#phallique
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girafeduvexin · 2 years ago
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L'exagération a été inventée aux concerts de Johnny Hallyday au stade de France, en 1998.
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christian-dubuis-santini · 1 month ago
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L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci "psychologisant" qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La "perversion narcissique" apparaît pour la premier fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du "pervers narcissique", pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit rappel sur la notion de perversion en psychanalyse
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
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aurevoirmonty · 3 months ago
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« […] de nombreux éléments caractéristiques du Shivaïsme se retrouvent dans la Crète minoenne : le jeune dieu, la Déesse de la Montagne, le taureau et le Minotaure, le serpent, les cornes, le lion, la chèvre, l'arbre sacré et le pilier phallique, le sacrifice du taureau et la danse extatique des Corybantes et des Courètes, qui sont à tous égards identiques aux Ganas, les jeunes compagnons de Shiva et ses adeptes. Les symboles de la svastika, de la double hache et du labyrinthe proviennent, comme nous le verrons plus tard, d'idées indiennes liées à l'expérience yogique et au culte de la Terre. »
Alain Daniélou, Les dieux de l'amour et de l'extase
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larmaro · 1 year ago
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La grasse matinée / Mes funérailles (Clovis Trouille) Requiem pour un vampire (Jean Rollin)
« Un thème revenait plusieurs fois : un objet phallique, obélisque ou cheminée, avec une femme nue le pubis recouvert d'une petite chauve-souris noire aux ailes ouvertes… » (Monseigneur Rat, Jean Rollin)
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octoberbluegates-fr · 6 months ago
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Qu'est-ce que Beltane a à nous apprendre?
Je suis d'avis qu'une fête ne sert pas juste à comémorrer ou à s'amuser. Certes, c'est peut-être une déformation professionelle de chercher du sens partout XD Mais je pense que beaucoup de personnes s'accordent à dire qu'une fête est une occasion de réfléchir à quelque chose, et d'en retirer une intention ou une morale, comme dans les contes de fée.
Alors, qu'est-ce que Beltane a à nous apprendre? Ca dépend des traditions, bien sûr, on ne retire pas la même intention de Walpurgisnacht, de May Day ou de Floralia. Mais ce que je trouve en commun dans la plupart des traditions c'est l'idée d'expression.
Le printemps se termine et l'été pointe son nez, les insectes sont déjà en effervescence depuis que les bourgeons se sont ouverts, c'est la saison des amours pour beaucoup d'animaux, en particulier les oiseaux. S'il y a une partie de l'année où la vie est à son comble, c'est celle-là.
D'ailleurs, Beltane est à l'opposée de Samhain sur la roue de l'année. Samhain est traditionnellement le moment où l'on se replie sur soi et où l'on honore les morts, il fait donc sens qu'à Beltane, on célèbre au contraire la vie.
Et célébrer la vie, pour beaucoup, c'est célébrer l'origine de la vie, la conception, bref, le sexe. Cela peut donc être une première chose que l'on peut apprendre de Beltane : la sexualité est quelque chose que l'on peut célébrer. C'est assez basique, mais c'est un message qui échappe à certaines personnes, en particulier dans la culture de la pureté qui s'étend partout en ce moment.
La sexualité, c'est quoi? C'est la reproduction, l'accouplement, la perpétuation de l'espèce, certes, et cet aspect est plus que présent dans les célébrations où l'on retrouve nombre de symboles sexuels, dont le mât de Mai est un des exemples les plus connus : l'arbre, symbole phallique, entouré par les rubans tressés autour pour symboliser l'union.
Mais la sexualité, c'est bien plus que cela, en particulier chez les humains où elle est si complexe que nous ne la comprenons pas encore réellement. C'est l'attirance, d'une part, le fait d'aimer ou non une personne, et comment et pourquoi. La sexualité, ça représente donc aussi l'ouverture aux autres, la confiance, le respect. C'est une chose qui nous lie aux autres êtres humains, même si c'est loin d'être la seule.
La sexualité, c'est aussi, (et surtout d'après moi), une recherche du plaisir, et c'est, bien plus que l'aspect reproducteur, ce qui relie la sexualité à la vie. Le plaisir est la motivation principale de toutes nos actions. Plaisir au sens large, je ne parle pas juste de l'orgasme, même s'il en fait partie. Nous avons du mal à manger lorsque la nourriture ne nous plaît pas, même si elle contient tous les nutriments nécessaires. Certaines études montrent même que nous assimilons moins de nutriments lorsque nous ne prenons pas de plaisir à manger. Nous prenons des bains parce qu'ils nous détendent plus que parce qu'ils nous lavent. Nous avons inventé le sport parce que jouer nous procure du plaisir, la mode parce que la beauté nous procure du plaisir. Même les kinks qui jouent sur la douleur ou l'absence d'orgasme procurent du plaisir, simplement un plaisir différent.
Bref, célébrer la vie, c'est célébrer le plaisir de vivre, et c'est une deuxième chose à retenir de Beltane. Nous ne vivons pas pour travailler, mais nous travaillons à être heureux. Les difficultés endurées servent à arriver à ce sommet du plaisir que représente Beltane, et il est très important de ne pas perdre cela de vue. Beltane pourrait donc nous permettre de nous interroger sur ce qu'est le plaisir, qu'est-ce qui nous en procure réellement? Et ainsi, on peut en venir à ce qui est important dans notre vie, quelles sont ces choses qui nous procurent du plaisir et que nous avons besoin de protéger? Les rituels de protection font partie des traditions de Beltane, c'est donc une autre question à se poser.
Ce qui me ramène à l'idée que j'avais à la base, l'idée d'expression. Nous savons, au fond de nous, ce qui nous procure du plaisir, c'est quelque chose d'animal, et célébrer Beltane, c'est exprimer cette partie animale, naturelle, de notre être. Nous sortons de la période sombre de l'année, où nous nous refermons et regardons en nous, et entrons dans la partie claire où nous pouvons faire "fleurir" métaphoriquement ce que nous renfermons, nous ouvrir aux autres.
Que pouvons nous donc apprendre de Beltane? A accepter sa sexualité, et celle des autres. A profiter de tous les plaisirs que la vie offre, de la bonne nourriture à la reconnaissance des êtres aimés. Et à creuser au fond de soi pour exprimer, pour faire sortir, cette partie de nous naturelle et animale que nous avons tendance à réprimer.
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metacarpus · 1 year ago
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8 août - monstres
On ne me remarque que pour de mauvaises raisons. On me convoque, on m'invoque, on me crée, et je n'ai pas mon mot à dire. On me peint des crocs, des griffes, une mauvaise haleine. Apparemment je vis dans des marécages putrides ou des antres obscures, réminiscentes d'un féminin fantasmé démoniaque. On m'oppose des épées phalliques qui finissent toujours pas m'occire.
Je dis : assez. J'ai de nobles moustaches d'or et des ailes en voile de jonque. Mes écailles sont des éclats de saphir, mes yeux des billes d'obsidienne. Je couve à l'ombre des volcans et couche dans les mers profondes. Que savez-vous de moi, sinon ce que vous rapportent les héros ? Que savez-vous de mes petits qui s'ébrouent dans les étoiles, de mes amours et mes peines ?
Nous sommes nombreuses, nombreux ; dragons, chimères, sorcières, ogres, fantômes et spectres. Vous nous apposez vos propres horreurs, car les absents ont toujours tort. Lamias, loups-garous, sirènes ; nous sommes la nature. Arrêtez-vous pour essayer de la comprendre. Rangez vos armes. Pour trouver des monstres, regardez plutôt par dessus votre épaule, derrière vous : sur le pas de votre porte un souvenir terrible, des foyers grouillant de trahison.
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mysadecstasy · 8 months ago
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Noirceur étoilée
            C’est dans la noirceur étoilée que se tissent tes rêves fardés. Etirés, émiettés, les voici drapés sous l’abîme. Enfouis dans l’incertitude des secondes qui coulent implacables sur tes lèvres closes. Les mots tus et les feulements des cœurs écharpés. L’élégie de ta grâce hésitante exhale une mélancolie suave. Tes mains sont brulantes et ta voix étouffée. Crier sous les étoiles comme une louve affamée. Crier sous les étoiles comme un perdant désabusé. Hurler dans la nuit sans écho. Abandonner.
            Et je cours sur les pentes nacrées de mes désirs balbutiants. Gorgé d’une audace folle, je dévale l’impossible comme un dévot use ses genoux sur le marbre poli de la Grande Cathédrale. Babylone la putain s’est vêtue comme une altière impératrice, et sur les pyramides rayonne le soleil rugissant tel un fauve enivré. Perce le trop plein d’amertume et enveloppe les rêves d’enfants dans un linceul de papier de soie doré.
            Exquise est la morsure… exquise est la morsure de tes pulsions en fleurs comme un magnolia blanc surplombant le vertige de toute naïveté. A la proue du monde, assise sur le phare du dernier cap à franchir, se dessine l’immortalité de tes hésitations frénétiques. Atomes centrifugés. Pulsions en Si mineur comme la Grande Messe. Le Diable sort des ténèbres enfumés pour s’asseoir au premier rang. Impair. Velours rouge. Coupole de feu peinte par des doigts de fées. Le spectacle commence et le hautbois virevolte au-delà de toute attente. Médusé le parterre. Silence tombal entre les nuances saturées de couleur miel. Ecarte ta voix, écarte ton sein. Accueille l’audace et croque la part du rêve. L’amour est à la proue de l’île Saint Louis, étiré entre un platane et un banc peint de vert. Un instant, la suspension impalpable de la sidération ôte toute gravité. Toi et moi. Nous flottons dans l’indicible éternel, le temps d’un clin d’œil fugace et provocateur.
            Nue. Lumière rasante. Torpeur sourde. Nue. Effervescence des effluves enlevés à la dissection des rêves frémissants. Un jaguar dévore le cœur encore chaud d’un malheureux singe effronté. La seule loi qui opère est qu’il n’y en a pas. Ruissellements assourdissants de l’armée décadente des entrevues égarées. Egarées et garées entre deux gares de campagne. Dans le jaune d’une pâquerette j’entrevoie la faille boursoufflée offerte à mon dévolu. Rose. Crème. Insubmersibles désirs d’opale. Le sang et le feu se dressent comme une muraille. Il faudrait une poterne ou, creuser en dessous ou, n’en avoir que faire et alors prendre la mer. Le feu sous la glace. Prendre la mer, de vagues en vagues que les mots dépassent. Que les mots se noient dans le marasme des hésitations tentaculaires.
            Et dans la noirceur étoilée. Au trois-quarts du bout du monde. Pendus à l’horizon chevrotant. Défaits de toute crainte, absous de toute horreur, drapés dans la candeur amère d’un labyrinthe insoluble. Nous y voilà. Plantés sur la phallique oraison transcendantale des vies bégayantes. Nous voilà dans le couloir de l’insondable naïveté de l’être. Sourde. Offerte. Dans le dédale des possibles apparait l’exaltation suprême… où les mots touchent et bouchent les fissures muettes des égarements du cœur.
Et où alors tu lévites, Madone. Rideau noir. Silence grinçant. Tu lévites, Madone. Bras de flanelles et bouche cousue. Je me jette en ton sein et m’endors jusqu’à la prochaine Cavalcade.
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ashley2art · 11 months ago
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Catalogue d'exposition 2023
Par Ashley Mwalumba Lombaya
Louise Bourgeois, Maman, 1990
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Louise Bourgeois, Maman , 1990 Du haut de ses 10m , elle rapelle la forme d'une araignée. Maman est une oeuvre emblématique de ls placticienne Louise Bourgeois. Son thorax ainsi que son abdomen sont fait dans la majorité des versions en bronze. La sculpture fait hommage a la mère et comprend un sac contenant 26 oeufs en marbre rapellant l'aspect maternelle de l'oeuvre. Elle se distingue des tendances abstraites mises en œuvre par de nomrbeux sculpteurs contemporains : elle choisit de représenter un animal en respectant ses principaux traits anatomiques (huit pattes, aspect général ...).
2. Cecily Brown , The Girl who had everything, 1998
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Cecily Brown, The Girl who had everything, 1998
Brown est parfaitement consciente de la tradition de l’histoire de l’art qui la précède ; en effet, son travail existe comme une collusion esthétique entre les disciplines des maîtres anciens et de l'expressionnisme abstrait. Cette oeuvre se distingue par sa confusion stimulante et ludique des frontières traditionnellement perçues entre l'abstraction et la figuration
3. Jenny Saville, Propped, 1992
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Jenny Saville, Propped, 1992
Inspiré par les écrits de féministes féminines, le travail de la peintre britannique contemporaine Jenny Saville remet depuis longtemps en question le plaisir visuel masculin et hétérosexuel qui, selon Mulvey, doit être démantelé. Dans son oeuvre Propped de 1992, représente son corps nu sur un tabouret phallique. Ses mains agrippent avec force ses cuisses et ses bras rapprochent ses seins. Elle embrasse les imperfections du corps, attirant l'attention sur les imperfections qui sont magnifiées par l'échelle de 7 pieds sur 6 pieds du tableau.
4. Tracey Emin, My Bed, 1998
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Tracey Emin, My Bed, 1998
Tracey Emin a conçu l'installation intitulée My Bed (1998) après une longue période d'alité suite à une mauvaise rupture. Cette oeuvre est spéciale parce à cause de son contenu explicite .Les mouchoirs froissés, des vêtements tachés par les règles, des cigarettes, des bouteilles de vodka vides, un test de grossesse, du lubrifiant et des préservatifs entouraient son lit.
5. Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994
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Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994
Balloon Dogs est une sculpture monumentale de l'artiste américain Jeff Koons représentant un chien sculpté à partir d'un ballon. Il existe différentes versions de cette sculpture en acier inoxydable. Réalisées entre 1994 et 2000, elles présentent chacune une couleur différente.
6. Antony Gormley, Angel of the North, 1998
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Anthony Gormley, Angel of the North, 1998
L' Ange du Nord est une sculpture contemporaine d' Antony Gormley , située à Gateshead , Tyne and Wear , en Angleterre. Achevée en 1998, elle est considérée comme la plus grande sculpture d' ange au monde et est vue par environ 33 millions de personnes chaque année en raison de sa proximité avec les routes A1 et A167 et la ligne principale de la côte Est . [1] [2] La conception de l'Ange, comme beaucoup d'œuvres de Gormley, est basée sur le propre corps de Gormley. Le matériau en acier patinable COR-TEN donne à la sculpture sa couleur rouillée et oxydée distinctive. Il mesure 20 mètres (66 pieds) de haut et a une envergure de 54 mètres (177 pieds), plus grande que celle d'un Boeing 757 . 
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philoursmars · 7 months ago
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine à Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la première ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
Lare en bronze - Narbonne, Ier-IIème s. ap. J-C.
Vénus pudique en bronze - Cuxac-d'Aude, Ier-IIIème s. ap. J-C.
Mercure en bronze - Narbonne, Ier-IIIème s. ap. J-C.
amulettes phalliques en bronze (des bites volantes, quoi) - Haut-Empire
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malevolat · 1 year ago
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la présence phallique et vaginaire du divin
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christian-dubuis-santini · 26 days ago
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De la différence induite par le Discours de l’Analyste sur une notion telle que la "perversion" (suite)
Aujourd’hui, le mot "pervers" apparaît dans plusieurs registres, aussi bien pour signifier une condamnation sans appel comme dans le fallacieux bricolage du "pervers narcissique" (cf. infra.) mais aussi dans un sens plus "laudatif" et transgressif («ce n’est pas assez pervers pour moi, j’aimerais quelque chose de plus pervers…)
Dans son exposé sur la "banalité du mal", Hannah Arendt avance qu'Eichmann n'était pas un "pervers sadique", or cette considération fait référence à une notion encore pré-psychanalytique, une représentation de sens commun où le sadique est quelqu'un qui inflige et jouit des souffrances qu'il fait subir aux autres.
Depuis les années 60, Lacan insiste: la position subjective du pervers est une radicale attitude d'auto-instrumentalisation, le pervers se faisant lui-même le pur objet-instrument de la jouissance de l'Autre.
Cela nous a amené à distinguer et articuler plusieurs niveaux en ne confondant pas la perversion, qui est de structure (psychose, perversion, névrose) avec la perversité ou les traits pervers.
La psychanalyse distingue la "perversion vraie", la perversion de structure donc, qui est une position subjective spécifique par rapport à la structure de langage incorporée, donc refoulée, qui est différente de ce que l'on qualifie de discours perverti, soit le Discours Capitaliste qui est le Discours du Maître perverti pas sa copulation avec le Discours de la Science.
Comme nous l’avons déjà évoqué, le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" du fantasme.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
Le sujet pervers est fixé en position narcissique par son identification à la supposée "mère-phallique" de son fantasme, il méconnait donc la Loi, pour dicter sa loi propre, comme étant celle de l'Autre, par lui imaginarisé (par exemple "l'Être suprême en méchanceté" chez Sade) autrement dit celle du Surmoi, qu'il va instrumentaliser à son profit, parce qu’il s’imagine être un défenseur de la loi…
Il se situe dans le fantasme en position d'objet faisant supporter à sa partenaire — qui doit toujours être contrainte, et non pas complice — la division subjective ($) qu'il visualise dans la conflagration de la honte qu'il produit chez elle en dévoilant sa castration à elle (c'est-à-dire en la privant du phallus imaginaire qu'il lui avait attribué, en l'idéalisant, elle - ce que fait Sacher-Masoch en idéalisant Wanda comme étant "la Venus à la Fourrure", qui est en réalité une gourde, et qui ne comprend rien à ce qui lui arrive).
Le sujet pervers lui-même méconnaissant qu'il s'agit de la sienne, de castration, projetée dans l'autre…
Le pervers est lui aussi passé sous les fourches caudines de la Loi - son "Œdipe" a été accompli, il "refoule" aussi bien, et lui aussi ne "sait pas"…
La stratégie du sujet pervers consiste à apporter un "démenti" (Verleugnung) au réel de sa propre castration en substituant l'imaginaire au symbolique.
C'est pour cela que Lacan parle de Verleugnung, qu'il traduit comme étant un "démenti du réel" - qui se distingue du "déni" de la réalité, courant dans le discours politique entre autres…
La perversion apparaît comme une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi. Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
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aurevoirmonty · 8 months ago
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"Evola remarque en effet que le tonus global de la tension érotique à l’Ouest, devient toujours plus “féminin”, voire “matriarcal”. Conformément à la conception d’Evola, l’érotique masculine est caractérisée par une rigoureuse précision de l’impulsion, la croissance de la tension intérieure, le besoin d’un couronnement fulgurant et “traumatique”, la culmination. Un tel type “phallique” classe non seulement toue les hommes normaux mais également, dans son ensemble, un type de spiritualité masculine ; le type des cultures “solaires”, héroïques et patriarcales."
Alexandre Douguine, Vouloir n°94/96, (1992)
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une-touille-en-vadrouille · 2 years ago
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Post spécial Angkor Wat !
Ce temple est le jumeau précoce de Notre Dame de Paris. Sa construction a débuté une année avant celle de Notre-Dame, au XIIe siècle, mais contrairement à celle ci qui a mis deux siècles à être construite, Angkor Wat a été bâti en seulement 37 ans. J'imagine que les 8000 éléphants utilisés ont dû sacrément aider. Ce temple est dédié à Vishnou, et est donc un temple hindouiste. C'est important de le préciser puisque la religion du royaume a fait le yoyo entre le bouddhisme et l'hindouisme sur les 3 siècles durant lesquelles les principaux temples ont été construits. Petit aparté, cela a conduit à effacer le visage de buddha dans certains temples lorsque le royaume repassait dans l'hindhouisme.
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Ce temple est reconnaissable à ses 5 tours, symbole phallique typique de Vishnou (avec la perspective, on n'en voit que 3...).
Il est pourvu de 5 entrées, une par tour, réservées respectivement une pour le roi, 2 pour les hauts dignitaires, et 2 pour les éléphants royaux. Le reste de la populace est prié de passer par derrière.
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Nous avons été impressionnées par les 800m de bas reliefs le long des galeries, qui font référence à des évènements de la mythologie hindouiste, ou qui dépeignent les enfers et les tortures associées à chaque pêchés. Vous serez ravis d'apprendre qu'il y a 32 enfers différents, dont un spécifiquement réservés à ceux qui font pipi dans un temple (les chauves-souris n'ont pas été mises au courant).
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Ce temple est entouré de douves impressionnantes dont nous n'avons pris aucune photos, alors voici un arbre en compensation.
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feinstone · 1 year ago
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After about an hour and a half of searching, I found the source!
The name "Olmec Penis Man" seems to have originated from this instagram post sharing the image, which was in turn based off the description of this post.
Neither stated the source for the image and the objects, beyond the original post saying it was part of "temporary exposition in the USA."
Based on the composition and quality of the photograph, I figured it most likely was either part of a museum collection, or was at some point listed for sale at an auction. When you take photos like these to make an object look good, you're either bragging about having it, or trying to convince someone to buy it.
The inclusion of text on the first image saying "Patrimonio de Mexico" made me think that this was likely an object that had either been repatriated or been the subject of repatriation requests by Mexican officials, so I started by searching Mexican museums that may have had it in their collections, as well as other museums around the world with large pre-Columbian collections that may have owned it.
Photos of that quality of an object in a museum collection usually means that it was recently added to their online gallery, often as a result of being pulled out of storage and displayed for a themed exhibition, but after trawling through a dozen museums catalogues, I had no luck. While I found plenty of objects of a similar style, I couldn't find any objects matching this exact image, nor could I find any collections with photos of this kind of composition. Typically these photos would be taken in bulk, and there would be a dozen or so other items in the collection with the same lighting and photographic style, but I couldn't find anything in the places I looked.
But, while searching through more potential sources, I came across this post on a website that had the exact same image, and stated that the piece was formerly part of Guy Joussemet private collection.
This lead me to find this article, which stated that a large portion of the pre-Columbian artefacts from Guy Joussemet's private collection had been incorporated into the Barbier-Mueller collection, which went up for auction through Sotheby's in March of 2013.
Damn. Should have started with auctions. Would have saved me like 45 minutes of scrolling through museum collections.
I searched through the Sotheby's auction results history to find objects from the Barbier-Mueller collection, and lo and behold:
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I found this page on Sotheby's site that shows what appears to be the same object, and provides a little more details on it's history and provenance (or lack thereof, as it were).
The page obviously doesn't refer to it as Olmec Penis Man, but it does call it "Statuette anthropomorphe à tête phallique." Google translate assures me that this is French for "Anthropomorphic statue with a phallic head", which I think is as close to Olmec Penis Man as you'll get in a professional setting.
Anyway, while searching for more information regarding the piece and the collection, I discovered that this auction was a bit of a disaster. Would it shock you to learn that an auction house commissioned to sell a massive private collection of pre-Columbian artifacts didn't put a huge amount of effort into verifying the provenance and authenticity of the pieces they would be selling for a truckload of cash?
According to these two articles, and many more across the internet, the auction was a disaster. A large number of the pieces for sale did not find buyers, and a buuuuunch of countries from which the objects were, uh, """"obtained"""" requested that the auction be halted to allow them to go over the pieces before they were sold. The government agencies making these requests have said that a lot of the pieces seemed to be forgeries, and most of the ones that weren't are heritage items that need to be repatriated to their rightful owners, and any sale of those items would violate several international legislative protections that prohibit their import and sale to private owners.
Sotheby's ignored this and went ahead with the auction anyway. While the sales were affected by the requests and accusations of forgery, it seems they still managed to sell a lot of the collection.
I don't know if this little dude ended up being sold, or if it was indeed repatriated to the country it was looted from, but I at least found some details proving that it does in fact exist, and that it's name basically is "Penis Man."
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Olmec Penis Man, Mexico, 800-1200 BCE
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franklovisolo · 6 days ago
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Petite réflexion musicale pour deux clarinettes sur les tentations du photographe, qui vole le dos perlé d'écume d’une baigneuse...
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groupederocknroll · 2 months ago
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Monostithos
De bois sombres et denses et tortueux enserrée, sa demeure, son antre, l’antre de Monostithos, στήθος μόνο, ce qui signifie «sein unique», car tel est son cas et sa beauté exceptionnelle, est comme un vagin bleuté translucide. Le chemin qui y mène est boueux glissant aspirant et bordé de fortes ronces agressives, comme s’il ne voulait pas du déchiré venant.
Lorsque je, par la porte ronde, pénètre, elle est allongée, de pourpre vêtue, de hautes senteurs capiteuses parée, se masturblant avec tendresse et ironie, l’autre main jouant durement avec ses tétons enflammés avides. Son corps est entièrement couvert de merveilleuses scarifications en relief, formant volutes, signes secrets et comme une carte d’un brûlant territoire de l’au-delà… Au bas de ses hanches, dix longues et fortes tentacules bleutées, couvertes de ventouses, lui tiennent lieu de jambes, agitées sans cesse, mouvantes et gluantes et grouillantes. En leur centre, se situe sa vulve vulvaire vulvique. Chose incroyable encore, sa bouche, l’intérieur même de sa bouche, est velu, tout couvert de longs et drus et bouclés poils noirs ! Derrière ses longs cils maléfiques, de ses yeux entièrement rouges comme deux billes de braise, elle me jette un regard, passant me semble-t-il, à travers mon âme, d’indifférence lasse…
«Te voici donc, toi est celui venant m’entendre».
Alors, il est parlé d’elle que sa cyprine, la cyprine de monostithos, lui permet de créer des passages entre les mondes : pour ce faire, elle se foure les doigts dans sa chatte trempée, fait le signe phallique de ses doigts goutants luisants et forme alors un lien magique…
Elle me dit : «As-tu saisis ? Ainsi l'autre monde affleure-t-il : le sein que tu as trouvé, te menant à moi, le cadavre sur le terrain vague, le téléphone abandonné qui filme tout seul, devant lequel tu es passé, ce sont les lieux où le lien se fait ! Mais il est à toi d’en comprendre le sens…».
«Tu as du mal à t’ouvrir à cette pensée ? Attends, je vais t’aider, vile et petite salope !» Elle attrapotte alors vivement un fouet tranchant et frappe et frappe et frappe mes chairs, les lacérant et les ouvrants de sang noir… En gémissant de cruauté, vient-elle ensuite de sa langue noire et râpeuse, fouailler mes plaies offertes. Et, l’ongle si parfaitement rouge et acéré de son pouce, vient délicatement crevé mon œil gauche.
Elle pourrait dire, ensuite, si elle était moi, qu'elle allait me baiser très fort…
Je, pour l’heure, véritablement troublé et boulversiser, l’entends murmuriner sans cesse à mon oreille les chiffres magiques magnétiques, de sa voix inhumaine et sexuelle (ce sont, m’avait-elle explicationné, ceux qui permettent d’entrer en relation avec la superbe puissance ontologique supérieure, oh !): 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 07837127010783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701
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J’affirme à présent les paroles suivantes :
Monostithos est une élaboration androgyneuse.
Elle comble les hauts-marins de l’imaginaire.
Elle est la Pythie de la structure onirique du réel.
Elle est le corps fragmentique sexuel.
D’un signe, elle me fait approcher, lève les bras pour me faire humer et lécher ses aisselles couleur rouille, puantes et grasses, ensueurées et troublantes… Hmmmm, apothéose de lubricité vicieuse, cœur battant, vision troublée, m’y vautrant frottant grognant, je vais folir d’excitation perverse…
Mais la voici maintenant qui susure, empoignant mon gros sexe ithyphallique et titillanant ensemble mon gorgé clitoris : «Bientôt, bientôt, tu sauras toi aussi lire l’histoire rêveuse des choses ! Tu sauras que la grande ivresse est connaissance !».
Gnnnn, ragh, krrrrr, blllll, rlo, pru, ffffli…
«Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme…» scande-t-elle étrangement, m’envoûtant du balancement mou de son sein obscène. Des filaments électriques sourdent sans cesse de sa peau, bruissants comme serpents, déchirants les oreilles d’un son aigu comme la mort igneuse… Oui, oui, oui.
Là :
Les murs de la pièce, doucement, se referment maintenant puissamment sur moi, des volutes de fumée rougeâtres émanent du sol terreux, je halète en projetant des gerbes folles de spermite…
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