#olmeque

[lionelcampionphotographe]

That park is one of my favorite. During spring and summer, we can admire there the implication and the talent of the gardeners. No french or english style, they have their own. It is just incredible. An other Solvay initiation. There is also a gift from the mexican first minister, an Olmèque head curved in stone, an original one. That's a king gift. . . @aroundvanessa #solvay #olmeque #olmequehead #park #amazingplace #kinggift #handmade #curved #gardener #amazingwork #handsomewoman #belgianpark #brussels #bruxelles🇧🇪 #boitsfort #belgium #belgique #ancient #ancientcivilisation (à Watermael-Boitsfort) https://www.instagram.com/p/BzopNOsIQ-Y/?igshid=sb8rq0d8kk7h

[collection81]

Civilisations 2018

Après beaucoup de recherches, j'ai enfin réussi à trouver la série documentaire dont j'avais tant entendu parler, Civilisations 2018.

Civilisations est une série de la BBC qui parle des civilisations du monde et de leur héritage. A la base c'est une série de 1968, à cette époque elle était principalement centrée sur l'art occidentale. Civilisations 2018 est différente de sa petite sœur, elle offre un panorama beaucoup plus large et complet, puisqu'elle s'intéresse aux civilisations et à l'art du monde entier.

Depuis 50 ans le regard qu'on porte sur l'art et son histoire a évolué, il a été actualisé, de nouvelles découvertes ont remis en cause nos certitudes, terminé de se regarder le nombril et de se focaliser uniquement sur l'art d'occident. Aujourd'hui, on ne peut plus ignorer ce fait: toutes les civilisations sont indépendantes, mais elles influencent aussi toutes les suivantes. L'art Grecque se retrouve dans l'art Romain, l'art Romain se retrouve dans l'art de la renaissance, l'art Chinois/Japonais dans l'art Européen, l'art Arabe/Indien dans la peinture/architecture occidentale et vice versa.

La série brise aussi nos stéréotypes, notamment sur la représentation du corps dans l'art. La quintessence de l'art n'est pas L’Apollon du Belvédère comme on peut souvent le lire, parfait de beauté, de technique, de mouvement, tellement fidèle à la réalité qu'on le croirait vivant. La quintessence de l'art, c'est aussi Le lutteur Olmèque d'Amérique du sud, avec son corps imparfait mais aussi proche de la réalité qu'une sculpture Grecque, d'une technique à première vue archaïque, mais tellement vrai. Apollon du Belvédère, l'original date à peu près de 400 avt JC

Lutteur Olmèque, 500/400 avt JC

Il n'y a pas qu'un standard de beauté, et la technique n'a que peu à voir dans l'appréciation d'une oeuvre, par contre il y a un point essentiel et à laquelle tous les arts s'accordent, dire et montrer la vérité, et autant L’Apollon que le Lutteur en sont pourvus. La série nous fera voyager à travers le monde pour partir à la rencontre d'anciennes civilisations, avec explications à l'appui. On découvrira l'art de peuples aujourd'hui disparus mais qui restent tout de même bien vivant et cela au travers de leurs œuvres. On y verra Angkor et ses temples, la villa Barbaro et les fresques de Véronèse, le Tempietto chef d'oeuvre d’architecture de la Haute-Renaissance etc.

La Villa Barbaro et les fresques de Véronèse, 1554

Angkor, 15/14 ième siècle

Tempietto, 1505

Les spécialistes de l'art nous emmènent aussi dans des endroits inaccessibles profondément enfoui dans la jungle admirer les têtes colossales Olmèques, dans le désert voir Pétra la cité Nabatéenne, dans des milieux ou les visites sont restreintes Le Tempietto de Bramante par ex, près du Nil contempler les Colosses de Memnon. Toujours des lieux surprenants, inconnus. Têtes colossales Olmèques 1400 avt JC

Colosses de Memnon 1500 avt JC

Pétra la cité Nabatéenne, taillée à même la montagne, 800 avt JC

La série est découpée en thématique, la première: Création, pose la question du pourquoi l'homme a se besoin de représenter le/son monde, pourquoi il y a 100.000 ans notre espèce s'est aventurée profondément dans des grottes et à l'aide de torche et de matériel rudimentaire s'est mis à peindre, pourquoi depuis l'aube de l'humanité et de la conscience, l'homme a se besoin tout à fait inutile de peindre, sculpter, performer, photographier, filmer, écrire. De laisser une trace. Il y a deux choses qui restent du passage des hommes sur terre. Une immatérielle, l'histoire, et l'autre matérielle, l'art. Le statut "d'artiste" il y a 50.000 ans était déjà présent, pour l'Homme-Lion sculpté dans l'ivoire datant de 50.000 ans, il a fallu 4 mois de travail à plein temps, il fallait donc un préposé à la sculpture, les autres allaient chasser pendant que lui fabriquait des statuettes pour le groupe, sa signification devait avoir de l'importance (surement une divinité animale) pour dédié quelqu'un à sa confection. Tout cela on l'a appris récemment. L'Homme-Lion 40.000 avt JC

Idem concernant la représentation réelle du corps, on croyait la tenir de l'art Grecque tardif, suite à leur révolution artistique (cf Le Pugiliste de Thermes, chef d'oeuvre de l'art Grecque tardif en est un bon exemple). Il s'avère qu'en 1450 avt JC, un artiste de la civilisation Minoenne a fabriqué une bague l'Agate du combat de Pilos, il y figure une scène de combat ou le corps, sa torsion sont d'une justesse à couper le souffle, la fidélité, le mouvement, tout est là! On l'a su que très récemment, la bague a été découverte en 2017, y'a tout juste 1 an! Le Pugiliste de Thermes, 80/900 avt JC

Agate du combat de Pilos, 1450 avt JC

La série met en lumière les échanges entres les civilisations. Il n'y pas de culture sortie du néant, on ne recommence pas tout à zéro quand une civilisation s'effondre, au contraire, notre culture et toutes les autres se parlent, s'inspirent et s'influencent mutuellement et cela depuis la nuit des temps. Si on aime l'art ou non ces documentaires sont indispensables, tellement riche d'informations, d’idées originales vue sous un nouveau jour, loin des discours lénifiants, la série offre un regard frais sur les civilisations, la culture, l'art et son histoire. J'ai beaucoup appris et pourtant je pensais en connaitre un rayon à ce sujet. Comme quoi, il ne faut préjuger de rien, car bien trop souvent on se trompe.

[cinefast]

L’incroyable variété de l’art #olmeque (à Musée du quai Branly - Jacques Chirac) https://www.instagram.com/p/CQUGzfgBJKu/?utm_medium=tumblr

[corentin-pernet-ppr]

Passion des Olmèques.

[xponentialdesign]

Ex magna vigilantia.

[mystiquemonde]

Le vrai amour est éternel. Attendre sa fin pour mieux retrouver l'être aimé.

[hechoamanofr]

Si tu es comme nous, ta période préférée arrive bientôt... 😻 celle du chocolat 🍫 !! . Et ça tombe bien... on retrouve encore le #mexique 🇲🇽 et les Olmèques, ses habitants en 1500 av. JC, qui utilisaient déjà le "kakawa" pour leur cérémonies religieuses et comme médicament ! . Aujourd'hui, ce chocolat d’origine est disponible chez @choc.hola 🤩 Les prêtres en buvaient tellement que cela les mettaient en transe 🧠 Alors attention à ne pas abuser malgré le #confinement 🤪 . L'histoire du chocolat est à découvrir sur www.hechoamano.fr La boutique Choc-Hola en ligne est accessible sur www.choc-hola.com et en physique à #nantes . . #chocolat #hechoamano #chocolate #olmeques #tradition #paques #easter #maya #histoire #kakawa #belize #guatemala #venezuela #gourmandise #mexico #mexicantradition https://www.instagram.com/p/B-l2w1MKeYF/?igshid=1bsbeekkmvxo0

[grandboute]

Olmec art - civilisation olmèque (1500 - 15 av.JC)

[unetealombre]

[mexicoquechido]

Teotihuacan

Réveil 6h ce matin, pour se rendre à la station de bus Norte Central de Mexico. On prend nos billets pour le prochain bus pour "Piramides" (Toutes les 20mn) et on a même le temps de s'acheter un petit déjeuner pour dans le bus. Pas d'expresso donc un americano.. Robin prend un friand au fromage, moi un friand au riz au lait (oui un peu bizarre mais ça m'a calée).

Le bus ne s'éloigne pas vraiment de Mexico tant la ville est immense et s'étend à des kilomètres jusqu'aux montagnes.

1h plus tard, nous voilà arrivés devant le site. On décide de chercher un guide car le site est libre mais sans panneau et on avait envie d'en savoir davantage sur les civilisations qui ont occupé Teotihuacan.

On rencontre notre guide, recommandé par le gars de la sécurité, on négocie le prix et notre guide arrive, fatigué en crachant le premier d'une longue succession de glaires (bon appétit).

Le site est magnifique et on est parmi les premiers. Le soleil est droit au dessus de la pyramide du soleil, qui est en fait une montagne sacrée (et la réplique de la montagne juste derrière). Idem pour la Pyramide de la Lune qui représente la montagne juste derrière elle.

Notre guide (dont j'ai oublié le nom) nous raconte que les peuples alentours (olmeques, mayas, nahuatl et autres), suite à l'éruption du volcan, se sont vus contraints de partager le même territoire, de manière cordiale ; à savoir ce qu'on appelle Teotihuacan (nom donné plus tard par les Aztèques quand ils ont découvert la cité abandonnée). Par chance ils ont des dieux, coutumes similaires.

Les pyramides ont été construites en environ 300 ans (terminées au 2ème siècle après J.C.). Celle du Soleil a été contruite de manière à suivre le cycle du soleil lors des equinoxes et solstices de l'année. Des sacrifices y étaient réalisées au dieu Tlaloc notamment (rappelez-vous le dieu de la pluie) pour assurer de futures récoltes. Au mois de mars, un prêtre sacrifiait des enfants entre 10 et 15 ans ayant le syndrome de Down ("visage du jaguar") pour aller demander au dieu Tlaloc qu'il pleuve pour de bonnes récoltes. La pyramide a 5 socles qui représente chacune un aspect ; la base représente le paradis, puis l'eau, les graines des plantations etc. Pour les gens de l'époque, l'âme de l'enfant sacrifiait entrait au paradis et restait dans la pyramide (la montagne sacrée). Ces 5 socles ont été construits au fur et à mesure, à partir des pierres de la région bien entendu. Je vous passe tous les détails. Mais la visite qui a du durer environ 2h30 nous a vraiment captivés. Ces histoires sur les civilisations sont vraiment intéressantes.

On a fini par se balader tranquillement et rejoindre le centre de Teotihuacan (San Juan) à pied pour manger un bout avant de repartir pour CDMX (ciudad de Mexico).

[tlatollotl]

Fish Hacha

Date: 6th–8th century

Geography: Mexico, Mesoamerica, Veracruz

Culture: Classic Veracruz

Mesoamerican ballplayers wore protective gear called hachas, palmas, and yokes to protect their hips and abdomens from the impact of the game’s solid rubber ball (see MMA 1978.412.15 and 1978.412.16). In painting and sculpture, the yoke is shown worn around the player’s hips, the palma or hacha attached at the front. Those used during active play were most likely made of wood or some other light material; stone versions such as this one were worn, if at all, during ballgame-related rituals, or placed on display. Given the distinctive design of each hacha, both those worn and those carved in stone may have served to identify teams or individuals. Hachas also vary greatly in form and size, so much so that they qualify as a group only in contrast to the taller and thinner palmas. The Metropolitan’s own collection includes hachas in the form of human or animal heads, full figures, even one representing a pair of human hands. The name hacharefers to the axe-like form of many (hacha is Spanish for axe), including the example seen here. In these, the back is slightly wider than the front where the sides converge in a sharp point. Facial features and any other details are carved on low relief, each side a mirror image of the other. In other ways this stone hacha is unusual in both its subject and composition. In order to conform to the classic hacha shape, the artist has rendered the face, body and tail fin in consecutive, ascending registers of low relief. This creative solution to the problem of representing a horizontal subject within the confines of the vertical hacha format does not preclude a closely observed, detailed rendering of the subject, however. The artist has carefully rendered each scale individually, with increased depth of relief from front to back, mimicking how fish fins overlap in nature. The rounded form of the cheeks, slightly open mouth, and flared gills suggest the respiration and movement of the fish as it passes through the water. In jarring contrast to this naturalistic image is the fish’s unusual profile. The inclusion of what looks like a very human nose suggests a composite being of the supernatural realm. The belief in a watery underworld inhabited by deities was widespread throughout Mesoamerica. At the Classic Veracruz city of El Tajín, scenes of ballgame-related rituals both on earth and in the underworld are carved on the walls of one of its many ball courts. In one, a man wearing a fish helmet sits in a water-filled temple, surrounded by supernatural figures. The unusual blending of fish and human elements on this hacha may reflect the widespread Mesoamerican belief that the ball court was a conduit, the game and its rituals a way of connecting humans to the deities dwelling in that realm. Patricia Joan Sarro, 2017 Published references Art of Oceania, Africa, and the Americas from the Museum of Primitive Art. New York: The Metropolitan Museum of Art, 1969, fig. 584. Resources and additional reading Ceremonial Sculpture of Veracruz. New York: Long Island University, 1987. Earley, Caitlin C. "The Mesoamerican Ballgame." In The Hilbrunn Timeline of Art History. New York: The Metropolitan Museum of Art, 2000–. http://www.metmuseum.org/toah/hd/mball/hd_mball.htm (June 2017) Koontz, Rex. Lightning Gods and Feathered Serpent: The Public Sculpture of El Tajín. Austin: University of Texas Press, 2009. Leyenaar, Ted J.J. Ulama, Jeu de Balle des Olmeques aux Azteques - Ballgame, from the Olmecs to the Aztecs. Lausanne: Musée Olympique, 1997. The Metropolitan Museum of Art. Vol. 12, The Pacific Islands, Africa, and the Americas Scott, John F. "Dressed to Kill: Stone Regalia of the Mesoamerican Ballgame". In The Sport of Life and Death, The Mesoamerican Ballgame, E. Michael Whittington, ed., pp. 50–63 New York: Thames and Hudson, 2001. Shook, Edwin M. and Elayne Marquis. Secrets in Stone: Yokes, Hachas and Palmas from Southern Mesoamerica. Philadelphia: American Philosophical Society, 1996. Von Winning, Hasso and Nelly Gutiérrez Solana. La Iconographía de la Cerámica de Río Blanco, Veracruz. Mexico City: UNAM Instituto de Investigaciones Estéticas, 1996.

The Met

[gerardbillet]

La Collection Al Thani : Tête d’homme : Sumer, vers 2050 av. JC, Nigeria culture Nok : 500 av. JC-500 ap. JC, Masque en mosaïque : cultutr Maya 200-600 apres Jc, Masque Gandhara : vers 500-700 ap. JC, Plaque Asie Centrale : 400-300 av. JC, Paire d’ornements : Scythie 400-300 av. JC, Bracelet ; Grece orientale 500-400 av. JC, Pendentif : Culture Olmeque : culture Olmeque 1000-600 av. JC. #hoteldelamarine #collectionalthani #tetedhomme #sumer #2050 #nigeria #nok #masque #mosaique #culturemaya #gandhara #guatemala #plaque #asiecentrale #ornement #scythie #bracelet #grece #pendentif #cultureolmeque #instapic #photooftheday #parismaville (à Hôtel de la Marine) https://www.instagram.com/p/CW-Q8HAsFBx/?utm_medium=tumblr

[ordalya]

AJA que Tabasco était aussi le nom d'un état au Mexique.

"Les Amériques avant l’Amérique (2/4) : Grandeur et décadence des Olmèques " sur https://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-lhistoire/les-ameriques-avant-lamerique-24-grandeur-et-decadence-des-olmeques via @radiofrance

[norbertemileleonbonimond]

Sciences et Avenir: Les Olmèques, une civilisation de colosses.

https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/les-olmeques-une-civilisation-de-colosses_144718

[insanopt]

.take me olmeques. #scifi #toomanymoovies #lesmysterieusescitesdor #geres #Portugal #visitportugal #igersportugal #portugalcomefeitos #portugal_em_fotos #achadosdasemana #p3top #15aoburro #photooftheday #oneplus5 #shotononeplus #shootermag_portugal #shootermag #shooters_pt #travel #postcardsfromtheworld #passionpassport #travelphotography (at Vilarinho das Furnas)

[z-cicekci]

Huzurdan olmeque