#perde poids
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De la souffrance vient la sensibilité dont naît l’intelligence.
Tout le monde parle de savoir-vivre, mais personne du savoir-souffrir.
Ce qui importe ce n’est pas le poids qui t’accable, c’est comment tu te courbes pour ne pas casser.
Ce n’est pas le bruit qui t’abasourdit, c’est comment tu écoutes les murmures du monde.
Ce n’est pas la force du vent qui t’emporte, c’est comment tu hisses tes voiles.
Ce n’est pas la hauteur des vagues qui te frappent, c’est comment tu t’y laves.
Ce n’est pas l’absence de lumière qui t’entoure, c’est comment tu chantes dans le noir.
Ce n’est pas ce que tu perds, c’est comment tu ouvres ton cœur pour la suite.
Ce n’est pas la quantité de larmes que tu verses, c’est comment tu souris en pleurant.
Ce qui importe, ce n’est pas l’intensité du feu que tu traverses, c’est comment tu danses dans les flammes.
- Stéphan Schillinger
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Une personne en fin de vie présente de nombreux signes. Tout d’abord, sa condition physique se dégrade de façon progressive ou rapide. La personne malade perd du poids, car elle perd toute envie de manger et de boire. Lorsque la fin est proche, elle cesse de s’alimenter et de s’hydrater. Les signes sont aussi observés au niveau de la respiration. En effet, le rythme respiratoire change et la personne en fin de vie fait de l’apnée, c’est-à-dire qu’elle ne respire pas pendant un moment. Certains patients sont confus et agités, tandis que d’autres perdent connaissance ou conscience de son entourage. Lorsque la mort est proche, la majorité des malades deviennent calmes, notamment à cause de la fatigue et parfois se perdent dans leurs pensées et communiquent moins. Dans les dernières heures de la fin, ils délirent beaucoup. L’agonie, quant à elle, ne dépasse pas généralement les 24 heures. Elle se caractérise par un coma relatif où le patient a du mal à être éveillé. La personne devient moins agitée durant le sommeil, sa respiration ralentit et devient plus calme avec notamment des pauses au fur et à mesure que la mort approche. Elle présente le râle agonique, un bruit causé par les sécrétions au niveau des voies respiratoires. Le corps refroidit progressivement, en commençant par les pieds, les mains et le nez. Des marbrures apparaissent au niveau des genoux, des convulsions et des secousses musculaires, de la fièvre ou encore des troubles de la déglutition se manifestent
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Je parlais il n’y a pas longtemps, ici même, de ce mensonge qui nous coûte tant. Imaginons que l’Occident soit né à Athènes et qu’il se termine maintenant à Washington. À quel moment de notre longue histoire la vertu fut-elle suffisamment enseignée et pratiquée pour que le mensonge reculât ? Dans quels replis du temps l’homme occidental se réalisa-t-il, exempt de culpabilité ou émancipé d’une morale absurde pour ne regarder que la réalité de sa condition et accepter toutes ses vérités ? Nous faut-il imaginer que l’homme fut libre tant qu’il se considérait comme l’auteur, l’acteur et le spectateur de sa pensée ? Que dès qu’il accepta l’idée qu’une entité morale supérieure, évanescente, omnipotente et insaisissable pût lui être supérieure et juger ses actes, il cessa simplement d’être libre, autant que maître de son destin ? C’est la collision entre l’état hélléno-romain de l’identité profonde – fondé sur les principes de survie et d’élévation – et l’état judéo-messianique, bâti sur la croyance et l’espérance.
Je crois que nous trainons chaque jour les nombreux boulets apparus dans cet antagonisme qui a façonné l’homme européen moderne et sa victime sacrificielle, le post-moderne. La meilleure preuve de ce tragique conflit est son produit, à savoir le chrétien, riche des fruits d’un heureux syncrétisme entre deux mondes, incapable au demeurant d’en assumer l’intelligence et la finesse autant que la force et le potentiel conquérant. Comprenez que l’homme occidental, à qui les Dieux donnèrent tous les atouts pour conduire les conquêtes – et qui les réalisa, n’en assuma plus aucune dès lors qu’il ne reconnut qu’un seul Dieu, moral, autoritaire, définitif... égalitaire.
Il y eut partout des exceptions à cette analyse, qui furent autant de tentatives flamboyantes et vaines. Une image me traverse l’esprit, dont je fais un exemple : “Aguirre, ou la colère de Dieu”. Film remarquable, tourné en 1972 par Werner Herzog. Tout y est : l’absurde violence d’un ordre moral sans queue ni tête dès lors qu’il est confronté à la violence fondamentale de la nature, de l’anthropologie et de la biologie. La valse pathétique des ambitions humaines, la grossièreté des app��tits sexuels, la prévalence du sadisme sur la plus élémentaire vertu... L’homme, au fur et à mesure qu’il perd le contact avec la sphère morale formelle des sentiments appris, retrouve sans délai tous les appétits du mammifère confronté aux exigences incontournables de sa survie.
Aguirre remonte sa rivière au fur et à mesure qu’il descend le fleuve.
Sommes-nous très différents de lui, qui tentons de revenir aux racines de notre être pour en exciper d’hypothétiques vertus ? Tant parmi nous portent sur leurs pauvres épaules le poids de pêchés qu’ils reconnaissent tant bien que mal, évidentes contradictions de leurs intentions premières. (...)
J.-M. M.
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On est le 9 octobre. Je me dis que les personnes qui sont nées le 9/10 étaient pas loin de la perfection, et vivront toute leur vie avec une marge de progression.
Je passe devant un parc. J'entends "Regarde!" et je regarde. C'est un enfant au sommet d'un toboggan. Sa maman ne regarde pas, alors il répète "Regarde!". Il me voit le regarder, alors je détourne le regard, et je continue de marcher. Combien de fois je n'ai pas regardé quand mon petit m'a dit "Regarde!" ? Qu'est-ce que je donnerais aujourd'hui pour regarder !
Je passe devant un café. J'entre pour demander à remplir ma gourde. Au pire si on refuse, ça me fera quand même un petit moment de socialisation. On accepte, c'est sympa. A la table près du comptoir, deux jeunes parlent de cul sans pudeur. La femme dit qu'elle prend ses accessoires BDSM sur materiel-medical.fr pas seulement parce que c'est moins cher, mais surtout parce que ce serait "plus professionnel". Je pense qu'elle est déjà dans un jeu de domination quand elle raconte ça.
Le mec qui l'écoute a une casquette. Je devine au fait qu'il la porte à l'intérieur qu'il la porte tout le temps. Il doit avoir les cheveux gras, ou les cheveux chauves, plus probablement un peu des deux. Sa casquette était rouge. Elle est rose. Le soleil l'a altérée autant qu'il a préservé sa peau. Tissu martyr.
On me rend ma gourde. Merci. Je ressors. L'eau est très froide. La prochaine fois, j'irai la remplir moi-même aux toilettes avec de l'eau tempérée.
Il se met à pleuvoir. C'est bien. Parce que c'était prévu. Ça mouille, mais c'est rassurant.
Mais il commence quand même à faire froid. Ça n'est plus tout à fait une pluie d'été. Je me dirige vers la gare. J'ai l'impression qu'avec l'automne qui vient, je vais passer de plus en plus de temps à la gare. Ma passion pour la botanique va en prendre un coup. A la gare, un gars joue du piano. Son look ne laissait pas deviner une telle sensibilité, il joue très bien. Je crois que je passe une heure à le regarder d'un peu trop près. Il me propose de jouer avec lui. Je lui réponds que je sais pas faire. Je m'installer carrément là. Il joue ensuite à quatre mains avec une autre personne qui l'écoutait, puis il lui laisse la place. Je regarde les mains qui se baladent.
Le lendemain, j'y retourne. Le pianiste est toujours là. Il me salue. Je l'écoute. J'observe ses mains.
Le lendemain, il n'est pas là. Le surlendemain non plus (je n'ai fait que passer, il faisait beau). C'est le lundi suivant qu'il revient. Il joue, je le regarde. Il me propose de m'apprendre. Je m'installe. Et je comprends que c'est une nouvelle passion. Une simple pression de mes doigts fait résonner un son magnifique dans toute la gare. C'est quand j'enchaîne les touches que le son est moins gracieux. Mais j'apprends vite, il me dit. Il veut m'apprendre. On a rendez-vous tous les jours de pluie ou les jours de froid. J'y passe plusieurs heures, à chaque fois.
Je sais que je m'accroche facilement aux hasards. C'est comme la fois où j'ai appris le Portugais pendant 2 mois, juste parce que dans la rue, j'ai entendu parler Portugais, alors que si ça se trouve c'était du Turc.
Je me passionne pour trop de choses quand je m'ennuie en ville. Si je passe devant une plaque de cabinet d'avocats, j'envisage la fac de droit. J'aperçois un laveur de vitre, je me scotche dessus jusqu'à ce qu'il ait parfaitement terminé de passer la raclette. Et même un peu après. Je voudrais apprendre à faire comme lui, je voudrais aspirer l'expérience de sa vie.
Je le dis à mon prof de piano, que j'ai l'organe de la passion bien développé, et celui de la persévérance tout atrophié. Je lui dis que ça va se finir comme ça. Si un jour de froid, je ne suis pas là, c'est que j'ai trouvé autre chose.
Maintenant, il me laisse jouer seule quelques morceaux. Il fait la quête avec son chapeau et me donne tous les sous. Il fait discrètement pour pas qu'on se fasse virer. Je mange très peu, je joue. Je perds du poids, mais au moins je joins les deux bouts.
J'arrive au pied d'un grand immeuble vitré de 4 étages avec ascenseur apparent. La porte tambour rejette un enfant qui dit "c'était la meilleure journée de ma vie à égalité". A égalité avec quoi ? Je me pose la question en levant les yeux pour contempler le bâtiment. Si ce que j'aime, c'est vivre les vies qui ne sont pas à moi, je serai bien ici. Au moins pendant l'hiver. Je me prépare à entrer à la médiathèque municipale.
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JE NE PERD PLUS MES CHEVEUX JE RÉPÈTE, JE NE PERD PLUS MES CHEVEUX !!!!!
Alors, je n'ai aucune putain d'idée de comment c'est possible, je n'ai absolument RIEN changé, j'ai arrêté mon traitement il y a un mois parce que ça me souler de me laver les cheveux tout les jours (je perdais mes cheveux avant le traitement donc impossible que ça vienne de l'arrêt) j'ai toujours pas fait ma prise de sang, j'ai repris la pilule il y a 6mois deja (vu que les effets complet de la pilule mette 6 mois à partir du corps est-ce possible que ça mette aussi 6 mois à agir pour les effets sur mes cheveux ? O.o), je mange comme d'habitude et je suis ni plus ni moins stressée qu'il y a 1 mois donc 🤷??? Ça restera un mystère comme en 2016 quand ça m'était arrivé. Mais bon, bien contente d'arrêter les crises d'angoisse dès que je me brosse ou lave les cheveux, ça m'enlève un poids énorme ! (Et moins de xanax à consommer)
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C'est assez dur de voir son corps grossir alors que je fais tout correctement pour perdre du poids. Ok je fais pas du sport mais je fais vraiment beaucoup d'efforts. C'est pas juste. Et oui peut-être que je me plains mais c'est pas juste. C'est tellement pas juste.
Passe encore le fait que je perds pas de poids. mais là c'est pire, j'en gagne. I. me dit d'être patient, mais patient pour quoi ? Pour continuer mes efforts et prendre du poids ?
Non mais parce que je mange peu et bien et je grossis. Je me répète mais c'est tellement absurde. Et ça m'énerve mais tellement tellement fort. Putain mais c'est même pas que je stagne. C'est juste pire.
Ca me rend folle.
Je sais plus quoi faire. J'ai envie de me faire du mal et de tout jeter en l'air. Je déteste mon corps et son épaisseur tellement énorme. C'est trop la honte. Je vais devoir retourner à l'école avec un corps pareil. Je suis tellement triste.
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Non Uccidere il Pesce d'Oro
Julien Ash & Antonella Eye Porcelluzzi | Mahorka | 2024
1. Fin août, tard le soir, dans une zone balnéaire pas que jolie, qui bientôt se dépeuplera. Elle en a un grand souvenir d’autrefois, et d’autrement. Le temps transforme tout. Voilà. C'est la pleine lune. Sentiments contradictoires. Ou tout simplement l'un qui aimait plus que l'autre, ou plutôt l'une en l'occurrence. Retenir ou laisser partir, sempiternelle question. Retenir et soumettre, se rendre minable… Ou laisser partir — et mourir de tristesse sur une plage sale, couverte de cadavres de 8.6 et de 1664.
2. Heureusement, elle pouvait compter sur l’anesthésie du clubbing, l’illusion de la résilience, l’hypertrophie de l’ego, sage, autonome, conquérant… Des projecteurs dansaient au-dessus d’eux qui dansaient, tantôt fous dans la lumière, tantôt dévastés dans la pénombre. Une sensualité trouble pour dernier filet. Le contact de deux ou trois corps inconnus. Et dans l’inconscient déjà le germe du regret futur. Les lieux de fête sont des lieux de blues. C’est dans ce genre d’endroit que vomissait Gainsbourg quand il oubliait de porter son masque. Miroirs et rasoirs dans les couloirs, les toilettes… Mieux vaudrait peut-être faire couler le sang. Plutôt flinguer son flair est le choix dominant.
3. Dans l’enfance, dans son pays d’origine, les matinées étaient tendres, pétillantes, à peine perturbées par une brise ensoleillée. La vie n’était pas plus facile, mais avec le recul, on lui trouverait des côtés candides, sincères, authentiques… C’est parce que les gens de là-bas sont souvent morts à présent. Et parce que l’enfant qu’elle y était est morte également, d’une certaine façon. Elle y retournera un jour — pour y renaître encore une fois.
4. Elle fait partie de ceux qui ont un sens décalé de la chronologie. Son passé et son présent se réinventent constamment, en fonction de sa qualité de conscience ; et il n'y a jamais de travestissement. Tu vas voir. Tu vas entendre. Cela ne sera pas logique, mais cela aura le poids de l’évidence. Cela résonne depuis un lointain trauma. Scie circulaire et ouroboros. Éros et Thanatos. Yin et Yang. Cela a le ton du reproche et celui de la proposition franche. Cela prendra le temps qu’il faut. Suspension, vibration : harmoniques… Ce qui reste dans le cœur et le cerveau, bien après qu’a cessé la parole. Et voici bientôt que s’ouvre un passage. Le coulissement obscur des grandes portes métalliques — d’un paradis ? Patience encore. Ça y est, les anges trinquent, incontinents : une ola de coupes dressées, hémoglobine dyonisiaque — en l’honneur de leurs faiseuses persécutées. Puis dans un grincement de plomb et d’airain, la nuit de l’Autre se recroqueville sur eux.
5. Il existe une sonate au clair de lune, et nous voulons faire tout l’inverse, ou presque : une bourrée au soleil noir. Le moment n’est-il pas venu de faire basculer l’essence dans la structure, dans la sculpture — comme un poisson dans l’or ? Le moment de déverser l’Étoile condensée sur tous les réseaux ? Leur binaire pourrait devenir ternaire par notre seule volonté. Mais hélas, par derrière, au point limite de pénétration de l’interface, cette satanée nostalgie qui affleure… Comme un vinyle qui craque. Il nous faudrait être plusieurs. Mais comment éviter le délitement de ce qui se sépare ? Comment ne pas tuer le Poisson que l’on veut voir nager dans un métal en fusion ?
6. Révélé, un secret perd tout son pouvoir. L’important n’est pas ce qui est caché, ce qui est tu en soi, l’important n’est pas la clef du mystère, l’important est le souci de garder quelque chose, de le préserver, de le chérir — douloureusement. De la famille jusqu’à Dieu… Plutôt le silence qu’une lumière aveuglante. La blessure se chuchote, l’initiation se murmure, l’humilité se scande.
7. La faute était nécessaire, c’est elle qui a permis de sauver son monde. Au petit matin, comme un second printemps, la liberté s'est mêlée aux scintillements de la Méditerranée. Sur le port, les pêcheurs installent leur marché. Elle sourit à la puissance qui la dépasse, physiquement et intellectuellement, mais qui la propulse vers la vie, de tout son cœur rassuré. Rinçage des pavés à l’eau claire. Odeur de marée. Aux mâts inébranlables ne flottent plus que des voiles de mariée.
#auteur jordane prestrot#julien ash#antonella eye porcelluzzi#mahorka#aloïs l.#wolf city#pierre-yves lebeau#francis porte#2024#musique
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Coucou Maman,
Tu sais j'ai été beaucoup en colère contre toi dans ma vie, encore maintenant quelques fois mais c'est normal
Pourtant
Malgré tout
Je t'aime très fort
Et je sais quand tu as raison, je sais reconnaître mes erreurs
Mais
Comme tu as dit la dernière fois, c'est compliqué
C'est compliqué d'admettre qu'on s'est trompé, d'admettre qu'on est dans une situation compliquée, d'admettre qu'on a besoin d'aide
C'est vraiment très dur
Tu sais j'aimerais réussir à te parler de tout ça, réussir a t'expliquer
J'aimerais réussir à t'expliquer que je suis terrorisée de partir mais aussi de rester là
Que je suis dans la précarité financière, que je dilapide mes économies parce que j'ai pas le choix
Que je me sens prise au piège
Que si je perds du poids c'est pas parce que je me suis remise au sport mais parce que je saute des repas, parce que les placards sont vides
Que si je suis aussi fatiguée en ce moment c'est pas à cause du temps mais parce que je dors moins de 5h par nuit, parce que j'y arrive pas, parce que mon sommeil est pas réparateur, et puis aussi parce que je prends beaucoup de drogues
Enfin un peu moins récemment mais quand même
J'aimerais réussir à te regarder dans les yeux et te dire que je consomme
J'aimerais réussir à affronter ton regard, ton jugement mais aussi ton inquiétude si je te disais à quoi ressemble mon quotidien ici
J'aimerais réussir à t'expliquer à quel point je m'inquiète pour moi-même
Pour ma santé
J'aimerais réussir à t'expliquer toutes ces choses qui se passent entre lui et moi qui me rongent mais sur lesquelles j'essaye de fermer les yeux vainement
J'aimerais réussir à t'expliquer que j'en suis arrivée à un point où je sais tellement plus quoi faire que j'envisage même de vendre mon corps
J'aimerais réussir à t'expliquer tout ça
T'expliquer que je suis tellement tellement seule et isolée
Réussir à te regarder dans les yeux et te dire que tes inquiétudes étaient justifiées, que tu avais raison
Réussir à te parler de ma peur et de mon inquiétude quelques fois, quand il aborde la violence, quand il parle de l'armée, quand il a envie de se battre
Réussir à te dire que j'ai mis tous mes principes et mes valeurs de côté, que je deviens ce modèle détestable que j'ai toujours voulu éviter, que je suis devenue cette femme que je m'étais juré de ne jamais être parce que ça ne me correspond pas
Parce que je deviens cette femme-objet, cette femme qui met sa vie entière entre parenthèse pour l'autre, cette femme qui renonce à ses ambitions pour entretenir le "foyer" seule
Réussir à te dire que j'ai plus la force, que je veux juste baisser les bras et tout abandonner
Je suis fatiguée de me battre
Réussir à te dire qu'au final
Le silence
C'est tout ce qu'il me reste
Alors je m'emmure dans ce silence
Comme une prison dorée
Parce que c'est plus simple de rien dire que d'admettre tout ça
C'est plus simple de continuer d'avancer en fermant les yeux que de s'en aller
J'aimerais réussir à te dire tout ça maman
Et tellement plus encore si tu savais
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j'ai un mois devant moi, il faut que:
Je me lave les dents 3 min minimum
Je prenne que des douches froides
Je fasse des plannings repas extra sains
J'évite de manger de la merde
Je touche le moins possible mon visage
J'aille à la mer en courant
Je lise
J'aille au cinéma plus souvent
J'ai mon année
Je fasse du yoga et du gainage chaque jour
Je dorme plus
Je mange à horaires réguliers
Je boive 2L
J'arrête de maquiller mon teint
Je perde du poids/m'affine
Je conduise mieux
Je trie tous mon ordi/téléphone pour faire de la place
Rdv dans un mois la fit gurl mdr
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PROBLEMATIC SEASON 4
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults and fictional, names are used for a face and don’t represent anybody.
FR FANFIC
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Episode 3 : an eye for an eye
Chae, tétanisée, ne bouge pas. Son regard est fixé sur le corps inanimé de Heeseung, étendu à terre. Ses mains tremblent et son souffle devient saccadé.
L'angoisse la paralyse, rendant ses jambes lourdes et immobiles. Elle sent son cœur battre frénétiquement dans sa poitrine, incapable de détourner les yeux de la scène devant elle.
Tout son corps est figé, comme figé dans le temps, incapable de réagir ou de comprendre pleinement ce qui vient de se passer.
La silhouette regarde Chae et s'approche d'elle lentement. Chae peut à peine distinguer ses traits dans l'ombre, mais elle ressent une aura menaçante émanant de l'inconnu.
Chaque pas de la silhouette résonne comme un coup de tonnerre dans la tête de Chae. Paralysée par la peur, elle tente de crier, mais aucun son ne sort de sa bouche.
Ses yeux s'élargissent alors que l'inconnu se penche vers elle, leur proximité intensifiant son angoisse.
L'homme menaçant lui attrape le bras avec une poigne de fer, ses doigts s'enfonçant dans sa chair.
Chae hurle de terreur, le son déchirant l'air.
Elle se débat frénétiquement, essayant de se libérer de son emprise, mais l'homme la tient fermement. Ses yeux sont écarquillés de peur.
« Lâche-moi! » hurle-t-elle avec une détermination désespérée, ses cris résonnant dans la nuit.
Ses doigts trouvent la machette d'Heeseung, et, avec un mouvement rapide et brutal, elle la soulève et frappe violemment le bras de l'homme menaçant.
Le tranchant de la lame coupe profondément, arrachant un cri de douleur à l'agresseur.
Le sang jaillit, éclaboussant le visage de Chae alors que l'homme lâche enfin son emprise sur elle, vacillant sous l'impact.
Chae tombe au sol et commence à ramper pendant que son agresseur tente de stopper le saignement de son bras.
Chae gémit en rampant essayant désespérément de s’éloigner et se remettre debout en s’appuyant sur un rocher.
Alors qu'elle tente de ramper loin du danger, l'homme menaçant, malgré sa blessure, parvient à attraper ses pieds.
Avec une force brutale, il la retourne violemment et lui assène un coup de poing au visage.
La force du coup est telle que Chae perd connaissance instantanément, son corps devenant mou et inerte entre les mains de son agresseur.
La forêt semble s'étouffer dans un silence oppressant alors que l'écho du coup se dissipe dans l'air nocturne.
L'homme menaçant, ses traits marqués par une rage glaciale, agrippe fermement les pieds de Chae.
Il commence à traîner son corps inerte sur le sol, les feuilles et les brindilles craquant sous leur poids. Chaque pas résonne dans la nuit, créant une atmosphère sinistre.
Tandis qu'il s'enfonce de plus en plus profondément dans les bois, l'obscurité engloutit progressivement leur silhouette, rendant l'air encore plus lourd et inquiétant.
-POV PP-
« Ah tu te réveilles enfin » tu dis à Youngseo.
« Hm… les filles sont toujours pas revenues ? » te réponds Youngseo
« Non » tu réponds en hochant la tête.
Youngseo grimace soudainement de douleur, sa blessure la lance à chaque mouvement.
Elle s'appuie contre le meuble, prenant de profondes inspirations pour essayer de contrôler la douleur.
Son visage pâle est perlé de sueur, et elle serre les dents.
« Ça va ? » tu lui demandes, inquiète.
« La douleur m’a réveillée, et ça me lance là » répond Youngseo en se tenant le ventre.
« Tu peux te lever ? on va aller voir si on peut te trouver des soins dans le bâtiment » tu lui demandes.
« Hm.. je pense que je peux marcher oui » réponds Youngseo en se levant difficilement.
Tu aides Youngseo à se relever.
« On va faire 2/3 salles en attendant les filles, et des qu’elles auront remit le courant on ira voir le reste du bâtiment avec elles » tu lui dis.
« Ok pas de problème » répond Youngseo.
Youngseo et toi fouillez le bâtiment principal, vos pas résonnant dans les couloirs abandonnés.
L'odeur de poussière et de métal rouillé imprègne l'air. Vous ouvrez chaque porte avec précaution, espérant trouver des médicaments et des fournitures médicales pour traiter ses blessures.
Dans une salle qui semble avoir été un ancien laboratoire, vous découvrez des armoires renversées et des tiroirs éparpillés.
En fouillant, tu trouves enfin une trousse de premiers secours poussiéreuse, contenant des bandages, du désinfectant et quelques médicaments.
« Youngseo j’ai trouvé ! » tu t’exclames.
Youngseo se rapproche de toi, se tenant le ventre.
L'espoir renaît tandis que tu commences à soigner Youngseo, essayant de stabiliser ses blessures.
« Ah oui c’est un peu infecté » tu murmures en retirant le bandage de Youngseo.
« Fais ce qu’il faut faire » te supplie Youngseo.
« Je vais désinfecter et recoudre ça risque de te faire mal » tu lui réponds en faisant la grimace.
Youngseo attrape un morceau de tissu qu’elle met en boule dans sa bouche pour la douleur.
Tu procèdes à l’intervention alors que Youngseo hurle et transpire de douleur.
« C’est fini » tu lui dis en remettant un nouveau bandage.
Youngseo prends une grande inspiration avant de te remercier.
Le retour de la lumière éclaire brusquement la pièce, révélant chaque détail dans un éclat cru. La sirène, stridente et assourdissante, envahit l'espace, remplissant l'air de son urgence oppressante.
« Qu’est ce que c’est que ça ?! » demande Youngseo en se bouchent les oreilles.
« J’en sais rien, les filles ont du déclencher une alarme sans faire exprès » tu réponds en te bouchent les oreilles également.
Après quelques secondes, la sirène se coupe.
« Bon… elles ont réussi à remettre la lumière, déjà une chose de faite » tu dis à Youngseo.
Soudain, le bruit sourd d'une porte qui se fait défoncer résonne dans le bâtiment, faisant écho dans les couloirs vides.
La porte que vous aviez bloquée avec une palette tremble sous les coups puissants.
Vous échangez un regard paniqué avec Youngseo, réalisant que le danger est imminent. Vos cœurs battent à tout rompre alors que les coups continuent, de plus en plus insistants.
La palette commence à céder, se disloquant sous la force des impacts. Vous vous préparez, cherchant frénétiquement une issue ou un moyen de vous défendre.
Youngseo et toi vous cachez chacune derriere un meuble et vous échangez un regard paniqué.
« Qu’est ce que c’est ?? » chuchote Youngseo
« J’en sais rien » tu réponds interloquée.
« C’est les secours ? » elle te répond.
« Je pense pas que les secours défoncent un porte » tu réponds en essayant de regarder au dessus du meuble.
Cachée derrière un meuble, tu jettes un coup d'œil prudent au-dessus du bord.
Dans la lumière tamisée de la pièce, tu aperçois une silhouette masculine, grande et menaçante, tenant une arme à la main.
Ses mouvements sont lents et calculés, comme s'il cherchait quelque chose – ou quelqu'un.
Tu retiens ton souffle, essayant de ne pas faire le moindre bruit, tandis que Youngseo, face à toi, se recroqueville de douleur, essayant de ne pas laisser échapper un gémissement.
La tension est palpable, chaque seconde qui passe semble s'étirer à l'infini.
L'homme entre dans la pièce, ses pas résonnant sur le sol. Son regard foule chaque recoin, cherchant sa proie.
Tu retiens ton souffle, espérant qu'il ne remarquera pas votre présence. Son visage est dur, ses yeux scrutateurs, et tu sens une peur glaciale te parcourir l'échine alors qu'il se rapproche dangereusement de votre cachette.
Chaque bruit, chaque battement de ton cœur, semble retentir dans la pièce, alors que vous vous tenez là, impuissantes, face à cet intrus menaçant.
Alors que Youngseo et toi vous retenez de respirer pour éviter tout bruit, l’homme attrape violemment la queue de cheval de Youngseo, la tirant par dessus le meuble et la plaquant sur le bureau.
Youngseo se débat avec force, tentant désespérément de se libérer de l'emprise brutale de l'homme. Son souffle se fait court, et ses yeux s'élargissent de terreur alors qu'elle lutte pour échapper au tissu imbibé de chloroforme qui menace de l'assommer.
« LÂCHE YOUNGSEO BATARD » tu hurles en courant dans sa direction.
En courant, tu ressens une vive douleur à la nuque, l'endroit où la fléchette t'a touchée, puis un engourdissement rapide qui s'étend à travers ton corps.
Ta vision commence à se brouiller, et tes membres deviennent lourds. Malgré tes efforts pour avancer, tes jambes refusent de te soutenir, et tu tombes finalement au sol, impuissante.
Tu assistes impuissante à la scène : les mains de Youngseo agrippent le bras de l'homme, cherchant désespérément une issue, mais ses forces la quittent peu à peu, tandis que l'obscurité te submerge.
Les deux hommes portent vos corps inanimés avec une aisance déconcertante, comme s'ils étaient habitués à ce genre de situation.
Tandis qu’une femme, vêtue d'une combinaison noire, portait un gilet pare-balles qui soulignait sa silhouette. Son visage était masqué par un masque à gaz, et une visière transparente protégeait ses yeux.
Son allure était à la fois intimidante et mystérieuse, renforcée par son calme apparent dans une situation aussi chaotique.
D'un air déterminé, elle écrit rapidement un mot sur un bout de papier, qu'elle dépose près du feu improvisé.
« On est descendues au sous sol chercher des médicaments pour Youngseo ».
-POV JANG-
Le café luxueux où Jang est assise est orné de lustres scintillants et de meubles élégants. Les serveurs en uniforme blanc s'affairent avec grâce, apportant des boissons et des plats délicats aux clients.
Jang, vêtue de façon impeccable, attire les regards avec sa prestance et son assurance, mais ses yeux trahissent une certaine inquiétude alors qu'elle attend Gehlee.
Ses doigts tapotent légèrement sur la table, révélant son impatience contenue, tandis qu'elle garde un œil vigilant sur l'entrée du café.
Gehlee arrive avec une démarche décidée, ses vêtements élégants et son air confiant captent l'attention alors qu'elle se dirige vers Jang.
Gehlee se tient droite et élancée, sa silhouette gracieuse captivant le regard alors qu'elle se déplace avec assurance. Ses longs cheveux couleur pêche encadrent délicatement son visage, lui donnant une aura douce et sophistiquée.
Vêtue d'un top à fourrure violet et d'une mini-jupe en jean, elle allie élégance et modernité, mettant en valeur ses courbes féminines avec style. Son allure raffinée et son choix vestimentaire audacieux reflètent sa personnalité forte et affirmée.
Un léger sourire se dessine sur ses lèvres lorsqu'elle s'approche de la table où Jang l'attend, créant une atmosphère de complicité entre les deux femmes. Les regards échangés reflètent une profonde connexion et une confiance mutuelle, prêtes à discuter des affaires à venir.
« Ça fait longtemps Gehlee » commence Jang.
« En effet, j’ai l’impression qu’on ne se voit qu’en cas de crise » répond Gehlee en souriant et posant son petit sac à main chanel sur la table.
Gehlee fait signe à un serveur et lui demande un caramel macchiato avec du lait demi-écrémé, de la sauce mocha chocolat blanc supplément sirop de noisette.
« La même pour moi mais avec un lait de’ végétal à la place du lait demi écrémé svp » précise Jang.
Le serveur prend note et part en direction du bar.
« Que me vaut ton invitation ? ça a l’air important » demande Gehlee en remettant une mèche derrière son oreille.
« J’ai besoin d’un hélicoptère en urgence pour retrouver mes amis du crash 707 » demande Jang d’un air déterminé.
« Ma belle, je veux bien te donner un helico mais tu sais en piloter un ? » réponds Gehlee en ricanant.
« Pas vraiment.. mais je peux payer quelqu’un pour le faire » réponds Jang.
Gehlee sort une petite carte de son sac à main et écrit un numéro dessus avec un petit stylo surplombé d’un pompon rose.
« Mon frère Mark peut t’y emmener, il sait piloter les hélicoptères et il s’est proposé quand je lui ai demandé. Voici son numéro. » répond Gehlee.
« Il est adorable » répond Jang en prenant le papier et souriant.
Le serveur dépose les collations sur la table.
Jang et Gehlee le remercient gracieusement.
« C’est quand même risqué d’y aller seule, personne ne t’accompagne ? tu devrais demander des hommes de sécurité à ton père » dis Gehlee avant de prendre une gorgée de sa boisson.
« Il ne me laisserait jamais partir, si je lui dis, l’helico ne quittera pas le sol, et je sais que si on attend 72h avant d’envoyer les secours, on va juste retrouver les corps de nos amis » répond Jang l’air inquiète.
« En parlant d’eux, ça fait des lustres que j’ai pas vu Mingi… J’espère qu’il a survécu au crash » répond Gehlee en posant sa main sur celle de Jang.
« Raison de plus pour me laisser un helico, dès que je les retrouve je t’envoie un signal et tu préviens mon père » réponds Jang, déterminée.
Gehlee soupire.
« Toi quand t’as quelque chose en tête, personne ne peux te convaincre du contraire » lui répond Gehlee en levant un sourcil.
« Tu me connais si bien » réponds Jang avant de reprendre une gorgée.
« Bon… je t’envoie les coordonnes de la base d’aviation tout de suite, Mark t’attendra avec l’hélicoptère à 15h, soyez prudents et je t’en SUPPLIE ramène moi mon frère en vie » dit Gehlee en se levant avant de reprendre son sac, envoyant un baiser dans l’air en direction de Jang.
Gehlee quitte le café avec grâce, laissant derrière elle une aura mystérieuse et intrigante.
Jang s'approche de sa voiture avec assurance, ses talons résonnant légèrement sur le sol pavé. Elle porte une tenue élégante, une robe ajustée mettant en valeur sa silhouette, accompagnée d'un long trench en cuir noir.
Son visage est impassible.
Son chauffeur, en uniforme impeccable, ouvre la portière pour elle avec un sourire respectueux, prêt à l'escorter vers sa prochaine destination.
« Emmenez moi chez M. Choi » dit-elle un ton déterminé.
« Très bien mademoiselle » répond le chauffeur.
Arrivé à destination, Jang sort de la voiture.
Jang marche d'un pas assuré vers la résidence de San, sa démarche élégante et déterminée.
Son expression reste stoïque, mais une lueur d'anticipation brille dans ses yeux alors qu'elle se rapproche de son objectif.
Jang pousse les lourdes portes doubles et entre dans la pièce à vivre, où le marbre blanc éclatant contraste avec le mobilier luxueux.
D'une voix forte et autoritaire, elle crie : "San Choi!"
Son appel résonne dans la pièce, empli d'une énergie qui ne laisse aucun doute sur sa détermination à être entendue.
« Que me vaut ta visite Jang ? » demande San, torse nu, sortant de sa séance de musculation.
« Je pars cet après midi, je vais chercher nos amis » dit-elle d’un ton serein.
« C’est ridicule Jang » répond t’il en se rapprochant d’elle, les sourcils froncés.
« Soit tu viens, soit tu restes là, je venais juste te dire que personnellement, j’y allais. » continue Jang, déterminée.
« Je n’y vais pas et toi non plus » répond San, le regard noir.
Jang croise les bras avant de prendre un air hautain « Si tu crois que je vais écouter ce qu’un homme me dit de faire ».
San s'approche de Jang avec une intensité palpable, sa main se refermant fermement autour de sa gorge.
Leurs visages se retrouvent à quelques centimètres l'un de l'autre, leurs regards se défiant mutuellement dans une tension électrique.
« Tu n’iras nulle part, j’ai dit que tu n’y allais pas » lui dit San, les yeux plongés dans ceux de Jang.
Jang sourit et répond « Lâche moi immédiatement avant que je te coupe les couilles et que je les donne à manger à des ours affamés qui mangeront le reste de ton pauvre petit corps de lâche ».
San sert de plus en plus la gorge de Jang.
« Tu crois vraiment avoir le dessus sur moi ? t’as du oublier d’où je venais princesse » dit-il d’un sourire vicieux, la mettant à genoux.
Jang attrape le taser dans son sac à main et envoie une décharge dans les testicules de San.
San s’agenouille de douleur en hurlant sur Jang.
« T’es complètement tarée putain » répond San en gémissant.
Jang se relève en se recoiffant.
« Une si grande carrure pour une bite si petite » rétorque Jang en se dirigeant vers la sortie.
« JE TE JURE QUE SI TU PASSES CETTE PORTE.. » commence San encore au sol.
« On se revoit à mon retour San » répond Jang en sortant de la pièce, ses cheveux se balançant au rythme de sa démarche, suivant son bassin.
« salope » gémit San par terre.
.- 15h -
Le chauffeur conduit Jang à l'adresse indiquée par Gehlee, la déposant à l'aérodrome avec précision.
Jang descend de la voiture avec grâce, ajustant sa tenue avant de se diriger vers l'aérodrome avec détermination.
Son visage reflète une détermination sans faille, prête à affronter ce qui l'attend.
Jang est vêtue d'une tenue tactique sexy, combinant élégance et fonctionnalité.
Elle porte une combinaison moulante noire, accentuant ses courbes, avec des détails en cuir qui ajoutent une touche de sensualité. Ses bottes montantes en cuir noir lui donnent une allure audacieuse, tandis que ses gants tactiques lui confèrent un air déterminé.
Son regard est vif derrière des lunettes de soleil teintées, prête à affronter n'importe quelle situation avec assurance.
« Mark c’est ça ? » dit-elle en s’adressant a l’homme devant l’hélicoptère.
« Tu dois être Jang » réponds Mark en analysant Jang, essayant de dissimuler son sourire.
Mark est habillé dans une tenue tactique qui met en valeur ses muscles sculptés.
Sa combinaison noire moulante souligne sa silhouette athlétique, tandis que les renforts en kevlar ajoutent une touche de robustesse à son apparence. Ses bottes solides et ses genouillères renforcées complètent son look, lui donnant l'air prêt à affronter n'importe quel défi.
Avec une expression déterminée sur son visage, il émane une aura de confiance et de préparation pour toute mission qui se présente.
« Exact, et elle c’est qui ? » demande Jang.
Mark se retourne et répond « Chiquita, mon assistante de vol, elle a également déjà fait des missions de reconnaissance dans plusieurs conflits géopolitiques. »
Chiquita s’avance et répond « Enchantée Jang, tu peux m’appeler Chi ».
Chiquita est une blonde aux cheveux attachés en une longue queue de cheval, lui conférant un aspect à la fois élégant et pratique.
Elle porte un body gris moulant qui met en valeur sa silhouette, avec une jupe ouverte sur les côtés pour une touche de style et de liberté de mouvement.
Son look combine parfaitement fonctionnalité et féminité, lui permettant de se déplacer avec aisance tout en restant élégante.
« Alors comme ça, tu as déjà fait ce genre de chose Chi ? » demande Jang curieuse.
« D’habitude on m’indique le nombre de personnes à récupérer, là c’est plutôt de la recherche de survivants, mais j’aiderai comme je peux » répond Chi avant de s’attacher dans l’hélicoptère sur le siège passager.
Alors que Jang monte dans l’hélicoptère, une voiture déboule à toute vitesse.
« Attends Mark je connais cette voiture » dit Jang en souriant.
La personne se gare en trombe, lançant les clés sur le capot de la voiture avant de courir vers l'hélicoptère et de sauter à bord avec empressement.
« TU ALLAIS PARTIR SANS MOI ? » HURLE INTAK.
« Je te pensais pas assez émotionnellement stable pour cette mission » réponds Jang.
« Je la ramènerai, coûte que coûte » répond Intak avant de s’accrocher dans l’hélicoptère.
« On peut décoller ? » demande Mark.
« On y va Mark » répond Jang.
.- POV NATTY -
« T’es sûre ? » demande Ahyeon
Natty et Ahyeon se tiennent devant l'escalier, échangeant des regards hésitants, pesant le pour et le contre de descendre.
Les ombres qui dansent dans les coins sombres de l'escalier ne font rien pour les rassurer, mais elles savent qu'elles doivent avancer pour trouver des réponses.
Les deux filles s’échangent un regard déterminé et descendent dans le sous sol.
Natty et Ahyeon se retrouvent face à une porte ultra sécurisée, son design moderne contrastant avec l'aspect vieilli du reste du bâtiment.
Les panneaux de sécurité et les scanners biométriques indiquent clairement que ce qui se trouve derrière est d'une importance capitale.
« Qu’est ce que c’est que ce bordel » commence Natty en s’approchant de la porte.
« Il y’a un scanner biométrique » répond Ahyeon.
Natty pose son doigt sur le scanner.
« Accès refusé »
« Étonnant » répond Natty.
Ahyeon scrute attentivement le niveau, mais aucune autre sortie n'est visible.
La porte ultra sécurisée semble être la seule voie d'accès vers l'inconnu qui se trouve derrière.
« C’est impossible qu’elles soient passées ici, tu crois qu’elles ont pris le deuxième ascenseur ? » continue Natty.
« Non, on les aurait entendues, il doit y avoir un autre escalier » répond Ahyeon en commençant à remonter les marches.
Elle s’abaisse aussitôt en regardant Natty avec des yeux écarquillés « IL Y A QUELQU’UN ».
Les deux filles se mette de chaque côté du mur des escaliers, cachées et prêtes à frapper avec leurs armes improvisées.
Un homme vêtu d’un masque à gaz, en combinaison noire et vêtu d’un pare-balle commence à lever son arme sur Natty lorsque Ahyeon lui envoie un violent coup à la tête avec sa barre en fer.
L’homme tombe à terre, Natty ramasse son arme.
Ahyeon lui attache les mains dans le dos avec ses lacets et lui retire son masque.
Natty le vise avec son arme alors qu’il reprend connaissance.
« Vous êtes qui vous ?! » demande Natty, le viseur toujours en direction du visage de l’homme.
« Vous savez pas dans quoi vous vous êtes foutues » répond l’homme en souriant.
Natty lui envoie un coup de pied au visage.
« MAIS NATTY ARRÊTE » crie Ahyeon.
« OÙ SONT NOS AMIES ?» demande Natty.
L’homme sourit, le visage en sang.
« Tu les reverra jamais » répond t’il en riant.
Natty lui envoie un coup de crosse au visage.
« Oh mon dieu je regarde pas » dit Ahyeon en se retournant.
« OUVRE CETTE PORTE » hurle Natty sur l’homme.
L’homme crache sur Natty.
« Ahyeon bouche tes oreilles » dit Natty.
Ahyeon couvre ses oreilles avec ses mains.
Natty tire dans la tête de l’homme.
Ahyeon se retourne et couvre sa bouche.
« C’est bon, il voulait nous tuer a la base, l’oublie pas » répond Natty avant de continuer « Aide moi à le tirer vers la porte ».
Ahyeon et Natty tirent fermement le bras de l'homme jusqu'au lecteur biométrique. Plaçant son doigt sur le capteur.
Après quelques secondes de suspense, un bip retentit et la porte s'ouvre lentement, laissant entrevoir ce qui se cache derrière.
Un long couloir avec un autre lecteur biométrique au fond.
« Putain » marmonne Natty.
« On va devoir le traîner combien de temps ? » demande Ahyeon en soupirant.
« Retourne toi et regarde pas » continue Natty.
Ahyeon se retourne.
Natty coupe le doigt de l’homme.
« On y va » dit Natty, faisant passer Ahyeon devant elle, fermant la marche et la porte derrière elle.
Les filles avancent dans le couloir moderne, éclairé par des lumières blanches qui contrastent avec l'atmosphère sombre et mystérieuse du reste du bâtiment.
Les murs sont recouverts de panneaux métalliques brillants, et le sol est recouvert d'un revêtement lisse et impeccable.
Au loin, des portes blindées semblent mener à d'autres sections du sous-sol, tandis que des caméras de sécurité observent silencieusement leur progression.
Une sensation d'anticipation mêlée de nervosité s'empare des filles alors qu'elles avancent dans ce dédale futuriste.
« On nous surveille » dit Ahyeon en montrant les caméras.
Natty fait un doigt à la caméra.
« Mature de ta part » répond Ahyeon en ricanant.
Alors que les filles continuent d’avancer, Natty prend la parole « C’est impossible que les filles soient ici, mais pourquoi nous ont elles dit qu’elles étaient là ? il y a plusieurs sous sols ? »
« Selon le plan, il n’y en a qu’un, très grand, mais un seul, elles ont du passer par un autre chemin » réponds Ahyeon, observant les différentes caméra et l’architecture moderne du sous sol.
Les filles arrivent à hauteur de la seconde porte, Natty scanne le doigt de l’homme.
Les filles pénètrent dans une grande salle scientifique, intriguées par l'atmosphère high-tech qui règne en ces lieux.
Des écrans lumineux affichent des données complexes, tandis que de grandes capsules teintées alignées le long des murs attirent leur attention.
Mystérieuses et intrigantes, ces capsules semblent renfermer des secrets bien gardés.
Des ordinateurs de contrôle clignotent dans un coin de la pièce, tandis que des câbles et des tuyaux serpentent sur le sol, reliant les différents équipements entre eux.
Une ambiance à la fois fascinante et inquiétante règne dans cette pièce, où le mystère et la science se côtoient dans un équilibre précaire.
« C’est genre… un laboratoire secret ? » dit Ahyeon, regardant les écrans.
« J’en sais rien… » répond Natty en scrutant la pièce.
Ahyeon s'approche avec précaution d’un document posé sur l'un des bureaux de la pièce.
Ses yeux parcourent rapidement les lignes de texte, tandis que son visage se fige sous l'effet de la découverte.
Le document révèle des informations troublantes sur des expériences de modification génétique clandestines effectuées sur des êtres humains. Les détails choquants révèlent une utilisation irresponsable et éthiquement contestable de la technologie génétique.
Ahyeon se sent troublée alors qu'elle réalise l'ampleur de ce qu'elle vient de découvrir.
« Mon dieu… ils font des expériences sur des humains » dit Ahyeon d’une voix tremblante.
« On doit se casser d’ici » répond Natty en se dirigeant vers la porte.
Les filles se figent, prises au piège dans la pièce alors que les portes se verrouillent brusquement derrière elles.
L'alarme stridente remplit l'espace, amplifiant le sentiment d'urgence et d'urgence.
Ahyeon et Natty échangent un regard empreint d'inquiétude, comprenant qu'elles doivent agir rapidement pour trouver une issue à cette situation critique.
.- POV CHAE -
« Hm… »
Chae sent une douleur lancinante dans sa tête alors qu'elle lutte pour retrouver ses esprits.
Ses paupières s'ouvrent lentement, révélant un environnement flou et confus. Elle cligne des yeux plusieurs fois pour chasser la brume qui obscurcit sa vision, prenant peu à peu conscience de sa situation.
Chae réalise avec horreur qu'elle est suspendue dans le vide, retenue par les pieds.
Ses membres sont engourdis par la tension, et chaque mouvement qu'elle fait dans sa lutte pour se libérer semble plus difficile que le précédent.
Ses mains cherchent désespérément quelque chose à quoi se raccrocher, mais il n'y a rien à portée pour l'aider.
« respire chae ça va aller » murmure t’elle en se balançant, essayant d’atteindre le briquet posé un peu plus loin.
Elle tend la main aussi loin qu'elle le peut, chaque centimètre gagné dans son mouvement de balancement est une victoire.
Avec une concentration extrême, elle parvient enfin à saisir le briquet.
Elle approche le briquet de la corde maintenant ses chevilles.
Une lueur d'espoir naît dans son cœur alors qu'elle prend une profonde inspiration et allume le briquet.
Son corps s'écrase par terre, mais elle parvient à garder le briquet dans sa main.
« putain » dit-elle en se tenant la pommette.
Son altercation avec l’homme inconnu lui a valu une ouverture de la pommette.
« Fais chier » dit-elle en s’essuyant le visage.
Chae se relève avec précaution, sentant une légère douleur dans tout son corps. Une fois debout, elle scrute la pièce autour d'elle, cherchant des indices sur l'endroit où elle se trouve et sur ce qui vient de se passer.
Puis soudainement, se souviens de ce qu’il s’est passé et se met à chercher Heeseung.
Chae avance avec prudence dans les locaux modernes, examinant chaque détail de la pièce à la recherche d'indices sur sa situation.
Les équipements scientifiques et les écrans affichant des données complexes ajoutent à l'atmosphère mystérieuse de l'endroit.
« On nous a ramené à Los Angeles ? » de demande Chae en avançant dans les couloirs.
Chae se presse de se cacher dans un recoin sombre du couloir, son cœur battant la chamade alors qu'elle entend les pas des étrangers s'approcher.
Elle retient son souffle, espérant qu'ils ne la repéreront pas.
Une fois passés, elle prend le chemin inverse des hommes et rentre dans la piece d’où les étrangers venaient.
Chae retient un cri en découvrant Heeseung, accroché par les mains à un tuyau, à genoux dans la pièce.
Son cœur se serre en le voyant dans cette position vulnérable.
Chae s’empresse d’aller auprès d’Heeseung.
« Heeseung réveille toi je t’en prie » dit-elle en touchant son visage et en le secouant.
« Hm… Chae ? » répond Heeseung, la tête encore baissée.
« Oui, oui c’est moi, je vais te sortir de là » répond t’elle en essayant maladroitement de retirer les cordes liant les mains d’Heeseung.
« Oui, la fille a disparu »
Chae entend du bruit venir de derrière elle, le cœur battant la chamade, Chae se cache derrière un meuble en entendant le bruit de rapprocher.
Son souffle est court, elle retient son souffle, espérant ne pas être découverte.
Chae tente de contrôler sa respiration, luttant contre la panique qui menace de l'envahir.
Elle reste immobile, plaquée contre le mur, essayant de se fondre dans l'ombre du meuble.
Chaque son lui semble amplifié, chaque battement de son cœur résonne dans ses oreilles alors qu'elle guette chaque mot échangé entre l'homme et Heeseung.
« Tu sais où la blondasse est partie ? » demande l’homme à Heeseung.
« Même si je le savais je te dirais rien » réponds Heeseung en souriant.
L’homme assène des coups de poings dans le ventre d’Heeseung.
« Le chef voulait te garder pour ta résistance, mais je suis sûr que ta peau se découpe super bien » répond t’il en riant et sortant un couteau suisse de sa poche.
Il continue « Dernière chance pour me dire où se cache boucles d’or » en plaçant la lame de son couteau sur l’épaule d’Heeseung.
Heeseung lui fait signe de se rapprocher.
L’homme se rapproche.
Heeseung lui crache au visage et sourit.
L’homme attrape brutalement l’épaule d’Heeseung et commence à enfoncer sa lame de couteau.
Chae serre les poings pour contenir sa propre angoisse, elle se mord la lèvre pour retenir ses propres cris alors qu'elle entend les cris de douleur d'Heeseung.
Chaque cri résonne dans la pièce, faisant écho à l'horreur qui s'empare d'elle. Son esprit tourne à plein régime, cherchant désespérément un moyen de sauver son ami sans se trahir.
« Je vais maintenant passer à ton joli petit visage » continue l’homme.
Son sang ne fait qu’un tour, Chae attrape la barre en fer devant elle et court en direction de l’homme menaçant avant de lui envoyer un coup brutal derrière la tête.
Le coup de Chae est précis et puissant.
L'homme est pris par surprise alors que la barre de fer frappe sa tête avec force. Il vacille, lâchant un cri de douleur alors qu'il s'effondre au sol, son couteau échappant de sa main.
Chae, submergée par la rage et la peur, continue de frapper le crâne de l'homme avec férocité, les larmes mêlées à sa colère.
Chaque coup est chargé de toute l'angoisse et de toute la terreur qu'elle a ressentie. Ses mouvements sont désordonnés mais impitoyables, réduisant le crâne de l’homme en bouillie.
Le sang giclant sur elle ne l’arrête pas, le visage et les cheveux blonds de chae sont recouverts du sang de l’homme.
« Chae… je pense que c’est bon» dit doucement Heeseung.
Chae s’arrête de frapper, lâche la barre en fer et respire rapidement, son cœur battant la chamade alors qu'elle réalise ce qu'elle vient de faire.
« Oh mon dieu qu’est ce que j’ai fait… » dit Chae, réalisant l’acte de barbarie qu’elle venait d’effectuer.
« Tu m’as sauvé, détache moi qu’on s’en aille maintenant » répond Heeseung.
Chae ramasse le couteau suisse ensanglanté en tremblant et détache Heeseung.
Heeseung prend Chae dans ses bras en lui murmurant « merci ».
Chae sourit en posant sa tête sur l’épaule d’Heeseung.
« Confinement actif, fermeture des portes », résonne l'annonce dans le laboratoire, ajoutant à la tension déjà palpable dans la pièce.
Les mots sont nets et glaçants, renforçant le sentiment d'urgence et d'isolement des personnes piégées à l'intérieur.
« On doit vite sortir d’ici » dit Heeseung en donnant le couteau à Chae alors qu’il ramasse l’arme à feu sur le cadavre de l’homme.
Chae et Heeseung courent à travers les couloirs, cherchant désespérément une issue alors que les portes se ferment derrière eux.
Chaque pas résonne dans le silence oppressant du laboratoire, leur cœur battant la chamade alors qu'ils cherchent une échappatoire.
« Mets toi derrière moi » crie Heeseung.
Heeseung tire avec précision sur les ennemis qui surgissent devant eux, tandis que Chae se positionne derrière lui pour se protéger.
Leurs mouvements sont rapides et coordonnés alors qu'ils tentent de se frayer un chemin à travers les dangers du laboratoire.
Alors qu'ils traversent les couloirs à toute allure, Heeseung vise un ennemi qui le vise également en retour, mais ne tire pas.
« HEESEUNG ?! »
« Mi..Mingi.. ?! »
FIN DE L’EPISODE 3
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La mort
Je vis avec l'idée de la mort tout le temps. C'est quelque chose qui est arrivé sans véritable raison, probablement avec l'âge qui avance et les années de vie qui diminuent. Oui, je sais, c'est comme ça depuis le jour de notre naissance. Mais j'ai 56 ans, mes parents ont 76 et 79 ans. Mes beaux-parents sont déjà partis durant les 6 dernières années mais ils étaient plus âgés que mes parents.
Ma mort m'angoisse certes, mais elle ne m'effraie pas. En fait, j'ai peur de la souffrance que mes enfants vont ressentir, surtout ma fille, qui est vraiment très proche de moi. J'ai peur du vide que je vais laisser dans sa vie, peur qu'elle sombre dans la dépression à "cause" de moi. Comme je suis obèse, je sais que mon espérance de vie est réduite, enfin c'est ce que me répète les docteurs. Mais il faudrait que je perde la moitié de mon poids pour que cela ait un réel impacte sur ma sante et c'est impossible ! Surtout que je refuse de vivre sans avoir le plaisir de manger ce que j'ai envie. Je ne parle pas de me goinfrer, je parle de manger ! Eliminer ceci, me priver de cela, ce n'est pas vivre pour moi. Car en fait, je peux aussi mourir de bien d'autre chose que du fait d'être en surpoids !
Et puis ce qui m'angoisse le plus, c'est de perdre mes parents. L'absence sera gérable après une période de deuil, du moins je pense, car depuis près de 30 ans, je vis à 1200 km de chez eux et je les vois seulement quelques jours par an. Mais la distance fait que lorsqu'ils auront besoin de moi, s'ils ne sont plus autonomes, ce sera une organisation de dingue de m'en occuper. Il faudra probablement que j'aille m'installer chez eux. Mes parents étant divorcés, le problème sera double. Et comme ils sont en couple avec des personnes que je connais depuis plus de 20 ans, qui n'ont pas vraiment de famille proche qui pourrait s'en occuper, cela reposera également sur mes épaules. Ma mère et moi nous sommes en froid avec ma sœur depuis des années. Le mari de ma mère ne parle plus à sa fille, qui de toute façon vit aux USA. La femme de mon père est fâchée avec son fils et il n'y a que sa petite fille qui serait susceptible de s'en occuper. Mon père a encore ma sœur mais je sais qu'il n'a pas envie d'aller vivre chez elle, perdu dans un minuscule village loin de tout. A cela ajoutons l'héritage que ma mère va nous laisser et qui s'annonce compliqué au vu de la situation avec ma sœur. Je sais que maman a prit bon nombre de disposition en ce sens mais je suis certaine qu'il y aura quand même des difficultés.
Mais revenons à moi. J'espère vivre encore 20 ans. J'aimerai assister au 20em anniversaire de mon petit fils et lui laisser des tas de bons souvenirs. Mon plus jeune fils aura alors 37 ans. C'est jeune pour perdre sa maman mais il sait depuis toujours que l'ayant eut tard, il ne profitera pas de moi autant que ses frères et sa sœur. Personne ne connait l'avenir et on ne peut pas non plus anticiper les reactions des uns et des autres. Malheureusement, j'ai toujours fait parti de ceux qui anticipe des problèmes qui la plupart du temps, n'arrivent jamais. Sauf que là, forcément, je sais que la mort va frapper, c'est inéluctable. J'espère juste que tout ce passera en douceur pour tout le monde. Le départ, comme l'après, pour ceux qui reste.
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Il est vrai que Marinette perd souvent dans les finaux de chaque saison. Mais elle gagne aussi de choses importantes dans la saison 1, elle a pu avoir une meilleure amie, s'affirmant davantage n'ayant plus peur de faire face au harcèlement de Chloé. Dans la saison 2, elle gagne une équipe sur lequel elle peut s'épauler et bien qu'elle a eu une opportunité manqué comme l'idée d'aller à New York pour sa carrière de styliste, elle reste quand même une personne accomplie. Dans la saison 3, elle a perdu Maître Fu se retrouvant dans une position de gardienne tout est nouveau pour elle mais elle n'est pas seule désormais car elle a un entourage.
La saison 4 est là où les choses se corsent pour elle, sentant le poids et ses responsabilités de son rôle en tant que gardienne mais aussi a du mal à garder le contact avec son partenaire. Elle a tout de même gagner une confidente lui permettant de souffler un peu et de pouvoir mieux comprendre et maîtriser ses pouvoirs. Et elle a comprit ce que signifiait être un héros et un gardien, c'est pas seulement tout garder tout sous contrôle ou bien avoir un plan en toute circonstance ! C'est de comprendre que Ladybug et Chat Noir ont donné l'espoir au peuple de Paris malgré la terreur du Papillon. Leur permettant de la soutenir quand elle va mal ! Dans la saison 5, elle finit par confesser son amour pour Adrien et être avec lui et réparer sa relation avec Chat Noir. Elle grandit tout comme les autres et continue d'aider les autres même ceux qui le méritent pas ! Et maintenant elle est là avec Adrien désormais et son entourage, la mort de Gabriel est certes encore présente dans sa mémoire ! Mais elle arrivera à se relever car elle n'est plus seule désormais !
Oui Marinette a perdu pas mal de choses mais a aussi gagné tout autant. Je trouve ça dommage qu'on ne retient que ses échecs alors qu'il y a bien plus que ça
It's true that Marinette often loses in each season's finale. But she also gains important things in season 1: she was able to have a best friend, asserting herself more and no longer being afraid to face Chloe's harassment. In season 2, she gained a team she could lean on, and although she had a missed opportunity like the idea of going to New York for her fashion career, she was still an accomplished person. In season 3, she has lost Master Fu, finding herself in the position of janitor - everything is new for her, but she's not alone now as she has an entourage.
Season 4 is where things get tough for her, as she feels the weight and responsibility of her role as Guardian, but also struggles to keep in touch with her partner. All the same, she has gained a trusted confidante, allowing her to breathe a little and gain a better understanding and mastery of her powers. And she's learned what it means to be a hero and a Guardian - it's not just about keeping everything under control or having a plan for everything! It's understanding that Ladybug and Chat Noir have given hope to the people of Paris despite the terror of the Papillon. Allowing them to support her when she's down! In season 5, she finally confesses her love for Adrien, being with him and repairing her relationship with Chat Noir. She grows up just like everyone else and continues to help others, even those who don't deserve it! And now she's here with Adrien and his entourage, although Gabriel's death is still fresh in her mind! But she'll get back on her feet, because she's not alone anymore!
Yes, Marinette has lost a lot, but she's also gained just as much. I think it's a shame that we only focus on her failures, when there's so much more to it than that!
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Contexte, enfin.
Connaissez-vous la terrible histoire du procès de Salem ? Celle des flammes qui s'élèvent haut dans le ciel, au beau milieu de la nuit, à chatouiller les étoiles qui veillent sur toutes ces femmes qui s'embrasent en contre-bas. Celle qui devient légende, se confond avec la réalité, quand les hurlements des sorcières, maudissant leurs bourreaux, disparaissent dans le néant. L'écho du vent pour faire s'envoler leurs cendres sur le monde au petit matin, éparpillées çà et là jusqu'à ne plus être que souvenir. Un bien triste souvenir, emprunt de colère et de douleur. Mais ce qui se passe à un bout du monde, peut se reproduire ailleurs.
Burtondale, Écosse, 1694. Celle que l'on surnomme aujourd'hui Petit Salem, s'est éveillée ce matin-là différente. La veille, cinq femmes ont péri dans les flammes, condamnées pour sorcellerie. Les livres d'histoires n'en parlent pas, ils taisent la vérité pour aller de l'avant, comme si cela suffisait à noyer le péché. Légendes et réalité se confondent encore et la vérité tombe dans l'oubli. Pourtant, il n'y a pas la moindre magie dans l'air. Les sorcières n'existent pas, ce ne sont là que des fabulations de la part des trouillards. Ces femmes possédaient un don, une sensibilité particulière pour les lier à l'au-delà, voir ce que les autres ne peuvent pas voir, ni comprendre. La bêtise de l'écrasante majorité pour causer la perte d'une minorité incomprise. Ils vont le payer.
Burtondale, Écosse, 2024. On l'a dit aujourd'hui maudite, Burtondale. Celle trop grise, trop brumeuse, sans éclat, qui repousse et perd de sa superbe. Les on-dit clament que les grandes villes attirent les plus curieux, pleines de promesses pour un meilleur avenir et une vie de famille solide. Mais n'y a-t-il pas autre chose pour faire fuir la population ? Les rumeurs sont là, elles grandissent, envahissent le village qui plie sous le poids des histoires. Celles des esprits qui hanteraient Burtondale depuis le procès des cinq sorcières. Partout, on raconte que les malheureuses ont condamné le village à ne plus être en paix dans la mort. Comme si un portail vers l'au-delà c'était ouvert, sans que rien, ni personne ne puissent le refermer. Les Unes des journaux locaux se tâchent de faits divers inquiétants, des disparitions d'enfants, des commerces qui mettent mystérieusement la clé sous la porte, la propagation de la folie dans certains foyers. Burtondale s'essouffle, enveloppée d'une aura de mauvais augure. Vous avez peut-être oublié ce lourd passé. Elles n'ont pas oublié et n'oublieront jamais.
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Que l’on m’y retrouve,
Qu’enfin je m’embrasse.
A chaque coins de rue,
A chaque lumières mourantes,
Je te cherche.
Toi.
Toi, qui je le crois fut un temps, Moi.
Où es-tu maintenant ?
T’ais je trahis ?
Je le crois bien.
Je crois trop,
Toi, tu vivais et maudissait croyances et espoirs
Alors qu'aujourd'hui, je me perd à l’agonie des peut-être
Tout ces “Si” qui peignent ma vie,
Je crois bien qu’ils essayent de te recouvrir, de t'effacer, tout ces si.
Mais je n’ai plus de signes.
Plus de Toi,
Plus de Moi.
Comme je tuerai pour te ressentir enfin, Toi, pour être enfin Moi.
J'espère encore, te percuter, que tu me prennes de nouveaux la main, m’arrache le bras et redevienne Moi.
La est sûrement le vide du problème, je t'espère, alors que toi, me semble t-il, tu t’étais libérée du poids de l’espoir.
Retrouve moi, je t’en supplie. Habite moi, je t’en supplie.
De nouveau, vivre, je crois que je ne n’ai jamais autant été que lorsque tu tirais les reines de mon sourire, aussi faux soit-il, nous le savons.
Toi, moins Moi, et enfin peut-être, nous serons. Nous saurons aussi, qui sait.
Samedi 22 Juillet 2023
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Je ne serais jamais ton ange... Mon image s'efface tout comme ton sourire... On ne me pleurera pas... Mais je n'en souffre pas... J'attends le point de rupture, la paix éternelle tant espérée... Je n'ai pas de regrets, j'ai tenu jusqu'à en user mon corps... Tu vois aujourd'hui, mon coeur pèse plus lourd que le plomb... Ma peau perd sa blancheur... Comme mon innocence volée bien trop tôt... Ce fardeau m' épuise... Seule, je l'ai toujours été... Je ne m'y suis jamais habituée... J'ai couru après l'amitié et l'amour... Croyant en être digne... A ce jour, mon désespoir occupe toutes les places... Je ne pleure plus par tristesse... Seulement parce que le poids m' étouffe... Laisse moi m'envoler une dernière fois... Anesthésier mon esprit avec ma folie... Accepte la réalité même si elle te paraît injuste et absurde... Je rêvais juste d'un lieu où être différent était possible... Où m'épanouir sans jugements ou contraintes...
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Règles d'ana
Je vous partage les règles que je m’efforce de suivre tous les jours, non pas pour que vous les suiviez,mais simplement pour me motiver, si d'autres personnes sont au courant je me dis que j'aurais plus envie de les respecter.
Boire un verre d’eau toutes les heures : coupe faim.
Si tu as une note inférieure à 16, interdiction de manger jusqu’à la prochaine note supérieure ou égale à 16.
Bois trois tasses de thé vert par jour, ça booste le métabolisme.
Ne prends pas de laxatifs, ça ne t’aidera pas à perdre
Suce des glaçons quand tu as faim.
Les soirées ne sont autorisées que si tu perds un kilo entre chaque : si deux kilos sont perdus avant l’une tu peux en enchaîner.
Interdiction de manger 3 jours avant chaque soirée : le but c’est d’être potable.
Mâche au moins 30 fois chaque bouchée avant d’avaler.
Quand tu vas à Paris, l’argent que t’as envie de dépenser en nourriture pourra te servir à t’acheter des livres ou des vêtements.
Bois de l’eau glacée, ton corps devra brûler plus pour la rendre digérable.
1min de gainage pas jour, 50 squattes et des 10min d’étirements matin et soir !
1 bouchée de nourriture équivaut pour toi à 2 gorgées d’eau.
Dis que tu es végétarienne et échappe aux fast food.
Regarde tes thinspirations
Bois une boisson énergisante quand tu as faim (0 kcal)
Fais ton assiette, monte-la et jette-la ! tu seras tellement satisfaite, ta famille pensera que tu as mangé et tu auras la sensation d’être rassasiée parce que tu seras fière.
Si tu as vraiment faim bois de l’eau chaude
A l’internat, 3 galettes de maïs sont autorisés si devoirs terminés et que la règle des 16 ne s’applique pas.
Regarde un film pour te changer les idées, le temps passera plus vite
Tant que tu ne fais pas le poids que tu veux, tu n’apparais plus sur aucune photo et aucune vidéo. Les gens seront surpris de voir l’avant / après.
Tu n’es pas anorexique, tu es boulimique, ce qui signifie que tu ne mérite pas d’aide, que tu es grosse, que tu n’as pas une maladie dangereuse et surtout que tu n’es pas suffisamment malade. Quand tu auras un diagnostique d’anorexie REEL par un médecin, et que ta mère l’aura admis, alors les règles pourront être revues. Tu es grosse, laide, sans-intérêt : éduque toi, perds du poids et peut être que tu mériteras d’être heureuse.
Ton collier représente une libellule et tu as un bracelet rouge au poignet droit, le symbole des pro-ana, regarde les quand tu as faim et rappelle toi à quel point tu ne vaut rien.
Atteindre le corps parfait, atteindre les notes parfaites, s’approcher de la perfection quoiqu’il arrive. Etre exceptionnelle et rien de moins.
J'ai cette note toujours sur moi et je la relis quand j'ai faim ou que j'ai "envie" de manger (parce que JE considère que temps que je ne me tords pas de douleur c'est je n'ai pas faim haha)
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