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André Breton | Poème Objet [Poem-Object]
Breton's personal contribution to surrealist art was his fusion of poetry and object in his 'Poème-Objet' constructions. Although not an artist himself, he was eager to explore any technique that required minimum artistic skill, such as the collages and assemblages. In 1924, Breton called for the creation of objects seen in dreams. He made about a dozen of his own assemblages in the 1930s and early 1940s, calling them 'Poème-Objets'. The text on the plaster egg in this work translates as 'I see / I imagine' and the poem beneath is deliberately cryptic.
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Tuto : créer des lignes fluides
Version requise : Photoshop, pas besoin d'une version récente.
Durée de la video : 9.44min avec 3 techniques expliquées (vous avez les time-code dans les explications ci-dessous)
Infos : français et sous-titrée + tutoriel détaillé écrit ci-dessous. J'espère que la qualité ira, elle a été réduite quand j'ai fait le sous titrage :(
Si vous avez des questions ou si ça manque de clarté, n'hésitez pas !
Exemples de rendu (toutes les lignes) :
Aujourd’hui, je vous présente 3 techniques que j’utilise pour créer des lignes fluides, comme dessinées à la main, sur mes avatars. L’objectif est de vous montrer les différents outils utilisés - il y en a surement bien d’autres mais déjà, en voici 3 - pour que vous puissiez vous les approprier et les utiliser pour vos propres styles et graphisme !
(0 à 0.50s : introduction + je vous montre des avatars sur lesquels j'ai utilisés ces effets)
(0.50) Technique 1 : le pinceau
Avec l'outil pinceau, vous pouvez dessiner les effets et tracés que vous souhaitez ! Mais souvent, les tracés peuvent être un peu trop abrupts ou présentés des angles/cassures non voulues.
Pour les éviter, ça se joue dans les réglages :
(1.18) Créer un calque vide pour pouvoir dessiner dessus et éviter de le faire directement sur une photo/image. Ainsi, vous pourrez plus facilement supprimer l’effet si à la fin vous n’aimez pas.
(1.40) Dans le panneau ds outils, choisir l’outil pinceau et dans les caractéristiques du pinceau, opter pour “pinceau arrondi net” 1 ou 2px d’épaisseur (pour qu’il soit assez fin), 100% dureté (pour qu’il ne soit pas flou). Dans le “flux”, choisissez 100% (ou un peu moins, le flux correspond à la pression de votre pinceau). Dans le “lissage”, opter pour 80 à 100%. C’est le lissage qui va lisser (lol) votre courbe et la rende plus fluide. Si le lissage est à 0%, vous aurez des cassures dans votre courbe (voir à 3min le rendu)
(3.25) Dessiner la ligne voulue. Je vous montre plusieurs idées d'usages.
(4.40) Pour la couleur de votre ligne, vous pouvez soit la choisir dès le début soit ensuite lui appliquer un style à votre calque “incrustation de couleur” (l'icône fx dans le panneau “calques”)
Rendus exemple : la ligne fluide autour du texte ; la ligne qui contourne ; la vague ; les lignes qui entourent la photo centrale de Rachel. Mais vous pouvez aussi créer une silhouette de personnage, faire des effets “doodle” en changeant l’épaisseur du trait, entourer des mots...
(4.50) Technique 2 : le filtre “onde”
Effet plus hasardeux mais qui peut créer des rendus très cools et intéressants comme je vous montre sur l’avatar de Sydney Sweeney
(5.10) Créer une ligne avec l’outil “trait” + ou - grande - (à vous de faire vos tests) en 1 ou 2 px. Le rendu ne sera jamais pareil en fonction de la longueur, angle, l'épaisseur....
(5.24) Aller dans Filtre > Distorsion > Onde. Une fenêtre s’ouvre, choisir “convertir en objet dynamique”. Cela vous permet de revenir sur votre effet onde tant que vous le voulez alors que si vous choisissez "pixeliser", vous serez bloqué·e.
(5.32) Une fenêtre “effet onde” s’ouvre. On ne voit pas la ligne sur la prévisualisation de droite car on est sur un calque vierge (même si on peut changer ça en ajoutant avant un calque fond noir en dessus du calque ligne, puis en créant un objet dynamique en sélectionnant les 2 calques fond + ligne. Mais parfois, le hasard, c’est cool aha et j'avais du ma à expliquer à l'oral).
(5.50) S’amuser avec les différents réglages, en changeant les chiffres et appuyer sur “ok” pour voir le rendu ! Comme vous avez créé un calque dynamique, vous pouvez revenir sur votre effet en cliquant sur “Onde” où y'a un petit oeil à côté, apparu dans votre calque ;)
(6.05 à 7.00) Vous pouvez mettre les mêmes chiffres que la vidéo pour débuter (générateur : 1 ; Longueur d'onde Min 47, max 60 ; Amplitude Min 51, Max 52 : Echelle 100% les deux) et ensuite, jouer sur chacun des réglages pour voir les rendus. C’est assez hasardeux mais j’aime beaucoup ce que ça créé : des épaisseurs différentes, + ou - de courbes... Parfois ça rend rien aussi !
Rendus exemple : les lignes sur les côtés du texte ; la ligne en diagonale de cette texture
(7.11) Technique 3 : la plume
Outil que j’utilise le moins sur Photoshop mais qui a le mérite de donner plus de contrôle au tracé, si on n’est pas à l’aise avec le pinceau et le dessiné à la main de la technique 1 !
(7.30) Définir le style de votre pinceau (nous on l’a déjà fait en amont mais il faut choisir son épaisseur, son style, sa dureté...)
(7.30) Créer un calque vide pour pouvoir créer votre tracé à la plume dessus.
(7.40) Choisir l’outil plume présent dans votre barre d’outils à gauche.
(7.45) La plume va créer différents points : en appuyant une fois, vous créer un point. Puis en mettant un autre point et en tenant appuyé votre curseur, vos pouvez créer des courbes grâces aux poignets. Créer le tracé que vous souhaitez.
(8.30) Quand votre tracé est fait, clic droit dessus > Contour du tracé. Une fenêtre s’ouvre, choisir “outil = pinceau” > Ok.
(8.50) Effacer le tracé plume en appuyant sur supp du clavier ou autre. Tadam votre tracé est bien là !
Rendus exemple : la ligne diagonal
Super outil sur la plume par Geoffrey creative lab sur youtube (sous-titré fr)
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La Cigale, plus ancien symbole de la Chine signifie beaucoup de choses dans les cultures et la tradition chinoise. Symbolique de renaissance et d’immortalité, elle à toujours fasciné et fut admiré par la population chinoise. Une légende raconte qu’un certain Lao Zi se transforma en immortel sous ses termes là : “En laissant sa dépouille comme le ferait une cigale.” A l’instar de nombreux animaux tels que le lion, le cheval ou le singe. La Cigale tient une place importante tout le long de l’histoire de la culture et des traditions chinoises. Il se pourrait même que sa place soit la plus importante au vue des utilisations et des croyances populaires qui entourent cet animal.
C’est entre -500 et -1000 ans av. J.-C qu’on retrouve des cigales en décoration sur des vases de bronzes ou des poteries de couleurs blanches. Durant la période de la dynastie Shang, les cigales furent dessinées sous plusieurs angles, dans des styles aussi variés que possible et bien souvent représentés en compagnie d'autres animaux tels que le tigre ou le dragon. Avec la naissance du bouddhisme vers 500 ans av. J.-C, on retrouve la symbolique de la cigale sur divers objets du quotidien comme des spatules ou des os sculptés. Sa véritable signification lors de cette période est assez floue, les représentations laissant parfois penser qu’elle servait marquer une autre symbole que celle de la renaissance et de l’immortalité. Certaines personnes s'accordent sur une symbole de “Temps de la récolte” ou encore de “la fertilité et l’abondance”. Considéré comme symbole sacré pendant longtemps, notamment sous la dynastie des Hans (-202 à 220) avec notamment des cigales en jades qui sont apparues vers cette époque et qui furent plus précisément des éléments incontournables dans les “inhumations funéraires”. Elle est placée dans la bouche du défunt et sa taille, ainsi que sa couleur et son style peuvent varier en fonction du rang social du défunt.
Suite à la fouille de tombeaux chinois ayant été datés de l’Antiquité, il est démontré que l’insecte et les objets qui représentent l’insecte fut très souvent présent et retrouvé. Il serait selon les historiens et les chercheurs, l’équivalent du Scarabée Sacré chez les Antique Égyptien et laissant supposé ainsi à une symbolique d’immortalité et de renaissance de la cigale chez les Chinois. Il est à noter que le rituel en lien avec la cigale ou les objets représentant cette dernière n’a pas perduré dans le temps, comme ce fut le cas pour le scarabée sacré égyptien. Les rêves de jeunesse éternelle et d’immortalité sont courants chez les chinois, point commun qu’ils avaient avec l’Occident. Certains chinois présents dans la Chine ancienne s'essayent à l’alchimie en expérimentant des techniques et des expériences sur les cigales. Toutefois, cette théorie ne pourrait reposer sur qu’un seul écrit officiel ou témoignage, celui d’un moine de la Dynastie Chin du nom de Shang Tao-Khai qui suite à des expériences où il fit ingéré des pilules à une cigale, il réussi à provoquer sa mue. Cette croyance serait devenue comme ça du fait de la mue des nymphes avant qu’elles ne deviennent une cigale. Cette transformation découverte, spectaculaire pour l’époque est certainement obtenue grâce à une minutieuse observation de la nature et des comportements des animaux et insectes. Pour l’époque, ils ont ainsi pensé que la mue représenterait la mort qui n’est qu’un état passager pendant lequel, les chinois de cette époque considéraient que le défunt se débarrassait de son corps comme si elle n’était qu’une mue pour obtenir un autre corps. Ainsi, pour eux elle a été la symbolique de la résurrection. Cette croyance est devenue populaire et la croyance en cette résurrection à entraîné chez les Chinois de cette époque, diverses habitudes comme la fabrication de nombreuses amulettes en forme de cigales, des pendentifs et des boucles de ceintures dans la forme de l’insecte.
Nous sommes tous bien conscients du fait que les différentes parties du monde possèdent différents types de cultures et que chacune est différente l’une de l’autre. L’or est un métal qui a une grande importance dans plusieurs cultures du monde. Les Chinois sont une des plus anciennes civilisations du monde. Ceci est quelque chose qui rend la culture chinoise relativement plus complexe que le reste des cultures. Considérant que la civilisation chinoise est très ancienne, elle a vu de nombreux dirigeants et des différentes formes de gouvernements. Depuis l’Antiquité, l’or est associé à la chance et est considéré comme la couleur des empereurs. Comme l’or a été considéré comme un signe de chance, les empereurs l’on utilisés pour porter des vêtements de la couleur de l’or et également utilisés pour porter sur eux des accessoires qui avaient de l’or ou étaient de couleur dorée. La signification de l’or a rendu la couleur dorée très importante dans la culture chinoise. L’Or, ainsi que la couleur dorée a toujours été considéré comme un symbole de la prodigalité dans la culture chinoise. Cela a une association avec les empereurs en utilisant l’or et la couleur dorée. Les personnes ayant un statut élevé ont tendance à utiliser plus d’or; et les objets en or sont considérés comme un beau cadeau. Dans la culture chinoise, la couleur dorée, ainsi que l’or sont considérés comme un élément terrestre et sont une représentation de la richesse dans les quatre piliers chinois de la destinée. La complexité de la culture chinoise révèle également que la couleur dorée à une sorte de double sens et elle est la couleur du deuil utilisée par les bouddhistes chinois. Outre ce fait, le fait demeure que l’or est une partie importante dans tous les festivals importants de la culture chinoise. La fête du printemps qui a lieu en Chine au début de la nouvelle année chinoise est l’un des moments où la demande d’or en Chine est très élevée, ainsi que les ventes de bijoux en or augmentent de manière significative. Ceci est le moment où les gens achètent de l’or pour eux-mêmes, et aussi pour leurs proches comme cadeaux. Les dragons sont un symbole mythologique important qui est fort répandu dans la culture chinoise. L’or est également utilisé dans la fabrication de ces dragons. La Couleur de l’or est utilisée en abondance et il y a aussi d’autres petits morceaux d’or utilisés sur ces dragons à des fins décoratives. La broderie est également faite en utilisant un genre de fil spécial qui est plaqué d’or pour la fabrication de ces dragons sur les tentures murales. La signification culturelle de l’or est évidente du fait que l’or a été une partie très importante de la monnaie chinoise. Il est également une partie très importante de l’art chinois. Une société d'État a été créée en Chine en 1987, qui fabriquait et distribuait des pièces commémoratives faites en or. Ces pièces sont fabriquées dans différents modèles à différentes occasions avec une représentation d’un événement particulier sur la pièce. Ceci est une partie très importante de l’art et de la culture chinoise.
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Hripsimeh Sarkissian (1908 — 2000), Armenian textile artist from Turkey.
Born into a family involved in trading carpets among other things, in a region where textile making was a common activity especially among women, Hripsimeh Sarkissian had been familiar with textile designs and techniques since her childhood. In 1915 H. Sarkissian, just a child, survived the Armenian Genocide. She lost most of her relatives, including her father and siblings during the atrocities. Then, almost twenty years later, in 1938, she survived the Dersim Massacre, which was a military campaign led against the non-Turkish and non-Sunni communities in the area, this time with her husband and children. Her family was one of the few Armenian families that escaped the executions in their village, forced to leave their homes with thousands of other people. For nearly ten years the family lived in arduous conditions. Only after 1947, when the settlement law in Turkey was amended to give the right to displaced communities to return to their homes, they moved to Elazığ, a city neighbouring their native Dersim.
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"🌹-- Dans la culture japonaise, lorsqu'un objet se brise, il est réparé avec de la résine et de la poudre d'or, d'argent ou de platine. Cette technique artistique japonaise s'appelle Kintsugi. Ils ne cachent pas le défaut, mais ils le soulignent, et ce changement rend l'objet beaucoup plus précieux que l'original.
Tout ce qui se brise a une histoire à raconter et ces cicatrices sont un signe d'imperfection et de fragilité, mais aussi de RÉSILIENCE, la capacité de devenir plus fort et de se rétablir. 🌹
Comme l'a dit Ernest Hemingway : Le monde brise tout le monde, et après, beaucoup sont forts aux endroits brisés."
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Le monde n’est plus qu’un objet dont l’homme se veut le sujet. La technique moderne consacre le règne du «dispositif », de ce Gestell qui tend à soumettre tout ce qui existe au seul principe de raison. En déclassant toute vie intérieure, en remplaçant la vie méditante par la vie calculante, elle dévaste le monde et le transforme en désert.
Alain de Benoist
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Le "Museum watching" vu par Elliott Erwitt
Elliott Erwitt a consacré tout un livre à cette activité ("Musées observés" dans son titre français). En effet, il est fasciné par les musées, et davantage encore par les visiteurs que par les objets exposés. Il est, dit-il, « un observateur dévoué de gens, qui aime observer l'art et les observateurs d'art qui observent l'art. » Tout visiteur de musées peut en témoigner : un jeu complexe d'interactions s'y déroule, avec les œuvres exposées, certes, mais aussi avec les autres visiteurs et avec l'espace où il se meut.
Erwitt décortique tout ce qui fait la spécificité des musées — matérielle (le cartel, le cadre) — et, surtout, humaine: les visiteurs, « gibier de choix » dont on verra ici un échantillon représentatif; et les gardiens qui font, dit-il, compatissant, « le métier le plus ennuyeux du monde ». Et pour saisir tout ce monde dans des lieux où la photographie est le plus souvent interdite, il met au point des techniques passablement facétieuses mais efficaces pour déjouer l'attention des gardiens.
Sans s'embarrasser de théories, il comprend que, dans ce temple contemporain qu'est le musée, la visite s'apparente à un « rituel » (Carol Duncan, The Art Museum as Ritual, 1995), un rituel qu'Erwitt explore avec gourmandise. Par le simple fait de l'exposition dans un lieu quasi-sacré, l'œuvre d'art est élevée au rang d'objet de culte (songeons à l'urinoir de Marcel Duchamp) et les visiteurs retrouvent l'allure compassée et respectueuse d'une procession religieuse dont les stations sont préétablies et les comportements prescrits.
Erwitt documente ces comportements avec un respect mêlé d'étonnement et tempéré d'une bonne dose d'humour.
#photo#photografy#photographers on tumblr#black and white#blackandwithephotography#elliott erwitt#musée
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⚠️ CW : Homophobie naïve d'un homme cis des années 1920 ⚠️
Été 1925, Hylewood, Canada (2/4)
Je n’avais jamais entendu parler du Corydon, mais j’ai entendu par un camarade en classe de littérature que Gide avait quelques penchants et une amitié très intime avec son comparse d’outre-Manche Oscar Wilde. Je crois comprendre donc ce dont vous parlez. Je n’ai jamais croisé quelqu’un de la sorte, je ne pense pas que ces gens existent au Canada, ou alors peut-être les croise-t-on seulement dans les grandes villes. Les gens sont très conservateurs par ici. Ils n’aiment pas le changement, ou ce qui sort de l’ordinaire. Si de tels hommes existent à la campagne, leur mode d’existence doit être une misère à vivre. D’un autre côté, bien que je n’aimerais pas être moi-même objet de leurs ardeurs, je trouve tout cela fascinant.
[Transcription] Lucrèce Rumédier : Quel âge avez-vous déjà, Agathon ? Agathon LeBris : Je viens d’avoir quinze ans. Lucrèce Rumédier : Quinze ans seulement… Qu’est-ce que vous voulez faire, une fois que nous en aurons terminé avec vos études secondaires ? Agathon LeBris : Papa voudra sûrement… Lucrèce Rumédier : Je vous demande ce que vous voulez faire. Pas ce que votre père veut pour vous. Agathon LeBris : Je veux faire du piano. Lucrèce Rumédier : C’est rude, une carrière de pianiste. Il y a beaucoup d’appelés, peu d’élus. On en vit difficilement. Agathon LeBris : Je le sais bien. Mais je pense avoir ce qu’il faut. Lucrèce Rumédier : Il vous faudra une réputation. Des soutiens. Agathon LeBris : Ils viendront tous seuls quand on m’entendra jouer. Après tout, je vous ai dépassée en technique.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Agathon Le Bris#Lucrèce Le Bris
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12 : leurs objets perdus
On reprend ce mois des OC avec les objets perdus d'Héléna, la mère de Dimitri et membre de la famille Charon alors qu'elle était à Garreg Mach ! Vu que c'est consacré aux objets perdus, ils seront exceptionnellement coloriés.
Gantelets d'entrainement : Gantelets usé à force d'être utilisé, surement par quelqu'un de rigoureux à son entrainement. "Nitsa" est marqué à l'intérieur.
=> Pour son premier objet, il s'agit de ses gantelets d'entrainement. Héléna est une combattante au corps à corps et une utilisatrice de magie, en particulier de la magie de foi, ce qui en fait une excellente prêtresse guerrière. Elle était aussi rigoureuse à l'entrainement que son fils alors, ces gantelets ont dû s'abimer avec le temps. Elle s'entrainait énormément avec sa soeur préférée quand elle était encore chez elle, Myrina, la mère de Catherine / Cassandra qui sera la comtesse de Charon à la mort de sa mère, la matriarche Catherine Charon (et vous savez d'où vient le nouveau nom de Catherine, elle rendait hommage à sa grand-mère qu'elle aimait et respectait beaucoup), et troisième soeur de la fratrie dans l'ordre de naissance (à la mort de leur matriarche, les Charon choisissent parmi elles qui est la plus qualifiée pour le poste).
Cependant, comme il y a quand même onze soeurs et un petit dernier, leur nom est souvent marqué sur leurs affaires pour qu'elles ne les mélangent pas et les reconnaissent facilement. Mes Charon ont toutes des noms grecs à cause de leur ancêtre Pyrkaïa dont c'était la langue (elle est originaire d'une cité inspiré de Sparte), et elles se donnent toutes de surnoms, personne ne s'appelle par son nom de base. Pour donner un exemple, Catherine / Cassandra se faisait appelé "Cassie", son frère Théophylacte se fait toujours surnommé "Théo" car c'est bien plus court, leur mère Myrina avait pour surnom "Nya" et si Lambert surnomme Dimitri "Dima'", Héléna le surnommait "Mitsos" car c'est le diminutif le plus courant en Charon (et c'est aussi pour souligner que Lambert ne prend pas en compte les désirs de sa femme et n'y fait tellement pas attention, vu qu'il n'a même pas repris le surnom que donnait sa femme décédée à leur fils depuis qu'il est né tout en sachant que les surnoms chez les Charon, c'est limite une institution, et il a toujours été tellement incapable de retenir tous les noms et surnoms de ses belles-soeurs qu'Héléna a été obligé de lui faire répéter avant leur mariage histoire d'être sûre qu'il ne se trompe pas). Pour Héléna, son surnom correspond au diminutif grec de son prénom, à savoir "Nitsa" alors, c'est ce qui est noté sur ses affaires pour les différencier facilement de celles de ses soeurs.
Codex de loi : épais recueil de lois particulières de la haute justice royale, très annoté. Appartient surement à quelqu'un s'intéressant à la loi.
=> Mes Charons sont très souvent des femmes de lois (raison pour laquelle elles se concentrent sur le combat à mains nues, les armes sont interdites dans les tribunaux mais, qu'elles doivent être capable de se défendre en toutes circonstances), et Héléna ne fait pas exception à la règle. Elle est une avocate et une juge très douée, qui a beaucoup fait pour lutter contre la corruption, renforcé le Grand Edit de Justice promulgué par son beau-père (interdisant notamment les peines collectives, organisant la structure de la justice pour assurer que tout le monde puisse avoir accès à un avocat, abolissant les techniques de mises à mort considérées comme trop barbare comme l'écartèlement, la roue, ou le bucher, et obligeant les législations des différentes entités du Royaume a faire de même, des dispositifs visant à faciliter les interventions des forces royales contre l'Eglise occidentale qui est considéré comme une secte...) afin qu'il soit respecté dans tout le royaume (avant que Lambert décide de le faire sauter pour faire plaisir aux seigneurs du sud et à l'Eglise occidentale pour avoir leur soutien lors d'une crise avec les Fraldarius, quand sa femme et son père sont morts tous les deux car sinon, ils auraient tout fait pour l'empêcher de faire sauter une des plus grandes avancées judiciaires du Royaume afin d'avoir le soutien en urgence de girouettes), et pouvait même parfois descendre au tribunal pour défendre des roturiers n'ayant pas les moyens de se payer un avocat autre que commis d'office, lors d'affaires contre des nobles tentant d'abuser de leur autorité sur eux. Elle connait donc la loi sur le bout des doigts et l'a beaucoup étudié à Garreg Mach.
Elle a été fiancée à Lambert plutôt jeune car, elle était la plus proche en âge de lui et la plus apte à le canaliser quand il a des excès de crétineries, ce qui arrive trop souvent pour un futur roi. La matriarche Catherine avait même l'habitude de dire que donner Héléna en mariage à Lambert, c'était comme donner de la confiture à un cochon, sauf que le cochon arrive au moins à reconnaitre le bon gout de la confiture, là où Lambert est incapable d'être un bon mari digne d'Héléna à cause de sa stupidité, ce avec quoi le père de Lambert, le roi Ludovic, est d'accord, très conscient des limites de son fils. De toute façon, il veut remettre en place une monarchie élective pour le royaume alors, Lambert n'a aucune chance de se faire élire et s'il échoue (ce qui arrivera malheureusement), il sait qu'Héléna saura cadrer son mari avec Rodrigue et Alix (son petit frère, même si la différence d'âge n'est que de que quelques minutes d'écart étant donné que ce sont de vrais jumeaux), ainsi que le reste des soeurs Charon et si vraiment, Lambert est ingérable, il espère qu'elle divorcera pour se protéger de lui (et s'il ne fallait pas respecter le canon, elle se serait barré alors qu'elle est enceinte sans que Lambert ne le sache car juste, elle n'en peut plus, même si elle est dévouée au bien du Royaume corps et âme, et qu'elle ne veut pas donner un père pareil à son enfant qu'elle aime de tout son coeur).
Peigne à mèche : petit peigne joliment décoré avec une très longue mèche de fil verte. La couleur ressemble à celle des cheveux de l'archevêque.
=> Une des particularités de mes Charon est qu'elles sont la seule famille à emblème qui ont leur emblème de manière naturelle. En effet, leur ancêtre Pyrkaïa a rencontré un nabatéen, Oengus, et ils sont tombés amoureux l'un de l'autre. Toutes les Charon descendent d'eux deux alors, toute leur ligné est mi-humaine, mi-nabatéenne, ce qui fait que ce sont les seuls dont l'emblème ne semble pas disparaitre / s'affaiblir avec le temps et les générations, il est naturellement en elles, et une bonne partie d'entre elles ont des caractéristiques nabatéennes (cheveux verts, yeux pierreux verts, petits crocs, plus rarement des oreilles pointues) en plus d'une longévité exceptionnelle (elles sont très facilement plus que centenaire, et elles vieillissent bien plus lentement [j'avais à un moment une idée de scène entre Catherine et Shamir où cette dernière remarque que même si elles se connaissent depuis dix ans pendant la guerre, Catherine ne semble pas avoir pris plus d'un ou deux ans de trait, avant de se dire qu'elle s'en moque après en avoir parlé un peu avec la principale intéressée car, elle aime Catherine pour qui elle est et elle sait qu'elle est de confiance, elle se fiche bien qu'elle vieillisse à peine]), avec leur peau sombre qui vient de Pyrkaïa.
Pour Héléna par contre, à part que ses yeux ont l'air plutôt pierreux, elle tient surtout du côté de Pyrkaïa, elle est blonde aux yeux bleus avec un teint assez mate, alors qu'une grande partie de ses soeurs ont au moins soit leurs cheveux, soit leurs yeux très verts. Sa soeur préféré Myrina pourrait même se faire passer pour une nabatéenne tellement elle ressemble à son ancêtre. Elle était donc frustrée quand elle était plus jeune d'être une des seuls a ne pas avoir les cheveux verts comme ses soeurs et sa mère (surtout qu'elle, même si j'ai jamais statué si elle a un emblème ou non mais, vu l'histoire des Charon, elle doit en avoir un mineur alors qu'en général, elles ont toutes un emblème majeur) alors, sa deuxième grande soeur, Effrosyni (dite Efi, et qui est celle qui est la plus calé sur le protocole, l'étiquette, comment bien se comporter et se présenter en société, comment s'habiller afin de plus frapper lors de certaines occasions... bref, vous avez besoin de quelqu'un qui doit vous habiller parfaitement, c'est à elle qu'il faut faire appel) lui offrit un peigne avec une très longue mèche de laine teint en vert afin qu'elle ait aussi au moins une mèche de cheveux verts elle aussi.
Elle a adoré ce peigne et l'a toujours gardé avec elle tout au long de sa vie, même mariée, même s'il faisait plus peigne pour petite fille. C'est un cadeau de sa grande soeur alors, elle le garde. A sa mort, Lambert ne l'enterra pas avec (sa relation avec les autres Charon était déjà très compliquée vu que ses belles-soeurs le détestaient de base pour sa manière de traiter leur soeur, et il fera tout pour couper Dimitri de sa famille maternelle pour éviter qu'il ne lâche par accident qu'il a une belle-mère en secret, elles le prendraient extrêmement mal et Myrina veut suffisamment lui faire la peau elle-même comme ça), ce qui rendit furieuse Effrosyni en plus de toutes ses soeurs et de son petit frère (enfin encore plus vu que bon, c'est un peu Lambert le responsable de la mort de sa cadette à force de l'épuiser) car, il n'a pas respecté les dernières volontés d'Héléna étant donné que chez elles, en plus de quelques reliques d'enterrement grec (on met une pâtisserie dans la tombe [pour calmer Cerbère, puis récompenser les loups de cendre pour leur fidélité à la Déesse et de les protéger], même si la tradition de laisser une pièce dans la bouche des morts pour payer le passeur est tombé en désuétude vu que ça ne collait pas avec les croyances de Seiros de payer pour accéder au repos éternel), on est enterré avec ses objets préférés pour les garder même dans la mort. Finalement, Effrosyni a pu récupérer ce peigne et je pense qu'elle l'offrira à Dimitri une fois qu'elle pourra l'approcher à nouveau.
Et enfin, petite anecdote sur le dessin comme toujours :
l'uniforme a une forme différente de celle du jeu et il est inspiré de ce tableau du XVIe siècle représentant la famille de Thomas Moore (notamment la femme la plus à droite du tableau). Etant donné qu'elle n'est pas de la même génération (et que l'uniforme du jeu a quand même une coupe très moderne), je lui ai donné un uniforme avec une forme plus ancienne tout en gardant quelques motifs de ceux du jeu (notamment sur sa poitrine) afin de montrer la différence d'époque.
Les couleurs que j'attribue au Charon sont le blanc et le bordeaux (même si elles évitent à tout prix le rouge trop vif pour ne pas rappeler le rouge impérial, elles ont une teinte plus terne et formelle que quelque chose de vraiment pétant et tape à l'oeil) vu que ce sont les couleurs de Catherine dans le jeu, et j'ajoute le vert pour leurs origines nabatéennes. C'est la raison pour laquelle les gantelets d'Héléna sont rougeâtre, bordeaux. Ils ont également l'emblème de sa famille dessiné dans le cuir pour les rendre encore plus identifiable
Vu que son peigne est censé être à l'origine un peigne pour une petite fille qui voulait avoir les cheveux verts comme sa grande soeur, les motifs sont assez fantaisistes avec deux étoiles et une petite lune au-dessus du pompon. Vu qu'elles sont très religieuses dans cette famille, Effrosyni a pu en prendre un qui représente l'astre céruléen.
J'ai un peu hésité à colorier les pupilles d'Héléna en noir. Normalement, tout mes personnages ont des pupilles noirs, sauf les agarthans qui ont la pupille de la couleur de leur iris en plus foncé / appuyé (sauf quand elle disparait à force d'utiliser leur magie noire) et les sorciers qui ont tous une iris blanche à cause de leur magie dont leur corps est rempli. Finalement, elles restent aussi blanche pour rappeler qu'elles sont nabatéenne et que leurs yeux sont légèrement différents de la normal, même si elles ont rarement des pupilles en amande (signe distinctif de mes nabatéens, même s'ils peuvent le cacher).
Pour les deux petites mèches de cheveux sur le côté gauche de sa tête, c'est normal et une autre caractéristique des Charon. Etant donné que Catherine a une petite mèche de cheveux sur le front, et que Dimitri a un peu ces mèches aussi sur son front avec sa frange, je l'ai donné à toutes mes Charon, que ce soit Héléna, Dimitri, ou Pyrkaïa, c'est une caractéristique de famille afin de souligner les parentés et qu'on sache quand on voie ce détail "oui, c'est une Charon, elle a la mèche".
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#Les photos grisent pas mal les dessins alors je retouche souvent la luminosité pour les rendre plus clair#mais avec la couleur c'est une autre paire de manche - -' J'ai fait ce que j'ai pu pour que ça se rapproche de l'original#même s'il faut être honnête j'ai trop appuyé pour son gantelet gauche et pas assez sur le droit#et je ne sais plus quelle couleur j'ai utilisé pour les colorier alors tant pis - -'#le coup de l'antenne Charon est apparu assez tard quand je me suis mis à dessiner Pyrkaïa#Vu qu'elle ressemble beaucoup à Catherine je voulais lui remettre une frange similaire#tout en ajoutant un élément pour les différencier en plus de tout le reste alors elle a eu sa double mèche sur le front#et c'est resté pour le reste de la famille ^^#en plus ça permet de lier visuellement Dimitri à la famille de sa mère comme ça#les dessins de Dimitri sont un peu ancien pour une idée de billet sur un crossover FE3HxPokémon qui ne s'est pas fait#mais vu que je les avais dans les cartons autant les utiliser pour l'exemple !
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J'ai terminé la nuit dernière de lire Memento Mori de Solédad Cayuela, et c'était sympa. C'est un recueil d'explications à propos des objets et techniques magiques ainsi que la nécromancie. C'était intéressant mais je ne me vois pas pratiquer ce genre de choses. J'ai envie et puis j'ai la flemme parce que je ne suis pas totalement convaincue. Et puis j'ai envie quand même, fin je sais paaaas.
Exemple, le livre débute sur la consécration des objets. Je crois que sans magie, juste par le pouvoir de la persuasion et de la visualisation, c'est possible de donner des intentions aux objets, par exemple un bracelet qui rappellerait que "tu es capable" "ose, fonce", ou "du calme" ou que sais-je. Juste parce qu'en le mettant, on se concentre, on visualise la situation qu'on recherche, on fait le point sur les moyens à mettre en œuvre, sur ce qu'on a déjà essayé et qui n'a pas fonctionné, sur ce qu'il faut changer, et on signe un contrat avec soi-même, et à la vue du bracelet, de l'objet, on se recentre sur ce travail d'introspection et on redevient acteur.ice.
Enfin c'était ma lecture ésotérique de l'année, j'avais mis dans mes objectifs de l'année de faire une recherche sur le plan spirituel et la recherche est toujours d'actualité. Je vais peut-être me diriger un peu sur une sorte d'harmonie à avoir avec la nature. Peut-être dans la lignée de la slow life qu'on a entamée, peut-être en allant marcher plus régulièrement et en notant des observations, peut-être en jardinant avec la Lune comme mon grand père faisait, je ne sais pas encore dans quelle direction ça ira.
La lecture de l'ebook dont je parlais ci-dessus m'a rappelé des événements passés il y a super longtemps. Ma grand-mère paternelle était coupeuse de feu (elle cessait la douleur des brûlures rien qu'en posant les mains) et elle est décédée quand j'avais deux ans. Elle guérissait aussi les verrues, et d'autres choses dont on n'a jamais voulu me parler. J'ai la sensation d'un souvenir très réel où elle me dit qu'un jour elle m'apprendra tout ça. Évidemment elle est décédée avant. J'ai aussi un souvenir plus étrange qui m'est revenu, tout aussi réel alors que celui-là ne peut pas être réel, de moi, adolescente, assise à une table avec ma grand mère décédée depuis des années et mon père décédé depuis peu, papotant avec eux en sachant que la conversation ne durerait pas car ils repartaient juste après. C'est très probablement juste un rêve que j'avais fait à l'époque mais ça m'est revenu en lisant les explications sur la nécromancie.
Bref voilà pour la dernière lecture de l'année, ça clôt le hashtag livres 23 et le billet avec tous les résumés restera épinglé jusqu'au premier livre de 2024 ^^
Ah et rien à voir mais si vous avez un vêtement ou un fauteuil en velours et que ça accroche absolument tous les poils, le truc qui fonctionne le mieux, après une étude approfondie et le test d'une dizaine d'outils, c'est.......
⭐ la brosse raide pour les poils de chats avec des petits pics coudés ⭐ Voilà c'était mon conseil de daronne.
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Luxe de poche
Petits Objets Précieux au Siècle des Lumières
Musée Cognacq-Jay Paris-Musées
Paris-Musées, Paris 2024, 96 pages, 22x28cm, ISBN 978-2-7596-0579-8
euro 28,00
email if you want to buy [email protected]
L’exposition Luxe de poche au musée Cognacq-Jay présente une collection exceptionnelle de petits objets précieux et sophistiqués, en or, enrichis de pierres dures ou de pierres précieuses, couverts de nacre, de porcelaine ou d’émaux translucides, parfois ornés de miniatures. Les usages de ces objets varient, mais ils ressortent tous des us et coutumes d’un quotidien raffiné, signe de richesse, souvenir intime. Au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitent un véritable engouement en France d’abord puis dans toute l’Europe.
Luxe de poche a pour ambition de renouveler le regard que l’on porte sur ces objets, en adoptant une approche plurielle, qui convoque à la fois l’histoire de l’art et l’histoire de la mode, l’histoire des techniques, l’histoire culturelle et l’anthropologie en faisant résonner ces objets avec d’autres œuvres : des accessoires de mode, mais aussi les vêtements qu’ils viennent compléter, le mobilier où ils sont rangés ou présentés et enfin des tableaux, dessins et gravures où ces objets sont mis en scène. Ce dialogue permet d’envisager ces objets dans le contexte plus large du luxe et de la mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle.
Point de départ de cette nouvelle exposition, la remarquable collection d’Ernest Cognacq est enrichie de prêts importants – d’institutions prestigieuses comme le musée du Louvre, le musée des Arts décoratifs de Paris, le Château de Versailles, le Palais Galliera, les Collections royales anglaises ou le Victoria and Albert Museum à Londres - afin d’offrir une nouvelle lecture de ces accessoires indispensables du luxe.
03/05/24
#luxe de poche#musée Cognacq-Jay#exhibition catalogue#petits objects precieux#histoire mode#fashion books#fashionbooksmilano
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Letter, or: Objects, that let
Writing Law and Literature
1.
Letter are objects, that form concepts, for example the concept of black letter law. One may say that letters are ressources or reservoirs of concepts. A theory of letters may be object-oriented and focus on those techniques, that form concepts. That is what we try to do with our book on the legal theory and legal history of letters.
We don't refuse to realize, that objets are already conceptualized and that they already formed concepts. The theory may be a theory of concepts, it may itself be part of the history of concepts. We realize, that letter form the term letter in languages, that went through Rome. More than that: we want to use the cirmumstances of that movement and we try to understand it as passing Rome and roaming. Letters pass when they form concepts. The mobility of letters, that form also the concepts of letters shall be a part of the theory. We guess, that this mobility falters, it halts, it runs and tears like drops in a gutter, it channels, cancels and contours concepts.
2.
Letters are objects, that let, therefore they form the concept of Letter in a language, that went through Rome. That language is German and the concepts is that of Charakters, that are pressed and that press. Letter form the term chaire in a language, that went through Rome. That language is french, in it sits a concept of flesh and chairs. Letter is a term, a concept in languages and images, that went through Rome, even in tongues, eyes, sound, noise and hands, in bodies that went through Rome. The letter may be brief, therefore it carries the term Brief in a language, that went through Rome, that language is German. The letter may be charcteristic, therefore it carries the term character in a language, that went through rome, that language is English. The letter may be a carrier, therefore it carries the term carta in a language, that went through Rome, that language is Portuguese.
The letter maybe flesh, therefor it carries the term Mahl in German. The letter maybe a chair, a chart, a paper or a papel. It may be an o, it may be ball, a balloon or a bolic object, therefor it may be symbolic, diabolic or metabolic. We don't understand the materials, the qualities and the forms of letters as a disturbance of the letter, that shall be ignored. We understand the disturbance of the letters, even black or dead letters, as part of their anxious ("enge/ klamme)"), inquite ("unruhig") and gay ("fröhliche"), valuable and beneficial quality. We value something that is round and able to change directions, we value DADA and planets.
3.
Picture: Gil Wolman, still from L'Anticoncept [Anti-Concept], 1951. 35 mm film, 60 min. First screened on 11 Feb 1952 at the cinema club "Avant-Garde 52", where it was projected upon a large white weather balloon (a meteorological object).
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OM Babaji - by Kriya Yoga artist Stephen Sturgess in London.
'Abide in the Self, your true nature that is God's being.' - Stephen Sturgess.
Lahiri Mahasaya's Initiation from Mahavatar Babaji
"‘Lahiri, are you still feasting on your dream desires for a golden palace?’ My guru’s eyes were twinkling like his own sapphires. ‘Wake! All your earthly thirsts are about to be quenched forever.’ He murmured some mystic words of blessing. ‘My son, arise. Receive your initiation into the kingdom of God through Kriya Yoga.’
"Babaji stretched out his hand; a home (sacrificial) fire appeared, surrounded by fruits and flowers. I received the liberating yogic technique before this flaming altar. "The rites were completed in the early dawn. I felt no need for sleep in my ecstatic state, and wandered around the palace, filled with treasures and priceless objets d’art….
- (Autobiography of A Yogi).
Om Lahiri Mahasaya!
Om Babaji!
****************
OM Babaji - dell'artista Kriya Yoga Stephen Sturgess a Londra.
"Rimani nel Sé, la tua vera natura che è l'essere di Dio. ' - Stephen Sturgess.
Iniziazione di Lahiri Mahasaya da Mahavatar Babaji
"'Lahiri, stai ancora banchettando dei tuoi sogni per un palazzo d'oro? ' Gli occhi del mio guru brillavano come i suoi zaffiri. 'Svegliati! Tutte le tue sete terrene stanno per essere placate per sempre. ’ mormorò alcune parole mistiche di benedizione. 'Figlio mio, alzati. Ricevi la tua iniziazione nel regno di Dio attraverso il Kriya Yoga. ’
"Babaji tense la mano; apparve un fuoco (sacrificale), circondato da frutti e fiori. Ho ricevuto la tecnica yogica liberatoria prima di questo altare fiammeggiante. "I riti furono completati all'alba. Non sentivo il bisogno di dormire nel mio stato estasiato, e vagavo per il palazzo, pieno di tesori e oggetti d'arte inestimabili....
- (Autobiografia di A Yogi).
Oh Lahiri Mahasaya!
Oh, Babaji!
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Le Niellage, technique d’orfèvrerie qui consiste à appliquer ce qu’on appelle le “Nielle” ou “Niello” (du Latin Nigellus, signifiant “Noirci”). Le Nielle est un sulfure métallique de couleur noire qui est composé de cuivre, d’argent et souvent de plomb ou de borax. Employé comme une matière pour remplir la marqueterie (décor réalisé par un placage fait dans un matériau tel que le bois ou autres). Ainsi, la marqueterie de métal est remplie avec cet alliage fondu, la surface dite “Niellée” est polie pour éliminer le dépassement de métal qui a été ajouté. Il ne faut toutefois pas confondre le Niellage avec les émaux ou le damasquinage.
Parlons maintenant de l’histoire de la technique du Niellage. Inventée par les Égyptiens, elle est reprise par les Romains et se diffuse dans l’Europe à partir de ses derniers. Ce sont par la suite les orfèvres de la Renaissance en Italie et en Allemagne qui reprennent le Niellage comme une technique luxueuse et délicate pour embellir des objets précieux, des objets de cultes ou de la vaisselle d’apparat. La technique restera pratiquée jusqu’à l’apparition de l’Aquatinte au 18e siècle. On peut effectivement lire dans la Revue de Paris de 1835 que la Niellure n’est plus en usage depuis que Benvenuto Cellina tentera de créer de nouveaux objets d’orfèvrerie niellés, mais du fait de la grande complexité du procédé et de son faible taux de réussite lors de leurs productions, ne donnera rien de concluant. Elle nous parle aussi de deux orfèvres du nom de Mention et de Wagner qui remettent au XIXe, l’art de nieller au goût du jour grâce aux procédés russes qu’ils ont appris à réaliser dans l’atelier de l’orfèvre P.W.Beuth. Ce dernier la recette d’un moine du nom de Théophile qu’il explicite dans un article qu’il écrit en 1828, le nom de cet écrit est “Sur le nielle et l’art de le préparer.” Mention et Wagner iront jusqu’à perfectionner et mécaniser le procédé de niellage en 1829 et déposeront ainsi un brevet. La technique, comme on peut le voir, sera perfectionnée sans que son principe n'ait fondamentalement changé. Notamment, la quantité de métaux à utiliser sera perfectionnée pour favoriser une production de chaînes d’objets niellés et ainsi réduire les ratés. Toutefois, malgré ce perfectionnement et les améliorations apportées ne permettent pas au niellage de surpasser le procédé de gravure en taille-douce qui sera plus rentable et préféré de par la simplicité de sa réalisation.
Après ce passage sur l’histoire, nous allons pouvoir parler des différentes œuvres effectuées avec le niellage ou en ayant essayé de faire du niellage. Nous avons par exemple Maso Finiguerra, un nielleur de Florence qui en voulant contrôler son Triomphe et le Couronnement de la Vierge, créant la Taille-Douce. Au XVIIe siècle, la technique n’est plus utilisée que par les pays orientaux avec les Arabesques ou par les Russes avec Veliki Oustioug. Elle ne reprendra de la vigueur qu’avec le Damasquineur André Colomb au XIXe siècle dans une utilisation bien plus commune et à large échelle, notamment sur des objets de la vie courante comme des boîtiers de montre de poche de la fin des années 1800 jusqu’au début des années 1900.
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Annexe pouvoirs - Classification
Les pouvoirs sont référencés par le Comité de Régulation des facultés Exceptionnelles de Type Inchangeable et Neurobiologique (CRETIN).
Le CRETIN distingue 5 niveaux de potentiel pour les pouvoirs (on parle de classes), ce qui lui permet de classer les individus en fonction de leur puissance et de leur dangerosité. Chaque personne disposant d’une particularité est dans l’obligation de demander une évaluation auprès de cet organisme – elle est alors référencée auprès de l’Etat et fait l’objet d’une surveillance renforcée. Rares sont celles et ceux qui parviennent à s’y soustraire : ces hors-la-loi sont appelés clandestins.
Une évaluation du CRETIN est représentative à un instant T : il se peut que les pouvoirs changent, grandissent ou s’amoindrissent, auquel cas un nouvel examen est possible. Par ailleurs, le Comité considère un certain nombre d’autres paramètres que la puissance d’un pouvoir pour attribuer un grade, comme la variété d’applications d’un même pouvoir (qu’on pourrait qualifier de techniques).
La plupart des pouvoirs peuvent être déclinés sur plusieurs classes. Ce guide n’a donc pas pour vocation d’être absolu : il s’agit d’informations indicatives qui peuvent fluctuer légèrement selon les personnes.
Classe 0 : Le CRETIN considère toute personne dépourvue de pouvoirs comme civile. Il n’a pas pour vocation d’évaluer leur potentiel.
Classe 1 : Regroupe les pouvoirs de faible ampleur, dont les conséquences sont souvent moindres sur la personne qui les utilise et sur son environnement.
Classe 2 : Regroupe les pouvoirs qui ont un impact sur la personne ou son environnement mais au potentiel limité et peu dangereux dans l’ensemble.
Classe 3 : Pouvoirs remarquables et dangereux.
Classe 4 : Pouvoirs de grande ampleur, forte influence sur l’environnement.
Classe 5 : Pouvoirs de très grande ampleur, particulièrement dangereux.
Le CRETIN référence chaque pouvoir dans une dizaine de catégories et sous-catégories, de manière à définir avec précision chaque nouvelle manifestation de faculté exceptionnelle afin d’étudier leur évolution avec la rigueur scientifique qui le caractérise. Ces nuances n’ont cependant que peu d’intérêt pour le grand public, et le Comité se contente souvent de formuler la définition la plus large possible d’un pouvoir aux intéressés, quand bien même cela peut sembler évident.
Il distingue deux types de pouvoirs :
Pouvoir interne : se concentre sur le corps de l’individu. Une force ou une agilité surhumaine, une peau de pierre, la capacité de se transformer en origamis ou l’élasticité sont des pouvoirs internes.
Pouvoir externe : se manifeste à l’extérieur de l’individu. La manipulation d’éléments, la création d’illusions, la communication animale ou la capacité de changer la couleur d’une surface sont des pouvoirs externes.
Ces pouvoirs agissent sur un élément :
Physique : élément concret qui existe physiquement (corps, objet, plante, ce qui relève de la matière)
Mental : élément psychique (pensées, lévitation, ce qui relève de l’impalpable)
Le CRETIN catégorise donc les pouvoirs en quatre groupes : Interne physique / Interne mental / Externe physique / Externe mental.
Bon à savoir
Le terme de Classe s’applique à la fois au pouvoir et à la personne qui le détient. On peut aussi bien dire « Je suis de Classe 2 » que « Mon pouvoir est de Classe 2 ».
Il est beaucoup plus courant de se voir attribuer une faible Classe au premier examen du CRETIN qu’une Classe élevée. En effet, chez une majorité de personnes, les pouvoirs ne prennent de l’ampleur qu’à force d’entrainement, si elles en ont la volonté et qu’un cadre adéquat est mis en place pour les accompagner. Certaines personnes manifestent d’emblée un potentiel très fort mais souvent très dangereux et incontrôlé, raison pour laquelle les académies X et Y recrutent essentiellement des Classes 4 et 5 avant de les former – ces individus ont toujours été jugés prioritaires pour des raisons de sécurité publique. La Licence Internationale Héroïque et Légendaire intègre en première année des spéciaux de classe 1 à 4, ces derniers étant particulièrement peu nombreux en cette première année.
Les individus évalués par le CRETIN sont surveillés par l’Etat. Jusqu’à maintenant, les spéciaux de faible classe peuvent vivre quasiment normalement (ils sont un peu plus surveillés par la police et sont confrontés au rejet d’une partie de la population). L’usage des pouvoirs à des fins illégales est sanctionné en pénal depuis la mise en place des lois d’encadrement des spéciaux, et la plupart des centres de détention ont des cellules adaptées dans ce genre de situation. Une attention particulière est portée aux spéciaux de classe 3 et plus qui, s’ils ne sont pas en formation, doivent rendre des comptes hebdomadairement à la police et sont privés de liberté si leurs pouvoirs ne sont plus sous contrôle. Les clandestins sont quant à eux traqués pour être jugés.
Beaucoup se demandent si le jugement du CRETIN est infaillible ou s’il possible de lui mentir en lui dissimulant le potentiel réel d’un pouvoir. La posture du CRETIN est toujours la méfiance et ses examens sont rigoureux mais il est techniquement possible de le tromper sur la nature réelle d’un pouvoir ou en bridant l’étendue réelle de ce dernier. Les risques sont grands si cela venait à se savoir, en ce que mentir au CRETIN revient à mentir à l’Etat et qu’on ne le fait jamais sans volonté de nuire, n’est-ce pas ?
Des rumeurs circulent depuis plusieurs années dans les réseaux complotistes sur l’existence de classes 6 ou 7. Des témoignages circulent sur l’élimination directe de certains spéciaux ou sur leur disparition, parfois vidéos à l’appui sans que l’on puisse déterminer leur authenticité. L’administration a toujours refusé de commenter ces rumeurs.
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