Tumgik
#paranoïaque
e642 · 3 days
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J'ai eu plusieurs réflexions aujourd'hui et hier:
1) ça m'arrive souvent de devoir rentrer chez moi tard et d'avoir qqn (mes parents et/ou mon mec) qui me dit "préviens quand tu es rentrée". Et souvent j'y pense mais quand je suis pas encore arrivée, du coup, souvent je dis que je suis arrivée alors que je ne suis pas réellement arrivée tout ça pour éviter d'oublier de le dire. Mais je pensais au fait que imaginons, je meurs sur le chemin, ou on m'enlève ou que je disparaisse bah quand on va signaler ma disparition, ils vont dire à la police "on a un message comme quoi elle était rentrée" et donc je vais fausser l'enquête. Ou ils vont capter que j'étais pas rentrée et peut-être vont s'imaginer que j'avais une double vie ou jsp. Bref du coup quand j'envoie un message comme ça où je sais que j'ai peut-être encore 5 min d'incertitude où c'est pas impossible que je meurs pas je culpabilise un peu en mode "je vais lancer la police sur la mauvaise piste, et freiner l'enquête et réduire mes chances d'être retrouvée toute seule genre"
2) j'aime bien les gens, enfin, comment dire, j'aime pas bcp de gens mais ya certaines personnes que j'aime plus que d'autres type des potes, amis mais je ressens jamais de manque ou le besoin de les voir et de parler. C'est trop étrange mais en fait les voir c'est cool mais ça me demande tellement d'efforts cognitifs que ça me braque d'emblée. J'aime bien qu'ils me racontent leur vie mais des fois jsuis là dans ma tête et je me dis "c long quand même, cest quand que je rentre ?"
3) à chaque fois que j'ai une mycose (de plus en plus rare dieu merci) j'imagine toujours les pires trucs, que j'ai une mst, un début de syphilis ou autre. Et jlai dit a mon mec ce WE que j'étais dans l'inconfort et comme un gentleman il m'a apporté tous les médicaments nécessaires et plein de compréhension (si rare mais si précieux mdrr) et quand il m'a tendu les remèdes j'étais en mode "purée ça se trouve il a juste couché avec une meuf pas clean et ma rapporté qqc et il essaie de me retourner le cerveau en agissant bien. C'est sûr il a une double vie et il me ment frontalement". Je sais que j'abuse faut faire confiance un peu mais j'ai tjrs ce truc affilié à cette pensée "roh le con il m'a bien manipulée ça se trouve, c'est fort s'il me ment comme ça dans les yeux". Fin bref un gros délire paranoïaque pas si infondé que ça mais jme dis d'un côté il a l'air sincère et de l'autre à aucun moment il va me dire cash "bah oui jtai trompé tu crois quoi ? Que ta mycose c'est le stress, ton hygiène de vie éclatée, nos rapports à répétition, et un déséquilibre hormonal flagrant ? Mdr tes folle ou quoi ?" Ça se trouve il est en panique de savoir que j'en ai une parce qu'il se dit qu'il a mal préparé son coup mais ça le rassure quand il me voit me radoucir et le croire ptdrrr
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professeur-stump · 6 months
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Le paranoïaque machine des masses, et ne cesse de former de grands ensembles, d'inventer des appareils lourds pour l'encadrement et la répression des machines désirantes. Certes, il ne lui est pas difficile de passer pour raisonnable, en invoquant des buts et des intérêts collectifs […]
(Gilles Deleuze, Félix Guattari, L'Anti-Œdipe)
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raisongardee · 3 months
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"Deleuze reproche en effet au capitalisme d’alors de ne pas aller assez loin, de ne pas "décoder" assez, de ne pas assez utiliser les passions, les pulsions, c’est-à-dire, selon son vocabulaire, les "flux" traversant les individus, alors même que ceci serait à l’avantage de la société civile. Et il indique une voie royale pour y parvenir : renoncer à tenir un vain discours critique en son nom, renoncer à toute identité (comme telle "paranoïaque") pour devenir autre, toujours autre, "nomade", en obéissant aux injonctions pulsionnelles qui traversent les individus et qui les mènent vers un "devenir femme" de l’homme ou un "devenir animal" de l’homme et de la femme ou un "devenir post-humain" de l’humanité. Il n’y a clairement, pour Deleuze, qu’un capitalisme totalement désinhibé qui puisse parvenir à ce merveilleux programme. C’est exactement ce qui arrivera à partir de 1980. A cette date, comme Foucault l’avait annoncé en 1970, "le monde est devenu deleuzien". Caractérisé par la destitution progressive du sujet (moderne) qui pensait et agissait en son nom. Et par l’avènement graduel d’un sujet (postmoderne) qui ne sera plus que machines et flux. Un a-sujet donc plutôt qu’un sujet. Jouissant d’être lancé en aveugle dans un procès sans sujet. Avec pour seul horizon de s’éclater la tête. Sans limites."
Dany-Robert Dufour, Qui est Bernard de Mandeville ?, 2017.
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lisa972kdlz · 8 months
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Le cœur a sa mémoire
Encore une analyse théorique à propos d'Underverse ! Plus spécifiquement à propos du personnage d'Error, son développement, sa personnalité et ce qu'il peut bien avoir en tête.
Quand on observe le comportement d'Error dans la série et qu'on le compare à celui dans son comic original, on se rend compte bien vite que ce n'est pas le même. Et quand on navigue à travers les différentes versions d'Error trouvables dans le Fandom, que ce soit dans des fanfictions, des comics ou de simples gags, c'est cette version d'Underverse qui y est retrouvée avec plus ou moins de nuance. À savoir un Error sérieux, grognon, tsundere et feulant sur la première personne qu'il croise. Et... Je ne suis vraiment pas fan de ce Error là, parce qu'elle est en mon sens moins intéressante et surtout amenant à des idées reçues qui filent droits vers l'autoroute du cliché. Pourquoi a-t-on cette image biaisée du personnage ? Est-ce vraiment incohérent et indigne de son intégrité ? Est-ce une mauvaise chose et est-ce que Underverse suit cette ligne de caractère ? Doit-on se limiter à se dire qu'Underverse n'est pas canon donc il n'y a aucune raison de critiquer de manière constructive ou même d'essayer de trouver des liaisons ?
Évidemment que non, car avec un peu d'imagination (et de philosophie), il y a (presque) toujours moyen d'assembler des pièces de puzzle pour donner une forme concrète ! Tout d'abord, dissocions la version Canon d'Error avec sa version Fanon.
Niveau personnalité, Error Canon tient plus du Collectionneur de The Owl House que du vampire-araignée Miguel O'Hara dans Spiderverse. Un Collectionneur détraqué et paranoïaque, mais tout de même. Il est bavard, souriant, discute sans trop de difficulté avec ses interlocuteurs que ce soit avec les créateurs qui lui posent des questions ou son prisonnier, Swap!Sans, ou cet étrange visiteur qu'est le Sans que possède habituellement Fresh. Bien loin du grognon renfermé sur lui-même et refusant tout contact humain. Dans le comic, ses réticentes sont souvent relativement maîtrisées, en tout cas, s'il fait du mal, il en revient très rarement aux Gaster blasteurs. Quand Swap qui lui fait un discours sur l'amitié complètement décalé, il l'abandonne certes temporairement dans l'Anti-Void pour lui donner une leçon, mais même dans la panique, il ne le tue pas et ne le blesse pas. Quand il croit se faire manipuler par Darkblitz8, il la balance en hauteur avec ses fils, mais rien de plus. Ensuite il se calme direct et remet tranquillement les mains dans les poches en disant : «Quelle fille sympa, j'adore me faire de niveaux amis.»
«J'adore. Me faire. De nouveaux amis.»
Oui, c'est Error qui dit ça, incroyable, non ? C'est dit comme une blague mais ÉVIDEMMENT qu'il est sincère, le bougre... Et ce pour mille et une raisons. Ce que je veux dire, c'est qu'il a, comme tout Sans chacun, plus tendance à cacher ses pensées derrière des blagues ou du faux second degré plutôt que de rejeter ou agresser les autres. Je ne dis pas que ça n'arrive pas, mais c'est une tendance.
Les seules fois où il sort ses blasteurs (hors destruction d'AU) c'est quand on lui fait un câlin surprise par derrière et quand FRESH débarque de nulle part. Donc c'est relativement légitime (mais juste relativement parce que y'a rien de légitime à exterminer son prochain Ú^Ù)
La version du Fandom et la version originale ont toutefois une chose en commun : Error est complètement anti-social, craintif des autres, et se hait viscéralement sans se l'avouer à lui-même. Mais la version "Tsundere" est hautement caricaturale, allant dans des tempéraments parfois opposés à ce qu'est Error ! On le présente froid, distant, incapable de ne pas gueuler quand quelque chose lui déplaît, etc. Mais en réalité il répond aux questions, accepte une poignée de main d'un inconnu et la qualifie même d'"agréable", il parle de ses goûts, il admet mot pour mot qu'il aime bien avoir des gens à qui parler, il concède à des demandes... Les seuls sujets sensibles sont à propos de ses problèmes personnels qui englobent Papyrus, Toriel et bien sûr, lui-même.
Mais il déteste les glitchs, non ? Les AU's, tout ça, il les hait ?
Oui, il les hait, mais il fait inconsciemment une dissociation entre la masse de glitchs informe et un individu. Quand il va détruire les AU's, ce sont des glitchs. Quand il rencontre une personne au hasard et qu'il commence à tisser un rapport humain avec une personne (Swap), il en oublie presque qu'il est censé le haïr.
Canon Error joue le méchant, mais en fait c'est une petite bête effarouchée en plein déni d'une solitude extrême et d'une haine de soi forte. Cela colle aussi à la version du Fandom, mais dans une sorte d'inverse incompris : non seulement il perd tout son côté glitché, imprévisible, paranoïaque et cauchemardesque, mais surtout il perd son aussi un côté mignon et enfantin, naïf, ignorant les références sociales comme le terme "ship", avec des goûts surprenants et une réelle envie de tisser des liens quand il sent qu'il peut le faire sans danger. Résultat, il perd cette dualité étrange qui créé une sensation de malaise, un mélange de peur et de d'attachement, car on sent qu'il a des émotions totalement humaines mais qu'il est trop détraqué pour pouvoir être vraiment ami sainement avec quelqu'un... On peut même difficilement le qualifier de pervers narcissique, car il a déjà fait preuve d'une vraie compassion et que même s'il accuse un individu de son malheur, il ne va pas leur dire directement ni les culpabiliser à propos de ça, il aura plus tendance à se les rabâcher à lui-même. Il est plus direct quand il est en mode "destructeur", cependant ça reste des accusations portées sur l'état de "glitch" des gens en un terme général. Non, ce n'est même pas un simple connard, il est juste... Fou. On en oublie qu'il est fou.
Également, quand il se sent menacé, Error va automatiquement entrer dans son rôle de méchant avec le rire sardonique et les répliques frappantes. La version Fanon, elle, va cracher à la gueule de la personne en exprimant sa colère. Elle est réfléchie, haineuse, patibulaire, rabat-joie et stable dans son caractère tempétueux. Bien sûr, il y a des fanarts et des gags où on fait ressortir le côté mignon... Mais ça reste très souvent des gags, dans les fanfictions et les comics, ce n'est que rarement montré et souvent anecdotique sans grande imagination...
Bon, je parle de la version Fanon depuis tout à l'heure, mais est-ce que Error dans Underverse a ce problème ?
Et bien...
Non ┐⁠(⁠ ⁠∵⁠ ⁠)⁠┌ !
Déjà parce que dans Underverse, c'est modéré et qu'il est présenté dans des situations où c'est compréhensible (la majorité de ses interactions sont avec Ink, son ennemi juré donc évidemment il va être sur la défensive), mais aussi, on le verra plus tard, parce que la série soulève un côté important de ce que Error est devenu au fil du temps, et le confronte à un ultimatum, où son statut quô part en éclats.
Je ne suis pas pour le fait qu'Error soit ultra agressif et froid dans les histoires en général parce que je trouve que ça le rend intéressant comme un rat mort, mais le représenter plus sérieux, intelligent et conscient du monde qui l'entoure n'est pas un mauvais choix. Comment l'expliquer ?
Et bien... Il a vieilli, tout simplement.
Le Error d'Underverse, et par extension du Fandom est un personnage évolué, revisité et expérimenté sous de nombreuses facettes. Il est passé du type qui fout la merde dans les AU's au «Destructeur», sa puissance globale également a augmenté car les fans ont vu son potentiel de danger, ce qui peut être un parallèle au fait qu'il... s'est tout simplement entraîné et endurci au fur et à mesure ? Rien n'empêche d'imaginer un futur à partir du Canon qu'on nous a laissé. Il accumule de la mémoire, tout simplement. Même le fait que Ink et Error soient ennemis, ce n'est pas canon, mais pourtant... Bah c'est des plus logiques, car à force de mettre les univers en danger, évidemment qu'il a dû se confronter au protecteur, au bout d'un moment !
Error a visité des AU's, s'est retrouvé face à des situations qui lui ont appris des leçons... Il a gagné en maturité. Bon, toujours un zéro pointé en maturité émotionnelle, mais il a tout de même mûri, c'est normal et c'est très bien. (Car si les personnages n'évoluaient jamais dans un monde ouvert on se ferait un peu chier quand même)
Cela dit, il y a un couac un peu chiant qui va venir foutre le bordel dans ce beau tableau...
C'est encore elle, Madame la fiche Canon ✧⁠◝⁠(⁠⁰⁠▿⁠⁰⁠)⁠◜⁠✧ !
Dans le Canon, canoniquement, en vrai de vrai de vrai... Error est incapable d'évoluer. C'est dans sa nature, tout simplement. Car c'est une "error".
Selon Crayon Queen, la fin du Comic d'Error aurait dû se dérouler ainsi : Swap!Sans, à force d'être exposé à l'Anti-Void, devient à son tour une error, un être erratique et détraqué dont le trait de caractère et la mémoire se disloquent, se déforment. Il garde tout de même son caractère positif et héroïque, cela n'en fait pas un méchant, mais il restera imprévisible et difficile à suivre, donc dangereux. Error se sentira horriblement mal à propos de ça et sera même confronté à une profonde culpabilité qui le convaincra de le laisser partir. "Blueberror" sera ensuite guidé dans l'Oméga Timeline par Core Frisk où il ira habiter. Et Error se retrouvera à nouveau seul dans l'Anti-Void, seul dans un néant blanc, seul au milieu du Tout. Au fur et à mesure il oubliera toute cette expérience et redeviendra celui qu'il était avant sans aucune remise en question, car telle est la destinée des errors. Des choses corrompus sans espoir de salut.
Oui c'est tragique mais c'est comme ça ! Et Passive!Night est mort, va falloir vous y faire !
(Jamais ! QwQ)
Bon ! (*Se frotte les mains) Et si on essayait de passer entre les mailles du filet et de contourner cet élément somme toute contraignant, tout cela dans le respect du personnage et de son univers ?
Allez, on se lance ?
C'est parti !
Donc, pourquoi Error perd la mémoire ?
Parce que c'est une error, d'accord. Mais cela fait-il tout ? N'y a-t-il pas d'autres facteurs remarquables qui lui font oublier ?
Déjà, l'exposition continue à l'Anti-Void, où habiter amène à des conséquences néfastes. Pour expliquer pourquoi, j'avais émis la théorie qu'étant l'inverse du Void, c'était le Noyau du Multivers, aussi appelé le grand Tout, là où les codes se croisent et s'agglomèrent. –J'ai fait des recherches entre temps et la Doodlesphère ne peut pas vraiment être un Noyau, car c'est la dimension "privée" de Ink. C'est une zone vide (peut-être un AU vide qui est reconnaissable de part sa nature de néant blanc ou crème sans toutefois correspondre aux propriétés de l'Anti-Void) où le peintre a regroupé des sortes de liens pour accéder aux AU's. C'est un peu comme un Doc document personnalisé avec des milliers d'adresses URL, mais pas un Cœur.–
Exposés trop longtemps à l'Anti-Void, certains de nos codes finissent par fusionner à la dimension; on en perd, on en reçoit, tout cela jusqu'à faire de nous des errors, un peu comme dans une dissolution lente. La mémoire en est évidemment affectée. Au moment de la transformation, mais peut-être aussi en continuant d'y être exposé ?
Et si on n'adhère pas à cela, il y a aussi le fait que, bah... C'est un néant. Blanc. Sans vent, sans chaleur ou froideur, sans matière réellement palpable. ÉVIDEMMENT qu'il provoque une altération sur le cerveau et la mémoire. Si Error quittait l'Anti-Void pour un endroit moins... Glauque, on peut facilement imaginer que son amnésie continuelle serait moins sévère.
Et enfin, dernière raison et la plus importante...
C'est qu'Error est seul et qu'il se fait chier.
Et là on va faire un peu de philosophie, car la philosophie du vrai monde est la science de la fiction.
Qu'est-ce que la mémoire ? C'est, grossomerdo, le regroupement de nos souvenirs, enregistrés par une prise de conscience d'un moment qui fut présent mais qui est désormais passé. À ne pas confondre avec le support de stokage : il y a plein d'informations enregistrées par le cerveau dont ont ne peut se souvenir (dans le cas d'Error c'est très certainement détraqué aussi, du moins en partie).
Les conditions d'un souvenir sont les suivantes : exercer une fixation sur un objet, une situation ou une personne afin d'en prendre conscience. Réfléchir permet cet enregistrement car réfléchir est une prise d'initiative amenant à une interruption d'un flux de pensée pour considérer une pensée précise; penser qu'on a eu cette pensée. C'est comme un ordinateur, il y a plein d'images enregistrées à l'intérieur mais tu n'y auras pas accès, ou difficilement, si tu ne songes pas à les imprimer en format physique. En tout cas, pour avoir un souvenir, il faut un déclencheur, quelque chose qui nous rattache à la réalité et qui nous fasse dire : ça je le retiens.
Et Error n'a pas ça. Sa vie en tant qu'anomalie n'a rien de mémorable. Il est seul, tout le temps, dans un néant où il ne se passe rien, où il n'y a rien de beau. Un souvenir n'est un souvenir que si l'on a conscience d'un passé et d'un présent. Mais l'Anti-Void n'a ni jour ni nuit, ni horaire, pas de réel temps. Et les seules fois où Error sort, c'est pour aller tuer des masses de personnes dont il ne se soucie pas et qu'il ne considère même pas comme des êtres vivants. Il ne s'intéresse pas aux AU's qu'il détruit. Si on devait faire un album sur ses souvenirs de vacances... Ça se limiterait à couture, dodo, Undernovela, destruction, conversation avec des personnes imaginaires (ses poupées ou même nous), Outertale, couture, dodo.
Il est seul et il se SENT seul. Si seul qu'il entend des voix dans sa tête, si seul qu'il parle à ses propres poupées. Il a besoin des autres. On peut même supposer, dans le Canon tout du moins, qu'il a un caractère extraverti.
Oui, je viens de dire qu'Error était extraverti, et ça fait extrêmement bizarre 😅
Mais en vrai, c'est pas déconnant. Un caractère extraverti est défini par la manière dont la personne se ressource. Introverti, en étant seul, extraverti, en voyant des gens. On peut parfaitement être extraverti ET être asocial et anti-anti-anti-anti-antisocial. Et là tu l'as un peu dans le cul.
Je ne fais aucune affirmation, ce que je vois c'est qu'Error a une certaine aisance pour s'exprimer et parler de lui (tant que cela ne tient pas de ses problèmes) et qu'il est assez bavard. Mais bon, peut-être qu'il est quand même autre chose, intro ou ambi, parce que dans sa condition de solitude absolue, N'IMPORTE QUI aurait un besoin immense d'être avec d'autres personnes.
D'ailleurs, vous ne trouvez pas que dans son comic, plus il cohabite avec Swap, plus il est logique, stable et réfléchi ? C'est l'expérience qui s'accumule. C'est la mémoire qui agit. Car avec Swap, un ami, enfin, il peut retenir ce qu'il se passe et se rendre compte du temps qui passe. Quand il apprend le tricot avec lui non sans peine, quand il regarde Undernovela avec lui, quand il répond aux questions des créateurs avec lui, etc.
Ce n'est qu'après que Swap soit parti qu'Error réitère à se refermer sur lui-même, laissant l'Anti-Void le dévorer à nouveau.
Pour avoir une mémoire, Error a besoin de sortir un peu plus de l'Anti-Void ET d'avoir un visage, quelqu'un qu'il peut voir couramment afin de lui rappeler ses expériences passées. Et qui remplit parfaitement ce rôle dans le Fandom, je vous le donne en mille ?
Ink.
C'est sans doute la relation non-canon la plus solide du Multivers d'Undertale. Ses échanges avec Ink, que ce soit un affrontement, un dialogue tempétueux ou un délire à la con, toutes ces petites interactions contribuent à tisser un lien affectif entre les deux némésis.
Que les fans développent ça en rivalship, en bromance ou en romance, qu'importe, ÉVIDEMMENT qu'Ink est très important à ses yeux.
ÉVIDEMMENT qu'il le voit, d'une manière assez tordue, comme un ami.
Car c'est le SEUL rapport humain stable à long terme qu'il a. Et l'unique moyen de conserver ce lien est de continuer à détruire encore et encore pour attirer son attention, et peut-être même l'attention d'autres personnes. Et étant donné qu'il est incapable d'être sain avec qui que ce soit, car ayant une trop grande haine de lui-même et une trop grand peur des autres, quel meilleur moyen de montrer son attachement de part un "Je te hais ?"
Je vais vraiment utiliser une référence à la con, mais Error a un peu une mémoire de Dory. Elle oublie tout au fur et à mesure, mais à partir du moment où elle rencontre Marin, elle oublie de moins en moins. Elle a juste à voir son visage et elle se souvient de tout ce qu'ils ont vécu. Et elle a peur qu'il s'en aille et qu'il la laisse encore une fois toute seule, car elle ne veut pas oublier à nouveau.
Et si c'était ça dont Error avait peur dans Underverse, quand Ink le "délaisse" pour aller jouer avec X-Gaster ? Et s'il avait peur qu'en le perdant, toute le cheminement qu'il a accompli jusque là disparaisse en fumée ?
Ink est la mémoire d'Error. C'est très ironique.
Et puis, cerise sur le gâteau, Ink a énormément de points communs avec lui : confrontés à une solitude extrême dans un néant blanc, perte de mémoire, ignorance de l'état conscient des êtres autour d'eux... Ink exprime cette souffrance par une envie de protéger et Error par une envie de détruire (c'est super bien expliqué dans CE comic dont vous trouverez le lien plus bas, validé par la créatrice, je vous le conseille !). N'est-ce pas l'ami parfait ? Ce qui est drôle c'est que dans Underverse, les rôles "s'inversent". Ink est prêt à tout détruire tandis qu'Error est prêt à faire n'importe quoi pour sauver l'attention qui lui reste. Bon, il détruit les AU's, mais il s'en fout des AU's, c'est Ink qui l'intéresse. Il en avait l'occasion depuis le début, mais il a attendu. Parce que ses combats avec le peintre et son statut quô sont importants pour lui.
Si ça, ce ne sont pas deux fous marchant sur de la lumière, je ne sais pas ce que c'est.
D'ailleurs, j'extrapole à fond, mais imaginez que la dimension île au milieu de la mer cheloue avait été réquisitionnée par Error pour être son nouveau repaire justement parce qu'il en avait marre de l'Anti-Void et des pertes de mémoire que cela lui causait ? Peut-être qu'étant en trêve avec Ink, il n'a plus senti le besoin de se protéger de lui en restant dans l'Anti-Void (puisque Ink a une grande peur des espaces blancs ça lui fait un bon repaire) et il a pu y emménager ultérieurement. Après tout, les seules fois où on le voit dans l'Anti-Void, c'est quand Ink l'y renvoie à coup de pied aux fesses et dans la 2ème Xtrascène où il roupille. Comme s'il cuvait son vin ou un truc du genre, comme s'il y était retourné sous le coup d'une envie virulente de tout oublier à nouveau par frustration de voir Ink s'amuser sans lui. Vous n'avez pas remarqué que les poupées et le pouf dans lequel il s'asseoit n'existent que dans son rêve ? Et que quand il se réveille, il est par terre, sans rien autour ? Pourquoi il n'a pas dormi dans son pouf ? Comme s'il avait vraiment déménagé ses affaires, sauf les âmes vu qu'elles sont mieux gardées de Ink dans l'Anti-Void. Le pouf n'est pas sur l'îlot dans l'Xtra scene 1, mais il y est dans le Comic the Truce, Error l'a déplacé. Si ça se trouve il s'est vraiment cassé de l'Anti-Void et il ne s'en sert plus que comme répertoire à âmes ? Tout cela pour... Arrêter d'être fou ? Vivre à peu près normalement ? Prendre conscience de son être et... Être, tout simplement ?
Très capylotracté mais j'adore cette théorie xD
Et je pense aussi qu'Error ne voit pas Ink que comme un outil ou un moyen. À mon avis il pense vraiment que les deux ont une relation spéciale. Parce qu'il a un penchant romantique, ça se suggère avec son passé de Sans, son goût pour Outertale et le fait de regarder une série à l'eau de rose avec un ship où sa version alternative et la version alternative de la femme qu'il a aimé sont dans une relation incomprise et interdite, parce qu'il a peur mais aussi envie d'être aimé dans le fond étant donné qu'il est lui-même incapable de se donner de l'amour propre, parce qu'il montre une frustration intense quand Ink ne lui montre pas que c'est réciproque...
Et parce que RIVALSHIP ! Ça collerait trait pour trait à la relation Joker/Batman dans le film Lego Batman et que je trouve ça GÉNIAL !!! (*secoue la tête de fan-girling)
(Je ne sais pas si Jakei va partir sur ce que j'ai de développé mais peu importe ce qu'elle fait ce sera quand même super génial, je ne m'en fais pas pour ça ✧⁠◝⁠(⁠⁰⁠▿⁠⁰⁠)⁠◜⁠✧ !)
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Error appartient à @loverofpiggies
Ink appartient à @comyet
Underverse appartient à @jakei95
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Aimer, c'est être souvent paranoïaque
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La preuve que la débilité mentale peut très bien coexister avec la psychose paranoïaque…
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lefeusacre-editions · 2 months
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"LA MAMAN ET LA PUTAIN" (Jean Eustache, 1973), par Pierre Pigot
Le blog du Feu Sacré tenait à revenir sur l'un des événements cinématographiques marquants de cette année : la parution en vidéo de la quasi-intégralité de l'œuvre de Jean Eustache. Avec trônant au centre, ce film proustien qu'est "La Maman et la Putain".
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Alexandre lit Proust.
« Longtemps, je me suis réveillé fort tard », telle est la note proustienne parodique sur laquelle s’ouvre le magnum opus de Jean Eustache, explicitement conçu en miroir du grand œuvre du petit Marcel. Alexandre émerge d’un lit qui n’est même pas le sien, et qui reviendra régulièrement comme une matrice dont il est difficile de s’extraire : lieu-refuge, et surtout lieu des femmes, de celles qui obsèdent et qui tourmentent, parce qu’elles se refusent avec obstination à la complète transparence qui devrait, selon leur supposé maître, accompagner leur possession jalouse. La passion d’Eustache pour la Recherche devait inévitablement rencontrer le problème qui se pose à tout créateur confronté à cette cathédrale de mots, d’art et de passion : être brutalement possédé par le désir de la reproduire, pour soi-même, pour en atténuer la force presque transperçante – et s’acharner à ne pas se satisfaire d’une simple reproduction. Tout dépendait du matériau qui était à disposition du fanatique. Proust avait sa propre vie, mais qu’il avait enrichie de sucs fictionnels vénéneux pour tout exégète. Eustache, moins protégé par l’art, n’était capable de mettre au mont-de-piété du cinéma que les parts les plus sacrifiables et les plus précieuses de son existence tourmentée. Moins d’une décennie plus tard, cette transparence s’avérerait fatale – et l’on reverrait, encore et encore, Alexandre assis, torse nu, lisant la Recherche dans sa vieille édition NRF, et plus particulièrement La Prisonnière, ce catafalque du malheur amoureux qui débouche ensuite sur son volume gémellaire, hanté par le deuil – et l’on songerait qu’ici, les photogrammes exhalaient, à défaut du plus beau, du moins le monument funéraire le plus juste qui soit. « Dans quel roman te crois-tu ? », lance Gilberte (la bien nommée) à Alexandre, au début du film, alors que la volubilité irréelle de ce dernier fonctionne déjà à plein régime. Alexandre, en effet, parle comme coule la prose, artificielle, syntaxiquement cassante, généreuse uniquement en feux d’artifices blessants. Le cinéma lui offre la voix de Jean-Pierre Léaud, ses tonalités d’innocence perverse, de naïveté étudiée, de détachement anxieux, de sociabilité paranoïaque. Ses paroles sont la véritable trame de sa personnalité – à côté desquelles son apparence physique ou vestimentaire (le profil d’oiseau mélancolique et obtus, les cheveux longs, les lunettes teintées, les foulards interminables) n’est qu’une concession faite à la réalité des corps, comme le snobisme (qui adore rôder dans l’ombre mouvante du dandy) aime à en circonscrire dans la matière, ici baignée dans un noir et blanc qui se défie de son époque. Ce sont ces paroles qui auraient dû convaincre Gilberte, mais n’ont fait que la confirmer dans sa part d’univers, d’un stérile doucereux, dont elle ne resurgira plus que comme fantôme de supermarché – avec à son coté, un mari incarné par Eustache lui-même, spectre silencieux, trop conscient d’avoir placé son autoportrait dans le seul recoin dont il se sentait digne face à ce que ses propres mots parvenaient à bâtir comme beauté noire : le rayon des fruits et légumes.
Ce n’est pas un film bavard (reproche habituel), mais un film prolixe, profus, où parmi les bruits de la ville (Paris, encore capable de faire sourdre de ses entrailles pompidoliennes un parfum balzacien), bruits enregistrés comme jamais, ne cessent de défiler comme à la parade leurs adversaires de toujours, les mots. Et que ceux-ci soient employés le plus souvent comme des armes impropres, fait justement partie du jeu misérable qu’Eustache feint de célébrer pour mieux le dénoncer. Alexandre utilise le vouvoiement : c’est à la fois une marque de distanciation, une flèche de séduction, et une moquerie du langage à double-fond – de manière totalement française, son discours fleuve, son discours marathon, a moins pour but d’exprimer une opinion, que d’exciser un peu de « réalité » du monde des humains, à l’aide des tenailles du langage, pour en obtenir la maîtrise passagère. Sur ce point, Alexandre est fidèle à l’adage védique, qui affirme que « les mètres sont le bétail des dieux », autrement dit, que chaque syllabe poétique est une armure vivante et divine en soi, une protection changeante et complexe, contre ce qui dans le processus sacrificiel peut blesser celui qui s’en approche. De la même manière, les mots sont pour Alexandre un double de ses foulards imposants qu’il transporte autour de son cou comme des gonfalons prétentieux : mètre gayatri ou trishtub, peu importe, il lui importe avant tout de découvrir, parmi les mots qui s’enchaînent, celui qui sera capable d’enfermer, de blesser, de retenir l’autre dans un cercle invisible, qui serait celui d’un microscopique gothul où quelques femmes, de son point de vue ses femmes, danseraient sa propre solitude. Ainsi l’histoire du tampax, qui doit aussitôt devenir un récit entré à son répertoire (comme celui de la Comédie-Française) – exhibé, digéré, poli telle une pépite d’or du Yukon, exploitable ensuite en société. Ainsi ces vieilles chansons de Frehel ou d’autres chansonniers du tournant du dernier siècle, dinosaures archaïques transportés dans les loges de la modernité cinématographique, mais qui au-delà de leur mélancolie intrinsèque, sont avant tout des transports de mots surarticulés, scandés, nourris d’une émotion que l’homme contemporain souhaiterait faire renaître sincère en soi (et bien sûr, il n’y parvient pas). Sans le savoir, Alexandre prouve que le divin réside désormais dans la chansonnette pour bal des pompiers. Une fois que le pouvoir des femmes unies l’aura défait, que le maquillage l’aura fait rejoindre leur camp dévirilisé, ce ne sera plus l’heure de la démonstration séductrice, mais celle du repliement mélancolique – et le classique, funèbre, sans mots, aura eu raison du populaire.
S’il l’avait connue, Alexandre aurait longuement rêvassé sur la légende de Krisna et des gopi, les seize mille gardiennes de troupeaux qui le vénéraient et tissaient autour de lui des jeux érotiques sans fin. Tout l’équilibre de la relation entre Krisna et ces jeunes filles résidait dans la balance infinie qui régit le svakiya (lien légitime, conjugal) et le parakiya (lien illégitime, adultérin). Alexandre crache d’emblée sur le svakiya parce qu’il l’associe au retour à l’ordre bourgeois qui suit la remise au pas de la société après mai 68. La complicité mentale avec son meilleur ami (qui est en réalité son parfait double dandy hautain, son frère jumeau, mais privé, lui, de toute déchirure psychique) repose sur la croyance hypocrite que le parakiya, la recherche inassouvie de l’unique parmi l’infinie multiplicité féminine, est le seul contrepoids du svakiya auquel en vérité il aspire (car sinon, pourquoi encore et toujours Gilberte, pourquoi, au-delà des questions d’argent, encore et toujours Marie ?). Mais l’écueil majeur du svakiya, autour duquel le film navigue comme s’il s’agissait d’un vaste et sanglant récit de corails ne faisant qu’affleurer la surface, demeure bel et bien la procréation, l’engendrement, le renouvellement des générations au-delà du plaisir égoïste. Quand Alexandre confesse face caméra une histoire qui finit par parler d’avortement, il s’empresse de remettre ses lunettes teintées, qui sont l’équivalent d’un masque : la faille, à charge pour nous de le comprendre, n’est pas celle d’un deuil, mais d’une mauvaise conscience, qui se hâte d’aller se blotir derrière les dandy paraphernalia. Les mots sont cette fois érigés en muraille de Chine, mais avec la mystérieuse Veronika, ils ont rencontré un adversaire de taille, maniant exactement la même arme, mais avec une précision bien différente. « Baiser » : Veronika aime les mots crus, c’est sa philosophie à coups de marteaux – déchirer les bandelettes ductiles du langage avec des lames aiguisées sur le fer de la vie, la vraie, dépouillée de son fantasme, ramenée à l’essentiel d’une humanité qui frôle, dans l’exaltation du sexe, l’animalité. Elle ne cesse de réclamer une promenade au « bord de l’eau » : c’est une créature liquide, plus Mélusine foudroyante que nymphe désirable, jouant de ses cheveux coiffés en bandeaux lisses et inflexibles, puis une fois défaits, tentaculaires et gorgonesques. Ses propres blessures ramènent celles d’Alexandre au stade de l’enfantillage : une puérilité ivre d’elle-même, qui se croyait le dieu de sa parole, et qui se découvre une rivale, à la mentalité aussi acérée qu’Athéna et aussi imprévisible qu’une ménade. Le grand exploit de Veronika est l’instant suprême où elle obtient, enfin, le silence. Ses propres mots ont pris leur victime, le jeune homme trop sûr de ses dégoûts et de ses névroses, à la gorge, et lorsqu’elle démolit sa grandiloquence et sa vanité, elle ne laisse plus, derrière elle, qu’un petit animal piteux et blessé, auquel ont été retirés ses jouets syllabiques, et qui se découvre nu dans une obscurité psychique sordide. Le grand monologue de Veronika, si justement célèbre, qui réussit à unir dans sa confession à la fois le gloria de l’amour et le sanctus des larmes, est un chant profondément personnel, arc-bouté contre toutes les dissimulations, qui réduit à néant tout le vaste échafaudage néoromantique qu’Alexandre avait disposé autour de sa personne. C’est une tempête de désir et de désespoir qui, dans la stase d’un plan unique, ravage tout et s’octroie ainsi la royauté de tout le récit. Et la révélation que Veronika est enceinte, détruira ainsi chez Alexandre les dernières illusions, le rendra à son caractère d’infamie, d’infériorité, de mendicité amoureuse qui était véritablement le sien. Impuissance face à la divinité qui l’a terrassé – qui a obtenu, comme dans tant de hyérogamies grecques, un peu de sperme pour générer du futur – et qui, comme premier acte de serviteur, lui fait recueillir son vomi.
C’est sur cette note de souillure, de chaos et d’humiliation qu’Eustache conclut les quatre heures de son roman, pardon, de son film. Peu auparavant, on avait pu voir Alexandre, soudain muet, se mettre à écrire quelque chose, sur un coin de table, sur un bout de papier. Et c’était la première fois qu’on le voyait, depuis le début de cette longue histoire, réaliser quelque chose qui soit de l’ordre de l’esprit. Ce quelque chose, malgré une moquerie de femme, il restera à jamais invisible, on ne saura jamais ce qu’il contenait, ce qu’il parvenait soudain à exprimer, en mots cette fois non parlés, mais écrits. C’est le résidu irréductible de cette expérience – son mystère d’Eleusis, le seul auquel nous ne pouvions pas être conviés.
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« C'était une grave erreur de laisser entrer autant de gens de culture, de religion totalement différents, car cela crée un groupe de pression à l'intérieur de chaque pays qui a fait la même chose » en lien avec les événements en Israël. H.Kissinger Ouvrier de la mondialisation. 10 octobre 2023
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Durant la guerre du Kippour, le secrétaire d'État américain, Henry Kissinger, reproche à Golda Meir sa trop grande méfiance : il disait ne soyez pas paranoïaque ! Même les paranoïaques ont des ennemis...
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Boumédiène et Fayçal avait couper le pétrole au occidentaux. Kissinger le sionistes avait dit à Faycal que c'était pas bon pour l'économie il avait répondu " Nous sommes arabe du désert nous avons grandit avec du lait et des dattes et nous sommes capable d'y retourner
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rayondelun3 · 10 months
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J'ai encore eu mal au ventre aujourd'hui. Et Elle, L, était là. Elle est passée devant moi mais je ne faisais pas attention - j'étais prise d'anxiété, je dissociais . Elle nous a regardé T et moi. Elle a poursuivi sa route.
Plus tard je suis retournée à l'éreve mais une surprise horrible m'attendait. L était là, à la même place qu'avant. Elle me jetait des regards furtivement ou peut-être suis-je paranoïaque ? Je suis fatiguée mentalement. Je n'aime plus quand elle est là. Ça me fait mal. Ça me fait faire demi-tour.
J'écoute beaucoup Misère ! de Terrenoire. Sinon je brûle pas mal de documents. Là j'ai brûlé des documents qui étaient des comptes rendus de mes hospitalisations. Je regardais les papiers brûler en dégageant beaucoup de fumée... Ça me rappelait les cocktails Molotov des CRS tellement ça me brûlait les yeux. J'ai trop trainé en manif.
J'ai regardé ces dossiers brûler et dégager une épaisse flamme blanche. Dans ma tête je pensais « je n'irais plus à l'hôpital pour des crises liées à mon état mental. Personne ne saura comment je vais réellement ni ce que je ressens et j'accepte qu'on ne me comprenne pas. Ça me fruste, mou qui est horreur d'expliquer, de me justifier auprès d'autrui. C'est décidé je ne le ferai plus.
J'ai regardé les cendres s'envoler, emportées par le vent. Je me suis « bon débarras » et je pensais déjà à ce que j'allais brûler d'autre.
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nanarenpanavision · 5 months
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The First Omen (2024)
07/10
Vu le 20/04/24 / Thriller / États-Unis
Une jeune Américaine est envoyée à Rome pour commencer une vie au service de l'Église. Elle se retrouve confrontée aux ténèbres qui l'amènent à remettre en question sa foi et à découvrir une terrifiante conspiration qui espère donner naissance au mal incarné.
La Malédiction : l'Origine réussit partout où Immaculée a échoué. Le cast est top, les costumes et les décors sont vraiment marquants, réalistes et les scènes autour de la tocophobie vont particulièrement résonner avec les expériences et les craintes de certain-e-s.
Le point de vue biaisé du personnage principal (cohérent dans le contexte) ne fait que sublimer la mise en scène paranoïaque de certains rites catholiques, anodins aux yeux des connaisseurs.
Une très bonne surprise : comme je l'ai dit plus tôt, je suis sortie déçue par Immaculée moins de 2 semaines avant de voir ce film, ce qui pousse tout le public à exercer une comparaison cruelle... mais méritée. Ici, pas d'incohérence crasse du style "oui l'église catholique encourage la PMA et l'avortement jusqu'à son plus haut niveau", mais une métaphore très actuelle sur la perte du droit à l'autonomie reproductive des femmes, partout dans le monde.
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e642 · 11 months
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J'ai l'esprit tellement pas tranquille avec ce garçon c'est impressionnant. J'ai des vagues de petits pics à base de "c'est sûr il va me tromper ou il me trompe même déjà en ce moment même" et le reste n'est qu'un "en vrai tant qu'il se protège, c'est carré, il a bien raison". Jme sens à la fois paranoïaque et à la fois infâme. Tsais, je vois la différence avec mon ancienne relation, c'était la démesure, c'était le mec de ma vie à un moment, c'était tout, j'avais vraiment l'espoir qu'on finisse notre vie ensemble. Là, j'ai pas un mot plus haut que l'autre, c'est rationnel, jsuis passive, et je sais surtout qu'on va pas aller loin. Et en fait, je crois que je porte tellement peu d'importance réelle à cette relation que je passe juste mon temps à faire des prédictions, et attendre la fin pour voir si j'avais vu juste. Plus les gens, pas seulement ce gars, ont des comportements cruels envers moi, plus je m'éloigne émotionnellement de tout ça. Donc en fait, que mes liens avec certaines personnes aillent bien ou mal, c'est pas que je fais pas le delta, c'est juste que j'ai cette curiosité malsaine de voir jusqu'à où on va pouvoir aller vu l'état déplorable de certaines conditions dont pâtissent mes interactions sociales. Je n'en suis pas vraiment bouleversée, j'attends juste que ça prenne fin et en attendant, je me fais mille scénarios car je suis affamée du dénouement. Je ne le redoute pas pour autant. Quelle pauvreté n'empêche.
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oanthore · 6 months
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Dans un présent essentiellement médiatisé et travaillé par sa propre vraisemblance, il est inévitable qu'un trouble paranoïaque naisse : tout ne serait-il pas un mensonge ? Est-ce bien arrivé ? Peurs et colères traquent les coupables et responsables sur le modèle de ces films où les faibles démasquent les puissants avec les moyens du bord. Les portes sont ouvertes à une viralité de l'affabulation. Les peurs profondes et les souffrances collectives y trouvent un espace pour se donner à voir et à un spectacle concurrentiel. Construire son propre récit à partir des éclats épars des discours et des images est une certaine manière de mettre en lumière un certain sens du monde et du ressentiment qu'il génère.
Nicolas Léger -  Le naufrage du spectateur
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semtituloh · 11 months
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Vía Groupe Surréaliste Internazionale Daniel Ollivier
Salvador Dali (1904-1989) ~~ Paranoiac-astral image (Image paranoïaque-astrale), 1934
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professeur-stump · 1 year
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Prudences nouvelles, susceptibilités intransigeantes, lectures paranoïaques, réécritures mièvres, censures sournoises, que faisons-nous d’autre désormais qu’arracher les fleurs du mal à pleines brassées ? Notons que, dans l’opération, le mal ne subit aucun revers, au contraire, il engraisse toujours la terre entière comme notre petit pré carré de ses putréfactions. Mais nous n’aurons plus les fleurs.
(Éric Chevillard, L'autofictif, 5345)
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lemondeabicyclette · 7 months
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Ariane Bilheran démontre que le totalitarisme est un système paranoïaque dans lequel les pathologies perverses, sadiques, transgressives et psychopathes sont à l'honneur.
La condition de survie de ce système est un mensonge premier qui est maintenu dans le secret, l'endoctrinement des masses à l'idéologie, la mise sous terreur des individus et des collectifs, entraînant à la fois sidération traumatique, jouissance pour certains et horreur pour d'autres..
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whatsagirltoblogabout · 8 months
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Déçu
(English translation below the cut, but the pun only really works in French)
“Savez-vous que le mot ‘décevoir’ signifie deux choses différentes en anglais?”
La rue est bruyante en dehors du café parisien, mais la voix de Mozzie coupe à travers le son pour arriver directement dans des oreilles cachées en dessous d’un fedora. L’homme à qui ces oreilles appartiennent se retourne rapidement, ses yeux bleues grandissants avec surprise en voyant qui lui adresse.
“Ça peut être traduit comme ‘deceive’ ou ‘disappoint,’” Mozzie continue, “Mais toi, mon frère, t’as toujours été surdoué. Tu as réussi à me décevoir dans les deux sens en même temps.”
Neal fait semblant d’être un poisson hors de l’eau, ouvrant et fermant sa bouche plusieurs fois en silence. Finalement, il parvient à dire qu’un seul mot : “Moz.”
Son expression trahit une profonde culpabilité, plaignant pour être pardonné. Mais Mozzie garde sur son visage un masque de colère, même pendant que son cœur commence déjà à fondre en voyant son vieil ami debout devant lui, sain, sauf et vivant.
“Surprise de me voir? Tu ne croyais surement pas que tu pouvais te cacher de moi pour toujours.”
Neal secoue sa tête, résigné. “Bien sûr que non, Moz. Voulez-vous vous asseoir?” Il désigne une table dans le café qu’il vient juste de quitter.
“Oui, merci,” répond Mozzie, s’assoyant d’une façon glaciale. Il attend que Neal est assise incomfortablement dans sa propre chaise avant de se remette à l’attaque. “Comment pouvais-tu me laisser croire que t’étais mort pendant toute une année?!”
“Pour ta securité,” Neal essaie d’expliquer. “Les Panthères…”
“Tu m’as laissé de côté pendant toute l’opération pour cette raison exactement,” reproche Mozzie. “Nous étions prêts à échapper ensemble, mais tu m’as abandonné.”
“Non, Mozzie, ce n’est pas–”
“Quoi, alors? T’as voulu vanter ta supériorité dans le domaine de déception? Tromper un conspirateur paranoïaque pour ton dernier grand tour? Félicitations, Neal, t’as réussi. Tu m’as vraiment déçu cette fois.”
“Did you know that the French word ‘décevoir’ means two different things in English?”
The street is noisy outside the Parisian cafe, but Mozzie’s voice cuts through the sound to arrive directly inside a pair of ears hidden under a fedora. The owner of said ears turns around quickly, his blue eyes widening in surprise when he sees who’s talking to him. 
“It can be translated as ‘deceive’ or ‘disappoint,’” Mozzie continues, “but you, mon frère, you were always talented. You managed to leave me ‘déçu’ in both ways at once.”
Neal does an impression of a fish out of water, opening and closing his mouth in silence. Eventually, he manages to get out a single word: “Moz.” 
His expression betrays a deep guilt, pleading for forgiveness. But Mozzie keeps a mask of anger on his face, even as his heart has already started melting at the sight of his old friend standing in front of him, safe, sound and alive. 
“Surprised to see me? You didn’t really think you’d be able to hide from me forever.” 
Neal shakes his head, resigned. “Of course not, Moz. Do you want to sit down?” He gestures to a table in the cafe that he just left. 
“Oui, merci,” Mozzie responds, sitting down icily. He waits for Neal to be seated uncomfortably in his own chair before launching back on the offensive. “How could you let me believe you were dead for an entire year?!” 
“For your safety,” Neal tries to explain. “The Panthers…”
“You kept me on the outskirts of the operation for exactly that reason,” Mozzie interrupts reproachfully. “We were set to escape together, but then you abandoned me.”
“No, Mozzie, that’s not–”
“What, then? You wanted to show off your superior deceptive skills? Fool a paranoid conspiracist as your last big con? Congratulations, Neal, you did it. You really had me ‘déçu’ this time.”
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