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A CHABEUIL, MARIE POCHON ( Les Écologistes, pour le NFP) INVERSE LA TENDANCE DU PREMIER TOUR ET DEVANCE ADHÉMAR AUTRAND (LR-Ciottiste, soutenu par le Rassemblement National) QUI FAIT TOUT DE MÊME UN SCORE SOLIDE. POCHON : 52 % (2029 voix), CONTRE AUTRAND 48 % (1866 voix). CONSTITUTION D'UN PARTI 'NI-NISTE' LOCAL A L'AVENIR INCERTAIN, QUI RECUEILLE 9,4 % DES VOIX. MARIE POCHON EST RÉÉLUE DÉPUTÉE DE LA TROISIÈME CIRCONSCRIPTION DE LA DR��ME AVEC 56,6 % DES VOIX,CONTRE 43,4 % À ADHÉMAR AUTRAND. Analyse bureau par bureau du scrutin chabeuillois.
Toujours une très bonne participation à Chabeuil pour ce deuxième tour des élections législatives, à 72,3 %, dans la moyenne de la 3e circonscription (75%). On rappelle qu'au deuxième tour de 2022, cette participation tournait autour des 50 %. L'écart est donc considérable, sans qu'on puisse dire à coup sûr quel camp politique a tiré parti de cette mobilisation.
Avant la très puérile dissolution de l'Assemblée Nationale par le président de la République, Marie Pochon était députée de la troisième circonscription de la Drôme, dont dépend Chabeuil. Elle avait été élue en 2022, mais avec un score chabeuillois qui la plaçait en deuxième position derrière la sortante macroniste de l'époque, Célia de Lavergne ( 43 % ). En 2024, elle fait sensiblement mieux et rassemble 2029 voix (52 %) contre Adhémar Autrand (1866 voix, soit 48 %), un inconnu localement (et partout ailleurs) qui représente la tendance ciottiste des Républicains, soutenue par le Rassemblement National en la personne de Philippe Dos Réis, son suppléant. Marie Pochon gagne 800 voix par rapport au premier tour (on verra plus bas d'où viennent ces voix supplémentaires), ce qui manifeste une belle progression. Dans le même temps, Adhémar Autrand quant à lui ne progresse que de 490 voix.
Hormis aux dernières européennes, jamais le Rassemblement National n'avait obtenu un aussi bon résultat à Chabeuil, jamais présent en tous cas au deuxième tour d'une législative ou de tout autre scrutin local (départementales, etc...) Le score solide d'Adhémar Autran est à mesurer à cette aune : le Rassemblement National progresse dans une ville qui oscille d'ordinaire entre centre gauche (Pertusa maire PS puis LaREM pendant de longs mandats) et droite républicaine (Mariton-LR député jadis bien implanté à Chabeuil). Si Marie Pochon arrive en tête à Chabeuil, il n'empêche qu'elle ne gagne que dans trois bureaux sur six, laissant les trois autres glisser vers le RN. En tête donc aux bureaux 1 et 2 (centre ancien et faubourg proche), très nettement et plus légèrement au bureau 4 (lotissements récents), Marie Pochon finit derrière dans les trois autres bureaux chabeuillois : bureau 2 (ville-campagne, direction Nord Est), bureau 3 (lotissements vieillissant et néanmoins centraux) et surtout hameau de Parlanges, au tropisme d'extrême-droite qui finit par se remarquer.
Incontestablement, Marie Pochon doit sa progression en voix à un très fort travail de campagne, tractages sur le marché à de nombreuses reprises, rencontres aux sorties d'école, porte-à-porte soutenus, etc... Les autres équipes en présence, celle notamment de son adversaire du deuxième tour ayant été tout à fait absente à ces rendez-vous d'explication, mais celle aussi d'Alban Pano, maire de Chabeuil, présent au premier tour (suppléant sur un ticket LR-stricto censu) mais arrivé quatrième en ville et donc sacqué au second tour, dont la campagne a été au bout du compte très faible, ont fait pâle figure devant la mobilisation des équipes de Marie Pochon. Ces dernières ont vu arriver en soutien de très nombreux volontaires. Ceux-là, et plus souvent encore celles-là, particulièrement soucieuses et soucieux de ne pas laisser le Rassemblement National venir à l'Assemblée nationale : ils et elles ont retourné Chabeuil et ses environs. Mêmes causes et mêmes effets dans les petites communes environnantes : Marie Pochon fait de bons résultats à Combovin (57%), Peyrus (57%), Châteaudouble (61,5 %), Barcelonne (59,5%), Ourches (58%), en somme tout le pays de La Raye, le long de la montagne, en descendant vers Crest. La prime bien sûr à La Baume Cornillane (65 %), haut lieu parpaillot et qui, à ce titre, ne vote ja-mais à droite.
Au total, Marie Pochon doit son élection au sud de sa circonscription, c'est très net, où elle semble maintenant intouchable tant ses soutiens (élus, associations, société civile) sont nombreux et où elle fait des scores spectaculaires (Die, Nyons, les Baronnies, Crest etc...) et où son travail parlementaire a eu un impact notable. Et un peu à Chabeuil...sans plus...où il a fallu aller chercher les voix, pour contenir le Rassemblement National.
Mais Marie Pochon, non moins incontestablement, en tous cas à Chabeuil, a bénéficié de bons reports de voix en provenance du centre macroniste. Lander Marchionni (Ensemble : majorité présidentielle, cornaqué par Bernard Buis, influent sénateur de la Drôme ) avait obtenu près de 800 voix au premier tour du 30 juin, bon score à Chabeuil, dans la stricte moyenne de la circonscription. Il pouvait se maintenir ; il s'est désisté très vite, dès le lundi qui suivait le premier tour, dans des termes très clairs, appelant à faire battre Autrand et Dos Réis. La clarté et la rapidité de ce désistement a permis à ses explications de bien passer dans son électorat : 800 voix, c'est précisément la marge de progression de Marie Pochon entre les deux tours à Chabeuil, sa réserve de voix. Au bureau 4 par exemple, Lander Marchionni faisait son meilleur score à Chabeuil, souvenir sans doute des très bons résultats ici de Célia De Lavergne en 2022. Or, Marie Pochon passe en tête au deuxième tour dans ce même bureau par ailleurs passablement droitiste, indice supplémentaire de ce bon report macroniste à Chabeuil.
A l'examen de ces reports de voix, on comprend que le front républicain, qui a été l'évènement marquant de ce deuxième tour dans tout le pays, a fonctionné à Chabeuil où l'imprégnation centro-macroniste n'a semble-t-il pas disparu. Et ce front républicain avait été précédé d'un autre front, populaire celui-là, facteur d'union à gauche, facteur de mobilisation. Cette mécanique, improvisée dans l'urgence d'une dissolution précipitée, a bien plutôt bien marché dans la troisième circonscription, à la surprise générale. A Chabeuil aussi.
Du mouvement politique qu'on vient de décrire, le parti LR-classic s'est abstrait. La formule était à ce propos : 'ni-ni', très en vogue dans la Drôme et le valentinois où la daragonie-LR avait fait passer la consigne : ni extrême droite, ni Pochon, puisque son alliance avec La France Insoumise, faisait d'elle une 'extrémiste'. Bon...sans commentaires. Alban Pano, maire de Chabeuil, est membre des instances locales des Républicains : il est délégué de ce parti dans la troisième circonscription. Il était par ailleurs suppléant de Patricia Picard, conseillère régionale des plus transparente, vaguement connue dans le secteur de Suze-la-Rousse ; à eux deux, ils ont fait un petit 8 % au premier tour dans la troisième circonscription. Faiblard, et pas de quoi se maintenir. Mais ils ont rassemblé un modeste 17,8 % (754 voix, ce qui les a placé à la quatrième place à Chabeuil, la ville donc du suppléant Pano). Perdants, ils ont appliqué au deuxième tour le mot d'ordre national de leur parti, amplifié et bétonné localement par Nicolas Daragon, le féodal du coin, ci-devant maire de Valence. Résultat, le 'ni-ni' du maire de Chabeuil a conduit à un accroissement considérable du nombre des bulletins blancs ou nuls en ville, portés à 406 voix, soit 9,4 %, du jamais vu. Voix nulles et blanches qui ont de fait manqué à Adhémar Autrand pour doubler Marie Pochon à Chabeuil, puisque l'écart de voix entre les deux n'est finalement que de 163 au deuxième tour. Doit l'avoir mauvaise, notre ciottiste. Mais on voit bien que le compte n'y est pas : toutes les voix LR-Classic ne sont pas restées bloquées dans le 'ni-ni' d'Alban Pano : nombre d'entre elles, un peu moins de la moitié, sont allées au RN au second tour. On pressent bien sûr que ce 'ni-ni', une posture d'appareil en somme, n'est qu'un fusil à un coup : les électeurs LR vont bien vite s'habituer à voter direct RN, pour s'assurer d'une efficacité électorale 'de droite'.
Bloqué par le 'ni-ni' de la droite classique, empêché par le désistement de Lander Marchionni, dépassé par la mobilisation à gauche, débordé par les efficaces alliances locales du Front populaire, Adhémar Autrand pourrait se bercer d'amertume, et l'avoir mauvaise, comme on disait tout à l'heure. Que non pas. Citation (Dauphiné Libéré du lundi ! juillet) : '...plus de 7000 nouvelles personnes [au 2e tour] nous ont fait confiance. Il y a une dynamique très forte qui s'est inscrite, annonciatrice de victoires futures. Il y a énormément de communes où on est arrivés en tête. En 2026, je le rappelle, il y a les municipales'. Et c'est donc signé par un LR-Ciotti, qui n'a plus politiquement qu'un objectif : bouffer localement les Républicains de stricte obédience, que leur ni-ni n'a (faiblement) protégé que de manière très éphémère.
Deux député.es de gauche dans la Drôme : Marie Pochon dans la troisième circonscription et Paul Christophle (PS, pour le Front populaire) dans la première, dont dépend Valence. Avec, pour ce dernier de très beaux scores à Valence-ville, qui vont sans aucun doute changer la donne pour les prochaines municipales, en tous cas à gauche. Versus deux députés d'extrême droite, à Montélimar et à Romans. A Romans le maintien imbécile et têtu d'Emmanuelle Anthoine, pourtant sortie en troisième position au premier tour, a finalement favorisé l'élection de Thibaut Monnier, proche de Marion Maréchal, premier élu RN dans une quatrième circonscription de la Drôme qu'elle lui a donc offert sur un plateau. Elle avait été élue à 58 % en 2022 ; elle chute maintenant très lourdement et parachève la défaite de LR-Drôme. Lucide, elle analyse très froidement la situation : 'il y a une porosité entre l'électorat LR et RN. C'est clair et net'. Dans la Drôme, LR et Nicolas Daragon prônaient un 'ni-ni'. Ils obtiennent un 'et-et' en forme de tenaille, entre gauche et RN. 'Porosité' il y eut, porosité il y aura...voir comment ça va se manifester à Chabeuil...
claude meunier
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Small purse that I had fun making that represents Keyleth and Vax'ildan
#couture#creation#sewing#bourse#pochon#critical role#vox machina#keyleth#vax'ildan#castiel heartless creation
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Marie Pochon 🇫🇷
marie.pochon
#marie pochon#politician#french#blonde#brown eyes#black sweater#beauty#stunning#speech#speaking#poisonsome
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Chaussons Airplum et sacs pochons : le duo du confort sur mesure
Airplum propose une gamme complète de chaussons pour toute la famille, du bébé aux seniors. Pour compléter votre achat, découvrez les sacs pochons. Pratiques et esthétiques, ils permettent de ranger vos chaussons et de les transporter en toute sécurité lors de vos voyages. Procurez-vous-en un sur le site !
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STUDIO ARCHEOGENETICO SULL'ISOLATA COMUNITA' ALTOMEDIEVALE DI LAS GOBAS, SPAGNA SETTENTRIONALE
STUDIO ARCHEOGENETICO SULL'ISOLATA COMUNITA' ALTOMEDIEVALE DI LAS GOBAS, SPAGNA SETTENTRIONALE Uno studio archeogenetico getta nuova luce sulla comunità medievale di Las Gobas, nel nord della Spagna. Oltre all'isolamento e all'endogamia, i ricercatori hanno anche identificato il virus del vaiolo, che può offrire una nuova spiegazione su come possa essere stato...
#Anders Götherström#archeogenetica#Las Gobas#Ricardo Rodríguez Varela#Università di Stoccolma#Zoé Pochon
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"Futiles" série de pochons en plastique brodés d'Anaïs Beaulieu (2017-19) présentés dans la "Salle du Dais" dans le cadre de l'exposition "Made in France. Une Histoire du Textile" aux Archives Nationales, Le Marais, Paris, novembre 2024.
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Mes premiers rituels
I Le sort d'amour et d'attraction
(from : pinterest)
Pour ce rituel, il est conseillé de le faire un vendredi de pleine lune ou de lune ascendante.
Vous aurez besoin :
Stylo rouge-rose
Papier vierge de type parchemin
Quelques plantes relatives au désir (rose, jasmin, cannelle, basilic)/des encens naturels
Des bougies rouges ou roses
Un chaudron (ou récipient pour une combustion)
Charbon à encens
Une divinité à honorer (relative à l'amour, la sexualité, le désir, le succès, ...)
Une formule* (exemple ci dessous)
D'espoir :)
Pour ma part j'honorerai ici Lilith en guise d'exemple, mais vous pouvez adapter la divinité à vos croyances, l'important est la sincérité de vos actes.
Comment procéder :
Allumer la bougie et inscrire le nom et prénom de la personne aimée sur la feuille. Puis inscrire son propre nom et prénom et entourer les tout 3 fois.
Plier le papier 3 fois puis inscrire un symbole lié à l'amour dessus.
Une fois le charbon allumé, faire brûler les plantes/encens et réciter la formule*, papier en mains et faire brûler intégralement. Il vous est possible de faire tomber quelques gouttes de cire de bougie pour sceller le sort.
Après que les cendres aient refroidi, vous devez les déposer au pied d'une rosier.
Pour ce qui est de la formule voici un exemple :
"Je vous invoque Lilith, ô déesse de la passion, de la liberté et du courage, faîte que ma labeur et mes efforts permettent à {ses noms} de venir à moi. Ouvrez pour moi le chemin de son coeur, de l'amour et du bonheur. Très sincèrement, prochainement et pour toujours, merci."
Gardez en tête que la démarche doit être personnelle et sincère :)
II Le sort pour appeler la chance
(from : pinterest)
Pour ce rituel, il est conseillé de le faire un jeudi de pleine lune ou de lune ascendante.
Vous aurez besoin :
1 pochon en tissu naturel
2 bougies vertes (ou une verte et l'autre liée à l'aspect (rouge-amour, jaune-famille, ...))
1 encens fait maison (pissenlit ou trèfle)
Du sel (de même, la couleur/variété représente un aspect)
Une feuille de laurier où il faudra inscrire d'un côté ses nom et prénom et de l'autre ses initiales (+éventuellement un chiffre lié à ce qu'on recherche (7 pour en général, 9 pour la famille)
Une pierre précieuse pour mettre dans le pochon (pyrite, ambre, agate, émeraude, béryl)
1 objet marquant (une pièce, un trèfle à 4 feuilles, un bijou)
1 papier avec un sigil/symbole/sceau de chance
Une ou plusieurs runes ou symboles de chance à inscrire sur ses mains avant le rituel.
Une formule* (+éventuellement une divinité à honorer)
Exemple de formule : "Uolo felicitatem in uita habere"
Pour ma part j'honore Fortuna, déesse de la chance et du destin.
Procédé :
Installation : Jambes non croisées dans une pièce suffisamment sombre.
Allumez les bougies et brûler les plantes/encens en récitant la formule (jusqu'à la fin du rituel).
Mettre dans le pochon dans l'ordre : sel puis laurier puis plantes (au moins 3 différentes) et enfin le minerais.
Ajoutez l'objet et le papier en même temps dans le pochon et le nouer 3 fois avec une corde naturelle.
Garder le pochon en mains et se concentrer (rien ne doit rester, seules les intentions et l'incantation) charger d'énergie grâce aux mains et déposer sur un symbole de géométrie sacrée (pentagramme, Métatron, Merkaba ... ).
Laisser charger 3 jours et 3 nuits puis vous pouvez garder le pochon sur vous ou dans un endroit comme votre chambre.
Bonne chance ;)
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Mme. Marcella Sembrich, whose successes as a star of the opera were followed by widely hailed achievements as the mentor of singers after her retirement in 1909 from the Metropolitan and from the concert stage in 1916, died at 8 A. M. yesterday in her home, 151 Central Park West. She was 76 years old. She had been ill since last Nov. 15, with her condition becoming progressively worse as she lost strength. For the last few days death, which was attributed to emphysema and heart complications, had been hourly imminent. So widely was she known, however, not only in New York City but also in other cities of the United States and abroad, that the foreknowledge of the end did not dim the shock of her passing. Persons who called at or telephoned to her home yesterday forenoon for| news of her condition were in-'| formed of her death, and then to)! the apartment began a steady succession of messages of condolence and of callers to express their grief.
Son Present at the End. Recently, Mme. Sembrich had been in such a weak condition that she had received no callers. With her at the time of her death were her son, William Marcel Stengel, and her daughter-in-law, Mrs. Juliette Stengel. Her husband, Wilhelm Stengel, died in 1917. She had no other close relatives in the) United States. Until the onset of her illness she had remained actively at work as a. teacher. During the Summer she) had conducted the school she had maintained for a number of seasons at Lake George, N. Y. Many satudents got instruction there from her | rich store of operatic accomplishment.
New York in October and took up her residence in her apartment,which overlooked , Central Park. She went forward as usual with her teaching. Since her illness, however, which at first took the form of asthma and interfered seriously | with her breathing, all of her contact with her students had been curtailed. To conserve her strength, the utmost quiet was prescribed by her physician, Dr. Charles Goodman Taylor. Friends said yesterday, however, that her advanced ace had from the first made her, illnes a matter of serious concern to them. : Her teaching contacts previously had been linked both with the Juilliard School of Music here, and) with the Curtis School in Philadelphia. She was a director of the, latter institution until last year, and was the recipient of a degree of Doctor of Music for her work there. In accordance with what was understood to be a wish of Mme. Sembrich, and of her family, the funeral services will be simple. The services, it was announced, will be held at 3 P. M. tomorrow in St.Patrick’s Cathedral. There will be. no special music, other than that, by the boys’ choir of the cathedral. The place of burial was not made known.
Active pallbearers were announced as Cornelius N. Bliss, Serge Rachmaninoff, Josef Hofmann, Ernest Hutcheson, Ernest Schelling, Frank Ia Forge, Wilfred Pelletier, André de Coppet, Walter Damrosch, Antonio Scotti, H. H. Flagler, W. J. Henderson, Richard Aldrich, Emilio de Gogorza, Edward Ziegler, Adolfo) Betti, Efrem Zimbalist and Paul D. Cravath. | Honorary pallbearers will be Giulio Gatti-Casazza, John Erskine, Francis Rogers, Alexander Siloti, Ugo Ara, Dr. W. H. Haskin, Adolph S. Ochs, Alfred Pochon, Rubin Goldmark, Sigismund Stojowski and Dr. J. A. Taylor.
When Marcella Sembrich sang her |farewell to opera on Feb. 6, 1909,her voice was young and beautiful. The final rise of the curtain that | night revealed her enthroned on | the Metropolitan Opera House) stage. Grouped about her was every member of the Metropolitan Opera Company. Facing her was an audience that filled every foot of floor space from the doors to the roof. Gifts were piled high beside her throne and great masses of flowers | stretched into shadows far down. the stage. “It is because I like the sun best | when it is high,’’ she said, in ex- | planation of her retirement. ‘‘It is | better that I leave when every one is asking ‘why?’ than later when. my ability might be less.’’ * She was then within nine days) of being 51 years old. She had | reigned at the Metropolitan for| more than a generation; she had/| typified for three decades here and| abroad the highest perfection of| bel canto singing. Just as Mme. Adelina Patti had done before her, she had kept alive the old traditions of Italian song, and with Melba she had carried on to increasingly greater heights the traditions of the old Italian mastery of the voice. She had found success early and it had lasted long. In her bright career was no place for anticlimax. She never could recall a time when music was not the chief interest of her life. There were piano lessons when she was 4 years old; lessons on the violin two years later. After she had developed a remarkable ability on both instruments recognition of her extraordinarily appealing and expressive colorature soprano voice came when she was 15. So she had, as Franz Liszt told her, ‘‘three pairs of wings to fly with through the land of music.”” ‘‘But sing,” he had ordered, ‘‘sing for the world, for you have the voice of an angel.’’ Music, poverty and endless work made up her childhood. She was born Praxede Marcelline Kochanska on Feb. 15, 1858, in the hamlet of Wizniewczyk, Galicia, Poland. Her father, Kasimir Kochanski, one of fourteen children of a tanner, had run off and joined a military band. Leaving to marry, he had learned to play all the musical instruments and was able to make a passable living by his skill.
The family made up a home quartet. Her mother, whose maiden name was Sembrich, played second violin, her brother first violin, the father a ‘cello and Marcelline the piano. They wandered about seeking pupils. As the daughter grew older she played piano to her father’s violin in the homes of the minor nobility and rich townsfolk, Always very poor, they had to borrow the scores of Haydn and Mozart, and the daughter worked by candlelight, copying the parts. She was 12, alert and confident, a self-supporting artist—she lived very cheap—when she met her first patron. A wandering singer of folk-songs, Father Lanovich, liked her instrumental accomplishments so much he helped her to enter the conservatory at Lemberg. In three years one Wilhelm Stengel, instructor of piano, taught her all he had to teach. He took her to Liszt and the great man talked of her wings. He gained her a hearing wit: Epstein, who accepted her as a student of piano and to Helmesberger, under whom she studied the violin. He took her to Rochitansky, in Vienna, under whom she _ studied voice. Then, when she was 19 years old and ready for her début he married That year of her début and marriage, 1877, she wintered in Milan, learning from the younger Lamperti that Italian ‘‘bel canto’’ which she was later to make her special art. To Milan then as now came impresarios seeking singers. Marcelline had two offers. One would have taken her to Tiflis, across the Black Sea. The other called to Athens and she accepted it. The night of her début was June 3, 1877. It was very hot; the opera was at Phaleron by the sea. The King entered the royal box and the opera, “‘I Puritani,’’ started. The new singer was well received, but ee was no great sensation about it.
In the next year advisers on her musical career worked. over her name and molded it into Marcella Sembrich. She appeared as Sembrich at the Saxon Royal Opera at Dresden and had an immediate and tremendous success. A two-year engagement in Dresden followed.
Then she made her London début at Covent Garden in 1880. It was in ‘Lucia’? and the critics reported that London was dazzled by her vocalization. A season of grand opera in Madrid followed directly and then the first of fifteen seasons in St. Petersburg and Moscow. Those were great days for the opera. The gracious applause of royalty was important and thrilling then. The young singer had much of it. Orders and decorations and royal gifts began overwhelming her. But in 1883 she left Europe for New York.
She came in stirring times. A war was on between the old and the rew. Insurgents from the old citathe Academy of Music, had joined with considerable recent wealth to build the Metropolitan Opera House, familiarly known As the ‘‘White Elephant,’’ where every one with enough money could sit in a box and show off gowns and jewels. Adelina Patti was retained by the old; Christine Nilsson by the new. | Marcella Sembrich, then only 25) years old, rated next to Nilsson in| in “‘Lucia,’’ the second opera it, gave, and sang Patti’s roles. By the end of the season the critics could find no praise too She was not, of coursé, favored above Patti. When Patti Sang the Academy was two-thirds For Patti was was Queen of But Marcella Sembrich did make a real place for herself. Her great night of that first year was April 21, 1884. Henry E. Abbey, impresario for the Metropolitan, had found hard going that first year. He had gambled on exrensive productions and lost heav‘- .. A benefit was given for him. The littl. girl whose father could play all the instruments in the band showed off her three pairs of wings. She sang an aria from ‘“‘La Sonnambula,’” she played a nocturne by Chopin and furnished the violin obbligato to Gounod’s ‘‘Ave Maria,’’- sung bv Miss Nilsson. One critic the next day described her as a “‘meteor in a galaxy of More Singing Lessons, England and many long tours of the Continent followed. She appeared in opera and concerts in St. Petersburg, Moscow, Warsaw, Berlin, Paris, Madrid and lesser capitals, sharing the first honors of Italian opera with the most distinguished artists of her generation and with the great ones who had been famous when she was still playing for dances in Galicia. In 1897 she came back to America for a concert tour, and in ovember, 1898, rejoined the Metropolitan Opera Company. In the Metropolitan’s répertoire she made the operas of the florid Italian school inevitable. In the succeeding seasons she lost none of her vocal powers. Several stars of the last generation made their debuts by her side. She reappeared as Gilda on Nov. 23, 1903, for Caruso’s American début as the Duke in ‘‘Rigoletto’’ and she sang with him in his first successes. There were several reasons why she retired in 1909, when her career was at zenith, when she was winning the operatic honors and popularity that were to be equaled only by Caruso. One was that fashions in opera had changed. In her younger days, as she put it, you just came out In your nicest evening frock and sang. But by 1909 the dramatic opera had pretty much taken the place of lyric opera and she found that while the public had once wanted to hear only the old operas sung over and over again, they then wanted ‘‘a new role every week.’’
For some years. after retirement from opera she continued in concert tours both here and abroad. ‘“‘Gradually,’’ she had said in re-calling the period, “I began to feel the desire of transmitting to the younger generation of today the art that I had learned so thoroughly. and practiced so long.’’ After the death of her husband in 1917 she withdrew entirely from the public platform and devoted her time and energy exclusively to teaching. Aspirants came to her and she selected and labored over the most promising. Stars of the Metropolitan and other companies came also; ‘‘for inspiration,’’ they always said, but Sembrich’s aides ‘the ichestra, she appealed to the public knew they were seeking perfection. When the Juilliard Foundation was established in New York and the Curtis Institute of Music in Philadelphia she was called to head the departments of voice. In the succeeding years at New York, Philadelphia and at her estate in Lake George pupils from all over the world assembled for her tutelage. She gave many stars to the musical | firmament. Her most. successful pupils included Dusolina Giannini, Queena Mario, Alma Gluck, Hulda Lashanska, Harriet van Emden, Ethyl Hayden, Florence Page Kimball and many others. Her great hope in the last few years of her life was that America should have a national opera— opera through a movement that should reach out to every part of the country, bringing to the nation the culture that goes hand in hand with musical development. It would utilize American talent and its productions would be entirely in English. It was on behalf of this movement that she appealed to the public béginning in 1930 when the depression threatened the American opera. First her efforts were in behalf of the American Opera Company. Then she returned to the stage of the Metropolitan on Feb. 26, 1933, at the jubilee stage show, and begged her old friends to help the Metropolitan, urging the company and its followers to ‘‘carry on.”’
For the Metropolitan, as well as Philharmonic-Symphony Oragain on her seventy-sixth birthday on Feb. 15, 1934. Paderewski, her friend of many years’ standing, sent her the following message on this birthday: ‘‘Most affectionate. wishes and greetings to the greatest and noblest artist and friend, from Paderewski."’ Except for such occasions, and in addition her chairmanship of the Polish-American Relief Fund during the war, she remained in retirement from the public eye. But in the world of music, even to her last days, retirement was not for her. She occupied a position in American music such as Liszt had in the Weimar days. Musical notables came to her studio, her ‘“‘trophy room,” as she called it. Surrounded by mementos of Brahms, Verdi, Rubinstein, Gounod, Thomas, Paderewski, Modjeska, Joachim and Clara Schumann and others of the great artists who had worshiped her talent, she was sought for the gospel of perfection with which she inspired fellow-musicians. In those last years most of her time was spent in America, her Winters in the apartment facing Central Park, replete with cherished reminders of her lifelong triumphs; her Summers at Lake George at the estate she had established with her husband and teacher, and-to which they used to repair in the early days of her retirement. She was one of the really great personalities in the music world, one of the great ones whose sun was always high.
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Ciarán Hinds as Pochon in The Statement / shoot
Nothing to worry about.
He makes the cutest face when he shoots a gun.
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[English] I accidently dropped the pouch in which I carry my crystals and now I don't know if I should cry because I broke my citrine or be happy of having a third one... [Français] J'ai accidentellement fait tomber le pochon dans lequel je porte mes cristaux et maintenant je ne sais pas si je dois pleurer parce que j'ai cassé ma citrine ou être contente d'en avoir une troisième...
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Marie Pochon 🇫🇷
marie.pochon
#marie pochon#politician#french#blonde#brown eyes#blue coat#floral dress#sash#tricolore#beauty#stunning#poisonsome
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Des chaussons légers et pliables pour le voyage avec Airplum
Vous comptiez prendre l’avion prochainement ? Si oui, pourquoi ne pas choisir des chaussons de voyage Airplum ? Légers, souples et pliables, ils se glisseront facilement dans vos valises, facilitant le transport. N’hésitez pas à commander des sacs pochons, disponibles dans la section « Accessoires » du site
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North Korea claims significant progress in drone defence after joint military drills
North Korea’s military and intelligence services claimed success in a recent joint electronic warfare exercise, strengthening their ability to detect and jam radar along the Chinese and South Korean borders, Korean media reported on Tuesday.
North Korea’s Ministry of State Security presented these findings to the heads of radar bureau departments on December 9 in an analytical report on the exercise. The report emphasised increased cooperation between the ministry’s radar bureau and electronic warfare specialists from the Korean People’s Army (KPA) General Staff Directorate, especially in countering potential drone incursions.
Analysts said the data collected during the exercise helped optimise radar jamming equipment and improve the efficiency of command and control management for real-time information sharing between the ministry and the military. The ministry stressed that this first-ever joint exercise involving the radar bureau marked significant progress in real-time frequency detection and jamming with new equipment, saying that response times to enemy drone intrusions improved by an average of 30 per cent.
The exercise, which appears to be a direct response to an alleged incursion by South Korean drones into Pyongyang, signals the regime’s intention to increase coordination between the military and intelligence services while modernising electronic warfare countermeasures. North Korea now plans to hold such drills regularly to maintain and improve its technical capabilities. The source said:
“The ministry is reviewing options to acquire additional electronic warfare equipment and expand the radar bureau’s role. These proposals will be presented at the party’s year-end plenary session.”
The ministry is already drawing up plans to strengthen electronic and information warfare countermeasures for next year, citing possible future drone incursions by South Korea and other adversaries. The source added:
“The ministry likely aims to centralise electronic warfare countermeasures under state control while upgrading military capabilities and technological advantages.”
Technical experts from the ministry’s radar bureau and the radar and electronic warfare bureau of the KPA General Staff General Directorate participated in the joint exercise, which took place from on November 6-18. The operations were conducted in six strategic locations, namely Hoeryong in North Hamgyong Province, Pochon in Ryanggang Province, Vivon County in Jagang Province, Sinuiju in North Pyongan Province, Chorwon County in Gangwon Province and Pyongsan County in North Hwanghae Province.
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Tribunal de Pontoise : « Rien ne permet de dire : Monsieur, vous vous moquez du monde ! »
https://justifiable.fr/?p=1940 https://justifiable.fr/?p=1940 #dire #monde #Monsieur #moquez #permet #Pontoise #Rien #Tribunal #vous Un jeune homme de 21 ans est jugé le 21 novembre par le tribunal correctionnel de Pontoise, pour de la détention de cannabis et une rébellion, dont il se défend. Tribunal de Pontoise (Photo : ©J. Mucchielli) Ayoub est assis au premier rang avec sa mère. Le tribunal entre. Ayoub et sa mère se lèvent, elle se rassoit, il s’avance à la barre. Son avocate approche du tribunal, le président l’avise : « Maitre, si vous voulez développer vos conclusions de nullité, c’est maintenant. — Eh bien non, Monsieur le président, après avoir discuté avec Mme la procureure, j’ai décidé d’y renoncer. — Ah, parce qu’elle vous a convaincu qu’on était en flagrant délit ? — Non, ce n’est pas pour ça. — Parce qu’il y avait un chien qui a senti le stup’. Chien, odeur, flag’ = policier, odeur, flag’, c’est la Cour de cassation qui l’a dit ! » Ambiance débonnaire. Le juge assesseur à droite est hilare. En clair, le chien est le prolongement du policier et le fait qu’il sente une odeur de stupéfiant permet une intervention en flagrant délit. « Est-ce que le policier qui se constitue partie civile est représenté ? — Non, elle n’est pas venue, à cause de la neige ! » avertit la greffière. Ayoub est bien là. Le 28 février 2024 à Saint-Gratien, il était chez lui, quand les policiers municipaux ont ressenti une forte odeur de cannabis émanant de la boite aux lettres de l’appartement 102. Ils appellent la police nationale. Un policier jette un œil par la fente et voit un sac en plastique bleu. À ses côtés, le chien émoustillé confirme. Ils mettent en place une surveillance de la boite aux lettres. « C’est une erreur du facteur ? » Ils attendent deux heures avant qu’un jeune homme ne descende relever le courrier. Ayoub ouvre la boite aux lettres et saisit le sac bleu. Les policiers lui sautent dessus. Ils le mettent au sol, Ayoub se relève. Il s’appuie sur un fonctionnaire, qui chute. Il tente de s’extirper de la masse de bras et de jambes qui tentent de le retenir au sol. Un policier finit par user de son pistolet à impulsions électriques, Ayoub se raidit, se fige et se rend. Dans le sac, 72 grammes de « produits stupéfiants », dont on devine qu’il s’agit d’herbe de cannabis. D’un ton toujours aussi débonnaire, le président demande : « Alors, qu’est-ce qu’il s’est passé, Monsieur ? — J’étais chez moi, je suis descendu pour prendre le courrier, ils m’ont sauté dessus, et comme je suis quelqu’un de sensible, j’ai pris peur. — Mais vous avez bien vu qu’il s’agissait de policiers. — En fait, ils ont crié, mais comme ils m’ont directement sauté dessus, je me suis débattu par réflexe. — Comment expliquez-vous la présence d’un sachet rempli de produits stupéfiants dans votre boite aux lettres ? — Je ne l’explique pas. — C’est une erreur du facteur ? — Aucune idée. — Qui habite dans cet appartement ? — Mes parents et ma famille, en tout 6 ou 7 personnes. — Est-ce qu’il y en a qui consomment des stup’ ? — Non, pas à ma connaissance. — On a exploité votre téléphone et il n’y a rien qui vous relie aux stupéfiants. Vous consommez — Non pas du tout. » Ayoub n’a par ailleurs jamais été condamné, ni même été concerné par une procédure judiciaire ou policière. La procureure pose la même question que le juge sur la raison de la présence du « pochon » d’herbe dans la boite aux lettres, et Ayoub fait la même réponse en écartant les bras, en ouvrant la bouche, puis en la refermant et en laissant retomber les bras sur ses hanches anguleuses. Le parquet est ennuyé. « J’ai conscience qu’il n’y a pas énormément de chose, les policiers notent qu’il ouvre la boite aux lettres et prend directement le stup’. J’ai dû mal à croire que quelqu’un l’y a mis par erreur. » Pas de problème pour la rébellion en revanche, qui lui semble parfaitement caractérisée. Elle demande 105 heures de travail d’intérêt général. Pris de panique L’avocate n’a pas parlé, alors elle se rattrape. « Je veux bien que les enquêteurs n’aient pas la même formation en droit que nous, mais ils pourraient faire un effort sur la qualification », dit-elle en préambule (ils ont simplement écrit « Rébellion » et « détention de stupéfiant »). Elle explique ensuite qu’il ne vit pas tout seul et qu’à partir de là, le doute reste entier. « Rien ne permet de dire : Monsieur, vous vous moquez du monde ! » Sur la rébellion : « Il est dans son hall d’immeuble, dans un espace qui est le prolongement de son domicile, on peut imaginer qu’il se retrouve pris de panique et qu’il a juste essayé de se relever et de se carapater. » Elle demande la relaxe et, subsidiairement, de le condamner à des jours amende plutôt qu’à des TIG, puisqu’Ayoub a un travail rémunéré. C’est ce que fera tribunal : 60 jours-amende à 10 euros pour la rébellion, relaxe pour la détention de cannabis. https://www.actu-juridique.fr/penal/tribunal-de-pontoise-rien-ne-permet-de-dire-monsieur-vous-vous-moquez-du-monde/
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Xavier Raufer : "Les narcos vendent la cocaines dans des pochons à l'eff...
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