#perde poids
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De la souffrance vient la sensibilitĂ© dont naĂźt lâintelligence.
Tout le monde parle de savoir-vivre, mais personne du savoir-souffrir.
Ce qui importe ce nâest pas le poids qui tâaccable, câest comment tu te courbes pour ne pas casser.
Ce nâest pas le bruit qui tâabasourdit, câest comment tu Ă©coutes les murmures du monde.
Ce nâest pas la force du vent qui tâemporte, câest comment tu hisses tes voiles.
Ce nâest pas la hauteur des vagues qui te frappent, câest comment tu tây laves.
Ce nâest pas lâabsence de lumiĂšre qui tâentoure, câest comment tu chantes dans le noir.
Ce nâest pas ce que tu perds, câest comment tu ouvres ton cĆur pour la suite.
Ce nâest pas la quantitĂ© de larmes que tu verses, câest comment tu souris en pleurant.
Ce qui importe, ce nâest pas lâintensitĂ© du feu que tu traverses, câest comment tu danses dans les flammes.
- Stéphan Schillinger

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On perd des gens, on en rencontre dâautres. Certains nous blessent, dâautres illuminent nos jours. Certains laissent une cicatrice, Dâautres un sourire qui ne sâefface jamais. On se rĂ©veille parfois le cĆur lĂ©ger, Dâautres matins, câest le poids du monde qui repose sur nos Ă©paules. On avance, on recule, on hĂ©site. On prend des chemins, certains bons, certains mauvais. On connaĂźt nos moments de gloire, Ces instants oĂč lâon se sent invincible. Et puis, on tombe. On Ă©choue, on doute, on regrette. On trĂ©buche dans les mots, Dans les escaliers, Dans nos propres pensĂ©es. On cherche les bonnes phrases, Mais elles nous Ă©chappent souvent. On rit. Beaucoup. Ă en avoir mal au ventre, Ă en pleurer de joie. On pleure aussi. Souvent. Trop, peut-ĂȘtre. Pour un rien, pour un tout. On se brise. Le poignet, la jambe, le cĆur, lâĂąme. On tombe en morceaux, parfois sans bruit, parfois dans un fracas assourdissant. Mais on recolle les morceaux. On reconstruit. Des villes, des ponts, des passerelles. Des amitiĂ©s perdues, des amours brisĂ©s, des espoirs effacĂ©s. On perd des objets, On retrouve des souvenirs. Un parfum qui nous ramĂšne Ă hier, Une chanson qui ouvre une blessure, Une photo qui fige un instant rĂ©volu. On se pose mille questions. Pourquoi lui ? Pourquoi elle ? Pourquoi moi ? Pourquoi la vie fait-elle si mal, parfois ? Et puis on comprend, ou on fait semblant. On apprend Ă vivre avec ce que lâon ne comprend pas. On est intelligent et stupide Ă la fois. Brillant un jour, terriblement con le lendemain. On pense savoir, et puis on se trompe. On croit ĂȘtre fort et parfois, un simple regard nous dĂ©sarme. On aime. Parfois trop, parfois mal. On sâaccroche Ă des Ăąmes qui ne savent pas nous retenir. On attend des retours qui ne viendront jamais. On espĂšre, on dĂ©sespĂšre. On a nos qualitĂ©s, nos failles, nos paradoxes. On veut tout et son contraire. On se cherche, on se perd, on se retrouve. On nâest pas parfait. On ne le sera jamais. Mais aprĂšs tout, Nous sommes humains !
Anne V. Besnard
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Hier soir je me suis injectĂ©e ma troisiĂšme dose de wegovy, jâentame donc ma 3Ăšme semaine Ă 0.25.
Si la premiĂšre semaine jâavais comme effet secondaire la constipation, cette semaine je nâai rien eu du tout. Jâai eu une envie de vomir latente samedi aprem, mais je pense que câĂ©tait dĂ» Ă ce que jâai mangĂ© et non au traitement. A part ça⊠je suis donc plutĂŽt trĂšs contente et surtout soulagĂ©e de voir que je nâai aucun effet secondaire, surtout aprĂšs avoir rencontrĂ© des personne qui ont terminĂ© aux urgences Ă cause de leurs rĂ©actions au wegovy.
Je ne ressens plus du tout la faim, je dois faire attention avec ça car en deux semaines, jâai eu deux trois fois la tĂȘte qui tourne en me relevant, faute de ne pas avoir manger. Je dois aussi faire attention car je suis tentĂ©e de louper plusieurs repas. Nâayant pas faim et nâaimant pas cuisiner, la tentation est forte. Ce qui est assez Ă©trange câest que en mangeant, je ne sais pas trop quand mâarrĂȘter. Et si jamais je mange trop, ce qui arrive trĂšs vite avec le traitement. Jâai lâestomac lourd, ce qui est trĂšs dĂ©sagrĂ©able. Genre ce matin, jâai mangĂ© la moitiĂ© dâun croissant et j ai bu une grande tasse de thĂ©. Sur le coup je nâai rien senti, mais 10 minutes plus tard jâavais un poids sur lâestomac. Ăa donne pas envie de vomir mais la sensation est similaire et dĂ©sagrĂ©able.
Question poids, je suis contente ! Pourtant j ai eu mes rĂšgles sur la fin de la premiĂšre dose, dĂ©but de la deuxiĂšme. Lundi dernier jâĂ©tais Ă 120.7. Aujourdâhui je suis Ă 119.4. Lâobjectif de passer sous les 120kg est donc remplie, mĂȘme si je reste aux aguets, la peur de reprendre sans comprendre comment ni pourquoi. Je nâai toujours pas pris mes mesures (il faut que je le fasse!!) mais je sens que je perds. Au niveau de ma ceinture je suis au dernier trou. Il va falloir que je retourne la faire percer. Aussi sur mes deux jeans lâun dâeux est slim. Il est trop grand pour moi, mes mollets Ă©tant trĂšs Ă©pais, je dois prendre une Ă deux taille au dessus pour rentrer mes poteaux dedans. Mais là ⊠je sens que mes mollets sont moins compressĂ©s dedans. Je peux mĂȘme passer, en plus de ma jambes, mon bras jusque presque mi mollet dans mon jean, de maniĂšre assez aisĂ©. Pourtant je nâattends aucun changement au niveau de mes jambes. Elles sont malades. Tous les mĂ©decins me le disent, je ne perdrais probablement rien Ă ce niveau lĂ . Jâavoue quâimaginer faire 50kg de moins avec mes jambes actuelles me fait chier, mais il faut bien. Mais de voir que mĂȘme mes jambes dĂ©gonflent, mĂȘme juste un peu, ça me procure une sensation de soulagement et de joie, mĂȘme si je reste sur la rĂ©serve, peur que ce ne soit quâune illusion.
Je mâinterroge Ă©galement pour lâĂ©volution du traitement. Techniquement je suis sensĂ©e passer au 0.50 pour la 5eme dose. Mais est-ce obligatoire ? Si je suis bien Ă 0.25, suis-je obligĂ©e dâaugmenter la dose ? Surtout si elle me fait toujours effet. Autant augmenter si le traitement ne fait plus effet, non ? Jâai pas la rĂ©ponse Ă cette question et le mĂ©decin qui me suis Ă lâhĂŽpital nâest pas dispo avant janvier 2026. Je veux la rĂ©ponse dâun.e spĂ©cialiste, pas dâun.e mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste. Bref, jâai deux semaines pour trouver une rĂ©ponse Ă cette question. Surtout que tous le monde sâaccorde Ă dire que la dose a 0.50 tabasse de fatigue.
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Une personne en fin de vie prĂ©sente de nombreux signes. Tout dâabord, sa condition physique se dĂ©grade de façon progressive ou rapide. La personne malade perd du poids, car elle perd toute envie de manger et de boire. Lorsque la fin est proche, elle cesse de sâalimenter et de sâhydrater. Les signes sont aussi observĂ©s au niveau de la respiration. En effet, le rythme respiratoire change et la personne en fin de vie fait de lâapnĂ©e, câest-Ă -dire quâelle ne respire pas pendant un moment. Certains patients sont confus et agitĂ©s, tandis que dâautres perdent connaissance ou conscience de son entourage. Lorsque la mort est proche, la majoritĂ© des malades deviennent calmes, notamment Ă cause de la fatigue et parfois se perdent dans leurs pensĂ©es et communiquent moins. Dans les derniĂšres heures de la fin, ils dĂ©lirent beaucoup. Lâagonie, quant Ă elle, ne dĂ©passe pas gĂ©nĂ©ralement les 24 heures. Elle se caractĂ©rise par un coma relatif oĂč le patient a du mal Ă ĂȘtre Ă©veillĂ©. La personne devient moins agitĂ©e durant le sommeil, sa respiration ralentit et devient plus calme avec notamment des pauses au fur et Ă mesure que la mort approche. Elle prĂ©sente le rĂąle agonique, un bruit causĂ© par les sĂ©crĂ©tions au niveau des voies respiratoires. Le corps refroidit progressivement, en commençant par les pieds, les mains et le nez. Des marbrures apparaissent au niveau des genoux, des convulsions et des secousses musculaires, de la fiĂšvre ou encore des troubles de la dĂ©glutition se manifestent
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Je parlais il nây a pas longtemps, ici mĂȘme, de ce mensonge qui nous coĂ»te tant. Imaginons que lâOccident soit nĂ© Ă AthĂšnes et quâil se termine maintenant Ă Washington. Ă quel moment de notre longue histoire la vertu fut-elle suffisamment enseignĂ©e et pratiquĂ©e pour que le mensonge reculĂąt ? Dans quels replis du temps lâhomme occidental se rĂ©alisa-t-il, exempt de culpabilitĂ© ou Ă©mancipĂ© dâune morale absurde pour ne regarder que la rĂ©alitĂ© de sa condition et accepter toutes ses vĂ©ritĂ©s ? Nous faut-il imaginer que lâhomme fut libre tant quâil se considĂ©rait comme lâauteur, lâacteur et le spectateur de sa pensĂ©e ? Que dĂšs quâil accepta lâidĂ©e quâune entitĂ© morale supĂ©rieure, Ă©vanescente, omnipotente et insaisissable pĂ»t lui ĂȘtre supĂ©rieure et juger ses actes, il cessa simplement dâĂȘtre libre, autant que maĂźtre de son destin ? Câest la collision entre lâĂ©tat hĂ©llĂ©no-romain de lâidentitĂ© profonde â fondĂ© sur les principes de survie et dâĂ©lĂ©vation â et lâĂ©tat judĂ©o-messianique, bĂąti sur la croyance et lâespĂ©rance.
Je crois que nous trainons chaque jour les nombreux boulets apparus dans cet antagonisme qui a façonnĂ© lâhomme europĂ©en moderne et sa victime sacrificielle, le post-moderne. La meilleure preuve de ce tragique conflit est son produit, Ă savoir le chrĂ©tien, riche des fruits dâun heureux syncrĂ©tisme entre deux mondes, incapable au demeurant dâen assumer lâintelligence et la finesse autant que la force et le potentiel conquĂ©rant. Comprenez que lâhomme occidental, Ă qui les Dieux donnĂšrent tous les atouts pour conduire les conquĂȘtes â et qui les rĂ©alisa, nâen assuma plus aucune dĂšs lors quâil ne reconnut quâun seul Dieu, moral, autoritaire, dĂ©finitif... Ă©galitaire.
Il y eut partout des exceptions Ă cette analyse, qui furent autant de tentatives flamboyantes et vaines. Une image me traverse lâesprit, dont je fais un exemple : âAguirre, ou la colĂšre de Dieuâ. Film remarquable, tournĂ© en 1972 par Werner Herzog. Tout y est : lâabsurde violence dâun ordre moral sans queue ni tĂȘte dĂšs lors quâil est confrontĂ© Ă la violence fondamentale de la nature, de lâanthropologie et de la biologie. La valse pathĂ©tique des ambitions humaines, la grossiĂšretĂ© des appĂ©tits sexuels, la prĂ©valence du sadisme sur la plus Ă©lĂ©mentaire vertu... Lâhomme, au fur et Ă mesure quâil perd le contact avec la sphĂšre morale formelle des sentiments appris, retrouve sans dĂ©lai tous les appĂ©tits du mammifĂšre confrontĂ© aux exigences incontournables de sa survie.
Aguirre remonte sa riviĂšre au fur et Ă mesure quâil descend le fleuve.
Sommes-nous trĂšs diffĂ©rents de lui, qui tentons de revenir aux racines de notre ĂȘtre pour en exciper dâhypothĂ©tiques vertus ? Tant parmi nous portent sur leurs pauvres Ă©paules le poids de pĂȘchĂ©s quâils reconnaissent tant bien que mal, Ă©videntes contradictions de leurs intentions premiĂšres. (...)
J.-M. M.
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13 haĂŻkus (dans le mĂȘme ordre que les photos auxquelles ils correspondent):
1) LâHomme est lâanimal Qui raisonne? Non, rĂ©sonne⊠Vents, portez ma voix!
2) Le vent carnassier Mord mes os, chasseur sans tir⊠Trop froid pour sentir
3) La nage? Interdite⊠Je nage à contre-courant Dans le bleu du ciel
4) Lâhumain graffe ponts⊠Et les canards, de leurs pattes, Lâonde frĂ©missante
5) DĂ©cornant les bĆufs, Souffleuse dâidĂ©es blancs dâĆufs⊠Il vente, il sâen vante
6) Les arbres se penchent Sur le banc des tourtereaux⊠Quâun vent chasse au Sud
7) Le ciel, aux nuages Pelletés par en avant⊠Dégage un futur
8) Bichon havanais, AntithÚse des snowbirds⊠Bitch on, have an eh!
9) La laine, lâhaleine⊠Le lac enfile pelures, La brise filant
10) Tâas des caries? Price⊠Peaux de liĂšvre, poils de liĂšvre, Tombez, dents, Poilievre!
11) Sur la neige, colle De bottes, substance blanche⊠Jâvais nĂ©vroglisser
12) Les joies de lâhiver : Remplacer bancs de poissons⊠Par un banc de neige
13) Je perds du poids, perds La tĂȘte par guillotine⊠Ouste, Ancien RĂ©gime!
#poesie#poetry#french literature#haiku poetry#daily haiku#haiku poem#haiku#human existence#windy day#coldness#cold weather#cold#winter wonderland#winter#snow#snowflakes#swimming#graffiti#trees#sky#dog#snowbird#carey price#pierre poilievre#neurology#guillotine#diet#snowman
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On est le 9 octobre. Je me dis que les personnes qui sont nées le 9/10 étaient pas loin de la perfection, et vivront toute leur vie avec une marge de progression.
Je passe devant un parc. J'entends "Regarde!" et je regarde. C'est un enfant au sommet d'un toboggan. Sa maman ne regarde pas, alors il répÚte "Regarde!". Il me voit le regarder, alors je détourne le regard, et je continue de marcher. Combien de fois je n'ai pas regardé quand mon petit m'a dit "Regarde!" ? Qu'est-ce que je donnerais aujourd'hui pour regarder !
Je passe devant un cafĂ©. J'entre pour demander Ă remplir ma gourde. Au pire si on refuse, ça me fera quand mĂȘme un petit moment de socialisation. On accepte, c'est sympa. A la table prĂšs du comptoir, deux jeunes parlent de cul sans pudeur. La femme dit qu'elle prend ses accessoires BDSM sur materiel-medical.fr pas seulement parce que c'est moins cher, mais surtout parce que ce serait "plus professionnel". Je pense qu'elle est dĂ©jĂ dans un jeu de domination quand elle raconte ça.
Le mec qui l'Ă©coute a une casquette. Je devine au fait qu'il la porte Ă l'intĂ©rieur qu'il la porte tout le temps. Il doit avoir les cheveux gras, ou les cheveux chauves, plus probablement un peu des deux. Sa casquette Ă©tait rouge. Elle est rose. Le soleil l'a altĂ©rïżœïżœe autant qu'il a prĂ©servĂ© sa peau. Tissu martyr.
On me rend ma gourde. Merci. Je ressors. L'eau est trĂšs froide. La prochaine fois, j'irai la remplir moi-mĂȘme aux toilettes avec de l'eau tempĂ©rĂ©e.
Il se met Ă pleuvoir. C'est bien. Parce que c'Ă©tait prĂ©vu. Ăa mouille, mais c'est rassurant.
Mais il commence quand mĂȘme Ă faire froid. Ăa n'est plus tout Ă fait une pluie d'Ă©tĂ©. Je me dirige vers la gare. J'ai l'impression qu'avec l'automne qui vient, je vais passer de plus en plus de temps Ă la gare. Ma passion pour la botanique va en prendre un coup. A la gare, un gars joue du piano. Son look ne laissait pas deviner une telle sensibilitĂ©, il joue trĂšs bien. Je crois que je passe une heure Ă le regarder d'un peu trop prĂšs. Il me propose de jouer avec lui. Je lui rĂ©ponds que je sais pas faire. Je m'installer carrĂ©ment lĂ . Il joue ensuite Ă quatre mains avec une autre personne qui l'Ă©coutait, puis il lui laisse la place. Je regarde les mains qui se baladent.
Le lendemain, j'y retourne. Le pianiste est toujours lĂ . Il me salue. Je l'Ă©coute. J'observe ses mains.
Le lendemain, il n'est pas là . Le surlendemain non plus (je n'ai fait que passer, il faisait beau). C'est le lundi suivant qu'il revient. Il joue, je le regarde. Il me propose de m'apprendre. Je m'installe. Et je comprends que c'est une nouvelle passion. Une simple pression de mes doigts fait résonner un son magnifique dans toute la gare. C'est quand j'enchaßne les touches que le son est moins gracieux. Mais j'apprends vite, il me dit. Il veut m'apprendre. On a rendez-vous tous les jours de pluie ou les jours de froid. J'y passe plusieurs heures, à chaque fois.
Je sais que je m'accroche facilement aux hasards. C'est comme la fois oĂč j'ai appris le Portugais pendant 2 mois, juste parce que dans la rue, j'ai entendu parler Portugais, alors que si ça se trouve c'Ă©tait du Turc.
Je me passionne pour trop de choses quand je m'ennuie en ville. Si je passe devant une plaque de cabinet d'avocats, j'envisage la fac de droit. J'aperçois un laveur de vitre, je me scotche dessus jusqu'Ă ce qu'il ait parfaitement terminĂ© de passer la raclette. Et mĂȘme un peu aprĂšs. Je voudrais apprendre Ă faire comme lui, je voudrais aspirer l'expĂ©rience de sa vie.
Je le dis à mon prof de piano, que j'ai l'organe de la passion bien développé, et celui de la persévérance tout atrophié. Je lui dis que ça va se finir comme ça. Si un jour de froid, je ne suis pas là , c'est que j'ai trouvé autre chose.
Maintenant, il me laisse jouer seule quelques morceaux. Il fait la quĂȘte avec son chapeau et me donne tous les sous. Il fait discrĂštement pour pas qu'on se fasse virer. Je mange trĂšs peu, je joue. Je perds du poids, mais au moins je joins les deux bouts.
J'arrive au pied d'un grand immeuble vitré de 4 étages avec ascenseur apparent. La porte tambour rejette un enfant qui dit "c'était la meilleure journée de ma vie à égalité". A égalité avec quoi ? Je me pose la question en levant les yeux pour contempler le bùtiment. Si ce que j'aime, c'est vivre les vies qui ne sont pas à moi, je serai bien ici. Au moins pendant l'hiver. Je me prépare à entrer à la médiathÚque municipale.
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Quelques nouvelles : Je fais de mon maximum pour ĂȘtre le plus possible alimentĂ©e malgrĂ© les symptĂŽmes mais ça nâa pas lâair de suffir car je perd toujours du poids.. Jâai encore plus de remontĂ©es acide, aussi des remontĂ©es de la nutrition lorsque je suis branchĂ©e et câest tellement dĂ©goĂ»tant car ça a un goĂ»t atroce đđ€ą Mais bon, câest moins pire quâĂ lâĂ©poque oĂč je vomissais la sonde et la nutrition assez souvent.. Et sinon aujourdâhui jâai rĂ©cupĂ©rĂ© dâautres complĂ©ments alimentaires avec de nouveaux goĂ»ts.
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JE NE PERD PLUS MES CHEVEUX JE RĂPĂTE, JE NE PERD PLUS MES CHEVEUX !!!!!
Alors, je n'ai aucune putain d'idĂ©e de comment c'est possible, je n'ai absolument RIEN changĂ©, j'ai arrĂȘtĂ© mon traitement il y a un mois parce que ça me souler de me laver les cheveux tout les jours (je perdais mes cheveux avant le traitement donc impossible que ça vienne de l'arrĂȘt) j'ai toujours pas fait ma prise de sang, j'ai repris la pilule il y a 6mois deja (vu que les effets complet de la pilule mette 6 mois Ă partir du corps est-ce possible que ça mette aussi 6 mois Ă agir pour les effets sur mes cheveux ? O.o), je mange comme d'habitude et je suis ni plus ni moins stressĂ©e qu'il y a 1 mois donc đ€·??? Ăa restera un mystĂšre comme en 2016 quand ça m'Ă©tait arrivĂ©. Mais bon, bien contente d'arrĂȘter les crises d'angoisse dĂšs que je me brosse ou lave les cheveux, ça m'enlĂšve un poids Ă©norme ! (Et moins de xanax Ă consommer)
#si j'avais su que ça allait s'arrĂȘter j'aurai jamais coupĂ© 10cm putain đ#histoire de cheveux#perso
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EXTRAIT - Chapitre IX

« à ton tour SorciÚre. »
Elle se raidit, Ă©changea un dernier regard avec Sirius qui lui souffla un « bonne chance » silencieux, avant de se diriger vers le centre du cercle. Feyra sentit un poids tomber dans son estomac. Lorsquâelle avait Ă©tĂ© convoquĂ©e dans la salle du cristal par la garde Ă©tincelante, elle avait eu lâimpression de marcher tout droit vers une nouvelle prison. Mais maintenant, elle avait lâimpression de marcher droit vers sa tombe et de la creuser elle-mĂȘme. Elle sâarrĂȘta Ă quelques mĂštres de Lance, non sans lui jeter une Ćillade assassine.
« Jâai un nom je te signale. Câest Feyra. »
Elle accentua le dernier mot. Elle nâavait jamais relevĂ© lâinsulte jusquâĂ prĂ©sent, car câen Ă©tait une. Les sorciĂšres avaient mauvaise rĂ©putation - encore plus que les infernis - en partie parce quâelles sâĂ©taient alliĂ©es aux daemons suite Ă leur refus de participer au Sacrifice Bleu. Elles avaient longtemps Ă©taient craintes Ă cause de leur pratique interdite de la magie noire. Mais mĂȘme leur magie nâavait pu les protĂ©ger de lâextermination et aujourdâhui, elles Ă©taient considĂ©rĂ©es comme Ă©teintes.
« Je sais, mais je préfÚre SorciÚre, le chef de garde esquissa un rictus qui la fit frissonner. Je trouve que ça te va mieux. »
Feyra fronça les sourcils, se retenant de faire le moindre commentaire.
« Mets-toi en position, lui intima-t-elle. Prouve moi que mon frÚre ne perd pas son temps avec toi et que tu vaux quelque chose sans tes pouvoirs. »
La jeune femme sâexĂ©cuta, serra avec force la garde de son Ă©pĂ©e entre ses mains, puis prit une profonde inspiration. Elle eut Ă peine le temps de cligner des yeux que Lance se jeta sur elle. Elle ne sut par quel miracle elle para son attaque qui visait son Ă©paule gauche. Elle fut la premiĂšre surprise lorsque leurs armes se rencontrĂšrent dans un crissement strident. Ils nâavaient jamais Ă©tĂ© aussi proches et elle nâaimait pas ça. Lance pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, faisant bouger des mĂšches de cheveux blancs sur son front.
« Tu sembles nerveuse.
_ Non, câest juste que je ne tâaime pas. » assura-t-elle en donnant un coup contre son Ă©pĂ©e.
Menteuse.
Sa bouche Ă©tait aussi sĂšche que du papier de verre. Elle avait lâimpression que tout son corps tremblait et que Lance captait le moindre de ses frissons avec son regard de glace.
« Tu apprendras. Mais sache que la réciproque est vraie. »
AO3 | fanfiction.net | Wattpad
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De la souffrance vient la sensibilitĂ© dont naĂźt lâintelligence.
Tout le monde parle de savoir-vivre, mais personne du savoir-souffrir.
Ce qui importe ce nâest pas le poids qui tâaccable, câest comment tu te courbes pour ne pas casser.
Ce nâest pas le bruit qui tâabasourdit, câest comment tu Ă©coutes les murmures du monde.
Ce nâest pas la force du vent qui tâemporte, câest comment tu hisses tes voiles.
Ce nâest pas la hauteur des vagues qui te frappent, câest comment tu tây laves.
Ce nâest pas lâabsence de lumiĂšre qui tâentoure, câest comment tu chantes dans le noir.
Ce nâest pas ce que tu perds, câest comment tu ouvres ton cĆur pour la suite.
Ce nâest pas la quantitĂ© de larmes que tu verses, câest comment tu souris en pleurant.
Ce qui importe, ce nâest pas lâintensitĂ© du feu que tu traverses, câest comment tu danses dans les flammes.
- Stéphan Schillinger

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C'est assez dur de voir son corps grossir alors que je fais tout correctement pour perdre du poids. Ok je fais pas du sport mais je fais vraiment beaucoup d'efforts. C'est pas juste. Et oui peut-ĂȘtre que je me plains mais c'est pas juste. C'est tellement pas juste.
Passe encore le fait que je perds pas de poids. mais lĂ c'est pire, j'en gagne. I. me dit d'ĂȘtre patient, mais patient pour quoi ? Pour continuer mes efforts et prendre du poids ?
Non mais parce que je mange peu et bien et je grossis. Je me rĂ©pĂšte mais c'est tellement absurde. Et ça m'Ă©nerve mais tellement tellement fort. Putain mais c'est mĂȘme pas que je stagne. C'est juste pire.
Ca me rend folle.
Je sais plus quoi faire. J'ai envie de me faire du mal et de tout jeter en l'air. Je déteste mon corps et son épaisseur tellement énorme. C'est trop la honte. Je vais devoir retourner à l'école avec un corps pareil. Je suis tellement triste.
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Non Uccidere il Pesce d'Oro
Julien Ash & Antonella Eye Porcelluzzi | Mahorka | 2024
1. Fin aoĂ»t, tard le soir, dans une zone balnĂ©aire pas que jolie, qui bientĂŽt se dĂ©peuplera. Elle en a un grand souvenir dâautrefois, et dâautrement. Le temps transforme tout. VoilĂ . C'est la pleine lune. Sentiments contradictoires. Ou tout simplement l'un qui aimait plus que l'autre, ou plutĂŽt l'une en l'occurrence. Retenir ou laisser partir, sempiternelle question. Retenir et soumettre, se rendre minable⊠Ou laisser partir â et mourir de tristesse sur une plage sale, couverte de cadavres de 8.6 et de 1664.
2. Heureusement, elle pouvait compter sur lâanesthĂ©sie du clubbing, lâillusion de la rĂ©silience, lâhypertrophie de lâego, sage, autonome, conquĂ©rant⊠Des projecteurs dansaient au-dessus dâeux qui dansaient, tantĂŽt fous dans la lumiĂšre, tantĂŽt dĂ©vastĂ©s dans la pĂ©nombre. Une sensualitĂ© trouble pour dernier filet. Le contact de deux ou trois corps inconnus. Et dans lâinconscient dĂ©jĂ le germe du regret futur. Les lieux de fĂȘte sont des lieux de blues. Câest dans ce genre dâendroit que vomissait Gainsbourg quand il oubliait de porter son masque. Miroirs et rasoirs dans les couloirs, les toilettes⊠Mieux vaudrait peut-ĂȘtre faire couler le sang. PlutĂŽt flinguer son flair est le choix dominant.
3. Dans lâenfance, dans son pays dâorigine, les matinĂ©es Ă©taient tendres, pĂ©tillantes, Ă peine perturbĂ©es par une brise ensoleillĂ©e. La vie nâĂ©tait pas plus facile, mais avec le recul, on lui trouverait des cĂŽtĂ©s candides, sincĂšres, authentiques⊠Câest parce que les gens de lĂ -bas sont souvent morts Ă prĂ©sent. Et parce que lâenfant quâelle y Ă©tait est morte Ă©galement, dâune certaine façon. Elle y retournera un jour ïżœïżœ pour y renaĂźtre encore une fois.
4. Elle fait partie de ceux qui ont un sens dĂ©calĂ© de la chronologie. Son passĂ© et son prĂ©sent se rĂ©inventent constamment, en fonction de sa qualitĂ© de conscience ; et il n'y a jamais de travestissement. Tu vas voir. Tu vas entendre. Cela ne sera pas logique, mais cela aura le poids de lâĂ©vidence. Cela rĂ©sonne depuis un lointain trauma. Scie circulaire et ouroboros. Ăros et Thanatos. Yin et Yang. Cela a le ton du reproche et celui de la proposition franche. Cela prendra le temps quâil faut. Suspension, vibration : harmoniques⊠Ce qui reste dans le cĆur et le cerveau, bien aprĂšs quâa cessĂ© la parole. Et voici bientĂŽt que sâouvre un passage. Le coulissement obscur des grandes portes mĂ©talliques â dâun paradis ? Patience encore. Ăa y est, les anges trinquent, incontinents : une ola de coupes dressĂ©es, hĂ©moglobine dyonisiaque â en lâhonneur de leurs faiseuses persĂ©cutĂ©es. Puis dans un grincement de plomb et dâairain, la nuit de lâAutre se recroqueville sur eux.
5. Il existe une sonate au clair de lune, et nous voulons faire tout lâinverse, ou presque : une bourrĂ©e au soleil noir. Le moment nâest-il pas venu de faire basculer lâessence dans la structure, dans la sculpture â comme un poisson dans lâor ? Le moment de dĂ©verser lâĂtoile condensĂ©e sur tous les rĂ©seaux ? Leur binaire pourrait devenir ternaire par notre seule volontĂ©. Mais hĂ©las, par derriĂšre, au point limite de pĂ©nĂ©tration de lâinterface, cette satanĂ©e nostalgie qui affleure⊠Comme un vinyle qui craque. Il nous faudrait ĂȘtre plusieurs. Mais comment Ă©viter le dĂ©litement de ce qui se sĂ©pare ? Comment ne pas tuer le Poisson que lâon veut voir nager dans un mĂ©tal en fusion ?
6. RĂ©vĂ©lĂ©, un secret perd tout son pouvoir. Lâimportant nâest pas ce qui est cachĂ©, ce qui est tu en soi, lâimportant nâest pas la clef du mystĂšre, lâimportant est le souci de garder quelque chose, de le prĂ©server, de le chĂ©rir â douloureusement. De la famille jusquâĂ Dieu⊠PlutĂŽt le silence quâune lumiĂšre aveuglante. La blessure se chuchote, lâinitiation se murmure, lâhumilitĂ© se scande.
7. La faute Ă©tait nĂ©cessaire, câest elle qui a permis de sauver son monde. Au petit matin, comme un second printemps, la libertĂ© s'est mĂȘlĂ©e aux scintillements de la MĂ©diterranĂ©e. Sur le port, les pĂȘcheurs installent leur marchĂ©. Elle sourit Ă la puissance qui la dĂ©passe, physiquement et intellectuellement, mais qui la propulse vers la vie, de tout son cĆur rassurĂ©. Rinçage des pavĂ©s Ă lâeau claire. Odeur de marĂ©e. Aux mĂąts inĂ©branlables ne flottent plus que des voiles de mariĂ©e.
#auteur jordane prestrot#julien ash#antonella eye porcelluzzi#mahorka#aloĂŻs l.#wolf city#pierre-yves lebeau#francis porte#2024#musique
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Jâai cru, enlevant mon manteau dâhiver, LibĂ©rer mes Ă©paules de son poids. Mais dans le blizzard de la vie se perd Mon Ăąme tremblant et mourant de froid. Trop vite, trop tĂŽt, sans trop y penser, Devant toi jâai osĂ© me mettre Ă nu. Jâai dessillĂ© tes yeux quand jâai lancĂ© Mes feuilles de figuier et fruit charnu. Ămondant le monde au sein nourricier, Dans le vin rouge je lâai macĂ©rĂ©. Jâai la main de fer, le regard dâacier Et, dans la poitrine, un cĆur lacĂ©rĂ©. Mon amour! Sans masque servant de heaume, Ta beautĂ© me blesse et puis me guĂ©rit. Sans, pour armure, mon costume dâHomme, Elle me rend folle et saine dâesprit. Elle me frappe en plein cĆur, me dĂ©sarme, Comme une canette me jette au sol. Elle noie mon chagrin, sĂ©chant mes larmes, Et me fait pleurer de joie qui console. Dans des chaĂźnes carbonĂ©es mâemprisonne Son souffle mettant lâĂ©pĂ©e dans mes reins. Elle est mon seul remĂšde et mâempoisonne. Pourquoi ses grands maux me font-ils du bien? Quand elle me lĂšse, une Ă©gratignure Me coupe jusquâĂ lâos sans que je saigne. Du second degrĂ©, des lĂšvres brĂ»lure, Ses questions me marquent et sâĂ©teignent. Pas dĂ©cĂ©dĂ©e mais en convalescence, Stagnant au bras mort, vive est ma douleur. Lâexamen : physique ou de conscience? Me dĂ©vĂȘtant, suis-je chez la docteure? -PoĂ©sie: extrait de "Mise Ă nu", Ă lire dans "GenĂšse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme -Image: "Yvette Undressing", Albert De Belleroche
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Coucou Maman,
Tu sais j'ai été beaucoup en colÚre contre toi dans ma vie, encore maintenant quelques fois mais c'est normal
Pourtant
Malgré tout
Je t'aime trĂšs fort
Et je sais quand tu as raison, je sais reconnaĂźtre mes erreurs
Mais
Comme tu as dit la derniÚre fois, c'est compliqué
C'est compliqué d'admettre qu'on s'est trompé, d'admettre qu'on est dans une situation compliquée, d'admettre qu'on a besoin d'aide
C'est vraiment trĂšs dur
Tu sais j'aimerais réussir à te parler de tout ça, réussir a t'expliquer
J'aimerais rĂ©ussir Ă t'expliquer que je suis terrorisĂ©e de partir mais aussi de rester lĂ
Que je suis dans la précarité financiÚre, que je dilapide mes économies parce que j'ai pas le choix
Que je me sens prise au piĂšge
Que si je perds du poids c'est pas parce que je me suis remise au sport mais parce que je saute des repas, parce que les placards sont vides
Que si je suis aussi fatiguée en ce moment c'est pas à cause du temps mais parce que je dors moins de 5h par nuit, parce que j'y arrive pas, parce que mon sommeil est pas réparateur, et puis aussi parce que je prends beaucoup de drogues
Enfin un peu moins rĂ©cemment mais quand mĂȘme
J'aimerais réussir à te regarder dans les yeux et te dire que je consomme
J'aimerais réussir à affronter ton regard, ton jugement mais aussi ton inquiétude si je te disais à quoi ressemble mon quotidien ici
J'aimerais rĂ©ussir Ă t'expliquer Ă quel point je m'inquiĂšte pour moi-mĂȘme
Pour ma santé
J'aimerais réussir à t'expliquer toutes ces choses qui se passent entre lui et moi qui me rongent mais sur lesquelles j'essaye de fermer les yeux vainement
J'aimerais rĂ©ussir Ă t'expliquer que j'en suis arrivĂ©e Ă un point oĂč je sais tellement plus quoi faire que j'envisage mĂȘme de vendre mon corps
J'aimerais réussir à t'expliquer tout ça
T'expliquer que je suis tellement tellement seule et isolée
Réussir à te regarder dans les yeux et te dire que tes inquiétudes étaient justifiées, que tu avais raison
Réussir à te parler de ma peur et de mon inquiétude quelques fois, quand il aborde la violence, quand il parle de l'armée, quand il a envie de se battre
RĂ©ussir Ă te dire que j'ai mis tous mes principes et mes valeurs de cĂŽtĂ©, que je deviens ce modĂšle dĂ©testable que j'ai toujours voulu Ă©viter, que je suis devenue cette femme que je m'Ă©tais jurĂ© de ne jamais ĂȘtre parce que ça ne me correspond pas
Parce que je deviens cette femme-objet, cette femme qui met sa vie entiĂšre entre parenthĂšse pour l'autre, cette femme qui renonce Ă ses ambitions pour entretenir le "foyer" seule
RĂ©ussir Ă te dire que j'ai plus la force, que je veux juste baisser les bras et tout abandonner
Je suis fatiguée de me battre
RĂ©ussir Ă te dire qu'au final
Le silence
C'est tout ce qu'il me reste
Alors je m'emmure dans ce silence
Comme une prison dorée
Parce que c'est plus simple de rien dire que d'admettre tout ça
C'est plus simple de continuer d'avancer en fermant les yeux que de s'en aller
J'aimerais réussir à te dire tout ça maman
Et tellement plus encore si tu savais
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j'ai un mois devant moi, il faut que:
Je me lave les dents 3 min minimum
Je prenne que des douches froides
Je fasse des plannings repas extra sains
J'Ă©vite de manger de la merde
Je touche le moins possible mon visage
J'aille Ă la mer en courant
Je lise
J'aille au cinéma plus souvent
J'ai mon année
Je fasse du yoga et du gainage chaque jour
Je dorme plus
Je mange à horaires réguliers
Je boive 2L
J'arrĂȘte de maquiller mon teint
Je perde du poids/m'affine
Je conduise mieux
Je trie tous mon ordi/téléphone pour faire de la place
Rdv dans un mois la fit gurl mdr
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