#parentalité consciente
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origami-mama · 20 days ago
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Établir vos Propres Traditions Familiales : un Noël qui vous Ressemble
🎄✨ Fatiguée par un Noël qui ne vous ressemble pas ? Et si cette année, vous créiez VOS traditions ? Découvrez des astuces pour un Noël authentique, joyeux et apaisant 🌟🎁. Prête à réinventer la magie ? ➡️ Lisez vite l'article ! 👇 #NoëlUnique
Entre traditions familiales et injonctions extérieures, Noël peut vite tourner au cauchemar. Vous sentez-vous dépassée par les attentes liées à Noël ? Entre les repas interminables, les cadeaux à outrance et les traditions familiales imposées, il est facile de perdre le sens de cette fête. Pourtant, Noël peut devenir une période joyeuse et sereine si vous choisissez de créer des traditions qui…
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drclaudiosaracinodcsworld · 10 months ago
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FERTILITÉ ET HYPNOSE ? Hypnose DCS unique au monde
🌿💫 Si vous recherchez une approche naturelle et complémentaire pour relever les défis liés à la fertilité, l'hypnose réelle et professionnelle pourrait être une ressource précieuse sur votre chemin vers la grossesse.
La recherche scientifique suggère que l’hypnose peut aider à réduire le stress, à améliorer le bien-être émotionnel et à favoriser la fertilité de manière douce et efficace. 🌸✨
Voici les déclarations officielles de 3 personnalités célèbres qui ont publiquement partagé les bienfaits de l’hypnose pour améliorer la fertilité :
1️⃣ Beyoncé : "L'hypnose a été une partie importante de mon parcours vers la maternité. Elle m'a aidée à me détendre, à réduire le stress et à créer un espace intérieur propice à la conception."
2️⃣ Chrissy Teigen : "L'hypnose a été une ressource précieuse dans mon parcours de fertilité. Elle m'a permis de me connecter avec mon énergie vitale et de relever les défis de manière plus équilibrée et positive."
3️⃣ Hugh Jackman : "L'hypnose a eu un impact significatif sur ma fertilité. Elle m'a aidée à maintenir un état d'esprit optimiste et à soutenir ma santé mentale tout au long de mon parcours vers la parentalité."
Si vous recherchez également un accompagnement intégratif pour améliorer la fertilité et réaliser votre rêve de devenir parent, considérez l’hypnose comme une ressource possible.
Consultez un hypnothérapeute expert et commencez votre voyage vers une conception plus harmonieuse et consciente. 🌟🤰
Si vous n'avez pas envie de vous promener dans les chapelles, téléchargez cet audio DCS unique au monde :
VOUS POUVEZ AVOIR UN ENFANT
https://claudiosaracino.com/prodotti/tu-puoi-avere-un-figlio-metodo-dcs/
#hypnose #fertilité #bien-être #santé #célébrités #concevoir #conception #stérilité #maman #fils #parent #couple #hypnosidcs #methodcs #drclaudiosaracino
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noeg2013-blog · 1 year ago
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PARENTALITÉ CONSCIENTE :10 ERREURS DE PARENTS A ÉVITER. (BEST OF 1)
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dahliamichno · 4 years ago
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Défi écriture 1/7: Childfree
Je décide de faire une semaine d’écriture. Chaque jour, je dois écrire au moins une page sur des sujets différents. Premier jour, aujourd’hui je vais vous parler de mon non-désir de faire des enfants.
Le choix de faire ou non des enfants est très récent. Avant la contraception, il n’y avait pas de choix. On ne discutait pas de vouloir ou pas des enfants, on avait des enfants un point c’est tout. Aujourd’hui différents mouvements de « childfree » (litt « sans enfant ») se distinguent, les no kids qui ne veulent pas d’enfants pour diverses raisons, les childfrees pro-choix (issu du mouvement féministe pro-choix) qui n’ont rien contre le fait que les autres aient des enfants tant que ça ne les concerne pas, les GINKS (litt « Green Inclination No Kids ») qui renoncent à la parentalité pour des raisons écologiques et les dénatalistes et anti-natalistes, et notamment le VHEMT (Voluntary Human Extinction Movement) fondé en 1991 par Les U. Knight, prônent une diminution ou une extinction volontaire de l'humain par la non-procréation, essentiellement pour des raisons écologiques.[1] Je me situe dans la branche des childfrees pro-choix. Faites des enfants si vous voulez, mais pas avec moi. Je pense que je réfléchis à me faire ligaturer (ou du moins juste au concept de la stérilisation) depuis que j’ai 12-13 ans, un jour où une amie a dit « moi je ne veux pas d’enfants » dans la cour. C’était la première fois que je voyais ce point de vue. Pas d’enfants ? Oui pourquoi pas. Je vais d’ailleurs vous avouer que, même si ce choix prend de plus en plus de place dans ma tête, mes réflexions, mes centres d’intérêts, ce que j’imagine pour mon futur etc, il n’est pas toujours constant. Autour de ma période de règles je vais avoir comme un pic d’hormones qui me fait penser que si j’avais un enfant tout de suite, ou dans le futur, je saurai gérer. Et puis ça redescend et je reviens à ma réalité. Je n’en veux pas, je ne m’en sens pas capable physiquement et surtout émotionnellement. Mais faisons un tour ensemble des raisons pour lesquelles je fais ce choix.
1. (TW : misandrie) Je n’arrive pas à imaginer avoir un enfant avec un homme. Je ne conçois pas l’idée de parentalité. Quand je pense ou parle de ce sujet-là le seul mot que je vais employer est le mot « maternité ». Les hommes ne savent pas prendre leur place de deuxième parent. Bien sûr que j’ai rencontré et que je connais des supers papas, mais j’ai l’impression que c’est comme tirer le bon ticket à la loterie, et le reste ne savent pas y faire. Je le vois dans ma famille, ou dans la famille de mes ami.e.s les plus proches. Ce sont les mères, les tantes, les grands-mères qui sont là pour gérer la famille que ce soient les enfants, les courses, la cuisine, la maison, les rendez-vous chez le médecin, la vie sociale, jusqu’à parfois gérer aussi leur conjoint (leur rendez-vous chez le médecin, leur vie sociale etc). Elles le font d’ailleurs, aujourd’hui, au détriment de leur carrière, la carrière du père passera toujours avant celle de la mère, ne serait-ce juste à cause du congé paternité qui n’est toujours pas à la hauteur de ce qu’il devrait être.[2] Un constat assez alarmant de la part de la journaliste Clémentine Sarlat[3], qui est maman et féministe, et qui a l’impression de s’être « faite avoir » dans son espoir d’une parité dans son couple. Sa carrière est passée après celle de son conjoint, et malgré ses positions féministes, sa déconstruction du patriarcat, ses réflexions sur la famille, et les discussions sur l’égalité des tâches dans son couple, elle s’est rendu compte qu’elle est la femme à la maison qui s’occupe plus des enfants que son conjoint. Elle n’est pas un cas isolé, Illana Weizman[4], sociologue, essayiste, journaliste et militante féministe avait fait le même constat pour elle il y a quelques mois, et après leur témoignage des centaines de femmes se sont livrées à elles pour faire le même constat. Cependant, même s’ils souhaitent être inclus, les produits pour bébés, le corps médical, et de manière générale tout ce qui touche de près à l’arrivée du bébé, est dirigé vers la mère. Et je ne parle pas ici de la grossesse, je parle des livres, manuels, instructions sur les packagings d’objets relatifs aux bébés, de la vie qui peut être partagée en deux entre les deux parents qui omettent toujours le père et qui s’adressent constamment à la mère.
L’égalité n’est pas là, car la société ne veut pas, car les choses avancent lentement, je ne veux pas avoir à mettre ma carrière entre parenthèse pour que celle de mon conjoint puisse s’envoler, je ne veux pas avoir un enfant seule.
2. Les violence obstétricales et gynécologiques lors de l’accouchement et après. Elles existent, elles n’arrivent pas tout le temps, mais j’ai lu trop de témoignages pour en avoir vraiment peur maintenant.
3. Le post-partum. No way. Je ne veux pas. Encore une fois basée sur des témoignages et photos, car la parole se libère de plus en plus par rapport à cette période très intense dans la vie d’une mère, et ça ne m’attire pas plus que ça. Franchement je suis bien et je pense que je vais assez bien vivre sans ça dans ma vie. Merci, merci, toutes les femmes qui partagent leur expérience sur le post-partum. Vous me confortez chaque jour dans mon choix. Merci sincèrement de m’avoir aidé à me débarrasser de l’image d’une maternité sexy, sans encombre et parfaite. [5]
4. J’ai besoin de solitude. J’ai beaucoup de mal à être constamment avec des gens. J’ai besoin d’être seule, besoin de me retrouver, besoin de vivre pour moi. Et ce n’est pas (que) de l’égoïsme, c’est réellement un besoin psychologique. Je me sens mal quand je n’ai pas assez d’espace. Un enfant me ferait exploser. La fatigue (que je gère extrêmement mal) qui découle de la maternité me rendrait facilement en colère et désagréable. Je ne veux pas avoir un enfant et ne pas le supporter (ce qui équivaudrait à le regretter, à regretter ma vie d’avant), et j’ai très peur de moi dans ces moments-là. Je ne veux pas arriver à un moment où je pourrais lui faire du mal, par des mots ou par n’importe quel geste. Je suis bien consciente qu’aucun parent n’est parfait, que parfois les parents se mettent aussi en colère, qu’ils ne gèrent pas mieux leur fatigue que moi, mais j’ai trop peur. Je sais comment je suis quand on me prive de mon espace, soit je suis irritable et mauvaise, soit je m’enferme pour ne plus avoir à supporter la présence d’autres personnes. Sachant ça, je sais que je ne supporterai pas être mère.
5. Je n’en ressens pas le besoin. Je ne vois pas d’intérêt à faire un enfant. À quoi bon ? Je vais perdre de l’argent, du temps, de l’énergie même à des moments où je n’ai envie de donner aucun des trois à qui que ce soit.
Comparé à l’ensemble des childfrees dont j’ai pu lire le témoignage, l’impact écologique ne me touche pas plus que ça dans ce choix-là. Il impacte ma vie, je fais de mon mieux à ce niveau-là, mais il n’impacte pas mon choix de ne pas avoir d’enfants.
Merci de m’avoir lu. J’espère que je vais tenir le rythme et écrire encore demain. N’hésitez-pas à me faire vos retours et à me proposer des sujets sur lesquels je pourrais écrire. Surtout, portez-vous bien <3
[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Sans_enfant_par_choix#Branches
[2] J’ai même l’impression que c’est nous, dans nos luttes féministes, qui revendiquons ce droit au lieu que ce soit une lutte des hommes pour leur droit à avoir une vraie place dans le foyer. Comme si, en fait, ils ne voulaient pas vraiment ce droit, qu’en fait, c’est nous qui le demandons.
[3] Instagram @lamatrescence, et son podcast du même nom à écouter sur Spotify « La Matrescence »
[4] Instagram @illanaweizman, et son essai « Ceci est notre post-partum » disponible ici
[5] À lire à ce sujet l’essai d’Illana Weizman « Ceci est notre post partum » disponible ici
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danaeecantat · 4 years ago
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La pub à l’ère du féminisme 2.0
L’industrie publicitaire sexiste 
     Le ministère de l’égalité femmes-hommes met à disposition à partir du 8 mars 2017, un «Kit de communication non-sexiste». Nous sommes toutes et tous conscients que la communication nous entoure au quotidien, publicité, image, texte, une horde d’informations à prendre en compte nous sollicite sans cesse. Les communicants ont alors une forte responsabilité sociétale. Ils agissent comme les traducteurs d’un débat contemporain, faisant état de réalités. Porter l’égalité femmes-hommes est alors un premier pas militant considérable qui ne serait que le reflet d’une société à laquelle nous aspirons tous : égalitaire. Par cette initiative, le ministère cherche à éveiller les communicants et leur proposer des alternatives inclusives, afin d’adopter une communication responsable. Si un tel outil est proposé, ce n’est pas par hasard. En effet, depuis toujours le monde de la communication et notamment de la publicité est très peu vigilant quant à la question de la représentation des femmes et aux usages des stéréotypes sexistes. Dans le milieu de la publicité, les stéréotypes sexistes ne s’arrêtent pas aux stéréotypes féminins, mais ces derniers restent tout de même majeurs. Dans les années 1930, les rares femmes embauchées dans les agences tiennent le seul rôle d’«expertes du point de vue de la femme». Elles sont ainsi chargées d'étudier les besoins et envies des femmes, agissant comme intime de leurs désirs et de leurs habitudes. Mais ces dernières ne s’occupent que de publicité de produits «pour femmes» : protection menstruelle, électroménager, bijoux, etc. La femme dans l’industrie publicitaire est simplement considérée comme assistante des hommes. 
«Dans les spots télévisés, les femmes sont six fois plus dénudées que les hommes, et dans 89 % des campagnes, ce sont les hommes qu’on présente comme des experts.» Christelle Delarue, fondatrice de l’association Les lionnes, qui lutte contre le sexisme dans la publicité.
     Dans les années 1920, la publicité créée rapidement un profil type de la femme-acheteuse : mère et femme au foyer. Il faut plaire aux femmes, car c’est elles qui poussent à l’achat. Pour cela, on met en avant les qualités esthétiques plus que techniques, les femmes n’étant pas aptes à recevoir des caractéristiques techniques complexes, mais détenant cependant une grande sensibilité à la beauté. Des écrits expliquent notamment que la femme a besoin de paragraphes courts, de gros titres, car «elles n’aiment pas trop réfléchir quand elles achètent». Ainsi, l’industrie publicitaire relate cette image dans les publicités, où la femme apparaît comme vénale, émotive, faible et n’agissant que par instinct. Le corps de la femme a par ailleurs toujours été un outil incontournable dans la vente de tous produits. La sexualisation de ce dernier n’était que très rarement justifiée. Pour un même produit, l’homme sera plus vêtu que la femme. Là où l’homme teste et présente le produit, la femme montre son corps. Le dessein de toute cette stratégie d’érotisation de la publicité est complexe à définir. Le corps de la femme suscite-t-il un désir masculin qui permet de vendre le produit, ou suscite-t-il l’envie de posséder ce corps féminin en achetant le produit ? Alors la publicité ne permettrait-elle pas également de susciter le désir féminin en présentant un corps féminin, qui pousserait à vouloir lui ressembler en achetant ledit produit. Ogilvy écrivait en 1963 que «quand vous utilisez les photographies d’une femme, les hommes se désintéressent de votre publicité. Quand vous utilisez une photographie d’un homme, vous excluez les femmes.» La publicité est un combat de recherche d’attention permanent, celui qui aura le plus de visibilité, le plus d’impact et le plus de produits vendus. Pour cela, l’usage de la sexualité est de mise, pour obtenir l’attention des consommateurs, placer la barre toujours plus haute en présentant des images toujours plus explicites. Au tel point que les consommateurs se montreront «insensibles au sexe». Ainsi, on peut remarquer que les publicitaires se demandent davantage de quelle façon un produit pourrait être sexualisé, au détriment des effets de cette sexualisation sur le public.
Outre cette sexualisation omniprésente du corps féminin dans la publicité, ce dernier est déformé dans un but purement mercantile : postures, proportions, expressions, etc. À tout cela, est ajouté des clichés de genre, la femme est plus petite que l’homme, craintive ou joyeuse, enfantine ou clownesque, et toujours soumise. De plus, les femmes non-blanches subissent davantage ce procédé, présentées comme animales, exagérant les images racistes de sauvagerie et de primitivisme. L’arrivée d’outils de retouches photo n’a cessé d'accentuer ces déformations, éliminant tous les détails qui vont à l’encontre du standard de beauté occidentale. Ride, poils, cheveux blancs, bourrelets, cellulite, vergeture, sont effacés, laissant place à un teint gommé, jeune et un corps mince dénué de toute «imperfection». La diffusion permanente d’images de corps tend à créer un type de corps parfait, calqué sur celui qu’on voit le plus. La publicité véhicule un ensemble de messages agissant comme des injonctions. Il est indéniable que pour l’ensemble des femmes, les injonctions permanentes à la minceur, l'épilation, au maquillage et au soin vestimentaire font partie d’une éducation sociétale normalisée, agissant sur la femme comme un problème permanent pouvant tourner à l’obsession. 
Publisexisme, Femvertising et Purplewashing
     Tous ces agissements de l’industrie publicitaire sont alors regroupés sous le nom de «publisexisme». La publicité se définissant tout d'abord comme une communication commerciale, créant des contenus médiatiques divers, dans le but d'induire des comportements d’achat. D’un autre côté, le sexisme est défini comme un système sociétal discriminatoire dans lequel les femmes sont désavantagées au profit des hommes. Ainsi, par combinaison de ces deux termes, le publisexisme est fondé sur des stéréotypes (représentation de la femme comme un groupe homogène), et des injonctions. Le publisexisme incite donc à fixer des rôles stéréotypés des femmes et des hommes. On peut ainsi repérer des signes visuels précis véhiculant le sexisme :
Un gros plan sur une partie sexualisée du corps ou absence de visage, comme une déshumanisation du sujet
La figuration dans une posture de soumission physique, donnant une position de subordination ou de victime
La présence des femmes dans la présentation de produits ménagers, équipement domestique ou de santé, descend la femme au rang de femme au foyer, mère, soignante, nourricière.
La mise en scène d’un couple homme-femme avec enfant, tend vers l’injonction d’hétérosexualité, de famille nucléaire et de maternité.
     Eli Rezkallah, artiste et photographe, met en lumière ces stéréotypes dans la publicité. Il imagine donc un univers parallèle où les rôles sont inversés. On retrouve l’homme soumis à sa femme, faisant la cuisine, le ménage, la servant, etc.
«Ces publicités ont été faites dans les années 1950 et j'ai senti à ce moment-là que leur état d'esprit était encore présent aujourd'hui dans les recoins cachés de notre société moderne». 
     Dans un second temps, on appelle femvertising ou purplewashing l’appropriation des luttes féministes par l’industrie publicitaire, à des fins donc commerciales. Ces termes définissent alors l'ensemble des stratégies politiques et marketing dirigés vers l'égalité des genres. Le but est ici de jouer sur les tendances, de plaire, de redorer son image, et cela passe par la récupération de combats actuels qui concernent à priori une large partie de la population. Le féminisme étant l’un d'eux, rendu accessible et tendance depuis quelques années, notamment par son apparition massive sur les réseaux sociaux. Les entreprises utilisant ce procédé œuvrent pour l’égalité des genres, mais la plupart ne se préoccupent pas des conditions des femmes en interne. L’enseigne H&M se revendique féministe depuis quelques années, en prônant le body positive*, mettant en avant des morphologies sortant des normes. Mais d’un autre côté, des ouvrières sont exploitées, sous-payées et maltraitées, le groupe est d’ailleurs régulièrement pointé du doigt pour infractions au droit du travail. La recette est simplement opportuniste et rentable, s’appuyant sur la récente accessibilité et popularité du mouvement féministe. Ce phénomène décrédibilise également la lutte et la réduit à un signe, une inscription, une phrase ou un symbole.
     Alors, nous pourrions être amenés à nous demander comment créer une communication efficace, non-sexiste, inclusive, ne faisant appel à aucun stéréotype et ne mettant en avant aucun cliché. Le ministère de l’égalité femme-homme propose dans son kit de communication non-sexiste une auto-évaluation. Cet outil a pour vocation d'aider non seulement les communicants, mais aussi tous les citoyens à décrypter et déceler les communications problématiques. Il permet un éveil et une prise de conscience aux luttes féministes. L’évaluation questionne le rôle des protagonistes (la femme à la maison, l’homme au travail), leur métier (homme dirigeant), leur proportion d’apparition (surreprésentation masculine), la parentalité (incompétence du père). Plusieurs critères de représentation physique et de posture sont remis en question, comme l’objectification des corps ou encore la place et l’attitude de ces derniers. On retrouve pour finir des critères d’accroche, définissant les mots employés et leur ton, ainsi que l’ambiance, comprenant le lieu et les couleurs retranscrites. Tous ces critères renvoient à des indicateurs précis : de rôle social, de position professionnelle, de présence, de parentalité, de représentation corporelle, de posture physique, sémantique, de tonalité, scénographique ou chromatique. Le rôle de ce test serait finalement de déceler le sexisme ordinaire dans la communication. Cependant, une communication idéale existe-t-elle ? Probablement pas. 
     L'image publicitaire n’est pas sans effet pour celui qui la voit, il est en outre primordial de véhiculer les bons messages. Nombre de consommateurs ne se reconnaissent pas dans les publicités qu’ils voient tous les jours. Plusieurs marques ont d’ailleurs mis en place un système de quota afin de tenter de représenter une grande majorité de la population. Toute campagne publicitaire doit répondre à plus de diversité, en incluant notamment des modèles aux couleurs de peau, origines, mensurations, âge, physiques, etc. variés. Les publicitaires ont toujours soutenu l’idée qu’il est nécessaire de mettre en scène un produit pour faire comprendre son utilité, passant ainsi par l'utilisation d'un corps. S’en est suivi la sexualisation progressive de ce dernier qui a conduit la publicité sur la voie du sexisme. Le produit, ne devrait-il pas être mis en avant au détriment du corps ? Une publicité qui ne mettrait pas en scène de corps humain ferait avancer le combat contre le sexisme dans la publicité, tout en permettant de se concentrer uniquement sur les caractéristiques spécifiques du produit.
*body positive : mouvement social en faveur de l'acceptation et l'appréciation de tous les types de corps humains.
- https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/initiative/kit-pour-une-communication-non-sexiste/
- https://antipub.org/rapport-sexisme-publicite-francaise/
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Publisexisme
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Purplewashing
Article n°2 - Danaée Cantat 
ESAAB 2021
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tayebot · 5 years ago
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10 ans - Le Nuevo Che
Cette histoire de Corona Virus aura d'abord repoussé la rédaction de ce billet avant de me fournir de manière un peu inattendue de nouvelles plages de temps libre, imprévisibles, brèves, et appréciables.
Tu vis cette histoire de confinement avec circonspection, conscient que nous sommes mieux lotis que tes cousins en France, que tout cela est nécessaire mais quand même un peu chiant. Parce que tu dis des gros mots, maintenant que tu as un âge à deux chiffres, passage d'un cap dont tu te rengorges. Je me doute bien que tu en proférais déjà, je ne suis pas dupe, mais il y a une nouvelle assurance en toi dans tes franchissements de ligne rouge. Tu testes l'avenue vers l'adolescence, tu as des impatiences de grandir qui m'affligent. Je voudrais te figer à cet âge.
Nous jouons à Spiderman sur la PS4 que tu voulais pour cet anniversaire. Tu m'apprends les combos, tu m'expliques le scénario, les rebondissements. Tu m'as convaincu de créer une chaîne YouTube pour ta soeur et toi, encore en mode privé, parce que "c'est de ton âge, être Youtubeur". Tu veux toujours être footballeur professionnel mais tu ne vas plus aux entraînements du samedi matin parce que le coach est trop sévère. Ton ballon d'or, il n'est pas gagné, fiston.
Impossible de savoir si tu taquines davantage ta sœur ou si elle te persécute. La position d'aîné te saoule parfois, tu recherches davantage la solitude qu'elle et ce n'est guère évident dans notre maison de ville verticale. Pour des raisons logistiques, tes vêtements sont stockés dans sa chambre – tu tombes un soir sur deux dans une embuscade hurlante et les panonceaux t'interdisant tout accès à son domaine se multiplient sur sa porte.
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Elle pousse le vice jusqu'à venir t'emprunter le scotch pour bien sécuriser le septième en date. N'empêche que tu lui proposes toujours de dormir dans ta chambre et qu'elle accepte un soir sur deux.
Tu es très à cheval sur les règles et sur la justice. Mes montées de lait soudaines t'exaspèrent parce que ne s'appuyant sur aucun cadre juridique agréé à l'avance par les parties. La Cour de Justice européenne ne tardera pas à être débordée par tes requêtes en nullité de punitions et je prendrai cher, je le lis dans tes yeux. Tu maugrées, tu boudes, tu fais des bruits bizarres avec ta bouche quand je t'oblige à travailler le journal de la quarantaine, le Grand Œuvre de l'Ere Covid 19 que tous les instits du monde ont imposé aux moins de douze ans de cet hémisphère.
L'arrivée du chien a nourri ta maturité. Tu t'es positionné comme le premier défenseur de l'espace vital du chat (à savoir le premier étage) et comme le garant de la charte du chien que nous avons tous signée. Tu le promènes dans le parc en face mais tu refuses qu'on le détache - et tu n'as pas tort parce que ce chiot n'a pas encore exactement démontré son intelligence. Tu as tenté de l'éduquer et à force de s'entendre dire "Non" elle croit que c'est son nom. Elle ne vient pas quand on l'appelle. Toi non plus, d'ailleurs, et je m'époumone à te faire descendre pour les repas.
Il y a du bon dans ce confinement : nous passons davantage de temps ensemble, et même parfois sans avoir ta soeur aux basques. Nous nous baladons rien que tous les deux en vélo, nous jouons au Risk édition Games of Throne ou à Ganymede, nous regardons des films qui font un peu peur. Je vous scolarise à domicile, et je suis loin d'être la bonne personne pour cela. Cela me permet quand même de découvrir une facette de ta personnalité dont j'ignorais tout : ton côté cossard, partisan du moindre effort et de la procrastination nonchalante. L'effort intellectuel, ce n'est pas ton truc. Voilà à quoi mène cette école de hippies (dont les instructions officielles pour cette période de confinement sont: observez le printemps, dessinez les arbres, constituez un herbier et plantez des graines – tout ça entre deux visio-conférences et trois fils de discussions sur WhatsApp et Messenger, bien entendu).
Le groupe WhatsApp des parents des élèves de ta classe, c'est le pire. Une espèce de concours de la parentalité parfaite se déroule à grand renfort de photos d'œuvres d'art en rouleaux de papier toilette (voilà donc où ils sont passés), d'affirmations positives et d'exagérations imprécatoires. A la fin de cette deuxième semaine de quarantaine, je peux te l'affirmer : ce confinement est à deux vitesses. C'est un confinement de classes et nous ne sommes tous pas égaux face au huis-clos. Je ne supporte plus d'entendre les radios nous recommander des livres, des séries sur Netflix ou des abonnements à l'excellent site de la Cinetek. Je n'ai le temps pour rien et je maugrée sans cesse contre les abus d'autorité dont s'enivrent les gardiens de square du parc Guy George, en face. Tu m'entends recommander à tous de relire l'Enfance d'un chef, de Sartre, plutôt que la Peste, de Camus – ce qui est un comble tant je préfère Albert à Jean-Paul.
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Tu n'aimes pas particulièrement lire. De temps à autre, je parviens à t'intéresser à une BD, mais ça ne dure pas. Nous t'avons interdit de Fortnite. Tu as aimé La Chèvre et tu voudrais voir d'autres comédies françaises. C'est pas de bol : l'Apple TV est en rade. Tu as plein de copains et ils te manquent, malgré les Facetime, les Skype et les Zoom. Tu as dix ans et c'est le plus bel âge de ta vie.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté).
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
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lesparentspositifs-blog · 7 years ago
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[Vidéo 25] Comment utiliser la Communication Non Violente (CNV) dans des situations violentes ?
Comment utiliser la Communication Non Violente (CNV) quand cela devient difficile de communiquer avec quelqu'un ?
La communication Non Violente est l’un des piliers de la parentalité positive. Pourtant, il n’est pas toujours facile d’utiliser la CNV dans des situations violentes et conflictuelles.
Voici un exemple tiré de mon histoire personnelle pour vous inspirer et vous démontrer comment cela fonctionne même dans des situations violentes et conflictuelles…
Vous le savez peut-être déjà : la CNV est l’un…
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nonscolemondedapres · 4 years ago
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Portrait #8 Je m’appelle Sophie, et je suis la maman de deux filles qui font partie de ces 50 000 enfants instruits en famille : Lisa 5 ans et Juliette bientôt 3 ans. A l’annonce de ce projet de loi souhaitant interdire l’IEF, je suis passée par la colère, l’indignation, le dégoût, la peur. Des montagnes russes émotionnelles, grâce auxquelles je comprends à quel point ce choix m’est cher. Pour ça j’ai presque envie de vous dire merci, Monsieur Macron. Et j’ai surtout envie de vous raconter ce cheminement qui nous a conduits à l’IEF. Je suis fille d’instit, femme d’instit. J’ai été une bonne élève, studieuse, qui s’est (sur)adaptée au système scolaire jusqu’aux classes prépa, concours et école d’ingénieur, dans une famille classe moyenne où les études longues sont hyper valorisées… autant dire que l’école publique c’était la voie tracée. Et puis mon ainée a fait sa première rentrée, et j’ai redécouvert ce qu’était l’école. Mais avant il faut que je reparte un peu en arrière… On m’avait dit qu’avoir un enfant ça allait changer ma vie. Mais cet avertissement je n’en ai mesuré la portée qu’en le vivant. Devenir mère a été pour moi un grand bouleversement, une nouvelle compréhension du monde, un saut dans une autre dimension. Face à ces vies que j’avais mises au monde je me suis sentie une responsabilité immense et le devoir de les inonder d’un amour inconditionnel. Alors j’ai écouté mes tripes, j’ai fait ce qui me parlait le plus : donner naissance de manière physiologique, allaiter jusqu’au sevrage naturel, porter, dormir avec mes enfants et ne pas me séparer trop vite d’eux… tout ce qu’on nomme aujourd’hui le maternage proximal. Vous me direz quel rapport ? Pour moi, tout est parti de là ! Je crois que cette proximité ça a développé mes antennes pour comprendre les besoins de mes enfants, me connecter à elles. Et c’est ce qui me guide sur le chemin d’une parentalité consciente, sans violence, où l’on considère l’enfant comme une personne à part entière. Ce n’est pas un chemin facile, j’ai souvent eu l’impression d’aller à contre courant, mais je me suis informée, formée, entourée et grâce à cela je me suis peu à peu sentie plus confiante... car il me fallait au départ des validations extérieures pour m’autoriser à faire ce que me dictait mon intuition, il me fallait des appuis face aux incompréhensions de l’entourage, me justifier en quelques sortes de ce que je sentais pourtant être tellement naturel. Aujourd’hui j’ai confiance et je me laisse guidé par mes enfants, j’apprends tellement d’elles! Lorsque j’ai emprunté ce chemin, je l’ai fait pour moi, pour mes enfants, pour nourrir notre relation, mais très vite j’ai réalisé aussi la dimension sociétale d’une telle posture. Quand j’ai compris que la violence de la société prenait sa source dans la façon dont on traite les enfants, je me suis dit qu’aimer nos enfants inconditionnellement et les élever dans la bienveillance était ce que nous pouvions faire de mieux pour contribuer à plus de paix. Le « problème » avec ça, c’est qu’en en prenant conscience, j’ai commencé à développer un radar à violence qu’on nomme éducative ordinaire : punition, chantage, menaces, manipulation... ou juste non écoute des émotions, des ressentis. C’est très douloureux de se rendre compte qu’elles sont si répandues et banalisées dans la société. Et l’école n’y fait malheureusement pas exception. Même si ma fille avait une maîtresse formidable qu’elle adorait, lorsqu’elle rentrait de l’école elle rejouait tout ce qui l’avait perturbé : l’ATSEM qui crie sur les enfants pour qu’ils dorment, l’obligation d’aller à la sieste alors qu’elle ne voulait pas dormir, le banc des punis de la cours de récré, les enfants qui jouent au papa et la maman et qui mettent des fessées à leurs enfants, les enfants qui se moquent, qui narguent…Et elle reproduisait tout ça sur sa sœur. J’avais devant les yeux le mécanisme de reproduction de la violence. C’était insupportable. D’autant plus insupportable que je connaissais des familles en IEF, que je voyais une alternative mais qu’à ce moment-là je ne me l’autorisait pas. Il y avait aussi les énormes crises de décharges émotionnelles. Ce que beaucoup appellent des « caprices » : comme par exemple l’enfant qui se roule par terre en hurlant parce-que vous n’avez pas porté le bon gouter. J’ai banni ce mot de mon vocabulaire et réalisé que ces réactions étaient une décharge du stress accumulé pendant la journée, stress de se contenir, de rester assis, de ne pas bouger quand on veut, de ne pas parler quand on veut, de ne pas chanter quand on veut, de ne pas pouvoir aller faire pipi quand on veut, de ne pas pouvoir manger quand on a faim…. Pour un enfant de 3-4 ans, la vie s’est le mouvement, la spontanéité, la découverte de son corps et de ses signaux, l’exploration. Du haut de ses 4 ans, ma fille a compris que l’école ne respectait pas ses besoins fondamentaux. Ensuite il y a eu aussi un blocage total sur le dessin et le coloriage, et la dévalorisation : « Je suis nulle, je sais pas faire »…A 4 ans ?!... Et puis c’est sorti, c’était une camarade de classe qui lui disait constamment que ses dessins étaient moches, qu’elle dépassait quand elle coloriait. Une enfant à qui les parents mettaient la pression et qui répercutait cette pression sur ma fille. Bien sûr, elle a fini par ne plus vouloir aller à l’école. Elle trainait des pieds le matin, restait au fond de son lit, il fallait user de trésors de créativité pour être à l’heure sans que ça soit la crise de nerfs, et malgré tous ces efforts, arrivée dans la classe elle s’accrochait à moi, ne voulait plus me lâcher. C’était épuisant. Dans ces situations bien sûr c’est toujours la faute de la mère, j’en ai entendu des remarques jugeantes et culpabilisatrices : « il faut couper le cordon ! », « c’est vous qui avez un problème avec l’école »… On m’a même laissé entendre que ma fille me manipulait car une fois que j’étais partie tout se passait bien. Je crois que c’est juste qu’elle ne se sentait pas écoutée par les adultes à l’école, n’était pas suffisamment en sécurité. Elle prenait sur elle, se contenait – son truc anti-stress s’était de mâchouiller constamment ses vêtements - et ça explosait plus tard avec moi, sa figure d’attachement. Accueillir ces tempêtes émotionnelles, être disponible à ça, tous les jours, c’était une rude épreuve, un défi. Moi pour qui le langage des émotions était une langue étrangère. Car, comme bon nombre de parents de ma génération, cette écoute je ne l’ai pas reçue étant enfant. Cette possibilité d’exprimer ma colère sans être rejetée, d’être accueillie dans mes pleurs sans être de suite consolée, rassurée, captant le message qu’il faut vite sécher ses larmes et ne pas être triste... Alors je me suis vite forgé une carapace, j’ai appris à dissimuler mes sentiments, j’étais lisse, d’humeur toujours égale, mais à quel prix ! Aujourd’hui grâce à mes filles je comprends que les émotions, c’est la vie en nous. Et je ne veux pas qu’elles se contiennent, qu’elles se sur adaptent au point de dérégler leur boussole intérieure. J'ai essayé d’y aller en douceur, que le matin, sans la cantine (trop de bruit, c’était insupportable pour elle). Et puis l’équipe pédagogique m'a fait comprendre qu'avec cette histoire de l’obligation d’instruction à 3 ans, ce n’était plus tellement possible. Il fallait qu’elle vienne toute la journée ou pas du tout. Avant ça, ça n’aurait posé aucun problème qu’elle prenne son temps. Cette rigidité n’est vraiment pas adaptée à l’école maternelle et ne respecte en rien le rythme des enfants! Au bout du compte après 1,5 an d’école maternelle, Lisa a fini par me dire : « Maman, je ne veux plus jamais aller à l’école de ma vie ! De ma vie jusqu’à ce que je sois morte ! » Une telle détermination ! Quelle puissance ! Je la remercie d’avoir été aussi persuasive, et de ne pas s’être résignée. Je suis fière qu’elle ait pu décider, elle, de ce qui était le mieux pour elle et que nous ayons pu nous organiser pour respecter son choix et ses besoins. Ça ne s’est pas fait sans peurs et beaucoup de questionnement, mais au fond de moi c’est ce qu’il y avait de plus cohérent. C’était au moment où je terminais mon congés parental et devais reprendre mon travail. J’ai demandé un mi-temps. C’est moi qui est réduit mon temps de travail car c’est moi qui avait envie de proposer cette alternative ief aux filles, que passer ce temps supplémentaire avec elles me réjouissait, et qu’à temps de travail égal mon salaire est inférieur à celui de mon mari. J’ai la chance que ma mère ait accepté avec grand plaisir de venir garder les filles deux jours par semaine. Mon mari enseignant a conservé son poste à plein temps et s’occupe des filles le mercredi après-midi, les conduit à leurs activités. Et nous expérimentons ce nouvel équilibre. Après ça il lui a fallu plus de 9 mois pour être de nouveau à l’aise dans un groupe d’enfants, tellement elle avait peur. Que c’était dur de voir ça! Elle n’était pas comme ça avant d’avoir fréquenté l’école. Alors nous avons pris le temps. Il m’a fallu observer, m’adapter en douceur à ses besoins. Lui laisser le temps de la réassurance tranquille au sein de sa famille, sans injonction de sociabilisation alors qu’elle n’y était pas prête. Jouer, câliner, accueillir les émotions. Et aussi – pas toujours facile - écouter ma frustration à moi de ne pas pouvoir rencontrer tout de suite les familles non sco autour de moi. De temps en temps il lui arrive encore de mettre des mots sur ce qu’elle a vécu à l’école et qui la faisait souffrir. Les psys diraient qu’elle a fait une phobie scolaire, certains me parleraient d’une angoisse de séparation… Moi je crois que résumer le problème en ces termes c’est juste une façon d’ignorer les ressentis de l’enfant…. Vous me direz, ça sera peut-être une raison autorisée de pratiquer l’IEF si cette loi passe…. Mais non, je refuse de médicaliser ce qu’elle a vécu. Ma fille n’est pas malade ! Et tous les enfants mal à l’école ne sont pas malades. On voudrait nous faire croire que le problème vient d’eux s’ils n’arrivent pas à se sentir bien à l’école. Peut-être ont-ils simplement des antennes plus développées pour détecter lorsque leurs besoins ne sont pas satisfaits, et peut-être qu’ils ont eu suffisamment l’habitude que leurs besoins soient respectés pour ne pas s’y résigner ? Peut-être qu’ils sont plus étrangers à la violence que les autres et qu’elle leur parait plus insupportable ? Je crois que ces enfants qui sont mal à l’école sont les signaux d’alarme qui nous montrent qu’il y a bien des choses à améliorer dans notre système scolaire pour que chaque enfant y soit respecté. Le regarder en face permettrait de prendre les mesures adaptées et d’améliorer le bien-être à l’école pour tous les enfants. On m’a dit : « elle s’y fera, il faudra qu’elle s’y fasse, la société est comme ça, les enfants sont violents entre eux. » Non, les enfants ne sont pas violents par nature, ils reproduisent ce qu’ils subissent et je refuse de dire à mes filles que la violence est normale. Je veux pouvoir leur montrer qu’une autre voie est possible. En tant que parents nous sommes les premiers responsables de leur sécurité et de leur bien-être. Nous voulons avoir le choix de ce que nous estimons être le meilleur pour elles. En l’état actuel des choses nous ne pouvons pas choisir l’école. Quand l’institution ne peut pas garantir la sécurité physique et émotionnelle de nos enfants, rendre la scolarité obligatoire c’est de la folie pure et simple! C’est faire violence à beaucoup d’enfants. Non Monsieur Blanquer, l’école à 3 ans, l’école telle qu’elle est aujourd’hui ce n’est pas bon pour tous les enfants. Aujourd’hui, après presque un an de non scolarisation, ma fille va beaucoup mieux. Je la vois beaucoup plus sereine, confiante, et libre. Et mon cœur de maman me crie que c’est ce qui lui convient et que je ne reviendrai pour rien au monde en arrière. Je l’observe apprendre par elle-même, en jouant. Pour elle compter, déchiffrer des mots de n’est pas du « travail », c’est amusant. Elle est libre de creuser le sujet qui l’intéresse au moment où ça l’intéresse : en ce moment elle veut savoir comment sont morts les dinosaures, rêve de visiter un musée où elle pourrait voir de vrais os de dino, et se demande qu’est-ce qu’il y aura sur Terre après les humains…. Tandis que sa sœur adore colorier, couper les légumes et jouer à être un garçon. Je me réjouis de voir chaque jour leur émerveillement à découvrir le monde. C’est ce qui fait toute la beauté de l’enfance et c’est contagieux. Cette nouvelle vie qui s’ouvre à nous, c’est celle qui me fait vibrer. Une redéfinition de nos priorités : où l’amour, le temps passé en famille, et l’émerveillement sont au centre. Loin du métro, boulot, dodo, je vois mes enfants 2h par jour. Une occasion aussi de questionner nos modes de consommation, notre projet de vie pour aller vers plus de minimalisme, de sobriété, pour faire plus avec moins. Cette aventure IEF je la vois comme une chance et j’aimerai que tous les parents et enfants qui le souhaitent puisse en faire l’expérience. Pour l’amour, la paix et la liberté. La liberté c’est de pouvoir choisir.
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il-est-libre-max-legrand · 4 years ago
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Une controverse et des liens
 La controverse génère des liens
La controverse obtient des liens.  Les marques qui comprennent leur public peuvent tirer parti des prises de positions controversées.  Si vous savez ce que votre public pense de telle ou telle question, prendre position sur cette question ne fera que renforcer la pertinence de votre marque pour vos clients cibles.  Des marques avisées prennent position Des marques comme Ben & Jerry’s, Patagonia, Heineken, netione Starbucks et bien d’autres ont réussi à intégrer des milliers de liens sociaux controversés dans des sites de qualité.  Et les liens proviennent non seulement de sites pertinents destinés aux supporters de la marque, mais également de sites de grande qualité s'adressant à ceux qui s’opposent à la position sociale de la marque.  En d'autres termes, ils obtiennent des liens de leurs partisans et de leurs détracteurs.  Stats Show Prendre position peut être bénéfique Edelman, spécialiste du secteur des relations publiques, a récemment publié une étude selon laquelle plus des deux tiers des consommateurs mondiaux achèteraient ou boycotteraient une marque en raison de sa position sociale.  Les consommateurs sont de plus en plus conscients de positions sociales des marques et elles agissent en fonction de leurs propres croyances.   L'étude Edelman est réalisée chaque année. Dans la dernière étude (2018), l’augmentation du nombre de consommateurs soucieux de la position sociale d’une marque a augmenté de 13%, la plus forte augmentation de l’histoire de l’étude.   Plus de la moitié des personnes interrogées dans le cadre de l'étude estimaient que les marques jouent un rôle plus puissant que le gouvernement dans le changement social.   De plus en plus, les consommateurs voudront savoir quelle est la position sociale d'une marque. Et cela affectera non seulement le référencement, mais aussi les ventes et le résultat net.   Controverse Races Liens  Évidemment, si votre marque prend position, les avantages (ou, en cas d'erreur, de retombées) vont bien au-delà du référencement et de la création de liens.   Mais ne vous y trompez pas: les liens circulent vers les marques qui sont prêtes à se prendre en main et à prendre position.   Quand j'étais journaliste, le dicton était «Si ça saigne, ça mène».   Notre travail consistait à vendre des papiers, et nous savions qu'une épave de voiture ou un accident ferait voler les papiers l'étagère.   Il en va de même dans le journalisme moderne d’aujourd’hui.   Les journalistes recherchent des marques pour prendre position - particulièrement audacieuses - dans l'espoir d'un naufrage ou d'un triomphe.   Le journaliste ne se soucie pas vraiment de savoir lequel, tant que les clics arrivent.   Et les meilleurs liens viennent des journalistes et des influenceurs en ligne.   Le dicton «Je me fiche de ce que vous dites sur moi, épelez mon nom correctement» n’a jamais été aussi vrai que dans la bataille des liens de haute qualité.   Mais vous devez connaître votre public  Pour utiliser cette tactique avec succès, vous devez connaître votre public.   Si vous ne savez pas comment votre auditoire pense, vous risquez de perdre bien plus que la présence d’un moteur de recherche décent.   Si votre public cible vous tourne vers vous en raison d'une attitude sociale, vous risquez de perdre votre commerce.   Je ne parle pas seulement de comprendre simplement les données démographiques de votre auditoire et vos habitudes d’achat.   Vous devez comprendre:   Comment votre public pense.  Comment votre auditoire vote.  Les questions importantes pour votre public.  Comprendre votre public ne se fait pas en suivant votre intuition.   Il existe de nombreuses données pour vous aider à comprendre votre public à partir d'un niveau macro, mais si vous pouvez demander directement à votre public ce qu'il pense, c'est toujours le meilleur.   Imaginez-vous comme un sondeur politique qui essaie de comprendre les problèmes importants pour vos électeurs. Parce que, essentiellement, c’est ce que vous faites.   Travaillez pour créer un échantillon statistiquement valide de votre public et interrogez-le.   Si vous devez, incitez le public à vous dire ce qu'il pense, faites-le.   Comprendre que l'incitation peut fausser les résultats, il est donc préférable d'embaucher une personne qui sait ce qu'elle fait en matière de sondage, si vous en avez les moyens.   Si vous ne connaissez pas votre public, ne prenez pas position  Si vous ne comprenez pas votre public, ne prenez pas position. Période.   Il suffit de demander aux membres de la Race for the Cure Susan G. Komen, qui se remettent encore de leur décision controversée de mettre fin au financement prévu. La parentalité il y a presque une décennie.   Votre stand doit également être authentique pour votre marque.
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jesseeko · 4 years ago
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LES SORTIES CINÉ DU 11/08
De fille à adolescente puis femme, de science-fiction à thriller puis drame…  les films de cette semaine mettent à l’honneur les femmes. Des États-Unis à la Chine en passant par l’Arabie Saoudite, leur condition révèle certains problèmes sociaux profonds. En les illustrant dans leurs combats et dans leur pluralité, le cinéma contribue à son échelle, à lutter contre ces problèmes. 
LIGHT OF MY LIFE - CASEY AFFLECK
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Light of my Life est le second film de Casey Affleck. Connu pour travailler en famille, en 2007 il aide son grand frère Ben Affleck pour son premier film, Gone Baby Gone. En 2010, c’est Joachim Phoenix, son beau-frère, qui le soutient dans la réalisation de son docu fiction I’m Still Here. De même, à l’image de ces films, Light of my Lifetrouve son origine dans le cocon familial. En effet, père de deux enfants avides d’aventures, c’est par la création de récits grandioses qu’il parvint à contenter leur imagination. C’est de ces récits qu’émergea Light of my Life, un « film sur la parentalité, la tradition orale et le rôle des contes dans l’éducation des enfants » selon son auteur.
Résumé : Dans un futur proche où la population féminine a été éradiquée, un père tâche de protéger Rag, sa fille unique, miraculeusement épargnée. Dans ce monde brutal dominé par les instincts primaires, la survie passe par une stricte discipline, faite de fuite permanente et de subterfuges. Mais il le sait, son plus grand défi est ailleurs : alors que tout s’effondre, comment maintenir l’illusion d’un quotidien insouciant et préserver la complicité avec sa fille ?
 THE CROSSING - BAI XUE 
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The Crossing est le premier long métrage de la réalisatrice chinoise Bai Xue. Dans celui-ci, elle s’attache à retranscrire la réalité des « enfants transfrontaliers » qui comme elle, évoluent entre la Chine et Hong Kong. Ainsi nous est narré le quotidien de Peipei, une lycéenne rêveuse. Entraînée dans une quête identitaire à la croisée de mondes que tout oppose, nous suivons son cheminement : incarnation d’une époque et d’une jeunesse.
Résumé : Peipei est une lycéenne de 16 ans qui vit avec sa mère à Shenzen et étudie à Hong Kong. Avec sa meilleure amie Jo, elles rêvent de vivre un jour de Noël sous la neige au Japon. Alors que Peipei cherche du travail pour financer le voyage, le petit ami de Jo lui propose de se faire de l’argent en passant illégalement des téléphones portables par la frontière. D’abord craintive, Peipei prend de l’assurance quand les entrées d’argent se font plus importantes…
THE PERFECT CANDIDATE - HAIFAA AL-MANSOUR
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Première réalisatrice saoudienne, Haifaa Al-Mansour présente The Perfect Candidate son second film tourné entièrement en Arabie Saoudite. Monarchie Absolue Islamique depuis 1932, c’est en 2013 avec la sortie de son long métrage Wadjda, qu’elle parvint à imposer le cinéma dans un pays où l’art était tabou. Depuis, dit-elle « a commencé une période passionnante pour les cinéastes de mon pays ». Suite à son engagement, il a été décidé l’ouverture des 40 premières salles de cinéma saoudiennes entre 2018 et 2022. Consciente de la portée son art, avec ce nouveau film la cinéaste entend généraliser ce mouvement de tolérance en incitant les femmes « traditionnelles et culturellement conservatrices, d’épouser ce changement » affirme-t-elle. 
Résumé : Maryam est médecin dans la clinique d’une petite ville d’Arabie Saoudite. Alors qu’elle veut se rendre à Riyad pour candidater à un poste de chirurgien dans un grand hôpital, elle se voit refuser le droit de prendre l’avion. Célibataire, il lui faut une autorisation à jour signée de son père, malheureusement absent. Révoltée par cette interdiction de voyager, elle décide de se présenter aux élections municipales de sa ville. Mais comment une femme peut-elle faire campagne dans ce pays ?
Jesse Eko Ebongue
Pour ON’: https://on-media.fr/2020/08/11/sorties-cine-du-11-08/ 
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mamanradieuse · 4 years ago
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Le désir d'enfant chez la femme 💖 Le désir d'enfant mérite d'être pris en considération.Il relève à la fois d'une dimension consciente et inconsciente 🌟 Comment nait alors ce désir d'enfant ? Ou prend-il ses racines ? 🤔 ⭐ Le désir d'enfant conscient À la question posée aux femmes: " pourquoi désirez vous un enfant ?" Les réponses peuvent être assez floues ⛅ D'un côté prédomine l'attente d'un enfant pour soi, ou l'attente d'un enfant à qui donner de l'amour, à qui transmettre quelque chose, ou encore la volonté de construire une famille 👨‍👩‍👦 ⭐ Le désir d'enfant inconscient La femme désire avoir un enfant parce qu'avoir un enfant est un acte qui s'impose, on ne sait pas très bien pourquoi...🤔 En réalité, le désir d'enfant trouve ses racines dans le développement psychosexuel de chaque femme 🤷‍♀️ Qu'en pensez-vous ? Partagez vos avis en commentaire ⏬🥰 #mamanradieuse #mamancomblée #mamanheureuse #mamanheureuseetfière #mamanheureuseetcomblée #maman2020 #naissance #naissancebébé #naissance2020 #maternité2020 #maternité #lienmereenfant #grossesse2020 #grossesseheureuse #bebe #bébé #bebefille #bebegarcon #parentalité #parentalitebienveillante #parentaliterespectueuse #parentaliteconsciente #parentalite #parentalitezen #parentsheureux #parents #desirdenfant #famille https://www.instagram.com/p/CDgyf9QqIHF/?igshid=mwwf4gtyjqqn
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drclaudiosaracinodcsworld · 10 months ago
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FERTILITÉ ET HYPNOSE ? Hypnose DCS unique au monde
🌿💫 Si vous recherchez une approche naturelle et complémentaire pour relever les défis liés à la fertilité, l'hypnose réelle et professionnelle pourrait être une ressource précieuse sur votre chemin vers la grossesse.
La recherche scientifique suggère que l’hypnose peut aider à réduire le stress, à améliorer le bien-être émotionnel et à favoriser la fertilité de manière douce et efficace. 🌸✨
Voici les déclarations officielles de 3 personnalités célèbres qui ont publiquement partagé les bienfaits de l’hypnose pour améliorer la fertilité :
1️⃣ Beyoncé : "L'hypnose a été une partie importante de mon parcours vers la maternité. Elle m'a aidée à me détendre, à réduire le stress et à créer un espace intérieur propice à la conception."
2️⃣ Chrissy Teigen : "L'hypnose a été une ressource précieuse dans mon parcours de fertilité. Elle m'a permis de me connecter avec mon énergie vitale et de relever les défis de manière plus équilibrée et positive."
3️⃣ Hugh Jackman : "L'hypnose a eu un impact significatif sur ma fertilité. Elle m'a aidée à maintenir un état d'esprit optimiste et à soutenir ma santé mentale tout au long de mon parcours vers la parentalité."
Si vous recherchez également un accompagnement intégratif pour améliorer la fertilité et réaliser votre rêve de devenir parent, considérez l’hypnose comme une ressource possible.
Consultez un hypnothérapeute expert et commencez votre voyage vers une conception plus harmonieuse et consciente. 🌟🤰
Si vous n'avez pas envie de vous promener dans les chapelles, téléchargez cet audio DCS unique au monde :
VOUS POUVEZ AVOIR UN ENFANT
https://claudiosaracino.com/prodotti/tu-puoi-avere-un-figlio-metodo-dcs/
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lemaupertus · 5 years ago
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https://e3o.org/e3o/livres-left-techniques-de-liberation-emotionnelle-pour-les-nuls/
Livres : L'EFT (Techniques de libération émotionnelle) Pour les Nuls
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L'EFT (Techniques de libération émotionnelle) Pour les Nuls First. 2011 Libérez-vous de vos tensions émotionnelles ! L’EFT est une thérapie simple et au succès croissant dans le cadre des pratiques de développement personnel. Créée par Gary Craig aux Etats-Unis dans les années 1990, elle est l’héritière de la médecine traditionnelle … Lire plus…Livres : L’EFT (Techniques de libération émotionnelle) Pour les Nuls L'EFT (Techniques de libération émotionnelle) Pour les Nuls First. 2011 Libérez-vous de vos tensions émotionnelles ! L'EFT est une thérapie simple et au succès croissant dans le cadre des pratiques de développement personnel. Créée par Gary Craig aux Etats-Unis dans les années 1990, elle est l'héritière de la médecine traditionnelle chinoise (acupuncture), de la PNL (programmation neuro-linguistique) et de la kinésiologie. Elle contribue à soigner un grand nombre de souffrances émotionnelles ou physiques : peurs et phobies, traumas et anxiété, addictions et insomnie, fibromyalgie et douleurs articulaires... Cette technique est basée sur la théorie que les émotions négatives proviennent de dysfonctionnements au sein de l'énergie corporelle : souvent comparée à une méthode d'acupuncture sans aiguilles, l'EFT associe des tapotements sur les points de méridiens spécifiques et des techniques de suggestion et de pensée positive. L'objectif : se libérer de ses tensions émotionnelles pour retrouver l'équilibre et démarrer sur de nouvelles bases. Le grand avantage de cette méthode ? Simple, sûre et efficace, on peut également la pratiquer sur soi et s'y former à la maison pour s'auto-traiter ou soigner ses proches. D'où l'immense intérêt de ce livre, qui permettra au plus grand nombre de s'initier à cette pratique de bien-être chez soi, afin de pouvoir la pratiquer sur soi-même ou sur ses proches. Avec succès ! EFT et autres techniques énergétiques pour se guérir Le Courrier du Livre. 2014 Cet ouvrage relate les dernières recherches des neurosciences et de la physique quantique, aidant à comprendre pourquoi et comment ces méthodes fonctionnent. Son originalité est de faire la part belle à l'EFT tout en proposant de découvrir et d'appliquer 12 autres méthodes psycho-énergétiques récentes, éprouvées et pratiquées dans le monde. Il est aussi enrichi d'une approche d'accompagnement des problématiques de la petite enfance par l'EFT, sous forme d'une histoire illustrée que les parents pourront utiliser avec leurs enfants. La méthode Aora Guy Trédaniel. 2013 AORA est une technique simple, rapide, efficace, à réaliser sur soi sans l'aide d'une tierce personne. Elle permet l'effacement quasi immédiat d'émotions, de peines, d'angoisses ou de chagrins. Et au-delà de ces aspects purement psychologiques, cette technique peut également soulager les douleurs, les contractures, les tensions, les démangeaisons, les brûlures et autres troubles présents dans le corps. AORA est le fruit de l'expérience et des recherches du Dr Luc Bodin sur les aspects énergétiques de l'être humain. Le mot AORA vient de l'hébreu « aor » qui signifie « lumière », et de « Ra » le dieu solaire des anciens Égyptiens. Le mot « AORA » évoque donc l'idée de « mettre en lumière »... Car cette technique va, en effet, mettre en lumière les souffrances présentes chez une personne afin de permettre à son organisme d'en prendre conscience et ainsi de les corriger. Le livre « AORA » est tourné vers la pratique. Il présente beaucoup d'exemples concrets issus de la vie quotidienne. Il décrit le fonctionnement de cette méthode révolutionnaire, mais aussi la manière dont il convient de la pratiquer, afin d'obtenir les meilleurs résultats et cela presque instantanément. AORA est ainsi un excellent outil d'autonomie individuelle. Grâce à lui, chacun pourra soulager les maux les plus courants de son quotidien, en tous temps et en tous lieux. Le mode de vie quantique Le Courrier du Livre. 2014 Cela fait des années que nous attendons la publication d'un livre qui soit capable de traduire le pouvoir de la conscience pure et de la paix intérieure en modalités pratiques, concrètes et à effets immédiats. Au fil des pages, vous ferez l'apprentissage d'un processus à la fois simple et étonnamment efficace, accessible à tous, sans aucun prérequis ni compétence particulière. Le mode de vie quantique vous invite à approfondir et à mettre en pratique le Quantum Entrainment (QE), ce processus de guérison rapide unique en son genre, créé par le Dr Kinslow et accrédité par la science. Faites entrer le mode de vie quantique dans votre quotidien et vous serez surpris de la rapidité avec laquelle ce processus donne un nouvel essor à votre vie ! EFT, Tapping et Psychologie énergétique La rencontre mutuellement enrichissante entre connaissances orientales et occidentales a donné naissance à un ensemble de nouvelles pratiques et méthodes thérapeutiques, à la frontière entre neurosciences et psychothérapies extrême-orientales. EFT, tapping et Psychologie Énergétique présente un vaste panorama de ces approches thérapeutiques contemporaines : Emotional Freedom Techniques (EFT), Tapas Acupressure Technique (TAT), Eye Movement Desensitization and Reprocessing (EMDR), etc. Derrière ces abréviations et anglicismes se cachent des voies de libération et d'hygiène mentale dont l'efficacité se confirme d'année en année. La passionnante immersion dans ces nouveaux types de soins vous apportera de précieux outils pour vous délivrer de toutes ces pensées, gênes ou traumatismes qui vous polluent et vous empêchent de vivre pleinement le moment présent. Émotions négatives, " kystes émotionnels " et autres blocages peuvent ainsi se dénouer grâce à ces psychologies énergétiques et neurologiques. Des témoignages, des comptes-rendus, des descriptions simples et détaillées de chaque technique et méthode vous feront prendre conscience que le corps et le cerveau doivent d'abord être des alliés plutôt que des éléments handicapants, générateurs de pièges perçus comme indépassables. Acceptez l'invitation de Brigitte Hansoul et Yves Wauthier-Freymann à partir dans une véritable randonnée curative. Et si vos blocages et traumatismes pouvaient s'équilibrer et être évacués sans obligatoirement nécessiter de longues thérapies, mais plutôt par une approche énergétique fiable et concrète ? L'EFT Jouvence Maxi-pratiques. 2014 Aimeriez-vous disposer d’un moyen simple d’apprivoiser vos peurs et vos angoisses ? D’outils efficaces pour effacer aisément les traces émotionnelles de vos traumatismes passés ? De quelques gestes élémentaires pour soulager votre corps – et votre esprit – de troubles et tensions gênants et récurrents ? Et bien, c’est tout à fait possible ! L’EFT — ou Emotional Freedom Technic — est une méthode de libération émotionnelle qui combine les principes de la médecine traditionnelle chinoise (dont l’acupuncture), ceux de la PNL et les découvertes les plus récentes des recherches en neurosciences. Cette technique de soins « psycho-énergétiques » est à la portée de tout un chacun. Elle est simplissime, efficace, sans contre-indication ni effet indésirable. En voici le mode d’emploi ! Santé, bien-être et bonheur « à portée de main » ! Dr Luc Bodin est docteur en médecine, diplômé en cancérologie clinique et spécialisé en techniques de santé naturelles. Il est l’auteur de nombreux livres à succès dont : Mieux lire et comprendre les analyses biologiques (Éd. du Dauphin) et Le guide de la médecine globale et intégrative (Éd. Albin Michel). Maria-Elisa Hurtado-Graciet est praticienne en PNL, en EFT et autres techniques psycho-énergétiques ; elle anime des conférences et des ateliers en France et en Espagne sur les thèmes de ces techniques efficaces et peu connues. Son site Internet : www.eveiletsante.fr JEcommande Médicis. 2016 Le procédé «JEcommande...» est une puissante technique énergétique qui nous permet de correspondre intimement avec nos propres forces créatives et d'en obtenir une aide prolifique dans tous les domaines de notre vie. Le procédé «JEcommande...» est accessible à tous. Le procédé «JEcommande...» peut aussi être utilisé pour aider les autres. Le procédé «JEcommande...» est une pure merveille d'efficacité que tout un chacun peut utiliser dans n'importe quelle situation sans jamais courir le risque de «mal faire» car, véritable cadeau du ciel, le procédé agit toujours et en toutes circonstances «au plus haut degré de perfection». Vous découvrirez dans ce livre une technique et des protocoles faciles à suivre illustrés par de nombreux témoignages. Sophie Merle réside aux États-Unis d'où elle dirige la Fondation française EFT-Emotional Freedom Techniques (www.sophiemerle.com), établie en vue de propager les bienfaits de l'EFT et autres modalités énergétiques dans les pays francophones. Également spécialisée dans la pratique du Feng Shui, elle est l'auteur de plusieurs ouvrages dont Feng Shui : l'outil de l'harmonie pour réussir sa vie, Éditions Dervy et EFT psychologie énergétique, Éditions Médicis. Le code d'une vie extraordinaire Guy Trédaniel. 2018 Et si vous remettiez en question tout ce que vous pensiez savoir sur le fonctionnement du monde - toutes vos idées sur l'amour, le travail, la parentalité, le sexe, l'argent... ? Cet ouvrage n'est pas un livre de développement personnel classique, mais plutôt un livre de « chambardement personnel ». Il vous pousse à repenser tous les aspects de votre vie qui fonctionnent en pilote automatique, et vous risquez, après sa lecture, d'en refuser désormais certains. Vos relations, votre carrière, vos objectifs, vos croyances spirituelles se modifieront quand vous comprendrez qu'une bonne partie d'entre eux n'étaient pas le fruit de décisions conscientes, mais un choix par défaut. Riche en exemples et en conseils, ce livre vous apprend à penser comme certains des plus grands esprits non conformistes de notre époque tels Elon Musk, Richard Branson et bien d'autres, à remettre en question, à défier, à pirater et à créer de nouvelles règles afin de définir le succès selon vos propres termes. Combinant la pensée informatique, la théorie intégrale, la spiritualité moderne, la biologie évolutive et l'humour, Vishen Lakhiani fournit un cadre révolutionnaire de 10 lois pour avoir un esprit extraordinaire et vous permettre de donner du sens à votre vie. Une fois que vous découvrirez le code, vous interrogerez vos limites et réaliserez qu'il n'y en a pas.
#EFT, #TapasAcupressureTechnique
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sakinamaitreau · 5 years ago
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Beaucoup me demandent des conseils de lecture sur la parentalité bienveillante, sur les dernières recherches en neurosciences expliquées simplement, des livres dont l'esprit est dans un accompagnement respectueux de l'enfant. Je vais donc régulièrement vous partager des "livres pépites"💎, vraies mines d'informations pour éveiller les consciences, accompagner un cheminement, donner des outils, et soutenir une parentalité bienveillante, consciente, et respectueuse de l'enfant. • En voici un que j'affectionne particulièrement, une vraie mine d'or à mettre entre les mains de tous les parents : "Serre-moi fort. Comment élever vos enfants avec amour" de Carlos Gonzalez. • Ce livre est juste topissime! 😍💖 J'adore la façon de l'auteur de démonter tous les #mythes sur la nature de l'enfant, de les déconstruire avec des arguments fondés, et surtout avec de nombreux exemples. Beaucoup de vérités dedans qui méritent d'êtres lues et surtout entendues. • Dans la vision classique de l'enfant qu'on entend régulièrement (et qui semble à l'heure actuelle majoritaire...), les gens partent du postulat que les enfants sont capricieux, manipulateurs, n'en font qu'à leur tête, vont nous "bouffer" si on leur cède quelque chose, et sont en quelque sorte des petits tyrans qu'il faut dresser, pardon #éduquer 🤭 L'éducation doit donc consister à leur imposer des limites, des règles strictes, à les contraindre pour obéir à l'adulte, et tout ça pour leur bien, afin qu'ils deviennent des personnes socialement acceptables dans le futur. • Je cite la 4ème de couverture : "Carlos Gonzalez part d'un présupposé radicalement différent. Serre-moi fort est un livre écrit résolument en défense des enfants, mais aussi des parents, car l'affrontement permanent est source de souffrances inutiles pour tous. Cet ouvrage très documenté nous explique pourquoi les enfants sont comme ils sont et font ce qu'ils font [...]. Il propose de renoncer enfin à la violence et au mépris pour élever nos enfants dans la bienveillance, la confiance, le respect et la tendresse, et leur prodiguer un amour aussi inconditionnel que celui qu'ils nous vouent d'instinct". • Vous l'avez lu? Vous en avez pensé quoi? ⬇️ (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/B9PoGh_IyuO/?igshid=1t08d76g1dfer
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amphigary · 5 years ago
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UN JUSTE ÉQUILIBRE. L’éducation consciente, non violente, la parentalité éclairée, positive, l’accompagnement respectueux, apaisé... Peu importe le nom qu’on veut bien lui donner, on est TOUS confrontés aux difficultés parentales. C’est bien simple, je ne connais personne qui fasse exception ! Alors affronter les difficultés ne consiste pas à trouver la voie la plus facile, mais plutôt la moins énergivore pour TOUTES les parties, pour les parents comme pour les enfants, sinon tout le monde est perdant... Un enfant qu’on force à entrer dans le cadre avec des besoins non comblés ou des émotions niées, consommera plus d’énergie à compenser qu’à grandir et s’épanouir. Un parent qui s’oublie complètement pour se consacrer uniquement à répondre aux besoins de ses enfants, gaspillera l’énergie qu’il n’aura plus pour se réaliser et exister vraiment, pire même il nourrira de l’amertume envers sa place dans la vie. Prendre soin de soi AVEC ses enfants ET remplir leurs besoins, comme tous les défis de la vie parentale, ce n’est pas simple, AVOUONS LE ! On peut avoir envie de s’isoler et de faire des choses sans enfant, ce n’est ni bien ni mal, commençons par le reconnaître, puis cherchons des solutions où chacun y trouve son compte. Elles existent, par contre elles ne sont ni évidentes ni faciles. Mais elles sont le reflet de notre union familiale où les relations sont équilibrées. Nous avons en majorité reçu une éducation qui nous a laissé avec une mauvaise image de nous-même. Pour autant ce n’est pas la parentalité positive qui nous rend nul ou nous oppresse, ce jugement-là émane de notre histoire et des ondes extérieures, qui jous poussent à encore plus de violence. Chaque parent peut passer par là. Focalisons sur les bienfaits de cet accompagnement plutôt que sur nos imperfections. C’est tellement chouette de découvrir une relation équilibrée, de voir nos enfants faire sauter nos vieux schémas, de s’élever avec eux, découvrir et soigner nos blessures. Alors bien sûr on crie, on craque, on tempête, et c’est normal. Il ne s’agit pas d’éteindre nos éclats, mais de les utiliser comme des tremplins. C’est intense, profond, tellement salvateur et enrichissant. 🙏 https://www.instagram.com/p/B7ELOf1FFnu/?igshid=11eepchr8p12f
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letechnologeek · 5 years ago
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Objectiver les hommes, la parentalité pandémique et la masturbation consciente
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