#peur des filles
Explore tagged Tumblr posts
Text
Peur des filles - L'Impératrice
2 notes
·
View notes
Video
youtube
#L'Impératrice#Peur des filles#Tako Tsubo#video#2021#blood#blood tw#violence tw#Hannibal vibes#...ish#best best best#this sat in my drafts for over 2 years pls enjoy
9 notes
·
View notes
Text
youtube
0 notes
Text
Bilan JUIN 2024 : 8 lectures
En juin, le bilan est relativement positif au vu de mes contraintes familiales et professionnelles. Jâai eu peu de temps pour moi, encore moins pour lire et pour tenir le blog⊠Mais, je ne me plains pas (je fais ce que je peuxâŠ). Les lectures sont quand mĂȘme diversifiĂ©es : trois romans historiques (2ïżœïżœme guerre mondiale deux fois⊠et un thriller mĂ©diĂ©val), deux BD et deux romans contemporains etâŠ
View On WordPress
#Bandes DessinĂ©es#BĂ©nĂ©zit#Calmel#coup de coeur#CrĂ©mer#Delage#Devereaux#Historiques#Il est oĂč le patron ?#J&039;y vais mais j&039;ai peur#Kinsella#L&039;enfant des murmures#L&039;or maudit#La fille qui sâĂ©chappa dâAuschwitz#Le burn-out#Le templier de l&039;ombre#Merci Grazie Thank you#Midwood#Romances sociĂ©tĂ© et les autres#Sandrel#Sous le ciel de Toscane#Thrillers et policiers
0 notes
Text
Ben vraiment j'avais l'ùge d'aujourd'hui quand j'ai réalisé que si j'avais pas été aroace j'aurais été lesboy pourtant ça ne choquerait personne si on pouvait lire dans les pensées parce que j'aime clairement tout ce qui est fem de façon trop intense par rapport au reste
#mĂȘme le moi de 11 ans qui se retenait de regarder les filles parce que j'avais peur qu'on me prenne pour une perverse est choquĂ©#puis aprĂšs j'ai virĂ© vers le 'pan' parce que 'on ne peut pas savoir le genre d'une personne sans demander' mais quel con#l'expression de genre ça existe aussi#je pensais vraiment que les gens Ă©taient juste attirĂ«s par l'identitĂ© de genre et je comprenais pas mais ohlala
0 notes
Text
New York, juin 1993.
Au premier plan deux amoureux, en arriĂšre-plan le pont de Manhattan. La jeune fille semble inquiĂšte. Au loin sur l'East River un bateau, des lumiĂšres.Â
New York est une ville merveilleusement folle, ou l'Ă©tait lorsque j'y habitais, longtemps avant cette photo. C'Ă©tait la ville oĂč tout Ă©tait possible, le meilleur comme le pire. Elle vivait 24 heures sur 24, comme on l'entendait sur les stations de radio.Â
J'y allais en 1971 pour une amoureuse. Sans doute effrayĂ©e par ma venue, avec trĂšs peu d'argent, un visa touriste, elle quitta la ville de mes rĂȘves pour...la France. Je restais. Jây achetais mon premier Leica, fit toutes sortes de bouleaux, devint photographe.
C'est Ă cela que je pense en regardant cette photo paisible.
Demain, les Ătats-Unis jouent trĂšs gros. Le reste du monde aussi.
Cette jeune femme a trente et un an de plus. Moi aussi d'ailleurs.Â
Demain sera un autre jour, pour le meilleur ou pour le pire.
J'ai bien peur que ce soit pour le pire.
J'espĂšre me tromper.
Il y aura d'autres amoureux qui viendront contempler le Manhattan Bridge.
26 notes
·
View notes
Text
A Natural History of Dragons, by Marie Brennan
The memoirs of Lady Trent narrate the life and research of Isabella Trent, world-renowned naturalist now an old woman, whose wit and humor are merciless towards imbeciles. In the first tome, Isabella, first as a young girl and then a young woman, challenges class and period conventions to satisfy her scientific curiosity and accompany her husband on an expedition in search for dragons in Vystrana...
I was scared that the memoirs format was going to be boring to read, but it was actually the best way to tell the life story of a woman who has lived so many adventures, I really liked it. The good thing about memoirs is that it allowed Isabella's personality to shine, especially her humor, and to have some hindsight on what happened. The teases about future events that she reveals later in the series really make you want to read what's next
Volume 1 introduces themes and ideas that I thought were fleshed out better later in the series, and what I considered as small flaws (a lot of things were repeated so many times I started thinking "yeah, okay, I get it") are way less prominent
As for Brennan's worldbuilding, it's deceptively simple at first glance (Victorian era but make it fantasy), but actually had so many details that make it extremely rich. Everything is inspired by countries/cultures from the real world, but Brennan mixed a lot of them and I thought it was really well executed. And the further along you get in the series, the more details sprinkled in the first 3 books come together to form the final picture. When I got to the end of book 4, I wanted to scream because of how delightful and well put together the reveals were
French version under the cut
Les mémoires de lady Trent racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l'esprit et le style empreints d'humour s'avÚrent sans pitié pour les imbéciles. Dans le premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d'une expédition à la recherche des dragons de Vystranie...
J'avais peur que le format des mĂ©moires soit un peu ennuyant Ă lire, mais en fait c'Ă©tait la meilleure façon de raconter la vie dâune femme qui a vĂ©cu autant dâaventures, jâai beaucoup apprĂ©ciĂ©. L'avantage des mĂ©moires c'est que ça permettait au personnage d'Isabelle de nous dĂ©voiler sa personnalitĂ©, notamment son humour, et d'avoir du recul sur certains Ă©vĂšnements. Les rĂ©fĂ©rences Ă des Ă©vĂšnements qu'elle nous dĂ©voile plus tard dans la sĂ©rie donnait vraiment envie de lire la suite
Le tome 1 introduit des thĂšmes et des idĂ©es que jâai trouvĂ©es mieux dĂ©veloppĂ©es dans les tomes suivants, et ce que je considĂ©rais comme de petits dĂ©fauts (pas mal de choses sont rĂ©pĂ©tĂ©es de nombreuses fois donc au bout dâun moment je me disais "oui, câest bon, jâai compris") sont beaucoup moins prĂ©sents
En ce qui concerne le monde crĂ©Ă© par Brennan, il paraĂźt relativement simple au premier abord (Ă©poque victorienne mais version fantasy), mais en rĂ©alitĂ©, Ă©normĂ©ment de dĂ©tails le rendent extrĂȘmement riche. Tout est inspirĂ© de pays/cultures du monde rĂ©el, mais mĂ©lange pas mal de trucs et jâai trouvĂ© que câĂ©tait trĂšs bien fait. Et au plus on avance dans la sĂ©rie, au plus les dĂ©tails dissĂ©minĂ©s dans les ~3 premiers tomes s'emboĂźtent et le tableau final se prĂ©cise. Quand je suis arrivĂ©e Ă la fin du tome 4 j'avais envie de hurler tellement les rĂ©vĂ©lations Ă©taient croustillantes et bien amenĂ©es
#the memoirs of lady trent#lady trent#a natural history of dragons#memoirs of lady trent#marie brennan#books#book series#book reviews#booklr#booklr community#book recs#book recommendations
137 notes
·
View notes
Note
Re: your tags on that post about ADHD: if it helps, this is like, my exact experience and I got diagnosed with ADHD recently. The "sat in front of an assignment I am capable of producing Something for but not doing it for hours, even though there is external pressure on me" happened to me, repeatedly, and in my last year of highschool it even had me crying on an almost weekly basis. That's what got me to fail the last semester of my licence last year, also. If it's bothering you and you're in a position to, I'd recommend getting an appointment with a specialist to check & so they can help (and if you have options, not an older guy, they're the most likely to tell you that if you weren't a hyperactive boy well you must be fine, which. Okay. Well I'm not.) I had to wait maybe like six months for an appointment at a public hospital, mais hey grĂące Ă la sĂ©cu c'Ă©tait gratuit and the lady was very helpful. In any case, I'm shaking your hand metaphorically. Me too đ
yeah i might do that at some point but i've had pretty bad experiences with mental health care in general and specifically the people i mentioned possibly having adhd to. like. I tried four times i think? to four different professions, two of them i was seeing for entirely something else and two specifically because i suspected adhd, et je me suis fait expédier hyper vite donc au final je sais pas si je me suis fait skip par des docteurs qui avaient la flemme, ou si c'est obvious que j'ai pas de TDAH (aussi vu que aucun psy avant ni depuis n'a mentionné ça à part apparemment mon pédiatre quand j'avais 3 ans ?)
bref je suis juste tellement pas prĂ©parĂ©.e Ă ramener et dĂ©fendre mon dossier et tout, parce que de toute façon l'anxiĂ©tĂ©-dĂ©pression c'est avĂ©rĂ©, historique de phobie scolaire c'est avĂ©rĂ©, y'a peut-ĂȘtre potentiellement un autisme qui se balade aussi, donc ce serait pas un diag pliĂ© en voyant s'il y a symptĂŽme ou pas quoi. AprĂšs je me doute bien que c'est une situation plutĂŽt commune pcq ça va main dans la main les comorbiditĂ©s, mais qmĂȘme.
dĂ©solĂ©.e je vais ramble mais j'ai une immense hantise de me rattacher Ă l'idĂ©e d'avoir un TDAH juste parce que c'est un truc pour lequel il y a des mĂ©dicaments. Parce que j'ai envie de find the vitamin et de trouver LE truc qui va rĂ©gler tous mes dĂ©fauts et toutes mes mauvaises habitudes, toute ma mauvaise hygiĂšne de travail. J'ai trop peur de mal interprĂ©ter les symptĂŽmes du TDAH, j'ai trop peur de dramatiser ce que je vis, j'ai trop peur de mal comprendre et identifier mes problĂšmes, j'ai trop peur d'essayer de rejeter la faute sur un problĂšme neurologique alors que c'est un truc sur lequel j'aurais pu bosser moi-mĂȘme quoi.
Du coup le tag why i could have adhd le but c'est un peu de regrouper des indications queeeeee.... voilĂ quoi. Mais ouais. Je saurais pas dĂ©fendre ça devant un.e pro. Et surtout bah, autant l'autisme y'a dĂ©jĂ une pro qui l'a suggĂ©rĂ© (justement une dame qui m'a expĂ©diĂ©.e comme un chien de son cabinet quand j'Ă©tais venu.e dire que je pensais que j'avais un TDAH, elle m'a dit d'aller voir du cĂŽtĂ© du centre rĂ©gional de l'autisme ou jsp quoi si elle y Ă©tait, plus ou moins), autant le TDAH non. Mais en mĂȘme temps, si ce que je vis est un TDAH, primo on connaĂźt les stats de diag des petites filles, et deuzio 80% de ma famille agit comme ça. DONC JSP. bref.
trĂšs peur de me faire reject comme un chien encore et de me demander si le doc est un gros con qui n'a rien examinĂ©, ou si le doc a Ă©tĂ© mĂ©chant mais a correctement examinĂ© et dĂ©dui mon cas. trop peur aussi de me faire diag et de devoir entamer un suivi et tout dans mes circonstances actuelles. et trop peur de me faire diag et d'avoir des mĂ©dicaments qui ne marchent pas et de me rendre compte qu'en fait c'Ă©tait mĂȘme pas ça le problĂšme. bref les classiques.
#j'ai presque plus Ă©crit dans ce post que dans ma copie de philo ce matin#merci beaucoup de l'ask en tout cas j'espĂšre ça va finir par me pousser au cul de faire quelque chose#parce que si c'est un tdah c'est vraiment con de rester comme ça#mais ce serait mĂȘme pas QUE un tdah#donc voilĂ #la terreur de changer VS la terreur de rester exactement la mĂȘme#content de savoir que le procĂ©dĂ© de diag a marchĂ© pour toi en tout cas#je sais que c'est un peu alĂ©atoire selon l'endroit et les gens mais si ça va Ă certains endroits c'est que ça peut aussi aller bien ailleur#right?#ANYWAY#why i could have adhd#asks#moinsbienquekaworu
15 notes
·
View notes
Text
Tu es Gay ?
J'Ă©tais Ă©tudiant et mon Ă©ducation avec ma soeur et Christine m'avait permis de goĂ»ter tous les plaisirs des deux sexes. J'avais eu le plaisir de faire l'amour avec Christine Ă quelques reprises lors de nos jeux de l'aprĂšs-midi, sur leur demande Ă toutes les deux. Mais⊠Je n'avais pas encore eu de relation sexuelle avec une fille en dehors de notre cercle intime. L'occasion s'est prĂ©sentĂ©e avec ma premiĂšre chĂ©rie, rencontrĂ©e Ă l'UniversitĂ©. Le souci, vous vous en doutez, Ă©tait que sous mes dehors de garçon "normal", j'Ă©tais plutĂŽt fĂ©minin. Dans l'armoire de ma chambre d'Ă©tudiant, il y avait peut ĂȘtre deux ou trois slips de garçon mais ils Ă©taient perdus au millieu des petites culottes, des petites jupes et robes, des collants et de mes nuisettes ! J'avais presque autant de vĂȘtements de fille que de garçon et beaucoup plus de lingerie. C'est dans ce cadre, en fin de soirĂ©e, que j'ai reçu ma premiĂšre chĂ©rie dans ma chambre. Je ne lui avais rien dit par peur de la moquerie (j'y avais dĂ©jĂ eu droit Ă la piscine) et j'avais un peu honte aussi. C'est lorsqu'elle a dĂ©boutonnĂ© mon jean qu'elle a eu la surprise. Elle a dĂ©couvert une culotte de coton blanc dĂ©corĂ©e de dentelle et de petites fleurs qui couvrait mon sexe presqu'entiĂšrement Ă©pilĂ©. Elle a eu un petit mouvement de recul et elle m'a dit : " Tu es gay !" Non, bien sĂ»r que non ! J'aime trop les filles et j'aime me sentir bien dans mes dessous ! lui ai-je rĂ©pondu. Craignant qu'elle parte, je lui ai demandĂ© de m'Ă©couter et je lui ai racontĂ© mon histoire, mes apprentissages⊠ma vie cachĂ©e. Cela a pris un peu de temps et peu Ă peu elle s'est rapprochĂ©e de moi et elle a repris son exploration de mon jean. Nous avons ensuite fait l'amour et je pense que je lui ai donnĂ© du plaisir. Mes enseignements reçus de ma soeur et Christine m'ont permis de savoir comment m'y prendre. Nous sommes restĂ©s ensemble ensuite pendant quelques semaines nous avons partagĂ© beaucoup de choses, Ă commencer par mes culottes qu'elle adorait m'emprunter !
******************************************************************
You're gay!
I was a student and my education with my sister and Christine had allowed me to taste all the pleasures of both sexes. I had had the pleasure of making love with Christine a few times during our afternoon games, at their request. But⊠I had not yet had sexual relations with a girl outside our intimate circle. The opportunity arose with my first sweetheart, whom I met at the University. The problem, as you can imagine, was that under my "normal" boy exterior, I was rather feminine. In the wardrobe of my student room, there were perhaps two or three pairs of boy's briefs but they were lost in the middle of the panties, the little skirts and dresses, the tights and my nighties! I had almost as many girls' clothes as boys' clothes and much more lingerie. It was in this context, at the end of the evening, that I received my first sweetheart in my room. I hadn't told her anything for fear of being mocked (I had already been mocked at the swimming pool) and I was a little ashamed too. It was when she unbuttoned my jeans that she was surprised. She discovered a pair of white cotton panties decorated with lace and little flowers that covered my almost entirely shaved sex. She took a step back and said to me: "You're gay!"
No, of course not! I like girls too much and I like feeling good in my underwear! I answered her. Fearing that she would leave, I asked her to listen to me and I told her my story, what I had learned⊠my hidden life. It took a little time and little by little she got closer to me and she resumed her exploration of my jeans. We then made love and I think I gave her pleasure. My lessons from my sister and Christine allowed me to know how to do it. We stayed together for a few weeks and shared a lot of things, starting with my panties that she loved to borrow!
21 notes
·
View notes
Text
J'ai un rapport trĂšs particulier Ă la maladie que ce soit pour moi ou pour les autres. J'ai Ă©tĂ© un enfant peu malade, une ado peu malade et une adulte peu malade. Ă chaque fois que je l'ai Ă©tĂ©, c'Ă©tait grave. Je ne crois mĂȘme pas avoir eu une gastro dans ma vie, c'est dire. J'ai aussi Ă©tĂ© Ă©levĂ©e avec des parents stricts niveau douleur. Je ne me plains pas quand j'ai mal parce que mes parents m'ont toujours dit que ça passerait et que j'aurais toujours un jour au moins encore plus mal. Puis ma mĂšre est tombĂ©e malade du cancer quand j'Ă©tais au collĂšge et ça ne s'est jamais arrĂȘtĂ©. Ăa a marquĂ© un tournant Ă la maison, celui de dire "rien n'est grave tant que tu n'as pas un cancer". C'est devenu la limite. Ăa a renforcĂ© la rĂ©sistance et le silence face Ă la douleur. Comment se plaindre Ă quelqu'un qui a un cancer ? Comment avoir pire ? La douleur est risible pour ma maman et mon papa a toujours voulu une fille "pas faible" car c'est bien connu, les filles sont pleurnichardes, vulnĂ©rables, plaintives. En attendant, j'ai rarement vu plus faible qu'un homme face Ă quoique ce soit qui frĂŽle son intĂ©gritĂ© physique mais passons. Le fait que mes parents aient toujours Ă©tĂ© sĂ©vĂšre pour ça m'a rendu sĂ©vĂšre, j'ai du mal Ă tolĂ©rer la douleur physique des gens. Au delĂ de tout ça, si j'ai autant de mal Ă supporter c'est que j'ai peur, la maladie des autres m'angoisse, peu importe ce que c'est parce que j'ai toujours extrĂȘmement peur que ce soit grave. Quand j'ai vu ma mĂšre passer d'un mal aux cĂŽtes Ă un cancer, je me dis que ça va vite, trop vite alors j'ai une escalade d'angoisse et je suis trĂšs redflag pour ça. Je peux ĂȘtre trĂšs oppressante, j'ai besoin de savoir le moindre dĂ©tail, je peux ĂȘtre trĂšs injuste, j'ai peur d'ĂȘtre bloquĂ©e par la maladie des autres. J'ai jamais eu peur d'attraper quoique ce soit c'est pas la contagion le pb. En plus de ça, j'en parle trĂšs p un souvent car c'est une relation qui m'a traumatisĂ©e mais quand j'avais 18 ans, je suis sortie avec un mec de 28 ans bien 6 mois et je n'ai jamais plus vĂ©cu quelque chose d'aussi toxique. Pour illustrer, 5 ans aprĂšs, je n'ai presque plus aucun souvenir avec lui tellement ça m'a affectĂ©e pas dans mon amour Ă l'autre mais dans le respect, les hommes, la violence. Et justement, ce garçon est tombĂ© bien malade au milieu de la relation et il en jouait beaucoup et ça a dĂ©cuplĂ© mon cĂŽtĂ© inquiĂ©tude extrĂȘme des autres. J'ai beaucoup souffert de la violence psychologique et mĂȘme physique avec lui mais particuliĂšrement de cette pĂ©riode de maladie qui a concrĂ©tisĂ© ma phobie. DĂšs que quelqu'un se plaint trop, et surtout s'il ne se soigne pas, ne fait pas en sorte d'aller mieux et m'en parle outre mesure pour jouer avec mes angoisses, ça me paralyse. J'ai peur de perdre les gens ou qu'ils aillent mal et que je sois spectatrice comme avec ma mĂšre. Je continuerai Ă jamais trop me plaindre mĂȘme quand j'ai vraiment mal parce que je ne me sens pas lĂ©gitime. VoilĂ , ça c'est un de mes redflag tenaces.
20 notes
·
View notes
Text
Une Question Simple - Remastered
âAs-tu besoin d'aller au pot, princesse ?â
Zoe looked up, a blank stare on her face. Her daddy, tall and scruffy, still dressed in his full business suit, was leaning down to talk to her, and it seemed he was asking a question. The words sounded familiar - this wasnât her first time playing en francais, as he liked to put it - but she couldnât quite make sense of what they all added up to.
âC'est une question simple,â Daddy continued, âAs-tu besoin d'aller au pot, ou pas? Ou peut-ĂȘtre que tu es trop petite pour aller au pot ?â
Again, Zoe searched her limited vocabulary for words she could make out, finding none. Pouting slightly, she tilted her head down and shrugged to signal confusion.Â
âD'accord, je vois.â With that, her daddy gave her a wide smile and a soft kiss on the top of Zoeâs head before heading back towards his office in the next room.Â
Zoe, in the meantime, thought for a moment longer before returning to her stuffies and toys, eventually choosing a stack of rings for entertainment. Ordinarily, such a plaything would be too simple and babyish for her, but somehow her recent exchange made it feel more appropriate.
So play the girl did, quickly losing herself in the bright colors of her little world. Time flew as Zoe stacked and restacked the rings, shuffling them about the tower and about the floor without a care in the world. That is, until a familiar rumbling in her stomach threatened to interrupt her fun.
Zoe had tried to ignore the feeling earlier, and it did pass then, but now it had returned and was refusing to subside. She had not been planning to use her diapers for that today, so she stood and let out a deep sigh. She would have to ask Daddy permission to use the potty - the trouble would be figuring out how.Â
As her cramps grew uncomfortably stronger, the girl made her way up onto her feet and over to her daddyâs office. With her legs starting to quiver, she launched into a rambling plea before he even finishedÂ
âDaddy, daddy, I really haftaâŠâ Â
âAh, non, non, non,â her daddy calmly interrupted her, wagging a finger to remind her of the rules, âen francais, sâil vous-plait.âÂ
Zoe squirmed and tried to think as hard as she could, blushing a deep rouge.Â
âJeâŠâ she began, tapping her right foot nervously, âje⊠jeâŠâ
âJe? Cheu, jee, geuuu... je quoi ?â
Tapping her feet faster now, Zoe turned her head up and let out a long whimper. Then, realizing she would not be able to find words in time, she turned around and ran away, tugging her pink shirt over the back of her diaper as she moved.Â
The girl returned to her playroom hoping to find some distraction in her toys, but no distraction would be found. It was as she kneeled down and reached for her stack of rings that the cramps became too much to handle. Loudly, her muscles gave out, and the grown woman helplessly filled the seat of her diaper.Â
Utterly defeated, Zoe knew what was coming. If her daddy hadnât known from the look on her face earlier, if he hadnât heard the noise her body just made, then he would surely smell what had happened as soon as he came into the room. Not wanting to just wait nervously, the girl turned once again to play with her toys to pass time, careful not to sit on her bottom as she did.Â
Finally, her daddy did come in, crossing his arms sternly as he stopped to stand behind the girl. Zoe, in turn, tilted her head slowly and glanced up as the blush returned brightly to her cheeks.Â
âPrincesse,â her daddy began, âas tu gardĂ© ta couche propre ?âÂ
The girl gulped. It seemed she had been confronted. âOui,â she replied, nodding meekly.Â
âOui? Princesse, si tu penses que cela c'est propre,â her daddy began, patting her full diaper as he spoke, âSi si te ne sais mĂȘme pas ce qu'est le pot, alors j'ai bien peur que tu doives porter des couches pendant trĂšs longtemps. N'es- tu pas d'accord ?â
Zoe couldnât quite follow this reprimand, but again she bowed her head and nodded.Â
âOK, je vais te changer.â Her daddy pulled a changing mat from the roomâs drawers and laid on the floor behind Zoe. This, she could understand, and she laid down on the mat, resting her arms by her sides.Â
Soon, the girl felt the refreshment of crisp, conditioned air and moist baby wipes on her bottom, and she was clean again. What followed this, she had thought, would be a return to the soft cotton of her big girl panties, but the sound of crinkling from her daddyâs hands indicated otherwise.Â
âPan-â she began.
âAh. Non, non, non,â her daddy quickly interrupted, wagging his finger once again.Â
Zoe crossed her arms on the floor and pouted. It seemed she would be staying in diapers. Had she agreed to this without realizing? What, exactly, did she say âouiâ to?
But for all her qualms, the girl also started to realize just how right being diapered was beginning to feel. After the way she handled herself today, after the way she struggled to express even the most basic of thoughts to avoid an accident, and after the way she treated her last diaper, could she even trust herself without one. No, as she was newly powdered and padded, she understood that this was precisely as she belonged.Â
âTu sais,â her daddy began after finishing the change, âJe trouve trĂšs mignon que tu ne puisses pas me comprendre. Tu es vraiment un petit bĂ©bĂ©, je suppose, mais je suis trĂšs fier que tu sois le mien.â
âJe t'aime, ma princesseâ he concluded, planting a kiss firmly on the girlâs forehead.
âI love you too, Daddy,â she answered, butterflies fluttering in her stomach.
She had broken the rules, of course, but this time he would let it slide.
****
Image courtesy of @abdreams, used with permission. Please support their site!
190 notes
·
View notes
Text
Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aßnée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorciÚre expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorciÚres, espérant que cela les mÚnera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles dĂ©cident de rĂ©unir un sabbat, une cĂ©rĂ©monie qui pourrait leur donner accĂšs Ă des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se prĂ©parent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions Ă©mergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer Ă travers ces obstacles tout en dĂ©couvrant des vĂ©ritĂ©s cachĂ©es sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quĂȘte les amĂšne Ă remettre en question leurs croyances et Ă affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un vĂ©ritable test de courage et de dĂ©termination et d'amour.
Chapitre 1 : LâĂ©veil dâune sorciĂšre
Ivana Maximoff se trouvait au cĆur d'une forĂȘt dense, enveloppĂ©e par une brume lĂ©gĂšre qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumiĂšre de la lune filtrait Ă travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphĂšre mystĂ©rieuse Ă cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rÎdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de maniÚre surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pĂ©trifiĂ©e, ressentait Ă©galement une Ă©trange curiositĂ©. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forĂȘt semblait l'attirer plus profondĂ©ment dans un monde oĂč la rĂ©alitĂ© et le cauchemar se mĂȘlaient.
Les couleurs autour d'elle Ă©taient saturĂ©es, presque irrĂ©elles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scĂšne, crĂ©ant une ambiance Ă la fois envoĂ»tante et inquiĂ©tante. Ivana se tenait lĂ , au milieu de ce chaos, son cĆur battant Ă tout rompre, se demandant si elle pourrait Ă©chapper Ă cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphÚre de tension palpable.
Ivana, ressentant une prĂ©sence menaçante, se rĂ©veille en sursaut. Son cĆur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant Ă©chappe de ses lĂšvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux Ă©carquillĂ©s, cherchant dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă comprendre ce qui se passe. La lumiĂšre de la lune filtre Ă travers la fenĂȘtre, projetant des ombres inquiĂ©tantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la piĂšce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana rĂ©alise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivĂ© durant cette nuit dĂ©sastreuse. Pourquoi ces ombres lâont-elles hantĂ©e ? Quel message cachĂ© se cache derriĂšre ce rĂȘve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-mĂȘme avait Ă©tĂ© touchĂ©e par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rÎde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystÚres et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
ââoăăăăoââ.ââoăăăăoââ
Ivana Ă©tait assise sur son lit, les draps froissĂ©s autour d'elle, tĂ©moins de son agitation nocturne. Son cĆur battait encore la chamade, rĂ©sonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit Ă©tait perdu dans un tourbillon de pensĂ©es confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tĂȘte, si rĂ©elles qu'elle avait du mal Ă croire qu'il ne s'agissait que d'un rĂȘve.
Elle passa une main dans ses cheveux en dĂ©sordre, soupirant profondĂ©ment. Les souvenirs de cette expĂ©rience troublante l'assaillaient, la laissant dans un Ă©tat de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain.Â
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'Ă©coulait, emportant avec elle les rĂ©sidus de ses pensĂ©es sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais mĂȘme sous le doux murmure de l'eau, les Ă©chos de son expĂ©rience la suivaient, la rendant incapable de se libĂ©rer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppĂ© son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche prĂ©fĂ©rĂ© flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraĂźchie, prĂȘte Ă affronter la journĂ©e. En entrant dans la cuisine, la lumiĂšre du matin filtrait Ă travers les volets, illuminant les surfaces en bois et crĂ©ant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun Ă©clat magique ne se manifesta. Elle se mit Ă trembler, la serviette glissant lĂ©gĂšrement sur ses Ă©paules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intĂ©rieure teintĂ©e d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant Ă ressentir cette Ă©nergie familiĂšre, mais elle Ă©tait introuvable, comme un rĂȘve qui s'estompe au rĂ©veil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluĂšrent dans son esprit : les moments oĂč elle avait manipulĂ© les objets avec aisance, oĂč elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait dĂ©sormais hors de portĂ©e. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la piÚce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cĆur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la dĂ©termination commençant Ă remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, mĂȘme si cela signifiait affronter des vĂ©ritĂ©s difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prĂȘte Ă se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, mĂȘme dans cette cuisine qui lui semblait dĂ©sormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait lâaider Ă retrouver ses pouvoirs Ă©tait Agatha Harkness, mais demander de lâaide Ă cette femme Ă©tait du suicide. Pourtant, la dĂ©termination brĂ»lait en elle, et elle avait dĂ©cidĂ© dây aller quand mĂȘme.Â
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares sâallumĂšrent dans un vrombissement familier alors quâelle sâinstallait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de dĂ©marrer en trombe en direction de Westview.
La route dĂ©filait Ă toute vitesse, le paysage flou derriĂšre elle. Ivana se sentait Ă la fois excitĂ©e et nerveuse. Cependant, la vitesse Ă©tait trop Ă©levĂ©e, et bientĂŽt, elle aperçut les girophare de police dans son rĂ©troviseur. Son cĆur sâemballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il Ă©tait trop tard. Elle se gara sur le bas-cĂŽtĂ©, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquĂ©e, n'arrivait pas Ă croire qu'Agatha Ă©tait lĂ , en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mĂȘlant Ă l'inquiĂ©tude.
Agatha se pencha lĂ©gĂšrement, son expression sĂ©rieuse. "C'est dĂ©tective O'Connor. Je ne connais pas dâAgatha dĂ©solĂ©.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pĂ©tillant de malice.
AprĂšs un rapide contrĂŽle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage dĂ©filait Ă toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit Ă©tait envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait quâAgatha Ă©tait touchĂ©e par le sort de la sorciĂšre rouge, et cette pensĂ©e la hantait, mais elle Ă©tait dĂ©terminĂ©e Ă retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mĂ©lange de nostalgie et d'apprĂ©hension. La maison, bien que familiĂšre, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'Ă©caillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cĆur battant Ă tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussiÚre et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mÚre.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frĂ©nĂ©sie. Des ustensiles oubliĂ©s et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, oĂč le vieux canapĂ© Ă©tait recouvert d'une couche de poussiĂšre. Ivana souleva les coussins, espĂ©rant y trouver quelque chose de prĂ©cieux. Elle trouva seulement des piĂšces de monnaie et des bonbons durs, oubliĂ©s depuis longtemps.
FrustrĂ©e, elle monta Ă l'Ă©tage, oĂč se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la piĂšce. Tout semblait figĂ© dans le temps. Les murs Ă©taient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau Ă©tait encore chargĂ©e de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa dĂ©termination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissĂ© lĂ , Ivana dĂ©couvrit une page pliĂ©e. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliĂ©e qui pourrait peut-ĂȘtre l'aider Ă rompre le sort. Son cĆur s'emballa d'espoir. C'Ă©tait peut-ĂȘtre la clĂ© pour sauver sa mĂšre et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette dĂ©couverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas dĂ©cisif. Elle devait maintenant retourner Ă Westview, prĂȘte Ă affronter Agatha et Ă utiliser tout ce qu'elle avait appris pour dĂ©fendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cĆur battant la chamade. Elle avait enfin trouvĂ© ce qu'elle cherchait, et maintenant, il Ă©tait temps d'agir. Elle leva la main et sonna Ă la porte, le son rĂ©sonnant dans le silence du quartier. AprĂšs quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, rĂ©vĂ©lant Agatha, les yeux Ă©carquillĂ©s par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiĂ©tude mĂȘlĂ©e de curiositĂ©.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le cÎté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Ăcoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » dĂ©clara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'Ă©coutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh câest pas vrais jâavais oublier comment Agnes Ă©tait pipelette» coupa Ivana, sa voix s'Ă©levant lĂ©gĂšrement.
Ivana, les yeux fixĂ©s sur Agatha, ressentait une vague d'Ă©motions l'envahir. Elle savait que mĂȘme si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opĂ©rer des miracles. Elle inspira profondĂ©ment et murmura le sort, sa voix Ă peine audible, comme un souffle portĂ© par le vent.
« LibÚre-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
à cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumiÚre intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, un sourire Ă©mu se dessinant sur ses lĂšvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un lĂ©ger sourire aux lĂšvres, sentit une chaleur envahir son cĆur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tĂȘte, la surprise laissant place Ă une comprĂ©hension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chĂšre. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard dĂ©terminĂ©, se tourna vers Agatha, son cĆur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorciĂšres, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lÚvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrĂ©e, secoua la tĂȘte. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flÚche. Avec douceur, elle déplaça une mÚche de cheveux d'Ivana derriÚre son oreille, créant un moment d'intimité.
« Ăcoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de dĂ©fi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa Ă©chapper un lĂ©ger rire, comme si la question ne mĂ©ritait mĂȘme pas d'ĂȘtre dĂ©battue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sĂ©rieuse Ă prĂ©sent, hocha la tĂȘte. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chÚre. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui Ă©tait toujours figĂ©e, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusĂ© sur le visage. « Aller, câest pas en restant figĂ©e comme ça quâon va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'Ă©nergie d'Agatha, sentit son cĆur s'accĂ©lĂ©rer. Elle voulu rĂ©pondre, mais les mots restĂšrent coincĂ©s dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps Ă Ivana de rĂ©agir, tourna les talons et s'apprĂȘta Ă quitter la piĂšce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.AprÚs un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
16 notes
·
View notes
Text
j'Ă©tais la fille qui ne tenait pas la cadence, pendant les cours d'endurance en eps au collĂšge. abonnĂ©e aux notes en dessous de 9/20 parce que ton corps n'est pas en capacitĂ© de tenir autant que ce que demande le polycopiĂ© du prof. aucun conseil pour aider Ă la progression, juste le constat que tu es une brĂȘle qui devrait tenir plus longtemps. j'ai longtemps pensĂ© que j'Ă©tais incapable de courir plus de 3 minutes sans m'essouffler et que c'Ă©tait immuable (comme 2 et 2 font 4 ou bien ma tendresse pour loana). et puis, si, finalement, ils avaient raison, tous ces gens, de dire que ça se travaille. petit Ă petit, Ă©videmment. je trottine plus que je ne cours, sur mon tapis Ă la salle de sport. d'abord heureuse d'avoir rĂ©ussi Ă courir 10 minutes sans m'arrĂȘter. maintenant j'approche des 23 minutes. petit Ă petit. mais ça me fait plaisir. la contrepartie, c'est que j'ai rdv jeudi chez un kinĂ© (parce que douleur suspecte Ă chaque session, Ă l'intĂ©rieur de la cheville droite). qu'est-ce qui va se passer ? je ne connais pas les kinĂ©s. je vais devoir mimer la course Ă pied dans son cabinet ? comment je dois dĂ©crire la douleur ? (alors, ça fait pas mal de façon handicapante, mais ça me fait peur) est-ce que je dois apporter mes pompes de sport ? que d'interrogations, je vous jure.
12 notes
·
View notes
Text
2019
Je pense que nous sommes juste passés à cÎté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les piÚces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
ĂparpillĂ©s partout sur le sol,
une vie , nos corps Ă corps , la tempĂȘte qui nous avait encore plus soudĂ©s lâun Ă lâautre et qui nous avait, ironie de la vie, au final sĂ©parĂ©s ... nos rĂȘves de balades, de voyages ... nos Ă©clats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux Ă©rotiques , nos quotidiens entremĂȘlĂ©s... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis dâamour Ă©tait dĂ©sormais bien rangĂ©, empilĂ©, rĂ©pertoriĂ©, prĂȘt Ă recevoir la poussiĂšre des annĂ©es ...
Je restais lĂ ... seul ... Ă vouloir tout garder dâelle : sa force, son humanitĂ©, son romantisme, sa sincĂ©ritĂ©, sa sensibilitĂ©, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force Ă©rotique, sa sensualitĂ©... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... jâavais la mĂ©moire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous Ă©tions tombĂ©s dessus ... la soudaine rencontre de deux Ăąmes et de deux corps, une cohĂ©sion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en dĂ©tresse car elle libĂšre trop dâĂ©nergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais lâocĂ©an oĂč jâallais errer, la plage immense oĂč jâallais y chercher le petit grain de sable quâelle disait ĂȘtre...
Me lever le matin dĂ©sormais sera avec un vide dans la poitrine, jâĂ©tais imprĂ©gnĂ© dâelle,ce nâĂ©tait pas la force de gravitĂ© qui me maintenait au sol câĂ©tait elle; lĂ oĂč elle Ă©tait je voulais ĂȘtre , respirer le mĂȘme air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le dĂ©sert , de simples plaisirs tel le cafĂ© brulant Ă lâodeur de cannelle, une douche brĂ»lante pour dĂ©nouer les muscles , courir ... mâenivrer le corps pour que lâesprit ne pense pas ... plus ... au-delĂ des responsabilitĂ©s qui Ă©taient les miennes ...
Jâavais essuyĂ© de trop nombreuses tempĂȘtes et traversĂ© assez de batailles pour savoir que l'amour Ă©tait presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une Ă©poque oĂč le monde Ă©tait Ă la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cĆur en Ă©tait cachĂ©, perdu pour ne plus laisser une autre me sĂ©duire, me conquĂ©rir, sâinstaller dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui mâenchaĂźne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus quâĂ plonger en moi-mĂȘme pour aller au bout de la douleur, espĂ©rer quâavec le temps ... va ... je pourrais contenir la brĂ»lure de lâabsence .
Comment lâĂ©vacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensĂ©es... Cette petite chaĂźne en or, ce pull, cette derniĂšre bouteille de parfum quâelle mâa ramenĂ© de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonnĂ© une part de ma vie... sans doute bien plus grande quâelle ne pouvait lâimaginer ... je pouvais parler dâintrication assurĂ©ment ... elle avait rĂ©ussi ce tour de force de sâimmiscer partout ... elle avait Ă©tĂ© telle lâeau qui gĂšle dans le rocher et le fait Ă©clater ... elle Ă©tait allĂ©e lĂ oĂč personne nâavait pu aller avant , elle avait mĂȘme rĂ©ussi Ă apposer une fissure tout au fond ...
JâĂ©tais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain Ă chercher son image ... plus dâune fois lâidĂ©e que nous Ă©tions frĂšre et sĆur Ă©tait venue aux gens... elle Ă©tait non seulement mon Ăąme sĆur mais bien plus ... si jâĂ©tais nĂ© fille jâaurais aimĂ© ĂȘtre elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous Ă©tions diffĂ©rents... je ne pouvais que sourire ... Ă croire quâelle essayait de se convaincre ... câĂ©tait sans doute ce quâelle faisait dâailleurs ... pour pouvoir se dĂ©tacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos diffĂ©rences se reflĂ©taient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait quâelle Ă©tait une sale gamine ... oui je crains quâelle nâeut Ă©tĂ© lucide envers elle-mĂȘme ... bien quâil mâen coĂ»te de le reconnaĂźtre ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant lâocĂ©an Ă qui on reprocherait la tempĂȘte quâil a traversĂ© ... elle nâa pas supportĂ© ... et la voilĂ elle dans sa propre tempĂȘte et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins sâarpentent seul ... elle a fait des choix et les consĂ©quences la submergent ... nonobstant la peur desdites consĂ©quences, possibles ou probables , bien que ce que lâon dĂ©sire ou ce Ă quoi on aspire se trouve juste de lâautre cĂŽtĂ© de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-mĂȘme ... telle une lame de fond ... mais oui hĂ©las câĂ©tait bien une lame de fond de son passĂ© qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimĂ© celui que jâĂ©tais ...
Jâaurais voulu ĂȘtre lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je nâĂ©tais plus ... du moins plus complĂ©ment ... jâĂ©tais sorti de ma tempĂȘte et je pouvais dire quâelle mâenveloppait comme un manteau que jâacceptais comme une Ă©vidence ... je savais que jâallais voyager en solitaire ... mais en y rĂ©flĂ©chissant je lâavais toujours Ă©tĂ©... quand Ă elle, elle Ă©tait trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-mĂȘme ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres Ă la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantĂŽme et qui lâavait trouvĂ© ... je me sentais hantĂ© de sa prĂ©sence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui mĂ©ritait dâĂȘtre vĂ©cue avec passion, Ă©nergie et un espoir dont le plaisir ne dĂ©pendait plus de la simple fatalitĂ© ... et elle me laisse ... lĂ ... presque comme si elle avait Ă©tĂ© quâun rĂȘve ...
Une vieille lĂ©gende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos priĂšres ... je dĂ©sirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et GueniĂšvre ... mĂȘme malgrĂ© la morale des autres ...
Elle ne lâaime plus
Câest du passĂ©
Nâen parlons plus
14 notes
·
View notes
Text
Jå vivenciei tantos momentos e sentimentos que por suportar demais automåticamente eles transbordavam...passei pelo medo e não agi..Passei vontade de gritar e silenciei...Passei por aquela vontade imensa querer abraçar o mundo e me fiz menor...Passei por muito, diminui minhas expectativas, abafei minha ansiedade e segui....Extrai do sol inspiração...E fiz uma pintura nas dores passadas, e passou...Eu investi na vontade de recomeçar, rabisquei com toque de amor, peguei nessa aquarela novos caminhos, cores, sonhos e desejos...E olhando para a natureza, vendo o céu, as estrelas e o mar, pude ver o quanto ainda posso preencher essa pintura chamada vida...
He vivido tantos momentos y sentimientos que por soportar demasiado automĂĄticamente se desbordaron... PasĂ© por miedo y no actuĂ©... SentĂ ganas de gritar y me quedĂ© en silencio... PasĂ© por ese deseo inmenso. querer abrazar el mundo y me hice mĂĄs pequeño... PasĂ© por mucho, bajĂł mis expectativas, sofoquĂ© mi ansiedad y seguĂ... Me inspirĂ© en el sol... Y hice una pintura del pasado. dolor, y pasĂł... invertĂ en las ganas de empezar de nuevo, garabateĂ© con un toque de amor, tomĂ© esta acuarela nuevos caminos, colores, sueños y deseos... Y mirando la naturaleza, viendo el cielo, el las estrellas y el mar, pude ver cuanto aĂșn puedo llenar este cuadro llamado vida...
Ho vissuto cosĂŹ tanti momenti e sentimenti che, poichĂ© ho sopportato troppo, sono traboccati automaticamente... ho attraversato la paura e non ho agito... avevo voglia di urlare e sono rimasto in silenzio... ho attraversato quell'immenso desiderio di voler abbracciare il mondo e mi sono fatto piĂč piccolo... ne ho passate tante, ha abbassato le mie aspettative, ho soffocato l'ansia e ho continuato... ho tratto ispirazione dal sole... e ho fatto un quadro del passato dolore, ed Ăš passato...ho investito nella voglia di ricominciare, ho scarabocchiato con un tocco d'amore, ho preso con questo acquerello nuovi sentieri, colori, sogni e desideri... E guardando la natura, vedendo il cielo, il stelle e il mare, ho potuto vedere quanto posso ancora riempire questo dipinto chiamato vita...
J'ai vĂ©cu tellement de moments et de sentiments que, parce que j'en ai trop endurĂ©, ils ont automatiquement dĂ©bordĂ©... J'ai vĂ©cu la peur et je n'ai pas agi... J'avais envie de crier et je suis restĂ© silencieux... J'ai vĂ©cu cet immense dĂ©sir vouloir embrasser le monde et je me suis fait plus petit... J'ai traversĂ© beaucoup de choses, cela a rĂ©duit mes attentes, j'ai Ă©touffĂ© mon anxiĂ©tĂ© et j'ai continuĂ©... Je me suis inspirĂ© du soleil... Et j'ai fait une peinture du passĂ© la douleur, et c'est passĂ©... J'ai investi dans l'envie de recommencer, j'ai griffonnĂ© avec une touche d'amour, j'ai empruntĂ© dans cette aquarelle de nouveaux chemins, des couleurs, des rĂȘves et des envies... Et regarder la nature, voir le ciel, le les Ă©toiles et la mer, j'ai pu voir Ă quel point je peux encore remplir ce tableau appelĂ© la vie...
I have experienced so many moments and feelings that, because I endured too much, they automatically overflowed... I went through fear and didn't act... I felt like screaming and remained silent... I went through that immense desire to want to embrace the world and I made myself smaller... I went through a lot, it lowered my expectations, I stifled my anxiety and continued...I drew inspiration from the sun...And I made a painting of past pain, and it passed...I invested in the desire to start over, I scribbled with a touch of love, I took this watercolor new paths, colors, dreams and desires... And looking at nature, seeing the sky, the stars and the sea, I could see how much I can still fill this painting called life...
O kadar çok an ve duygu yaĆadım ki, çok katlandıÄım için otomatikman taĆtı... Korkudan geçtim, harekete geçmedim... İçimden çıÄlık atmak geldi, sustum... O bĂŒyĂŒk arzuyu yaĆadım. dĂŒnyayı kucaklamak istemek ve kendimi kĂŒĂ§ĂŒlttĂŒm... Ăok Ćey yaĆadım, beklentilerimi azalttı, kaygılarımı bastırdım ve devam ettim... GĂŒneĆten ilham aldım... Ve geçmiĆi resmettim acı ve geçti... Yeniden baĆlama arzusuna yatırım yaptım, bir aĆk dokunuĆuyla karaladım, bu sulu boyayla yeni yollara, renklere, hayallere ve arzulara yöneldim... Ve doÄaya baktım, gökyĂŒzĂŒnĂŒ gördĂŒm, yıldızlar ve deniz, hayat denen bu tabloyu hĂąlĂą ne kadar doldurabildiÄimi görebiliyordum...
Fonte: 1Vidapoeticando đșđ
41 notes
·
View notes
Text
On s'est vus et il m'a sorti que son premier amour lui revenait toujours en tĂȘte. C'Ă©tait il y a 1 an et il n'arrive pas Ă passer Ă autre chose depuis. Parce que ça s'est terminĂ© trĂšs brutalement. Je l'ai dĂ©testĂ© immĂ©diatement. DĂ©testĂ© d'avoir commencĂ© quelque chose en ayant conscience de ça. Et lui qui a osĂ© me dire qu'il avait peur de s'attacher alors que j'Ă©tais peut-ĂȘtre pas passĂ©e Ă autre chose avec mon plan cul.
Vous savez comme je fuis dĂšs qu'une difficultĂ© se prĂ©sente. J'ai eu un sentiment de dĂ©tachement immĂ©diat et la sensation de vouloir tout arrĂȘter tout de suite. Il me l'a dit parce qu'il sentait que je m'attachais et selon lui j'avais l'air de m'attacher plus vite que lui. Alors que c'est lui qui m'a dĂ©jĂ prĂ©sentĂ© sa famille et d'autres choses bien trop rapides Ă mon goĂ»t. Mais comme je le sentais s'attacher vite, j'ai laissĂ© tomber mes barriĂšres et je me suis laissĂ©e aller.
Actuellement, je sais que pour me protĂ©ger je serais capable de ne plus lui parler du jour au lendemain. Parce que j'en peux plus d'ĂȘtre blessĂ©e. J'ai Ă©tĂ© honnĂȘte et je le lui ai dit. Il n'Ă©tait vraiment pas bien.
Je ne sais pas s'il a bien fait de me le dire. Je crois que cette vĂ©ritĂ© fait partie des vĂ©ritĂ©s qu'il n'est pas nĂ©cessaire de dire. Ăvidemment que le premier amour est impossible Ă oublier mais tu ne commences pas une histoire si tu ressens encore tout Ă vif. Il a encore pensĂ© Ă elle actuellement, c'est pour ça qu'il a eu besoin de me le dire. Je suis trop déçue et lĂ vraiment je n'ai plus envie de garder contact.
"Tu retournerais vers elle si elle revenait vers toi?"
"... Je sais pas"
En plus il n'a vu son premier amour que 2-3 fois, ils se sont surtout rapprochĂ©s par messages. Mais ça a Ă©tĂ© trĂšs vite, ça a Ă©tĂ© ses premiers sentiments, ses premiers contacts physiques. Puis c'est un gars super sensible, qui ressent tout trĂšs fort et qui s'attache vite. Ăa s'est fini parce qu'elle est partie pour revenir vers son ex, qui en plus de ça Ă©tait un connard. Il est tombĂ© de 10 Ă©tages. Ensuite, il est sorti avec une autre fille, qui a rĂ©ussi Ă lui faire oublier la premiĂšre. Mais aprĂšs leur rupture, il a repensĂ© Ă la premiĂšre. Il arrive Ă ĂȘtre objectif et Ă se dire qu'il l'a beaucoup idĂ©alisĂ© et mise sur un piĂ©destal. Il en a conscience mais il ressent quand-mĂȘme encore toute cette frustration de ne pas avoir pu vivre une vraie histoire. Parce qu'au final ça n'aura durĂ© que 3-4 mois.
J'ai beau rĂ©flĂ©chir, j'arrive pas Ă m'imaginer commencer quelque chose avec quelqu'un qui a toujours une autre fille en tĂȘte. C'est inconcevable. Je lui ai dit qu'il devait prendre le temps de l'oublier. Il n'y a que le temps qui fera les choses. Mais ça n'a pas Ă©tĂ© ma dĂ©cision finale, il m'a dit qu'il me laisserait le temps de digĂ©rer les infos et de rĂ©flĂ©chir Ă ce que je veux faire. "En tout cas saches que si tu dĂ©cides d'arrĂȘter, ça aura Ă©tĂ© une belle histoire et je ne t'oublierai jamais".
Tout Ă©tait trop beau pour ĂȘtre vrai.
(20/06/2024)
21 notes
·
View notes