saint-Just.
-Antoine... Si moi je ne suis pas amoureuse de lui, rien ne t'empêche de l'être, toi.
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J’étais debout devant vous et à votre regard je savais que je devais rester ainsi à attendre vos consignes. Un silence profond s’installait que vous faisiez durer, un étetnité ai-je pensé. Un discret rougissement s’est répandu sur mes joues que vous m’avez demandé de me déshabiller. Totalement avez-vous précisez. Vous affichiez un léger sourire en observant la maladresse avec laquelle je m’executais tout en vous nourrissant de ma vue. Alors que je vous regardaiss, les yeux profonds de désir.
Maintenant que tu es nu devant moi, avez-vous dit, je veux voir la façon dont tu te donnes du plaisir, comment tes doigts dansent sur ta peau, comment tu te caresses et entendre le son de ta respiration qui s’approfondit et dis-moi ce que ça fait de savoir que tu es à moi pour moi...
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Journal d'écriture : Janvier 2025
Voici un nouveau format de billet où je parle de mes projets d'écriture, de ce que j'ai appris et de ce qui me passe par la tête. Je pense en faire un (ou plus) par mois.
Le retour de la Muse
J'ai beaucoup de plaisir à constater mes progrès ! Je me sens mieux et surtout de nouveau moi-même (enfin, tout n'est pas encore réglé, mais voyons le positif). J'ai donc pu me remettre à écrire (et dessiner) régulièrement.
Mon roman
Le gros projet qui m'occupe en ce moment est mon roman : Zoé, dame du palais. Je souhaitais me remettre à écrire quotidiennement et j'ai réussi (à part une ou deux fois). J'ai trouvé le moment qui me convient le mieux (pendant ma pause de midi).
Pour l'instant, j'en suis à 500 mots tous les jours. J'ai constaté que fixer de petits objectifs et les augmenter graduellement me convenait mieux. Après tout, on abat pas une montagne en un jour.
Je m'étais lancé comme défi d'arriver à 10k écrits ce mois-ci. Et j'ai dépassé ce chiffre puisque j'arrive à 16k.
Je m'amuse en écrivant et c'est le principal. J'en suis à un stade où je n'ai plus vraiment de doute. Je sais que je suis à la seule à pouvoir écrire mon histoire et que quoi qu'il arrive, elle sera unique.
Pour l'instant, le premier arc est terminé. Tous les personnages importants sont apparus.
J'ai aussi découvert la chanson Trois gouttes de sang de Cécile Corbel qui me fait beaucoup penser au deuil de Zoé :
Sur le chemin Dans le soleil d'hiver Je marchais sans repos Quand j'ai vu soudain Baissant les yeux à terre Le sang d'un oiseau
Rouge sur la neige Comme notre amour Le jour s'achève
Une dernière fois Dans le vent mauvais Loin de toi je m'en vais au hasard On m'a dit c'est la vie qui veut ça Oh si une dernière fois Oh si on pouvait oublier les regrets Mais il est tard La nuit les recouvre déjà
La suite ?
Je n'ai pas d'objectif pour février. J'écrirai ce que je peux et on verra bien. C'est un hobby, je n'ai pas de deadline.
Il faut aussi que je prenne le temps d'affiner certains points de l'intrigue (ah l'intrigue, mon point faible. Mais bon, on ne peut pas écrire que de personnages et d'ambiances). Et aussi que je planifie certaines scènes (il va falloir que je regarde des vidéos et que je lise un peu plus pour les scènes de combat. Je crois que ce site va bien m'aider).
Et puis lire aussi pour m'inspirer. Même si je ne prétends pas à la fidélité historique (ce à quoi on ne devrait pas prétendre de toute manière quand on écrit de la fantasy dans un monde secondaire).
Et bien sûr poster des extraits sur Tumblr !
#écriture#zoé dame du palais#writing diairies#c'était prévu pour hier mais j'ai été distraite par la liesse générale xD
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
#dyslexic#dys en tout genre#dysorthographic#forum rpg#rpg#rpg francophone#Bisounours time#jé fé dé fote mé c pa grav
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«Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule ?
-Eh bien, vois-tu, j’apprends...
J’apprends le petit, le minuscule, l’infini.
J’apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne.
J’apprends à être transparente, à regarder au lieu d’être regardée.
J’apprends le goût de l’instant, quand mes mains tremblent, la précipitation du cœur qui bat trop vite.
J’apprends à marcher doucement, à bouger dans des limites, plus étroites qu’avant et à y trouver, en espace plus vaste que le ciel.
-Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mère ?
-J’apprends avec les arbres, et avec les oiseaux,
J’apprends avec les nuages.
J’apprends à rester en place, et à vivre dans le silence.
J’apprends à garder les yeux ouverts, et à écouter le vent.
J’apprends la patience et aussi l’ennui.
J’apprends que la tristesse du cœur, est un nuage, et nuage aussi le plaisir .
J’apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir, et à recommencer sans me lasser.
-Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ?
-Parce qu’il me faut apprendre, à regarder les os de mon visage, et les veines de mes mains, à accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits, et le goût précieux de chaque journée, parce qu’avec l’élan de la vague, et le long retrait des marées.
J’apprends à voir du bout des doigts, et à écouter avec les yeux.
J’apprends qu’il faut aimer, que le bonheur des autres, est notre propre bonheur, que leurs yeux reflètent dans nos yeux, et leurs cœurs dans nos cœurs.
J’apprends qu’on avance mieux, en se donnant la main, que même un corps immobile danse, quand le cœur est tranquille.
Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là.
-Et avec tout ça, pour finir, qu’apprends-tu donc grand-mère ? »
J’apprends, dit la grand-mère à l’enfant,
J'apprends à être vieille ! »
[ Joshin Luce Bachoux ]
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Apprendre à recevoir
Résumé : Alex, marquée par un passé difficile, lutte pour accepter de recevoir du plaisir. Avec Spencer, elle découvre la douceur et l'écoute, apprenant petit à petit à se libérer de ses blessures émotionnelles.
Avertissements :Thèmes sensibles, traumatisme passé, relation intime, exploration des blessures émotionnelles, contenu mature.
La chambre est baignée d’une lumière tamisée, la douce lueur de la lampe de chevet dessinant des ombres mouvantes sur les murs.
Le silence est seulement troublé par nos respirations mêlées et le bruissement léger des draps sous nos mouvements.
Je suis en califourchon sur Spencer, mes mains posées sur son torse, mes hanches effectuant un mouvement lent, calculé, maîtrisé.
Son regard est fixé sur moi, intense et brûlant, mais différent de ce que j’ai toujours connu. Il ne me scrute pas avec avidité, ni avec cette impatience possessive que j’ai toujours l’habitude de voir dans les yeux des hommes.
Il me regarde comme si j’étais importante, comme si j’étais... humaine. Je baisse les yeux, troublée. Depuis toujours, j’ai appris que mon rôle était de donner, d’être là pour l’autre, et jamais pour moi-même.
Mes gestes sont automatiques, parfaits, répondant à ce que je crois être ses attentes. Je ne cherche pas mon propre plaisir, seulement le sien.
Et je fais tout pour qu'il y arrive rapidement, en silence, sans jamais laisser transparaître mes besoins.
Mais Spencer n'est pas comme les autres. Ses mains glissent lentement sur mes hanches, exerçant une légère pression pour ralentir mes mouvements.
Je sursaute, mon rythme se brise un instant alors que je lève les yeux vers lui, inquiète.
"Alex..." murmure-t-il, sa voix grave résonnant doucement dans la pièce. "Pourquoi tu fais ça ?"
Je détourne les yeux, un frisson me parcourant. "Je veux que tu prennes du plaisir," dis-je automatiquement, comme si c'était une évidence.
Il fronce légèrement les sourcils, ses doigts dessinant des cercles réconfortants sur ma peau.
"Et toi ?" Sa voix est douce mais ferme. "Pourquoi tu ne veux pas en prendre aussi ?"Un sourire nerveux flotte sur mes lèvres. "Je suis bien comme ça," je murmure en haussant légèrement les épaules, évitant son regard.
Il ne dit rien pendant quelques secondes, puis il tente doucement de me donner du plaisir, ses mains glissant entre mes cuisses avec une infinie délicatesse.
Je me raidis aussitôt, attrapant son poignet dans un geste presque paniqué."Non." Le mot s’échappe précipitamment de ma bouche, et mon cœur s’emballe.
Spencer s’arrête immédiatement, son regard scrutant le mien avec une attention douloureuse. "Pourquoi pas ?" demande-t-il doucement, sans jugement, seulement de l’inquiétude dans sa voix.
Je déglutis difficilement, sentant mes doigts trembler sur son poignet. "J'ai pas besoin de ça," je murmure, ma voix à peine audible.Il observe mon visage un long moment, et je vois son expression se transformer, une ombre de tristesse voilant ses traits.
"Ce n’est pas que tu n’en as pas besoin," murmure-t-il, "c’est qu’on t’a appris à ne pas en avoir envie, c’est ça ?"
Des souvenirs remontent brutalement, des fragments de mon passé que j’ai essayé d’enterrer.
Je revois Daniel, mon premier petit ami, me reprochant d'être "trop passive" si je ne me donnais pas entièrement à lui.
Je revois Lucas, soupirant d’agacement quand je demandais une pause. "Tu peux tenir encore un peu, j’ai pas fini."
Et puis mon père... Sa voix, froide et implacable : "C’est normal, les hommes ont des besoins, tu dois apprendre à donner."Je ferme les yeux, un nœud douloureux se formant dans ma poitrine.
"Mon père disait que..." Je ravale mes larmes et inspire profondément. "Que c'était normal qu'une fille donne tout. Que je devais apprendre à ne pas être égoïste."
Je sens Spencer se tendre sous moi, ses mains se crispant légèrement sur ma peau. "Quoi ?"
Sa voix est à peine un murmure, mais je peux y sentir toute sa colère contenue.Je baisse les yeux, honteuse.
"Il... il me touchait..." Je me recroqueville légèrement sur moi-même. "Quand j'étais enfant."Spencer inspire profondément, et je le sens lutter pour ne pas laisser sa colère exploser.
Ses bras m'entourent doucement, m'attirant contre lui, son souffle chaud effleurant mon front."Alex..." murmure-t-il, la voix brisée. "Ce qu'il t’a fait... c'était mal.
Ce n'était pas normal."Je hoche faiblement la tête, nichant mon visage dans le creux de son cou.
Son odeur me rassure, me ramène à l’instant présent. Après un long silence, Spencer recommence à caresser doucement mon dos, cherchant à me rassurer.
Je hausse les épaules, mal à l’aise. "C’est juste comme ça. J’ai appris à être... utile."
Son expression se durcit légèrement, pas en colère, mais avec une détermination que je ne lui ai jamais vue auparavant.
"Tu n’es pas un outil, Alex. Tu es une personne. Tu mérites plus que ça."
Sa tendresse me trouble. Ses doigts effleurent ma joue, ses lèvres pressent un doux baiser contre mon front, comme pour effacer ces années de douleur imprimées sous ma peau.
Puis il reprend lentement ses mouvements sous moi, ses hanches cherchant un rythme doux, patient, mais je tente instinctivement de reprendre le contrôle.
J’essaye de bouger plus vite, de me concentrer sur lui, sur ce que je pense qu’il veut.Ses mains viennent alors saisir fermement mes hanches pour m’arrêter.
"Non, Alex," murmure-t-il, son regard brûlant plongeant dans le mien. "Laisse-moi faire. Laisse-moi prendre soin de toi."
Je veux protester, dire que ce n’est pas comme ça que ça marche. Mais il m’embrasse doucement, son baiser me faisant taire, et je sens mon corps céder petit à petit à sa tendresse.
Il murmure des mots rassurants contre ma peau, me guidant avec une patience infinie jusqu’à ce que je me laisse enfin aller.
Et quand l’extase me submerge, mon premier réflexe est de mordre ma lèvre, d’étouffer le moindre son, de ne pas faire de bruit.
Spencer le voit tout de suite. Ses lèvres capturent les miennes, sa langue caressant doucement la mienne pour m’encourager à relâcher la tension.
"Laisse-toi aller," souffle-t-il contre ma bouche. "Je veux t’entendre, Alex. Personne ne va te punir ici."
Je me fige, un sanglot étouffé m’échappant, suivi d’un gémissement que je ne retiens plus. Spencer me tient fermement contre lui, son regard tendre ancré au mien alors qu’il m’aide à franchir cette barrière invisible que je traîne depuis des années.
Et pour la première fois, je me laisse aller à ressentir, à recevoir.Après, blottie contre lui, ma tête nichée dans le creux de son cou, je murmure :
"T’es pas comme eux..."Il resserre ses bras autour de moi, déposant un baiser sur mes cheveux.
"Non. Et tu mérites quelqu’un qui ne soit pas comme eux."Je ferme les yeux, une larme solitaire coulant le long de ma joue.Avec lui, je suis en sécurité. Enfin.
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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"J'ai du savon qui lave Les péchés capitaux Un stylo-bille qui grave Le goût d'un apéro Un soutien-gorge à piles Qui n' s'allume qu'aux beaux yeux Un dentifrice habile À blanchir les aveux Un buvard facétieux Qui sèche les chagrins Un œil pour lire à deux Quand le jour s'est éteint Un violon capital Voilé de Chambertin A faire sonner le mal Plus fort que le tocsin Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Ou bien chez des voyous Habillés de chagrin Qui vont par les chemins Chercher leur bonne amie La Poésie
J'ai des bas pour boiteuse À faire boiter l'ennui Et des parfums de gueuse À remplir tout Paris Des pendules à marquer Le temps d'un beau silence Des lassos à lacer Les garces de la chance Des machines à souffler Le vert de l'espérance Et des vignes à chanter Les messes de la démence Des oiseaux-transistors Qui chantent sur la neige Garantis plaqués-or Plaqués par le solfège
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Qui s' prend pour un hibou À regarder la nuit Habillée de souris Comme sa bonne amie La Poésie
J'ai du cirage blond Quand les blés vont blêmir De la glace à façon Pour glacer les soupirs Des lèvres pour baiser Les aubes dévêtues Quand le givre est passé Avec ses doigts pointus J'ai tant d'azur dans l'âme Qu'on n'y voit que du bleu Quand le rouge m'enflamme C'est moi qui suis le feu J'ai la blancheur du cygne À blanchir tout Saint-Cyr Et sur un de mes signes On meurt pour le plaisir
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Des fois qu'elle serait là Elle te recevrait même pas Elle n'est là pour personne Elle n'aime pas qu'on la sonne C'est pas une domestique Elle sait bouffer des briques Mais quand elle veut, elle crie La Poésie !"
Léo Ferré
youtube
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