#pop électronique
Explore tagged Tumblr posts
airlesscendresderoses · 2 days ago
Text
best magazine( France)hors serie 1990
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
32 notes · View notes
chansonsinternationales · 7 months ago
Text
La New Wave, retour vers le futur
2 notes · View notes
delkbeat · 1 year ago
Text
Mon single Overdose n'attends que toi !
🎵 Découvrez "Overdose" par Delkbeat 🎵
Plongez dans l'univers captivant de Delkbeat avec sa dernière création musicale, "Overdose". Un mélange unique de rythmes entraînants et de mélodies envoûtantes, "Overdose" vous transporte dans un voyage sonore inoubliable.
Avec son style novateur qui fusionne habilement des éléments de la musique électronique, du hip-hop et de la pop, Delkbeat offre une expérience musicale riche en émotions et en énergie. Les basses percutantes et les synthés envoûtants vous feront vibrer au rythme de chaque battement.
"Overdose" est bien plus qu'une simple chanson. C'est une explosion musicale qui vous fera danser, réfléchir et ressentir une multitude d'émotions. Les paroles profondes et sincères ajoutent une dimension supplémentaire à cette œuvre artistique, vous invitant à vous plonger dans les pensées et les sentiments de Delkbeat.
Ne manquez pas cette occasion de découvrir le talent exceptionnel de Delkbeat. Écoutez "Overdose" dès maintenant sur votre plateforme musicale préférée et laissez-vous emporter par cette expérience musicale envoûtante.
Suivez Delkbeat sur les réseaux sociaux pour rester à l'affût de ses dernières sorties musicales et de ses actualités. Rejoignez la communauté grandissante de fans qui sont déjà conquis par le son unique de Delkbeat.
Préparez-vous à être submergé par l'excitation musicale de "Overdose" par Delkbeat. C'est une expérience auditive que vous n'oublierez pas de si tôt !
https://Dibsteur.lnk.to/lrRyL2
2 notes · View notes
mogkiompmovieguide · 2 years ago
Text
Basquiat
Julian Schnabel
U.S / 1996 / 108 min
Tumblr media
A mi-chemin entre Cinéma et Peinture, le film de Julian Schnabel est quelque chose que l’on contemple.
L’histoire vraie d’un peintre devenu célèbre en 1981, Jean-Michel Basquiat, ce jeune graffeur de 21 ans d’origine Haïtienne vécu une carrière fulgurante, il meurt sept ans plus tard d’overdose d’Héroïne. Aujourd’hui mondialement célèbre en étant devenu l’un des peintres le plus populaire et reconnu du 20ème siècle.
Dans ce film, Julian Schnabel nous d��peint cette vie de folie en suivant les traces du critique d'Art, Robert Hughes, qui a intitulé la nécrologie de JMB "Requiem pour un poids plume", ce qui est intéressant et inattendu à propos de cette vision, est qu'elle fait de nouvelles observations sans pour autant réfuter le jugement de Hugues.
Nous assistons douloureusement à la chute de cet artiste surmédiatisé aux ailes cramées. Entre drogue et autres types d’influences, absorbé par un milieu absurde et superficiel dont Andy Warhol était l’architecte ; dans lequel on exploitait l'Art et les artistes de façon commerciale et spéculative. Le concept des « 15 minutes » de célébrité imaginé par Warhol devenait une réalité.
La mise en scène et la reconstitution de l'ambiance qu'il régnait dans le Lower East Side des années 80 à New York n’aurait jamais été aussi bien retranscrite qu’avec cette B.O soigneusement sélectionnée, et qui contribue également à faire de ce film l'un de mes favoris, et ma première source de découvertes soniques ; Notamment avec des compilations comme New-York Noise et l’album culte No-New York ; à la croisée de la scène Jazz, Hip-Hop, Rock, et même Électronique. Je pense notamment au film documentaire qui accompagne celui-ci : Downtown 81. Que je diffuserai aussi d’ici quelques jours.
Jeffrey Wright incarne J.M Basquiat de façon absolument surprenante, parfois troublante de réalisme, ce qui a sans doute été l’un des meilleurs choix du Réalisateur, il est difficile aujourd’hui d’imaginer quiconque de différent occuper ce rôle.
D'autres dans le casting incluent David Bowie en tant que Andy Warhol, Michael Wincott est René Ricard, Paul Bartel ; Henry Geldzahler et Elina Lowensohn la marchande d'Art Annina Nosei; parmi les acteurs incarnant des personnages fictifs il y a notamment Gary Oldman (en tant que remplaçant apparent de Schnabel lui-même), Benicio del Toro jouant le partenaire de défonce, Christopher Walken (brillamment en tant qu'intervieweur puant et hautain) ; Willem Dafoe et Courtney Love. Ainsi que de nombreuses apparitions brèves mais toujours appropriées des différentes figures de l'underground New-Yorkais.
C'est aussi assez énergique - il n'y a pas de plan ennuyeux nulle part, et le scénariste-réalisateur Schnabel s'amuse clairement en jouant avec le son expressionniste, les montages à la manière d'un Eisenstein moderne et toutes sortes d'autres idées cinématographiques. Ce qui émerge peut être flou en tant que récit, mais vivant en tant que Cinéma.
Sans aimer ni détester l'Art de Basquiat, pas plus que le Pop Art en général. J'ai été surtout fasciné par la vie de cet artiste. J'aime la manière dont Julian Schnabel figure de façon très romantique l'histoire de ce 'Beautiful loser' (c'est un peu le Kurt Cobain de la peinture).
Le spectateur est guidé au travers de cette chronique biographique, pensée et filmée avec onirisme et poésie, souvent du point de vue de ce jeune génie tourmenté, faussement naïf.
Initié lui-même au monde de l'art, Schnabel vise à élucider le conflit inhérent entre un génie rebelle et incompris et la société grossière qui l'entoure. Mais il semble réticent à adopter un point de vue clair sur son sujet - il n'est jamais clair si Basquiat a été victime de sa personnalité autodestructrice et/ou de son milieu matérialiste exploiteur. Il a certainement apprécié d'être courtisé par les marchands et les collectionneurs et les récompenses qui accompagnent la notoriété.
Tumblr media
Il y a de véritables moments de beauté dans ce film ; la séquence d’engueulade surréaliste entrecoupés d'extraits d'un film de 1922 "Les Grenouilles qui demandent un roi" du Réalisateur Russe Władysław Starewicz, en est un, le tout bercer par Van Morrisson interprétant It's All Over Now Baby Blue.
C'est une œuvre d'art imparfaite, peut-être oui, mais c'est de l'Art. La tendance de Schnabel à se rabattre sur certaines conventions biographiques assez standards est probablement due à son statut de cinéaste novice. C'est probablement en partie la raison - avec le fait qu'il le pouvait - d'avoir recours à une sorte de casting d’invités de marque, avec les acteurs de soutien. Dans le cas de la représentation d'Andy Warhol par David Bowie, c'est plus que payant. Bowie a-t-il été choisi uniquement pour l'apparence? Ou sur la force d'avoir écrit une chanson sur Warhol - une chanson qui inclut la phrase "habiller mes amis juste pour le spectacle et les voir tels qu'ils sont vraiment?" Dans un sens, n'est-ce pas ce que fait Schnabel avec ce film ? Quoi qu'il en soit, Bowie's Warhol est la représentation la plus humaine et la plus crédible de l'homme à ce jour. C’est le complément parfait au rôle de l'artiste toxicomane de Jeffrey Wright. Même si Wright n'aime pas ce que Schnabel a fait à sa performance dans le montage, cela ne change rien au fait que son Basquiat est une création fascinante, tout comme le film qui l'abrite.
Exceptionnellement, j'ai ajouté au dossier la formidable B.O
Le film ICI
4 notes · View notes
Text
Tycho Hours
respirant l'été et la sérénité, les morceaux de Tycho respirent la fraicheur et l'insouciance. De mélodies électroniques en rythmiques pop, Scott Hansen élabore ses paysages d'abord en solo puis sous forme d'un quatuor à l'occasion de son dernier album en date, Awake (2014), sorti chez Ghostly.
Tumblr media Tumblr media
6 notes · View notes
papipop-fajet · 1 year ago
Text
Tumblr media
Fajet est composée d’une équipe de quatre permanents, de bénévoles pour l’accueil, le secrétariat, l’entretien des locaux. Fajet est un lieu d’activités et d’accueil au cœur de Nancy. En effet, la maison permet aux jeunes de s’insérer et de devenir acteur de la société. Fajet c’est avant tout un lieu qui laisse libre court à la parole, au partage et à l’échange.
Outre cette mission d’accueil remplie au quotidien par Fajet, cette association est également une radio animée par plus d’une centaine de bénévoles qui assurent l’animation et la technique de la radio (70 programmes hebdomadaires…) qui rayonne dans le paysage des ondes nancéiennes à tous points de vue. La diversité de ses programmes est grande : cinéma, emploi et formation, littérature, culture sous toutes ses formes, sport, santé, jeux etc…. Quant à la musique, chaque style a sa place : jazz, chanson française, hip hop, pop rock, country, musiques électroniques, musiques libres et bien d’autres encore. Fajet se revendique à juste titre d’être une radio locale, elle fait vivre l’actualité de sa région en annonçant sur ses ondes toutes les sorties et manifestations qui y ont lieu.
1 note · View note
mes-envies-de-culture · 12 hours ago
Text
Tumblr media
RoboCop est un film de Paul Verhoeven qui est sorti en 1987 et le personnage est devenu une icône de la pop culture issu de cette époque (tout comme Terminator ou Judge Dredd). En outre, RoboCop représente un emblème du genre de la science-fiction satirique. Il y décrit une société dystopique et ou la corruption gangrène la ville de Détroit et où la criminalité est légion.
Pour créer le personnage de Robocop, les scénaristes (Edward Neumeier et Michael Milner) se sont inspirés des comics avec un homme « 50 % homme, 50 % machine, 100 % flic ».
Robocop a su utilisé des séquences en stop-motion grâce à un spécialiste des effets visuels Phil Tippett qui avait aussi travaillé sur La Guerre des Etoiles, Jurassic Park.
Au casting, on retrouve Paul Weller (Festin nu de David Cronenberg), Nancy Allen (1941 de Steven Spielberg ou Pulsion de Brian de Palma) et Ray Wise (Twin Peaks de David Lynch), Dan O’Herlihy, Ronny Cox, Kurtwood Smith…
Synopsis
A la fin du XXe siècle, dans la ville en faillite de Détroit est, comme toujours dans cette sorte d'histoire, la proie du crime et de la corruption. Pour pallier ce terrible état, les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais comme souvent, ce cyborg a aussi une âme.
C'est à travers l’officier de police James Murphy, laissé pour mort après une fusillade, qui devient un policier hybride mi-homme, mi-robot.
youtube
La musique est composée par Basil Poledouris (Conan le Barbare).
Dernière actualité sur la saga Robocop
Amazon a annoncé la mise en production d’une nouvelle série Robocop via le producteur Jams Wan (Aquaman, Conjuring, Mortal Kombat). Cela fait suite au rachat de la MGM avec les licences iconiques tels que James Bond, Tomb Raider, Poltergeist, Star Gate… et donc Robocop.
Synopsis : Un conglomérat technologique collabore avec le service de police local pour introduire un agent de sécurité technologiquement avancé afin de lutter contre la criminalité croissante — un officier de police à la fois homme et machine.
Autour du film
Bien entendu, le film a eu le droit à des adaptations pour les fans de jeux vidéos et notamment Robocop : Rogue City sorti en 2023.
Tumblr media
Sans la rubrique retrogaming, il faut se souvenir du jeu RoboCop sur console NES qui fut sorti le 25 août 1989 au Japon. Vous êtes à Néo-Détroit, en 2015. Les quartiers sont à feu et à sang et l'OCP prend le contrôle de la ville. Au cœur d'une sombre machination entre pouvoir, corruption et trafic de drogue, vous incarnez RoboCop, le seul espoir.
Autres films dystopique des Paul Verhoeven :
→ Total Recall en 1990 avec Arnold Schwarzenegger
→ Starship Troopers est sorti en salle en 1997 et est également devenu classique de la science-fiction satirique. Ce sera Edward Neumeier qui sera à la genèse de Starship Troopers et c’est lorsqu’il présente son idée au producteur Jon Davidson que la relation s’effectue avec le roman Starship Troopers de Robert Heinlein.
Rien à voir mais mérite d'être visionné: Elle avec Isabelle Huppert, Laurent Lafitte, Anne Consigny, Charles Berling, Virginie Elfira... Le film est sorti en 2016 et narre l'histoire de Michèle. Cette femme au caractère en apparence imperturbable. Elle est à la tête d'une grande en entreprise de jeux vidéo, elle gère ses affaires come sa vie sentimentale : d'une main de fer. Sa vie bascule lorsqu'elle est agressée chez elle par un mystérieux inconnu. Inébranlables, Michèle se met à le traquer en retour. Un jeu étrange s'installe entre eux. Un jeu qui, à tout instant, peut dégénérer.
0 notes
canalorange · 18 days ago
Text
My Beautiful Dark Twisted Fantasy est le cinquième album studio de Kanye West sorti en 2010. Largement salué par la critique, il est considéré comme un des chefs d’œuvre de l’artiste, mélangeant hip-hop classique avec de nombreux samples et sonorités électroniques, rassemblant les publics rap et pop.
Cet album entame le processus de guérison de l’artiste, diagnostiqué bipolaire et accablé par les polémiques, et évoque le monde utopique de la célébrité de manière critique…
0 notes
compte-fan · 27 days ago
Text
Les Recocos de Compte Fanito -
Septembre 2024
Tumblr media
On commence fort avec la musique :
Tumblr media
Le mois de septembre c'est plus l'été mais c'est pas l'automne alors on est resté pop mais on la darkisé un peu pour accompagné le début du ciel gris et la nuit à 18h qui arrive.
Tout d'abord, un petit truc qui aide à marcher vite dans le métro mais qui nous rappelle que l'été est finis, c'est dommage c'était bien mais bon est-ce qu'on est pas bien là sous la pluie finalement ? Je pose la question...
Feed The Fire - Pearly Drops
youtube
Bon j'ai cassé la tête à toute la france avec Manuela, pourtant son nombre d'auditeur n'a pas l'air d’augmenté, et si finalement je n'étais pas un influenceur... Je ne pense pas , écoute, aime dans le cas contraire allez-vous en
Everything Goes - Manuela
youtube
Encore une chanson sur la fin de l'amour, oulala c'est déjà la deuxième et bah écoutez ça me détend, là je suis très détendu en l'écoutant par exemple Y fait gris on se promène dans le bureau pour faire semblant d'être occupé up biz
Love is Over-La Femme
youtube
Bon je crois que vous avez compris le mois de septembre C'est un peu badant mais c'est la rentré donc j'aime bien c'est un bade heureux
family and friends - Oklou
youtube
En parlant d'heureux bah voilà on a aussi eu envie de se déhancher en septembre La sofie elle le permet bien avec sa pop coolos et un peu tricky
I Forget (I’m so Yong) - Sofie Royer
youtube
Autre style mais bon j'adore les cuivres donc voilà une petite ballade avec des trompette squi accompagne très bien les derniers rayons de solel d'une journée, voire même les premier pour les plus téméraire
Better Now than Ever - Meravi
youtube
On reste dans le plaisir, dans le soleil avec une touche d'italien. Je ne le savais pas mais j'aime bien ça l'italien. C'était presque maladif je l'ai écouté tout le temps à tous les temps.
Tic Tac - Muddy Monk (feat. Giorgio Poi)
youtube
On reste en Italie, aucune certitude... langue latine ? voilà c'est mieux et on kiff #yolo un peu celle là pk pas faire des bétises sur cette électro française #Vueàla TV au JO même
Praia - Nathalie Duchene
youtube
On reste en musique électronique française , c'est fun et un peu vulgos, parfait pour bouger, calmement on reste en septembre, son petit cul.
HOT NERDS - Boni
youtube
Opoopop on arrête de rigoler y a le saxo qui commence. Faut bien chialer un peu aussi. (c'est aussi le générique d'un film qui arrive mais lequel ??? La vie ets bien faite....)
Laurent Bardainne & Tigre d'Eau Douce - Oiseau feat. Bertrand Belin
youtube
Allez place au cinoche... J'ai pas vue grand chose ce mois-ci mais y 4 (quatre) films qui sortent du lot quand même
Tumblr media
Rue du Conservatoire - Valérie Donzelli (2024)
Bon bah là c'est génial, un docu sur des gens pas forcément sympathiques mais plein de bonnes volunté pour la réalisation de leur dernière pièce au conservatoire, qui s'entre-mêle à la vie de la Valoch' Donz bah c'est un grand OUI ça parle de créer, de faire du théâtre c'est plein d'énergie et dans sa forme c'est finalement très simple, honnete même sans grand moments, juste des vies qui s'entre-croise et raisonne entre elles, animé toutes par un désir de créations. Go c'est encore au ciné
Tumblr media
Yoyo - Pierre Étaix (1965)
Une histoire sur le temps long, on suit un milliardaire seul puis un clown seul, lui-même fils du milliardaire. C'est drôle, y a des gags partout et puis en même temps ça fait réfléchir si tu vois ce que je veux dire. Siam l'éléphant star est dedans
Tumblr media
RiverBoom - Claude Baechtold (2024)
Encore un docu, qui n'a rien a voir avec le premier, pas de dispositif pro, un amateur avec deux journalistes fous-dingues s'embarquent en Afghanistan à la suite des attentat du 11 septembre. L'énorme bandeur d'asie centrale que je suis ne pouvais qu'adorer pour les paysages filmé avec une mauvaise caméra cassette le contexte politique de l'époque est aussi bien explique, et y a toute une réflexion sur le deuil et la passivité parce que pourquoi pas le montage est fun.
Tumblr media
Le procès du chien - Lætitia Dosch (2024)
Une fiction pour finir, celle d'un procès, inspiré d'une histoire vraie, d'un chien ça a du mordant vous l'avez Drôle touchant et puis on réflechit à la place des animaux dans la #société. C'est un peu bancal et c'est pour ça que c'est bien (c'est lui le film qui va avec le générique).
Tumblr media
Bah oui si j'ai pas été au ciné, c'est parce que j'ai regardé des séries ! lool
Tumblr media
Tumblr media
Girls Saison 1 et 2 - Lena Dunham (2012-3)
Bon ça ça m'a pas mal occupé, les déboire de ces 4 (quatres) girls, c'est le titre, new-yorkaise, c'est pas dans le titre ça, bah ça m'a parlé, c'est pas si drôle, ni triste, c'est juste une tranche de vie de personnes un peu plus exceptionnelles que moi et que toi aussi j'imagine Gros Big up à l'épisode 3 de la saison 2.
Tumblr media
La Maison - 2024
Un soap dans le milieu de la mode avec Lambert Wilson en personne insuportable, avec Lambert Wilson et plein d'autre gens comme Antoine Reinartz ou Amira Casar
Alerte DRAMA c'est génial
Tumblr media
On finit sur un four-tout parce qu'y faut bien s’arrêter un jour
Tumblr media
Les Traitres saisons 3, Laurent Ruquier... Pas envie d'en parler et La Fête de l'Huma parce que c'était génial
Tumblr media Tumblr media
On me dit de m’arrêter askip je suis trop long, surement au mois prochain.
Biz Compte
1 note · View note
nnjzz · 1 month ago
Text
CAROLE RIEUSSEC + ABYSMO + ROSE FELICITY + WYSOCKA & FEDEREA
20:00 PORTES 20:45 ACTION ! OLYMPIC CAFÉ 20 rue Léon 75018 M° Château Rouge
P.A.F. 6€
CAROLE RIEUSSEC fr Artiste sonore active depuis 1986 : elle compose et improvise avec " les voix, les sons électroniques, les silences et les rythmiques du monde."
Suite à la rencontre, en 1990, avec Jean-Kristoff Camps ( " croisé " dans un septet de platine tourne-disque, Les Arènes du Vinyle ), un excellent duo électroacoustique est né, KRISTOFF K.ROLL, toujours en activité..
Sur scène elle manie machines, sets de microphones, matières brutes et objets de la vie quotidienne. Formée au détournement, elle transforme haut-parleurs et microphones en instruments de musique, en travaillant particulièrement la relation du son à l’espace.
" J’aime activer l’improbable dans mes performances, j’aime l’usage de masques. La voix est l’un de mes matériaux privilégiés, à travers elle, j’imagine des objets qui naviguent entre poésie, philosophie, radiophonie. "
Plusieurs projets collaboratifs avec entre autres, Anne-Julie Rollet et Christophe Cardoen, Anne Laure Pigache, Chantal Dumas, Elena Biserna, Jean Michel Espitallier, la compagnie Exit, Carol Sansour, Enna Chaton, Sophie Agnel, Daunik Lazro...
En 2004, avec le poète Anne-James Chaton, le guitariste Didier Aschour, la plasticienne Enna Chaton, l’artiste transdisciplinaire Frédéric Dumond et toujours avec Jean-Kristoff Camps, elle co-fonde le festival Sonorités, qui au croisement des musiques électroniques et électroacoustiques, propose chaque année son édition, au mois d'octobre, en explorant les affinités susceptibles d'exister entre les musiciens et les écrivains.
Depuis 1998 elle est aussi membre du comité de rédaction de « Revue et Corrigée » (" surface écrite des pratiques sonores expérimentales " - dont la version papier paraît à une fréquence trimestrielle), et depuis 2012 elle en développe en parallèle une " net rubrique audio " dédiée au genre, à l’expérimentation artistique et à son récit : « wi watt’heure” ( en collaboration avec Elena Biserna depuis 2018).
youtube
youtube
ABYSMO fr " Mealbient, hypnagogic dance music " " Composé de Nonmei9227 et de  C Folle, le duo crée de la musique visqueuse inspirée des parcs à thème, des marécages et états hypnagogiques au travers de synthèses de vocalisation et de patterns flasques." 
ROSE FELICITY fr  "  Montages de souvenirs et d’histoires venant tout droit de la plage de l’amour sexy. " 
Une pop électronique et minimaliste, bricolée maison, fragile, hybride, toute en tension, suspense, et mélancolie, tantôt bancale et claudiquant, avec ses récits non-linéaires nimbés d'un insondable mystère, tantôt lévitant, voire s'excitant dans des envolées lyriques d'une joie aussi intense qu'éphémère. 
Bribes de mélodies, sons concrets, nappes vaporeuses et, pourquoi pas, quelques glitches grinçant, se glissant ça et là, savamment saupoudrant la mixture, et cette voix qui susurre, en nous guidant ( ou nous égarant ) dans une traversée hallucinée à travers un univers cotonneux, onirique et capiteux.
NB / Une petite foule de réminiscences des choses cinématographiques ou sonores que m'évoquent, par moments, ces tracks beaux et fragiles, se bouscule dans ma tête mais je préfère les garder pour moi ( par-devers moi ) de peur de trop imposer leur écrasantes présences. Chacun son trip.
Pas de lien public qui tienne pour le moment. WYSOCKA & FEDEREA ar / pl   Le duo poursuit son projet sonore initié depuis l'année dernière, fusionnant des approches distinctes mais complémentaires. Emilia, artiste et scientifique, manipule des tables de mixage sans entrée (no-input mixing boards) pour générer des sons avec des tensions amplifiées et des résonances fugaces, se déployant à la frontière entre structure et chaos, en écho des systèmes complexes qu'elle explore à travers ses recherches scientifiques. De son côté, Federea, musicien et compositeur, s'engage dans une quête sonore multidimensionnelle où se mêlent acoustique, électronique et numérique. Avec une approche à la fois hétérodoxe et fluide, il tisse des atmosphères mouvantes en intégrant pianos, électroacoustique, voix et instruments venus d'ailleurs. Ensemble, ils façonnent des expériences sonores immersives, jouant sur l'inattendu et la transformation constante, dans une alchimie où douceur et frénésie se rejoignent.
youtube
youtube
Fly - Jo L'Indien
1 note · View note
strangears · 2 months ago
Text
PEPITE OUBLIÉE : KENNA - Make Sure They See My Face
Tumblr media
En 2006, Pharell sort son premier album studio, « In My Mind », le single « Can I Have it Like That » fait le Coming Next du Grand Journal, la promo est aussi mégalo que l'était le producteur à l'époque (suffit de s'attarder sur ses paroles). Bref, l'album est un échec, moqué par les critiques et renié même aujourd'hui par l'interprète d' « Happy ». La même année pourtant, son collègue Chad travaille avec un de leur ami, Kenna, sur ce qui est pour moi encore aujourd'hui la meilleure production estampillée Neptunes : Make Sure They See My Face.
Celui-ci sort en 2007, la même année que Red Carpet Massacre des Duran Duran produit par Timbaland et Danja. Et bon dieu que celui-ci semble paresseux en comparaison ! Pourtant, on retrouve souvent un style mélodique similaire. Mais il n y a pas la prod' léchée, mix entre acoustique et électronique, Rock et Hiphop, dont nous ont habitué les Neptunes, définitivement d'une autre planète. Non, pour une fois Timbo, tu aurais du laisser ta place à Chad.
youtube
Avant Make Sure They See My Face, le duo avait déjà sévi en 2003 avec New Sacred Cow, et c'était déjà très bon. Je trouve le travail sur le beat ahurissant, plein de syncopes, de breaks impromptus ; on ne s'y attendrait ni dans le Rock (trop mécanique), ni dans le Hiphop (trop changeant). Des instrus comme celles de « Redman » et « Hell Bent » sont folles, étrangement curieuses, en dépit de composition vocales moins mémorables. D'ailleurs, quel ennui quand ils délaissent le beat (sur « Yeneh Ababa », « War in Me », j'en passe...). Malgré cela ressortent des tubes qui n'auraient pas dénoté dans le top 50 de l'époque - « Vexed and Glorious » en tête – et qui inspireront sans surprise Timbaland pour ses productions avec Nelly Furtado et Justin Timberlake (on retrouve ce dernier sur l'album suivant).
Make Sure They See My Face est l'aboutissement de ces premiers travaux, étrange mélange entre New Wave et RN'B. Les fans du « Future Sex/Love Sounds » devraient y trouver leur compte (« Loose Wires » en est un pastiche). On entend même du Radiohead sur « Better Wise Up ». C'est un album d'influences fleuve, où l'on est constamment surpris des différents eaux qu'ils explorent. Et Kenna adapte toujours son interprétation à merveille. J'aurais adoré le découvrir à l'époque et l'écouter en boucle sur mon I-Pod Nano. Les beats sont toujours aussi fous, mais avec une belle maîtrise de ses expérimentaux arrangements, des restes électriques de claviers ou de guitare, des chœurs mêmes, conférant une envie et générosité Pop plus que rarement égalé par la suite chez les Neptunes. Mes préférés dans le lot : « Sun Red Sky Blue » et « Phantom Always » (mais seulement si vous êtes amoureux aussi des Duran Duran). De toute façon, il vous suffira d'envoyer le premier morceau, ce mystérieux « Daylight » pour être conquis et continuer le voyage.
Les années 2000 donc, je ne dirais pas que c'est la meilleure période puisque c'est celle où j'ai acquis mes goûts musicaux, ce serait trop biaisé. Par contre, quelle joie de tomber encore sur ce genre de pépites qui raviveront les meilleures souvenirs pour les gens de ma génération, le son de notre époque. Mais qui devrait plaire aussi à tout amateur de Pop de goût. ****/5
0 notes
sonmelier · 2 months ago
Text
Avant-cuvée 2024 : 5/8
Retour aux standards habituels en cette fin septembre, avec "seulement" six disques sélectionnés. C'est désormais près d'un tiers de la cuvée 2024 qui est couverte !
Fontaines D.C. | Romance
Tumblr media
🇮🇪 Irlande | XL Recordings | 37 minutes | 11 morceaux
La bande à Grian Chatten affirme ici moins clairement son irlandité (notamment par rapport à l’album précédent), et délivre un rock plus direct taillé pour les stades – avec changement de label à la clé. Un tournant sans compromission ni relâchement créatif cependant. Fontaines D.C. va sans doute élargir son audience avec ce disque, mais il reste le groupe intransigeant et passionnant découvert il y a plus de cinq ans dans les caves de Dublin.
🎧 Starbuster
Magdalena Bay | Imaginal Disk
Tumblr media
🇺🇸 Etats-Unis | Mom + Pop | 54 minutes | 15 morceaux
Le duo formé par Mica Tenenbaum et Matthew Lewin, tous deux échappés du groupe de prog rock Tabula Rasa, franchit un cap spectaculaire avec ce second album d’une ampleur folle. Synthpop psychédélique puisant son inspiration dans une variété foisonnante de styles (et d’époques), leur musique marrie ici l’audace à l’évidence, l’étrangeté à l’émotion. Indépendamment du récit conceptuel bien loUFOque qu’il développe, Imaginal Disk emporte irrésistiblement l’auditeur par sa fantaisie et par son éclat.
🎧 Cry for Me
Nala Sinephro | Endlessness
Tumblr media
🇧🇪 Belgique | Warp Records | 45 minutes | 10 morceaux
Multi-instrumentiste belgo-caribéenne installée à Londres, Nala Sinephro approfondit le chemin méditatif tracé sur son premier album (Space 1.8, sorti en 2021) mais avec un résultat d'une toute autre altitude : plus dense, plus fluide et plus cosmique. Bâti autour d’un motif de synthétiseur arpégé qui mute subtilement en traversant chacun des dix morceaux du disque, Endlessness est un continuum harmonieux d’une grâce éblouissante, une célébration extatique mêlant harpe, saxophone, textures électroniques et orchestre jazz (avec quelques pointures de la scène londonienne actuelle).
🎧 Continuum 6
Tristwch Y Fenywod | s/t
Tumblr media
🏴󠁧󠁢󠁷󠁬󠁳󠁿 Pays de Galles | Night School Records | 37 minutes | 8 morceaux
Tristwch Y Fenywod, qui signifie "Le chagrin des femmes" en gallois (langue de chant exclusif de ce trio féminin), présente sur ce premier album un univers goth-folk imprégné de mythologie celtique et de références à la nature. Composé de trois artistes de la scène underground de Leeds (en Angleterre), le groupe parvient à créer une atmosphère mystique saisissante en maniant les chants incantatoires, les percussions martiales et les sons de cithare.
🎧 Y Trawsnewidiad
Water Damage | In E
Tumblr media
🇺🇸 Etats-Unis | 12XU | 83 minutes | 4 morceaux
Ce 4e album du collectif texan Water Damage hisse le rock répétitif au rang d’expérience sensorielle radicale. Naviguant entre noise et krautrock, In E est un chaos organisé et hypnotique oscillant durant plus de 80 minutes d’une variation à une autre, sans jamais rompre l’état de transe qu’il génère. Avec, au milieu d’une armada de batteurs, de bassistes et de guitaristes, un violon tranchant et martial comme fil conducteur.
🎧 Reel E
Nilüfer Yanya | My Method Actor
Tumblr media
🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 Angleterre | Ninja Tune | 44 minutes | 11 morceaux
Nilufer Yanya ajoute un magnifique troisième côté à sa discographie, parachevant un triangle créatif qui a très peu d’équivalent parmi les songwriters contemporains. On retrouve sur My Method Actor, avec un plaisir immense, les ingrédients de tout premier ordre présents sur ses deux prédécesseurs (cette voix et ce phrasé, captivants ; ce jeu de guitare et cette complexité émotionnelle, enivrants). Mais on savoure aussi la subtile évolution apportée dans l’approche et la tonalité générale, qui en font un disque différent et qui témoigne d’un cheminement artistique réfléchi, maitrisé mais plein de vitalité et de tensions.
🎧 Mutations
0 notes
Text
Musique en France : Du Yéyé à la Zumba
Tumblr media
Ah, la musique… Ce miroir de la société qui, autrefois, nous renvoyait des poèmes, des cris de révolte, des manifestes déguisés en chansons d’amour. Et aujourd'hui ? Eh bien, il suffit d’allumer la télé pour se rendre compte que la France musicale a troqué ses plumes d’antan pour des hashtags et des "nanana" sans fin. Permettez-moi en tant que journaliste ayant traîné mes guêtres dans ce domaine depuis plus longtemps que certains artistes n'ont même vécu, de poser la question qui dérange : Où sont passés les grands textes, ceux qui avaient quelque chose à dire ? Où sont les mots qui faisaient vibrer les cœurs et bouillonner les esprits ? Aujourd'hui, on a l'impression que les paroles des chansons se sont égarées quelque part entre un dictionnaire pour enfants et un compte TikTok. Les années 60 et 70 : Quand les paroles avaient une âme Il fut un temps et je parle d’un temps que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître, où la musique ne se contentait pas de divertir. Non, elle bousculait, elle interpellait, elle portait des idées. Prenez un Georges Brassens, qui avec une guitare et une moustache, pouvait évoquer tout à la fois l’anarchie, la liberté, la mort et l’amour d’une manière si fine qu’on en oubliait presque que ses textes étaient plus subversifs qu’un discours à l’Assemblée. Dans les années 70, un Michel Sardou, pourtant pas réputé pour son progressisme, pondait des chansons qui au-delà des mélodies racontaient des histoires, peignaient des tableaux. "Le France", c’était plus qu’un bateau : c’était une métaphore d’un pays en déroute. Aujourd'hui ? Un bateau, c’est juste… un bateau. Ou pire, un décor pour un clip où l'on danse en playback.
Et que dire de Léo Ferré ?
Ce génie qui mélangeait poésie et révolte, érigeant ses chansons en pamphlets. Lui n’aurait jamais chanté "Bella ciao" pour vendre du soda. On vivait dans une époque où les paroles prenaient aux tripes, où chaque mot comptait. Quand un artiste écrivait une chanson, il ne se contentait pas de chercher une rime facile, il cherchait une vérité. Les années 80 et 90 : Quand le sens commençait à se diluer Dans les années 80, la France a découvert le synthétiseur… et elle n’en est jamais vraiment remise. Les paroles ont commencé à perdre un peu de leur poids, étouffées sous une avalanche de sons électroniques. Mais même là, Jean-Jacques Goldman, malgré toute sa production pop, savait encore écrire des chansons à texte. Allez écouter "Envole-moi" ou "Il suffira d’un signe". Ce n’était peut-être pas la révolte de Mai 68, mais ça racontait quelque chose, ça vous accrochait encore. Puis sont arrivées les années 90, avec le rap français qui à ses débuts portait une voix, celle du peuple populaire. Le rap, c’était le poing levé, la colère des quartiers qui trouvait enfin une caisse de résonance. IAM, NTM, MC Solaar... On était encore loin des lyrics creux de certaines productions actuelles. A cette époque, les punchlines claquaient comme des manifestes, les textes rappaient la vie, la vraie. Ils dénonçaient, critiquaient, éveillaient les consciences. Bon, ça ne rimait pas toujours parfaitement, mais au moins ça essayait. Les années 2000 : La télé-réalité prend le relais, et les paroles trébuchent Puis est arrivée la grande décennie de la Star Academy et des télé-crochets. Ah, les années 2000, ce moment où l’on a décidé que pour devenir chanteur, il suffisait de savoir pleurer à la caméra et d’avoir une jolie voix. Le texte, lui ? Bof, on pouvait bien s’en passer. Une ritournelle suffisait. Un "Je t’aime" ici, un "pour toujours" par là, et hop, une chanson ! Ce fut l’époque où les paroles des chansons ont commencé à ressembler à des cartes postales sentimentales. L’époque où l’on a troqué la subtilité des mots pour des "La la la" qui remplissent les couplets quand on ne sait plus quoi dire. Les chanteurs sortaient d’une fabrique où le talent d’écriture semblait être une option facultative, et la qualité des textes, elle, a doucement pris la poudre d’escampette. Les années 2010 et aujourd'hui : Quand la forme a définitivement pris le dessus sur le fond Et nous voilà dans les années 2010, où tout le monde se mélange : la pop, le rap, l’électro, le trap… Mais là où l’on s’attendait à un festival de créativité, on se retrouve avec un gloubi-boulga de paroles qui auraient difficilement tenu tête à une rédaction de CE2. Prenez un tube récent, n’importe lequel, et écoutez bien les paroles. Vous y trouverez quoi ? Des "baby", des "yeah", des "oh-oh-oh" et des refrains qui se répètent en boucle comme si l’auditeur avait perdu la capacité de comprendre plus de trois phrases à la suite. Et le pire, c’est que ça marche. Le streaming a tué le texte : tout doit être court, accrocheur, facile à mémoriser pour passer sur les réseaux sociaux. On est passé de "Ne me quitte pas" à "Tu vas me manquer, nanana", et personne ne semble vraiment s’en offusquer. Même les rappeurs, qui autrefois utilisaient le verbe comme une arme, semblent aujourd'hui plus intéressés par le placement de marques de luxe que par la critique sociale. Les punchlines, elles, sont devenues des slogans publicitaires à peine déguisés. Et maintenant, que nous reste-t-il ? Alors, qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi les artistes de jadis semblaient-ils si investis, si exigeants avec leurs textes, alors qu'aujourd'hui, on dirait que les paroles sont là juste pour faire joli ? Peut-être que la musique est à l’image de notre époque : rapide, éphémère, superficielle. Ou peut-être que nous, auditeurs, avons cessé de demander plus. La France, ce pays autrefois si fier de ses poètes-chanteurs, est désormais un terrain de jeu pour des créateurs de tubes jetables. Mais qui sait, peut-être qu’un jour, quelque part, un nouveau Brassens ou une nouvelle Barbara viendront nous rappeler que la musique, c’est aussi et surtout des mots. En attendant, profitons des "nanana"… David SCHMIDT Read the full article
0 notes
xpoken · 4 months ago
Text
Lafawndah
Tumblr media
La musique de Lafawndah est très difficile à relier n'importe où sur la carte du monde. Le chanteur, comme une éponge, absorbe la musique de différentes cultures, libérant un produit spécial. Mi-égyptienne, mi-iranienne, elle a grandi à Paris et a vécu au Mexique et à Téhéran. Sa musique est un univers multiculturel complexe, d'où soufflent les sables chauds et le mysticisme du désert.
Mhysa
"La pop star noire queer vierge et underground de la cyber-résistance du Maryland", c'est ainsi que se surnomme l'expérimentatrice américaine. Sa musique est une palette complexe d'ambiance, de R&B et d'autre chose sans nom, un hallucinogène qui hypnotise et repousse à la fois, un sommeil lourd une nuit d'été.
Sevdaliza
La mystique néerlandaise Sevdaliza s'est produite au festival de l'hédonisme à Kyiv en 2017, puis les gens ont écrit sur les réseaux sociaux qu'elle avait changé leur vie pour toujours. Voix grave doublée de mélodies électroniques perçantes et de la couleur de l'Orient éternel. Ajoutez des clips colorés incroyables et des images colorées, et la musique de Sevdaliza se transformera en une expérience incroyablement vivante.
K A R Y Y N
La chanteuse américaine d'origine syrienne K A R Y Y N a sorti son premier album en mars, dont le travail a duré sept ans. Elle se qualifie de "compositrice visuelle", car lors de la création de K A R Y Y N elle pense immédiatement aux images visuelles pour la chanson. Sous la musique du chanteur, il est impossible de se détendre ou de se fatiguer - il suffit de s'allonger dans la prostration, tandis que cette électronique froide pénètre dans chaque cellule du corps.
0 notes
thoughtswordsaction · 4 months ago
Text
Eli & Fur Share New Single "Missing You"; New Album 'Dreamscapes' Out September 27
Photo by SJ Spreng Multi-hyphenate producer/DJ/singer-songwriter duo Eli & Fur release “Missing You” from their upcoming Dreamscapes album, out September 27 on [PIAS] Électronique. Channeling an essence of empathy, “Missing You” fuses heartfelt lyricism with an atmospheric soundscape that is both true to the duo’s dance-pop influence and uniquely evolved from previous musical releases.…
0 notes
fred-the-curator · 5 months ago
Text
Amaarae fait couler des larmes bleues sur des roses rouges
Amaarae fait couler des larmes bleues sur des roses rouges   Sorti le 28 juin 2024 sous le label Interscope Records, "roses are red, tears are blue — A Fountain Baby Extended Play" d'Amaarae est un véritable bouquet sonore aux mille nuances. La chanteuse ghanéenne-américaine nous offre ici une extension de son album "Fountain Baby", comme une after-party intime après une soirée endiablée. Avec ses 21 titres, cet EP étendu est un véritable marathon musical qui ne manque pas de souffle. Amaarae y déploie toute sa palette vocale, passant d'un murmure sensuel à des envolées dignes d'une diva pop, le tout sur des productions qui font la part belle aux influences afro, R&B et électro.  Dès le premier morceau "sweeeet", on est happé par l'ambiance à la fois langoureuse et pétillante qui caractérise l'album. Amaarae y joue les amoureuses délaissées avec une ironie mordante : "Sweetie, darling, pick up the phone and call me when you miss me". On imagine presque la chanteuse laisser ce message vocal tout en sirotant nonchalamment un cocktail au bord d'une piscine.  L'album ne manque pas de collaborations de choix. Sur "wanted", Amaarae s'associe à Naomi Sharon, nouvelle recrue du label OVO de Drake. Les deux artistes entremêlent leurs voix sur une production tout en finesse, créant un duo aussi inattendu que réussi.  Mais le véritable tour de force de cet album réside dans sa capacité à jongler entre les ambiances. "THUG (Truly Humble Under God)" est un hommage touchant à Young Thug, rappeur actuellement incarcéré. Amaarae y dévoile une vulnérabilité rare, sa voix portée par des cordes émouvantes et un piano mélancolique.  Côté production, on retrouve aux manettes des fidèles collaborateurs comme KZ Didit et Kyu Steed, qui signent ici un travail d'orfèvre. Les beats sont ciselés avec précision, mêlant habilement sonorités africaines, R&B contemporain et touches électroniques.  L'influence de Thugger se fait sentir tout au long de l'album, notamment sur "jehovah witness" où Amaarae adopte un flow rapide ponctué d'ad-libs jubilatoires. Sur "this!", elle pousse le mimétisme vocal jusqu'à pousser des cris de joie dignes du rappeur d'Atlanta.  Mais ne vous y trompez pas, Amaarae n'est pas qu'une simple imitatrice. Elle apporte sa propre touche à chaque morceau, insufflant une sensualité et une fragilité uniques à ses compositions. Sur "diamonds", elle transforme un titre dance en confession intime, prouvant que même les joyaux les plus précieux ne peuvent combler un cœur brisé. "roses are red, tears are blue" est un album qui se savoure comme un cocktail complexe. À chaque gorgée, on découvre une nouvelle saveur, un nouvel arôme. Amaarae y confirme son statut d'artiste caméléon, capable de passer du rire aux larmes en un battement de cils. Alors, que vous soyez d'humeur à danser jusqu'au bout de la nuit ou à pleurer sur votre ex, cet album a forcément un morceau pour vous. Amaarae nous rappelle que la vie, comme les roses, a ses épines, mais que même les larmes peuvent avoir la beauté du saphir. Un véritable joyau musical à écouter sans modération. via Blogger https://ift.tt/jfo9T1Z July 11, 2024 at 09:00AM
0 notes