#phallique
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L'exagération a été inventée aux concerts de Johnny Hallyday au stade de France, en 1998.
#jean-jacques goldman#gif#[insérer une analyse de stéphane hirschi sur la symbolique de la guitare comme objet phallique]#whatthefrance
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L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, câest un raccourci "psychologisant" qui prĂȘte Ă confusion et Ă accusation prĂ©cipitĂ©e.
La "perversion narcissique" apparaßt pour la premier fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
MalgrĂ© un Ă©cho populaire important, ce concept â qui nâen est pas un pour cause de laxisme lexical â reste marginal et limitĂ© Ă la littĂ©rature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du "pervers narcissique", pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une dĂ©finition de la perversion est envisageable ; Ă ne pas confondre avec la perversitĂ©, telle personne choisissant d'utiliser des stratĂ©gies perverses dans ses relations avec les autresâŠ
Petit rappel sur la notion de perversion en psychanalyse
Par la structure de langage incorporĂ©, le sujet se relie Ă son (lot de) savoir inconscient selon trois modalitĂ©s logiques: la nĂ©vrose Ă partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand mĂȘme (...je sais dĂ©nier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir Ă partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, Ă son corps dĂ©fendant, l'ĂȘtre-sujet du pervers ($), dont il dĂ©ment la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposĂ©e sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initiĂ© ce procĂ©dĂ© enfant, en s'identifiant Ă sa mĂšre et en faisant d'elle une "mĂšre-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit rĂ©ellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vĂȘtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaĂźtre ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit Ă la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer Ă "La Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maßtre" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Ăvidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien Ă l'affaire d'autant plus qu'elle peut ĂȘtre terrorisĂ©e et jugĂ©e par son tortionnaire comme n'Ă©tant pas Ă la hauteur - cela se produit au moment oĂč, sur le point de rĂ©vĂ©ler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas ĂȘtre obligĂ© de reconnaĂźtre sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un dĂ©chet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le RĂ©el de la castration.
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« [âŠ] de nombreux Ă©lĂ©ments caractĂ©ristiques du ShivaĂŻsme se retrouvent dans la CrĂšte minoenne : le jeune dieu, la DĂ©esse de la Montagne, le taureau et le Minotaure, le serpent, les cornes, le lion, la chĂšvre, l'arbre sacrĂ© et le pilier phallique, le sacrifice du taureau et la danse extatique des Corybantes et des CourĂštes, qui sont Ă tous Ă©gards identiques aux Ganas, les jeunes compagnons de Shiva et ses adeptes. Les symboles de la svastika, de la double hache et du labyrinthe proviennent, comme nous le verrons plus tard, d'idĂ©es indiennes liĂ©es Ă l'expĂ©rience yogique et au culte de la Terre. »
Alain Daniélou, Les dieux de l'amour et de l'extase
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La grasse matinée / Mes funérailles (Clovis Trouille) Requiem pour un vampire (Jean Rollin)
« Un thÚme revenait plusieurs fois : un objet phallique, obélisque ou cheminée, avec une femme nue le pubis recouvert d'une petite chauve-souris noire aux ailes ouvertes⊠» (Monseigneur Rat, Jean Rollin)
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Qu'est-ce que Beltane a Ă nous apprendre?
Je suis d'avis qu'une fĂȘte ne sert pas juste Ă comĂ©morrer ou Ă s'amuser. Certes, c'est peut-ĂȘtre une dĂ©formation professionelle de chercher du sens partout XD Mais je pense que beaucoup de personnes s'accordent Ă dire qu'une fĂȘte est une occasion de rĂ©flĂ©chir Ă quelque chose, et d'en retirer une intention ou une morale, comme dans les contes de fĂ©e.
Alors, qu'est-ce que Beltane a Ă nous apprendre? Ca dĂ©pend des traditions, bien sĂ»r, on ne retire pas la mĂȘme intention de Walpurgisnacht, de May Day ou de Floralia. Mais ce que je trouve en commun dans la plupart des traditions c'est l'idĂ©e d'expression.
Le printemps se termine et l'Ă©tĂ© pointe son nez, les insectes sont dĂ©jĂ en effervescence depuis que les bourgeons se sont ouverts, c'est la saison des amours pour beaucoup d'animaux, en particulier les oiseaux. S'il y a une partie de l'annĂ©e oĂč la vie est Ă son comble, c'est celle-lĂ .
D'ailleurs, Beltane est Ă l'opposĂ©e de Samhain sur la roue de l'annĂ©e. Samhain est traditionnellement le moment oĂč l'on se replie sur soi et oĂč l'on honore les morts, il fait donc sens qu'Ă Beltane, on cĂ©lĂšbre au contraire la vie.
Et cĂ©lĂ©brer la vie, pour beaucoup, c'est cĂ©lĂ©brer l'origine de la vie, la conception, bref, le sexe. Cela peut donc ĂȘtre une premiĂšre chose que l'on peut apprendre de Beltane : la sexualitĂ© est quelque chose que l'on peut cĂ©lĂ©brer. C'est assez basique, mais c'est un message qui Ă©chappe Ă certaines personnes, en particulier dans la culture de la puretĂ© qui s'Ă©tend partout en ce moment.
La sexualitĂ©, c'est quoi? C'est la reproduction, l'accouplement, la perpĂ©tuation de l'espĂšce, certes, et cet aspect est plus que prĂ©sent dans les cĂ©lĂ©brations oĂč l'on retrouve nombre de symboles sexuels, dont le mĂąt de Mai est un des exemples les plus connus : l'arbre, symbole phallique, entourĂ© par les rubans tressĂ©s autour pour symboliser l'union.
Mais la sexualitĂ©, c'est bien plus que cela, en particulier chez les humains oĂč elle est si complexe que nous ne la comprenons pas encore rĂ©ellement. C'est l'attirance, d'une part, le fait d'aimer ou non une personne, et comment et pourquoi. La sexualitĂ©, ça reprĂ©sente donc aussi l'ouverture aux autres, la confiance, le respect. C'est une chose qui nous lie aux autres ĂȘtres humains, mĂȘme si c'est loin d'ĂȘtre la seule.
La sexualitĂ©, c'est aussi, (et surtout d'aprĂšs moi), une recherche du plaisir, et c'est, bien plus que l'aspect reproducteur, ce qui relie la sexualitĂ© Ă la vie. Le plaisir est la motivation principale de toutes nos actions. Plaisir au sens large, je ne parle pas juste de l'orgasme, mĂȘme s'il en fait partie. Nous avons du mal Ă manger lorsque la nourriture ne nous plaĂźt pas, mĂȘme si elle contient tous les nutriments nĂ©cessaires. Certaines Ă©tudes montrent mĂȘme que nous assimilons moins de nutriments lorsque nous ne prenons pas de plaisir Ă manger. Nous prenons des bains parce qu'ils nous dĂ©tendent plus que parce qu'ils nous lavent. Nous avons inventĂ© le sport parce que jouer nous procure du plaisir, la mode parce que la beautĂ© nous procure du plaisir. MĂȘme les kinks qui jouent sur la douleur ou l'absence d'orgasme procurent du plaisir, simplement un plaisir diffĂ©rent.
Bref, cĂ©lĂ©brer la vie, c'est cĂ©lĂ©brer le plaisir de vivre, et c'est une deuxiĂšme chose Ă retenir de Beltane. Nous ne vivons pas pour travailler, mais nous travaillons Ă ĂȘtre heureux. Les difficultĂ©s endurĂ©es servent Ă arriver Ă ce sommet du plaisir que reprĂ©sente Beltane, et il est trĂšs important de ne pas perdre cela de vue. Beltane pourrait donc nous permettre de nous interroger sur ce qu'est le plaisir, qu'est-ce qui nous en procure rĂ©ellement? Et ainsi, on peut en venir Ă ce qui est important dans notre vie, quelles sont ces choses qui nous procurent du plaisir et que nous avons besoin de protĂ©ger? Les rituels de protection font partie des traditions de Beltane, c'est donc une autre question Ă se poser.
Ce qui me ramĂšne Ă l'idĂ©e que j'avais Ă la base, l'idĂ©e d'expression. Nous savons, au fond de nous, ce qui nous procure du plaisir, c'est quelque chose d'animal, et cĂ©lĂ©brer Beltane, c'est exprimer cette partie animale, naturelle, de notre ĂȘtre. Nous sortons de la pĂ©riode sombre de l'annĂ©e, oĂč nous nous refermons et regardons en nous, et entrons dans la partie claire oĂč nous pouvons faire "fleurir" mĂ©taphoriquement ce que nous renfermons, nous ouvrir aux autres.
Que pouvons nous donc apprendre de Beltane? A accepter sa sexualitĂ©, et celle des autres. A profiter de tous les plaisirs que la vie offre, de la bonne nourriture Ă la reconnaissance des ĂȘtres aimĂ©s. Et Ă creuser au fond de soi pour exprimer, pour faire sortir, cette partie de nous naturelle et animale que nous avons tendance Ă rĂ©primer.
#méditations de la roue de l'année#je n'ai rien pour search saturday alors voilà x)#french witchblr#beltane#french paganblr
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8 août - monstres
On ne me remarque que pour de mauvaises raisons. On me convoque, on m'invoque, on me crée, et je n'ai pas mon mot à dire. On me peint des crocs, des griffes, une mauvaise haleine. Apparemment je vis dans des marécages putrides ou des antres obscures, réminiscentes d'un féminin fantasmé démoniaque. On m'oppose des épées phalliques qui finissent toujours pas m'occire.
Je dis : assez. J'ai de nobles moustaches d'or et des ailes en voile de jonque. Mes écailles sont des éclats de saphir, mes yeux des billes d'obsidienne. Je couve à l'ombre des volcans et couche dans les mers profondes. Que savez-vous de moi, sinon ce que vous rapportent les héros ? Que savez-vous de mes petits qui s'ébrouent dans les étoiles, de mes amours et mes peines ?
Nous sommes nombreuses, nombreux ; dragons, chimĂšres, sorciĂšres, ogres, fantĂŽmes et spectres. Vous nous apposez vos propres horreurs, car les absents ont toujours tort. Lamias, loups-garous, sirĂšnes ; nous sommes la nature. ArrĂȘtez-vous pour essayer de la comprendre. Rangez vos armes. Pour trouver des monstres, regardez plutĂŽt par dessus votre Ă©paule, derriĂšre vous : sur le pas de votre porte un souvenir terrible, des foyers grouillant de trahison.
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Noirceur étoilée
           Câest dans la noirceur Ă©toilĂ©e que se tissent tes rĂȘves fardĂ©s. EtirĂ©s, Ă©miettĂ©s, les voici drapĂ©s sous lâabĂźme. Enfouis dans lâincertitude des secondes qui coulent implacables sur tes lĂšvres closes. Les mots tus et les feulements des cĆurs Ă©charpĂ©s. LâĂ©lĂ©gie de ta grĂące hĂ©sitante exhale une mĂ©lancolie suave. Tes mains sont brulantes et ta voix Ă©touffĂ©e. Crier sous les Ă©toiles comme une louve affamĂ©e. Crier sous les Ă©toiles comme un perdant dĂ©sabusĂ©. Hurler dans la nuit sans Ă©cho. Abandonner.
           Et je cours sur les pentes nacrĂ©es de mes dĂ©sirs balbutiants. GorgĂ© dâune audace folle, je dĂ©vale lâimpossible comme un dĂ©vot use ses genoux sur le marbre poli de la Grande CathĂ©drale. Babylone la putain sâest vĂȘtue comme une altiĂšre impĂ©ratrice, et sur les pyramides rayonne le soleil rugissant tel un fauve enivrĂ©. Perce le trop plein dâamertume et enveloppe les rĂȘves dâenfants dans un linceul de papier de soie dorĂ©.
           Exquise est la morsure⊠exquise est la morsure de tes pulsions en fleurs comme un magnolia blanc surplombant le vertige de toute naĂŻvetĂ©. A la proue du monde, assise sur le phare du dernier cap Ă franchir, se dessine lâimmortalitĂ© de tes hĂ©sitations frĂ©nĂ©tiques. Atomes centrifugĂ©s. Pulsions en Si mineur comme la Grande Messe. Le Diable sort des tĂ©nĂšbres enfumĂ©s pour sâasseoir au premier rang. Impair. Velours rouge. Coupole de feu peinte par des doigts de fĂ©es. Le spectacle commence et le hautbois virevolte au-delĂ de toute attente. MĂ©dusĂ© le parterre. Silence tombal entre les nuances saturĂ©es de couleur miel. Ecarte ta voix, Ă©carte ton sein. Accueille lâaudace et croque la part du rĂȘve. Lâamour est Ă la proue de lâĂźle Saint Louis, Ă©tirĂ© entre un platane et un banc peint de vert. Un instant, la suspension impalpable de la sidĂ©ration ĂŽte toute gravitĂ©. Toi et moi. Nous flottons dans lâindicible Ă©ternel, le temps dâun clin dâĆil fugace et provocateur.
           Nue. LumiĂšre rasante. Torpeur sourde. Nue. Effervescence des effluves enlevĂ©s Ă la dissection des rĂȘves frĂ©missants. Un jaguar dĂ©vore le cĆur encore chaud dâun malheureux singe effrontĂ©. La seule loi qui opĂšre est quâil nây en a pas. Ruissellements assourdissants de lâarmĂ©e dĂ©cadente des entrevues Ă©garĂ©es. EgarĂ©es et garĂ©es entre deux gares de campagne. Dans le jaune dâune pĂąquerette jâentrevoie la faille boursoufflĂ©e offerte Ă mon dĂ©volu. Rose. CrĂšme. Insubmersibles dĂ©sirs dâopale. Le sang et le feu se dressent comme une muraille. Il faudrait une poterne ou, creuser en dessous ou, nâen avoir que faire et alors prendre la mer. Le feu sous la glace. Prendre la mer, de vagues en vagues que les mots dĂ©passent. Que les mots se noient dans le marasme des hĂ©sitations tentaculaires.
           Et dans la noirceur Ă©toilĂ©e. Au trois-quarts du bout du monde. Pendus Ă lâhorizon chevrotant. DĂ©faits de toute crainte, absous de toute horreur, drapĂ©s dans la candeur amĂšre dâun labyrinthe insoluble. Nous y voilĂ . PlantĂ©s sur la phallique oraison transcendantale des vies bĂ©gayantes. Nous voilĂ dans le couloir de lâinsondable naĂŻvetĂ© de lâĂȘtre. Sourde. Offerte. Dans le dĂ©dale des possibles apparait lâexaltation suprĂȘme⊠oĂč les mots touchent et bouchent les fissures muettes des Ă©garements du cĆur.
Et oĂč alors tu lĂ©vites, Madone. Rideau noir. Silence grinçant. Tu lĂ©vites, Madone. Bras de flanelles et bouche cousue. Je me jette en ton sein et mâendors jusquâĂ la prochaine Cavalcade.
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine Ă Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la premiÚre ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
Lare en bronze - Narbonne, Ier-IIĂšme s. ap. J-C.
VĂ©nus pudique en bronze - Cuxac-d'Aude, Ier-IIIĂšme s. ap. J-C.
Mercure en bronze - Narbonne, Ier-IIIĂšme s. ap. J-C.
amulettes phalliques en bronze (des bites volantes, quoi) - Haut-Empire
#narbonne#aude#languedoc#archéologie#narbo via#narbo#rome antique#romain#gallo-romain#bronze#bronze antique#mythologie#divinité#lares#lare#vénus#vénus pudique#mercure#amulette#phallique#phallus#bite volante#cuxac#cuxac-d'aude
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Catalogue d'exposition 2023
Par Ashley Mwalumba Lombaya
Louise Bourgeois, Maman, 1990
Louise Bourgeois, Maman , 1990 Du haut de ses 10m , elle rapelle la forme d'une araignĂ©e. Maman est une oeuvre emblĂ©matique de ls placticienne Louise Bourgeois. Son thorax ainsi que son abdomen sont fait dans la majoritĂ© des versions en bronze. La sculpture fait hommage a la mĂšre et comprend un sac contenant 26 oeufs en marbre rapellant l'aspect maternelle de l'oeuvre. Elle se distingue des tendances abstraites mises en Ćuvre par de nomrbeux sculpteurs contemporains : elle choisit de reprĂ©senter un animal en respectant ses principaux traits anatomiques (huit pattes, aspect gĂ©nĂ©ral ...).
2. Cecily Brown , The Girl who had everything, 1998
Cecily Brown, The Girl who had everything, 1998
Brown est parfaitement consciente de la tradition de lâhistoire de lâart qui la prĂ©cĂšde ; en effet, son travail existe comme une collusion esthĂ©tique entre les disciplines des maĂźtres anciens et de l'expressionnisme abstrait. Cette oeuvre se distingue par sa confusion stimulante et ludique des frontiĂšres traditionnellement perçues entre l'abstraction et la figuration
3. Jenny Saville, Propped, 1992
Jenny Saville, Propped, 1992
InspirĂ© par les Ă©crits de fĂ©ministes fĂ©minines, le travail de la peintre britannique contemporaine Jenny Saville remet depuis longtemps en question le plaisir visuel masculin et hĂ©tĂ©rosexuel qui, selon Mulvey, doit ĂȘtre dĂ©mantelĂ©. Dans son oeuvre Propped de 1992, reprĂ©sente son corps nu sur un tabouret phallique. Ses mains agrippent avec force ses cuisses et ses bras rapprochent ses seins. Elle embrasse les imperfections du corps, attirant l'attention sur les imperfections qui sont magnifiĂ©es par l'Ă©chelle de 7 pieds sur 6 pieds du tableau.
4. Tracey Emin, My Bed, 1998
Tracey Emin, My Bed, 1998
Tracey Emin a conçu l'installation intitulĂ©e My Bed (1998) aprĂšs une longue pĂ©riode d'alitĂ© suite Ă une mauvaise rupture. Cette oeuvre est spĂ©ciale parce Ă cause de son contenu explicite .Les mouchoirs froissĂ©s, des vĂȘtements tachĂ©s par les rĂšgles, des cigarettes, des bouteilles de vodka vides, un test de grossesse, du lubrifiant et des prĂ©servatifs entouraient son lit.
5. Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994
Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994
Balloon Dogs est une sculpture monumentale de l'artiste américain Jeff Koons représentant un chien sculpté à partir d'un ballon. Il existe différentes versions de cette sculpture en acier inoxydable. Réalisées entre 1994 et 2000, elles présentent chacune une couleur différente.
6. Antony Gormley, Angel of the North, 1998
Anthony Gormley, Angel of the North, 1998
L' Ange du Nord est une sculpture contemporaine d' Antony Gormley , situĂ©e Ă Â Gateshead , Tyne and Wear , en Angleterre. AchevĂ©e en 1998, elle est considĂ©rĂ©e comme la plus grande sculpture d' ange au monde et est vue par environ 33 millions de personnes chaque annĂ©e en raison de sa proximitĂ© avec les routes A1 et A167 et la ligne principale de la cĂŽte Est . [1] [2] La conception de l'Ange, comme beaucoup d'Ćuvres de Gormley, est basĂ©e sur le propre corps de Gormley. Le matĂ©riau en acier patinable COR-TEN donne Ă la sculpture sa couleur rouillĂ©e et oxydĂ©e distinctive. Il mesure 20 mĂštres (66 pieds) de haut et a une envergure de 54 mĂštres (177 pieds), plus grande que celle d'un Boeing 757 .Â
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De la perversion Ă la pĂšre-version
Par la structure de langage incorporĂ©, le sujet se relie Ă son (lot de) savoir inconscient selon trois modalitĂ©s logiques en rĂ©ponse au rĂ©el de la castration: la psychose caractĂ©risĂ©e par lâimpuissance ("je ne peux pas savoir"), la nĂ©vrose avec son glissement vers lâimpossible "je ne veux pas savoir" et la perversion par un Ă©vitement prenant la forme dâun dĂ©ni doublĂ© dâun dĂ©placement ("je sais bien, mais quand mĂȘme, ce nâest pas moi qui suis castrĂ©...câest lâautre).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir par lâinversion de lâordre des lettres de la formule du fantasme ($<>a), ce qui donne: a<>$.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, Ă son corps dĂ©fendant, l'ĂȘtre-sujet du pervers ($), dont il dĂ©ment la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposĂ©e sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initiĂ© ce procĂ©dĂ© enfant, en s'identifiant Ă sa mĂšre et en faisant d'elle une "mĂšre-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit rĂ©ellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vĂȘtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaĂźtre ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit Ă la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer Ă "LA Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maßtre" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Ăvidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien Ă l'affaire d'autant plus qu'elle peut ĂȘtre terrorisĂ©e et jugĂ©e par son tortionnaire comme n'Ă©tant pas Ă la hauteur - cela se produit au moment oĂč, sur le point de rĂ©vĂ©ler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas ĂȘtre obligĂ© de reconnaĂźtre sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un dĂ©chet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée et nostalgique, profondément conservatrice, de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration, ce qui pourrait aussi bien se dire: dénier le nom-du-PÚre...
«Un pĂšre nâa droit au respect, sinon Ă lâamour, que si le dit respect, le dit amour, est, vous nâallez pas en croire vos oreilles, pĂšre-versement orientĂ©, câest Ă dire fait dâune femme, objet a qui cause son dĂ©sir.» (Les non-dupes-errent, sĂ©ance du 21 janvier 1975).
Rappelons que Lacan Ă©voque trois conditions permettant Ă un homme dâĂȘtre digne du mĂ©rite d'ĂȘtre "pĂšre": avoir fait dâune femme la cause de son dĂ©sir, une femme qui lui fasse des enfants, et de ceux-ci qu'il prenne soin paternel.
Dans la derniĂšre leçon du sĂ©minaire Lâangoisse, Lacan Ă©nonce son programme consistant Ă passer du Nom-du-PĂšre aux noms du pĂšre.
Il questionne alors le désir du pÚre: "Dans la manifestation de son désir, le pÚre, lui, sait à quel "a" ce désir se réfÚre.
«Contrairement Ă ce quâĂ©nonce le mythe religieux, le pĂšre nâest pas causa sui, mais sujet qui a Ă©tĂ© assez loin dans la rĂ©alisation de son dĂ©sir pour le rĂ©intĂ©grer Ă sa cause» (Jacques Lacan, Le sĂ©minaire, Livre X, Lâangoisse)
Le pÚre qui parvient à réintégrer le désir à sa cause se trouve en position de transmettre le Nom-du-PÚre ; ayant réuni les conditions de possibilité de la transmission.
Cela met en Ă©vidence que lâeffectuation de la mĂ©taphore paternelle nâest pas une opĂ©ration qui dĂ©pend uniquement du dĂ©sir maternel.
Que le pĂšre soit digne de respect sinon de lâamour nâest pourtant pas une condition unique, et parfois certaines conditions Ă©nigmatiques de discours permettent lâaccĂšs Ă ce signifiant.
Cela relĂšve de lâinsondable dans la structure du sujet, et lui appartient en propre.
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"Evola remarque en effet que le tonus global de la tension Ă©rotique Ă lâOuest, devient toujours plus âfĂ©mininâ, voire âmatriarcalâ. ConformĂ©ment Ă la conception dâEvola, lâĂ©rotique masculine est caractĂ©risĂ©e par une rigoureuse prĂ©cision de lâimpulsion, la croissance de la tension intĂ©rieure, le besoin dâun couronnement fulgurant et âtraumatiqueâ, la culmination. Un tel type âphalliqueâ classe non seulement toue les hommes normaux mais Ă©galement, dans son ensemble, un type de spiritualitĂ© masculine ; le type des cultures âsolairesâ, hĂ©roĂŻques et patriarcales."
Alexandre Douguine, Vouloir n°94/96, (1992)
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Post spécial Angkor Wat !
Ce temple est le jumeau prĂ©coce de Notre Dame de Paris. Sa construction a dĂ©butĂ© une annĂ©e avant celle de Notre-Dame, au XIIe siĂšcle, mais contrairement Ă celle ci qui a mis deux siĂšcles Ă ĂȘtre construite, Angkor Wat a Ă©tĂ© bĂąti en seulement 37 ans. J'imagine que les 8000 Ă©lĂ©phants utilisĂ©s ont dĂ» sacrĂ©ment aider. Ce temple est dĂ©diĂ© Ă Vishnou, et est donc un temple hindouiste. C'est important de le prĂ©ciser puisque la religion du royaume a fait le yoyo entre le bouddhisme et l'hindouisme sur les 3 siĂšcles durant lesquelles les principaux temples ont Ă©tĂ© construits. Petit apartĂ©, cela a conduit Ă effacer le visage de buddha dans certains temples lorsque le royaume repassait dans l'hindhouisme.
Ce temple est reconnaissable Ă ses 5 tours, symbole phallique typique de Vishnou (avec la perspective, on n'en voit que 3...).
Il est pourvu de 5 entrées, une par tour, réservées respectivement une pour le roi, 2 pour les hauts dignitaires, et 2 pour les éléphants royaux. Le reste de la populace est prié de passer par derriÚre.
Nous avons Ă©tĂ© impressionnĂ©es par les 800m de bas reliefs le long des galeries, qui font rĂ©fĂ©rence Ă des Ă©vĂšnements de la mythologie hindouiste, ou qui dĂ©peignent les enfers et les tortures associĂ©es Ă chaque pĂȘchĂ©s. Vous serez ravis d'apprendre qu'il y a 32 enfers diffĂ©rents, dont un spĂ©cifiquement rĂ©servĂ©s Ă ceux qui font pipi dans un temple (les chauves-souris n'ont pas Ă©tĂ© mises au courant).
Ce temple est entouré de douves impressionnantes dont nous n'avons pris aucune photos, alors voici un arbre en compensation.
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After about an hour and a half of searching, I found the source!
The name "Olmec Penis Man" seems to have originated from this instagram post sharing the image, which was in turn based off the description of this post.
Neither stated the source for the image and the objects, beyond the original post saying it was part of "temporary exposition in the USA."
Based on the composition and quality of the photograph, I figured it most likely was either part of a museum collection, or was at some point listed for sale at an auction. When you take photos like these to make an object look good, you're either bragging about having it, or trying to convince someone to buy it.
The inclusion of text on the first image saying "Patrimonio de Mexico" made me think that this was likely an object that had either been repatriated or been the subject of repatriation requests by Mexican officials, so I started by searching Mexican museums that may have had it in their collections, as well as other museums around the world with large pre-Columbian collections that may have owned it.
Photos of that quality of an object in a museum collection usually means that it was recently added to their online gallery, often as a result of being pulled out of storage and displayed for a themed exhibition, but after trawling through a dozen museums catalogues, I had no luck. While I found plenty of objects of a similar style, I couldn't find any objects matching this exact image, nor could I find any collections with photos of this kind of composition. Typically these photos would be taken in bulk, and there would be a dozen or so other items in the collection with the same lighting and photographic style, but I couldn't find anything in the places I looked.
But, while searching through more potential sources, I came across this post on a website that had the exact same image, and stated that the piece was formerly part of Guy Joussemet private collection.
This lead me to find this article, which stated that a large portion of the pre-Columbian artefacts from Guy Joussemet's private collection had been incorporated into the Barbier-Mueller collection, which went up for auction through Sotheby's in March of 2013.
Damn. Should have started with auctions. Would have saved me like 45 minutes of scrolling through museum collections.
I searched through the Sotheby's auction results history to find objects from the Barbier-Mueller collection, and lo and behold:
I found this page on Sotheby's site that shows what appears to be the same object, and provides a little more details on it's history and provenance (or lack thereof, as it were).
The page obviously doesn't refer to it as Olmec Penis Man, but it does call it "Statuette anthropomorphe Ă tĂȘte phallique." Google translate assures me that this is French for "Anthropomorphic statue with a phallic head", which I think is as close to Olmec Penis Man as you'll get in a professional setting.
Anyway, while searching for more information regarding the piece and the collection, I discovered that this auction was a bit of a disaster. Would it shock you to learn that an auction house commissioned to sell a massive private collection of pre-Columbian artifacts didn't put a huge amount of effort into verifying the provenance and authenticity of the pieces they would be selling for a truckload of cash?
According to these two articles, and many more across the internet, the auction was a disaster. A large number of the pieces for sale did not find buyers, and a buuuuunch of countries from which the objects were, uh, """"obtained"""" requested that the auction be halted to allow them to go over the pieces before they were sold. The government agencies making these requests have said that a lot of the pieces seemed to be forgeries, and most of the ones that weren't are heritage items that need to be repatriated to their rightful owners, and any sale of those items would violate several international legislative protections that prohibit their import and sale to private owners.
Sotheby's ignored this and went ahead with the auction anyway. While the sales were affected by the requests and accusations of forgery, it seems they still managed to sell a lot of the collection.
I don't know if this little dude ended up being sold, or if it was indeed repatriated to the country it was looted from, but I at least found some details proving that it does in fact exist, and that it's name basically is "Penis Man."
Olmec Penis Man, Mexico, 800-1200 BCE
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Envie dâĂ©crire du porno bien que je mâesclaffe face Ă ce qui a pu Ă ce sujet ĂȘtre dit,
« narré ». Le champ lexical des fesses et du phallique me crĂšve les yeux et les tympans, câest pour direâŠ
Il nây a plus rien de vraiment choquant. Le plus surprenant, câest ce que lâon retrouve sur Internet
â Ă©tant donnĂ© que je nâai plus trop la tĂȘte Ă respirer lâair des bibliothĂšques.
Lâinsignifiance de la vie dans la toute-puissance de lâĂ©criture,
qui faiblement finalement relate la combustion des sens.
Ăbahie devant notre ridicule Ă tous.
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Petite rĂ©flexion musicale pour deux clarinettes sur les tentations du photographe, qui vole le dos perlĂ© d'Ă©cume dâune baigneuse...
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