#on est des lecteurs en puissance
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artnstick · 8 months ago
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De l'influence des RPG sur les PAL
J'ai commencé les RPG il y a 18 ans. Et forcée de constater que les forums qui m'ont le plus marqués m'ont aussi ouvert la voie de la lecture, de romans, de saga, de série que j'ai eu beaucoup de plaisir à dévorer. De Twilight à Harry Potter (j'avais les livres depuis longtemps mais c'est en jouant sur un rpg HP que j'ai décidé de les lire), en passant par Hunger Games, ou Eragon, les forums RPG ont toujours influencé ma Pile A Lire pour me plonger dans des univers toujours plus fantastiques et magiques.
Ma bibliothèque est bien remplie, mais je me rends compte que les livres que j'apprécie le plus - encore aujourd'hui - ce sont ceux qui ont un potentiel de role play. S'il est de plus en plus difficile de voir des forums émerger sur des nouvelles idées, il m'est aussi de plus en plus difficile de me plonger dans de nouveaux bouquins.
Alors j'envoie cette bouteille à la mer, espérant voir ma PAL s'agrandir encore, et - peut être - des forums s'inspirer de nouveaux univers prochainement :
Quel est le dernier livre qui vous a fait dire un forum sur ce thème ça serait fou ?
Quel est le dernier livre que vous ayez lu parce qu'un partenaire de RP vous a dit tu dois lire ça ?
Quel est le dernier livre qui vous a inspiré un contexte, un personnage et/ou une intrigue ?
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corinneecrivaine · 2 months ago
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Hommage à Anne Rice : La Reine du Genre Vampirique et de la Sorcellerie
Anne Rice, pour moi, est et restera la meilleure autrice du genre vampirique. Grâce à elle, j'ai découvert un univers fascinant que je n'ai jamais quitté. Ses œuvres m'ont plongée dans un monde obscur et envoûtant, peuplé de personnages torturés, narcissiques et séducteurs. Chaque page de ses romans est une invitation à explorer les profondeurs de l'âme humaine et les mystères de l'immortalité.
Ce que j’ai toujours admiré chez Anne Rice, c’est sa capacité à humaniser des créatures que l’on pourrait simplement considérer comme des monstres. Ses personnages, comme Lestat et Louis, ne sont pas seulement des vampires assoiffés de sang, mais des êtres profondément complexes, tiraillés entre leur quête de sens et leur nature immortelle. À travers eux, Anne Rice explore des thèmes puissants comme la solitude, l’amour interdit et l’angoisse de l'éternité.
Les Chroniques des vampires
Les « Chroniques des vampires » sont une série de romans qui ont révolutionné le genre. Le premier tome, « Entretien avec un Vampire », Lestat, Louis et les autres personnages de cette série sont devenus des figures emblématiques, chacun avec ses propres luttes et ses propres démons. L'adaptation cinématographique de "Entretien avec un Vampire" est un pur chef d’œuvre. Tom Cruise, dans le rôle de Lestat, et Brad Pitt, dans celui de Louis, ont su incarner à la perfection ces personnages complexes et fascinants. Leur relation, à la fois intense et ambiguë, ne laisse jamais paraître les secrets de leur lien, ajoutant une dimension mystérieuse à l'histoire. Tom Cruise possède un magnétisme et une dangerosité tandis que Brad Pitt a su capturer la profondeur et la douleur du vampire égaré.
Cette adaptation a su rendre justice à l'œuvre d'Anne Rice, en capturant l'essence même de ses personnages et de leur univers.
Les Sorcières Mayfair
En tant qu’autrice, elle ne se limite pas au genre vampirique, elle a aussi su nous transporter dans l’univers de la sorcellerie qu'elle a exploré dans ses romans. La série « Les Sorcières Mayfair », qui commence avec « Le Lien Maléfique » Cette histoire explore la puissance des lignées familiales maudites, les secrets ancestraux et de la destinée. Rowan Mayfair, une neurochirurgienne qui découvre son héritage magique, est un personnage très complexe.
Une Source d'Inspiration
Anne Rice a su créer des univers qui surpassent les genres et les époques. Ses personnages, qu'ils soient vampires ou sorcières, sont tous profondément humains dans leurs émotions et leurs luttes.
Pour moi, Anne Rice est une source d'inspiration. Elle a donné vie à des mondes qui résonnent, des personnages touchants et des histoires qui nous transportent.
Anne Rice, merci pour tout ce que vous avez apporté à la littérature. Vous resterez à jamais la reine du genre vampirique et de la sorcellerie, et une source d'inspiration pour des générations de lecteurs. Votre héritage perdurera, et vos œuvres continueront de captiver et d'inspirer ceux qui, comme moi, sont tombés sous le charme de votre univers.
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claudehenrion · 1 year ago
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''Comprendre... aujourd'hui ?''
Votre courrier, chers Amis-lecteurs, est une source, pour moi. Au milieu de plein de remarques intéressantes, vous me demandez, depuis 3 semaines : ''Où va la guerre entre Israël et les palestiniens –ou le monde arabe ? Quelles solutions ?'' et vous me dites : ''Pourquoi affirmez-vous, contre la totalité des médias et des politiciens, que l'islam est non-miscible avec tout système autre que lui-même ?''. Essayons une ébauche de réponse... déjà faite, ici, souvent, et que je vous ai promise, dans l'éditorial d'hier.
Un mot d'explication, en avant-propos : je partage avec mes amis d'enfance le privilège d'avoir été élevé au Maroc, pays d'islam incontesté –la famille royale marocaine, avec laquelle j'ai eu la chance d'être très intime, revendique une descendance ''alide'' du Prophète. Dans ce pays, une très importante communauté juive vivait –sauf rares exceptions-- en harmonie avec les institutions, les habitants, et la Puissance ''protectrice''... Tout petit, déjà, j'étais sensible à cette ''confrontation pacifique'' et je vous en ai souvent parlé. Sur ordre paternel, j'ai lu le Coran, comme mes 5 frères et sœurs, dès nos 15 ans (et souvent, depuis, partiellement), et j'ai suivi plus tard les cours du Grand Rabin Sitruk sur ''la foi d'Israël''. Ce sujet m'a donc passionné toute ma vie... d'où que, arabophone de surcroît, j'aie l'audace d'en parler.
1– La guerre au Moyen-Orient : cette appellation est mensongère, car elle ratatine une conflagration planétaire à des considérations géographiques locales... Mais il est très difficile, pour un esprit ''occidental'' du XXI ème siècle, d'admettre que le sentiment religieux puisse avoir, sur celui qui l'a reçu en partage, un pouvoir mobilisateur 10, 100 ou 1000 fois supérieur à ce que ne peut pas produire un attachement intellectuel à des idées creuses, fabriquées de toutes pièces (même si, comme la ''tolérance'' ou la ''laïcité'', elles ont parfois l'air nobles et belles : n'ayant pas de fondements au plus profond de notre être, elles peuvent parler à la raison, mais pas au cœur de l'Homme qui, ne l'oublions pas, est ''un animal religieux'', disait Mark Twain dans ''Cette maudite race humaine''.
Petit rappel : A partir du XIX ème siècle, dans la droite ligne des idées des soi-disant ''Lumières'' (à ceci près que Voltaire, qui n'était pas du tout athée, lui, récusait ce mot : ''Nous ne sommes pas des lumières''), un mouvement d'idées destructrices, sous couvert de ''progrès'' contre les abus de l'Eglise du temps, a attaqué tout ce qui pouvait véhiculer l'idée de religion en Europe, culminant à la fin de ce siècle avec la citation tronquée de Nietzsche ''Dieu est mort'' (1882) dont Durkheim disait, avec prémonition : ''Dans le sillage de cette mort de Dieu, Nietzsche annonce la fin de son meurtrier ; c'est l'éclatement du visage de l'homme dans le rire, c'est le retour des masques, c'est la dispersion du temps (...) et l'absolue disparition de l'homme''... (NB : nous y sommes, hélas !).Soutenues par les budgets monstrueux que le communisme alors triomphant consacrait à la ''Propaganda'', ces affreuses idées sont devenues dominantes dans tout l'Occident... et sans doute faut-il trouver là la principale cause de l'effondrement moral puis, plus récemment, politique de notre civilisation. Mais c'est un autre sujet).
Jusqu'au brutal effondrement en cours, les id��es portées par notre civilisation judéo-chrétienne ont connu un énorme succès, un peu partout, et nous avons donc cru que notre ''point de vue'' sur toute chose était devenu le seul qui présente de l'intérêt, le seul digne d'être pris en considération et, à la limite, ''le seul vrai'', voire ''le seul, tout court''... ce qui rend presque compréhensible la myopie d'un Francis Fukuyama sur ''la fin de l'Histoire'' (1992) : le monde entier, pensions-nous, a soif et faim de notre Liberté, de notre Egalité, de notre Fraternité (un peu moins, car personne ne l'a jamais vue nulle part, à ce jour), de notre Démocratie (pourtant réduite à son ombre, en France) et de notre Laïcité (une ''ex-belle idée'' déformée à en mourir, remplacée pour son et pour notre malheur, par un affreux Laïcisme de combat, intolérant comme personne, au nom (?) d'une fausse tolérance intégriste).
Au moment où une nouvelle religion débarque sous nos latitudes, conquérante, expansionniste, intolérante, violente et agressive dans sa version ''2, revisitée'', nous n'avons à lui opposer que la vacuité eschatologique de concepts verbeux et irréalistes.Le mal est tel que nous n'arrivons même plus à comprendre qu'Israël, qui n'appartient à notre ''camp'' que pour ''tout ce qui n'a pas ou peu d'importance humaine –c'est-à-dire l'économie, devenue prépondérante à nos yeux décadents'', qui a compris, lui, qu'il s'agissait d'un combat ''à mort'' (même si les mots pour le dire dépassent la pensée, pour le moment. Après... je ne sais pas) entre deux gladiateurs qui ne peuvent s'échapper de l'arène. Simplement... devinez qui doit logiquement sortir vainqueur d'un combat entre ''Quelque chose de fort'', ici... et ''Des concepts creux'', là ?
Quelles solutions ? La réponse, en quelque sorte, vient d'être donnée : un combat de ce format ne peut se conclure que par la victoire totale de l'un des protagonistes, et on peut déduire des ''attendus'' ci-dessus que toute solution du type ''Deux Etats'', ce rêve utopiste partagé par 100 % des gens ''intelligents'' du jour, ne serait, au mieux, qu'un nouveau délai avant une reprise des combats, l'un des protagonistes n'envisageant aucune autre solution que la disparition totale de l'autre... qui est dès lors contraint de s'aligner. D'ailleurs tous les leaders du monde musulman se retrouvent sur ce point : ''Peu importe une victoire temporaire d'Israël, le temps et la démographie jouent en notre faveur'' ! Et ils ajoutent, apparemment sûrs de leur coup : ''Israël ne fêtera pas son centenaire, en tant qu'Etat''. Ce n'est pas rassurant ? Mais seul notre angélisme béat des 50 dernières années a pu nous faire croire que l'Histoire pouvait être autre chose que dramatique !
2- L'islam... et les autres : même les plus ''bouffe-curés'' d'entre nous ont pris l'habitude de voir le monde à travers les mots, les idées et les concepts de la chrétienté vidés de leur sens, les plus incultes allant jusqu'à re-baptiser ''valeurs de la République'' toutes les vertus inventées et proposées par la révélation christique (on appelle cette ''fidélité involontaire'' la religion culturelle. Elle frappe même ceux qui ne la pratiquent pas). Notre rêve... en était un, et le réveil est pénible : l'islam vient nous rappeler que d'autres critères existent, et que notre individualisme est détesté par l'exigence de ''soumission'' inconditionnelle des musulmans. Rien de ce que nous croyons, faisons, aimons, vivons, désirons... n'a de sens à leurs yeux, et rien de ce qu'ils considèrent ''fondamental'' ne correspond à ce dont nous rêvons : l'islam se trouve, de par ses choix culturels et cultuels, dans cette position ''conflictogène'' avec toutes les civilisations existantes...
Conclusion : qui de sensé pourrait croire une seconde que l'huile, par la seule intervention de théories, de gauche et en ''--isme'', puisse se mêler durablement à l'eau ? Ce sujet est si vaste que nous y reviendrons très bientôt. Mais on nous permettra, en attendant, de nous inscrire en ''contre'' sur toutes les proclamations insensées de ceux –même s'ils sont très majoritaires en ce moment-- qui pontifient sans savoir de quoi ils parlent, et affirment, sans savoir pourquoi, des contre-vérités depuis longtemps démontrées impossibles (Le ''Deux pays'' est une fausse solution en trompe l’œil, inventée par des occidentaux pour des occidentaux (tout comme l'islamisme, d'ailleurs !), et tout-à-fait insoutenable pour un musulman ''pur jus'').
NDLR : Pour vivre en harmonie avec le reste de l'humanité et toutes les autres civilisations, l'Islam devrait abandonner des pans entiers de sa pratique (comme ont réussi à le faire les juifs et les chrétiens). Pour le moment... ce n'est pas à l'ordre du jour ! Mais alors... pas du tout !
Pour conclure, une information que peu de commentateurs pourront vous donner, et qui sonne comme un clin d’œil dramatiquement ironique : le tristement célèbre ''Hopital al-Shifa'' porte un nom prometteur, le mot arabe Shifa voulant dire guérison ! On peut toujours rêver...
H-Cl.
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savoir-entreprendre · 10 months ago
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Écrire du contenu attractif et pertinent est un défi constant pour les rédacteurs et les créateurs de contenu. La question fondamentale demeure : comment écrire des choses que les gens veulent vraiment lire ? Comprendre les Attentes de Votre Public La clé réside dans la compréhension profonde de votre auditoire. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs préoccupations, leurs intérêts, leurs défis ? Se mettre à la place des lecteurs est essentiel pour offrir un contenu qui résonne avec eux. La Recherche: Votre Meilleure Alliée La recherche est votre meilleur ami quand il s'agit de savoir ce que les gens veulent lire. Utilisez des outils comme Google Trends, les forums spécialisés, ou les réseaux sociaux pour découvrir les sujets brûlants, les questions fréquemment posées et les problèmes auxquels votre public est confronté. Créer un Contenu Utile et Pratique Le contenu doit apporter une réelle valeur ajoutée. Que ce soit sous forme de conseils pratiques, de solutions à des problèmes, ou d'informations pertinentes, assurez-vous que chaque mot compte. La Puissance des Témoignages et Exemples Les histoires captivent. Intégrez des témoignages, des études de cas ou des exemples concrets pour illustrer vos points. Cela rendra votre contenu plus vivant et plus mémorable. La Structure: Facilitez la Lecture Une présentation claire et une structure bien définie rendent votre contenu plus digeste. Utilisez des titres, des sous-titres, des listes à puces pour faciliter la lecture. N'oubliez pas la puissance des visuels pour rendre votre contenu attractif. L'Interactivité et l'Engagement Encouragez l'interaction avec votre public. Posez des questions, invitez à commenter, ou à partager des expériences. L'engagement crée un lien fort avec les lecteurs. L'Importance de l'Analyse et de l'Adaptation Analysez les performances de votre contenu. Utilisez des outils d'analyse pour comprendre ce qui fonctionne et ce qui peut être amélioré. Soyez prêt à ajuster votre approche en fonction des retours et des données. Conclusion Écrire du contenu attrayant et pertinent n'est pas une tâche aisée, mais en comprenant votre public, en créant un contenu de qualité et en restant ouvert aux retours, vous pouvez grandement augmenter l'impact de votre travail. En suivant ces étapes, vous êtes sur la bonne voie pour écrire des choses que les gens veulent vraiment lire. À vos claviers, prêts à captiver votre audience ! Un bon contenu est la clé pour attirer et fidéliser les lecteurs. En le rendant pertinent et intéressant, on s'assure que les gens reviennent pour en lire davantage.
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pikmininaplane · 2 years ago
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Je sais pas comment j'ai pu rater cette occasion- Mais je suis la pour le DVD commentary !! :DD
Et sans grande surprise j'aimerais tout savoir sur Lux Lunae ! J'aime trop comment tu met en scène cet univers !!
J’ai eu beaucoup de mal à choisir un seul passage, du coup j'en ai pris 2 qui font 500 mots à eux 2. ( J'espère que c'est okay )
Donc de "Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit..." à "..y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.” Pour la première.
Et "Un battement. Deux battements. Trois battements..." à "...un monument à l’inévitable et à l’éternité."
(Referring to this ask game)
Ohohoho, kitty time !! :3c
Et 😭 oui c'est ok, prenez des extraits de plus 500 mots si vous voulez, je suis pas à ça près X) Voire plusieurs extraits, en fait, moi on me donne l'opportunité de ramble sur mes fics je suis ravie–
Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit – et encore moins de le faire sans la protection d’un ou deux gardiens. Même les chatons le savaient : la ville était sans pitié pour ceux qui s’y égaraient, et sans soleil pour veiller sur eux, ils n’avaient plus un chat à prier.
(Les gardiens étant l'équivalent des guerriers, Béa/Tournesol n'a pas l'habitude de sortir sans ; techniquement cette ligne est. Un peu stupide vu qu'on apprend quelques paragraphes plus tard qu'elle est accompagnée par Liam, mais shhh– Je réalise d'ailleurs maintenant que la ligne sur le soleil insinue un peu que les chats de la Colonie ont un genre de religion autour du soleil, mais c'est pas le cas, hein, c'est juste. Plus safe en journée en ville X'))
Enfin, si. Elle en avait, maintenant, des chats à prier.
Ç’avait été une découverte déroutante. Toute sa vie, elle avait vécu sans croyances, s’était dévouée à son rôle de guérisseuse, malgré des méthodes qu’on lui reprochait peu orthodoxes mais qu’elle ne considérait que comme une façon comme une autre de sauver des vies. Toute sa vie, elle s’était jugée seule responsable des vies qu’on lui confiait, des vies qu’elle avait entre ses pattes.
(Petite référence aux saignées de la Béa canon, même si honnêtement j'ai aucune idée de comment ça se retranscrirait dans l'AU – est-ce qu'elle. Mort ses patients jusqu'au sang ? À réfléchir... ou pas, d'ailleurs 😭)
Et voilà qu’on lui présentait une puissance autre. Une puissance supérieure, capable de régir la vie des chats de Gangs, de leur apporter leur aide ou, au contraire, de les maudire s’ils leur désobéissaient.
(En utilisant Béa/Tournesol ici, j'utilise une technique très commune dans pas mal de fantasy, qui a probablement un nom, mais que j'appelle affectueusement "je lance un pèquenaud qui connaît rien au système du coin pour l'introduire au lecteur non initié" <3 D'ailleurs, techniquement, de tout l'OS, c'est le passage avec Yann qui est venu en premier ! À la base je voulais juste écrire un passage cryptique avec une apparition de Yann, et j'ai même failli utiliser MT en personnage principal (et réduire tout ça à un rêve qu'il finirait par shrug off au réveil), mais Béa me fournissait plus d'opportunités de subplots et me permettait de coller au thème Lune, sur lequel j'avais très envie d'écrire :])
Où avaient été ces chats, tout ce temps, lorsqu’elle s’était battue contre le temps, tentant désespérément de garder en vie une âme qui lui échappait ?
(Petit questionnement à la Papillon ✨ ... enfin je crois, mes souvenirs de Papillon sont vagues et j'en suis pas arrivée là à ma relecture du cycle 2, mais c'est l'idée que j'en ai en tête X))
Elle avait du mal à croire en eux, elle devait se l’avouer. Mais intégrer le Gang signifiait accepter ses traditions, et ce voyage au clair de lune n’en était qu’une parmi tant d’autres.
(Le clair de lune..... *sigh* la première version de cet OS parlait de pleine lune, parce que je pensais que c'était là que se réunissaient les guérisseurs, pour une raison ou une autre ? Puis j'ai relu le tome, quoi, 3 ? Et j'ai réalisé que c'était à la demi-lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'ai lu le tome 5 et en fait c'était à la nouvelle lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'en ai discuté avec Spotty et en fait non c'était bien la demi-lune– bref, tout une histoire X'))
“Un problème, ma pote ?”
(Si y a bien un problème auquel je m'attendais pas en écrivant cet AU, c'est bien la question des speech patterns, parce que mine de rien, la façon de parler des chats de LGDC est très "simpliste" : ils se tutoient tous, ont tous un niveau de langage globalement courant et family-friendly, s'aventurent peu dans le familier ou le soutenu, et ont rarement des tics de langages bien à eux ; or, ce genre de différences dans le langage, RPZ en regorge– et encore, ça se voit peu dans Ad Nominem et encore moins dans Lux Lunae, parce qu'il n'y a que des personnages qui se tutoient et ont un niveau de langage courant, même si j'ai cru comprendre que les chats qui lâchent des 'putain' avaient surpris, mais pour écrire des personnages comme MT ? MT, le chef de gang qui qualifie tout le monde de reuf et de bitch, menant une cérémonie, ce truc au langage extrêmement précis et solennel ? Ouais, c'est un équilibre à trouver, hein X') Je ne prends bien sûr absolument pas cet exemple à cause d'un potentiel WIP, nooon.....)
Les oreilles de Tournesol Écarlate tressaillirent tandis que se coulait à ses côtés la forme rousse et élancée de Faux Trèfle, l’œil curieux et la queue battante.
“Non, non, pas du tout, m’sieur !” miaula-t-elle prudemment tandis que ses oreilles, par instinct, s’aplatissaient contre son crâne.
(Aslkjsdfs au contraire, les comportements de chats, c'est quelque chose que je m'attendais pas à autant apprécier écrire <3 Les mouvements d'oreilles, de queues, la fourrure, le museau, les miaulements, les feulements, les ronronnements, j'adore écrire tout ce qui est relatif aux habitudes et actions des chats en tant que chats ✨)
Faux Trèfle pencha la tête sur le côté, comme peu convaincu, mais n’insista pas. “Bon. Prête pour ta première rencontre avec nos ancêtres ?”
Non, bien sûr que non. Comment être prête à rencontrer les esprits potentiellement fictifs de chats de Gangs morts ?
Tournesol Écarlate acquiesça néanmoins.
“Tu les as déjà vus, les chats des étoiles, toi, m’sieur ?” tenta-t-elle, en une tentative à peine dissimulée de se rassurer.
Le matou leva le museau vers le ciel.
“Pas vraiment, non. Ils apparaissent pas trop aux guerriers ordinaires comme moi. On est pas assez intéressants pour eux, je suppose.”
Son ton était presque… mélancolique. Presque déçu.
(Est-ce vous aussi vous pensez souvent au fait que 90% des chats ne voient jamais aucun chat ou signe du Clan des Étoiles avant leur mort et croient toute leur vie en l'existence d'esprits qu'ils n'ont pas de chances de rencontrer. Est-ce que vous aussi vous pensez aux jeunes chats qui apprennent que les esprits choisissent certains d'entre eux et en font leurs héros et qui espèrent longtemps être choisis par une prophétie avant de lentement réaliser qu'ils font partie de ceux qui ne seront que des chats ordinaires ? Parce que moi jamais, hahaa... Bref je pense que ce serait le cas de Liam. J'ai aucune preuve et ça sert pas à grand-chose niveau scénario mais. Ouais.)
“De toute façon,” enchaîna-t-il en secouant le museau, “y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.”
(Et ooh, une angsty backstory qui pointe :3c Techniquement il a pas de backstory décidée, mais j'aime bien me dire qu'il avait pas vraiment d'amis autres que Marcello et que les seules personnes qui l'attendent au Clan des Étoiles sont ses parents, qu'il a pas particulièrement envie de revoir.....)
–––
Un battement. Deux battements. Trois battements.
(Une énumération à trois éléments, aka ce que je fais de mieux 👍 /hj, mais un ami m'a fait remarquer que j'en utilisais beaucoup en lisant une de mes fics il y a des années et j'y repense à chaque fois que j'en fais une T-T)
Tournesol Écarlate avait cessé de compter depuis bien longtemps lorsqu’elle décida qu’elle en avait assez, et qu’elle se contenterait de mentir à Faux Trèfle s’il lui demandait ce qu’elle avait vu.
Lorsque ses yeux se rouvrirent, elle n’était plus à Los Santos.
(Le coup de "le protagoniste attend un changement qui ne vient pas mais découvre que le changement s'est produit hors champ alors qu'iel est sur le point d'abandonner", un classique !)
Elle laissa échapper un hoquet de surprise.
(Apparemment les chats peuvent vraiment avoir le hoquet ; j'aurais mis ça quoi qu'il arrive je pense. J'aurais pas été la première à trop personifier les chats pour que ce soit réaliste X))
Partout autour d’elle s’étendait une vaste plaine semblant infinie, sans un arbre ou un rocher pour en perturber la clarté. L’herbe était agitée d’un léger vent dont Tournesol Écarlate ne ressentait pourtant pas la moindre brise, et le ciel nocturne était parsemé de plus d’étoiles qu’elle n’en avait jamais vues. Le lieu semblait imperturbable, imperturbé, un monument à l’inévitable et à l’éternité.
(Honnêtement je savais plus comment était décrit le lieu où les chats rencontraient le Clan des Étoiles dans les livres (et d'ailleurs je crois qu'il y en a plusieurs, en fait, ça dépend des chats) donc j'ai improvisé une plaine un peu surnaturelle~ Et j'aime beaucoup la dernière phrase mais c'est purement des fioritures, hein, je trouvais juste ça joli X))
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mmepastel · 2 years ago
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Je continue mes lectures irlandaises, et ici, avec Jan Carson, c’est encore un réel coup de cœur, son roman Les ravissements est d’une rare puissance.
Le mot « ravissement » est à d’abord à comprendre au sens de « rapt » ; en effet, dans la petite commune d’Irlande du Nord, Ballylack, en 1993, alors que les « Troubles » secouent toujours la région, une classe entière de onze élèves de onze ans est frappée soudainement par une épidémie. Les enfants meurent, après une maladie douloureuse et fulgurante, les uns après les autres. Dans le village, la panique s’installe.
Ce qui est fabuleux, aux deux sens du terme (génial et de l’ordre de la fable), c’est que l’autrice nous raconte l’histoire d’une façon totalement originale. Une partie de la narration est faite à travers les yeux de Hannah, petite fille de la classe menacée, complètement ligotée dans une famille de protestants durs, qui interdit tout divertissement, associé à la sorcellerie, qui passe son temps à prier, à surveiller les consciences, à tenter de promouvoir cette façon rigoriste d’être au monde soumis à la volonté de Dieu. Hannah, petite fille futée, observe le monde et le passe au tamis que sa famille lui a donné comme grille de lecture. Tout devient péché assez rapidement. A travers ses yeux candides, on voit tout le ridicule du dogme religieux. Elle en développe pourtant une culpabilité très lourde.
Et voilà que les enfants morts viennent la visiter, et lui racontent leur « vie » après la mort qui n’a pas grand chose à voir avec ce que lui enseignent les Écritures… voilà déjà de quoi troubler la petite fille, qui les écoute avec effroi et gentillesse, soucieuse d’agir en bonne chrétienne.
L’autre coup de génie de l’autrice, c’est de raconter suite à la progression de l’épidémie, les réactions des uns et des autres, évoquant ainsi les onze familles, qui ont évidemment la douleur en commun, mais qui révèlent aussi des inégalités immenses face à leur place dans cette petite communauté, leur degré d’intégration. Ces tragédies mettent au jour les préjugés, notamment racistes, les petites lâchetés des uns et des autres, les secrets inavouables, les différences sociales. L’hypocrisie de tous, plus ou moins banale, plus ou moins grave, se révèle. D’autant que l’autrice fait preuve d’une finesse psychologique rare, et d’une forme d’ironie permanente qui douche le pathos qui deviendrait trop pesant s’il n’était contrebalancé ainsi.
Le lecteur assiste, impuissant, comme les familles, aux décès successifs. Un suspense assez pervers est mis en place autour d’Hannah. Horrifié et éperdu, on se met à avoir peur, et à être totalement suspendu aux événements racontés. On éprouve alors une forme de compréhension pour l’espoir délirant qui fait que l’on s’accroche aux prières ou aux autres stratégies pour infléchir le destin, même les plus absurdes. Puis on a envie, comme certains, d’envoyer valser le pasteur Bill, de gifler John, d’épauler Grandpa et Mum.
Mais au fond, et si l’enjeu n’était ni la vie, ni la mort mais l’appartenance à un groupe, l’union ? Ce dont manque le pays précisément avec ses guerres intestines, ses nuances de religions, ses sous groupes qui ne cessent de classer les gens, ce qui fait que Hannah se sent seule, même avant l’épidémie, car isolée de ses camarades en raison des règles insensées qui régissent sa vie. La religion est censée unir les humains, or, c’est précisément ce qui les éloigne, en Irlande du Nord (et dans bien d’autres endroits de la planète) ; or Hannah souffre, et à travers son personnage emblématique on comprend que c’est une souffrance universelle, d’être mise à l’écart, de côté. Elle n’est jamais si heureuse que lorsqu’elle se sent en connexion avec les autres, si le couvercle de la peur se lève un peu, si l’air circule, si des mains se joignent, non pas pour prier, mais pour sentir la vie qui pulse et se partage, l’affection qui lie les êtres. A quoi bon vivre sinon ? semble-t-elle penser, et nous avec elle.
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neverfadeaway-rpg · 2 years ago
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▬ la technologie en 2078 ▬
LE KIT DE BASE DE TOUT ÊTRE HUMAIN EN 2078 ▬
Puce neuronale : chaque être humain est équipé d'une puce neuronale, à l'intérieur du crâne, comme un noyau. Elle permet notamment l'identification de la personne et c'est elle qui va connecter le cerveau à tous les autres systèmes qui pourront être implantés par la suite. Cette puce ne définit pas vraiment de puissance pour un potentiel netrunner par exemple, c'est le matériel qui sera installé en supplément de cette puce de base qui permettra d'augmenter les capacités de l'individu. Lecteur d'éclats : derrière l'oreille, chaque être humain a une petite fente, haute de 2 centimètres et très peu épaisse mais profonde, pour lire les éclats - ces nouveaux équivalents plus longs et plus fins de nos clés USB actuelles - il n'est pas conseillé, pour des raisons évidentes, de mettre dans son lecteur un éclat dont on ne connaît pas la provenance. Liaison personnelle : Dans le poignet de chaque individu se trouve un petit câble, pas forcément très long - qui peut être rallongé - qu'on appelle une liaison personnelle. Quand on est pas un netrunner expérimenté ou/et qu'on ne dispose pas d'un système assez puissant pour se connecter aux choses à distance, on se sert de ce petit câble qui permet de connecter son système à tout ordinateur ou appareil électronique.
LES MODIFICATIONS CORPORELLES ET LES SPÉCIALISTES ▬
Implants : On appelle implant cybernétique tout ce qu'on rajoute à un corps humain. Les implants ont beaucoup évolué à travers les années - plus résistants, moins lourds, plus discrets, il en existe des esthétiques comme des défensifs, des très stylisés et visibles comme des complètement invisibles, etc. Qui dit implant dit forcément argent, en tout cas, pour des modèles de qualité chez des spécialistes certifiés. On peut évidemment se fournir chez des gens un peu moins recommandables... Aux risques et périls du·de la client·e. Charcudocs : Ce sont les spécialistes des implants, les chirurgiens spécialisés en cybernétique. Certain·e·s d'entre elleux sont aussi calés en chirurgie esthétique ou créent même leurs propres modèles d'implants. Mais on vient principalement les voir pour se faire poser, retirer ou modifier un implant. Cyberpsychose : Risque pas moindre chez celleux qui ont des implants, et qui peut malheureusement advenir pour plusieurs raisons, la cyberpsychose est une maladie née du progrès, et qu'il ne faut pas prendre à la légère. Que ce soit la faute d'un implant défectueux, de mauvaise qualité, un trop d'implants pour un corps trop faible, un trop plein émotionnel qui fait disjoncter le système tout entier... La cyberpsychose transforme sa victime, pour le pire, la faisant souvent réagir de manière violente, et la faisant perdre une notion de réalité, voire son identité, dans certains cas.
LE HACKING ▬ tout se hacke de nos jours, c'est un fait.
Netrunning & Netrunners : Nom plus officiel du hacking aujourd'hui, celleux qui le pratiquent sont appelés netrunners. Tout le monde ne peut pas netrunner (verbe du premier groupe). Il faut avoir à minima un système fait pour, sinon, passer par sa liaison personnelle en se connectant directement à l'appareil ciblé, mais là encore, il faut y aller en sachant ce qu'on fait. Se connecter à un système trop fort pour soi, c'est se mettre en danger. La plupart des netrunners ont un minimum de Black Ice, une protection qui permet de se protéger des intrusions, notamment de netrunners ennemis. Les netrunners expérimentés iront jusque dans le cyberespace, et dans leurs hackings les plus dangereux/complexes, devront carrément plonger leurs corps dans une baignoire remplie de glaçons pour éviter la surchauffe.
QUAND LA TECHNOLOGIE POSE DES QUESTIONS D'ÉTHIQUE ▬
Projet Relic & engrammes : Projet d'Arasaka qui a pour but de "numériser" les âmes d'individus encore vivants pour les transformer en data, et les stocker dans une data fortress. On appelle les numérisations de ces individus des engrammes. Poupées & proxy : Les poupées sont des individus qui sont dotés de puces spécifiques, ces dernières permettant de s'adapter complètement à un autre individu, et de soustraire en quelques sortes la personnalité de la poupée, complètement effacée par les desiderata de l'individu face à elle. De manière évidente, on retrouve beaucoup de poupées dans le domaine de la prostitution, pour leur capacité à satisfaire plus facilement la clientèle. Les proxy vont plus loin et sont des individus avec un système qui permet un contrôle total du corps laissé à quelqu'un d'autre, des paroles aux mouvements.
LES TRUCS BIEN COOLS DU PROGRÈS ▬
Holos & puce neuronale : Successeurs de nos téléphones, les holos sont plus connectés et permettent de passer des appels holographiques, mais aussi, lorsque connectés à la puce neuronale, d'envoyer des textos directement par une impulsion du cerveau. Une fois le système bancaire connecté, on peut également payer avec la puce. Danse sensorielle : La réalité virtuelle a profondément évolué, et est maintenant qualifiée de sensorielle pour une simple raison : l'expérience retranscrit tout, pas seulement le visuel et le son, mais bien les sensations aussi. Les danses sensorielles donc, sont très populaires, et tous·tes s'y essayent. Même le marché noir, qui fait circuler des exemplaires de casques truffés de virus qu'il faut vraiment faire gaffe de ne jamais se mettre sur le crâne. Navis : Les voitures volantes existent, et avec elles, les véhicules autopilotés. On peut s'appeler un taxi sur roues sans conducteur, ou un volant, comme on le souhaite. L'espace : En 2020, le tourisme spatial était déjà d'actualité. En plus de 58 ans maintenant, l'espace n'a évidemment pas été exploré dans ses longueurs, mais beaucoup plus dompté par l'espèce humaine. On retrouve en orbite une station orbitale accessible aux civil·e·s de plusieurs kilomètres d'envergure, plus de 200 usines corporatives, et il existe sur la Lune deux colonies - la plus grosse héberge plus de 10 000 habitant·e·s - qui vivent là-bas depuis plusieurs dizaines d'années. L'espace reste un luxe, mais bien plus accessible qu'il y a 70 ans de ça. Il existe désormais même un nom pour les gens nés dans l'Espace, les Highriders, et ils disposent de leur propre gouvernement.
Voici pour la troisième annexe dévoilée, tournée autour du progrès et de la technologie telle qu'on peut la rencontrer en 2078. N'hésitez surtout pas si vous avez des questions, notre ASK est ouvert, et vous pouvez également nous retrouver sur notre discord !
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eonubes · 2 years ago
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« anéantir » le dernier roman de Michel Houellebecq prend pour cadre la France en 2027.  Une série d’attentat frappent plusieurs pays dans le monde, avec une extraordinaire précision et des modes opératoires très variés. Afin de maîtriser l’information, les auteurs de ces attentats procèdent à un hackage des médias afin de contrôler le contenu des informations sur leurs propres actions. Un homme, retraité des services de renseignement, semble avoir établi un faisceau de corrélations avant qu’un accident vasculaire ne le cloue au silence. Peu à peu, les liens se tissent autour d’une mouvance ésotérique qui convoque le Baphomet : Anagramme du Prophète Mahomet qui était obscure hérésie médiévale. Elle avait notamment servi à Philippe le Bel comme chefs d’accusation pour éradiquer la puissance montante des Templiers.
Il est à chaque fois très confortable d’enfermer un auteur et son œuvre, en un tour de clef, en inférant qu’il ferait « symptôme » dans un paysage par définition asymptomatique... Le symptôme est la voie la plus courte et la plus usuelle de l’absence de réflexion critique ; de celle qui scelle sous le régime d’une métaphore toute réflexion critique. Cette facilité épuise à restituer l’épaisseur d’un auteur ; notamment un auteur de l’envergure de Michel Houellebecq. Un auteur qui, le moins que l’on puisse dire, est clivant : entre ceux qui y voient un prophète et ceux qui le réduisent à un « symptôme ». Dans cet article, nous allons restituer les tensions, les forces et les faiblesses qui apparaissent à la lecture de ce roman.
Publié au tout début de l’année, au édition Flammarion, « anéantir » le dernier roman de Michel Houellebecq n’est pas l’énième roman d’un auteur prolifique. Quand bien même on y retrouve des motifs, ses obsessions, les mêmes personnages ou des paysages qui lui sont propres et le rendent reconnaissables pour ses lecteurs. On aurait tôt fait, dès lors, de réduire roman à une déclinaison des items houellecquiens en rangeant poliment en bonne place dans sa bibliothèque parmi ses autres.
Dans ce roman, Michel Houellebecq, nous introduit dans les arcanes du pouvoir en suivant la vie de Paul Raison, haut fonctionnaire du Ministère de l’Économie et des Finances. C’est assez habile de prendre un personnage établi au cœur de la machine de l’État, dans un pays comme la France ou la sophistication administrative est très prononcée, pour décortiquer nos existences corpusculaires.  
Du haut de son bureau, situé au sommet de la gigantesque barre de béton qui surplombe l’autoroute urbaine qui jusqu’au cœur de Paris, en  balafrant profondément le tissu urbain du 12e arrondissement Paul Raison a une vue surplombante sur les flux : mécaniques, motorisés ou fluviaux qui nourrissent ses pensées les plus secrètes. Tout autant que la circulation, il observe les méandres du fleuve qui cycliquement absorbe les rives pour en reconfigurer le paysage bien ordonné à l’intérieur des quais. C’est clairement l’une des clefs de l’écriture de Houellebecq. Dans le roman elle nous est donnée dès les premières pages. Houellebecq donne souvent à ses personnages quelque chose comme une seconde chance. Celle d’être appréhender par une forme de grâce poétique qui les délivre temporairement de le plus abjecte trivialité.
Le roman anéantir, l’auteur se joue des frontières entre une description très terre à terre et une teneur poétique ; comme dans ce passage où le père de Paul : handicapé et mutique, est laissé seul dans un fauteuil à roulette dans un parc où il se fait soigné. Son regard reste fixement rivé à un bouquet d’arbre qui lui fait face ; sans qu’on puisse décidé s’il observe la grâce que donne le mouvement des branches traversées par le vent ou si ce n’est pas juste son état végétatif qui le cloue dans cette attitude proche d’un détachement extatique et d’abandon intérieur. L’aspect contemplatif de ses principaux personnages des romans de Houellebecq est rémanent.  Ce roman n’y fait pas exception. Peut-être même plus encore que les précédents les descriptions poétiques parcourent tout le roman jusqu’à son dénouement. Ce qui est notable, c’est que ces descriptions ne sont pas forcément appréhendées à partir du regard de personne en pleine santé mais paradoxalement et à deux reprises dans le roman de personnes à la limite de décrépitude physique et mentale. C’est un aspect qui mériterai que l’on s’y arrête tant il semble que, pour l’auteur, l’homme moderne n’arrive à une sorte d’ascèse contemplative qu’en étant préalablement déchu de ses habitus contemporains du fait de sa déchéance.
Comme nous l’indiquions, l’alternance de ces passages poétiques sont contrebalancés par d’autres descriptions plus terre-à-terre. Nous entrons effectivement dans le corps du roman quand Paul Raison descend de sa citadelle de Bercy pour s’intégrer physiquement dans ce paysage qu’il observait en surplomb. C’est un des tours de force d’un roman qui n’en manque pas que d’avoir su restituer très précisément l’un des quartiers les plus méconnu de Paris. Un quartier excentré, en grande partie artificiel, bien que chargé d’histoire. Un ersatz de quartier coincé à l’intérieur du quadrilatère presque parfait que forment la gigantesque « architecture totalitaire », comme l’écrit l’auteur, du Ministère de l’Économie et des Finances, du périphérique, des rails de la SNCF et des rives solitaires de la Seine. Un quartier de prédilection donc pour un amateur d’anecdote comme l’est l’auteur. Il s’est attaché très particulièrement à celle qui concerne l’église Notre-Dame de la Nativité de Bercy sur laquelle l’auteur s’attarde à de nombreuses fois. Détruite et reconstruite à de nombreuses reprises, tout le long de son histoire, cette petite église du 12ième ardt, enchâssé dans la trame urbaine recomposée du quartier de Bercy fait dire au narrateur qu’à elle seule elle résume l’histoire de la chrétienté occidentale. On peut s’étonner que cette réflexion de l’auteur ne se soit pas étendue à tout ce quartier de Bercy. Quartier hybride : ancien et artificiel ; recomposé d’éléments épars de ses structurations successives, non seulement forme un succédané, mais préfigure la France contemporaine : entre mythe, recomposition et amnésie. C’est très frappant quand on traverse le parc de Bercy, la cour Saint-émilion, et jusqu’aux Maréchaux.
Historiques ou philosophiques ; voir triviales, les références tout autant que les analyses ne manquent pas dans ce roman. C’est peu dire qu’il en est « truffé ». On y voit là une forme de saturation toute contemporaine : celle de la nos sociétés overdosées d’informations de toutes sortes. Houellebecq nous alimente jusqu’à la lie de renseignent sur tout type de sujet. Il prend parfois un malin plaisir à n’omettre aucun détail, rendant souvent la lecture empêtrée de gloses, de digressions, d’analyses dont certaines sont à l’emporte-pièce.  Le plus souvent on les trouvera succinctes, comme celles qui concernent les pensées des philosophes, mais la plupart du temps elles tout simplement caricaturales comme des lectures de secondes mains.
Houellebecq use de ces digressions comme un anthropologue collecterait des mythes ; nous entrainant toujours plus loin dans une très longue et minutieuse description de nos habitus modernes. On aura tôt fait de conclure qu’il s’agit d’une description au scalpel du crépuscule du couple hétéronormé dont l’auteur ne prends aucune pincette pour le déconstruire méthodiquement. Très vite il nous conduit dans les recoins de l’intime où vont se nicher les plus triviales descriptions du roman. La ligne de démarcation de la « guerre des sexes » se déplaçant à l’intérieur du frigo du couple que forme Paul Raison et sa femme Prudence. « Un couple hétérosexuel est un couple en instance de divorce » déclare le narrateur dont il décrit l’évolution, en reprenant à Dante sa géographie infernale, l’image des cercles concentriques que forment l’Enfer comme autant de cycle vers l’inéluctable. Il faut attendre la page 350 pour avoir un semblant d’esquisse d’une rédemption sous deux modalités différentes.
Le narrateur, en effet, indique comme solution de prendre exemple sur les animaux et en particulier sur les oies. En laissant, par exemple, son odeur sur sa ou son partenaire et en prenant soin de surtout de ne pas appuyer les premiers attouchements d’un retour en flammes. Tout cela à grand renfort de magie et de cierges déposé dans la modeste église Notre –Dame de la Nativité de Bercy. L’autre type de rédemption prends la forme d’une femme africaine que l’auteur décrit bien sous tous rapport : catholique, bien éduquée, et portant un prénom bien français : Maryse. Ce personnage dont on laissera le lecteur découvrir plus abondamment tout seul, est introduit dans le chapitre en même temps qu’une digression sur un autre type d’immigré comme si leurs figures en formaient l’antithèse. C’est-à-dire l’arabe, « la racaille », comme il est écrit ; précédemment assimilés aux orcs du roman « Le Seigneur des anneaux ». La dites racaille des quartiers populaires reste une racaille même quand elle vote massivement en faveur du candidat au pouvoir pour les présidentielles (Sans doute une des fictions les plus risibles du livre). Celle des classes populaires dont l’horizon se borne aux barres d’HLM en béton dont le narrateur nous dit que Maryse « se méfie instinctivement ». Cette bonne immigrée est donc l’autre solution de rédemption au couple hétéronormé. Elle, elle sait « prends les choses en mains » : sexuellement s’entend, pour leurs faire retrouver leurs naturalités premières. Finalement ces deux formes de rédemptions possibles au couple hétéronormé semblent se faire écho sur le plan d’un retour aux sources naturelles et animale de l’humanité…. La brave Maryse sera finalement expédiée deux dix cents pages plus tard en retournant dans son Bénin natal après avoir prêté de sa personne comme prix à payer de sa parfaite intégration à la famille Raison. On retrouvera encore les immigrés au détour d’une discussion dont se remémore Raison. Dans laquelle, le Ministre de l’Économie et des Finances, lui aurait expliquer qu’ils ne sont ni économiques, ni même réellement humanitaires, et que c’est en conscience qu’ils risqueraient leurs vies. « Ils ont parfaitement compris notre fonctionnement dit Bruno, « La culpabilité, le « christianisme résiduel, ect » ; « Ils savent qu’ils vont être recueilli par un bateau humanitaire ». « La violence est efficace » finit par conclure Monsieur Raison en écoutant le Ministère. Ce passage est anthologique : A grand renfort de citation on y retrouve ce gout houellebecquien pour la glose savante.  Il conclut le récit d’un attentat filmé contre un bateau de migrants. Ceux-ci auraient finalement renoncer depuis à faire la traversée en mer. L’immigration peut bien avoir « quelques succès » comme celle de ce dentiste qui vient sauver la bouche fétide et gangrenée du personnage principal mais il faut bien convenir « qu’ils étaient de plus en plus rares » conclut-il.
Si l’on a dit que le roman « anéantir » dispensait de quelques réflexions sur la société hétéronormé et patriarcal, ce qui est immanquable ce sont les prophéties de Houellebecq.  L’une d’elle s’est réalisée en cours de publication (nous vous laissons le soin de découvrit laquelle), mais les plus intéressantes quant à l’avenir de la France sont celles qui conditionnent son personnel politique. Au moins une personne figure au premier plan : le « Président » sans qu’une seule foi tout le long des 730 pages que compte le roman son nom soit donné. On l’aura très vite deviné, il s’agit de l’actuel Président de la République. S’il n’est jamais nommé, il fait exception. Certaine on droit  à voir figurer sous leurs prénoms comme c’est le cas d’une des figure de l’Extrême-droite actuelle.  Le narrateur nous avertit prophétiquement que le « Président » compte rempiler à toutes les élections à venir ; quitte à mettre un factotum comme marchepied entre deux suffrages, suivant scrupuleusement les modifications apportées à la Constitution en 2000. Le pire n’est pas là. On pouvait sans Houellebecq se douter des ambitions du personnage. Ce que l’on apprend c’est que le « Président » serait même capable de contribuer à une élection de l’Extrême-droite si celle-ci pouvait, à son tour, rendre inéluctable son retour aux pouvoirs après que les freins de la Constitution seraient levés.
Le roman est constitué d’une sorte d’épilogue. On bascule dans une autre géographie urbaine, un autre quartier qui semble se déplier du précédent comme s’il en formait depuis le début son horizon. Il en est en tout cas le prolongement naturel. C’est dans cette partie du roman que le titre « anéantir » prend tout son sens. Il est écrit sans lettre capitale comme pour en conserver sa puissance évocatoire sans autre résonance capitale. C’est au cœur de cette anéantissement que la rédemption du couple que forment Paul et sa femme prudence le plus de force. Il n’est guère étonnant que les plus beaux passages du livre se trouvent dans cette épilogue. La maladie y est décrite comme un processus d’anéantissement intime exactement dans les mêmes termes que l’a décrit le savant Claude Bernard. En sorte que le vivant lui-même est corrélé à la mort dès son apparition. Ce sont sans doute les pages les plus justes de tous le roman qui n’en manquent pourtant pas. Si bien des passages peuvent laisser dubitatifs jusqu’à en perdre son lecteur quant aux qualité que l’on prête à Houellebecq. L’épilogue à lui seul concentre toute la force et la beauté d’un très grand écrivain. On y suit jusqu’au plus près de l’intimité, délesté des dernières pudeurs, la maladie et l’amour faisant résonner ce vers biblique qui imprime son timbre au Cantine des cantiques « Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, Comme un sceau sur ton bras; Car l'amour est fort comme la mort ».
Description du quartier : Immeuble totalitaire à partir duquel se décline le quartier et son histoire comme un microcosme emportant avec lui la France en succédanée...
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christophe76460 · 6 days ago
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UN INCROYABLE LIVRE APPELÉ LA BIBLE
#Un_incroyable_livre_appelé_la_Bible #Samuel_Mattews Qc_0838
Quatrième partie de l'étude (4/8)
IV. DIEU EST SAINT
Psaume 99.9 : « Exaltez l'Éternel, notre Dieu, et prosternez-vous sur sa montagne sainte ; car l'Éternel, notre Dieu, est saint »
Bien-aimé(e)s dans le Seigneur et cher(e)s ami(e)s, lecteurs et lectrices, qui recherchez la Vérité qui affranchit, toute compréhension biblique doit commencer et se terminer par une connaissance, (autant que possible), de Dieu :
Cf. Jean 17.3 : « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé. »
LA VUE D'ENSEMBLE ...
Le caractère ou la nature de Dieu est défini par la caractéristique de la sainteté, l'absence pure de tout mal :
Psaume 5.4 : « Car tu n'es pas un Dieu qui prenne plaisir à la méchanceté, et le mal n'habitera pas avec toi. »
Jean dit en I Jean 1.5 : « Voici le message que nous avons entendu de Lui et que nous vous annonçons : Dieu est lumière, il n'y a pas en lui de ténèbres. »
Jean nous dit que Dieu est complètement libre de tout mal moral. Il est l’essence de la pureté morale et de la bonté. La sainteté de Dieu est le fondement même de son plan de rédemption.
C’est la sainteté de Dieu qui perfectionne ses attributs d’omnipotence (puissance infinie), d’omniscience (connaissance parfaite) et d’omniprésence (présent partout).
Imaginez que j’aie les attributs d’omnipotence, d’omniscience et d’omniprésence. M’aimeriez-vous ? Ou m’adoreriez-vous ? Pas nécessairement. Et si j’étais mauvais – un Hitler ou un Dark Vador ?
C’est précisément la nature de sainteté de Dieu qui rend tous ses attributs parfaitement bons. C’est sa sainteté qui le rend digne de nos louanges, de notre amour et de notre dévotion.
Nous observons sa sainteté dans son interaction avec sa création. Par conséquent, elle crée en nous un amour et une révérence pour Dieu et un désir de le servir et d’être pour toujours avec Lui comme notre Père spirituel dans les cieux.
UN DIEU DE JUSTICE ET D'AMOUR
Nous découvrons que la sainteté de Dieu nous est démontrée sous deux aspects : Sa Justice et son Amour. :
Psaume 33.4-5 : « Car la Parole de l'Éternel est droite, Et toute son oeuvre (s'accomplit) avec fidélité ; Il aime la Justice et le droit ; La bienveillance de l'Éternel remplit la terre. »
En Psaume 89.14, encore une fois : « La Justice et le Droit sont la base de ton trône. La Bienveillance et la Vérité se tiennent devant ta face. » Toutes nos relations avec Dieu sont régies par ces deux aspects de la sainteté de Dieu.
La Justice de Dieu signifie que Dieu ne traitera jamais l'humanité injustement. Nous pouvons faire confiance à Ses promesses et à Ses jugements et à Ses déclarations, Deutéronome 32.4 ; Job 8.3. Nous pouvons compter sur le fait qu'Il fera ce qu'Il dit, Ésaïe 46.8-11 :
Deutéronome 32.4 : « Il est le Rocher ; son oeuvre est parfaite, Car toutes ses voies sont équitables ; C'est un Dieu fidèle et sans injustice, C'est Lui qui est juste et droit. »
Job 8.3 : « Dieu fausserait-il le Droit ? Le Tout-Puissant fausserait-il la Justice ? »
Ésaïe 46.8-11 : « Souvenez-vous de cela, Et soyez des hommes ! Rebelles, prenez la chose à coeur ! Souvenez-vous des premiers événements ; Car je suis Dieu, Et il n'y en a point d'autre, Je suis Dieu, Et rien n'est semblable à moi. J'annonce dès le commencement (Ce qui vient par) la suite Et longtemps d'avance Ce qui n'est pas encore accompli.
Je dis : Mon projet tiendra bon, Et j'exécuterai tout ce que je désire. J'appelle de l'orient un oiseau de proie, D'une terre lointaine l'homme qui accomplira mes projets, Ce que j'ai dit, Je le fais arriver ; Ce que j'ai conçu, Je l'exécute. »
De même, si Dieu prononce une pénalité ou un jugement, non seulement ce sera juste et dans le meilleur intérêt de l'humanité, mais nous pouvons être sûrs qu'Il suivra Sa déclaration ...
Une facette complémentaire de la sainteté et de la Justice de Dieu est son amour pour sa création. Bien que sa Justice soit juste et sûre, elle est toujours administrée dans le contexte de son amour. Il nous aime comme un père aime ses enfants. Il cherche toujours à accomplir en nous ce qui est nécessaire pour avoir une relation d’amour avec Lui.
Dieu déclare à plusieurs reprises que nous devons être saints parce qu'il est saint :
Lévitique 20.26 : « Vous serez saints pour moi, car je suis saint, moi, l'Éternel ; je vous ai séparés des peuples, afin que vous soyez à moi. »
Comme nous l'avons vu précédemment, Dieu nous a créés en tant qu'êtres spirituels et veut avoir une relation spirituelle avec sa création. Si nous sommes saints, nous pouvons alors, et seulement alors, avoir l'union spirituelle qu'un Dieu saint désire.
Cela constitue la base du plan de rédemption, l'incroyable plan de Justice et de Miséricorde de Dieu démontré pour la première fois dans l'Ancien Testament.
Alors, pourquoi un plan de rédemption de l'humanité était-il nécessaire en premier lieu ?
LE PROBLÈME DU PÉCHÉ
Briser la Volonté de Dieu, à quelque degré que ce soit, est appelé péché, I Jean 3.4. Le péché est mauvais ... C’est tout simplement de l’injustice, I Jean 5.17. Rien ne définit autant le caractère de Dieu et sa relation avec l’homme que son horreur absolue du péché, cf. Proverbes 6.16-19 :
I Jean 3.4 « Quiconque commet le péché, commet aussi une violation de la loi, et le péché, c'est la violation de la loi. »
I Jean 5.17 « Toute injustice est un péché, et il y a tel péché qui ne mène pas à la mort. »
cf. Proverbes 6.16-19 « Il y a six choses pour lesquelles l'Éternel a de la haine, Et même sept qu'il a en horreur : Les yeux hautains, la langue trompeuse, Les mains qui répandent le sang innocent, Le coeur qui médite des projets injustes, Les pieds qui se hâtent de courir au mal, Le faux témoin qui profère des mensonges, Et celui qui déchaîne des querelles entre frères. »
Dieu est Dieu. Dieu est Saint. Dieu est Roi. Toute transgression de sa loi entraîne sa répulsion absolue envers ceux qui rejettent sa Volonté.
Le péché nous rend impurs et nous sépare ainsi de Dieu :
Ésaïe 59.1-2 : « Non, la main de l'Éternel n'est pas devenue trop courte pour sauver, Ni son oreille trop dure pour entendre. Mais ce sont vos fautes qui mettaient une séparation Entre vous et votre Dieu ; Ce sont vos péchés qui vous cachaient (sa) face Et l'empêchaient de vous écouter. »
À suivre dans la cinquième partie ...
Le Dieu du Ciel et de la Terre est si bon. Il est donc de notre devoir de veiller à vous communiquer fidèlement cet amour, Jean 13.34-35
Samuel Matthews
Évangéliste et prédicateur
Texte traduit, édité et adapté par Gilles Boucher
ORIGINAL ENGLISH LESSON : THE INCREDIBLE B00K CALLED THE BIBLE - Part 3 & 4
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Le Sous-index de toutes les parties réunies avec les titres et les liens :
UN INCROYABLE LIVRE APPELÉ LA BIBLE (*8) Samuel Mattews Qc_0838
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« Toutes les Églises du Christ vous saluent. » Romains 16.16
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news2pjm · 7 days ago
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Merci infiniment à mon ami Yan Kouton pour le texte qu'il a écrit sur mon recueil de nouvelles Les prénoms (aux Editions unicité)
Les Prénoms tiennent du fragment d’un discours amoureux. Pièces en apparences éparpillées d’existences - prises dans les tourments de l’attachement - ce nouveau texte de Jeanne Morisseau déploie avant tout une virtuosité impressionnante, et presque intimidante. L’écriture est d’un classicisme devenu presque archaïque, sauf qu’elle n’est ici qu’un véhicule, presque un vernis craquant à chaque pas, à chaque histoire.
On découvre alors que la virtuosité évidente de Jeanne Morisseau est au service d’une observation sensible, inquiète, aux limites de l’effondrement, toujours, d’une humanité fragile, dès lors qu’elle se met à nu, c’est-à-dire quand elle se plonge dans ce que l’on appelait autrefois les affres de l’amour. De manière encore plus subtile, quand elle s’immerge dans une époque qui, à peine sortie des interdits et encore enivrée de sa liberté, se heurte à de nouveaux murs.
Si Les Prénoms s’ouvrent sur une épiphanie, ce n’est pas par hasard. On sait, dès les premières pages, que le roman va plonger loin, et surtout, dans les affres de la création. Et quand Mary, musicienne, découvre la puissance de la poésie, on est submergé avec elle par toute la beauté qu’elle s’apprête à découvrir. Celle que Jeanne Morisseau va développer, ensuite, avec la fluidité des écritures les plus poétiques, et donc les plus précieuses.
L’autrice explore, prénom après prénom, destin après destin, ce cri viscéral, étouffé ou violent, légitime ou dangereux, naissant ou mourant qui accompagne toute vie. Bien plus qu’un besoin, une connexion au monde, à l’univers. Et les incessants voyages que Jeanne Morisseau opère entre son univers littéraire et celui d’autres poètes ou romanciers sont là pour nous éclairer.
L’amour est charnel, oui, puissamment. L’amour n’a pas d’âge et ne connaît pas les conformismes. L’amour se joue des distances, de la mort, de la différence, des sexes. Ce n’est pas qu’il est plus fort que tout. Il est si souvent contrarié et vaincu. C’est, plutôt, qu’il se confond avec l’élan artistique. Il en partage les mêmes ambivalences, les mêmes failles, les mêmes forces. Il meurt, il est bafoué, renié, réduit au silence. Mais il renaît inlassablement.
Et inlassablement, de prénom en prénom, de parcours en parcours, il se manifeste, toujours différent, mais toujours à l’origine. Dans ce que le mot a de plus profond.
Yan Kouton
NB : Il existe une rubrique "Retours de lecteurs" sur le site des Prénoms (créé par Philippe Colette) pour ceux qui liront ce recueil de nouvelles et souhaiteraient y partager leur vision.
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alexandrebleus · 1 month ago
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Quels sont les rapports qu’entretiennent le Symbolique et le Réel chez Lacan ? (Alexandre Bleus)
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Suite à notre précédent article du 25 septembre dernier intitulé : “Quels sont les liens entre l’ Imaginaire et le Réel dans la perspective lacanienne ?“, nous nous voyons logiquement invité à poser la même question relativement aux liens qu’ entretiennent le Symbolique et le Réel. et, bien sûr, dans notre prochain article, nous serons, en toute cohérence, convié à nous interroger au sujet des rapports entretenus entre le Symbolique et l’ Imaginaire. Chers lecteurs, vous vous doutez bien qu’ il s’ agit là d’ une préparation à l’ analyse du noeud borroméen qui est, de fait, la structure la plus aboutie de la topologie lacanienne.
Qu’ est-ce donc que le Symbolique lacanien ? Le Symbolique constitue un pilier central de sa théorie psychanalytique, incarnant l’ordre structurant de la réalité humaine. Il se définit comme le domaine du langage, des signes, des symboles et des lois qui régissent la société et se pose en tant que matrice intersubjective au sein de laquelle le sujet se construit et s’inscrit en relation à l’Autre et à l’ autre en tant que mon semblable qui est être de langage. Cependant, je pense que l’ on pourrait réduire totalement le Symbolique au champ du langage car les signes, les symboles et les lois qui régissent la sociétés ne sont que des conséquences de l’ existence des signifiants au même titre que l’ écriture qui n’ en est que le dépôt. Le Symbolique, en tant que système de représentation et de communication, permet l’émergence de la pensée, la construction de l’identité et l’établissement de liens sociaux. Il offre au sujet la possibilité de s’inscrire dans un réseau de significations partagées, lui permettant ainsi de se situer et de se reconnaître au sein du monde. Le sujet parvient donc à la cogitation grâce au Symbolique. Cependant, cette accession au Symbolique s’accompagne d’une perte fondamentale : la perte de l’objet du désir originel, impossible à retrouver. Ce manque constitutif, inhérent à la condition humaine, est le prix à payer pour l’entrée dans l’ordre symbolique. Le sujet est dès lors confronté à une absence irréductible, une béance au cœur de son être, qu’il tentera de combler tout au long de son existence. La vie n’ est autre que ce parcours…
Le Symbolique, en tant que système de représentation, opère donc une séparation entre le sujet et le monde, introduisant une distance entre le signifiant et le signifié. Cette distance entre le signifiant et le signifié correspond naturellement a la fin de la bienheureuse fusion où, par définition, il n’ y a aucun signifiant qui existe. Tout n’ est là que signifié inexprimable… Voilà une thèse qui pourrait faire l’ objet de nombreuses controverses… Le Symbolique, en tant qu’ordre de la loi, impose des interdits et des limites au sujet. La loi du père, qui structure l’Œdipe, introduit la castration symbolique, marquant la fin de la toute-puissance infantile et l’acceptation des règles sociales. Le sujet est ainsi soumis à un ensemble de normes et de conventions qui régissent ses désirs et ses comportements. Les troubles liés à l’ ordre symbolique sont donc traductibles en termes de nosographie et, bien entendu, l’ analyse des troubles mentaux renvoie à l’ analyse des troubles du langage.
Il apparaît que le Symbolique, dans la théorie lacanienne, représente l’ordre structurant de la réalité humaine, le lieu de la culture, du langage et de la loi. Il permet au sujet de se construire et de s’inscrire dans le monde, mais il introduit également une perte fondamentale et une soumission à l’ordre social. Le rapport du sujet au Symbolique est donc complexe et ambivalent, marqué à la fois par la nécessité et la contrainte.
La relation entre le Symbolique et le Réel, loin d’être harmonieuse, est marquée par une tension constitutive, une dialectique incessante où chacun des deux registres cherche à la fois à s’imposer à l’autre et se trouve limité par lui.
Le Symbolique, avec son arsenal de langage, de lois et de représentations, aspire à maîtriser et organiser le Réel, à le rendre intelligible et gérable. Il cherche à circonscrire l’expérience humaine dans un cadre de sens, à domestiquer le chaos et l’angoisse inhérents à l’existence. Cependant, le Réel, par nature insaisissable et irréductible à la symbolisation, résiste à cette entreprise de domestication. Il fait retour, de manière imprévisible et disruptive, sous forme de symptômes, de lapsus, d’actes manqués, rappelant au sujet l’existence d’un au-delà du langage, d’un impossible à dire. Le Réel est, en soi, irreprésentable car il est la logique qui est sous jacente à la réalité qui, elle même, n’ est qu’ un fantasme.
Cette résistance du Réel face aux tentatives de maîtrise du Symbolique souligne les limites intrinsèques de ce dernier. Le langage, aussi puissant soit-il, ne peut jamais tout englober, tout représenter. Il y a toujours un reste, un hors-sens, qui échappe à sa prise. Le Réel, en tant qu’impossible à symboliser, marque ainsi la faille, le point de rupture du Symbolique, rappelant au sujet son incomplétude, sa finitude, sa castration. Paradoxalement, c’est précisément cette confrontation au Réel, à l’impossible à atteindre, qui constitue le moteur du désir. Le manque engendré par l’entrée dans le Symbolique, la perte de l’objet originel, crée un vide, une absence que le sujet cherchera sans cesse à combler. Le désir, selon Lacan, est toujours désir de l’Autre, désir de ce qui manque, de ce qui est inaccessible. Le Réel, en tant qu’impossible, devient ainsi l’objet insaisissable de la quête du sujet, le but ultime, toujours fuyant, de son désir. C’ est ce qui le fera courir durant toute son existence… Courir en vain !
En creux, nous écouterons donc le livre de l’ Ecclésiaste et son fameux : “Vanitas vanitatum et omnia vanitas” !
(https://www.alexandre-bleus.org/quels-sont-les-rapports-quentretiennent-le-symbolique-et-le-reel-chez-lacan/)
Alexandre Bleus
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lepartidelamort · 2 months ago
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Une figure de la révolution fasciste italienne : Pio Ronconi.
La démocratie n'est pas éternelle.
Chemise noire, Waffen-SS, polyglotte, ésotériste, journaliste, traducteur, agent de renseignement, enseignant, cryptographe, boxeur, révolutionnaire… Pio Alessandro Carlo Fulvio Filippani Ronconi (10 mars 1920 – 11 février 2010) incarne une tradition aristocratique défendue par un courant du fascisme italien.
Il est issu d’une famille de la « noblesse noire », c’est-à-dire restée fidèle au Pape après la proclamation de monarchie italienne et l’annexion des états pontificaux par le roi Victor-Emmanuel II en 1870.
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Armoiries de la famille Ronconi
Son père étant le comte Fulvio Filippani Ronconi et sa mère Anita Tamagno, qui remontent au patriciat romain. Il grandit en Espagne jusqu’à la guerre civile, lorsque sa mère est abattue par les Républicains, après quoi il retourne en Italie avec sa famille.
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À cette époque, il maîtrise l’italien, l’espagnol, le catalan, l’arabe, le grec et le latin, et étudie plus tard plusieurs autres langues, dont le turc, l’hébreu, le chinois, le tibétain, le sanskrit et le persan, pour n’en citer que quelques-unes. Grâce à sa grande maîtrise des langues, il a travaillé pour la société de radio italienne EIAR en tant que lecteur de nouvelles étrangères.
Parallèlement, ses intérêts spirituels l’ont amené à étudier et à pratiquer les tantras, et à connaître Julius Evola, Arturo Reghini et d’autres membres du groupe Ur. Il a étudié en profondeur le tantrisme et le gnosticisme, dans différents contextes culturels, ainsi que les croyances et les rituels de l’Italie ancienne, des tablettes d’Iguvine à la religion romaine antique.
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« À 15 ans, j’ai découvert sur un étal « L’uomo come potenza » de Julius Evola. Il m’introduisit l’image de la manière dont dépasser la misère quotidienne et me donna la signification du fait que j’avais essayé depuis toujours de combattre… Dieu ! J’ai beaucoup changé depuis, hein ? L’homme comme puissance, je disais, ouvrit une expérience métaphysique concrète plutôt que religieuse, et donc ces chants épiques que j’aimais trouvèrent une réelle dimension. Je pouvais réaliser ce que la tradition indo-européenne me proposait. Et ce fut une grande découverte pour moi. » – Pio Ronconi
Lorsque l’Italie entra dans la Seconde Guerre mondiale (10 juin 1940), il s’engagea comme volontaire et a combattu en Libye. Il est blessé à deux reprises et décoré pour sa bravoure.
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Après la chute de Benito Mussolini et la création de la République sociale italienne, il s’engage dans la Légion SS italienne, réorganisée plus tard sous le nom de 29e Division de la Waffen-SS « Italia », et atteint le grade d’Obersturmführer.
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Pio Ronconi a combattu à Nettuno lors de l’Opération Shingle visant à permettre aux forces américaines de déborder la ligne défensive allemande de l’Italie centrale, recevant la Croix de fer de deuxième classe au cours de la bataille. Coûteuse pour les Alliés (34 000 pertes) et souvent décrite comme la « Normandie italienne ».
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Il est probablement le dernier survivant du Bataillon « Degli Oddi » de la division SS « Italiana ». Il participe à la défense de Rome aux côtés des troupes de la République Sociale Italienne dirigée par Benito Mussolini avec l’appui allemand.
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Après la fin de la guerre, il poursuit ses études, fait la connaissance personnelle de Massimo Scaligero et, à travers lui, des travaux de Rudolf Steiner. Il élabore alors sa propre conception de l’anthroposophie, débarrassée de ses aspects chrétiens et centrée sur l’ancien paganisme indo-européen.
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En 1959, il devient l’un des principaux élèves de Giuseppe Tucci, le plus important orientaliste italien de l’époque. Il enseigne à l’université de Naples « L’Orientale » et à l’école d’orientalisme de Venise.
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À la même époque, il continue à travailler pour le gouvernement italien. Il a été officiellement employé au bureau de la radio étrangère du Premier ministre italien et a également travaillé pour les services de renseignement italiens en tant que traducteur. Au début des années 1950, il est envoyé en Perse pour recueillir des informations politiques et militaires dans la région. Il a collaboré avec plusieurs services de renseignement latino-américains : en 1950, il a rédigé un rapport sur la situation politique et militaire de la Bolivie, prévoyant la révolution qui a éclaté quelques mois plus tard. Il a continué à travailler pour les services de renseignement italiens jusque dans les années 1970. Il a également travaillé pour le ministère italien de la défense, en tant que cryptographe et traducteur de langues orientales.
En 1965, il a été l’un des conférenciers d’une conférence sur la guerre révolutionnaire qui s’est tenue à l’hôtel « Parco dei Principi » à Rome, organisée par l’homme politique fasciste Pino Rauti et son organisation Ordine Nuovo.
Il a ensuite été interrogé par le tribunal au sujet de l’attentat à la bombe de Piazza Fontana.
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Sa conférence aurait été conçue et utilisée pour planifier une « stratégie de la tension » visant à déstabiliser le système démocratique italien, et l’un de ses étudiants, Delfo Zorzi, aurait fait l’objet d’une enquête pour responsabilité matérielle. Des enquêtes ont toutefois prouvé qu’il n’était en rien impliqué.
En 2000, il collabore avec le journal national Corriere della Sera, écrivant des articles sur la philosophie orientale, mais il est renvoyé du journal après qu’un lecteur l’a dénoncé comme ayant servi dans les Waffen-SS pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ses ouvrages :
Introduction à l’étude de la pensée orientale, Naples, Pironti, 1959 (2 vol.). Histoire de la pensée chinoise, Turin, 1964 (nouvelle édition : Bollati Boringhieri, 1992). Ismaélites et Assassins, Bâle, Thoth, 1973 (nouvelle édition : Rimini, Il Cerchio, 2004, ISBN 88-8474-059-2). Les voies du bouddhisme, Rome, Basaia, 1986 (nouvelle édition : Gênes, ECIG, 1988, ISBN 88-7545-905-3). Vak. La parole primordiale. Quatre essais sur les Tantras, Marina di Patti, 1988. Magie, religions et mythes de l’Inde, Rome, Casa del Libro, 1989. Mythes et religions de l’Inde, Rome, Newton Compton, 1992. Le bouddhisme, histoire et doctrine, Rome, 1994 (nouvelle édition : Rome, Newton Compton, 2004). Bouddha : aphorismes et discours, Rome, Tascabili Newton, 1994. L’hindouisme, Rome, Tascabili Newton, 1994. Zarathoustra et le mazdéisme, Rome, Edizioni Irradiazioni, 2007. Un autre islam. Mystique, métaphysique et cosmologie, Rome, Edizioni Irradiazioni, 2012.
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Démocratie Participative
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yes-bernie-stuff · 2 months ago
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L’offrande du corps de Jésus-Christ,
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Sur mon chemin… 24/09/2024
…Nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes. Hébreux 10.10
Alors que je revenais d’une belle promenade en soirée, la croix à proximité de mon église de village m’a tout spécialement interpelée en cette fin de journée. En observant la statue du Christ en souffrance sur la croix à la lumière du soir, je ne pus que repenser à toute cette douleur plurielle que Jésus a subie pour porter nos fautes à notre place. Sa couronne d’épines brillait sous les derniers rayons du soleil de juillet, et elle n’en paraissait que plus pesante sur le visage du Sauveur…
La France et ses régions nous offrent de nombreuses occasions de repenser au message de la croix alors que chacun de nos villages possède une église habitée de ce symbole des chrétiens. Tout en reprenant le chemin de ma promenade, un souffle de joie a subitement parcouru mon être, parce que je suis non seulement convaincue que Jésus a vaincu la mort, mais qu’Il m’offre également par son sacrifice un parfait pardon pour toutes mes erreurs.
Cher lecteur, posez un instant votre regard sur la promenade de votre vie et pensez à ce que signifie pour vous cette présence des crucifix qui jalonnent notre paysage français. N’est-ce pas le moment de vous approprier la Vérité du message de la croix afin que Jésus transforme votre cœur et qu’Il comble votre âme de son pardon et de sa vie ?
Marie-Louise Dugleux
__________________ Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 1, versets 12 à 20.
12 Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière,
13 qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour,
14 en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés.
15 Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.
16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.
17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.
18 Il est la tête du corps de l'Église; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier.
19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui;
20 il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.
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claudehenrion · 2 years ago
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Un géant oublié : Georges Bernanos
   Les lecteurs de ce Blog croisent souvent ce nom dans ces lignes, et ils savent mon admiration pour l'homme (écrivain et fan de moto) et pour son œuvre. Avec l'explosion des progrès techniques (tous ne sont pas heureux, mais beaucoup ne sont pas ''que mauvais''), son livre ''La France contre les robots'' (1947) est une mine de réflexions et d'analyses –et de craintes, plus d'actualité que jamais. Bien que je le revisite assez fréquemment, j'avais oublié son anniversaire, le 20 février. Même avec un mois et demi de retard, il mérite que l’on se souvienne de lui...
Pour Georges Bernanos (1888--1948), la France est le dépositaire historique des valeurs humanistes issues du christianisme, dont elle est une garante (est-ce pour cela que je l'aime tellement ?). Parfois royaliste, cet anticonformiste de droite (ceci expliquant aussi cela !), aimait pourtant l'esprit de révolte de 1789, ce ''grand élan [...] inspiré par une foi quasi-religieuse dans l'homme'' et il était, dit Jacques Julliard, ''un rempart de la démocratie, même à son corps défendant''. Paradoxalement, il considérait que ''le nationalisme déshonore l'idée de patrie'', comme tout excès peut, en fin de compte, nuire à la cause qu'il prétend défendre..
Dans ''Les Grands Cimetières sous la lune'', ce catholique fervent a pris position contre Franco et contre l'attitude conciliante de l’Église d'Espagne à son égard (ce qui prouve que je peux admirer un homme sans adopter toutes ses idées !). Son besoin de liberté l'a amené, lorsqu'on lui a proposé la Légion d'honneur, à trois occasions, à la refuser, définitivement. Et lorsque l'Académie française a voulu l'accueillir, il a fait cette réponse merveilleuse : ''Quand je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'Académie''.... ce qui est bien loin des danses du ventre déshonorantes que certains de nos contemporains (d'ailleurs peu ''temporains'') sont prêts à faire, sans rougir, pour une rosette rouge, sur canapé.
Une constante, chez Georges Bernanos, est l'exploration du combat spirituel entre le Bien et le Mal, qu'il va approfondir à travers le prêtre catholique du Journal d'un curé de campagne (1936), tendu vers le salut de l'âme de ses paroissiens perdus..  Et s'il n'hésitait pas à faire parfois appel au divin et au surnaturel, il ne diabolisait jamais ses ''ennemis'' : comme le faisait Mauriac, il voulait comprendre ce qui se passe dans une âme, même hostile, derrière les apparences et les situations.
Bernanos disait qu'il ''était né avec la Grande Guerre’’. Celle de 1939-1945 va le marquer aussi, mais comme auteur (Des romans aussi peuvent mourir à la guerre). Révolté par les accords de Munich, il fustigera Vichy (ce ''promoteur d'une France potagère''), et s'exilera alors au Brésil. Eloigné des combats et du ''quotidien'', il se projette dans le futur, et anticipe une ''ère des techniciens'' --qu'il juge inévitable et qui lui fait très peur. Et un peu comme il avait exprimé une grande aversion envers l'Allemagne de Hitler, il va éprouver une grande méfiance envers les Etats-Unis de Roosevelt et leur puissance matérielle si immense que sa finalité –telle qu'il la prévoit-- ne peut être qu'hégémonique. Le futur lui donnera pleinement raison : aujourd'hui encore, nous portons témoignage de l'ampleur de sa  vision. Hélas !
Gaulliste sans être ''suiviste'', il va établir, depuis Rio de Janeiro, des liens avec le Comité Central de la France Libre, qui va relayer ses idées et ses écrits dans la presse internationale. Et c’est aux membres de ce Comité qu’il  enverra, en mars 1944, un manuscrit, l'Hymne à la liberté, qu'ils lui conseilleront d’intituler ''La France contre les robots'' qui a payé son retour en Europe, en juin 1945 (et plus, ensuite !) 
A son retour en France, Bernanos est écœuré par l'épuration et par l'opportunisme qui, dit-il, détruisent le pays. Chroniqueur à La Bataille et à Combat, il lance un avertissement solennel aux français : avec l'avènement de l'ère atomique et la crise générale de la civilisation, la France est en danger de perdre sa place (prévision qui s'est vérifiée), en même temps que son rôle primordial vis-à-vis de l'humanisme chrétien (ce que les croyants voient et que le monde nie). La Liberté pour quoi faire ? et La France contre les robots sont deux cris d'alerte, lancés pour mettre la France en garde contre les dangers de son inconséquence devant des progrès techniques effrénés qu'elle ne pourra bientôt plus maîtriser.
''La France contre les robots'' (1947) est en fait un avertissement solennel : ''le machinisme –comme on disait alors-- limitera la liberté des hommes et perturbera leur mode de pensée''. Pour Bernanos,  l'idolâtrie de la technique des anglo-saxons va détruire notre civilisation : la libre entreprise n'est pas synonyme de bonheur pour l'humanité, car ''il y aura toujours plus à gagner à satisfaire les vices de l'homme que ses besoins''. Et 75 ans plus tard, envahi par les drogues assassines, notre Etat moribond trouve de l'argent pour finir de détruire les âmes des enfants... déjà mises en lambeaux par les stupides idées woke et greta thunbergistes.
''La France contre les robots'' est une critique de la civilisation des machines et d'autres formes d'asservissement  à venir, une alerte à la France, et au monde à travers elle, sur une menace d' aliénation de l'esprit par la technique et l'argent : convaincu que le monde moderne est une ''conspiration contre toute espèce de vie intérieure'' (NDLR : ce qui fait de lui le premier ''complotiste''. J'étais fier d'en être un, ce voisinage m'enchante !) , il dénonce ''la dépossession progressive des États au profit des forces de l’Industrie et de la Banque, en un avènement triomphal de l’argent, qui renversera l’ordre des valeurs humaines et mettra en péril tout l’essentiel de notre civilisation''. Nous y sommes, hélas ! Lui l'avait prévu, dès 1947... et nous devons reconnaître qu'il avait ''tout juste''. C’était un prophète !
Cet immense visionnaire a écrit notre ''roman d'un français de 2023'' et a ''vu'', avec un demi-siècle d'avance, tout ce qui nous désole, nous menace et nous assassine, aujourd'hui. Par exemple, lorsque Bernanos prédit, dans ''18 leçons sur la société industrielle'', que la multiplication des machines développera l'esprit de cupidité, peut-on lui donner tort, ''le monde étant devenu ce que nous voyons''? La France contre les robots annonce une tyrannie du Nombre, jusque là inenvisageable :  ''Le Nombre, écrit-il, est une infection lente qui crée une société à son image, une société d'êtres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales''. Trois-quarts de siècle plus tard, le Nombre, omniprésent, indispensable, mortifère, s'appelle ''Big Data'', et nous asservit de plus en plus.
Dès la fin de la Guerre, Bernanos a tracé les grandes lignes de ce que, en prophète, il devinait comme devant être le monde de demain, devenu le nôtre, et il avait vu juste sur à peu près tout, Soixante-quinze ans plus tard, nous savons qu'il avait compris avant tout le monde que ''à partir du moment où on raconte que le salut de l'homme peut être ici-bas, toute vie contemplative se limite à une fuite ou à un refus". Certains ont appelé cette vision : ''l'écologie spirituelle'' : ''Un prophète n'est vraiment prophète qu'après sa mort. Jusque-là ce n'est qu'un homme pas toujours très fréquentable. Mais l'avenir ne se subit pas : on le fait''.
Et en écrivant, en 1947 : ''Devant les moyens dont dispose le système, un esprit ne peut rester libre qu'au prix d'un effort continuel. Qui de nous peut être sûr de résister à tous les slogans et à la tentation d'opposer un slogan à un autre ?'', il a diagnostiqué le mal mortel de nos sociétés, où le dialogue est devenu une denrée rare, et où l'insulte et le qualificatif dit déshonorant se croient des arguments.
Georges Bernanos avait, seul à l'avoir fait, deviné à quoi ressemblerait le monde dont nous subissons la folie, si différent de tout ce qui l'a précédé. Il en a dressé un portrait d'une cruauté que personne n'oserait faire sienne, aujourd'hui... sauf un fou ou un blogueur (limité par définition à une diffusion ''confidentielle''). Est-ce pour ça (outre la moto !) que je l'aime tellement ?
H-Cl.
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L'art sublime de la démotivation
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Mes chers lecteurs,
Mettons nos casques, enfilons nos gilets de sauvetage, et embarquons pour une exploration des terres mystérieuses de la démotivation profonde. Oui, ce continent insaisissable où la recherche du progrès personnel est vue comme une hérésie, où l'ambition est suspecte et où l’effort est traité avec autant de méfiance , bienvenue chez les champions du renoncement ! Vous demandez-vous peut-être pourquoi tant de nos contemporains préfèrent-ils aujourd'hui rester couchés sur leurs lauriers plutôt que de gravir les montagnes de leurs ambitions ? La réponse est simple : parce que la flemme est un art, mes amis, et que certains ont atteint le niveau de grand maître. Il faut dire que le monde moderne a bien compris comment flatter ce penchant. Pourquoi se donner la peine d’apprendre quelque chose quand tout est à portée de main, à un clic de souris, à un swipe de pouce ? Les encyclopédies prennent la poussière, les dictionnaires sont devenus des reliques, et Google est le nouveau Messie. Pourquoi se fatiguer à résoudre un problème quand une réponse prémâchée attend tranquillement, prête à être copiée-collée ? Et puis, pourquoi se battre quand il y a toujours quelqu’un, quelque part, prêt à vous dire que "vous faites déjà de votre mieux" ? Ah, le doux réconfort du « C’est pas ta faute ». Une petite phrase qui, quand on l’entend, vous enveloppe comme une couverture chaude par une nuit d’hiver. Vous étiez à deux doigts d'essayer, mais voilà, ce n’est pas nécessaire, puisque vous êtes déjà parfait comme vous êtes, avec vos petites imperfections qui font tout votre charme. Qui aurait cru que le confort du statu quo pouvait être si séduisant ? Et parlons des objectifs, ces monstres affamés qui dévorent vos soirées et vos week-ends. "Objectifs" ? Allons, soyons sérieux. À quoi bon se fixer un but quand l’absence de but est tellement plus reposante ? N’allez pas croire que ceux qui renoncent sont dépourvus de philosophie. Bien au contraire, ils ont une sagesse ancestrale : "Mieux vaut ne pas commencer que risquer d’échouer". Voilà une devise qui épargne bien des migraines. Certains diront que la peur de l’échec est à l’origine de cette démotivation généralisée. Mais soyons honnêtes, c’est un peu plus complexe que ça. L’échec, c’est une chose, mais l’effort... L’effort, c’est une autre histoire. Car l'effort implique de la sueur, des remises en question, parfois même une légère douleur musculaire, et, soyons francs, ce n’est pas pour tout le monde. En fin de compte, beaucoup préfèrent rester dans la douce torpeur de l’inaction plutôt que d'affronter la réalité : celle où il faut se bouger pour avancer. Et puis, soyons réalistes, le monde d'aujourd'hui est tellement confortable. Les distractions sont infinies, les tentations innombrables. Pourquoi passer des heures à se perfectionner quand Netflix, les réseaux sociaux et les jeux vidéo vous tendent les bras avec tant d’amour ? La dopamine, cette petite molécule du bonheur instantané, a gagné la guerre contre la satisfaction différée. Et ainsi, chers lecteurs, nous assistons à la montée en puissance des héros de la démotivation. Ces génies du laisser-aller ont compris une chose fondamentale : à quoi bon se donner du mal quand on peut simplement attendre que les problèmes disparaissent d’eux-mêmes – ou, mieux encore, que quelqu’un d’autre s’en charge ? Alors, levons nos verres à ces virtuoses du minimum syndical ! Que leurs journées soient longues, leurs canapés moelleux, et leurs rêves modestes mais confortablement inaccessibles. Car après tout, pourquoi viser la lune quand on peut si bien se contenter de rester au lit ? David SCHMIDT Read the full article
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highlands11 · 3 months ago
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TO BE OR NOT TO BE ON HOLIDAY (5) : UNE RÉFLEXION AVANT DE RETOURNER DANS LE TUNNEL, LA QUESTION DE LA PUISSANCE CHINOISE
voici le dernier article de "vacances". Une belle transition pour vous soumettre une réflexion.
Temps de lecture : 4 minutesmots-clés : China, demography, economics, models, immigrants Chers lecteurs, Pour entamer la rentrée… ou terminer les vacances, une petite mise en perspective comme nous les aimons. Cette mise ne perspective est celle Yi Fuxain, médecin obstétricien et gynécologue et chercheur sur les évolutions de la natalité et passionné par l’impact de la démographie sur les…
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