#Peur des filles
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laromp3 · 7 months ago
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Peur des filles - L'Impératrice
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purenonsens · 2 years ago
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popsixsquishcicerolipschitz · 7 months ago
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alapagedeslivres · 6 months ago
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Bilan JUIN 2024 : 8 lectures
En juin, le bilan est relativement positif au vu de mes contraintes familiales et professionnelles. J’ai eu peu de temps pour moi, encore moins pour lire et pour tenir le blog… Mais, je ne me plains pas (je fais ce que je peux…). Les lectures sont quand même diversifiées : trois romans historiques (2ème guerre mondiale deux fois… et un thriller médiéval), deux BD et deux romans contemporains et…
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bleu-sang · 11 months ago
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Ben vraiment j'avais l'âge d'aujourd'hui quand j'ai réalisé que si j'avais pas été aroace j'aurais été lesboy pourtant ça ne choquerait personne si on pouvait lire dans les pensées parce que j'aime clairement tout ce qui est fem de façon trop intense par rapport au reste
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alain-keler · 2 months ago
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New York, juin 1993.
Au premier plan deux amoureux, en arrière-plan le pont de Manhattan. La jeune fille semble inquiète. Au loin sur l'East River un bateau, des lumières. 
New York est une ville merveilleusement folle, ou l'était lorsque j'y habitais, longtemps avant cette photo. C'était la ville où tout était possible, le meilleur comme le pire. Elle vivait 24 heures sur 24, comme on l'entendait sur les stations de radio. 
J'y allais en 1971 pour une amoureuse. Sans doute effrayée par ma venue, avec très peu d'argent, un visa touriste, elle quitta la ville de mes rêves pour...la France. Je restais. J’y achetais mon premier Leica, fit toutes sortes de bouleaux, devint photographe.
C'est à cela que je pense en regardant cette photo paisible.
Demain, les États-Unis jouent très gros. Le reste du monde aussi.
Cette jeune femme a trente et un an de plus. Moi aussi d'ailleurs. 
Demain sera un autre jour, pour le meilleur ou pour le pire.
J'ai bien peur que ce soit pour le pire.
J'espère me tromper.
Il y aura d'autres amoureux qui viendront contempler le Manhattan Bridge.
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maddiesbookshelves · 1 year ago
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A Natural History of Dragons, by Marie Brennan
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The memoirs of Lady Trent narrate the life and research of Isabella Trent, world-renowned naturalist now an old woman, whose wit and humor are merciless towards imbeciles. In the first tome, Isabella, first as a young girl and then a young woman, challenges class and period conventions to satisfy her scientific curiosity and accompany her husband on an expedition in search for dragons in Vystrana...
I was scared that the memoirs format was going to be boring to read, but it was actually the best way to tell the life story of a woman who has lived so many adventures, I really liked it. The good thing about memoirs is that it allowed Isabella's personality to shine, especially her humor, and to have some hindsight on what happened. The teases about future events that she reveals later in the series really make you want to read what's next
Volume 1 introduces themes and ideas that I thought were fleshed out better later in the series, and what I considered as small flaws (a lot of things were repeated so many times I started thinking "yeah, okay, I get it") are way less prominent
As for Brennan's worldbuilding, it's deceptively simple at first glance (Victorian era but make it fantasy), but actually had so many details that make it extremely rich. Everything is inspired by countries/cultures from the real world, but Brennan mixed a lot of them and I thought it was really well executed. And the further along you get in the series, the more details sprinkled in the first 3 books come together to form the final picture. When I got to the end of book 4, I wanted to scream because of how delightful and well put together the reveals were
French version under the cut
Les mémoires de lady Trent racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l'esprit et le style empreints d'humour s'avèrent sans pitié pour les imbéciles. Dans le premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d'une expédition à la recherche des dragons de Vystranie...
J'avais peur que le format des mémoires soit un peu ennuyant à lire, mais en fait c'était la meilleure façon de raconter la vie d’une femme qui a vécu autant d’aventures, j’ai beaucoup apprécié. L'avantage des mémoires c'est que ça permettait au personnage d'Isabelle de nous dévoiler sa personnalité, notamment son humour, et d'avoir du recul sur certains évènements. Les références à des évènements qu'elle nous dévoile plus tard dans la série donnait vraiment envie de lire la suite
Le tome 1 introduit des thèmes et des idées que j’ai trouvées mieux développées dans les tomes suivants, et ce que je considérais comme de petits défauts (pas mal de choses sont répétées de nombreuses fois donc au bout d’un moment je me disais "oui, c’est bon, j’ai compris") sont beaucoup moins présents
En ce qui concerne le monde créé par Brennan, il paraît relativement simple au premier abord (époque victorienne mais version fantasy), mais en réalité, énormément de détails le rendent extrêmement riche. Tout est inspiré de pays/cultures du monde réel, mais mélange pas mal de trucs et j’ai trouvé que c’était très bien fait. Et au plus on avance dans la série, au plus les détails disséminés dans les ~3 premiers tomes s'emboîtent et le tableau final se précise. Quand je suis arrivée à la fin du tome 4 j'avais envie de hurler tellement les révélations étaient croustillantes et bien amenées
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anaalnathrakhs · 25 days ago
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Re: your tags on that post about ADHD: if it helps, this is like, my exact experience and I got diagnosed with ADHD recently. The "sat in front of an assignment I am capable of producing Something for but not doing it for hours, even though there is external pressure on me" happened to me, repeatedly, and in my last year of highschool it even had me crying on an almost weekly basis. That's what got me to fail the last semester of my licence last year, also. If it's bothering you and you're in a position to, I'd recommend getting an appointment with a specialist to check & so they can help (and if you have options, not an older guy, they're the most likely to tell you that if you weren't a hyperactive boy well you must be fine, which. Okay. Well I'm not.) I had to wait maybe like six months for an appointment at a public hospital, mais hey grâce à la sécu c'était gratuit and the lady was very helpful. In any case, I'm shaking your hand metaphorically. Me too 😔
yeah i might do that at some point but i've had pretty bad experiences with mental health care in general and specifically the people i mentioned possibly having adhd to. like. I tried four times i think? to four different professions, two of them i was seeing for entirely something else and two specifically because i suspected adhd, et je me suis fait expédier hyper vite donc au final je sais pas si je me suis fait skip par des docteurs qui avaient la flemme, ou si c'est obvious que j'ai pas de TDAH (aussi vu que aucun psy avant ni depuis n'a mentionné ça à part apparemment mon pédiatre quand j'avais 3 ans ?)
bref je suis juste tellement pas préparé.e à ramener et défendre mon dossier et tout, parce que de toute façon l'anxiété-dépression c'est avéré, historique de phobie scolaire c'est avéré, y'a peut-être potentiellement un autisme qui se balade aussi, donc ce serait pas un diag plié en voyant s'il y a symptôme ou pas quoi. Après je me doute bien que c'est une situation plutôt commune pcq ça va main dans la main les comorbidités, mais qmême.
désolé.e je vais ramble mais j'ai une immense hantise de me rattacher à l'idée d'avoir un TDAH juste parce que c'est un truc pour lequel il y a des médicaments. Parce que j'ai envie de find the vitamin et de trouver LE truc qui va régler tous mes défauts et toutes mes mauvaises habitudes, toute ma mauvaise hygiène de travail. J'ai trop peur de mal interpréter les symptômes du TDAH, j'ai trop peur de dramatiser ce que je vis, j'ai trop peur de mal comprendre et identifier mes problèmes, j'ai trop peur d'essayer de rejeter la faute sur un problème neurologique alors que c'est un truc sur lequel j'aurais pu bosser moi-même quoi.
Du coup le tag why i could have adhd le but c'est un peu de regrouper des indications queeeeee.... voilà quoi. Mais ouais. Je saurais pas défendre ça devant un.e pro. Et surtout bah, autant l'autisme y'a déjà une pro qui l'a suggéré (justement une dame qui m'a expédié.e comme un chien de son cabinet quand j'étais venu.e dire que je pensais que j'avais un TDAH, elle m'a dit d'aller voir du côté du centre régional de l'autisme ou jsp quoi si elle y était, plus ou moins), autant le TDAH non. Mais en même temps, si ce que je vis est un TDAH, primo on connaît les stats de diag des petites filles, et deuzio 80% de ma famille agit comme ça. DONC JSP. bref.
très peur de me faire reject comme un chien encore et de me demander si le doc est un gros con qui n'a rien examiné, ou si le doc a été méchant mais a correctement examiné et dédui mon cas. trop peur aussi de me faire diag et de devoir entamer un suivi et tout dans mes circonstances actuelles. et trop peur de me faire diag et d'avoir des médicaments qui ne marchent pas et de me rendre compte qu'en fait c'était même pas ça le problème. bref les classiques.
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lacesconfidences · 4 months ago
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Tu es Gay ?
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J'étais étudiant et mon éducation avec ma soeur et Christine m'avait permis de goûter tous les plaisirs des deux sexes. J'avais eu le plaisir de faire l'amour avec Christine à quelques reprises lors de nos jeux de l'après-midi, sur leur demande à toutes les deux. Mais… Je n'avais pas encore eu de relation sexuelle avec une fille en dehors de notre cercle intime. L'occasion s'est présentée avec ma première chérie, rencontrée à l'Université. Le souci, vous vous en doutez, était que sous mes dehors de garçon "normal", j'étais plutôt féminin. Dans l'armoire de ma chambre d'étudiant, il y avait peut être deux ou trois slips de garçon mais ils étaient perdus au millieu des petites culottes, des petites jupes et robes, des collants et de mes nuisettes ! J'avais presque autant de vêtements de fille que de garçon et beaucoup plus de lingerie. C'est dans ce cadre, en fin de soirée, que j'ai reçu ma première chérie dans ma chambre. Je ne lui avais rien dit par peur de la moquerie (j'y avais déjà eu droit à la piscine) et j'avais un peu honte aussi. C'est lorsqu'elle a déboutonné mon jean qu'elle a eu la surprise. Elle a découvert une culotte de coton blanc décorée de dentelle et de petites fleurs qui couvrait mon sexe presqu'entièrement épilé. Elle a eu un petit mouvement de recul et elle m'a dit : " Tu es gay !" Non, bien sûr que non ! J'aime trop les filles et j'aime me sentir bien dans mes dessous ! lui ai-je répondu. Craignant qu'elle parte, je lui ai demandé de m'écouter et je lui ai raconté mon histoire, mes apprentissages… ma vie cachée. Cela a pris un peu de temps et peu à peu elle s'est rapprochée de moi et elle a repris son exploration de mon jean. Nous avons ensuite fait l'amour et je pense que je lui ai donné du plaisir. Mes enseignements reçus de ma soeur et Christine m'ont permis de savoir comment m'y prendre. Nous sommes restés ensemble ensuite pendant quelques semaines nous avons partagé beaucoup de choses, à commencer par mes culottes qu'elle adorait m'emprunter !
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You're gay!
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I was a student and my education with my sister and Christine had allowed me to taste all the pleasures of both sexes. I had had the pleasure of making love with Christine a few times during our afternoon games, at their request. But… I had not yet had sexual relations with a girl outside our intimate circle. The opportunity arose with my first sweetheart, whom I met at the University. The problem, as you can imagine, was that under my "normal" boy exterior, I was rather feminine. In the wardrobe of my student room, there were perhaps two or three pairs of boy's briefs but they were lost in the middle of the panties, the little skirts and dresses, the tights and my nighties! I had almost as many girls' clothes as boys' clothes and much more lingerie. It was in this context, at the end of the evening, that I received my first sweetheart in my room. I hadn't told her anything for fear of being mocked (I had already been mocked at the swimming pool) and I was a little ashamed too. It was when she unbuttoned my jeans that she was surprised. She discovered a pair of white cotton panties decorated with lace and little flowers that covered my almost entirely shaved sex. She took a step back and said to me: "You're gay!"
No, of course not! I like girls too much and I like feeling good in my underwear! I answered her. Fearing that she would leave, I asked her to listen to me and I told her my story, what I had learned… my hidden life. It took a little time and little by little she got closer to me and she resumed her exploration of my jeans. We then made love and I think I gave her pleasure. My lessons from my sister and Christine allowed me to know how to do it. We stayed together for a few weeks and shared a lot of things, starting with my panties that she loved to borrow!
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e642 · 5 months ago
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J'ai un rapport très particulier à la maladie que ce soit pour moi ou pour les autres. J'ai été un enfant peu malade, une ado peu malade et une adulte peu malade. À chaque fois que je l'ai été, c'était grave. Je ne crois même pas avoir eu une gastro dans ma vie, c'est dire. J'ai aussi été élevée avec des parents stricts niveau douleur. Je ne me plains pas quand j'ai mal parce que mes parents m'ont toujours dit que ça passerait et que j'aurais toujours un jour au moins encore plus mal. Puis ma mère est tombée malade du cancer quand j'étais au collège et ça ne s'est jamais arrêté. Ça a marqué un tournant à la maison, celui de dire "rien n'est grave tant que tu n'as pas un cancer". C'est devenu la limite. Ça a renforcé la résistance et le silence face à la douleur. Comment se plaindre à quelqu'un qui a un cancer ? Comment avoir pire ? La douleur est risible pour ma maman et mon papa a toujours voulu une fille "pas faible" car c'est bien connu, les filles sont pleurnichardes, vulnérables, plaintives. En attendant, j'ai rarement vu plus faible qu'un homme face à quoique ce soit qui frôle son intégrité physique mais passons. Le fait que mes parents aient toujours été sévère pour ça m'a rendu sévère, j'ai du mal à tolérer la douleur physique des gens. Au delà de tout ça, si j'ai autant de mal à supporter c'est que j'ai peur, la maladie des autres m'angoisse, peu importe ce que c'est parce que j'ai toujours extrêmement peur que ce soit grave. Quand j'ai vu ma mère passer d'un mal aux côtes à un cancer, je me dis que ça va vite, trop vite alors j'ai une escalade d'angoisse et je suis très redflag pour ça. Je peux être très oppressante, j'ai besoin de savoir le moindre détail, je peux être très injuste, j'ai peur d'être bloquée par la maladie des autres. J'ai jamais eu peur d'attraper quoique ce soit c'est pas la contagion le pb. En plus de ça, j'en parle très p un souvent car c'est une relation qui m'a traumatisée mais quand j'avais 18 ans, je suis sortie avec un mec de 28 ans bien 6 mois et je n'ai jamais plus vécu quelque chose d'aussi toxique. Pour illustrer, 5 ans après, je n'ai presque plus aucun souvenir avec lui tellement ça m'a affectée pas dans mon amour à l'autre mais dans le respect, les hommes, la violence. Et justement, ce garçon est tombé bien malade au milieu de la relation et il en jouait beaucoup et ça a décuplé mon côté inquiétude extrême des autres. J'ai beaucoup souffert de la violence psychologique et même physique avec lui mais particulièrement de cette période de maladie qui a concrétisé ma phobie. Dès que quelqu'un se plaint trop, et surtout s'il ne se soigne pas, ne fait pas en sorte d'aller mieux et m'en parle outre mesure pour jouer avec mes angoisses, ça me paralyse. J'ai peur de perdre les gens ou qu'ils aillent mal et que je sois spectatrice comme avec ma mère. Je continuerai à jamais trop me plaindre même quand j'ai vraiment mal parce que je ne me sens pas légitime. Voilà, ça c'est un de mes redflag tenaces.
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omnomnomdomcaps · 2 years ago
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Une Question Simple - Remastered
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“As-tu besoin d'aller au pot, princesse ?”
Zoe looked up, a blank stare on her face. Her daddy, tall and scruffy, still dressed in his full business suit, was leaning down to talk to her, and it seemed he was asking a question. The words sounded familiar - this wasn’t her first time playing en francais, as he liked to put it - but she couldn’t quite make sense of what they all added up to.
“C'est une question simple,” Daddy continued, “As-tu besoin d'aller au pot, ou pas? Ou peut-être que tu es trop petite pour aller au pot ?”
Again, Zoe searched her limited vocabulary for words she could make out, finding none. Pouting slightly, she tilted her head down and shrugged to signal confusion. 
“D'accord, je vois.” With that, her daddy gave her a wide smile and a soft kiss on the top of Zoe’s head before heading back towards his office in the next room. 
Zoe, in the meantime, thought for a moment longer before returning to her stuffies and toys, eventually choosing a stack of rings for entertainment. Ordinarily, such a plaything would be too simple and babyish for her, but somehow her recent exchange made it feel more appropriate.
So play the girl did, quickly losing herself in the bright colors of her little world. Time flew as Zoe stacked and restacked the rings, shuffling them about the tower and about the floor without a care in the world. That is, until a familiar rumbling in her stomach threatened to interrupt her fun.
Zoe had tried to ignore the feeling earlier, and it did pass then, but now it had returned and was refusing to subside. She had not been planning to use her diapers for that today, so she stood and let out a deep sigh. She would have to ask Daddy permission to use the potty - the trouble would be figuring out how. 
As her cramps grew uncomfortably stronger, the girl made her way up onto her feet and over to her daddy’s office. With her legs starting to quiver, she launched into a rambling plea before he even finished 
“Daddy, daddy, I really hafta…”  
“Ah, non, non, non,” her daddy calmly interrupted her, wagging a finger to remind her of the rules, “en francais, s’il vous-plait.” 
Zoe squirmed and tried to think as hard as she could, blushing a deep rouge. 
“Je…” she began, tapping her right foot nervously, “je… je…”
“Je? Cheu, jee, geuuu... je quoi ?”
Tapping her feet faster now, Zoe turned her head up and let out a long whimper. Then, realizing she would not be able to find words in time, she turned around and ran away, tugging her pink shirt over the back of her diaper as she moved. 
The girl returned to her playroom hoping to find some distraction in her toys, but no distraction would be found. It was as she kneeled down and reached for her stack of rings that the cramps became too much to handle. Loudly, her muscles gave out, and the grown woman helplessly filled the seat of her diaper. 
Utterly defeated, Zoe knew what was coming. If her daddy hadn’t known from the look on her face earlier, if he hadn’t heard the noise her body just made, then he would surely smell what had happened as soon as he came into the room. Not wanting to just wait nervously, the girl turned once again to play with her toys to pass time, careful not to sit on her bottom as she did. 
Finally, her daddy did come in, crossing his arms sternly as he stopped to stand behind the girl. Zoe, in turn, tilted her head slowly and glanced up as the blush returned brightly to her cheeks. 
“Princesse,” her daddy began, “as tu gardé ta couche propre ?” 
The girl gulped. It seemed she had been confronted. “Oui,” she replied, nodding meekly. 
“Oui? Princesse, si tu penses que cela c'est propre,” her daddy began, patting her full diaper as he spoke, “Si si te ne sais même pas ce qu'est le pot, alors j'ai bien peur que tu doives porter des couches pendant très longtemps. N'es- tu pas d'accord ?”
Zoe couldn’t quite follow this reprimand, but again she bowed her head and nodded. 
“OK, je vais te changer.” Her daddy pulled a changing mat from the room’s drawers and laid on the floor behind Zoe. This, she could understand, and she laid down on the mat, resting her arms by her sides. 
Soon, the girl felt the refreshment of crisp, conditioned air and moist baby wipes on her bottom, and she was clean again. What followed this, she had thought, would be a return to the soft cotton of her big girl panties, but the sound of crinkling from her daddy’s hands indicated otherwise. 
“Pan-” she began.
“Ah. Non, non, non,” her daddy quickly interrupted, wagging his finger once again. 
Zoe crossed her arms on the floor and pouted. It seemed she would be staying in diapers. Had she agreed to this without realizing? What, exactly, did she say ‘oui’ to?
But for all her qualms, the girl also started to realize just how right being diapered was beginning to feel. After the way she handled herself today, after the way she struggled to express even the most basic of thoughts to avoid an accident, and after the way she treated her last diaper, could she even trust herself without one. No, as she was newly powdered and padded, she understood that this was precisely as she belonged. 
“Tu sais,” her daddy began after finishing the change, “Je trouve très mignon que tu ne puisses pas me comprendre. Tu es vraiment un petit bébé, je suppose, mais je suis très fier que tu sois le mien.”
“Je t'aime, ma princesse” he concluded, planting a kiss firmly on the girl’s forehead.
“I love you too, Daddy,” she answered, butterflies fluttering in her stomach.
She had broken the rules, of course, but this time he would let it slide.
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Image courtesy of @abdreams, used with permission. Please support their site!
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mrsines · 2 months ago
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Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aînée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorcière expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorcières, espérant que cela les mènera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles décident de réunir un sabbat, une cérémonie qui pourrait leur donner accès à des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se préparent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions émergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer à travers ces obstacles tout en découvrant des vérités cachées sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quête les amène à remettre en question leurs croyances et à affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un véritable test de courage et de détermination et d'amour.
Chapitre 1 : L’éveil d’une sorcière
Ivana Maximoff se trouvait au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumière de la lune filtrait à travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphère mystérieuse à cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rôdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de manière surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pétrifiée, ressentait également une étrange curiosité. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forêt semblait l'attirer plus profondément dans un monde où la réalité et le cauchemar se mêlaient.
Les couleurs autour d'elle étaient saturées, presque irréelles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scène, créant une ambiance à la fois envoûtante et inquiétante. Ivana se tenait là, au milieu de ce chaos, son cœur battant à tout rompre, se demandant si elle pourrait échapper à cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphère de tension palpable.
Ivana, ressentant une présence menaçante, se réveille en sursaut. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant échappe de ses lèvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux écarquillés, cherchant désespérément à comprendre ce qui se passe. La lumière de la lune filtre à travers la fenêtre, projetant des ombres inquiétantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la pièce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana réalise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivé durant cette nuit désastreuse. Pourquoi ces ombres l’ont-elles hantée ? Quel message caché se cache derrière ce rêve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-même avait été touchée par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rôde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystères et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
☆○o。  。o○☆.☆○o。  。o○☆
Ivana était assise sur son lit, les draps froissés autour d'elle, témoins de son agitation nocturne. Son cœur battait encore la chamade, résonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit était perdu dans un tourbillon de pensées confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tête, si réelles qu'elle avait du mal à croire qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Elle passa une main dans ses cheveux en désordre, soupirant profondément. Les souvenirs de cette expérience troublante l'assaillaient, la laissant dans un état de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain. 
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'écoulait, emportant avec elle les résidus de ses pensées sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais même sous le doux murmure de l'eau, les échos de son expérience la suivaient, la rendant incapable de se libérer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppé son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche préféré flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraîchie, prête à affronter la journée. En entrant dans la cuisine, la lumière du matin filtrait à travers les volets, illuminant les surfaces en bois et créant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun éclat magique ne se manifesta. Elle se mit à trembler, la serviette glissant légèrement sur ses épaules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intérieure teintée d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant à ressentir cette énergie familière, mais elle était introuvable, comme un rêve qui s'estompe au réveil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluèrent dans son esprit : les moments où elle avait manipulé les objets avec aisance, où elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait désormais hors de portée. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la pièce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cœur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la détermination commençant à remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, même si cela signifiait affronter des vérités difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prête à se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, même dans cette cuisine qui lui semblait désormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait l’aider à retrouver ses pouvoirs était Agatha Harkness, mais demander de l’aide à cette femme était du suicide. Pourtant, la détermination brûlait en elle, et elle avait décidé d’y aller quand même. 
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares s’allumèrent dans un vrombissement familier alors qu’elle s’installait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de démarrer en trombe en direction de Westview.
La route défilait à toute vitesse, le paysage flou derrière elle. Ivana se sentait à la fois excitée et nerveuse. Cependant, la vitesse était trop élevée, et bientôt, elle aperçut les girophare de police dans son rétroviseur. Son cœur s’emballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il était trop tard. Elle se gara sur le bas-côté, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquée, n'arrivait pas à croire qu'Agatha était là, en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mêlant à l'inquiétude.
Agatha se pencha légèrement, son expression sérieuse. "C'est  détective O'Connor. Je ne connais pas d’Agatha désolé.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pétillant de malice.
Après un rapide contrôle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage défilait à toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit était envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait qu’Agatha était touchée par le sort de la sorcière rouge, et cette pensée la hantait, mais elle était déterminée à retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mélange de nostalgie et d'appréhension. La maison, bien que familière, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'écaillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cœur battant à tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussière et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mère.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frénésie. Des ustensiles oubliés et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, où le vieux canapé était recouvert d'une couche de poussière. Ivana souleva les coussins, espérant y trouver quelque chose de précieux. Elle trouva seulement des pièces de monnaie et des bonbons durs, oubliés depuis longtemps.
Frustrée, elle monta à l'étage, où se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la pièce. Tout semblait figé dans le temps. Les murs étaient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau était encore chargée de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa détermination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissé là, Ivana découvrit une page pliée. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliée qui pourrait peut-être l'aider à rompre le sort. Son cœur s'emballa d'espoir. C'était peut-être la clé pour sauver sa mère et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette découverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas décisif. Elle devait maintenant retourner à Westview, prête à affronter Agatha et à utiliser tout ce qu'elle avait appris pour défendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cœur battant la chamade. Elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait, et maintenant, il était temps d'agir. Elle leva la main et sonna à la porte, le son résonnant dans le silence du quartier. Après quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, révélant Agatha, les yeux écarquillés par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiétude mêlée de curiosité.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le côté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Écoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » déclara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'écoutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh c’est pas vrais j’avais oublier comment Agnes était pipelette» coupa Ivana, sa voix s'élevant légèrement.
Ivana, les yeux fixés sur Agatha, ressentait une vague d'émotions l'envahir. Elle savait que même si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opérer des miracles. Elle inspira profondément et murmura le sort, sa voix à peine audible, comme un souffle porté par le vent.
« Libère-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
À cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumière intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tête sur le côté, un sourire ému se dessinant sur ses lèvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un léger sourire aux lèvres, sentit une chaleur envahir son cœur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tête, la surprise laissant place à une compréhension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chère. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard déterminé, se tourna vers Agatha, son cœur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorcières, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lèvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrée, secoua la tête. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flèche. Avec douceur, elle déplaça une mèche de cheveux d'Ivana derrière son oreille, créant un moment d'intimité.
« Écoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de défi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa échapper un léger rire, comme si la question ne méritait même pas d'être débattue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sérieuse à présent, hocha la tête. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chère. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui était toujours figée, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusé sur le visage. « Aller, c’est pas en restant figée comme ça qu’on va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'énergie d'Agatha, sentit son cœur s'accélérer. Elle voulu répondre, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps à Ivana de réagir, tourna les talons et s'apprêta à quitter la pièce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.Après un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
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cestdanslatete · 2 months ago
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j'étais la fille qui ne tenait pas la cadence, pendant les cours d'endurance en eps au collège. abonnée aux notes en dessous de 9/20 parce que ton corps n'est pas en capacité de tenir autant que ce que demande le polycopié du prof. aucun conseil pour aider à la progression, juste le constat que tu es une brêle qui devrait tenir plus longtemps. j'ai longtemps pensé que j'étais incapable de courir plus de 3 minutes sans m'essouffler et que c'était immuable (comme 2 et 2 font 4 ou bien ma tendresse pour loana). et puis, si, finalement, ils avaient raison, tous ces gens, de dire que ça se travaille. petit à petit, évidemment. je trottine plus que je ne cours, sur mon tapis à la salle de sport. d'abord heureuse d'avoir réussi à courir 10 minutes sans m'arrêter. maintenant j'approche des 23 minutes. petit à petit. mais ça me fait plaisir. la contrepartie, c'est que j'ai rdv jeudi chez un kiné (parce que douleur suspecte à chaque session, à l'intérieur de la cheville droite). qu'est-ce qui va se passer ? je ne connais pas les kinés. je vais devoir mimer la course à pied dans son cabinet ? comment je dois décrire la douleur ? (alors, ça fait pas mal de façon handicapante, mais ça me fait peur) est-ce que je dois apporter mes pompes de sport ? que d'interrogations, je vous jure.
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iranondeaira · 2 months ago
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2019
Je pense que nous sommes juste passés à côté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les pièces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
Éparpillés partout sur le sol,
une vie , nos corps à corps , la tempête qui nous avait encore plus soudés l’un à l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final séparés ... nos rêves de balades, de voyages ... nos éclats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux érotiques , nos quotidiens entremêlés... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour était désormais bien rangé, empilé, répertorié, prêt à recevoir la poussière des années ...
Je restais là... seul ... à vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanité, son romantisme, sa sincérité, sa sensibilité, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force érotique, sa sensualité... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mémoire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous étions tombés dessus ... la soudaine rencontre de deux âmes et de deux corps, une cohésion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en détresse car elle libère trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’océan où j’allais errer, la plage immense où j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait être...
Me lever le matin désormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprégné d’elle,ce n’était pas la force de gravité qui me maintenait au sol c’était elle; là où elle était je voulais être , respirer le même air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le désert , de simples plaisirs tel le café brulant à l’odeur de cannelle, une douche brûlante pour dénouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delà des responsabilités qui étaient les miennes ...
J’avais essuyé de trop nombreuses tempêtes et traversé assez de batailles pour savoir que l'amour était presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une époque où le monde était à la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cœur en était caché, perdu pour ne plus laisser une autre me séduire, me conquérir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaîne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-même pour aller au bout de la douleur, espérer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brûlure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensées... Cette petite chaîne en or, ce pull, cette dernière bouteille de parfum qu’elle m’a ramené de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonné une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurément ... elle avait réussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait été telle l’eau qui gèle dans le rocher et le fait éclater ... elle était allée là où personne n’avait pu aller avant , elle avait même réussi à apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain à chercher son image ... plus d’une fois l’idée que nous étions frère et sœur était venue aux gens... elle était non seulement mon âme sœur mais bien plus ... si j’étais né fille j’aurais aimé être elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous étions différents... je ne pouvais que sourire ... à croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se détacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos différences se reflétaient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle était une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut été lucide envers elle-même ... bien qu’il m’en coûte de le reconnaître ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’océan à qui on reprocherait la tempête qu’il a traversé ... elle n’a pas supporté ... et la voilà elle dans sa propre tempête et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les conséquences la submergent ... nonobstant la peur desdites conséquences, possibles ou probables , bien que ce que l’on désire ou ce à quoi on aspire se trouve juste de l’autre côté de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-même ... telle une lame de fond ... mais oui hélas c’était bien une lame de fond de son passé qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimé celui que j’étais ...
J’aurais voulu être lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complément ... j’étais sorti de ma tempête et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une évidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y réfléchissant je l’avais toujours été... quand à elle, elle était trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-même ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres à la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantôme et qui l’avait trouvé ... je me sentais hanté de sa présence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui méritait d’être vécue avec passion, énergie et un espoir dont le plaisir ne dépendait plus de la simple fatalité ... et elle me laisse ... là... presque comme si elle avait été qu’un rêve ...
Une vieille légende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos prières ... je désirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et Guenièvre ... même malgré la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passé
N’en parlons plus
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1vidapoeticando · 11 months ago
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Já vivenciei tantos momentos e sentimentos que por suportar demais automáticamente eles transbordavam...passei pelo medo e não agi..Passei vontade de gritar e silenciei...Passei por aquela vontade imensa querer abraçar o mundo e me fiz menor...Passei por muito, diminui minhas expectativas, abafei minha ansiedade e segui....Extrai do sol inspiração...E fiz uma pintura nas dores passadas, e passou...Eu investi na vontade de recomeçar, rabisquei com toque de amor, peguei nessa aquarela novos caminhos, cores, sonhos e desejos...E olhando para a natureza, vendo o céu, as estrelas e o mar, pude ver o quanto ainda posso preencher essa pintura chamada vida...
He vivido tantos momentos y sentimientos que por soportar demasiado automáticamente se desbordaron... Pasé por miedo y no actué... Sentí ganas de gritar y me quedé en silencio... Pasé por ese deseo inmenso. querer abrazar el mundo y me hice más pequeño... Pasé por mucho, bajó mis expectativas, sofoqué mi ansiedad y seguí... Me inspiré en el sol... Y hice una pintura del pasado. dolor, y pasó... invertí en las ganas de empezar de nuevo, garabateé con un toque de amor, tomé esta acuarela nuevos caminos, colores, sueños y deseos... Y mirando la naturaleza, viendo el cielo, el las estrellas y el mar, pude ver cuanto aún puedo llenar este cuadro llamado vida...
Ho vissuto così tanti momenti e sentimenti che, poiché ho sopportato troppo, sono traboccati automaticamente... ho attraversato la paura e non ho agito... avevo voglia di urlare e sono rimasto in silenzio... ho attraversato quell'immenso desiderio di voler abbracciare il mondo e mi sono fatto più piccolo... ne ho passate tante, ha abbassato le mie aspettative, ho soffocato l'ansia e ho continuato... ho tratto ispirazione dal sole... e ho fatto un quadro del passato dolore, ed è passato...ho investito nella voglia di ricominciare, ho scarabocchiato con un tocco d'amore, ho preso con questo acquerello nuovi sentieri, colori, sogni e desideri... E guardando la natura, vedendo il cielo, il stelle e il mare, ho potuto vedere quanto posso ancora riempire questo dipinto chiamato vita...
J'ai vécu tellement de moments et de sentiments que, parce que j'en ai trop enduré, ils ont automatiquement débordé... J'ai vécu la peur et je n'ai pas agi... J'avais envie de crier et je suis resté silencieux... J'ai vécu cet immense désir vouloir embrasser le monde et je me suis fait plus petit... J'ai traversé beaucoup de choses, cela a réduit mes attentes, j'ai étouffé mon anxiété et j'ai continué... Je me suis inspiré du soleil... Et j'ai fait une peinture du passé la douleur, et c'est passé... J'ai investi dans l'envie de recommencer, j'ai griffonné avec une touche d'amour, j'ai emprunté dans cette aquarelle de nouveaux chemins, des couleurs, des rêves et des envies... Et regarder la nature, voir le ciel, le les étoiles et la mer, j'ai pu voir à quel point je peux encore remplir ce tableau appelé la vie...
I have experienced so many moments and feelings that, because I endured too much, they automatically overflowed... I went through fear and didn't act... I felt like screaming and remained silent... I went through that immense desire to want to embrace the world and I made myself smaller... I went through a lot, it lowered my expectations, I stifled my anxiety and continued...I drew inspiration from the sun...And I made a painting of past pain, and it passed...I invested in the desire to start over, I scribbled with a touch of love, I took this watercolor new paths, colors, dreams and desires... And looking at nature, seeing the sky, the stars and the sea, I could see how much I can still fill this painting called life...
O kadar çok an ve duygu yaşadım ki, çok katlandığım için otomatikman taştı... Korkudan geçtim, harekete geçmedim... İçimden çığlık atmak geldi, sustum... O büyük arzuyu yaşadım. dünyayı kucaklamak istemek ve kendimi küçülttüm... Çok şey yaşadım, beklentilerimi azalttı, kaygılarımı bastırdım ve devam ettim... Güneşten ilham aldım... Ve geçmişi resmettim acı ve geçti... Yeniden başlama arzusuna yatırım yaptım, bir aşk dokunuşuyla karaladım, bu sulu boyayla yeni yollara, renklere, hayallere ve arzulara yöneldim... Ve doğaya baktım, gökyüzünü gördüm, yıldızlar ve deniz, hayat denen bu tabloyu hâlâ ne kadar doldurabildiğimi görebiliyordum...
Fonte: 1Vidapoeticando 🌺🍃
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chifourmi · 7 months ago
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On s'est vus et il m'a sorti que son premier amour lui revenait toujours en tête. C'était il y a 1 an et il n'arrive pas à passer à autre chose depuis. Parce que ça s'est terminé très brutalement. Je l'ai détesté immédiatement. Détesté d'avoir commencé quelque chose en ayant conscience de ça. Et lui qui a osé me dire qu'il avait peur de s'attacher alors que j'étais peut-être pas passée à autre chose avec mon plan cul.
Vous savez comme je fuis dès qu'une difficulté se présente. J'ai eu un sentiment de détachement immédiat et la sensation de vouloir tout arrêter tout de suite. Il me l'a dit parce qu'il sentait que je m'attachais et selon lui j'avais l'air de m'attacher plus vite que lui. Alors que c'est lui qui m'a déjà présenté sa famille et d'autres choses bien trop rapides à mon goût. Mais comme je le sentais s'attacher vite, j'ai laissé tomber mes barrières et je me suis laissée aller.
Actuellement, je sais que pour me protéger je serais capable de ne plus lui parler du jour au lendemain. Parce que j'en peux plus d'être blessée. J'ai été honnête et je le lui ai dit. Il n'était vraiment pas bien.
Je ne sais pas s'il a bien fait de me le dire. Je crois que cette vérité fait partie des vérités qu'il n'est pas nécessaire de dire. Évidemment que le premier amour est impossible à oublier mais tu ne commences pas une histoire si tu ressens encore tout à vif. Il a encore pensé à elle actuellement, c'est pour ça qu'il a eu besoin de me le dire. Je suis trop déçue et là vraiment je n'ai plus envie de garder contact.
"Tu retournerais vers elle si elle revenait vers toi?"
"... Je sais pas"
En plus il n'a vu son premier amour que 2-3 fois, ils se sont surtout rapprochés par messages. Mais ça a été très vite, ça a été ses premiers sentiments, ses premiers contacts physiques. Puis c'est un gars super sensible, qui ressent tout très fort et qui s'attache vite. Ça s'est fini parce qu'elle est partie pour revenir vers son ex, qui en plus de ça était un connard. Il est tombé de 10 étages. Ensuite, il est sorti avec une autre fille, qui a réussi à lui faire oublier la première. Mais après leur rupture, il a repensé à la première. Il arrive à être objectif et à se dire qu'il l'a beaucoup idéalisé et mise sur un piédestal. Il en a conscience mais il ressent quand-même encore toute cette frustration de ne pas avoir pu vivre une vraie histoire. Parce qu'au final ça n'aura duré que 3-4 mois.
J'ai beau réfléchir, j'arrive pas à m'imaginer commencer quelque chose avec quelqu'un qui a toujours une autre fille en tête. C'est inconcevable. Je lui ai dit qu'il devait prendre le temps de l'oublier. Il n'y a que le temps qui fera les choses. Mais ça n'a pas été ma décision finale, il m'a dit qu'il me laisserait le temps de digérer les infos et de réfléchir à ce que je veux faire. "En tout cas saches que si tu décides d'arrêter, ça aura été une belle histoire et je ne t'oublierai jamais".
Tout était trop beau pour être vrai.
(20/06/2024)
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