#orléanaise
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plaques-memoire · 1 month ago
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Plaque en hommage à : Jean-Pierre Delaugère
Type : Lieu de travail
Adresse : 89 rue d'Illiers, 45000 Orléans, France
Date de pose : 17 septembre 2010 [inscrite]
Texte : Dans cet immeuble, le carrossier Jean-Pierre DELAUGERE (1810-1868) a jeté les bases de l'industrie automobile Orléanaise
Quelques précisions : Jean-Pierre Delaugère (1810-1868) est un carrossier français. En 1855, il reprend une société de carrosserie avant de fonder, en 1864, sa propre entreprise de fabrication d'hippomobiles. A sa mort, son activité est reprise par ses fils, qui s'associent avec l'entreprise Clayette de Meung-sur-Loire. Pendant longtemps, l'entreprise Delaugère fut un acteur majeur de l'industrie automobile orléanaise.
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jpbjazz · 3 months ago
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RUSSELL PROCOPE, LE CLARINETTISTE OUBLIÉ
‘’Pendant plus d’un demi-siècle, il a fait chanter sa clarinette et son saxophone avec allégresse, reprenant chez Duke Ellington l’héritage de Barney Bigard dont il retrouve le swing léger, l’élégance naturelle et la tradition néo-orléanaise. Au saxophone alto, il s’exprime avec la même grâce, dans un style qui pourrait être un compromis entre la manière de Benny Carter et celle de Johnny…
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neozoneorg · 9 months ago
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Vhéliotech, un kit génial pour fabriquer soi-même un vélo cargo électrique solaire et solidaire
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Vhélio, c'est bien plus qu'une simple start-up de vélos électriques. C'est une initiative orléanaise qui incarne la mobilité durable à travers deux modèles emblématiques : le Vhélioriginal, disponible à l'achat, et le Vhéliotech, conçu pour les ... Read the full article
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dandanjean · 1 year ago
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Proverbes du panda
Celui qui sait qu’il ne sait pas, éduque-le. Celui qui sait qu’il sait, écoute-le. Celui qui ne sait pas qu’il sait, éveille-le. Celui qui ne sait pas qu’il ne sait pas, fuis-le. William Wilson, illustrateur pour l’édition jeunesse (Gallimard, Folio, Flammarion…) et la presse, est né à Tour en 1952 d’une mère Orléanaise et d’un père Togolais. Après avoir fait des études de philosophie et…
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franckdenise · 1 year ago
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AllBiz pour la visibilité des Serruriers sur le Net
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ceciestnotresang · 6 years ago
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CW : ciscentrisme
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bouxmounir · 3 years ago
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Tennis : objet de fric pour l'US Orléans, le CJF Fleury et l'AS Tennis Interclubs
Tennis : objet de fric pour l’US Orléans, le CJF Fleury et l’AS Tennis Interclubs
Les Orléanaises sauront un peu mieux à quoi s’en tenir ce dimanche 1er mai, une fois qu’elles seront collées aux Belfortaines, à Belfort. “L’équipe la plus faible, a priori”, estime Patrick Hardouin. Avec des classements allant de -2/6 à 15/1. L’USO est toujours très utile, avec la notation les sœurs Cirotte, Chloé et Astrid (-15). “Mais Chloé, qui a étudié aux États-Unis, ne nous est pas revenue…
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burnpheonix04 · 3 years ago
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mercitherese · 3 years ago
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Chronique 41 // Je me suis fait larguée
Vous savez, ce genre de douleurs dans la poitrine qui fait une étrange sensation. Comme si quelqu’un prenait votre coeur et le serrait très fort. Moi ça faisait depuis 2013 que je n’avais pas eu une douleur du genre. 
Pas de rupture-surprise, de descente aux enfers depuis tout ce temps. J’avais complètement oublié la sensation quand soudainement, après un mois de vacances chacun de son côté, avec C., on se retrouve enfin. Il m’a manqué, on ne s’est pas vraiment écrit, je savais qu’il se retrouvait en famille et avec lui-même. 
Il m’a écrit par contre une fois revenu sur la terre orléanaise, avec l’envie de me voir vite. Je suis aux anges, je lui propose ce mardi soir de nouvelle lune. La soirée se déroule au mieux, et puis sur les coups de 23h, dans la conversation, j’évoque son absence numérique, loin de moi. Et si, loin des yeux, loin du coeur ? Je le taquine mais j’ai envie d’une discussion légère, sans pression. 
Il s’engouffre dans un récital de rupture que je n’avais absolument pas vu venir. Il ne peut pas donner autant que moi. « Y’a une évidence entre nous mais il me manque un truc ». Pardon… Je suis choquée, je lui dis que du coup, on ne se reverrait plus. Il est embêté mais il comprend. Je le raccompagne en bas de chez moi… et le voilà qu’il ne part pas. On est là comme des ronds de frites à mourir d’envie de rester ensemble encore longtemps. Je l’invite à remonter chez moi et attendre le petit matin si c’était un départ définitif. 
Il accepte. Une fois remontée, j’adopte un comportement bizarre : profitons de la vie. Je me rends bien compte qu’on est sur le fil, la rupture est imminente. Je joue mes dernières cartes. Il semble être dans un état d’esprit similaire, il profite des moments passés avec moi jusqu’au dernier. On s’enlasse, on rit, on s’embrasse. Comme s’il était soulagé d’un truc… On fait l’amour comme si c’était la dernière fois, c’est puissant. On s’endort pour la dernière heure avant le réveil, dans les bras l’un de l’autre. Le grand jeu… Un film. Je pense secrètement qu’il est impossible de me dire adieu à 6h du matin devant le pas de ma porte.
Et pourtant, c’est ce qu’il fait. Je lui repose deux fois la question : « on se revoit pas? T’es sur? » Il semble sur, il tente de se convaincre. « Prends soin de toi », me dit-il des sanglots dans la voix. Je reste traumatisée sur mon palier, le regardant s’éloigner pendant de longues minutes. Trois fois, il se retourne et me regarde, l’air perdu. Comme un générique de film qui défilerait longtemps. On verrait notre relation se dissiper comme lui au fil de la rue.
Quand je décide de m’enfermer chez moi, je pleure comme un bébé. J’ai mal dans la poitrine, j’ai l’impression qu’on m’a arraché le coeur. Cette douleur je la connais, elle n’a pas changé depuis 2013. Avoir le coeur brisé, c’est quand même une sensation incomparable pour laquelle il devrait y avoir des remèdes brevetés par l’industrie pharmaceutique…. Car autant, à 20 ans j’acceptais de passer trois mois à bader, mais aujourd’hui, j’ai juste envie d’oublier très vite cette histoire. Que ce poids dans mon ventre me laisse tranquille, que je retrouve un peu d’appétit, que je réponde à nouveau à mes potes pour des apéros en terrasse. Je me vois taper « comment se remettre vite d’une rupture » sur youtube, passer des heures à mes copines pour qu’elles me réconfortent, tirer les cartes en espérant qu’on me prédise le come back de Mister C dans ma vie… bref, je me suis larguée et ça craint de ouf
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mtamar2020 · 3 years ago
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MÉDECIN GÉNÉRALISTE (F/H)
Job title: MÉDECIN GÉNÉRALISTE (F/H) Company: Appel Médical Job description: description du poste Vous assurerez des consultations en hospitalisation à domicile sur la région orléanaise sur la période suivante : – tout le mois de Septembre – tout le mois d’Octobre Rémunération de 550 € net/jour + Logement à l… Expected salary: Location: Orléans, Loiret Job date: Thu, 02 Sep 2021 07:53:32…
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iam-eleonore · 4 years ago
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jpbjazz · 3 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
RUSSELL PROCOPE, LE CLARINETTISTE OUBLIÉ
‘’Pendant plus d’un demi-siècle, il a fait chanter sa clarinette et son saxophone avec allégresse, reprenant chez Duke Ellington l’héritage de Barney Bigard dont il retrouve le swing léger, l’élégance naturelle et la tradition néo-orléanaise. Au saxophone alto, il s’exprime avec la même grâce, dans un style qui pourrait être un compromis entre la manière de Benny Carter et celle de Johnny Hodges.’’
- André Clergeat
Né le 11 août 1908 à New York, Russell Keith Procope a grandi à San Juan Hill, près de New York, où il avait étudié aux côtés de Benny Carter. Après avoir d’abord étudié le violon, Procope était passé à la clarinette et au saxophone alto.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Procope avait amorcé sa carrière professionnelle en 1926 avec l’orchestre de Billy Freeman. En décembre 1928, à l’âge de vingt ans, Procope avait fait ses débuts sur disque avec les Red Hot Peppers de Jelly Roll Morton, qui se produisaient alors au Rose Dance Land, une école de danse située à l’intersection de la 125e rue et de la 7e Avenue. Évoquant sa collaboration avec Morton, Procope avait précisé: “Jelly was the first’ man who ever fired me. I was a fresh kid, always arguing. Jelly. said, ‘I'm going to run this band or break it up.’ Well,’ I said, ‘looks like you're going to have to break it up.’ ‘O.K., ‘ said Jelly, ‘you're fired.’ That’ taught me you can rub people but you can't rub ‘em too far.”
Par la suite, Procope avait joué avec les légendaires McKinney's Cotton Pickers à Detroit, puis avec les groupes de Benny Carter, Chick Webb (1929–1930), Fletcher Henderson (de 1931 à 1934), Tiny Bradshaw, Teddy Hill (1935-1937), King Oliver et Willie Bryant. Décrivant sa collaboration avec Webb, Procope avait précisé: “Chick had the damnest jazz band you ever heard, as opposed to the commercial band he had when he got Ella Fitzgerald. In those days we didn't have money to buy music so we made head arrangements [that is, arrangements that were extemporized, not written]. It was better for jazz.”
On ignore souvent qu’un peu comme un joueur de baseball, Procope s’était joint à l’orchestre d’Henderson dans le cadre d’un échange avec le groupe de Webb. Dans le cadre de cet échange, Webb avait cédé Procope et le tromboniste Benny Morton à Henderson en retour du saxophoniste Benny Carter et du tromboniste Jimmy Harrison. Commentant la transaction, Procope avait déclaré avec humour: “It was great for me. It doubled my salary.”
Après la dissolution de l’orchestre d’Henderson en 1934, Procope s’était joint au groupe de Benny Carter avec d’autres anciens membres de l’orchestre. Par la suite, Procope avait travaillé durant un certain avec les groupes de Tiny Bradshaw et Willie Bryant avant de se joindre à l’orchestre de Teddy Hill en 1935. À l’époque, la section de trompettes du groupe de Hill avait été composée successivement de Roy Eldridge, Bill Coleman, Frankie Newton et Dizzy Gillespie. Les autres solistes du groupe étaient le tromboniste Dickie Wells et le saxophoniste ténor Chu Berry. C’est dans le cadre de sa collaboration avec le groupe que Procope s’était rendu pour la première fois en Europe en 1937. À l’époque, l’orchestre de Hill était très populaire faisait partie intégrante de la Cotton Club Revue, un spectacle entièrement composé de musiciens de couleur qui avait été présenté notamment au Palladium de Londres.
Après avoir quitté le groupe de Hill en 1938, Procope avait remplacé Pete Brown dans le sextet de John Kirby, avec qui il avait joué exclusivement du saxophone alto jusqu’en 1945 mis à part une brève période durant la Seconde Guerre mondiale. C’est d’ailleurs avec le groupe de Kirby que Procope avait commencé à se faire connaître. Le groupe comprenait de grands noms du jazz de l’époque comme Charlie Shavers à la trompette, Buster Bailey à la clarinette, Billy Kyle au piano et O'Neil Spencer à la batterie. Surnommé "The Biggest Little Band In The World", le groupe combinait la précision à un son plutôt doux et était caractérisé par la qualité de ses solos. Décrivant sa collaboration avec le groupe, Procope avait commenté:
“Rehearsals were the making of the Kirby band. {Le violoniste} Stuff Smith was a big hit at the Onyx Club, but he was going on the road. The Kirby band was hired to fill in until then. By the time Stuff Smith came back, the Kirby Band had gotten so good that Joe Helbock, who owned the Onyx, wanted to keep it together but he didn't know what to with it. He told us; ‘Hang around a couple of months. I'll put you on half salary. Just come in in the afternoons and rehearse; get it all together.’ So for two months we did nothing but sit around and work up arrangements. Then when Stuff Smith left again, we were ready.”
Mobilisé en septembre 1943, Procope avait fait son service militaire dans le 372nd Infantry Regiment band.
En 1946, Procope s’était joint à l’orchestre de Duke Ellington en remplacement de d’Otto Hardick puis de Barney Biggard. Initialement prévu pour un seul soir lors d’un engagement à Worcester au Massachusetts, l’engagement de Procope s’était poursuivi jusqu’à la mort d’Ellington en 1974. Procope explique comment il s’était joint à l’orchestre:  
“Duke called me to take Toby Hardwick's place on alto saxophone for one night for a broadcast in Wooster, Mass. I played with Duke once before — in 1927 in a pickup band Duke had put together for .a one‐nighter in Baltimore. In Wooster, Duke said, ‘Since you're here, you might as well go to Providence with us and play a dance.’ Then there was another gig in New England and I played that. I was having a ball after those years in the Army, but after a week, I said, ‘Duke, who's supposed to give me some money?’ I never dreamed he really wanted me in his band. But 10 days later, in Hartford, Duke said, ‘I don't know what Toby Hardwick's going to do. I'd like you to stay.' and he finally hired me.''
Procope s’était de nouveau rendu en Europe avec l’orchestre à l’été 1950. À l’instar des autres membres de la section de saxophones du groupe à l’exception de Johnny Hodges et de Paul Gonsalves, Procope alternerait entre le saxophone et la clarinette. C’est d’ailleurs principalement comme clarinettiste que Procope s’était fait connaître du grand public. En effet, même si Procope excellait au saxophone alto et au saxophone ténor, il était surtout réputé pour la sensualité et la chaleur de ses solos à la clarinette, qui contrastait avec le style beaucoup plus froid et classique de Jimmy Hamilton. Sur la suite en trois parties "Idiom '59", Ellington avait d’ailleurs confié le premier solo à Procope et le second à Hamilton. Dans son autobiographie intitulée Music is My Mistress publiée en 1973, Ellington avait décrit Procope comme ‘’an utterly sober and reliable musician, always to be depended upon." Dans d’autres extraits de ses mémoires, Ellington avait ajouté:
‘’Russell Procope était une sorte d’enfant prodige. Il a commencé par étudier le violon, mais quand il a entendu l’orchestre de Fletcher Anderson, il a été emballé par le jazz ; cet engouement a grandi quand son copain d’école Benny Carter s’est mis au saxophone alto. Également attiré par la clarinette il a été séduit d’abord parle jeu de Buster Bailey au sein de l’orchestre de Fletcher, puis par celui d’Omer Siméon, enfin par celui de Barney Bigard quand il l’a entendu chez King Oliver et chez nous. On comprend pourquoi Procope est un maitre du style Nouvelle Orléans à la clarinette système Albert ! J’ai eu la grande chance d’employer des musiciens qui aimaient tellement leurs prédécesseurs qu’ils les ont imité. Quand Paul Gonsalves est entré dans l’orchestre, il n’a pas même eu besoin de répéter. Il adorait Ben Webster et connaissait par cœur notre répertoire. Idem avec Russell Procope et le jeu de clarinette de Barney Bigard.’’
Avec l’orchestre d’Ellington, Procope s’était particulièrement illustré dans des pièces comme ''Mood Indigo'', une composition de son prédécesseur Barney Biggard. Selon Procope, Ellington avait été impressionné par son solo. Il expliquait: ''After I finished my solo, Duke looked at me and applauded quietly. I never saw Duke applaud men in his own band.''
Comme il l’avait fait pour plusieurs membres de son groupe comme Johnny Hodges et Cootie Williams, Ellington avait composé plusieurs pièces expressément pour Procope, dont ‘'4:30 Blues'', ''Blues to Be There'', ''Second Line'' et ''Swamp Goo.''
En 1956, Procope avait enregistré son premier et seul album comme leader intitulé The Persuasive Sax of Russ Procope. Se produisant exclusivement au saxophone alto sur l’album, Procope était accompagné de  Remo Biondi à la guitare rythmique, d’Earl Backus à la guitare solo, de Paul Jordan au piano, de Mel Schmidt à la contrebasse et de Frank Rullo à la batterie.
DERNIÈRES ANNÉES
Même si après la mort d’Ellington en mai 1974, l’orchestre avait poursuivi ses activités sous la direction de son fils Mercer, Procope s’était joint au trio du pianiste Brooks Kerr. Le trio était également composé du légendaire batteur Sonny Greer, qui avait fait partie de l’orchestre d’Ellington de 1919 à 1951. Expliquant son départ du groupe, Procope avait précisé: ''I joined the band because I wanted to play with Duke.'' Procope, qui avait toujours rêvé de faire partie de l’orchestre d’Ellington, avait déjà déclaré qu’il ‘’jouait mentalement’’ avec le groupe depuis son enfance à Harlem et qu’il achetait tous les disques de l’orchestre au moment de leur parution. Il expliquait: “When I eventually Joined Duke almost 20 years later, I had been mentally playing with him all those years. When I was a kid and I had 75 cents, I would buy a Louis Armstrong or a Duke record. I'd go into the store and just. say, ‘Give it to me.’ I wouldn't even play it first.”
Procope avait quatorze ans lorsqu’il avait entendu Ellington jouer pour la première fois au Lincoln Theater de la 125e rue. À l’époque, Ellington dirigeait un petit groupe de six musiciens, les Washingtonians. Mais Procope avait surtout été impressionné par Ellington après l’avoir entendu lors de la diffusion d’un de ses concerts du Cotton Club à la radio. Procope poursuivait: “But. the first time I really paid attention was when Duke broadcast from the Cotton Club — that's when I fell in love with Duke's music. Old Man River’ was big then. Most people played it fast. But Duke played it in long meter. It was different. It was beautiful.’’
Faisant le bilan de sa collaboration avec Ellington, Procope avait ajouté:
“But now that it's over. I don't know that I'd want to go on. Age, you’ know: You can't do what you did when you were younger. Duke did it as long as he could. He died trying to do it. It was rough on him in later years. He used to be terribly tired. His contract had a clause that he'had to have a bed in his dressing room.”
En 1978, Procope avait formé un quintet appelé Ellingtonia qui interprétait un répertoire composé majoritairement de compositions associées à Ellington. Le groupe, qui se produisait régulièrement dans le West End, à Broadway et sur la 113e rue, était composé de George Kelly au saxophone ténor, de Sadik Hakim au piano (un ancien membre des groupes de Charlie Parker et Lester Young), de Peck Morrison à la contrebasse et de Ronnie Cole à la batterie, un ancien collaborateur de Earl Hines et Erroll Garner.
Décrivant sa collaboration avec le groupe, Procope avait précisé:
“We play. Duke's tunes because the fellows in the band Mow them. They even, get‐something close to the Duke's harinceny every now and then. You know; Duke's death was a greittorIoss than people- realize. Other compositors — you could. play their, music. But Duke's music didn't sound’ the seine without, his personal harmony.When I'm playing Duke's music; don'l get into that ‘what the hell’ attitude after the melody hits been play. I respect it because it's Duke and because it's in my head”.
Russell Procope est mort le 21 janvier 1981, probablement des suites d’une crise cardiaque, alors qu’il se promenait à l’intersection de la 9e Avenue et de la 43e rue, à proximité de l’appartement qu’il occupait à Manhattan Plaza. Il était âgé de soixante-douze ans. Procope avait livré sa dernière performance dans un club de la 113e rue dix jours avant sa mort, le 11 janvier. La femme de Procope, Helen, qu’il avait épousée en 1937, étant décédée en septembre 1980, il laissait comme seuls survivants son frère William et sa soeur May Procope Gonzales. Procope était aussi l’oncle de John Procope, l’éditeur du Amsterdam News. Les funérailles de Procope ont été célébrées à St. Peter's Church, à l’intersection de Lexington Avenue et de la 54e rue est.
Même si le son de Procope au début de sa carrière était très influencé par le jeu de Benny Carter, il avait progressivement bâti son propre style qui combinait une sonorité très lyrique et très swing. Même si Procope avait été très influencé par le jazz de La Nouvelle-Orléans, il était rarement mentionné aux côtés des autres grands clarinettistes de l’époque comme Jimmy Noone, Johnny Dodds, Omer Siméon, Barney Bigard, Sidney Bechet et Albert Nicholas. Une des principales causes de cet oubli réside probablement dans le fait que Procope s’était surtout fait connaître comme saxophoniste alto.
Procope, qui aimait s’identifier au style de La Nouvelle-Orléans, avait déclaré un jour: ‘’The New Orleans thing always appealed to me’’. Dans son Autobiographie du Jazz publiée en 2002, Jacques Réda évoquait d’ailleurs le jeu de ‘’Russell Procope qui conserve un savoureux cachet Nouvelle Orléans à la clarinette.’’ Pour sa part, André Clergeat écrivait dans le Dictionnaire du Jazz publié chez Robert Laffont : ‘’Pendant plus d’un demi-siècle, il a fait chanter sa clarinette et son saxophone avec allégresse, reprenant chez Duke Ellington l’héritage de Barney Bigard dont il retrouve le swing léger, l’élégance naturelle et la tradition néo-orléanaise. Au saxophone alto, il s’exprime avec la même grâce, dans un style qui pourrait être un compromis entre la manière de Benny Carter et celle de Johnny Hodges.’’
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Russell Procope.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Russell Procope.’’ Fandom, 2024.
WILSON, John S. ‘’A Touch of the Duke From Russell Procope.’’ New York Times, 20 juillet 1979.
WILSON, John S. ‘’Russell Procope, 72, Clarinetist with Ellington 29 years, dead.’’ New York Times, 23 janvier 1981.
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neozoneorg · 2 years ago
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franckdenise · 2 years ago
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serruriersdanslaville.fr | annuaire de serruriers
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Serruriersdanslaville.fr est un annuaire en ligne qui référence les serruriers Serruriersdanslaville.fr est un annuaire en ligne qui référence les serruriers professionnels dans différentes villes en France. Le site permet aux utilisateurs de trouver rapidement et facilement un serrurier près de chez eux. Les serruriers sont classés par ville, avec des informations détaillées sur leur entreprise, leurs services, leurs horaires d'ouverture et leurs coordonnées. L’inscription y est simple et rapide. En résumé, Serruriersdanslaville.fr est une plateforme pratique et utile pour trouver un serrurier dans sa ville. Exemple de parution d’un professionnel de la serrurerie de la métropole orléanaise Être présent sur Serruriersdanslaville.fr peut aider à renforcer la crédibilité de l'entreprise. Cela peut contribuer à améliorer la réputation de l'entreprise et à accroître la confiance des clients potentiels. Enfin, Serruriersdanslaville.fr offre également une opportunité de référencement local, qui peut aider à améliorer la visibilité de l'entreprise dans les résultats de recherche locaux de Google. En effet, les annuaires en ligne sont considérés comme des sources fiables d'informations pour les moteurs de recherche, et être présent sur Serruriersdanslaville.fr peut donc aider à améliorer le classement de l'entreprise dans les résultats de recherche pertinents. En conclusion, être référencé sur Serruriersdanslaville.fr offre aux serruriers une visibilité accrue, une crédibilité renforcée et une opportunité de référencement local, ce qui peut contribuer à attirer de nouveaux clients et à améliorer la réputation de l'entreprise. Read the full article
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longtermintermission · 4 years ago
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On Places
By Dani 
     I live in Orléans, the “Largest metropolis outside of Paris,” but notably smaller than its illustrious neighbor. A train departing from Gare d’Austerlitz will carry you around 133 kilometers slightly southwest of the City of Lights; it’s a pleasant ride, albeit the somewhat fogged-over and grimy windows ever present on the passenger cars. This is a minor shame because the ride has pretty views, probably less sparkling to me now than they would have seemed when I was freshly expatriated, but pretty nonetheless. As swathes of landscape pass by, I’m sometimes reminded of sitting in the backseat of the car en route to my grandparents’ in the countryside of Kentucky. On these occasions I might close my eyes, imagine the views on a certain stretch of Dixie Beeline Highway-- an unremarked constant in my youth and childhood--  and open them again to see if the resemblance is truly there. I think it is. 
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     Orléans qualifies as a ville in French but treads somewhere between a town and a city in my anglophone mind, not quite landing on one or the other. By all other accounts it is a city; it’s the capital of the Centre Val-de-Loire region and has a population nearing 115,000. Joan of Arc once saved Orléans from English siege, and I once dressed up as Joan of Arc for a 6th-grade project on “Distinguished women.” Funny, things like that. Apparently the qualifiers for “Cities” and “Towns” aren’t so defined, at least not on the internet, but I do think that Orléans is the “smallest” place I’ve ever lived. In terms of population, this is by a long shot. I went to school in Chicago. I spent four years in Paris. I come from Nashville, which was pointedly unexceptional to me growing up but the longer I’m away, the more Nashville grows and changes, and the more my metropolitan Southern upbringing feels personally significant; like something to be protected. In any case, you achieve some perspective when the precocious 11-year-old girl you once babysat laments to you that she’s “just a Parisian,” or when a passerby on the dance floor asks you where you’re from and, upon hearing your response, widens his eyes and exclaims “You’re from the real America!” 
     I’ve officially lived here for 9 months now, which is incredible to me, and yet I can’t say that I’m an expert or a bonafide Orléanaise, and if I were I wouldn’t know it. I’m not exactly sure of what getting to know a new locale is supposed to entail, despite having done it several times, but I’m not the type to run out and join clubs, leagues, associations or anything of the like. For most of this year I’ve kept to myself, and my experience of the city has largely been that of errands and commutes. Orléans does have a certain conviviality, and Rue de Bourgogne (just a street away from me) is lined with bars, making for lively Saturday nights in the city center. I’ve enjoyed the occasional drink or coffee with a colleague, and one will inevitably run into one’s students. I went to college in the big city, so in a way it’s nice to finally experience what feels like the French version of a “University Town,” and it’s the polar opposite of Paris anonymity. On the whole, though, I mainly enjoy the comforts of my agreeably-decorated and immaculately-kept studio apartment. It even has a view of the la Cathédrale Saint-Croix, which, in my personal opinion, beats Notre Dame in a gothic beauty pageant (even before the tragic fire). Sometimes at night, bats fly in circles between my third-floor (American third-floor) window and the rooftops on the opposite side of the street. Bats used to fly outside of my earliest childhood home. We named one of them “Shadow.” 
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     I didn’t choose to move to Orléans. Not really. I applied for a job here when it seemed I was out of options in Paris. I’ve always preferred big cities. The first two months that I lived here, I think I took a train back nearly every weekend. Once I met up with an old friend who introduced me to her chic Italian-American pal who had just moved from Rome to Paris for a job at Versace. Over a glass of wine in a café next to la Trocadéro she posited that you had to live in Paris-- or at least in a major big city--- when you were young. Youth was lost on anything smaller. I thought about that on the train ride home. My life was no more exciting in Paris than it is now; maybe a little, but the margin is narrow. I went through about a 6-month stint of raucous partying in various nightclubs and bars, but that lifestyle wore thin fast and was never really me being me. I was having fun but I’m not so sure it was my own idea of fun. I also didn’t run out to join any clubs, leagues, or associations in Paris either. Why does everyone tell you to do this in a new city? Maybe my unwillingness to “immerse” myself is a lack of motivation on my part, but I think it’s just who I am. Or perhaps my definition of immersion is  just different from how it’s largely understood.  I’ve never been a site-seeing fiend when I travel either; sometimes I wonder if I waste time in undiscovered territory by sitting in parks and restaurants or aimlessly walking about. When I do take an interest in a museum or historical site, it’s a no thank you from me to any kind of organized tour.  Did you know that John Stamos narrates the self-guided audio tour of Graceland? At least, he did when I was there. That’s where I first learned the hard lesson about such a thing’s capability of ruining a real experience. As compensation for lugging a tablet and headphones throughout the grounds, Stamos will let you in on exclusive information such as the fact that Elvis enjoyed playing the pianos in his own home. I would have much preferred to take in the tacky but touching décor of Elvis’ home on my own, with my own thoughts.  I digress. A compliment was once given to me (or so I think it was a compliment, and if it was, it’s my favorite) by a friend of my parents’ who, in mid-conversation with them, turned to me and said, “She’s not saying anything, but she’s listening, alright. Not one thing is getting past her.” I think that’s always how I’ve interfaced with life. Many of us are mainly observers. I’ve only recently begun to feel validated in my choices of experiencing the world.
     I won’t lie and say that I haven’t wondered if my existence isn’t just a little boring, and if it isn’t sort of, maybe, my fault. Sometimes that Thoreau quote that everyone loves so much about men leading lives of quiet desperation gives me uncomfortable pause. This past Thursday I had a somewhat lengthy list of banal and administrative errands to run; I had to complete my tax form, mail it in (How French), shop for groceries, and purchase some office supplies at the local bookstore. It was a day, not unusual for me, spent in the company of my internal monologue and with no spectacular plot developments. But the sun had shone, I had completed my errands, and I had enjoyed an unadventurous but quietly serene mood; the kind that comes with knowing exactly where you are and feeling no impending stress about anything in particular. The wait in line for the print shop felt only slightly long and when I left the place I was minutiously thrilled at putting my stack of warm government documents into my ready-to-mail envelope; the same one that gave me an equal thrill when I slipped it into the post box. I went into the bookstore looking only for a folder but found myself perusing the displays as if it were some kind of hobby of mine; sort of how I imagine birdwatchers to feel when bird-watching. I got my folder along with several unnecessary indulgences. The lady at the cash register was nice. I stopped by the corner grocery near my place where all three of the cashiers know me in a neighborly way. The fact that they recognize me used to make me slightly anxious, but these days it’s comforting. 
      I went back home, walking up main street with the Cathedral in my view, purchases in tow, missions accomplished, not regarding the monument in awe as I had that first time-- overlooking it, even-- but I feel that its mere presence must have done something good for my state of mind even without my knowing it. I feel like I must have, by an undetectable increment, come to know a little better the place where I live. I had understood what that Italian-American friend of a friend had meant when she talked about youth and big cities. It was an innocuous comment, and true in its own right. Still, it fed a strange notion I’ve held onto about happiness coming from location; as if people belong in a certain place, at a certain time. I won’t lie and say that I haven’t pretentiously entertained the thought that I’m more adventurous than the peers I grew up with; that their lives in the same city they’ve always been in and with the same pool of people they’ve always known must be dull. Such a thought is consoling for a moment, but sometimes those peers make me wonder what I’ve sacrificed to be here. I feel envious when friends go to visit their parents who live only an hour away. I’m cognisant of the privilege that let me choose to live abroad.  I’ve never had to move out of necessity. And yet I lamented having left Paris, all the while  living only an hour away and still in one of the most beautiful countries in the world. I’ve always known and appreciated these things of course, but sometimes you lose touch. I’ve lived in astounding places yet still astound myself with my penchant for feeling unfulfilled. The problem has undoubtedly been me, and that’s a dreadful realization to face. 
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     Geographical location has been a strange and constant metric by which I have evaluated my life. Coming to France was searching for adventure and running away at the same time. When  location, however, didn’t necessarily bring with it the adventure, the ragtag band of lifelong friends or the passionate love affair that I hoped I’d find, I felt a bit lost and unsure of my direction in life. I sometimes continue to feel this way. After all, when Jane Birkin came to France in 1968, she immediately landed a leading role in Slogan, became Serge Gainsbourg’s muse and lover, went down in fame and infamy and effectively wove herself into the very fabric of French pop culture. Of course, I didn’t have the same head start that comes with marrying John Barry (of James Bond fame) and appearing nude in Blowup. Don’t get me wrong. I have no regrets. Learning a new language and living internationally, I’m convinced, is the only way I managed to overcome almost crippling timidity. I’m better for it. I feel, however, that I’ve asked too much of the places I have lived; I’m not Jane Birkin, and Paris was never going to do for me what it did for her. You have to look for your life--or so I’ve heard in a certain Robert Wise movie-- and it’s a notion that I adore but one that I wonder if I’ve taken too literally. I’m not saying that I’m done looking; next year I’ll leave Orléans and go somewhere else; hopefully somewhere bigger, but the “Looking” will be a different kind of looking. It’s the age-old knowledge that happiness comes from within, not from without, but we all learn this lesson in different ways. I moved across the Atlantic ocean to learn it. Growing up, in my experience, has been moments of finally just “Getting” wisdom that you’ve heard a thousand times over, throughout your whole life. I know that I’ll feel a bittersweet pang when I close my apartment door in Orléans for the last time, so I want to enjoy where I am and who I am at this very moment. Orléans is the first place I’ve stopped expecting anything from, and because of that, I can appreciate it for what it is. When I was handed the keys to my little studio here in the center of town, the agent  told me reassuringly,  “Tu seras bien ici.” I think I am good here. I certainly won’t be returning to Paris.
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bouxmounir · 3 years ago
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Tennis : objet de fric pour l'US Orléans, le CJF Fleury et l'AS Tennis Interclubs
Tennis : objet de fric pour l’US Orléans, le CJF Fleury et l’AS Tennis Interclubs
Les Orléanaises sauront un peu mieux à quoi s’en tenir ce dimanche 1er mai, une fois qu’elles seront collées aux Belfortaines, à Belfort. “L’équipe la plus faible, a priori”, estime Patrick Hardouin. Avec des classements allant de -2/6 à 15/1. L’USO est toujours très utile, avec la notation les sœurs Cirotte, Chloé et Astrid (-15). “Mais Chloé, qui a étudié aux États-Unis, ne nous est pas revenue…
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