#plume sergent major
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Bonjour, bonne journée ☕️ 💼
Encrier et plume Sergent Major ✒️ 1956/57
Photo de Robert Doisneau
#photooftheday#photography#black and white#vintage#robert doisneau#école#écoliers#encrier#plume sergent major#bonjour#bonne journée#fidjie fidjie
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Bonne année 2018 !
#geoffreygrimal#ink#nib#kuretake#sumi ink#Zig#fedrigoni#drawing#forest#foret#monstre#monster#quenouille#encre de chine#plume#sergent major
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C'est quoi ce machin là ???
Un encrier dans lequel on trempait notre plume sergent major fixée à l'extrémité d'un porte-plume
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L'époque de la cigarette — encre de Chine (plume Sergent-Major), carnet nº 70, 2000.
#2000#cigarettes#duo#couple#interior#cigarette#fumee#carnet 70#encre de chine (plume)#discussion#fumeur
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La plume Sergent-Major est une plume métallique utilisée dans les écoles françaises pour l'apprentissage de l'écriture à la fin du XIXe siècle et jusqu'aux années 1970. Comme celui de ses corollaires, le porte-plume, l'encrier de porcelaine blanche et l'encre violette, son nom évoque les bancs de l'école républicaine, ou privée, gratuite ou payée, laïque ou confessionnelle, et obligatoire.
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Mardi 28 avril 2020.
Je suis à une kermesse avec T. Je suis déguisé en plume sergent major avec le flacon d'encre et lui en ours avec son pot de miel. Il y a des tables pour manger. Deux places contiguës sont libres. On demande à s'asseoir. On y va et la placeuse dit "oh non ils vont renforcer le lobby gay !" Elle ressemble à ma cousine V. Ensuite on déambule et on voit une attraction. Un homme peint avec un stylo pinceau. Mais il dessine TOUT. Tout l'univers est représenté dans les feuilles qui défilent sous ses mains à la vitesse d'une photocopieuse. Je prends conscience que quand je dessine je me connecte à lui et que c'est lui qui dessine. Il y a aussi une histoire avec des achats de vêtements ou bien de sacs. Dans le sac un portefeuille qui contient des billets transparents. Ils sont froissés, en boule. Quand je les défroisse et les empile pour les ranger dans le portefeuille, celui-ci devient énorme. Presque sphérique.
Je regarde de plus en plus de feuilletons et je me demande à quel point, à quel degré ils m'influencent. Le coup du portefeuille vient d'un Barnaby (polar anglais) ou quelqu'un à le portefeuille de l'autre.
Aujourd'hui pas d'ombres car pas de soleil. La sauge sur laquelle j'ai marché à l'air d'aller bien. J'ai cassé une branche et on l'a replantée.
"On croit qu'on perd quelqu'un mais en réalité on l'incorpore" S. Fontanel à propos de son père. Peut-être que je suis apaisé, plus calme parce que je t'écris moins ici ? Tu penses peut être que je n'ai plus besoin de le faire ? Peut-être que je t'ai incorporée ?
Réunion. On me vole mon après midi même s'il fait gris et qu'il pleut. Je m'échappe histoire de faire ma photo du jour (la pluie dans la piscine à oiseaux comme du verre fondu). J'ai dessiné le double rêve de cette nuit. N le surnomme La plume sergent Major Fatal. La réunion est finie et je suis épuisé. Il recommence à faire quelques rayons de soleil. T est allongé sur le canapé et commence à ronfler doucement.
Pluie dans la nuit.
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L'épuisement
Partie 1
Le crissement des feuilles sous les pneus, une mélodie morbide, des craquèlements comme autant de petits os que l'on broie. Sous un lit de feuilles mortes repose un ossuaire de souvenirs putrescibles. Je sors de la voiture et le bruit continue sous mes pieds, je foule un tapis fragile rouge, jaune et brun et cette symphonie de plaintes m'accompagne jusqu'à l'entrée de ce petit chalet. Le charme agissait encore. Je laisse tomber ma valise sur les planches de l'entrée. Je n'ouvre pas, je marque une pause comme pour admirer une personne qui nous a manqué, se rassurer que le temps n'a pas usé la beauté restée intacte dans nos souvenirs. La construction traditionnelle de cette fuste d'une élégance alpestre m'avait conquis. Ce refuge situé sur les hauteurs du hameau qu'il dominait fièrement se laissait possédé par la forêt dense en été, squelettique en hiver et agonisante en ce début d'automne. On l'avait posé là, imperceptible presque irréel. J'entre dans le petit salon tout n'est que bois et poussières, un mémorial. Mon bureau face à la fenêtre garde précieusement un organisateur de bureau, un vieux porte plume Sergent Major, des carnets d'écritures et ma platine vinyle une Rega Planar 3 un petit bijoux de la fin des années soixante-dix. J'ouvre le couvercle un trait lumineux de particules de poussières danse une valse comme une prémonition douloureuse. J'enclenche le mécanisme "Take this waltz" de Leonard Cohen comble le vide sonore du chalet d'une douce mélancolie. Nina était présente la fois dernière, elle dansait en dessinant des demis cercles avec ses pieds dans les lumières doucereuses d'un crépuscule d'été. Ce vieux vinyle de mille-neuf-cent-quatre-vingt-huit sonnait comme neuf et le souvenir qui me torture aujourd'hui sonne comme neuf lui aussi. Après avoir dépoussiérer le chalet, je me sers une dose d’absinthe dans un verre spécifique selon le rituel de préparation de ce subtil breuvage, lorsque les premières gouttes traversent le sucre puis la pelle au goutte à goutte je capture l'image de la fée bleue qui s'échappe du précieux liquide.
Al Séraphe - Fulgure... puis la nuit ! - "L'épuisement"
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Le bon vouloir du mage
Le bon vouloir du mage
guide la lecture du 82è objet des 107 RECITS, sous la plume sergent-major d‘Isabelle de Montfort, à saisir dans la Sentimenthèque.
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TUTO : PAGE BLANCHE ? CONNAIS PAS ! / 68
Aujourd’hui, je m’étonne énormément quand j’entends qu’il existe toujours des gens qui vivent dans le syndrome de la page blanche. De mon temps, je me rappelle, à peine, qu'il m’arrivait de coincer lorsque je m’attaquais à l’écriture de mes scénarii de bédé. « Que vais-je raconter aux gens, cette fois ? pensais-je.
Depuis, beaucoup d’encre est passée par mes plumes Sergent Major, mes stylos Bic et mes feutres et markers. Depuis aussi, mon muscle intellectuel s’est rôdé à démarrer au quart de tour pour pondre beaucoup d’idées, postillonner les mots comme une radio, conjuguer les temps et jongler avec les genres, etc., et patati et patata.
Hassan, notre journaliste fut le premier à me surprendre chaque fois qu’il attaquait ses articles d’arrachepied sans avoir préparé ni brouillon ni le moindre plan. Je me rappelle les années où les directeurs de sociétés dépendaient des secrétaires spécialisées en sténo dactylographie pour saisir leurs textes. La rédaction de documents coutait trop cher en temps gaspillé par le patron et en argent, le salaire des secrétaires. L’informatique a tout jacassé. Les patrons avaient regagné leur temps perdu et les simples secrétaires s’étaient converties à des tâches plus nobles. C’est ce qui m’est arrivé à moi aussi. En web marketing, le domaine fourmille d’idées qui à mon avis, ne doivent plus se bousculer si elles veulent qu’on les serve. Faire la queue est obligatoire. Je vais profiter de cette transition inattendue pour vous expliquer comment je fais pour ne jamais me retrouver face à face avec une page blanche. Gardez cet article sous le coude pour vous habituer à ma méthode. Vous avez besoin d’un petit rodage pas trop méchant pour y arriver. Votre erreur c’est d’attendre le dernier moment pour vous attaquer à un nouveau sujet. Ce que vous devriez faire c’est d’avoir à bout de bras une feuille et un crayon pendant que vous n’avez pas encore terminé un travail en cours. Vous êtes-vous déjà posé la question pourquoi il nous est très difficile de nous focaliser sur une tâche précise ? Il n’existe pas d’humain qui travaille sans que son cerveau ne gambade pas ailleurs. Moi, toi, lui et elle, nous sommes tous faits comme ça. Alors, autant en profiter. Je m’explique : en web marketing, je peux facilement penser à préparer un sujet sur une chaine YouTube en travaillant sur un thème sur les chiens ! Vous avez compris ? Un chien / une chaine. Facebook / la photographie. Votre propre clavier / Microsoft Word. L’expression « chercher la petite bête » / l’impossible jargon que l’on utilise en web marketing. Ou toute autre chose et n’importe quoi. Vous pouvez préparer des dizaines de sujets comme ça avant d’avoir terminé le travail en cours. Vous voyez, c’est facile. Mais il fallait seulement y penser. Personnellement, je fais une liste d’idées numérotées de sujets qu’il me plait de rédiger. Personnellement, à ce moment précis où j’écris Ç-A, j’ai en stock 95 différents sujets qui font la queue gentiment pour être traités. Ainsi, sachant que je produis un contenu par jour, je pourrais facilement prévoir 365 titres de sujets. Toute une année. Une fois la page blanche a fini d’être et qu’il faut maintenant passer à autre chose. La liste est là, il faut passer à la suite ou n’importe quel autre sujet qui vous parle pour assurer la suite. Puis c’est la documentation, le fixage des grandes rubriques, le remplissage des sous-rubriques et la rédaction. Ceci bien entendu est conseillé pour les taches trop techniques, sinon, si vous maitrisez très bien votre sujet, vous lâchez vos chevaux, ils feront le reste. Mais, rappelez-vous, gardez toujours sous le coude votre bout de papier et votre crayon.
Merci de votre attention.
lien Facebook : https://web.facebook.com/saidchakriwebmarketing
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Tout n'est pas parfait dans le monde moderne mais nous pourrions être au paradis ou peu s'en faut si nous avions la lucidité et le courage de relever les grands défis de notre époque.
Si l'on en croit les enquêtes d'opinion, c'est chose certaine aux yeux d'une majorité de Français. Invariablement, en effet, la France y figure dans les tout derniers rangs. Selon une étude publiée en 2014 par Le Point, seuls 43 % des Français se déclaraient heureux ou très heureux, contre une moyenne de 70 % sur l'ensemble des 65 pays pris en compte. Au total, ils se classaient au 55e rang, juste devant des États en guerre ou en faillite. Seuls 17 % de nos concitoyens pensaient que l'avenir serait meilleur, les autres étant convaincus qu'on va vers le pire.
Depuis, la peur des nouvelles technologies n'a fait qu'empirer les choses. Un sondage Ifop de 2017 montrait que 64 % des Français ont peur de l'intelligence artificielle, 71 % pensent que les destructions d'emplois seront supérieures aux créations. D'après un sondage CSA de 2018, 43 % des Français estiment que les robots vont rendre les humains obsolètes!
Il faut dire que nos pessimistes professionnels, qui sous les dehors d'une marginalité feinte dominent en réalité le paysage intellectuel, surfent sur la vague: effondrement du système éducatif, horreur économique, mort de la civilisation européenne, malbouffe, fin des paysans, victoire de la com sur l'info, érosion du lien social, éclipse du bien commun, victoire de l'individualisme, déconstruction des traditions sous les coups de boutoir du libéralisme, suicide français, défaite de la pensée, bilan de faillite, insécurité culturelle, mépris de la France périphérique, perte de l'identité nationale, voire disparition de la France tout court sous l'effet d'une mondialisation malheureuse, déshumanisation technicienne, tout est bon pour casser le moral!
L'Europe, le continent phare de l'humanité
Pascal affirmait qu'il y a toujours une part de vérité dans les opinions même les plus fausses. Et de fait, c'est l'évidence, tout n'est pas parfait dans le monde moderne. On aimerait simplement que nos déclinologues relativisent le propos, qu'ils comparent avec un minimum de sérieux notre époque aux précédentes, qu'ils se souviennent de ce que furent les années 1930, des deux cents millions de morts du nazisme, du stalinisme, du maoïsme et des régimes fascistes d'Amérique du Sud, qu'ils pensent aux temps de l'occupation et même à cet après-guerre où l'on manquait de tout.
On aimerait qu'ils réalisent que la génération du baby-boom est la première à ne pas avoir connu la guerre. On aimerait qu'ils admettent que les famines ont presque disparu, que l'extrême pauvreté est devenue marginale et que le monde, contrairement à ce qui se dit ici ou là, est moins inégalitaire que jamais. Mais il est vrai qu'on ne fait pas de bons articles sur les trains qui arrivent à l'heure.
Émettre un bémol sur la noirceur de l'époque, sur sa déréliction et sa bassesse, c'est déjà passer pour un imbécile heureux
Annoncer l'apocalypse est désormais un passage obligé, un préalable indispensable à cet air de profondeur morose qui sied à l'intelligence. Émettre un bémol sur la noirceur de l'époque, sur sa déréliction et sa bassesse, c'est déjà passer pour un imbécile heureux voire, pire, pour un optimiste libéral, un collabo de la modernité.
Pourtant, si l'on refuse, contrairement à Rousseau, d'écarter tous les faits, il est incontestable que l'Europe reste comme jamais le continent phare de l'humanité, un espace unique de prospérité, de protection sociale, de liberté politique et religieuse, de création artistique, littéraire, philosophique et scientifique, mais aussi de laïcité, d'autonomie, de respect du droit des femmes comme il n'y en eut nulle part auparavant et nulle part ailleurs. Du reste, les flux migratoires en témoignent assez qui vont rarement de chez nous vers la Syrie, l'Irak, le Yémen ou le sub-Sahel.
Si nos vieilles démocraties républicaines sont aujourd'hui menacées, c'est pour l'essentiel du dehors, par le fanatisme religieux, et pour ce qui relève de l'intérieur, ce n'est pas d'un excès de libéralisme, mais de son défaut qu'elles souffrent, le pessimisme généralisé qui tourne les yeux vers nos splendeurs passées au lieu de nous pousser à investir dans l'intelligence et l'innovation ne faisant qu'aggraver la situation. Nous pourrions être au paradis ou peu s'en faut si nous avions la lucidité et le courage de relever les défis de la troisième révolution industrielle, celle du numérique, de la robotique et de l'intelligence artificielle, au lieu d'idéaliser la IIIe République, ses blouses grises et ses plumes Sergent Major. Si l'Europe est menacée, ce n'est pas par manque de passé, mais par manque d'avenir, parce que emportée par une vague de pessimisme et de nationalisme elle ne se perçoit plus comme une puissance capable de peser sur le cours du monde.
#civilisation européenne#flux migratoires#nouvelles technologies#enquêtes d'opinion#extrême pauvreté
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Ėcrire, dit-elle
Au début il y a l’image. En noir et blanc ou en couleurs. Dessin, décalque, portrait, paysage. Elle traverse toute l’enfance avec ses diverses formes et bigarrures. Ça va des anges aux fleurs en passant par un petit chien, un bonhomme, une maisonnette. Ou bien c’est le Père Noël, des oranges, du chocolat, que sais-je. Sans parler de Tintin et Milou et du capitaine Haddock dans les albums d’Hergé. Ainsi encore, le petit missel qu’on reçoit à la première communion est plein d’images colorées. Il y a Jésus, le prêtre en chasuble, l’hostie toute ronde marquée d’une croix en filigrane, le ciboire, les cierges allumés, des enfants aux mains jointes, qui nous ressemblent. C’est tout un monde haut en couleurs, qui copie et confirme – mais en plus étincelant –, celui qu’on connaît ou imagine.
Or après les images viennent les mots qu’on apprend à écrire. Le mot MOT par exemple s’écrit avec un M, un O et un T. Dans l’ordre. La première majuscule s’écrit comme deux pics en enfilade : une montée, une descente, puis une remontée et une redescente. Le O a la forme d’un cerceau, d’un ballon de foot ou de la mappemonde qui trône sur le pupitre du maître. Le T enfin ressemble à un manche de bêche ou à la règle que les grands utilisent en classe de géométrie. Voilà, on a réussi à écrire le mot MOT ! Et pour le lire à haute voix, on prononce les deux premières lettres et on laisse tomber la dernière.
On apprend ainsi à écrire des dizaines de mots à la plume sergent-major ou au crayon noir sur les pages doublement lignées de notre cahier. D’abord en majuscules, puis en minuscules. Parmi ces dernières il y a celles qui restent sagement entre deux lignes, comme le a, le e, le o. Puis celles qui débordent au-dessus ou en-dessous. Le b, le l et le h, par exemple, aiment bien se pousser le col pour regarder les autres de haut, tandis que le g, le p et le y plongent sous la ligne de flottaison. Il y a aussi une lettre qui fait pouffer de rire tout le monde quand le maître la prononce : le q. Surtout quand il dit au gros Robert : « Ton q est de travers ! » ll faut s’appliquer en effet pour que la plume suive bien le tracé, sans faire des taches d’encre, avec les points sur les i, la cédille sous le ç, l’accent aigu à droite, l’accent grave à gauche, le petit chapeau de l’accent circonflexe, sans oublier la barre horizontale du t.
Ensuite, quand on a fait le tour de l’alphabet, même avec le w, qui ne s’emploie presque jamais et qui s’écrit comme un m renversé, il faut apprendre à lier les lettres entre elles, à les accrocher comme les wagons d’un train, pour former des mots. Comme dit maître Albert, il faut qu’elles « se donnent la main » pour qu’on voie bien où le mot commence et où il finit. Puis, quand on sait tracer les petits traits entre les lettres, avec des pleins ou des déliés suivant qu’on descend ou qu’on monte, on peut essayer des bouts de phrases. Soit trois ou quatre mots qui expriment une pensée. Et là, c’est la révélation ! C’est le miracle de l’écriture ! Désormais on peut écrire que Jean mange un bonbon sans l’image de Jean et sans le dessiner en train de mâcher son bonbon. On peut même l’écrire quand ce n’est pas vrai. Par exemple, quand il a mangé hier tout le paquet de bonbons et qu’il n’en reste plus. Encore plus miraculeux : on peut remplacer Jean par Marie et un bonbon par une pomme ou une poire. Et tout ça rien qu’avec des lettres et des mots. Les grands, ceux de deuxième, font même des phrases encore plus longues. Dans des dictées ils écrivent : En automne (virgule) les arbres perdent leurs feuilles (virgule) parce que les jours se raccourcissent (point). Et quand ils sont punis de « vingt lignes », parce qu’ils ont bavardé en classe, ils doivent écrire vingt fois : Je dois me taire en classe et écouter le maître.
Enfin, comme un miracle n’arrive jamais seul, l’effort en écriture entraîne celui en lecture et vice versa. Dans nos cadeaux d’anniversaire, de Noël ou d’autres fêtes, il y a de plus en plus souvent des albums, des carnets, et même des livres. Pas des dorés sur tranche comme le missel, ni avec du texte seul, mais des imprimés avec un mélange de textes illustrés et d’images légendées. Quand c’est bien fait, il ne suffit pas de voir les illustrations pour comprendre l’histoire ; celles-ci incitent plutôt à la lecture du texte qui les accompagne et dont on épelle de plus en plus vite les mots et les phrases. Jusqu’au jour où on aura directement accès à un récit sans l’aide d’images. Ce qui frappe d’emblée dans ces textes imprimés, c’est que les lettres ne sont pas liées comme dans notre écriture manuelle. En revanche, elles sont toutes identiques, un a étant toujours imprimé pareil, de même qu’un z. Et les phrases défilent en lignes droites remplissant de manière uniforme le rectangle de la page.
Plus tard enfin, la lecture seule d’histoires, aussi captivantes fussent-elles, ne suffira plus. On essaiera d’en inventer nous-mêmes, d’abord par une rédaction intitulée Une promenade à la campagne, puis par l’histoire d’un petit oiseau qui a faim et froid en hiver et auquel on donne à manger. Ce ne sera pas du Hugo ou du Duras, mais on l’aura pensé et écrit nous-mêmes. Écrire, dit-elle !
#Victor Hugo#Margerite Duras#image#écriture#alphabet#majuscules#minuscules#phrases#cahiers#lignes#mots
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L'école républicaine : une complète inversion des valeurs...
Je viens de terminer la lecture de l'ouvrage de Michel Onfray, Le chemin de la Garenne : Onfray évoque ses souvenirs d'enfance et notamment l'école républicaine de son époque... Et, ce faisant, il met en évidence une inversion totale des valeurs de cette école... Onfray fait appel à ses souvenirs d'enfant : Il a connu "les plumes Sergent-Major, les pâtés sur le papier gratté, les encriers remplis par les bouteilles d'encre violette, les coups de règle sur les (...) - Tribune Libre from AgoraVox le média citoyen https://ift.tt/2YioBnC via IFTTT
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Chambon-sur-Lac, jour 2, de jour.
Août 2017, avec l’aide de ma palette d’aquarelle, de crayons de couleur polychromos faber-castell, et d’un dessin préalable à l’encre de chine noire brillante, appliquée à la plume sergent-major.
#plénitude#vert#espoir#auvergne#montagnes#plume#feather#ink#black#indianink#green#fabercastell#polychromos#sketch#landscape#moleskine#chaleur#summer#tu#meurs
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Journal et tabac au bar, avec plafonnier purificateur d'air — encre de Chine (plume Sergent-Major), carnet nº 70, 2000.
#2000#bar#cigarette#hotte#journal#beer#loufiat#lecture#carnet 70#encre de chine (plume)#fumee#serveur#fumeur
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COUP L'HEUR DE 18H53
COUP L’HEUR DE 18H53
COUP L’HEUR DE 18H53
Penchée d’une écriture soudaine, l’italique fait quiproquo, sous le maroquin du bureau le tiroir coince, l’encrier rapporté d’une chine en vide-grenier, réservoir double, union de couleur pour l’équité fâche le rapport, en hausse du ton qui monte de la plume du sergent-major. Le nounours laissé sur le canapé sent sa gorge se coincer, les serins eux ne peuvent rien dire…
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TWD FANFIC: Human Genome Project
Disclaimer: This is a piece of fan fiction utilizing the world of The Walking Dead; it is for entertainment purposes only. I do not own nor do I have any rights to TWD copyright, privileges etc... Nor am I affiliated with its creator. With that being said I do hope you enjoy this fanciful version of possible events that could happen in the world of The Walking Dead. I also do not own any of the pictures that I have posted and they belong to their rightful owners.
Note: I am not a professional writer, my grammar and spelling might be atrocious. Please be kind as this is my first Fan Fiction piece.
Thank you,
Dria.
Characters of TWD: As many as I can manage to fit in.
New characters:
TS-685436 (TS = Test Subject), Army veteran, female, early 30’s, white, 5’7”, athletic build, brown hair, brown eyes, and dark brown freckles.
Lieutenant Richards – aka Bear, Marine, security, male, late 40’s black, 6’3”, large muscular physique, black hair, and whiskey brown eyes.
SSGT Lionel – aka Silent Angel, Army Special Forces Sniper, security, male, early 30’s, white, 5’11”, dirty blonde hair, hazel eyes, and a lithe athletic physique.
Rachel Ortega - aka Hell, Veteran Coast Guard Nurse, DOD employee, female, early 50’s, 5’3”, Hispanic, salt and pepper hair, brown eyes, and a slender athletic build.
HUMAN GENOME PROJECT
Chapter 1
FOB (Foreword Operating Base) Human Genome Project Facility 967 48°28′44″N 122°53′31″W Designation: Lopez Island, Washington state.
On 4 military assault rafts 37 souls sped away, the civilians in shock .staring at the destruction left in their wake, watched as the island was aflame plumes of smoke obscuring the horror as the dead decimated the living. What little military personnel made it out were taking inventory, checking weapons or navigating the water through body strewn waves from the ferry’s that crashed against one another the night before during the storm.
Those that made it out had only thrown a hastily made plan together as they knew it was only a matter of time when the beaches defenses would fail and they would be overridden with the dead. They had to get the last one out, the one that didn’t go insane.
Without her the possibility of a cure would be lost forever. They left the others lost to the madness from all the failed attempts in their cells. But her, she was made to be resistant to “it” whatever it was. A Bag with journals, notes, test results chemical formulas sat next to her prone form knocked out from the concussion grenades they used. They had no choice but to storm the building. The General would not listen to reason, he would not evacuate before it was too late. We had no choice but to break her out.
She had volunteered like all the others, but she was made prisoner by her successful transition, and him! The man that called himself a Doctor from the CDC Seattle Branch that was overrun; a scientist trying to “save all mankind” he had claimed. He was no such thing, and the “patients” those that did not make it they were treated no better than cattle being readied for the slaughter house.
Staff Sergent Lionel looked at her, thin, pale and poorly cared for; she had a bruise forming on the left cheek under her eye, bruises lining her arms like she had been a heroin junky for years. It was obvious to anyone that looked at her, that something had gone very wrong from the highly sought after prize of a cure. It was evident in the multiple scars up and down her arms. And there was no mistaking what they were from. Teeth marks, of which would forever mark her as different now.
No one even knew her name; they only knew her as TS-685436 from the tattoo on her chest. That should have been the first clue something wasn’t right with that man, Dr. Harris.
No names were allowed, we were ordered not to speak to them any of us that entered that building, we were told that they should not be disturbed. They said the stress incurred on the patients was because of the drugs and chemicals used, and the volunteers needed all their strength.
We should have known better, I should have known better.
By the time I opened my eyes it was nearly too late.
LT Richards: “Staff Sergent, it won’t do any good to dwell on it, focus on the maps we need to get to the main land, as far in as is possible. Hell, how do our medical supplies look?”
SSGT Lionel went back to his map, glancing over it every now and again watching and waiting for any movement from her, trying to find the best place to make shore if that was even possible now.
They all knew how bad things were on the main land, no bases were even operational anymore, and many were burned to the ground in the beginning aftermath from the panic.
Hell: “Sir it doesn’t look good, we have minimal medical supplies. Once we reach a safe landing we need to recon for more. She needs fluids, and will not last long without them. I can’t tell if there is any major damage from the grenades, but she’s weak more so lately. The bastard doubled her testing 5 days ago according to her charts. She’s had little rest and less food and water than she should have been given to compensate. Ever since the Dr. went mad, they cut rations too far below the needed levels for the patients in the project wards. It’s why we lost so many of them, faster than we should have.”
LT Richards: “Will there be any lasting damage?”
Hell: “I don’t know sir; I don’t even know how she made it this long. But if we do not get her the fluids she needs, it won’t matter anyway.”
The older woman looked down at TS-685436, she didn’t know how long precisely she was a patient in that god forsaken excuse of a field hospital, but once they entered that building to extract the patients she knew at only one glance around, even one day was too many.
It was a prison laboratory with cells; she did not know how this one woman even made it through even one week. But according to the charts that made it through the incursion, this patient had at least been there several months if not longer.
Too many of the documents were lost, in the ensuing firefight but, what they did find horrified her to her very core, no one should have had to of gone through that, never. They even tattooed them; it was how they identified her charts by the number on her chest.
Rachel was one of the intake processing nurses to the island after everything went to hell; she had seen more than her fair share of devastation, guilt and horror on the refugee’s faces from the main land every time one came in. They knew things had gotten horrifying there; it was bad when she fled.
However, it wasn’t until 7 months ago she finally realized the “volunteers” for the project were going missing, that there was an increase in military traffic on the boats outbound into Puget Sound with cargo but when they came back, the boats would be empty.
When she had asked questions she gotten demoted and sent to the far side of the island to “monitor” the soldiers’ health. It was the poorest defended place on the island. That was until SSGT Lionel came, a sniper and a Special Forces Army soldier he turned that around in record time.
In him Rachel found someone she could trust and eventually confide in, she finally worked up the courage to reveal to him what she found, and days later he was called into the main camp on several occasions for debriefings. Each time he came back more disturbed.
Combining Rachel’s information and what he had seen with his own eyes, he turned to the only person he trusted on the island the Marine unit’s Lieutenant Richards but he knew him as Bear. Not because he was big for man, he was, but because the LT’s nephew called him that. It was fitting for him though in a marine unit and suited him well. It was the three of them that made the decision to leave, the night after the storm they knew time was running out.
The LT’s unit faithfully followed his command and trusted in him, out of all 87 marines not one faltered in their duty, they are the reason we are in these boats. Only 15 marines made it off the island, the rest either didn’t make it or died getting us to the rafts and off that death trap of an island.
Hell looked over at both the men that were responsible for saving all their lives and the few civilians that made it out as well. Looking back at the patient, she wondered if the horrors she endured while in that cell would irrevocably change her.
She hoped the woman would be sane enough, that when she woke up, that they would not have to put her down. She was after all the only thing left of the project; the only one that knew, and even though Rachel was a nurse, even she did not understand some of the procedures in those journals and charts. Without TS-685436 and her knowledge they had no hope at a cure or vaccination.
Nothing it would have all been for nothing.
**more to come** :)
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