#objet technique
Explore tagged Tumblr posts
Text
0 notes
Text
Le point de vue de l’homme qui travaille est encore beaucoup trop extérieur à la prise de forme qui, seule, est technique en elle-même. Il faudrait pouvoir entrer dans le moule avec l’argile, se faire à la fois moule et argile, vivre et ressentir leur opération commune pour pouvoir penser la prise de forme en elle-même. Car le travailleur élabore deux demi-chaînes techniques qui préparent l’opération technique : il prépare l’argile, la rend plastique et sans grumeaux, sans bulles, et prépare corrélativement le moule : il matérialise la forme en la faisant moule de bois, et rend la matière ployable, informable ; puis, il met l’argile dans le moule et la presse ; mais c’est le système constitué par le moule et l’argile pressée qui est la condition de la prise de forme : c’est l’argile qui prend forme selon le moule, non l’ouvrier qui lui donne forme. L’homme qui travaille prépare la médiation, mais il ne l’accomplit pas : c’est la médiation qui s’accomplit d’elle-même après que les conditions ont été créées : aussi, bien que l’homme soit très près de cette opération, il ne la connaît pas : son corps la pousse à s’accomplir, lui permet de s’accomplir, mais la représentation de l’opération technique n’apparaît pas dans le travail. C’est l’essentiel qui manque, le centre actif de l’opération technique qui reste voilé. Gilbert Simondon
#gilbert simondon#du mode d'existence des objets techniques#la ressemblance par contact#georges didi-huberman#prisedeforme
5 notes
·
View notes
Text

André Breton | Poème Objet [Poem-Object]
Breton's personal contribution to surrealist art was his fusion of poetry and object in his 'Poème-Objet' constructions. Although not an artist himself, he was eager to explore any technique that required minimum artistic skill, such as the collages and assemblages. In 1924, Breton called for the creation of objects seen in dreams. He made about a dozen of his own assemblages in the 1930s and early 1940s, calling them 'Poème-Objets'. The text on the plaster egg in this work translates as 'I see / I imagine' and the poem beneath is deliberately cryptic.
80 notes
·
View notes
Text
Tuto : créer des lignes fluides
Version requise : Photoshop, pas besoin d'une version récente.
Durée de la video : 9.44min avec 3 techniques expliquées (vous avez les time-code dans les explications ci-dessous)
Infos : français et sous-titrée + tutoriel détaillé écrit ci-dessous. J'espère que la qualité ira, elle a été réduite quand j'ai fait le sous titrage :(
Si vous avez des questions ou si ça manque de clarté, n'hésitez pas !
Exemples de rendu (toutes les lignes) :


Aujourd’hui, je vous présente 3 techniques que j’utilise pour créer des lignes fluides, comme dessinées à la main, sur mes avatars. L’objectif est de vous montrer les différents outils utilisés - il y en a surement bien d’autres mais déjà, en voici 3 - pour que vous puissiez vous les approprier et les utiliser pour vos propres styles et graphisme !
(0 à 0.50s : introduction + je vous montre des avatars sur lesquels j'ai utilisés ces effets)
(0.50) Technique 1 : le pinceau
Avec l'outil pinceau, vous pouvez dessiner les effets et tracés que vous souhaitez ! Mais souvent, les tracés peuvent être un peu trop abrupts ou présentés des angles/cassures non voulues.
Pour les éviter, ça se joue dans les réglages :
(1.18) Créer un calque vide pour pouvoir dessiner dessus et éviter de le faire directement sur une photo/image. Ainsi, vous pourrez plus facilement supprimer l’effet si à la fin vous n’aimez pas.
(1.40) Dans le panneau ds outils, choisir l’outil pinceau et dans les caractéristiques du pinceau, opter pour “pinceau arrondi net” 1 ou 2px d’épaisseur (pour qu’il soit assez fin), 100% dureté (pour qu’il ne soit pas flou). Dans le “flux”, choisissez 100% (ou un peu moins, le flux correspond à la pression de votre pinceau). Dans le “lissage”, opter pour 80 à 100%. C’est le lissage qui va lisser (lol) votre courbe et la rende plus fluide. Si le lissage est à 0%, vous aurez des cassures dans votre courbe (voir à 3min le rendu)
(3.25) Dessiner la ligne voulue. Je vous montre plusieurs idées d'usages.
(4.40) Pour la couleur de votre ligne, vous pouvez soit la choisir dès le début soit ensuite lui appliquer un style à votre calque “incrustation de couleur” (l'icône fx dans le panneau “calques”)
Rendus exemple : la ligne fluide autour du texte ; la ligne qui contourne ; la vague ; les lignes qui entourent la photo centrale de Rachel. Mais vous pouvez aussi créer une silhouette de personnage, faire des effets “doodle” en changeant l’épaisseur du trait, entourer des mots...
(4.50) Technique 2 : le filtre “onde”
Effet plus hasardeux mais qui peut créer des rendus très cools et intéressants comme je vous montre sur l’avatar de Sydney Sweeney
(5.10) Créer une ligne avec l’outil “trait” + ou - grande - (à vous de faire vos tests) en 1 ou 2 px. Le rendu ne sera jamais pareil en fonction de la longueur, angle, l'épaisseur....
(5.24) Aller dans Filtre > Distorsion > Onde. Une fenêtre s’ouvre, choisir “convertir en objet dynamique”. Cela vous permet de revenir sur votre effet onde tant que vous le voulez alors que si vous choisissez "pixeliser", vous serez bloqué·e.
(5.32) Une fenêtre “effet onde” s’ouvre. On ne voit pas la ligne sur la prévisualisation de droite car on est sur un calque vierge (même si on peut changer ça en ajoutant avant un calque fond noir en dessus du calque ligne, puis en créant un objet dynamique en sélectionnant les 2 calques fond + ligne. Mais parfois, le hasard, c’est cool aha et j'avais du ma à expliquer à l'oral).
(5.50) S’amuser avec les différents réglages, en changeant les chiffres et appuyer sur “ok” pour voir le rendu ! Comme vous avez créé un calque dynamique, vous pouvez revenir sur votre effet en cliquant sur “Onde” où y'a un petit oeil à côté, apparu dans votre calque ;)
(6.05 à 7.00) Vous pouvez mettre les mêmes chiffres que la vidéo pour débuter (générateur : 1 ; Longueur d'onde Min 47, max 60 ; Amplitude Min 51, Max 52 : Echelle 100% les deux) et ensuite, jouer sur chacun des réglages pour voir les rendus. C’est assez hasardeux mais j’aime beaucoup ce que ça créé : des épaisseurs différentes, + ou - de courbes... Parfois ça rend rien aussi !
Rendus exemple : les lignes sur les côtés du texte ; la ligne en diagonale de cette texture
(7.11) Technique 3 : la plume
Outil que j’utilise le moins sur Photoshop mais qui a le mérite de donner plus de contrôle au tracé, si on n’est pas à l’aise avec le pinceau et le dessiné à la main de la technique 1 !
(7.30) Définir le style de votre pinceau (nous on l’a déjà fait en amont mais il faut choisir son épaisseur, son style, sa dureté...)
(7.30) Créer un calque vide pour pouvoir créer votre tracé à la plume dessus.
(7.40) Choisir l’outil plume présent dans votre barre d’outils à gauche.
(7.45) La plume va créer différents points : en appuyant une fois, vous créer un point. Puis en mettant un autre point et en tenant appuyé votre curseur, vos pouvez créer des courbes grâces aux poignets. Créer le tracé que vous souhaitez.
(8.30) Quand votre tracé est fait, clic droit dessus > Contour du tracé. Une fenêtre s’ouvre, choisir “outil = pinceau” > Ok.
(8.50) Effacer le tracé plume en appuyant sur supp du clavier ou autre. Tadam votre tracé est bien là !
Rendus exemple : la ligne diagonal
Super outil sur la plume par Geoffrey creative lab sur youtube (sous-titré fr)
207 notes
·
View notes
Text


La Cigale, plus ancien symbole de la Chine signifie beaucoup de choses dans les cultures et la tradition chinoise. Symbolique de renaissance et d’immortalité, elle à toujours fasciné et fut admiré par la population chinoise. Une légende raconte qu’un certain Lao Zi se transforma en immortel sous ses termes là : “En laissant sa dépouille comme le ferait une cigale.” A l’instar de nombreux animaux tels que le lion, le cheval ou le singe. La Cigale tient une place importante tout le long de l’histoire de la culture et des traditions chinoises. Il se pourrait même que sa place soit la plus importante au vue des utilisations et des croyances populaires qui entourent cet animal.
C’est entre -500 et -1000 ans av. J.-C qu’on retrouve des cigales en décoration sur des vases de bronzes ou des poteries de couleurs blanches. Durant la période de la dynastie Shang, les cigales furent dessinées sous plusieurs angles, dans des styles aussi variés que possible et bien souvent représentés en compagnie d'autres animaux tels que le tigre ou le dragon. Avec la naissance du bouddhisme vers 500 ans av. J.-C, on retrouve la symbolique de la cigale sur divers objets du quotidien comme des spatules ou des os sculptés. Sa véritable signification lors de cette période est assez floue, les représentations laissant parfois penser qu’elle servait marquer une autre symbole que celle de la renaissance et de l’immortalité. Certaines personnes s'accordent sur une symbole de “Temps de la récolte” ou encore de “la fertilité et l’abondance”. Considéré comme symbole sacré pendant longtemps, notamment sous la dynastie des Hans (-202 à 220) avec notamment des cigales en jades qui sont apparues vers cette époque et qui furent plus précisément des éléments incontournables dans les “inhumations funéraires”. Elle est placée dans la bouche du défunt et sa taille, ainsi que sa couleur et son style peuvent varier en fonction du rang social du défunt.
Suite à la fouille de tombeaux chinois ayant été datés de l’Antiquité, il est démontré que l’insecte et les objets qui représentent l’insecte fut très souvent présent et retrouvé. Il serait selon les historiens et les chercheurs, l’équivalent du Scarabée Sacré chez les Antique Égyptien et laissant supposé ainsi à une symbolique d’immortalité et de renaissance de la cigale chez les Chinois. Il est à noter que le rituel en lien avec la cigale ou les objets représentant cette dernière n’a pas perduré dans le temps, comme ce fut le cas pour le scarabée sacré égyptien. Les rêves de jeunesse éternelle et d’immortalité sont courants chez les chinois, point commun qu’ils avaient avec l’Occident. Certains chinois présents dans la Chine ancienne s'essayent à l’alchimie en expérimentant des techniques et des expériences sur les cigales. Toutefois, cette théorie ne pourrait reposer sur qu’un seul écrit officiel ou témoignage, celui d’un moine de la Dynastie Chin du nom de Shang Tao-Khai qui suite à des expériences où il fit ingéré des pilules à une cigale, il réussi à provoquer sa mue. Cette croyance serait devenue comme ça du fait de la mue des nymphes avant qu’elles ne deviennent une cigale. Cette transformation découverte, spectaculaire pour l’époque est certainement obtenue grâce à une minutieuse observation de la nature et des comportements des animaux et insectes. Pour l’époque, ils ont ainsi pensé que la mue représenterait la mort qui n’est qu’un état passager pendant lequel, les chinois de cette époque considéraient que le défunt se débarrassait de son corps comme si elle n’était qu’une mue pour obtenir un autre corps. Ainsi, pour eux elle a été la symbolique de la résurrection. Cette croyance est devenue populaire et la croyance en cette résurrection à entraîné chez les Chinois de cette époque, diverses habitudes comme la fabrication de nombreuses amulettes en forme de cigales, des pendentifs et des boucles de ceintures dans la forme de l’insecte.
Nous sommes tous bien conscients du fait que les différentes parties du monde possèdent différents types de cultures et que chacune est différente l’une de l’autre. L’or est un métal qui a une grande importance dans plusieurs cultures du monde. Les Chinois sont une des plus anciennes civilisations du monde. Ceci est quelque chose qui rend la culture chinoise relativement plus complexe que le reste des cultures. Considérant que la civilisation chinoise est très ancienne, elle a vu de nombreux dirigeants et des différentes formes de gouvernements. Depuis l’Antiquité, l’or est associé à la chance et est considéré comme la couleur des empereurs. Comme l’or a été considéré comme un signe de chance, les empereurs l’on utilisés pour porter des vêtements de la couleur de l’or et également utilisés pour porter sur eux des accessoires qui avaient de l’or ou étaient de couleur dorée. La signification de l’or a rendu la couleur dorée très importante dans la culture chinoise. L’Or, ainsi que la couleur dorée a toujours été considéré comme un symbole de la prodigalité dans la culture chinoise. Cela a une association avec les empereurs en utilisant l’or et la couleur dorée. Les personnes ayant un statut élevé ont tendance à utiliser plus d’or; et les objets en or sont considérés comme un beau cadeau. Dans la culture chinoise, la couleur dorée, ainsi que l’or sont considérés comme un élément terrestre et sont une représentation de la richesse dans les quatre piliers chinois de la destinée. La complexité de la culture chinoise révèle également que la couleur dorée à une sorte de double sens et elle est la couleur du deuil utilisée par les bouddhistes chinois. Outre ce fait, le fait demeure que l’or est une partie importante dans tous les festivals importants de la culture chinoise. La fête du printemps qui a lieu en Chine au début de la nouvelle année chinoise est l’un des moments où la demande d’or en Chine est très élevée, ainsi que les ventes de bijoux en or augmentent de manière significative. Ceci est le moment où les gens achètent de l’or pour eux-mêmes, et aussi pour leurs proches comme cadeaux. Les dragons sont un symbole mythologique important qui est fort répandu dans la culture chinoise. L’or est également utilisé dans la fabrication de ces dragons. La Couleur de l’or est utilisée en abondance et il y a aussi d’autres petits morceaux d’or utilisés sur ces dragons à des fins décoratives. La broderie est également faite en utilisant un genre de fil spécial qui est plaqué d’or pour la fabrication de ces dragons sur les tentures murales. La signification culturelle de l’or est évidente du fait que l’or a été une partie très importante de la monnaie chinoise. Il est également une partie très importante de l’art chinois. Une société d'État a été créée en Chine en 1987, qui fabriquait et distribuait des pièces commémoratives faites en or. Ces pièces sont fabriquées dans différents modèles à différentes occasions avec une représentation d’un événement particulier sur la pièce. Ceci est une partie très importante de l’art et de la culture chinoise.
15 notes
·
View notes
Text






Hripsimeh Sarkissian (1908 — 2000), Armenian textile artist from Turkey.
Born into a family involved in trading carpets among other things, in a region where textile making was a common activity especially among women, Hripsimeh Sarkissian had been familiar with textile designs and techniques since her childhood. In 1915 H. Sarkissian, just a child, survived the Armenian Genocide. She lost most of her relatives, including her father and siblings during the atrocities. Then, almost twenty years later, in 1938, she survived the Dersim Massacre, which was a military campaign led against the non-Turkish and non-Sunni communities in the area, this time with her husband and children. Her family was one of the few Armenian families that escaped the executions in their village, forced to leave their homes with thousands of other people. For nearly ten years the family lived in arduous conditions. Only after 1947, when the settlement law in Turkey was amended to give the right to displaced communities to return to their homes, they moved to Elazığ, a city neighbouring their native Dersim.
74 notes
·
View notes
Text

"🌹-- Dans la culture japonaise, lorsqu'un objet se brise, il est réparé avec de la résine et de la poudre d'or, d'argent ou de platine. Cette technique artistique japonaise s'appelle Kintsugi. Ils ne cachent pas le défaut, mais ils le soulignent, et ce changement rend l'objet beaucoup plus précieux que l'original.
Tout ce qui se brise a une histoire à raconter et ces cicatrices sont un signe d'imperfection et de fragilité, mais aussi de RÉSILIENCE, la capacité de devenir plus fort et de se rétablir. 🌹
Comme l'a dit Ernest Hemingway : Le monde brise tout le monde, et après, beaucoup sont forts aux endroits brisés."
16 notes
·
View notes
Text

Le monde n’est plus qu’un objet dont l’homme se veut le sujet. La technique moderne consacre le règne du «dispositif », de ce Gestell qui tend à soumettre tout ce qui existe au seul principe de raison. En déclassant toute vie intérieure, en remplaçant la vie méditante par la vie calculante, elle dévaste le monde et le transforme en désert.
Alain de Benoist
9 notes
·
View notes
Text
Le "Museum watching" vu par Elliott Erwitt

Elliott Erwitt a consacré tout un livre à cette activité ("Musées observés" dans son titre français). En effet, il est fasciné par les musées, et davantage encore par les visiteurs que par les objets exposés. Il est, dit-il, « un observateur dévoué de gens, qui aime observer l'art et les observateurs d'art qui observent l'art. » Tout visiteur de musées peut en témoigner : un jeu complexe d'interactions s'y déroule, avec les œuvres exposées, certes, mais aussi avec les autres visiteurs et avec l'espace où il se meut.
Erwitt décortique tout ce qui fait la spécificité des musées — matérielle (le cartel, le cadre) — et, surtout, humaine: les visiteurs, « gibier de choix » dont on verra ici un échantillon représentatif; et les gardiens qui font, dit-il, compatissant, « le métier le plus ennuyeux du monde ». Et pour saisir tout ce monde dans des lieux où la photographie est le plus souvent interdite, il met au point des techniques passablement facétieuses mais efficaces pour déjouer l'attention des gardiens.
Sans s'embarrasser de théories, il comprend que, dans ce temple contemporain qu'est le musée, la visite s'apparente à un « rituel » (Carol Duncan, The Art Museum as Ritual, 1995), un rituel qu'Erwitt explore avec gourmandise. Par le simple fait de l'exposition dans un lieu quasi-sacré, l'œuvre d'art est élevée au rang d'objet de culte (songeons à l'urinoir de Marcel Duchamp) et les visiteurs retrouvent l'allure compassée et respectueuse d'une procession religieuse dont les stations sont préétablies et les comportements prescrits.
Erwitt documente ces comportements avec un respect mêlé d'étonnement et tempéré d'une bonne dose d'humour.
#photo#photografy#photographers on tumblr#black and white#blackandwithephotography#elliott erwitt#musée
12 notes
·
View notes
Text
⚠️ CW : Homophobie naïve d'un homme cis des années 1920 ⚠️
Été 1925, Hylewood, Canada (2/4)
Je n’avais jamais entendu parler du Corydon, mais j’ai entendu par un camarade en classe de littérature que Gide avait quelques penchants et une amitié très intime avec son comparse d’outre-Manche Oscar Wilde. Je crois comprendre donc ce dont vous parlez. Je n’ai jamais croisé quelqu’un de la sorte, je ne pense pas que ces gens existent au Canada, ou alors peut-être les croise-t-on seulement dans les grandes villes. Les gens sont très conservateurs par ici. Ils n’aiment pas le changement, ou ce qui sort de l’ordinaire. Si de tels hommes existent à la campagne, leur mode d’existence doit être une misère à vivre. D’un autre côté, bien que je n’aimerais pas être moi-même objet de leurs ardeurs, je trouve tout cela fascinant.
[Transcription] Lucrèce Rumédier : Quel âge avez-vous déjà, Agathon ? Agathon LeBris : Je viens d’avoir quinze ans. Lucrèce Rumédier : Quinze ans seulement… Qu’est-ce que vous voulez faire, une fois que nous en aurons terminé avec vos études secondaires ? Agathon LeBris : Papa voudra sûrement… Lucrèce Rumédier : Je vous demande ce que vous voulez faire. Pas ce que votre père veut pour vous. Agathon LeBris : Je veux faire du piano. Lucrèce Rumédier : C’est rude, une carrière de pianiste. Il y a beaucoup d’appelés, peu d’élus. On en vit difficilement. Agathon LeBris : Je le sais bien. Mais je pense avoir ce qu’il faut. Lucrèce Rumédier : Il vous faudra une réputation. Des soutiens. Agathon LeBris : Ils viendront tous seuls quand on m’entendra jouer. Après tout, je vous ai dépassée en technique.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Agathon Le Bris#Lucrèce Le Bris
7 notes
·
View notes
Text




Un cybertruck à la rédaction


Comment vous faites ?
Des nouvelles de la rédac' ! Aura a de nouvelles histoires venus directement de la Terre centré sur... un des types les plus dangereux de cette planète doublé d'un incompétent complet.
Pour la première histoire, c'était une petite BD que j'avais depuis un moment après l'arrivée de Trump et Musk au pouvoir, ses saluts n*zis et le début du boycott de Tesla, où j'avais lu quelques billets sur les cybertrucks qui sont juste une des pires idées de voitures du monde, et la deuxième après avoir vu cet article de Géo sur sa conquête en cours de l'espace et juste... prenez lui tout son argent, ces responsabilités, donnez l'usine de Tesla à ses employés et ses vrais créateurs de la marque qu'il a volé mais juste, empêchez le de faire encore plus de mal et d'avoir la moindre influence sur le débat public s'il vous plait ! En plus, j'avais entendu la dernière dinguerie sur lui à la radio où il voulait contrer le "grand remplacement" des blancs américains en se reproduisant le plus possible avec des femmes avec un bon pedigree pour lui (soit blanche d'extrême droite), surtout que ça ferait des bébés au gros cerveau selon lui alors, ça m'a motivé pour finir ces deux petits BD où juste, si même les humains le trouvent aberrants et incompréhensibles, imaginez pour des aliens, même s'ils n'ont pas tous la même réaction.
Petit point sur les personnages !
Rigel, le représentant d'Uranus de l'équipe, est le responsable du volet technique de la rédaction. Il adore mettre ses douze doigts et ses crochets (oui, douze, les uranusiens ont deux pouces par main, ainsi que de petits crochets sur les doigts afin de pouvoir grimper facilement sur des blocs de glaces, la planète étant surtout gelé) dans des appareils électroniques ou mécaniques en tout genre pour savoir comment ça marche, avec un petit gout supplémentaire pour les objets mal fichus ou les arnaques manifestes, ce qui donne parfois des articles dans leur journal, même si ce n'est pas le plus gros contributeur. Alors, quand il entend parler par Aura des Cybertruck et qu'il voie une photo de l'une d'elle, évidemment, il veut démonter tout ça pour expliquer par le menu tout ce qu'il ne va pas dedans ! Il garde souvent sa capuche sur sa tête, surtout qu'elle garde bien le froid et qu'il préfère les températures plus fraiches à cause de sa planète d'origine, et il a souvent un tournevis dans sa grande poche afin de pouvoir réparer rapidement quelque chose en cours de route.
Ensuite, il y a Su, um mercuriem. Oui, j'essaye d'écrire en neutre pour lui mais, c'est pas facile en français étant donné qu'il n'y a pas vraiment de règle officielle alors, j'utilise ses deux articles (qui évidemment ne sont pas d'accord entre eux sinon, ce serait trop simple mais bon, si je dois attendre qu'une règle officielle soit décréter par l'académie française, l'humanité aura disparu avant de pouvoir écrire Su) pour arriver à accorder correctement autant que possible et si j'ai pas d'info pour un mot précis, ce sera sans doute accordé au masculin car ça ne se marque pas en français. En effet, les mercuriems sont fait à partir d'énergie et iels se reproduisent en enlevant une partie de leur corps pour plus ou moins se cloner, même s'iels peuvent mélanger l'énergie des uns et des autres pour faire um nouval individu (pour Su par exemple, iel est néae grâce à l'énergie de tout son village) alors, autant dire qu'iels n'ont pas de sexe ni de genre et dans leur langue, on sépare les choses entre l'inerte et le vivant. Son boulot à ille, c'est de vérifier les informations des articles afin d'être sûr qu'ils ne relèguent pas de fausses informations mais, il aime beaucoup aider Rigel à l'atelier également alors, il a aussi voulu mettre le nez dans le cybertruck pour voir à quel point c'est mal fait. Cependant, ce qu'iels n'avaient pas vraiment prévu, c'est que la voiture puisse faire des chocs électriques (choses qui arrivent vraiment sur les véhicules tesla si j'ai bien compris, comment ces trucs peuvent être autorisés à la vente ?) et comme la batterie n'est pas très bien conçu, iel a absorbé d'un coup toute l'électricité contenu dedans, ce qui ille a donné un gros boost d'énergie incontrôlable étant donné que comme le dit Dunamis, l'électricité terrienne n'est pas très propre et donc pas très saine pour lui alors, il vaut mieux lui enlever du corps avant que ça ne lui fasse mal, surtout qu'iel est habituae à manger les rayonnements solaires sur Mercure et l'énergie libérer par la stations où ils sont, pas à se prendre notre électricité dans la figure.
Dunamis quant à lui est un peu le chef de la rédaction en plus d'être chargé des enquêtes un peu plus sensible et de l'investigation. Il n'a pas vraiment une position hiérarchique plus élevé que les autres officiellement mais, comme il sait très bien gérer une équipe et qu'il comprend très bien les besoins des uns et des autres, le reste de la rédaction le considère comme leur rédacteur en chef et l'écoute. Lui, il vient de Jupiter, ce qui se remarque par l'anneau qu'il a sur son corps et la tâche qui ressemble à la Grande Tâche Rouge de sa planète, qui se trouve respectivement autour de son cou et sur sa joue pour lui, même si ce n'est pas le cas pour tout le monde chez lui, et il manipule également l'électricité alors, c'est son rôle d'aider Su à se débarrasser de la mauvaise énergie qu'iel peut absorber. Il fait également très attention à la sécurité au sein de la rédac alors, même s'il aime beaucoup les anecdotes de la Terre d'Aura comme tout le monde, il aime moins quand elle rapporte des objets potentiellement dangereux chez eux, surtout avec des batteries étant donné que bon, vous voyez comment réagi Su quand iel en approche d'une mal faite. C'est également le plus grand de la rédaction, déjà parce que les jupitériens sont les plus grands du système solaire et même si quasi tout le monde prend une taille à peu près moyenne (comment ? Selon la bonne vieille réponse simple "TG c'est de la SFF"), il reste quand assez grand pour prendre Su dans ses bras et le porter sans souci. Il fait un peu peur quand il s'énerve car il croit qu'on a mis les gens de la rédac' en danger mais, il est très gentil et protecteur, et si c'est un accident, il se calme tout de suite.
Enfin, Valé, ça va aller plus vite vu que vous la connaissez déjà. Pour elle, je m'étais demandé comment les martiens vivaient le fait d'être les voisins directs de la Terre, et leur objet d'intérêt prioritaire pour l'exploration spatial. Pour les vénusiens, la question se pose pas trop tellement leur environnement est hostile, ils savent qu'on viendra surement jamais les déranger sous leurs nuages toxiques et leur pression énorme (même si ça a dû être un évènement quand Vénéra 9 a réussi à tenir quelques secondes chez eux qui a dû les faire bien stresser à l'idée qu'on soit un jour capable de survivre chez eux) mais Mars, y a un peu trop de monde qui pense que ce serait une bonne idée de défoncer une autre planète après avoir défoncer la Terre. Je suis d'accord que ce serait cool qu'on puisse voyager de planète en planète mais, je suis d'avis qu'avant d'aller voir d'autres planètes, il faudrait déjà savoir prendre soin de la notre de base avant de déglinguer les autres. A la base, les martiens avaient une vision plus militariste et anxieuse car juste, ils n'ont pas envie que les humains viennent détruire leur planète et les coloniser vu comment on se comportent entre nous (dans un vieux design de Valé, elle avait même une veste militaire et était armé d'une épée, tout en étant plus responsable de la sécurité) mais, avec le temps, je trouvais ça beaucoup plus drôle que les martiens soient en fait complètement chill face à l'idée que les humains viennent chez eux et qu'à force, ils se soient tellement habitués à avoir des objets terriens chez eux que maintenant, ils sont totalement cools avec ça et s'en amusent plus qu'autre chose. Alors quand on lui dit qu'on va faire un dôme chez elles avec les humains qui s'adaptent par sélection naturelle en aussi peu de temps qu'il le faut pour le dire... oui, ça va faire rire une bonne partie de la planète pendant quelques jours !
Et petit bonus vu que je l'ai retrouvé y a pas si longtemps que ça, les anciens designs de l'époque du lycée des personnages !




De haut en bas, de gauche à droite : Valé, Su, Rigel et Dunamis
Au mes dieux, ces cous ^^' Je les faisais vraiment très haut et très large à ce moment-là et clairement, je prenais pas mes proportions à et faisais un peine un squelette avant de dessiner ^^' Depuis, j'ai découvert que le pouce droit faisait un très bon mètre pour rester à peu près proportionné ! ça devait être aussi l'époque où je lisais le manga Sailor Moon vu qu'ils ont tous (à part Dunamis qui est plus ancien que les autres avec sa frange séparé en deux). Enfin, pour Valé, on voie bien l'inspiration militaire, Su est plus inspiré d'Hermès avec ses oreilles en forme d'aile pour imiter son pétase, et à ce moment-là, Rigel avait deux lames sur sa tête qui pouvait aller sous ses pieds pour faire des patins à glace car sa planète était déjà glacé. Dunamis avait aussi une queue de cheval mais depuis, Spirit est arrivé alors, il a les cheveux plus court pour ne pas faire doublon avec lui et le distinguer.
#le quotidien de la rédac' stellaire#j'espère que ça vous plait surtout !#je dessine souvent ses BD quand je m'ennuie au boulot alors c'est pas sur un carnet#c'est des feuilles de brouillons pliés en deux alors on voie un peu ce qu'il y a de l'autre côté même si c'est pas très net#j'essaye de le gommer un maximum mais on fait ce qu'on peut#tout comme Su... dioudiou que c'est galère le neutre !#C'est surement une habitude à prendre mais je dois encore le bosser... j'espère juste qu'il n'y a pas trop d'erreur dans les accords#sinon dites le moi avec une source plus fiable ça m'enlèverait une grosse épine du pied#Dommage car je l'aime bien Su il est plein d'énergie et a une forme assez mouvante#en tout cas y a eu du chemin de fait depuis l'époque du lycée !#faudrait que j'essaye de refaire un dessin posté au début de mon blog pour voir l'évolution en deux-trois ans tient... pour essayer...
4 notes
·
View notes
Text
J'ai terminé la nuit dernière de lire Memento Mori de Solédad Cayuela, et c'était sympa. C'est un recueil d'explications à propos des objets et techniques magiques ainsi que la nécromancie. C'était intéressant mais je ne me vois pas pratiquer ce genre de choses. J'ai envie et puis j'ai la flemme parce que je ne suis pas totalement convaincue. Et puis j'ai envie quand même, fin je sais paaaas.
Exemple, le livre débute sur la consécration des objets. Je crois que sans magie, juste par le pouvoir de la persuasion et de la visualisation, c'est possible de donner des intentions aux objets, par exemple un bracelet qui rappellerait que "tu es capable" "ose, fonce", ou "du calme" ou que sais-je. Juste parce qu'en le mettant, on se concentre, on visualise la situation qu'on recherche, on fait le point sur les moyens à mettre en œuvre, sur ce qu'on a déjà essayé et qui n'a pas fonctionné, sur ce qu'il faut changer, et on signe un contrat avec soi-même, et à la vue du bracelet, de l'objet, on se recentre sur ce travail d'introspection et on redevient acteur.ice.
Enfin c'était ma lecture ésotérique de l'année, j'avais mis dans mes objectifs de l'année de faire une recherche sur le plan spirituel et la recherche est toujours d'actualité. Je vais peut-être me diriger un peu sur une sorte d'harmonie à avoir avec la nature. Peut-être dans la lignée de la slow life qu'on a entamée, peut-être en allant marcher plus régulièrement et en notant des observations, peut-être en jardinant avec la Lune comme mon grand père faisait, je ne sais pas encore dans quelle direction ça ira.
La lecture de l'ebook dont je parlais ci-dessus m'a rappelé des événements passés il y a super longtemps. Ma grand-mère paternelle était coupeuse de feu (elle cessait la douleur des brûlures rien qu'en posant les mains) et elle est décédée quand j'avais deux ans. Elle guérissait aussi les verrues, et d'autres choses dont on n'a jamais voulu me parler. J'ai la sensation d'un souvenir très réel où elle me dit qu'un jour elle m'apprendra tout ça. Évidemment elle est décédée avant. J'ai aussi un souvenir plus étrange qui m'est revenu, tout aussi réel alors que celui-là ne peut pas être réel, de moi, adolescente, assise à une table avec ma grand mère décédée depuis des années et mon père décédé depuis peu, papotant avec eux en sachant que la conversation ne durerait pas car ils repartaient juste après. C'est très probablement juste un rêve que j'avais fait à l'époque mais ça m'est revenu en lisant les explications sur la nécromancie.
Bref voilà pour la dernière lecture de l'année, ça clôt le hashtag livres 23 et le billet avec tous les résumés restera épinglé jusqu'au premier livre de 2024 ^^
Ah et rien à voir mais si vous avez un vêtement ou un fauteuil en velours et que ça accroche absolument tous les poils, le truc qui fonctionne le mieux, après une étude approfondie et le test d'une dizaine d'outils, c'est.......
⭐ la brosse raide pour les poils de chats avec des petits pics coudés ⭐ Voilà c'était mon conseil de daronne.


17 notes
·
View notes
Text














Luxe de poche
Petits Objets Précieux au Siècle des Lumières
Musée Cognacq-Jay Paris-Musées
Paris-Musées, Paris 2024, 96 pages, 22x28cm, ISBN 978-2-7596-0579-8
euro 28,00
email if you want to buy [email protected]
L’exposition Luxe de poche au musée Cognacq-Jay présente une collection exceptionnelle de petits objets précieux et sophistiqués, en or, enrichis de pierres dures ou de pierres précieuses, couverts de nacre, de porcelaine ou d’émaux translucides, parfois ornés de miniatures. Les usages de ces objets varient, mais ils ressortent tous des us et coutumes d’un quotidien raffiné, signe de richesse, souvenir intime. Au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitent un véritable engouement en France d’abord puis dans toute l’Europe.
Luxe de poche a pour ambition de renouveler le regard que l’on porte sur ces objets, en adoptant une approche plurielle, qui convoque à la fois l’histoire de l’art et l’histoire de la mode, l’histoire des techniques, l’histoire culturelle et l’anthropologie en faisant résonner ces objets avec d’autres œuvres : des accessoires de mode, mais aussi les vêtements qu’ils viennent compléter, le mobilier où ils sont rangés ou présentés et enfin des tableaux, dessins et gravures où ces objets sont mis en scène. Ce dialogue permet d’envisager ces objets dans le contexte plus large du luxe et de la mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle.
Point de départ de cette nouvelle exposition, la remarquable collection d’Ernest Cognacq est enrichie de prêts importants – d’institutions prestigieuses comme le musée du Louvre, le musée des Arts décoratifs de Paris, le Château de Versailles, le Palais Galliera, les Collections royales anglaises ou le Victoria and Albert Museum à Londres - afin d’offrir une nouvelle lecture de ces accessoires indispensables du luxe.
03/05/24
#luxe de poche#musée Cognacq-Jay#exhibition catalogue#petits objects precieux#histoire mode#fashion books#fashionbooksmilano
8 notes
·
View notes
Text

Letter, or: Objects, that let
Writing Law and Literature
1.
Letter are objects, that form concepts, for example the concept of black letter law. One may say that letters are ressources or reservoirs of concepts. A theory of letters may be object-oriented and focus on those techniques, that form concepts. That is what we try to do with our book on the legal theory and legal history of letters.
We don't refuse to realize, that objets are already conceptualized and that they already formed concepts. The theory may be a theory of concepts, it may itself be part of the history of concepts. We realize, that letter form the term letter in languages, that went through Rome. More than that: we want to use the cirmumstances of that movement and we try to understand it as passing Rome and roaming. Letters pass when they form concepts. The mobility of letters, that form also the concepts of letters shall be a part of the theory. We guess, that this mobility falters, it halts, it runs and tears like drops in a gutter, it channels, cancels and contours concepts.
2.
Letters are objects, that let, therefore they form the concept of Letter in a language, that went through Rome. That language is German and the concepts is that of Charakters, that are pressed and that press. Letter form the term chaire in a language, that went through Rome. That language is french, in it sits a concept of flesh and chairs. Letter is a term, a concept in languages and images, that went through Rome, even in tongues, eyes, sound, noise and hands, in bodies that went through Rome. The letter may be brief, therefore it carries the term Brief in a language, that went through Rome, that language is German. The letter may be charcteristic, therefore it carries the term character in a language, that went through rome, that language is English. The letter may be a carrier, therefore it carries the term carta in a language, that went through Rome, that language is Portuguese.
The letter maybe flesh, therefor it carries the term Mahl in German. The letter maybe a chair, a chart, a paper or a papel. It may be an o, it may be ball, a balloon or a bolic object, therefor it may be symbolic, diabolic or metabolic. We don't understand the materials, the qualities and the forms of letters as a disturbance of the letter, that shall be ignored. We understand the disturbance of the letters, even black or dead letters, as part of their anxious ("enge/ klamme)"), inquite ("unruhig") and gay ("fröhliche"), valuable and beneficial quality. We value something that is round and able to change directions, we value DADA and planets.
3.
Picture: Gil Wolman, still from L'Anticoncept [Anti-Concept], 1951. 35 mm film, 60 min. First screened on 11 Feb 1952 at the cinema club "Avant-Garde 52", where it was projected upon a large white weather balloon (a meteorological object).
2 notes
·
View notes
Text

OM Babaji - by Kriya Yoga artist Stephen Sturgess in London.
'Abide in the Self, your true nature that is God's being.' - Stephen Sturgess.
Lahiri Mahasaya's Initiation from Mahavatar Babaji
"‘Lahiri, are you still feasting on your dream desires for a golden palace?’ My guru’s eyes were twinkling like his own sapphires. ‘Wake! All your earthly thirsts are about to be quenched forever.’ He murmured some mystic words of blessing. ‘My son, arise. Receive your initiation into the kingdom of God through Kriya Yoga.’
"Babaji stretched out his hand; a home (sacrificial) fire appeared, surrounded by fruits and flowers. I received the liberating yogic technique before this flaming altar. "The rites were completed in the early dawn. I felt no need for sleep in my ecstatic state, and wandered around the palace, filled with treasures and priceless objets d’art….
- (Autobiography of A Yogi).
Om Lahiri Mahasaya!
Om Babaji!
****************
OM Babaji - dell'artista Kriya Yoga Stephen Sturgess a Londra.
"Rimani nel Sé, la tua vera natura che è l'essere di Dio. ' - Stephen Sturgess.
Iniziazione di Lahiri Mahasaya da Mahavatar Babaji
"'Lahiri, stai ancora banchettando dei tuoi sogni per un palazzo d'oro? ' Gli occhi del mio guru brillavano come i suoi zaffiri. 'Svegliati! Tutte le tue sete terrene stanno per essere placate per sempre. ’ mormorò alcune parole mistiche di benedizione. 'Figlio mio, alzati. Ricevi la tua iniziazione nel regno di Dio attraverso il Kriya Yoga. ’
"Babaji tense la mano; apparve un fuoco (sacrificale), circondato da frutti e fiori. Ho ricevuto la tecnica yogica liberatoria prima di questo altare fiammeggiante. "I riti furono completati all'alba. Non sentivo il bisogno di dormire nel mio stato estasiato, e vagavo per il palazzo, pieno di tesori e oggetti d'arte inestimabili....
- (Autobiografia di A Yogi).
Oh Lahiri Mahasaya!
Oh, Babaji!
2 notes
·
View notes
Text



Le Niellage, technique d’orfèvrerie qui consiste à appliquer ce qu’on appelle le “Nielle” ou “Niello” (du Latin Nigellus, signifiant “Noirci”). Le Nielle est un sulfure métallique de couleur noire qui est composé de cuivre, d’argent et souvent de plomb ou de borax. Employé comme une matière pour remplir la marqueterie (décor réalisé par un placage fait dans un matériau tel que le bois ou autres). Ainsi, la marqueterie de métal est remplie avec cet alliage fondu, la surface dite “Niellée” est polie pour éliminer le dépassement de métal qui a été ajouté. Il ne faut toutefois pas confondre le Niellage avec les émaux ou le damasquinage.
Parlons maintenant de l’histoire de la technique du Niellage. Inventée par les Égyptiens, elle est reprise par les Romains et se diffuse dans l’Europe à partir de ses derniers. Ce sont par la suite les orfèvres de la Renaissance en Italie et en Allemagne qui reprennent le Niellage comme une technique luxueuse et délicate pour embellir des objets précieux, des objets de cultes ou de la vaisselle d’apparat. La technique restera pratiquée jusqu’à l’apparition de l’Aquatinte au 18e siècle. On peut effectivement lire dans la Revue de Paris de 1835 que la Niellure n’est plus en usage depuis que Benvenuto Cellina tentera de créer de nouveaux objets d’orfèvrerie niellés, mais du fait de la grande complexité du procédé et de son faible taux de réussite lors de leurs productions, ne donnera rien de concluant. Elle nous parle aussi de deux orfèvres du nom de Mention et de Wagner qui remettent au XIXe, l’art de nieller au goût du jour grâce aux procédés russes qu’ils ont appris à réaliser dans l’atelier de l’orfèvre P.W.Beuth. Ce dernier la recette d’un moine du nom de Théophile qu’il explicite dans un article qu’il écrit en 1828, le nom de cet écrit est “Sur le nielle et l’art de le préparer.” Mention et Wagner iront jusqu’à perfectionner et mécaniser le procédé de niellage en 1829 et déposeront ainsi un brevet. La technique, comme on peut le voir, sera perfectionnée sans que son principe n'ait fondamentalement changé. Notamment, la quantité de métaux à utiliser sera perfectionnée pour favoriser une production de chaînes d’objets niellés et ainsi réduire les ratés. Toutefois, malgré ce perfectionnement et les améliorations apportées ne permettent pas au niellage de surpasser le procédé de gravure en taille-douce qui sera plus rentable et préféré de par la simplicité de sa réalisation.
Après ce passage sur l’histoire, nous allons pouvoir parler des différentes œuvres effectuées avec le niellage ou en ayant essayé de faire du niellage. Nous avons par exemple Maso Finiguerra, un nielleur de Florence qui en voulant contrôler son Triomphe et le Couronnement de la Vierge, créant la Taille-Douce. Au XVIIe siècle, la technique n’est plus utilisée que par les pays orientaux avec les Arabesques ou par les Russes avec Veliki Oustioug. Elle ne reprendra de la vigueur qu’avec le Damasquineur André Colomb au XIXe siècle dans une utilisation bien plus commune et à large échelle, notamment sur des objets de la vie courante comme des boîtiers de montre de poche de la fin des années 1800 jusqu’au début des années 1900.
5 notes
·
View notes