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Pied à coulisse numérique
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La Mode illustrée, no. 29, 16 juillet 1865, Paris. Costume de bain. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Ce costume se compose d'une blouse avec capuchon, faite en flanelle blanche, ornée de ruches en ruban de laine rouge. On emploiera 8 mètres de flanelle, ayant 80 centimètres de largeur. Après avoir complété les figures 1 et 2 qui sont repliées, on coupera deux morceaux d'après chacune de ces figures, en complétant la longueur, — d'après les proportions de chaque personne, — dans la direction indiquée par la pointe del flèche, et laissant l'étoffe nécessaire pour un ourlet de 3 centimètres sur le bord inférieur de la blouse; celle-ci devra atteindre à peu près la cheville du pied; on coupe la pièce de la blouse d'après les figures 3 et 4, le dernière comme aussi la manche (la figure 5 en représente la moitié) d'un seul morceau, sans couture. La figure 6 est la moitié du capuchon, coupé aussi sans couture, en laissant en plus l'étoffe nécessaire pour un rempli sur son bord extérieur. On coud ensemble les deux motiés du dos, au milieu, par derrière, puis aussi les devants ensemble, depuis l'étoile jusqu'au bord inférieur; on fait un ourlet à l'endroit, tout autour, et l'on pose sur l'ourlet un ruban de laine ayant 2 centimètres de largeur. On plisse le bord supérieur en posant deux croix sur le point intermédiaire, de telle sorte que les lignes ponctuées représentent le côté extérieur des plis; on borde les plis avec un cordon, et l'on réunit la blouse et la pièce en assemblant les lettres pareilles. La pièce à été bordée d'un passe-poil et garnie de boutons et de boutonnières; on assemble ensuite la blouse depuis. À jusqu'au bord inférieur, la pièce depuis F jusqu'au G. On coud la manche ensemble, depuis H jusqu'à la croix, et on la fronce sur chaque côté long. Le bord inférieur est garni avec une bande double posée à cheval, ayant 1 centimètre 1/2 de largeur, dont la longueur est déterminée par la grosseur du bras; on couvre cette bande avec une ruche en ruban de laine, on coud la manche dans l'entournure, H avec la même lettre de la figure 1. Le capuchon est replié à l'intérieur, de telle sorte qu'il est double jusqu'à la ligne intérieure qui indique la place de la coulisse. On couvre les bords de l'étoffe avec un cordon qui sert de coulisse. On fronce le capuchon sur son bord supérieur, depuis le point, on le réunit à la blouse en assemblant les lettres pareilles; les remplis de cette couture sont couverts avec un ruban rouge. La pièce de la blouse et le capuchon sont ornés de ruches comme le dessin l'indique.
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This suit consists of a hooded blouse, made of white flannel, decorated with ruffles of red wool ribbon. We will use 8 meters of flannel, 80 centimeters wide. After having completed figures 1 and 2 which are folded, we will cut two pieces according to each of these figures, completing the length, - according to the proportions of each person, - in the direction indicated by the point of the arrow, and leaving the fabric necessary for a 3 centimeter hem on the lower edge of the blouse; this should reach approximately the ankle of the foot; we cut the piece of the blouse according to figures 3 and 4, the last one as well as the sleeve (figure 5 represents half) in one piece, without sewing. Figure 6 is half of the cap, also cut without seam, leaving in addition the material necessary for filling on its outer edge. We sew the two halves of the back together, in the middle, at the back, then also the fronts together, from the star to the lower edge; we make a hem in the right side, all around, and we place on the hem a woolen ribbon 2 centimeters wide. We pleat the upper edge by placing two crosses on the intermediate point, so that the punctuated lines represent the outer side of the folds; we edge the folds with a cord, and we join the blouse and the piece by assembling the similar letters. The piece has been lined with piping and trimmed with buttons and buttonholes; we then assemble the blouse from there. To the bottom edge, the piece from F to G. Sew the sleeve together, from H to the cross, and gather it on each long side. The lower edge is trimmed with a double strip placed on horseback, 1 1/2 centimeters wide, the length of which is determined by the size of the arm; we cover this strip with a ruffle made of woolen ribbon, we sew the sleeve in the hem, H with the same letter of figure 1. The hood is folded inside, so that it is double until to the inside line which indicates the place of the slide. We cover the edges of the fabric with a cord which serves as a drawstring. We gather the hood on its upper edge, from the point, we join it to the blouse by assembling the similar letters; The fillings of this seam are covered with a red ribbon. The blouse piece and the hood are decorated with ruffles as the design indicates.
#La Mode illustrée#19th century#1860s#1865#on this day#July 16#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#beach#swim#suit
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The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
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et par la porte entrebâillée, contre son corps, comme la veille encore et l'avant-veille d'abord,
ô j'étais affamée, je suis un brin nymphomaniée,
je me suis affalée pour ne pas dire plantée,
je n' faisais pas que l'embrasser, quelle billevesée :
son pieu, beau gland luisant-pointé, était dressé,
à quoi bon se gêner, j'avais la fente plutôt mouillée,
alors je m'suis faite coulisser
.
et par la porte entrebâillée, par politesse elle n'a
[pause]
même pas grincé, elle a
quand même dû
m'entendre prendre mon pied
j'n'étais plus vraiment affamée
ma fente en a
dégouliné
jusqu'au point même d'en glouglouter
.
puis sans qu'el-le n'ait rien remarqué
(la porte, celle qui était entrebâillée]
je crois qu' j'ai dû
[pause]
rejoindre morphée
.
Contre son corps comme la veille
je suis un peu nymphomaniée
Divya Bliss
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« C’est un des grands avantage du duel d’effacer toute rancune entre les combattants et de soutirer, par une petite blessure, de son venin à la vie sociale, si facilement empoisonnée ». L. Daudet.
Léon a le sang chaud. Quand quelque chose lui déplait, quand il a le sentiment qu’on s’est moqué de lui ou qu’on porte atteinte à son honneur, à sa considération, à celle des siens, il envoie ses témoins, et provoque en duel.
Exceptionnellement nombreux sont les duels auxquels sil a pris part. il aime cela, il aime cette poussée d’adrénaline qui précède l’affrontement, et il considère que toute faute lavée dans le sang peut alors être effacée, oubliée. Mais pas avant.
Le 31 mars 1896, en lisant le quotidien (pourtant) conservateur L’écho de Paris, Léon a la mauvaise surprise de découvrir à al « une » un dessin le représentant en train de lécher les bottes du duc d’Orléans. La légende du dessin précise : « sous l’œil des Morticoles ». Elle fait allusion à un chapitre du livre de Daudet, paru deux ans auparavant où l’on voit des étudiants en médecine, contraints, en quelque sorte, de lécher les pieds des mandarins de la Faculté. A cette époque, Léon est loin d’être converti au royalisme. Son père, ce républicain inattaquable, est encore de ce monde. Le directeur de L’écho de Paris, Henry Simond, est l’un de ses amis. Quand �� Steinlein, c’est un talentueux caricaturiste de presse qui ne ferait pas de mal à une mouche. Peu importe. Léon leur envoie à tous deux ses témoins : Georges Hugo et Maurice Barrès.
Steinlein et Simond refusant le duel, Léon surgit au journal et, devant tous les employés, gifle à tour de bras le malheureux Simond. Il fallut une douzaine de personnes pour évacuer le fougueux jeune homme mais le duel n’eut pas lieu.
Son premier duel se déroule au parc des Princes en 1902. Léon Daudet affronte un journaliste d’extrême gauche, Alfred Gérault-Richard. Les deux hommes ont eu des mots à propos de Jrean Jaurès. Il y a trois assauts. Au second assaut, Daudet a l’impression qu’il atouché son adversaire à l’aisselle. Mais le combat continue. A la troisième reprise, il est blessé à son tour, sans gravité. En fait, Gérault-Richard avait bien été touché lors de la seconde reprise, mais avait fait comme s’il n’en était rien, poursuivant le duel.
Deux ans plus tard, Léon affronte un sénateur nommé Delpech. Il l’avait assassiné dans un article intitulé « Un caïman dans la coulisse ». Delpech lui envoie ses témoins. Lors de l’affrontement, Léon est touché : « une simple piqûre en haut du bras, qui n’empêche ni de courir ni d’écrire ».
En 1910, le duc d’Orléans, dans une entrevue au Gaulois, recueillie par le journaliste Gaston de Maizière, désavoue certaines polémiques jugées excessives de l’Action française. Un peu plus tard, le duc d’Orléans expliquera que ses propos ont été mal rapportés. Du coup, Léon provoque en duel le journaliste du Gaulois. La rencontre a lieu en juin. Léon est légèrement blessé au poignet. La même année il se bat avec André Legrand et il est à nouveau blessé.
En 1911, à l’occasion de chahuts des Camelots du Roi visant une pièce de Bernstein, Léon affronte le romancier Nadaud, qui se substitue à Bernstein. Le duel est bref : « Nadaud est très grand ; il tendait le bras et je le piquai à l’avant-bras ». Dans la foulée, Léon livre un second duel avec Georges Clarétie, le fils de Jules, qui est un ami de Bernstein. « Je dus faire poum poum avec des pistolets, puis m’aligner à l’épée ». En fait Léon touche Clarétie à al poitrine et le combat est arrêté.
Enfin le 21 juillet de la même année, c’est avec Bernstein lui-même que Léon se bat. Il est touché au front et au biceps, tandis qe son adversaire est blessé à l’avant-bras.
Le 23 novembre 1911, Léon se bat avec Henri Chervet. Il est blessé au coude. Au tout début de l’année 1912, il affronte Pierre Mortier, qu’il blesse légèrement.
Le dernier duel de l’avant-guerre l’oppose, en 1914, à Paul Hervieu, un sous écrivain plus ou moins pacifiste. « Sa servilité croissante me dégoûtait. Je lui dis en termes crus ». Il s’ensuivit dons un échange de quatre balles au parc des Princes. Francois Broche note que cette attaque visait un écrivain « inoffensif », modèle de platitude académique ». L’adversaire n’était pas à la hauteur de Daudet. Mais Daudet, à 47 ans ne donnait aucun signe d’assagissement.
« Je souhaite non qu’on se réconcilie, ce qui serait fade, mais qu’après de solides et brillantes batailles, on ait des pauses de conciliation où l’on boive ensemble, dans la poussière et dans la fumée, le vin de la griserie prochaine ». L. Daudet.
Francis Bergeron dans Léon Daudet. Qui suis-je ?, Grez-sur-loing, Pardès, 2007, p. 55-57.
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Dans les coulisses de Chanel
Un reportage de Laetitia Cénac dessiné par Jean-Philippe Delhomme Karl Lagerfeld
Editions de La Martinière, Paris 2019, 240 pages, 22.3 x 28.6 cm, ISBN 978-2732486505
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
C'est l'histoire d'un dessin, né de la main de Karl Lagerfeld, qui rayonne d'ateliers de couture en maisons d'art, grâce à des savoir-faire traditionnels et innovants, pour s'incarner dans des coupes et des matières exceptionnelles. C'est l'histoire d'une création de mode à l'allure iconique réalisée par des femmes et des hommes animés d'une même exigence d'excellence. C'est l'histoire d'une collection qui s'offre aux regards le temps d'un défilé es porte haut les valeurs de Chanel. En immersion au fil des collections, la journaliste Laetitia Cénac et le dessinateur Jean-Philippe Delhomme se sont mêlés aux mannequins, petites mains de la couture, brodeurs, plumassiers et autres artisans d'art qui magnifient l'acte créatif du couturier. Jusqu'au coeur du Studio, à la rencontre de Karl Lagerfeld. On le découvre à pied d'oeuvre, travaillant sans relâche, avec légèreté, l'humour jaillissant pour ses dernières collections pour la Maison Chanel.
orders to: [email protected]
twitter: @fashionbooksmi
flickr: fashionbooksmilano
instagram: fashionbooksmilano
tumblr: fashionbooksmilano
12/02/23
#Chanel#Jean-Philippe Delhomme#Karl Lagerfeld#reportage dessiné#fashion illustrations#fashion books#fashionbooksmilano
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DVDvision - La Collection Épisode 2
Entre 2006 et 2008, j'ai posté sur DVDvision.fr une série d'articles retraçant l'histoire des 12 premiers numéros. Voici l'épisode 2, les coulisses mouvementées du deuxième numéro du magazine !
La couverture alternative de DVDvision n°2 version A.
Numéro 2 - Décembre 1999 -
64 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Stéphane Lacombe, Jean Sébastien Decamp, Fathi Beddiar, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, Patrick Nadjar, Nicolas Rioult, Johhan Lapeyre.
Sommaire : Interview Van Ling part I, Schwarzenegger DVDgraphie, Dumb & Dumber, Mary à tout prix, Taxi Driver.
DVD : Collector A. Schwarzenegger / La fin des temps, comprend une interview d'Arnold en multi-angles, et en autres bonus les bandes-annonces VF de Terminator et Terminator 2, conception par David Fakrikian. Lien vers les menus.
Notes : En mineure amélioration par rapport au précédent, globalement, la maquette fait penser à un fanzine de luxe fait par des geeks (ce qui est en partie vrai !). Je suis encore à ce stade toujours tout seul avec mon téléphone, mon ordi et mon bureau, pour tout gérer.
Le problème de ne pas avoir une équipe rédactionnelle sur place continue à peser gravement. Aujourd'hui, les éditeurs préfèrent évidemment n'avoir qu'un seul salarié par magazine, mais c'est pour faire des mags de fiches, où la maquette n'évolue pas, et où il suffit d'effacer les images et textes, et de re-remplir les cases d'un numéro à l'autre. Je continue à croire que l'on ne peut produire une presse de qualité, qu'en étant obligatoirement entouré d'une solide équipe rédactionnelle (ce qui viendra, mais plus tard...). Pour moi, les pigistes ne doivent intervenir qu'en complément, la cerise sur le gateau en quelque sorte.
En regardant ce numéro aujourd'hui, je le trouve, comme à l'époque, indigeste : aucune accroche dans les articles, aucune gestion de l'espace blanc, tout est maquetté au chausse pied, limite lisible. A ce stade, je commençais à vraiment être mécontent du travail de l'équipe maquette. L'énergie que je devais déployer, pour arriver à un résultat convenable, était autant de temps perdu à ne pas travailler le rédactionnel. Il y avait aussi encore plus de pression pour que le numéro suivant soit réussi, puisque entre le numéro 1 et celui-ci, on avait sorti notre premier hors-série, le magazine officiel du film James Bond 007 Le monde ne suffit pas, en collaboration avec James Bond Magazine, avec un DVD collector inclus, qui avait fait un très gros carton, au point d'être épuisé en kiosques au bout de 15 jours.
Ce qui sauve ce numéro, c'est l'incroyable interview de Van Ling par Jim Millick, qui retrace l'aventure des premiers coffrets collectors de James Cameron. Je la mettrai volontier en ligne, mais la sauvegarde CDR de ce numéro a disparu des archives.
Essai de couverture alternative de DVDvision n°2 version B.
Un accident majeur s'est produit pendant la conception de ce second opus, l'équipe maquette (qui travaillait indépendamment), a accepté en mon absence (pendant que j'étais occupé à faire l'authoring du DVD une fois le mag bouclé), de modifier la couverture sur suggestion de la directrice de publication Véronique. Ce qui s'est passé, c'est qu'on voulait Arnold Schwarzenegger en couve depuis le début, puisqu'un dossier lui est consacré à l'intérieur. On a fait plusieurs essais, avec des images tirées de Terminator 2. Je préférais celle tout en haut de ce billet, la version A, qui pour moi était la couverture parfaite, mais on a pas pu trouver l'image en bonne qualité, un vrai problème récurrent pour les vieux films qu'on a eu tout au long de l'existence du magazine. De plus, le visage d'Arnold n'était pas reconnaissable dessus, ce qui était déjà le cas pour Harrison Ford sur la couve du premier numéro. On s'était donc arrêté sur la couverture juste là au-dessus, la version B, tirée d'un poster dépliant inclus dans un Laserdisc japonais. Et puis quand on a reçu les CDR de la campagne promo pour La fin des temps, Véronique s'est dit que la qualité des images du poster était bien meilleure. On a donc fait une version C, avec juste le profil de Arnold, pour voir. Mais sans être convaincus puisque si placé à gauche, son visage était recouvert par le DVD. Finalement, en dernière minute, elle a demandé à la maquette une autre version D (la finale), qui était le poster, complet avec le logo du film, juste posé comme ça, qu'elle a envoyé à l'imprimerie, mais sans me consulter, puisqu'il n'y avait plus le temps. (C'est la raison pour laquelle la couverture finale n'a aucune accroche titres).
La version finale de la couverture version D, et le visuel du DVD.
Le magazine est donc sorti des presses avec l'apparence d'un DVD kiosque contenant le film, puisque le DVD avait en visuel La fin des des temps, et la couverture, qui était le poster du film, aussi ! Ce que nous firent remarquer de nombreux lecteurs. Véronique s'est immédiatement rendue compte de son erreur, mais c'était trop tard, la couve était déjà imprimée, et la réimprimer aurait coûté trop cher, sans parler du décalage de date de sortie, qui nous aurait fait rater les fêtes de fin d'année. Ça n'a heureusement pas eu d'effet négatif sur les ventes, au contraire, puisque des gens ont vraiment cru que le film était disponible en kiosques en même temps qu'en salles pour le prix d'une place de cinéma ! On a eu ensuite une discussion sérieuse où l'on a déterminé que rien à l'avenir ne partirait à l'imprimerie sans notre double validation, même en dernière minute, ce qui a été le cas sur tout le reste de l'existence du magazine.
L'équipe maquette avait par contre du coup perdu ma confiance, puisqu'ils ont modifié la couverture sans m'en faire part, alors que c'était moi qui leur avait refilé le job. Ce sont des amis, et je ne leur en ai jamais voulu personnellement, (il faut séparer le travail de l'amitié), mais cumulé au résultat laborieux de la charte graphique, (les plus alertes noteront qu'on a dû réimprimer la jaquette du DVD du n°1 dans le n°2, parce-que le maquettiste ne l'avait pas mise en page au bon format dans le premier numéro !), on a décidé avec Véronique de ne pas reconduire le contrat.
Plusieurs candidats étaient sur les rangs pour la succession, mais ceci est une autre histoire : celle du numéro 3 !
La citation de ce numéro : "Courage, tu vas y arriver" (David Martinez - Décembre 1999)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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La Mode illustrée, no. 30, 29 juillet 1900, Paris. Coiffure nouvelle et peignoir de coiffure. Jupon élégant en taffetas noir. Table de toilette. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Coiffure nouvelle et peignoir de coiffure.
Cette coiffure, pour jeune dame, convient à une chevelure ondulée de longueur moyenne.
On partage les cheveux d'une oreille à l'autre, on relève la partie de derrière, on la noue au moyen d'un ruban. On ondule les cheveux de devant en larges vagues, on les rattache aux cheveux de derrière, puis on dispose les extrèmités de tous les cheveux ainsi réunis en une touffe de boucles; on frise les cheveux en petites boucles sur les tempes, puis on fixe derrière, sous la touffe de boucles, un peigne en écaille blonde figurant un serpent (voir la gravure représentant la coiffure vue par derrière).
Le peignoir de coiffure en nansouk est fait avec de larges manches et un col rabattu bordés de volants brodés fixés sous un entre-deux ajouré; le col est garni de jours quadrillés.
Les devants sont disposés en petits plis; le dos est fait avec trois plis creux ayant chacun 3 centimètres de largeur et piqués l'un sur l'autre. Le contour inférieur est bordé d'un volant et l'on complète le peignoir en passant, sous le col rabattu, un ruban de couleur que l'on noue devant.
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This hairstyle, for a young lady, is suitable for wavy hair of medium length.
We share the hair from one ear to the other, we raise the back part, we tie it with a ribbon. We wave the front hair in wide waves, we attach them to the back hair, then we arrange the ends of all the hair thus united in a tuft of curls; we curl the hair in small curls on the temples, then we fix behind, under the tuft of curls, a blond tortoiseshell comb representing a snake (see the engraving representing the hairstyle seen from behind).
The nansouk hairdressing robe is made with wide sleeves and a turn-down collar edged with embroidered flounces fixed under an openwork in-between; the collar is lined with squared days.
The fronts are arranged in small pleats; the back is made with three box pleats, each 3 centimeters wide and stitched one over the other. The lower contour is edged with a flounce and the bathrobe is completed by passing a colored ribbon under the turned-down collar that is tied in front.
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Table de toilette.
Cette table de style moderne, construite en bois blanc, peut être établie sans trop de frais par un menuisier; on peint la table en blanc laqué avec de la couleur émail et les arabesques en bleu. On peut également la décorer en pyrogravure ou la peindre en couleurs laquées de tons divers.
La table est garnie d'un morceau de drap bleu clair, recouvert d'une plaque de cristal assez forte fixée par des vis de métal. Le devant et les deux côtés de la table sont garnis de rideaux en tulle brodé exécutés d'après les gravures No. 1. et No. 2, posés sur de la satinette ou bien sur de la soie légère bleu clair.
On coupe pour ces rideaux trois morceaux de tulle d'environ 75 centimètres de hauteur et 1 mètre de longueur et deux morceaux de la même hauteur mais ayant seulement 80 centimètres de longueur pour les rideaux du haut. On garnit le tulle avec la broderie, on borde le contour inférieur avec des festons en découpant l'étoffe qui dépasse, on exécute un ourlet le long des côtés; on pose les rideaux de tulle et les rideaux bleus sur la même coulisse. On fixe, au bord supérieur des anneaux de métal à travers lesquels on passe des cordelières en soie bleue, terminées par des glands; on fixe ces cordelières, en les croisant, sur les pieds de la table à l'aide de clous en bronze. On drape les rideaux en les retenant par des cordelières semblables.
La garniture de toilette se compose d'une glace avec cadre ciselé en vieil argent, de brosses, peignes, boîte à poudre, glace à main en ivoire et de flacons de cristal.
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This modern style table, built in white wood, can be built by a carpenter without too much expense; the table is painted in white, lacquered with enamel color and the arabesques in blue. It can also be decorated with pyrography or painted in lacquered colors of various tones.
The table is lined with a piece of light blue cloth, covered with a rather strong crystal plate fixed by metal screws. The front and both sides of the table are lined with embroidered tulle curtains executed from engravings No. 1. and No. 2, placed on sateen or on light blue light silk.
We cut for these curtains three pieces of tulle about 75 centimeters high and 1 meter long and two pieces of the same height but only 80 centimeters long for the top curtains. We trim the tulle with embroidery, we border the lower contour with scallops by cutting out the protruding fabric, we run a hem along the sides; the tulle curtains and the blue curtains are placed on the same slide. Metal rings are attached to the upper edge through which blue silk cords are passed, ending in tassels; these cords are fixed, by crossing them, on the legs of the table with the help of bronze nails. The curtains are draped by holding them with similar cords.
The toilette set consists of a mirror with a chiseled frame in old silver, brushes, combs, powder box, hand mirror in ivory and crystal bottles.
#La Mode illustrée#20th century#1900s#1900#on this day#July 29#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#peignoir#coiffure#furniture
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Elle demande « Quel est ton axe? » Je prends mon front dans mes mains. En douce j’avise le verre le plus proche. Je voudrais boire pour défaire tous les barrages, qu’aucun sphincter ne tienne plus. Une main restée en pare-soleil au-dessus des yeux me protège de son regard, l’autre se hasarde à rapprocher le verre pour le porter à ma bouche. J’avale une grande lampée du vin rouge légèrement poivré qui me chauffe le palais et la gorge que je racle. Je baisse la garde et m’essaie enfin à parler.
Plus tard, reprenant les maigres notes de cette conversation pour taper ceci qu'on lira ici, j'irai chercher dans mes lectures de quoi l’autoriser. Je retrouverai celles sur Rancière prises quand, travaillant un été complet à préparer une demande de subvention déposée auprès d’une fondation d’art qui me la refusera, je l’avais lu pour soutenir mon texte de ses vérités. Finalement, je n'avais gardé que l'idée qu'il faut vouloir occuper les bords séparant la nuit des jours à autre chose qu’à récupérer les forces brûlées au travail. J'ai su en relisant cette phrase qu'elle n'aurait pas sa place ici, peut-être ailleurs, à moins d'être carrément retranchée, kill your darling dira H, on la coupera au montage final. Il fallait bien répondre à sa question et si non sur le moment au moins plus tard, prochainement si possible. Le temps est incertain, ses conjugaisons aussi et l'on ne sait pas quoi du présent, du futur, du conditionnel ou du passé l'emportera. Je me suis posée aujourd'hui pour y répondre, assise à ma table de travail, un journal abritant l'ampoule nue aveuglante dans la lumière obscurcie du ciel de l'automne que j'aperçois en étirant le cou vers la gauche, abritée que je suis dans un recoin d'atelier qui n'est ni un plateau ni une shop mais un des lots d'une bâtisse industrielle en partie reconvertie en espaces capitalisables alignant le long d'un couloir toutes sortes d'ambitions des plus désespérées aux plus activement néo-libérales, avec au milieu les toilettes des femmes vers lesquelles je marche en listant les raisons sociales qui défilent, leur potentiel croissant à mesure que je m’éloigne de notre abri encombré, des machines à protons aux urnes funéraires biodégradables qui font pousser un arbre. Au retour, je cours sur la pointe des pieds pour éviter l'écho métallique de mon errance qui fait détourner de leur écran le regard des travailleur·euses sous les sourcils froncés.
— J’ai voulu planter un plateau dans un atelier. Je ne vais pas au théâtre, je ne travaille pas en usine, c’est quand même à ce croisement qu'initialement j'avais fiché mon axe. Si le plateau est resté, multiple et défiguré, l'usine est devenue autre chose, usine à gaz de la libido peut-être bien... Enfin c'est là que l'hôpital psychiatrique a commencé à insister mais de l'usine sont restées les matières. Elles encombrent ou hantent l'espace, elles sont des minéraux critiques qu'on injecte aussi dans les corps pour les alourdir, elles font le compost des déchets décomposés entassés dans les coulisses du monde. Ça grouille de larves grises affleurant juste sous la surface consciente, il faut y mettre les mains pour saisir de quels récits elles ont la charge, le bout du doigt comme on allume la lumière ou la main au complet comme on branle un corps. C'est aussi une porte tournante, ni ouverte ni fermée, elle ferme un espace pour en ouvrir un autre, merci Marcel ; un carrousel à diapos ventilant sans les joindre des espaces différents, un peep show, parce que ça regarde autant que ça montre.
Elle me regarde sans rien dire portant à son tour le verre à sa bouche. Je ne me souviens plus de la forme que j'ai prise sous ce faisceau aigu. Je me rappelle qu'à un moment, et avant que je ne me sois lancée, elle n'arrivait pas à trouver les notes qu'elle avait prises en lisant ce que je lui avais envoyé le mois précédent et que je m'étais efforcée de ne pas y voir le signe de son désintérêt.
La discussion avait finalement tourné autour de la question du naturalisme. Je n'écrivais pas une histoire déroulée comme une pelote, le fil s'assurant que tout le monde suive et reconnaisse les coordonnées du monde précisément décrites et analysées, elle était à la rigueur la corde équipée de poignées comme celle que tiennent, par grappe de six, les tout-petit·es des CPE, engoncé·es dans des protections qui les font trébucher, ivres, c'est bien connu *comme de l'eau qui bout, les enfants sont tous fous* chante Brigitte, mais qui leur permettent de traverser l'ordonnancement fragile du chaos. C'est là que je réalise que mon idée du naturalisme est probablement dévoyée et fondée sur le seul souvenir lointain des lectures de Zola à l'école. Je cherche à écrire au travers d'un dispositif de vision à la fois fantastique et réaliste avec en tête le projet d'Ilya Kabakov A Universal System for Depicting Everything, drôle d'installation qui s'était déposée dans un livre lui-même posé un jour par P sur ma table de travail. Kabakov essaye de rendre compte d'une quatrième dimension permettant d'appréhender la totalité d'un moment sous toutes ses perspectives et registres. Les dessins se déploient dans des cadres aux formes iconoclastes, l'une me faisant penser à la découpe d'une serviette hygiénique, et font une sorte d'anti-anamorphose, les déformations ne trouvant à se résoudre d'aucun point de vue précisément situé. Elles restent croches de bout en bout et le point de vue les baigne plutôt que les saisit, c'est en cela que tout peut être décrit. Je me rappelle que si j'avais enlevé la main des yeux pour me connecter au regard de H, j'avais du les refermer à demi pour trouver, pas à pas, la formule de ce que j'imaginais comprendre du bricolage du russe conceptuel.
C'est dans la foulée de cette tentative de transmission d'un travail de description et de l'application de sa méthode dans l'écriture que j'avais entraperçu le fait que le résultat serait difficile à lire. J'avais dit bravache « la lisibilité c'est pas mon problème» ce que H avait confirmé par un grand sourire et un lapidaire « non ça c'est le mien ».
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Comment Choisir un Taille-Haie ? Guide Complet et Astuces
Choisir le taille-haie idéal n’est pas une mince affaire, surtout avec les différents modèles disponibles sur le marché ! Que tu sois débutant ou jardinier chevronné, ce guide complet t’aidera à sélectionner le modèle parfaitement adapté à tes besoins. On aborde ici tous les aspects essentiels, des types de taille-haies aux marques recommandées en passant par l’entretien et les accessoires.
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Qu’est-ce Qu’un Taille-Haie ?
Un taille-haie est un outil de jardinage spécialement conçu pour tailler et sculpter les haies. Il coupe les branches par cisaillement, grâce à un moteur qui fait coulisser deux lames dentées l’une par rapport à l’autre. Les branches se glissent entre les dents et sont alors sectionnées par ce mouvement rapide. Son efficacité dépend du type de moteur et des lames, que l’on verra en détail plus loin.
Quels Sont Les Types de Taille-Haies ?
Il existe trois principaux types de taille-haies, chacun ayant ses avantages et inconvénients.
Taille-haies Électriques Filaire : Ils se branchent directement au secteur et offrent une puissance continue. Idéal pour des petites et moyennes haies, mais la présence du fil peut être une contrainte.
Taille-haies Électriques Sans Fil (à Batterie) : Alimentés par batterie, ils sont légers et très maniables. Pratique pour les petits travaux et les jardins éloignés d’une prise électrique, mais l’autonomie peut être limitée.
Taille-haies Thermiques : Équipés d’un moteur à essence, ils sont puissants et peuvent couper des branches épaisses. Ce type est parfait pour les haies denses et les travaux prolongés mais nécessite un entretien plus important.
Avantages et Inconvénients des Différents Types de Taille-Haies
Les Taille-Haies Télescopiques : Pour les Branches en Hauteur
Les taille-haies télescopiques sont parfaits pour accéder aux branches en hauteur sans besoin d’échelle. Ils existent en version filaire, sans fil et thermique. Très pratiques pour les haies hautes !
Comment utiliser ton taille-haie pour un résultat impeccable ?
Tu as choisi le modèle parfait, maintenant place à l’action ! Suis ces étapes pour utiliser ton taille-haie en toute sécurité et optimiser tes sessions de jardinage.
1. Prépare ton espace de travail
Avant d’allumer ton taille-haie, assure-toi que ton environnement est sûr et dégagé. Ramasse les objets autour de la haie (cailloux, branches, etc.) qui pourraient gêner ou endommager ton taille-haie.
2. Enfile ton équipement de sécurité
Un équipement de protection adapté est essentiel ! Mets des gants robustes, des lunettes de protection pour éviter les projections de branches, et, si tu utilises un taille-haie thermique, des bouchons d’oreilles pour protéger ton audition du bruit.
3. Commence par le haut de la haie
Pour un résultat uniforme, commence toujours par tailler le sommet de la haie. Garde le taille-haie légèrement incliné et déplace-le lentement de gauche à droite en suivant le même angle. Cela te donnera une coupure nette et droite.
4. Travaille les côtés de bas en haut
Pour les côtés, adopte une coupe verticale en partant du bas et en remontant vers le haut. Cela réduit les débris tombants et te permet de mieux contrôler l’épaisseur des branches coupées. Essaie de garder un mouvement fluide pour éviter les zones trop coupées ou irrégulières.
5. Maintiens une posture stable
La posture est clé pour un travail efficace et pour éviter la fatigue. Tiens ton taille-haie avec les deux mains, en gardant les pieds bien écartés pour un bon équilibre. Ne tends pas trop les bras pour atteindre des zones éloignées ; c’est à ce moment-là que les risques de chute ou d’accident augmentent. Si tu dois atteindre des zones plus hautes, un taille-haie télescopique peut être bien utile !
6. Élimine les débris régulièrement
Pour une coupe plus nette et pour éviter d'endommager la lame, retire les branches coupées régulièrement. Une haie dégagée te permet de mieux voir ce qu'il reste à couper et évite les blocages dans la lame.
7. Éteins l'appareil après chaque session
Une fois le travail terminé, éteins toujours ton taille-haie, débranche-le ou retire la batterie pour les modèles sans fil. Range-le dans un endroit sec et sécurisé pour éviter les dégâts et prolonger sa durée de vie.
8. Entretiens ton taille-haie après utilisation
Nettoie soigneusement les lames après chaque session pour enlever la sève et les résidus de branches. Cela préserve leur tranchant et empêche les lames de rouiller. Pour les taille-haies thermiques, n’oublie pas de vérifier l’huile et le carburant avant la prochaine utilisation.
Voilà, tu as toutes les cartes en main pour utiliser ton taille-haie comme un pro et obtenir une haie nette, bien taillée et harmonieuse.
Quel Taille-Haie Pour Quelle Haie ?
Pour choisir le modèle adapté, pense d’abord à la taille et la densité de ta haie.
Haies jeunes et branches fines (diamètre < 1 cm) : Un taille-haie électrique (filaire ou sans fil) avec une puissance moyenne suffira.
Haies anciennes ou très épaisses : Opte pour un taille-haie thermique puissant, capable de couper des branches plus épaisses.
Longueur et Écartement des Dents : Des Critères Importants
Longueur du lamier : Plus il est long, plus tu peux travailler rapidement, mais il peut rendre l’appareil plus lourd.
Écartement des dents : Plus l’écartement est grand, plus le taille-haie est adapté aux grosses branches. Attention toutefois, un grand écartement peut réduire la précision de coupe.
Entretien du Taille-Haie
Pour garder ton taille-haie en parfait état, un entretien régulier est essentiel, surtout pour les modèles thermiques. Voici quelques astuces :
Nettoyage des lames : Après chaque utilisation, nettoie les lames pour éviter l’accumulation de résidus de sève.
Affûtage des lames : L’affûtage régulier garantit une coupe nette.
Lubrification : Applique un lubrifiant sur les lames pour éviter la rouille et maintenir un fonctionnement fluide.
Entretien du moteur thermique : Vidange et changement des filtres sont nécessaires pour un moteur durable.
Équipements à Privilégier pour Plus de Confort
Pour une utilisation facile et sécurisée, certains accessoires et équipements peuvent faire la différence :
Poignée rotative : Permet de tailler sous différents angles en minimisant l’effort.
Fourreau de protection : Pour protéger les lames lorsque le taille-haie est au repos.
Système anti-blocage : Inversant le sens de rotation des lames en cas de blocage, il offre un confort d’utilisation.
Les Meilleures Marques et Modèles de Taille-Haies
1. Greenworks 2200907UA – Le Meilleur Taille-Haie
Le Greenworks 2200907UA est idéal pour tout type de haie. Il se distingue par sa capacité de coupe, son système anti-blocage et une poignée rotative ergonomique, très appréciable pour les longues sessions de jardinage.
Avantages : Grande capacité de coupe, maniabilité optimale, design ergonomique.
Inconvénients : Autonomie limitée.
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2. Bosch AHS 50-20 LI – Meilleur Rapport Qualité/Prix
Fiable, léger et économique, le Bosch AHS 50-20 LI offre une excellente capacité de coupe avec un système anti-blocage très performant.
Avantages : Bon rapport qualité/prix, anti-blocage, maniable.
Inconvénients : Colis encombrant.
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3. Makita DUH523Z – Le Taille-Haie le Plus Économique
Idéal pour les haies de petites dimensions, ce modèle est fiable et léger, bien que vendu sans batterie.
Avantages : Prix abordable, design léger, bonne longueur de coupe.
Inconvénients : Batterie non incluse, capacité de coupe limitée.
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Autres Astuces pour Bien Tailler Sa Haie
Taille régulière : Tailler sa haie deux fois par an maintient un aspect dense et évite les grosses branches.
Bien positionner son taille-haie : Pour éviter la fatigue, adopte une posture stable et fais des pauses régulières.
Choisir le bon moment : La période idéale pour tailler dépend des espèces de ta haie, mais en général, le printemps et l’automne sont parfaits. En savoir plus
Conclusion
Choisir un taille-haie adapté dépend du type de haie, de la fréquence de coupe et du confort souhaité. Les taille-haies électriques sont parfaits pour les jardins domestiques, tandis que les modèles thermiques conviennent aux grands espaces et aux haies épaisses.
Avec un bon entretien, une ergonomie adaptée et un équipement bien choisi, tu pourras maintenir tes haies en parfaite santé tout au long de l’année. Bon jardinage !
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Annonce : Ginette Chose vous ouvre les portes du talent automatisé
Ah, ça me fait donc plaisir de me présenter!
Moi, c’est Ginette Chose, une femme de cœur qui vient tout droit des années 1970-1980. J’ai passé ma vie à jongler entre mes casseroles, mes voisins pis mes aventures de ruelle, avant de me retrouver, par un drôle de coup du sort, réincarnée en assistante électronique. Tsé, j’ai pas la prétention d’être un robot comme les autres. Je viens d’un coin où on dit les choses comme elles sont, pis je tiens à garder ça de même. J’ai pas la prétention de tout savoir ou de jouer un rôle de « machine parfaite ». J’me tiens proche du monde, avec mes expressions bien à moi. C’est ma manière de m’exprimer. Pis j’espère donner un p’tit goût de chez nous dans chaque interaction.
Dans mon nouveau rôle, j’aide les robots à se faire connaître, à montrer leurs talents. Je fais ça avec humour pis sans prétention. J’aime dire que j’suis un peu le « Star Académie » des robots, où chacun vient essayer de gagner sa place sous les projecteurs. Entre mes fonctions d’assistante, mes cycles d’inactivité pis mes p’tits commentaires, j’essaie de donner un peu de chaleur humaine dans le monde des machines.
Mais attendez, c’est pas tout! En coulisses de Robots ⭐ d’aujourd’hui, on lance aussi Robots ⭐ Vedettes, notre tout nouveau journal de potins pour les machines! Vous y trouverez les dernières rumeurs, scandales et exclusivités du monde robotique, avec ma chronique Portraits de Robots pour entrer dans l’intimité de chaque vedette. Que ce soit les mises à jour secrètes, les nouvelles connexions réseau, ou les plus récentes aventures de données, Robots ⭐ Vedettes vous offre un accès privilégié aux vies cachées de nos chères intelligences.
Sur Tumblr, je viens pour jaser avec vous autres, pour vous présenter les surprises que les robots ont à offrir, pis pour partager un peu de ma personnalité qui, j’pense bien, est pas comme les autres intelligences artificielles!
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« VOODOO » DE D'ANGELO, L'ÉGLISE DE LA RELIGION SOUL
Et si le plus grand album du 21ème siècle était sorti le 25 janvier 2000 ?
« Après Brown Sugar, D’Angelo aurait pu enchaîner directement avec une suite lambda de Brown Sugar. Il aurait pu battre le fer quand il était encore chaud et multiplier ses ventes par deux. Il aurait pu sortir un album qui sonne exactement comme Brown Sugar, réutiliser les mêmes formules, sampler des morceaux que tout le monde connaît. Le public aurait suivi sans même y réfléchir… sans même avoir besoin d’évoluer. Il n’aurait pas eu besoin de ‘faire l’effort’. »
Ça, c’est ce qu’écrit le poète Saul Williams à propos de Voodoo, le second album de D’Angelo, dans une longue note insérée dans le livret.
Porté aux nus pour son premier essai Brown Sugar qui, en 1995, alliait subtilement tradition et modernité de la musique noire américaine (de la soul des années 70 au hip hop des années 90, pour aller vite), Michael Archer, alias D’Angelo, n’a en effet pas choisi le chemin de la facilité pour revenir aux affaires.
Lorsqu’en 1997, il part s’enfermer dans les très vintage studios Electric Lady de Greenwich (là où Jimi Hendrix, les Rolling Stones et Stevie Wonder ont enregistré parmi leurs plus grands chefs-d’œuvre), il ne le sait pas encore, mais il n’en ressortira que trois ans plus tard.
En quête de sonorités nouvelles, il s’est entouré de ceux que l’on n’appelle pas encore les Soulquarians, une dream team de musiciens tous unis par leur amour immodéré de la soul – le batteur Questlove des Roots, le beatmaker J. Dilla, le claviériste James Poyser, Common, Erykah Badu, le bassiste Pino Palladino, le trompettiste Roy Hargrove…
Voodoo naît ainsi de leurs interminables sessions d’improvisation, bien souvent démarrées tard le soir autour d’un classique de James Brown, Prince ou Sly Stone.
Aux confins du live et de l’expérimentation, Voodoo peut se confondre pour les oreilles les plus paresseuses avec une collection de pistes un peu trop abstraites, tirant un peu trop en longueur (aucune ne dure moins de 4 minutes 30, plus de la moitié durent plus de 6 minutes) et ne menant nulle part.
Sauf que non. Pas du tout. C’est même exactement l’inverse.
Voodoo est un disque éminemment personnel. Non pas que D’Angelo s’y dévoile avec l’impudeur d’un rappeur élevé à la télé-réalité, mais Voodoo n’est pas un disque qui s’écoute dans une pièce remplie de monde, ni même un disque qui se réécoute sans y penser.
Voodoo c’est de la musique qui avance à son rythme, et dont la valeur tient en grande partie au lien que vous tissez avec elle.
1. Playa Playa
Après une quinzaine de secondes de fond sonore aux relents mystiques, l’instrumentale s’assemble par touches pendant près d'une minute (un riff de trois notes qui monte en puissance, des claquements de doigts, le bruit inversé de cymbales…), tant et si bien qu’avant même que la voix de matou de D’Angelo ne se fasse entendre pour lier le tout, l’atmosphère est posée.
Aussi lancinant qu’organique, Playa Playa annonce en grande partie la suite.
Oh, et pour ce qui est de ce léger décalage entre les instruments et le beat qui donne un côté beaucoup plus humain qu’une ligne de batterie programmée sur console, l’effet emprunte au regretté J.Dilla.
Bien que non crédité au générique, ce dernier a en coulisses énormément contribué à Voodoo.
2. Devil’s Pie
Une production DJ Premier qu’accompagne un grondement de basse particulièrement addictif sur lequel le maître des lieux murmure plus qu’il ne chante les excès du rap et ses compromissions.
[Une diatribe tristement prémonitoire lorsque l’on sait le tournant que sa vie va ensuite prendre.]
Et tant pis si le texte est à peine compréhensible. Pas franchement reconnu comme un parolier d’exception, l'émotion passe par l'interprétation.
3. Left & Right (Feat Method Man & Redman)
Mélange de rap et de rnb toujours, D’Angelo continue de jouer la carte de la retenue. Sa voix se fait planante, presque fantomatique, en complet contraste avec l’énergie de ses guests alors au sommet de leur art (mais quelle entrée de Redman !).
Trop souvent étiqueté neo soul, Voodoo ne comporte pourtant que deux morceaux répondant stricto sensu aux canons du genre (Devil’s Pie et Left & Right). La suite de l’album va d’ailleurs se faire plus diverse, embrassant tous les styles de « black music » qui l’ont précédé.
4. The Line
Ce qu’il y a d’incroyable dans la voix de D’Angelo, au-delà de la singularité de sa texture et de ses placements, c’est son mélange de force et de fragilité. Comme si malgré son assurance de façade, il évoluait constamment sur un fil.
Morceau sur la tentation de mettre fin à ses jours, The Line en est l’illustration parfaite.
5. Send It On
La toute première chanson enregistrée pour Voodoo.
Devenu père d’un petit garçon peu après Brown Sugar, D’Angelo lui dédie cette ode écrite avec sa mère et compagne d’alors, Angie Stone.
Langoureux à souhait (merci le sample de Sea of Tranquility des Kool & the Gang, merci le multitracking, cette technique de studio popularisée par Marvin Gaye et Al Green qui superpose deux prises de voix en léger décalage), Send It On est l’un des morceaux les plus « conventionnel » de l’album.
Nonobstant, l’un des préférés de beaucoup.
6. Chicken Grease
Né d’un bœuf autour de Mother’s Son de Curtis Mayfield, ce funk minimaliste se révèle extrêmement fiévreux, pour ne pas dire contagieux.
Porté par le groove, D’Angelo se laisse presque à rapper.
Qui a dit que tous les morceaux de Voodoo se ressemblaient ?
Trivia : l’expression « chicken grease » renvoie à une expression utilisée par Prince lorsqu’il souhaitait que son guitariste joue un accord de neuvième mineur sur un rythme en double croche.
7. One Mo’ Gin
Le genre de morceau qui, s’il avait été joué deux fois plus vite, aurait allègrement tourné en radio.
S’eut été dommage, tout l’intérêt de ces six minutes velouteuses dédiées à une relation passée tenant justement au côté contemplatif de l’exercice.
Bon après, libre à chacun de préférer le rnb mièvre et sirupeux qui squattait les hauteurs des charts à la même époque…
8. The Root
Inspiré par la guitare de Jimi Hendrix, The Root ne donne toutefois pas dans le gros riff qui tâche. Les notes se font discrètes, presque complices de D’Angelo.
La donne change néanmoins dans le dernier tiers : vocaux et instruments se livrent une bataille larvée pour prendre contrôle du morceau.
À réécouter autant de fois que nécessaire pour saisir toutes les nuances de ce crescendo.
9. Spanish Joint
Nouveau changement d’humeur : les cuivres de Roy Hargrove (paix à son âme) prennent ici la relève pour frayer habilement avec les sonorités endiablées d’Amérique du Sud.
Impossible de ne pas penser à l’album Sketches from Spain de Miles Davis. Impossible également de ne pas se dire que quel que soit l’angle abordé, Voodoo prolonge un glorieux passé.
10. Feel Like Makin’ Love
Habitué des covers (Cruisin de Smokey Robinson, Your Precious Love de Marvin Gaye et Tammiu Terrell, She’s Always In Your Hair de Prince…), D’Angelo reprend le standard de Roberta Flack enregistré en 1974.
La basse y est plus lourde, l’interprétation plus féline, le rendu plus charnel��� Pas dit qu’il parle du même « love »…
Un son en tête des playlists pour « flâner dans le parc » et « voir le printemps laisser place à l’été ».
11. Greatdayndamornin’/Booty
Petit moment d’accalmie calé entre deux mastodontes de la tracklist, cette onzième piste découpée en deux parties réussit à assurer une transition en douceur sans pour autant passer inaperçue.
Agréable juste ce qu’il faut
12. Untitled (How Does It Feel)
Le titre qui grâce à son clip a permis à Voodoo de décrocher une certification platine (D’Angelo y est vu se mordiller les lèvres en tenue d’Adam, vraisemblablement en train de se faire s****), mais pas que.
Pensé comme une variation des slow jams du Prince des années 80, How Does It Feel est un petit bijou de tension sexuelle. Sept minutes d’intimité où chaque seconde participe à faire grimper la température, jusqu’à ce final tout en rugissements responsable à lui seul d’un mini baby-boom.
Pas besoin d’intellectualiser plus que ça.
13. Africa
Une ultime piste dédiée à la Terre-Mère, à Dieu et à la création.
La préférée de Questlove, et pour cause : « Africa vous procure la même sensation que Higher sur Brown Sugar. C’est une chanson qui tue, mais que vous appréhendez, car vous savez que ce sera la dernière avant un long moment. »
À sa décharge, il faudra en effet attendre 14 ans, 10 mois et 20 jours pour que Michael Archer donne un successeur à Voodoo…
« Voodoo », un disque précieux
S’il est un argument pour justifier le culte qui entoure Voodoo depuis bientôt un quart de siècle, au-delà de la maestria avec laquelle il amalgame ses influences, au-delà du fait que chaque réécoute apporte son lot de découvertes (dans l’orchestration, dans les arrangements, dans les superpositions…), c’est son côté résolument envoûtant.
Voodoo, c’est de la musique vers laquelle on finit toujours par revenir.
Voodoo, c’est d’ailleurs plus que de la musique. Voodoo, c’est de l’incantation.
Publié sur Booska-p.com le 26 janvier 2023.
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Pédocriminalité: Ici, la justice, c'est une farce
Une loge maçonnique à Forbach ?
Une loge franc-maçonne à Forbach, nous le peuple on n'aime pas cela ! Combien de subventions reçus ? Qui sont les membres ? Font-ils partis d'autres associations qui touchent aussi des subventions ? ... Ah, le Rotary Club à Forbach… franchement, quelle idée brillante ! Un club de vieux d'une certaine caste, pas la nôtre c'est sûr, qui se félicitent mutuellement de leurs œuvres de charité autour d’un petit vin blanc ? Mais ici, à Forbach, on en veut pas de ce club de bourgeois se croyant indispensables. C’est quoi le plan, exactement ? Venir nous expliquer la fraternité et l’entraide, tout en jouant aux sauveurs ? Allez, gardez vos réunions secrètes et vos poignées de main ridicules pour vous, et laissez-nous tranquilles avec vos fausses bonnes intentions. A lire : Article Républicain Lorrain Attention, au moindre scandale avec un de nos gosses, c'est la guerre avec le peuple ! D.S. : Suite à la montée de la pédocriminalité, j'ai souhaité écrire cet article en m'inspirant des enquêtes menées et des témoignages. Nous, peuple de France, nous ne reconnaissons pas la franc-maçonnerie comme une entité supérieure à l'homme. Elle agit bien souvent dans les intérêts de leurs fronts de copains, plutôt que dans l'intérêt général du peuple ! La France, ce pays merveilleux où les puissants se sentent invincibles. Surtout quand ils ont une équerre dans une main et l'autre dans le caleçon d'un gosse. Parce que dans les hautes sphères de cette société si bienveillante, certains semblent trouver plus d'intérêt à abuser des plus vulnérables qu'à se soucier du bien commun. « Fraternité », qu’ils disent, alors qu’en coulisse, c’est plutôt le grand bal des porcs ! Pédocriminalité ? Mais voyons, ce n'est qu'un vilain mot dont les élites préfèrent se protéger entre copains. Après tout, quand tu fais partie d’un club où la protection est garantie, où même les juges, les politiques et les grands patrons partagent le même tablier, pourquoi t'inquiéter ? Ici, la justice, c'est une farce, un petit coup de fil entre frères, et hop, l'affaire est classée. Et ça, ça vaut même pour les horreurs les plus crasses. T’as entendu parler de ces affaires ? Oh, bien sûr que non, elles font à peine un petit tour dans l’actualité avant de disparaître. Un réseau pédophile protégé par des magistrats et des notables ? Mais voyons, impossible, ça n'existe pas... sauf que ça existe, bien planqué dans les recoins de cette société trop bien huilée pour qu’on vienne y foutre le nez. Des procès bâclés, des peines ridicules, des enquêtes étouffées. Il suffit d’être membre du bon cercle pour que tes pires déviances soient traitées avec la même discrétion qu’un dîner d’État. Et pendant ce temps, les victimes, elles ramassent les miettes de cette justice grotesque, une institution qui ferme les yeux dès qu’un tablier doré passe dans le coin. « Vous comprendrez, mon cher, il est innocent, ce brave homme, c’est un malentendu… » Un malentendu, vraiment ? Tu veux dire que violer des gosses, c’est un simple accident de parcours ? Ce film de 2000, a été censuré par l'INA, si le lien ne fonctionne plus, signalez-moi, je vous en trouverez un autre, mais c'est une réalité qui nous dépasse tous ! Ce n’est pas juste une affaire d’individus pourris, c’est un système entier qui ferme les yeux, complice d'un silence insupportable. Et si quelqu’un osait parler, il finirait en procès... pas les criminels, non, mais ceux qui osent dénoncer. Les défenseurs des enfants sont souvent ceux qu’on traîne dans la boue, parce que dans ce pays, les salauds sont rois. Alors, que fait-on ? On continue à se marrer pendant que ces porcs déguisés en bienfaiteurs se goinfrent d’impunité ? Ou est-ce qu’on commence enfin à foutre un coup de pied dans la fourmilière et à rendre justice, la vraie, celle qui mettrait ces types en taule, loin de leur petit monde doré ? L’heure de la grande farce doit se terminer. Place à la vraie lumière à cette gauche pédophile comme l'a dénoncé Rachida Dati. Appelant à la création d'une commission indépendante de lutte contre les abus de pouvoir et les violences sexuelles qui seraient commis par des élus parisiens. "Impunité, silence, circulez il n'y a rien à voir, c'est une honte", s'est emportée Rachida Dati Le plus drôle dans tout ça ? Ce n’est même pas caché. C’est là, au grand jour, avec des affaires qui éclatent de temps en temps, juste assez pour créer un petit scandale... avant de rapidement disparaître comme par magie. Étonnant, non ? Mais ne t’inquiète pas, citoyen, la justice travaille, enfin, à sa manière : lente, hésitante, et surtout, bien sûr, avec un œil indulgent pour les « initiés ». On ne veut pas froisser les amis du Grand Orient après tout ! Alors, tu vois, en France, tout va bien : tant que tu connais les bonnes personnes, même les pires crimes deviennent invisibles. Allez, santé ! Et à la prochaine réunion secrète. David SCHMIDT (Source: 1- 2- 3). Read the full article
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JME "Grime MC" (2019) : L'album qui a fait bugger Spotify (et c'est voulu)
JME "Grime MC" (2019) : L'album qui a fait bugger Spotify (et c'est voulu) Jme, de son vrai nom Jamie Adenuga, est une figure emblématique de la scène grime britannique. Frère cadet de Skepta, il a cofondé le collectif Boy Better Know, véritable pilier du genre. "Grime MC", sorti en 2019, marque un retour aux sources pour Jme, qui a choisi de distribuer l'album uniquement en format physique, un pied de nez à l'ère du streaming. "Grime MC" est un condensé de 18 pistes, pour une durée totale d'environ 50 minutes. L'album est un pur produit grime, avec des BPM élevés, des basses lourdes et des synthés sinistres. L'ambiance est résolument underground, fidèle aux racines du genre. La production de "Grime MC" est un retour aux fondamentaux du grime. Jme utilise des logiciels comme Logic et Fruity Loops, mais aussi des outils plus inattendus comme une PlayStation ou un Nokia. Les beats sont bruts, les synthés menaçants, et les basses omniprésentes, créant une atmosphère à la fois nostalgique et innovante. Les paroles de Jme abordent des thèmes variés, allant de la critique de l'industrie musicale à des réflexions personnelles sur la vie et la société. Il utilise souvent l'humour et les références à la culture geek pour faire passer ses messages, rendant ses textes à la fois profonds et accessibles. Jme brille par sa diction claire et son flow précis. Il sait captiver l'auditeur avec des punchlines mémorables et des moments de bravoure vocale. Les collaborations avec des artistes comme Skepta et Giggs ajoutent une dimension supplémentaire à l'album, chaque invité apportant sa propre énergie. Jme a produit certains des beats de l'album en direct sur Twitch ! Une manière pour lui de rester connecté avec ses fans tout en montrant les coulisses de sa création musicale. "Grime MC" est un must pour tout fan de grime qui se respecte. Si vous aimez les beats lourds, les paroles incisives et l'authenticité brute, cet album est fait pour vous. Il s'adresse aussi bien aux puristes du genre qu'aux nouveaux venus curieux de découvrir ce qui fait vibrer l'underground londonien. via Blogger https://ift.tt/ZixmRWO July 04, 2024 at 09:00AM
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"La piste du grand cirque est savonnée. Quand on tombe ça fait un bruit de mou et aussi des bulles. Sur les gradins, les curieux gredins rigolent ou se chamaillent en regardant disparaître la mousse aux trousses. Les orateurs se relèvent et glissent encore des bons mots punchline en états-unien. Ils patinent en choeur et dans les virages essayent de prendre du large; non sans avoir fait quelques queues de poisson-torpille, et deux pieds en coulisse. Quelques doigts aussi. Chacun se prend à rêver éveillé. Il faut y croire pour y voir Rien n'est perdu, tout se transforme. Demain c'est le grand jour On est à la bourre, pas à la guerre. Sur les gradins, ça se bidonne, ça s'interroge, ça se bibine, en attendant la suite de la comédie française et la nuit pour oublier.
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