#noeud cravate
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Comment faire un noeud de cravate ?
Apprenez facilement comment faire un noeud de cravate avec des conseils et astuces pratiques, pour réaliser 6 noeuds de cravate différents.
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Une façon de faire le noeud de cravate
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saga: Soumission & Domination 326
João
Il attend 2 jours avant de me rappeler. J'aurais même attendu une semaine pour l'avoir. Heureusement sa réponse est positive. L'aide qu'il reçoit de l'association qui l'a tiré de sa favela est tout juste suffisante pour vivre même s'il est très reconnaissant à cette dernière. Et son côté catho le rends pas très à l'aise avec ses " protecteurs " ! Il m'assure qu'il sera plus libre avec ce que je lui propose qu'avec leur bienveillance surannée. Je lui dis qu'il est totalement libre envers moi. Même s'il refuse ma proposition, on restera en contact s'il le veut.
Il me dit que c'est la meilleure offre qu'on ne lui ait jamais faite. Je lui donne l'adresse du labo d'analyse et lui dis de me rappeler dès qu'il aura les résultats. 48 plus tard, il me dit être nickel et m'envoie la photo de la feuille de résultats.
On se revoit rapidement. Il veut savoir quand il commence, et quelles sont les conditions exactes de mon offre.
Dossier João :
Age : 20ans
Taille : 1m78
Poids : 78Kg de muscles sous une peau dorée/cuivrée en permanence (génétique : indien + black + blanc)
Sexe : 22 x 6, frein cassé
Parents : orphelin sorti de sa favela par une organisation caritative française
Pratique sexuelle : gay depuis sa puberté, quasi abstinent depuis son arrivée en France il y a 5 ans.
Sport : Capoeira en club, enseignant des premiers niveaux
Etude : 1ère année de Fac de Science (retard dû à son intégration en France et à la reprise de niveau scolaire)
Même si je connais maintenant son corps, je lui demande de se remettre nu devant moi. Je lui dis que même s'il ne se laisse déjà que peu de poil, je souhaiterais qu'il coupe court ceux qu'il laisse au-dessus de son sexe. Les aisselles, si cela ne le dérange pas de les épiler aussi, il conviendra mieux au standard de ma société. Comme il est OK, nous passons de suite à la salle d'eau du premier où il y a tout pour entretenir les surfaces de mes escorts. Je me charge de tondre à 5mm la touffe de João et épile ses aisselles. Le temps de faire quelques photos et il se rhabille. Je lui fais remarquer que ses vêtements sont trop cheap pour ma clientèle. Il s'excuse mais son budget est assez limité et à part les sous-vêtements qui sont neufs, il s'habille avec des vêtements fournis par l'association. Je comprends mieux sa touche ! Je lui dis qu'il n'y aura aucun problème. Avec ce qu'il va gagner, il va pouvoir se vêtir de neuf et de façon personnelle. Pour le travail, je lui dis que c'est moi qui habille en costume et en smoking avec bien sur les sous-vêtements qui vont bien avec (sa morphologie pas avec les fringues !!), les chemises et les chaussures. Il ouvre de grands yeux, il n'avait pas pensé à ça. Ayant un véritable stock de boxers, shortys et autres trunks de différentes marques, je vais en chercher une douzaine (ES, Addicted, Aussiebum, CK, CR7, 2xi...) et lui dis de choisir. Il connait quelques marques pour les avoir matées sur internet mais n'en avait jamais eu en main. Il se remet à poil et les essaye. J'ai bien choisi, ils lui vont tous, mettant en avant son service trois pièces et son fessier rond. Je prends un sac et les mets tous dedans avant de lui tendre. Il me remercie et vient m'embrasser pour. Comme il n'est pas habitué, je lui dis de passer samedi prochain pour qu'on fasse les boutiques ensemble.
Samedi : En fait PH et Ludovic nous accompagnent. On passe en premier chez mes vendeurs de " vêtements de travail ". On y passe une heure et demi à choisir 2 costumes, pour le smoking c'est plus rapide, il n'y a que la longueur de jambes à épingler. Nous en profitons pour acheter les chemises, cravates et noeuds papillon. Je me laisse tenter par trois nouvelles cravates que j'acquière pour nous même. La carte chauffe et ils me promettent de me livrer tout ça dans la semaine. On file ensuite dans des magasins plus casual et nous y restons 2 heures à " jouer à la poupée ". Quand on termine notre shoping, nous avons les bras chargés de sacs. João a bien essayer de nous freiner mais c'était peine perdue ! Il est habillé pour l'hiver, en jeans de marque comme en polos, pulls et blousons.
En partant, nous passons à la colocation. Nous y trouvons mes deux " Com ". Ils ne s'étonnent pas que je ramène un autre escort. Ils nous font visiter. Ils ont mis de leurs identités dans la déco. João me demande si c'est là que je lui propose de vivre au lieu de sa cité U. Comme je confirme, les deux autres l'accueillent plus chaleureusement. Ils l'abreuvent de tant d'informations sur leur organisation de vie que je mets le holà. Ils lui demandent dans quelle fac il va et, sachant laquelle, ils lui donnent déjà la ligne de bus à prendre pour y aller. En attendant qu'il s'y installe définitivement, nous rangeons ses nouvelles affaires dans le placard de sa nouvelle chambre. Puis nous rentrons au Blockhaus. Je compte bien garder João tout le WE.
S'il est prêt coté poil, il ne l'est pas encore pour la relation sexuelle avec mes clients. Comme la nouveauté qu'il introduit dans mon équipe est suffisante pour que sa première fois soit lucrative, je peux le préparer sérieusement coté sodomie. Je ne veux pas qu'on me le casse à sa première prestation !
Il ne sait comment me remercier pour tout ce que je fais pour lui. Il comprend quand je lui dis que c'est juste un investissement. A ce propos, je vais l'inscrire au permis il ne pourra pas toujours se déplacer par des transports en commun. En attendant il utilisera les services des Taxis. Ça passera en charge comme les voitures. La soirée se passe à l'écouter parler de son pays. Même s'il est sorti de sa favela, il y a passé de bons moments, même s'il n'avait qu'un seul vieux short à se mettre sur les fesses.
Ludovic lui demande comment il avait su pour son homosexualité Il nous raconte alors sa prise en charge, lors de la mort de ses parents, par un clan auprès duquel il a appris la Capoeira et l'amour auprès de son chef, un métis de 25 ans. Il l'a protégé des drogues et des tatouages tribaux, de la délinquance armée et de l'exploitation sexuelle dans lesquelles, les gens de son type tombent souvent. Il l'avait même inscrit à l'école du curé. Quand il s'était fait descendre par un clan adverse et que seul survivant du clan, il avait été attrapé par la police, il avait échoué à 100% dans les pattes du curé local. C'est par lui qu'il s'est retrouvé en France. D'origine française contrairement aux autres prêtres souvent portugais, il s'était arrangé avec cette association pour trouver une place en France. Tant mieux pour moi !
Ludovic, toujours curieux, lui demande comment il arrivait à maitriser ses pulsions depuis son arrivée. João est en confiance. Il nous explique que beaucoup de branlettes et quelques pipes quand dernièrement il osait aller dans les lieux de dragues. Mais que c'était quand même un peu la misère sexuelle. Il regrettait souvent sa vie avec son chef de gang. Gentiment il ajoute " un peu moins depuis que je vous connais ". C'est gentil !
Samir a cherché sur internet des recettes de là-bas et nous sert ce soir-là un premier essai. João est touché par l'intention même si le résultat n'est pas à la hauteur de ce que notre cuisinier espérait. C'est pas mauvais mais pas fantastique non plus. João lui donne quelques conseil et lui dit que la prochaine fois, il cuisinera avec lui.
Nous passons la soirée tous les 4. Pas de film sur la télé ni de cinéma. Nous passons 4 heures à faire l'amour et à le baiser. Il kiffe trop ça et nous aussi. Sa peau est douce et ses lèvres appellent le baiser. Elles sont aussi très " chaudes " quand une bite les écarte ! Sa rondelle est pareille quand on s'enfonce dedans. Il apprécie de plus en plus la sodo. Faut dire que nous nous y mettons tous les trois pour lui rappeler combien c'est bon. Il nous a pris tous les trois bien longuement avant de jouir. Sa résistance augmente et il reprend confiance en lui. Ses 22 sont aussi très agréables à prendre dans le cul et Ludo comme PH sont d'accord avec moi. Il a une façon de bouger en vous très excitante, son roulé de hanche !! Et si on ne se concentre pas un peu, il vous ferait jouir en 10/15mn !
Nous avons juste le temps de nouer les kpotes avant de nous écrouler de fatigue. Le réveil est poisseux ! Bousculades pour nous doucher alors qu'il y a la place pour nous 4 sans problème. C'est seulement avec une serviette autour des reins que nous montons prendre le petit déjeuner. Jona nous rejoint vers 10h30 pour établir le programme sportif de João et voir avec lui comment intégrer des cours de Capoeira.
Je les présentes. João sent très vite à qui il a à faire. Alors que je n'ai rien dit concernant les activités particulières de mon coach sportif, João a pris sa mesure et son comportement change imperceptiblement. Quand Jona lui demande une démonstration de Capoeira version " survie ", João se lâche et il est heureux que Jona se soit encore amélioré cet été. Les coups pleuvent et Jona encaisse, parant et reculant quand il n'avait pas le choix. C'est autre chose que les passes que j'ai pu voir au club. Là-bas, elles ressemblaient plus à une chorégraphie qu'à un combat. Jona demande un temps mort. João se redresse en sueur. Il s'excuse d'avoir été pris par le " jeu " mais c'était la première fois qu'il pratiquait façon " favela " depuis qu'il avait quitté Rio. Jona écarte les excuses qui n'avaient pas lieu d'être et commence à discuter technique. João peine parfois un peu avec les termes techniques mais ils finissent par bien communiquer tous les deux. On les laisse et entamons nous aussi notre décrassage physique. Tout en soulevant des poids, je laisse trainer mon oreille de leur côté. Jona est déjà en train d'intégrer la Capoeira. C'est d'autant plus facile qu'il retrouve une bonne part de ce qu'ils ont appris l'été dernier. Et quand il me demande comme partenaire pour une démo devant João, ce dernier confirme. Il retrouve certaines parties propres à son sport de combat. Il capte vite ce que les autres techniques apportent en efficacité et dangerosité. En riant il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous embêter quand on nous croise en groupe ou même tout seul ! Sans entrer dans les détails, Ludovic confirme que nous réglons nos problème nous-même. C'est plus rapide et plus économique pour la société, pas d'enquête ni de procès à rallonge. João se tourne vers moi pour avoir confirmation. Je lui dis qu'il n'est pas tombé dans un nouveau gang. C'est juste que quand ce n'est pas nécessaire de faire participer la police c'est mieux. Et que c'est vrai, ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on se laisse marcher sur les pieds.
Il me dit que ça lui va aussi. Par contre son visa temporaire l'oblige a plus ce circonspection. Je le comprends bien.
Je me promets de voir avec l'organisation qui l'a fait venir si on peut trouver une solution plus permanente.
La séance de sport nous laisse ne sueur. Je sonne la fin et nous passons sous les douches avant d'aller tremper dans la piscine de cet étage. L'eau y est plus chaude que dans les autres car elle ne nous sert plus que comme énorme jacuzzi depuis que la piscine de la serre a été construite. Les bras sur les rebords, nous nous détendons. J'entends João dire que c'est le paradis. Quand même pas, mais pas loin peut être !!
François nous rejoint pour déjeuner. De retour d'un contrat, il arrive direct et porte encore son smoking de la veille. Il monte nous dire bonjour avant de descendre au premier se changer. Comme Jona l'accompagne, je leur dit de ne pas prendre trop de temps quand même, sinon le repas serait froid. Ils auront été brefs et nous reviennent après 20mn seulement.
Pendent le repas, François nous parle de sa prestation. João l'écoute, concentré sur ce qu'il dit. Je lui demande s'il avait eu une gratification supplémentaire. Il sort alors une enveloppe de sa poche et la fait passer à Jona qui s'interrompt de manger pour compter les billets. Quand il annonce 1000, João s'écrie " en plus du salaire ? ". François lui répond en riant que bien sûr c'est en plus. Et qu'il ne s'inquiète pas. Lui, avec sa tête, s'il n'était même que moitié aussi bon qu'eux autres, il est sûr de s'en faire autant. Sans compter le bonus de sa première prestation.
Comme je ne lui en avais pas encore parlé, je précise ce que François entendait par là. Il hallucine quand j'avance un montant probable et que je lui dis que c'est net pour lui.
Ludovic appelle sa mère pendant le café. Il voulait savoir si elle ne connaissait pas quelqu'un dans l'association caritative, après tout elle passe une bonne partie de son temps dans ce genre d'occupation elle aussi. C'est tout content qu'il nous annonce que non seulement elle en connait le président mais qu'en plus elle en fait partie. Avant qu'il coupe, je lui demande de me prendre un rendez-vous avec elle. Je n'ai que 2 ans de plus que lui mais je me sens une âme de grand frère avec lui. (Et oui, même si nous baisons ensemble de temps en temps. C'est pas moi qui aie inventé l'inceste mais ça existe !).
La fin d'après-midi est étrangement non sexuelle, juste reposante pour bien démarrer la semaine.
Durant cette semaine-là, João informe l'association de son changement d'adresse. Et intègre la colocation. Il est très content de revivre en communauté. C'est là chose qui lui manquait le plus de sa vie d'avant. Jamais il n'avait été aussi seul que depuis son arrivée en France. Au Brésil, il était le 5ème de sa famille et après, il n'y avait jamais moins de 10 personnes autour de lui et du chef.
Les deux autres sont contents aussi, il leur a déjà cuisiné un plats de chez lui qu'ils ont trouvé trop bon. Ils se chargent aussi de corriger ses fautes de français mais pas son accent chantant. Le déménagement de sa chambre a été rapide, deux valises plus ses livres de cours ! La 300C a suffit et en un seul voyage !
J'accompagne Ludovic un soir pour voir sa mère. Elle m'explique en quoi consiste l'association qui s'est chargée de faire venir João. Ludovic lui explique que je lui ai trouvé un petit travail et qu'il va bientôt être indépendant financièrement. Elle s'étonne et nous dit qu'il doit quand même poursuivre ses études jusqu'au bout. Là-dessus je m'y engage. D'un autre côté cela va dégager des fonds pour un autre cas.
Elle me dit qu'elle en fera part à la secrétaire et que João n'aura qu'à passer leur signifier sa nouvelle adresse, pour qu'ils puissent continuer à le suivre. Je laisse glisser. Il sera toujours temps pour João de couper les ponts plus tard. Quand nous allons pour partir, Enguerrand dévale l'escalier pour nous saluer. Il me tombe dans les bras et me fait un gros bisou. Sa mère l'excuse et me dis que depuis trois semaines, elle ne le reconnaît plus ou plutôt elle retrouve son enfant qui a enfin terminé sa crise d'adolescence. Comme il est encore contre moi, je passe ma main dans ses cheveux et les ébouriffe en ironisant "hé bien mon petit, on s'est finalement calmé ". Il éclate de rire et passe dans les bras de son frère. Le jeudi soir, je suis avec João dans mon bureau. Il m'a pressé pour que je le fasse travailler. Il me dit qu'il vit à mes crochets et que ça le gène. J'ai beau lui dire de ne pas s'inquiéter, il m'a tanné jusqu'à ce que j'accepte. Il voit sa fiche pour la première fois. Il trouve les photos bien faite et me demande en rigolant qui est le mec dessus. La fiche est envoyée à mes clients. Les retours sont rapides, je les avais prévenus qu'un nouvel escort atypique venait d'intégrer ma boite. Même si le rendez-vous est pour dans 2 semaines (le temps de finir de préparer mon João), les offres se bousculent. Son physique brésilien affole le réseau ! Comme d'habitude, un ralentissement se produit après une demi-heure. La relance est facile, j'ajoute deux nouvelles photos où il apparait nu de face comme de dos. Nouvelle demi-heure de folie. A mes côtés João est scié par le montant qui ne cesse de croitre au bas de l'écran. Quand les chiffres s'arrêtent de bouger, ils ont atteint la plus belle enchère de puceau jamais réalisée. Par contre le client est dans la partie haute du classement en taille de bite. Je devrais le préparer pour un calibre 25x6,5.
Je sors la fiche client et la donne à João. Il la lit et s'aperçois du boa qu'il va devoir apprivoiser. Lui est un brésilien des favela pas de la forêt amazonienne et les boas c'est pas son truc, même s'il m'avoue qu'il ressemble assez à celui de son " mentor " en blanc puis il ajoute en plus gros quand même.
Je le rassure et lui dis qu'il n'y a rien qu'une bonne préparation ne peut arranger. Quand nous remontons et que PH apprend le nom du gagnant, il dit à João qu'il aurait pu tomber pire. Mais qu'il doit quand même bien se préparer.
Pendant les 15 jours qui vont suivre, il viendra 6 fois pour qu'on le mette à niveau. Là ce sera passage au sous-sol et il fera connaissance avec le donjon et sa collection de gode. Lavements plus graissage en quantité, plus poppers qu'il ne connaissait pas et sodos plus godes, il est rapidement au point où il s'en sortira sans difficultés le jour du rendez-vous. J'en profite aussi pour lui faire ouvrir un compte à la banque d'André et lui obtient une Visa en créditant le compte d'une avance sur honoraires.
Pour le rassurer, je l'emmène et l'attend. Il se débrouille comme un pro. Ses pipes sont convaincantes et sa rondelle élargie juste ce qu'il fallait pour que le client soit quand même serré dedans. La performance lui vaudra comme souvent un bonus intéressant. Quand je lui remets les billets dans les mains, il me les rend et me dit que ça couvrira une partie de ce qu'il me doit. J'éclate de rire et me dit que ça c'est déjà fait avec mon pourcentage. C'est donc tout pour lui. Il n'en revient pas. Nous repassons par le Blockhaus. Tout fier il dit à PH combien le mec lui a donnée en plus. PH sourit et lui dit que c'est uniquement parce qu'il a été très bon. João se tourne alors vers moi et me roule une pelle de remerciement. Puis il s'écarte violemment et s'excuse auprès de PH. Eclats de rire de ce dernier qui lui dit qu'il n'y a pas de malaise, il sait bien que mes escorts m'aiment tous un peu.
Les 3 semaines en immersion presque totale avec João nous ont fait l'apprécier encore plus. Sa simplicité toute brésilienne, la chaleur qu'il met dans ses rapports humains (et oui pas que sexuels), réchauffe le blockhaus plus sûrement que le chauffage au sol. Son accent ensoleille la maison et lui-même semble heureux de sa nouvelle situation. Je crois qu'il retrouve un peu de cette ambiance de groupe masculin dans lequel il a passé sa jeunesse. Il se sent aussi protégé du monde extérieur par notre présence et sait qu'il peut compter sur des amis qui le comprennent vraiment. Pas juste des gens pleins de compassion pour son état d'orphelin de favela. Il a passé 5 ans sous ce régime de " protégé de l'église " et ça lui pesait beaucoup, même s'il leur en était reconnaissant.
Il s'épanoui avec nous comme il ne le pourrait pas avec eux. Même le dirigeant du club où il officie n'avait pu percer sa carapace comme nous, nous avons pu le faire. Méfiant et un peu timide, il n'avait jamais osé se confier avant nous.
C'est un honneur qu'il nous fait et il ne m'en est que plus cher à mon coeur.
Jardinier
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la vidéo de macron qui refait le noeud de cravate de teddy riner........i know a [redacted] when i see one
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"Du chapeau à la chaussure, de la ceinture-chaîne au camélia, des noeuds-cravates aux sacs, (Chanel) a transformé l'accessoire, fait du futile l'indispensable." - Karl Lagerfeld
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Rehaussez votre style avec un mouchoir en lin et un nœud papillon terracotta
Les accessoires définissent souvent le style d'un gentleman, ajoutant une touche de sophistication et de personnalité à n'importe quelle tenue. Parmi ceux-ci, le mouchoir en lin et le nœud papillon terracotta se distinguent par leur attrait intemporel et leur polyvalence. Que vous assistiez à un événement formel ou cherchiez à améliorer votre tenue quotidienne, ces accessoires offrent un mélange parfait d'élégance et de panache.
Le mouchoir en lin classique : une touche de raffinement Imaginez un costume finement taillé, complété par un mouchoir en lin méticuleusement plié qui dépasse de la poche de poitrine. Ce petit détail, mais significatif, est un symbole de la mode masculine depuis des siècles. Le lin, connu pour sa respirabilité et sa texture luxueuse, en fait un choix idéal pour les mouchoirs. Il complète sans effort divers tissus et couleurs de costume, Noeud Papillon Classique ajoutant un contraste subtil ou une teinte complémentaire à votre tenue.
La beauté d'un mouchoir en lin réside dans sa simplicité et sa polyvalence. Qu'il soit soigneusement plié dans un pli présidentiel classique ou qu'il sorte décontractément de la poche, il dégage une sophistication. Sa capacité à passer sans problème des affaires formelles aux rassemblements semi-décontractés en fait un accessoire indispensable dans la garde-robe de chaque gentleman. Urbavana propose une large gamme de mouchoirs en lin dans diverses couleurs et motifs, garantissant qu'il y a quelque chose pour chaque style et occasion.
Nœud papillon terracotta : infusion de chaleur et de style Passant de l'élégance subtile du mouchoir à une pièce déclarative comme le nœud papillon terracotta, on peut immédiatement apprécier son attrait audacieux mais de bon goût. Terracotta, avec ses tons rougeâtres et terreux, ajoute de la chaleur et de la profondeur à n'importe quelle tenue. Un nœud papillon terracotta peut transformer un costume standard en un ensemble distinctif, parfait pour les mariages, les cocktails ou tout événement où vous souhaitez faire une impression stylée.
Fabriqué à partir de matériaux de haute qualité et disponible dans une gamme de nuances, des teintes sourdes aux couleurs riches, un nœud papillon terracotta d'Urbavana devient non seulement un accessoire mais un point focal de votre tenue. Sa polyvalence lui permet de compléter à la fois les styles classiques et contemporains, en faisant un ajout polyvalent à votre collection d'accessoires.
Perfection d'association : lin et terracotta en harmonie Associer un mouchoir en lin à un nœud papillon terracotta crée un équilibre harmonieux de textures et de couleurs. Le tissage subtil du lin contraste magnifiquement avec la finition lisse et satinée d'un nœud papillon en soie. Que vous optiez pour un ensemble assorti ou que vous mélangiez différents motifs et textures, Cravate Vert Sauge Pour Homme cette combinaison rehausse votre look global avec une élégance sans effort.
Pour une occasion formelle, associez un mouchoir en lin blanc croustillant à un nœud papillon terracotta profond pour ajouter une touche de sophistication à votre smoking ou costume. Alternativement, pour un événement plus décontracté, un mouchoir en lin à motifs dans des nuances de bleu ou de gris peut s'harmoniser parfaitement avec un nœud papillon terracotta uni, créant un ensemble poli mais accessible.
Conclusion : En conclusion, le mouchoir en lin et le nœud papillon terracotta sont des accessoires essentiels qui élèvent la garde-robe de tout gentleman. Leur attrait intemporel, leur polyvalence et leur capacité à améliorer à la fois les tenues formelles et décontractées les rendent indispensables. Que vous cherchiez à faire une déclaration lors d'un événement spécial ou simplement à ajouter une touche d'élégance à votre tenue quotidienne, Urbavana offre une sélection organisée de ces accessoires qui all
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Quand je me suiciderais, j'aimerais faire ça dans les règles de l'art. Avec une vraie corde et un noeud coulant bien fait. J'y paierais en liquide pour que sur mon compte bancaire on ne le remarque pas. J'ai trouvé des potentiels cordes (truc du jardin, cordes à sauter etc..) mais c'est juste pour m'entraîner, je ne sais même pas ce qui m'empêche de le faire, j'ai la capacité d'y faire tout les soirs. Même si c'est juste m'attacher avec une cravate, cordes à sauter, ceinture je ne sais pas ce qui m'en empêche.
Je suis prête à abandonné mes proches, absolument tout le monde car je ne vois plus ce liens qui nous unis. J'ai sûrement perdu la foie et ça ne m'étonnerais même pas.
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
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EPISODE 12 : In Between
Alors que tu joues avec le ruban du noeud ornant ta poitrine, Intak secoue la tête en venant dans ta direction.
Tu te tiens là, dans l'encadrement de la porte, ton regard fixé sur Intak qui s'approche lentement de toi.
Tu sens l'excitation monter en toi alors que tu joues avec le ruban du nœud ornant ta poitrine, une note de nervosité mêlée à l'anticipation de ce qui va suivre.
Les yeux d'Intak brillent d'une lueur espiègle et pleine de désir alors qu'il se rapproche de toi, son regard captivant le tien, créant une connexion chargée d'une électricité palpable.
Dans cet instant suspendu, le jeu et le désir se mêlent, créant une tension entre vous qui ne demande qu'à être libérée.
Tu pénètres dans la résidence sensuellement, lançant un regard taquin à Intak pour l'inviter à te suivre.
Une aura de mystère et de jeu flotte autour de toi alors que tu t'avances dans le salon, anticipant avec excitation ce qui va se passer ensuite.
Tes gestes sont remplis de grâce et de sensualité, tandis que tu guides Intak vers un endroit plus intime où vous pourrez vous retrouver en toute intimité.
Intak regarde l’îlot de cuisine avant de dire « Tiens tiens, ce meuble me rappelle un bon souvenir, tu veux pas me rafraîchir la mémoire ? » en souriant en coin.
« Tu veux pas te créer de nouveaux souvenirs plutôt ? » tu lui réponds en souriant légèrement, en t’asseyant sur les premières marches des escaliers menant à la mezzanine.
Tu continues « Ça va être difficile de monter les marches avec ces talons » en faisant une petite moue.
Intak sourit fièrement, il s'agenouille devant toi avec un regard empreint de désir, tandis que tu es assise sur les marches de l'escalier.
Le bout de ses doigts effleurent délicatement ta peau nue, glissant de ta cuisse jusqu'à ta cheville, te procurant des frissons agréables. Avec précaution, il défait lentement les lanières de tes escarpins, embrassant tes jambes avec de doux baisers, dévoilant tes pieds délicats.
La tension monte alors que vous partagez cet instant d'intimité et de complicité.
Tu laisses échapper un léger gémissement alors que sa langue parcourt l’intérieur de ta cuisse, remontant vers tes sous-vêtements.
Tu attrapes les cheveux d’Intak et lui tire en arrière.
La langue tirée, il te regarde en souriant alors que tu lui tires les cheveux en arrière.
« Mademoiselle veut être dominante ? » dit-il, toujours en souriant, les yeux ivres d’excitation.
« Nan… attends encore quelques minutes Intak » tu lui réponds en fronçant les sourcils et faisant la moue.
« J’espère que l’attente en vaut la chandelle » dit-il en se reculant et défaisant sa cravate.
Tu montes les escaliers lentement, ta main glissant le long de la rampe d’escaliers.
Tu t’adosses contre le rebord de la rambarde de la mezzanine.
« Cette robe ne va pas s’enlever toute seule Intak » tu lui dis en battant des cils.
Intak se rapproche, te bloque contre la rambarde et te réponds « besoin de mon aide ? » en souriant avant de t’embrasser le cou.
Tes cheveux forment une cascade au dessus du vide, alors qu’Intak lèche ta nuque tout en caressant tes hanches.
Tu gémis et tires à nouveau les cheveux d’Intak.
Il sourit, lève un sourcil et te réponds « ah ouais ? »
Il saisit tes hanches et te retourne contre la rambarde, tu es désormais face au vide alors qu’Intak s’agenouille et lèche l’arrière de tes cuisses en remontant doucement.
Un frisson de plaisir parcourt tout ton corps, se laissant ressentir sur la langue d’Intak.
Tu l’entends rire discrètement, conscient de l’effet qu’il te fait.
Il se relève, mets tes cheveux sur le côté et te dit « Tu crois que tu peux être dominante avec moi ? » dit-il en faisant glisser la fermeture de ta robe doucement.
« Je fais ce que je veux de toi Intak » tu réponds, histoire de le taquiner.
Intak sourit en coin « Si c’est ce que tu crois ».
Il fait glisser ta robe le long de tes jambes, te laissant en sous vêtements.
Il se déshabille également, lançant ses vêtements par dessus la rambarde.
« C’est drôle que tu crois que tu puisses me dominer alors que t’es ma petite salope » dit-il avant de s’agenouiller et de mordre l’une de tes fesses et d’y mettre une fessée.
Tu gémis et te mords les lèvres, tu as exactement ce que tu veux.
« Cependant, t’as pas été sage ces derniers jours … je pense qu’il faut que je t’apprenne avec qui il ne faut pas que tu cherches les ennuis » dit-il, la voix beaucoup plus grave que d’habitude.
Il saisit ton string, qu’il déchire en tirant dessus d’un coup sec.
« Eh doucement Inta-» tu commences avant qu’il n’attrape tes cheveux en tirant fortement dessus.
Il s’approche de ton oreille et te murmure « Tu la fermes, tu fais ce que je te dis, ce soir tu va recevoir la punition que tu mérites ».
Il te retourne, te regarde dans les yeux avant d’appuyer sur tes épaules.
Tu te retrouves à genoux devant Intak, sentant une forte pression sur tes épaules alors qu'il te force à t'agenouiller devant lui.
La situation devient de plus en plus oppressante, et tu sens ton pouls s'accélérer.
Il se branle devant ton visage.
“Ouvre la bouche maintenant” dit-il d’un ton autoritaire.
“Non” tu lui réponds en fronçant les sourcils.
Intak te gifle, attrape ton menton, te relève le visage afin que tu le regardes dans les yeux.
Il rapproche son gland de tes lèvres, te tiens les cheveux en arrière et te dit “Obéis, ouvre la bouche salope”.
Tu ouvres la bouche avant qu’Intak ne mette sa queue dedans.
Tu commences à le sucer alors qu’il resserre ses poings en tirant tes cheveux.
Il utilise soudainement tes cheveux comme leviers, tu t’agrippes à ses cuisses alors qu’il te baise la gorge.
“T’aimes ça hein ? fais toi pardonner en encaissant ma queue au fond de ta gorge de petite pute” dit-il avant de relever la tête et gémir à cause de la sensation de sa queue glissant dans ta gorge.
Tu t’étouffes, bave des filets sur sa queue et des larmes glissent sur tes joues, faisant couler ton mascara.
Intak relâche tes cheveux et essuie tes joues pendant que tu continues de le sucer.
“Bonne fille” dit-il en te laissant gérer la vitesse de succion.
“Hmph… arhh” gémis t’il.
Soudainement, il te tire les cheveux en arrière avant de te soulever.
Il t’attrapes, te soulève et te lances sur le lit rond de la mezzanine avant de se mettre au dessus de toi.
Il attrape sauvagement tes seins avant de prendre une grande inspiration et d’arracher ton soutien gorge.
Il pose ses deux mains sur tes seins, les masses brutalement, les embrasse, les lèches et mordille tes tétons, tout en ayant des mouvements brutals.
« Doucement Intak » tu lui dis en fronçant les sourcils.
Il se relève, attrape son caleçon laissé au sol, reviens vers toi et enfonce son caleçon dans ta bouche.
Il attrape ton menton, de manière à ce que ton regard soit dans le sien et il te répond « Maintenant tu va pouvoir crier, et je vais te donner de bonnes raisons de crier ».
Il t’attache les mains dans le dos avec sa cravate et te remet sur le dos.
Il se glisse entre tes jambes et commence à te lécher le clitoris ainsi que ton entrejambe.
Il s’agrippe à tes cuisses et enfonce sa langue profondément en toi.
Tu gémis, tu l’entends grogner alors que sa langue humide s’enfonce encore plus profondément en toi tout en faisant des mouvements.
Alors que tu mouilles sur le visage d’Intak, il relève la tête, s’essuie le menton et te dit « tu prends un peu trop de plaisir à mon goût », le regard noir.
Tu ressens une vague de peur monter en toi alors que le regard d'Intak devient plus intense et menaçant.
Son expression te glace le sang, et tu sens une angoisse grandissante s'emparer de toi. Tes sens sont en alerte, et tu te demandes ce qui pourrait arriver ensuite.
Il attrape tes chevilles, craches sur ta chatte et enfonce le bout de son gland en toi.
Intak est épais, sans préparation avec ses doigts, tu sens tes parois s’élargir avec du mal.
Tu gémis de douleur alors qu’Intak maintient tes chevilles en l’air et continue de s’enfoncer en toi.
« Ça te fait mal ? » dit-il en faisant une moue moqueuse
Tu hoches la tête en indiquant que non, cette douleur est liée au plaisir, tout ce que fait Intak te fait du bien, même si c’est dans la douleur que ça commence.
« Très bien » dit-il en baissant la tête et enfonçant le reste de sa longueur en toi, tapant dans le fond de ton vagin.
Tu laisse échapper un cri étouffé dans le caleçon d’Intak alors qu’il martèle ta chatte de coups de reins.
« Hmph, Ahh » gémis Intak alors qu’il enfonce sa queue de plus en plus profondément à chaque coup de reins, utilisant ta chatte comme si c’était la dernière fois.
Alors que tu sens sa queue devenir de plus en plus raide, il ressort.
« Je pense que la punition n’est pas assez sévère » dit-il avant de te retourner sur le ventre.
Il te mets à genoux sur le lit, puis enfonce à nouveau sa queue en toi tout en prenant appuie sur ta tête alors qu’il donne des coups de reins contre tes fesses.
Le claquement se fait entendre dans toute la résidence, sa main gauche est en appui sur ta tête, sa main droite se situe en bas de ton dos, te faisant cambrer encore plus, de manière à ce que tes fesses soient en l’air, comme Intak les aime.
Alors qu’il continue de te baiser salement, il retire sa main de ta tête et la place sur le bas de ton ventre et effectue une légère pression.
Il peut sentir sa queue faire des vas et viens en toi.
Il détache tes mains, prends ta main gauche et la plaque sur le bas de ton ventre, tout en gardant sa main sur la tienne.
« Tu la sens ? Tu me sens en toi ? Tu sens comme je te remplis bien ? » dit-il dans un ton grave.
Tu gémis pour répondre, ne pouvant aligner une phrase dans ton état.
« Tu peux faire ce que tu veux, dire ce que tu veux, coucher avec qui tu veux, mais à la fin de la journée tu sais que c’est moi qui te baise le mieux, tu sais que je suis le seul qui sais comment te donner du plaisir » te répond t’il difficilement, sa respiration s’accentuant.
Tu sens l’orgasme arriver, une chaleur que tu connais si bien parcourt ton corps, un noeud se serre dans le bas de ton ventre alors que tes gémissements s’accentuent de plus en plus fort.
« Tu encaisses si bien ma queue » dit-il en caressant ton visage alors que ses coups de reins sont toujours plus agressifs.
La sensation d’Intak te baisant brutalement et tellement bonne que tu laisses échapper quelques larmes sur les draps.
« Ohhhh, tu n’encaisses plus si bien ? » dit-il en donnant des coups de reins plus profonds et plus brutalement.
Tes gémissements se transforment en cris alors que le noeud dans ton ventre se resserre de plus en plus.
Intak gémis de plus en plus fort alors que tes parois se resserrent sur sa queue, indiquant ton orgasme.
Ton orgasme se déclenche, tu pleures à chaude larmes tellement le plaisir est intense alors qu’Intak te donne ses derniers coups de reins.
Intak place sa main sur ton bas ventre, appuie dessus pour que sa queue soit au plus profond de toi, que tu puisses le sentir au plus profond ton vagin.
Il colle son torse à ton dos et éjacule en toi en continuant de donner des coups de reins mais cette fois si, plus doucement, tassant son sperme au fond de toi.
Il t’embrasse le dos en continuant ses vas et viens qui sont maintenant beaucoup plus doux.
Il se retire, te retourne sur le dos et te retire le caleçon de ta bouche.
Il se remets entre tes jambes.
« Qu’est ce que tu fais ? » tu lui demandes, confuse.
Il appuie légèrement sur ton bas ventre, faisant couler son sperme sur le long de ta chatte.
« J’adore voir ça » te répond t’il.
Il revient à ta hauteur, t’embrasse et descends à la salle de bains.
Tu prends quelques instants pour te remettre de ce qu’il vient de se passer.
Tu cherches ton téléphone portable, il a du rester dans ton sac à mains, au rez de chaussée.
Tu t’essuies, attrapes un plaid dans lequel tu t’enveloppe comme une serviette et descends les escaliers difficilement, les jambes encore sensibles.
Tu arrives devant ton sac et le fouille dans l’espoir de trouver ton téléphone.
Tu attrapes ton téléphone, regarde tes messages et va enfiler une petite robe en satin noir dans ta chambre.
Tu entends l’eau de la douche couler, ce qui signifie qu’Intak est bien dans la salle de bain.
Tu retournes dans le salon et prends un thé glacé.
*TOC TOC TOC*
Tu te diriges vers la porte d’entrée.
Mingi se tient là, devant la porte, avec un léger sourire sur les lèvres.
Son regard est doux, mais tu remarques une lueur d'inquiétude dans ses yeux. Il semble un peu surpris de te voir, mais en même temps, il semble content.
Son attitude est détendue, bien qu'un peu nerveuse.
“Je pensais voir Iroha” dit-il levant un sourcil en te voyant derrière la porte.
“Iroha ? pourquoi faire au juste ?” tu lui réponds.
“On devait discuter, mais toi t’es déjà rentrée de la soirée ?” dit-il en analysant ta tenue légère.
“Discuter de quoi au juste ?” tu réponds les sourcils froncés.
Il se rapproche de toi avec un sourire séduisant, ses yeux pétillants d'une lueur malicieuse.
“Fais pas ta jalouse” dit-il.
D'un geste doux mais ferme, il remonte légèrement ta robe en satin noir au-dessus de ta cuisse, révélant un peu plus de peau.
Sa caresse est délicate, mais tu sens un frisson de désir parcourir ton corps alors que ses doigts effleurent ta peau.
“Arrête Mingi” tu lui réponds en remettant ta robe et en reculant.
“Bon laisse moi rentrer non ?” dit-il avec son sourire habituel.
“Je peux pas” tu lui réponds en sachant qu’Intak est sous la douche.
Mingi lève un sourcil, il est dubitatif.
“Je dois aller me coucher” tu lui réponds avant de le pousser hors de la résidence.
“Ah carrément tu me repousses ? t’étais beaucoup plus drôle tout à l’heure” dit-il en te regardant avec un air taquin.
“Tout à l’heure ? C’est à dire ?” dit Intak en arrivant derrière toi.
Intak se glisse silencieusement derrière toi, sa présence soudaine te surprend.
Torse nu, une serviette nouée autour de la taille, il dégage une aura intense et protectrice. Son regard brûlant fixe Mingi avec détermination, prêt à affronter la situation.
Tu ravales ta salive.
“T’as pas de douche dans ta résidence ?” dit Mingi en se moquant d’Intak.
“Si mais la sienne est plus étroite” réponds Intak avec un regard joueur.
Mingi comprend.
Il sourit, regarde le sol et réponds “Oh ça je sais qu’elle est étroite”
Intak resserre les poings en fronçant les sourcils.
“Bonne soirée vous deux” dit Mingi en ricanant et tournant le dos.
Mingi tourne les talons et s'éloigne dans la direction de la résidence Shinsoo, laissant derrière lui une atmosphère chargée de tension.
Intak referme la porte et te fixe avec un regard sombre.
“Il s’est passé quoi tout à l’heure ?” demande-t-il, la main toujours sur la porte.
“J’ai absolument pas à me justifier Intak” tu lui réponds en levant les sourcils.
“La punition n’a pas été assez sévère ?” dit-il en souriant en coin.
Tu lèves les yeux au ciel et lui répond “Je pense qu’il est temps que tu partes Intak”.
“T’as raison, faut que je commence à devoir me préparer pour rencontrer tes parents lors du dîner de noël” dit-il en ricanant et enfilant rapidement les vêtements qu’ils a laissé dans le salon.
“Quoi ?” tu lui réponds interloquée.
“Tu crois quand même pas que t’allais pas présenter ton petit ami à tes parents au repas de noël ?” te répond t’il sur de lui, reboutonnant sa chemise.
“Intak….” tu réponds en soupirant.
Il t’embrasse le front avant de sortir et te dire.
“Dors bien, une fille sage a besoin de beaucoup de repos !” en souriant et filant vers sa résidence.
Il est pas possible.
Tu souris.
Tu va prendre une douche à ton tour.
Une fois sous la douche, l'eau chaude ruisselle sur ta peau, apportant une sensation réconfortante et apaisante.
Le bruit de l'eau qui tombe crée une ambiance relaxante, te permettant de laisser derrière toi les tensions de la journée.
Chaque goutte qui tombe semble emporter un peu du stress et de l'anxiété, te laissant dans un état de calme et de tranquillité.
Tu ressors et aperçoit un petit mot sur ton lit.
“désolé, j’ai jeté le papier que je voulais te donner ce soir, laisse moi te le dire de vive voix le soir du nouvel an.
Intak. ”
Tu souris et te glisse dans tes draps.
Tu regardes sur ton téléphone les storys de la soirée, les tweets …
*TOC TOC TOC*
“Je peux entrer ?” demande Iroha.
“Oh oui, tu tombes à pic” tu lui réponds, prête à savoir pourquoi elle devait “discuter” avec Mingi.
Iroha s'assoit avec grâce, croisant légèrement les jambes, ses cheveux encadrant doucement son visage.
Sa présence apaisante semble envelopper la pièce d'une atmosphère réconfortante, cependant, Mingi vient tâcher le tableau.
“J’ai un truc à te dire mais stp t’énerves pas” te dit elle en te regardant avec un air de chien battu.
Tu soupires.
“PROMETS LE” dit-elle.
“Je le promets” tu réponds en levant les yeux au ciel.
Iroha jette ses cheveux en arrière et s’apprête à te parler quand soudain.
“OH PUTAIN CACHE TOI” hurle Jang en se tenant à ton encadrement de porte.
“hein ? qu’est ce qui se passe encore ?” tu réponds dans l’incompréhension.
Iroha aussi est perdue.
Jang essoufflée, venant probablement de courir en talons aiguilles depuis la résidence ShinSoo, reprends difficilement son souffle avant de te répondre “NING ET KAZUHA ONT VU TES PHOTOS DE FUCKSGIVING CACHE TOI ELLES ARRI-”
“JANG ?! JE T’AI VU COURIR COMME UNE CINGLÉE DANS LE CAMPUS JE SAIS QUE T’ES LÀ” hurle Kazuha.
“Bordel” dit Jang en vous enfermant toutes les trois dans ta chambre.
“Tranquille non ? Les photos étaient hot mais soft non ?” demande Iroha.
Vous regardez toutes les deux Iroha d’un air révélateur.
“Oh…” dit-elle en regardant le sol.
Jang mets son doigt sur les lèvres d’Iroha en faisant les gros yeux, lui faisant comprendre de se taire.
Elle se déplace lentement et éteins ta lumière.
“JANG ? POURQUOI T’ES VENUE ICI EN COURANT ?” demande Ning.
“oh seigneur” réponds Jang.
La tension est palpable alors que les bruits de pas se rapprochent de ta porte, vous vous efforcez de retenir votre respiration, redoutant d'être découvertes.
Chaque bruit semble amplifié dans le silence pesant de la pièce, faisant battre votre cœur plus fort. Vous échangez des regards inquiets, sachant que la moindre erreur pourrait compromettre votre position délicate.
(i suck big dicks like everynight♪)
“MERDE MERDE MERDE” chuchote Jang en essayant de trouver son téléphone dans son sac à main, en train de sonner.
(i suck big dicks like everynight♪)
*BIP*
Jang vient de couper son téléphone.
Vous n’entendez plus les bruits de pas.
Vous n’osez plus respirer
Soudainement, Kazuha commence à frapper violemment la porte, faisant sursauter tout le monde dans la pièce.
Les coups résonnent dans la chambre, créant une atmosphère encore plus tendue.
Vous échangez des regards alarmés, réalisant que la situation pourrait devenir incontrôlable à tout moment.
“JANG JE TE JURE QUE SI TU OUVRES PAS CETTE PORTE JE TE FAIS BOUFFER TON MANTEAU EN CHINCHILLA” hurle Kazuha derrière la porte.
*clic clic*
“Euh…. qu’est ce que tu fais Jang ?” demande Iroha d’une petite voix.
“Je prépare de quoi me défendre” dit Jang en chargeant son pistolet de poing.
“Je pense pas que ce soit nécessaire d’en arriver jusque là Jang” tu lui dis en la regardant avec de gros yeux.
Dans un bruit assourdissant, Kazuha continue de frapper la porte avec force, ignorant les cris d'Iroha qui deviennent de plus en plus désespérés.
La tension dans la pièce devient palpable alors que chacun réalise l'urgence de la situation.
La porte cède finalement sous les coups incessants de Kazuha, s'abattant avec un bruit sourd.
Une tension électrique parcourt la pièce alors que Kazuha se tient dans l'encadrement de la porte, figée face à Jang qui la vise avec son pistolet.
Le silence est si pesant qu'on pourrait presque entendre les battements de cœur de chacun, tandis que les regards se croisent dans une atmosphère chargée d'incertitude et de peur.
Un silence lourd et angoissant envahit la pièce alors que tous retiennent leur souffle, réalisant l'ampleur de ce qui vient de se passer.
Ning débarque en courant à côté de Kazuha et s’arrête net immédiatement.
“Lâche ça” dit Kazuha dans un regard noir.
“Recule” répond Jang en s’avançant vers elle, toujours en la pointant avec le gun.
En un court instant, Mingi désarma Jang d'un geste précis et rapide, interrompant ainsi le face-à-face tendu entre Kazuha et elle.
Le fusil tomba lourdement au sol, produisant un bruit sourd dans le silence qui s'était installé, tandis que Jang se met à hurler.
“SALE ENCULÉ T’AS DU ME PETER DEUX ONGLES EN VOULANT FAIRE LE POWER RANGERS DE MERDEEEEEE” continue de crier Jang en se tenant la main et constatant son ongle au sol.
“Tu tombes à pic” dit Ning à Mingi en croisant les bras.
Alors que Jang est à genoux en train de pleurer, Kazuha se jeta sur toi avec une violence inouïe, te projetant hors du lit et t'assénant des coups brutaux, sans pitié ni retenue.
“SALE PUTE, T’ES LA PIRE SALOPE QUE J’AI PU CONNAÎTRE” hurle Kazuha en te griffant les bras avec lesquels tu essaies désespérément de cacher ton visage.
Iroha, dans un élan de courage, bondit sur le dos de Kazuha et lui attrape les cheveux, tentant désespérément de la tirer en arrière pour te libérer de son emprise brutale.
“LÂCHE LA” hurle Iroha en tirant les cheveux de Kazuha.
Mingi, agissant avec force, attrape violemment Iroha et la projette sur le lit, interrompant ainsi son intervention pour te libérer de Kazuha.
Jang se précipite sur Iroha pour la retenir de tomber du lit.
Mingi saisit également les mains de Kazuha pour la retenir contre lui, mettant fin à sa tentative d'agression.
“Calmez vous, vous êtes complètements folles les filles” hurle t’il, les sourcils froncés, retenant difficilement Kazuha.
“TOUT ÇA POUR UN FILET DE BAVE EN PLUS” crie Iroha sur le lit.
Ning, Jang, Mingi, Kazuha et toi regardez tous Iroha.
“Elle a pas tort” répond Jang.
*ptui* Kazuha crache sur Jang.
Jang se rue sur son pistolet, colle le gun sur son front et lui dit d’une voix calme “T’es allée trop loin cette fois”.
“Il est même pas chargé” réponds Kazuha en levant les sourcils.
“Pose ca Jan-“ commence Mingi avant de se faire interrompre par le bruit du coup de feu.
Jang a tiré en l’air pour prouver que le gun était chargé.
“ET LÀ TU CROIS QU’IL EST VIDE SALE PUTE ?” réponds Jang.
“Jang stop” tu lui dis.
“CETTE PUTE VIENT DE ME CRACHER DESSUS, ELLE MÉRITE QUE JE LUI PETE LES GENOUX” hurle Jang, le pistolet toujours sur le front de Kazuha.
San débarque en courant dans la chambre.
“MAIS ÇA VA PAS” hurle t’il.
San s'approcha de Jang avec une assurance qui trahissait son expérience.
“Jang calme toi”
Ses gestes étaient fluides, précis, et exécutés avec une grâce déconcertante. Il désarma Jang d'un mouvement rapide et calculé, révélant ainsi sa maîtrise des techniques de combat.
Le pistolet tombe au sol encore une fois.
Son regard impassible et déterminé reflétait une confiance absolue en ses capacités, renforçant l'impression qu'il était un homme dont il ne fallait pas sous-estimer la dangerosité due à son passé.
“San, n’interviens pas quand je te le demande pas” réponds Jang en fronçant les sourcils.
“Ferme ta gueule Jang arrête de faire la gamine pourrie gâtée pendant 5 minutes” réponds San d’un ton autoritaire.
Vous regardez tous San.
Jang est bouche bée.
Jang se met à pointer du doigt le torse de san en tapant dessus “Tu crois que tu peux me dire quoi faire ? Le gentil petit toutou se rebelle ?” dit-elle avec un air hautain, les sourcils froncés.
San attrape fermement le poignet de Jang, exerçant une pression qui exprimait sa frustration et son autorité.
Jang gémit de douleur.
Le regard de San est dur et perçant, transmettant un avertissement clair à Jang.
"Dernière fois que tu te fous de ma gueule, Jang," déclare-t-il d'une voix grave, laissant entendre les conséquences sérieuses qui pourraient découler de toute récidive de son comportement.
“Tu maltraites une fille, t’as pas de couilles, je comprends pourquoi tes parents ont préférés un homme plus puissant pour te remplacer” répond Jang en challengeant San du regard.
“oh non” murmures Mingi, sachant qu’elle a dépassé les limites.
San, soudainement pris d'une rage incontrôlable, projeta Jang violemment contre la porte de la salle de bain.
Son geste était empreint de colère et de force brute, exprimant son autorité de manière brutale et impitoyable.
Jang, désarmée et désorientée, se retrouva étourdie contre la porte, réalisant la puissance et la menace que représentait réellement San.
Iroha se lève du lit pour aller voir si Jang va bien avant que San ne l’attrape et la renvoie sur le lit.
“Quelqu’un d’autre se sent d’ouvrir sa gueule ?” demande San en regardant chacun d’entre vous avec un regard noir.
Personne ne répond.
“Cette pute à couché avec Mingi” répond Kazuha en te regardant avec un regard agressif.
San serre la mâchoire.
“On a pas couché ensemble elle m’a juste sucé” répond Mingi sous la pression.
Iroha porte la main sur sa bouche afin d’attester de son choc.
Ning s’assoit.
Kazuha se retourne sur Mingi en hurlant “QUOI ?!”
“C’EST PAS VRAI” tu hurles à ton tour.
“Bien sûr que c’est vrai” dit Mingi en fronçant les sourcils.
“T’AVAIS UN MASQUE ÇA COMPTE PAS JE SAVAIS PAS QUE C’ÉTAIT TOI” tu réponds.
“seigneur” répond Jang en se tenant le front suite à son choc contre la porte.
San attrape le pistolet au sol et le range dans sa ceinture.
“SALE PUTE JE TE JURE QUE JE VAIS T’ETRIPER” hurle Kazuha en se débattant des bras de Mingi.
“Tu va étriper personne” répond San calmement.
Il continue “Si ton frère arrive pas à te tenir, je vais m’occuper de ton cas et je te promets que tu pourras plus bouger” répond t’il calmement en la fixant.
“San tu me fais peur” dit Iroha alors qu’elle est en train de pleurer.
San regarde Iroha, son regard est sombre, il n’exprime rien.
“Maintenant vous allez tous vous coucher, je reste dans le salon, si j’entends qui que ce soit se battre, je m’en occuperai personnellement” dit San d’un ton autoritaire.
Ning quitte la chambre et va s’enfermer dans la sienne.
Mingi lâche Kazuha.
Kazuha soupire et va dans sa chambre à son tour.
Mingi passe à la hauteur de San alors que San l’arrête en lui faisant signe “Apprends toi à te contrôler toi aussi”
“Je fais ce que je veux, tu peux dire ce que tu veux à Jang mais pas à moi San” rétorque Mingi en fronçant les sourcils.
San ne répond pas, Mingi sort de la pièce.
“T’as pas de chambre toi ?” dit San en regardant Iroha sur ton lit.
“Je veux pas dormir toute seule ce soir” réponds Iroha en pleurant.
San s’approche d’Iroha, encore tremblante.
“Je te ferais pas de mal Iroha, excuse moi de t’avoir brutalisé mais il fallait que je calme la situation” répond San.
Iroha ne le regarde pas et évite tout regard ou contact avec lui.
San te regarde mais ne dit rien.
Il s’approche de Jang, la porte dans ses bras et sort de la pièce.
“Hésite pas si t’as besoin” te dit San avant de sortir de ta chambre.
Tu lui réponds “merci san”
San ferme la porte.
Iroha retire sa robe et se glisse sous tes draps.
Tu te relèves et va désinfecter les griffures de Kazuha.
Tu sors de ta chambre et va chercher une bouteille d’eau dans la cuisine.
Tu aperçois San debout dans le salon, regardant par la baie vitrée.
Jang est endormie sur le sofa, avec coussins, plaids, un thé sur la table basse et une bouillotte.
Tu t’approches doucement de Jang.
“Elle va bien t’en fais pas” te dit San alors qu’il se retourne.
Tu te rapproches de San et lui dit “Je cautionne absolument pas ce que Jang t’as dit, cependant t’étais pas obligé de lui faire autant de mal”.
San lève les sourcils et croise les bras avant de te répondre “Si je n’étais pas intervenu, on aurait potentiellement un mort ce soir, ou au moins des blessés”
“T’as raison” tu lui réponds en regardant Jang dormir paisiblement sur le canapé.
“Passes une bonne nuit” te dit San.
Tu attrapes la bouteille d’eau et réponds “Toi aussi San”.
En retournant à ta chambre, tu repensa à la manière donc San a agit ce soir.
Le regard déterminé de San a révélé une facette de sa personnalité que vous n'aviez jamais vraiment vue auparavant.
Son comportement impitoyable et autoritaire laissait transparaître une menace latente, renforçant l'image du sang mafieux qui coulait en lui. C'était une révélation perturbante, révélant une dimension sombre et dangereuse de son caractère jusque-là dissimulée.
Tu entres dans ta chambre et aperçoit Iroha dormir paisiblement dans ton lit également.
Tu te glisses sous tes draps, laissant la douce chaleur de ton lit t'envahir peu à peu.
Les événements tumultueux de la soirée s'estompent lentement dans ton esprit alors que le sommeil t'envahit paisiblement, t'offrant un répit bienvenu après cette nuit agitée.
Tes paupières se font lourdes et tu te laisses emporter par le doux bercement de l'oubli, laissant derrière toi les tourments de la journée pour te préparer aux festivités de noël qui arrivent.
FIN DE L’ÉPISODE 12.
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10 janvier
“Savais-tu qu’untel était…” A-t-on idée de participer aux commérages ? Pour notre plus grand malheur, nous avons eu la mauvaise idée de nous pencher un instant sur l'actualité. Si l’on ignore le fait qu'elle ne soit pas des plus rassurante - et ce serait là faire preuve de beaucoup d’ignorance -, force est de constater qu’en plus de son bagage de pessimisme, elle traîne avec elle son lot de médisance. N’est-ce pas une chose étrange que de laisser à n’importe qui le droit de parole ? Après tout, on ne nous laisse pas nous exprimer sur la bêtise, puisque c’est quelque chose que l’on ne connaît guère ; à ce titre, est-ce bien raisonnable de laisser les cons participer au débat public, d’autant plus lorsque la seule chose qui intéresse ces idiots est de savoir si un ministre s’habille de façon correcte - eux qui ne savent pas faire un noeud de cravate - ou si Madame untel a encore décidé de bouder la viande, alors que c’est “contraire à nos traditions”.
Est-ce là le débat public que nous méritons ? Possiblement, après tout. Mais n’est-ce pas navrant d'être obsédé par la tenue de l’un ou par le retard de l’autre, alors que l’essence même de la discussion devrait tourner autour du bénéfice apporté par une action, du bien-fondé d’une décision, de l’importance de choix ? Qu’est devenu le respect dû à la partie adverse contre laquelle nous débattons, lorsque l’argument avancé par celle-ci est percutant ? Par peur d’avoir tort, par souci d'apparaître comme quelqu'un qui sait, nous en arrivons à dénigrer la langue de l’autre, sa tenue, son attitude ; en somme, nous avons érigé la moquerie au rang de débat, et ce qui était une exception, qui pouvait laisser place à des bons mots, bien que véhéments, est désormais la règle. Et nous voici donc à attaquer les personnes derrière les fonctions, les préférences par-ci, les tromperies par-là, comme si cela avait la moindre importance. Peut-être est-ce là l’apogée de ce que nous avons déjà entendu appeler le règne de la bêtise. Sans doute est-ce là ce qu’il advient lorsqu'on ne permet pas à l’éducation de chacun de fleurir comme il convient. Sûrement, il est nécessaire de tremper sept fois son stylo avant d’écrire, et, parfois même, de ne point écrire du tout.
Et pendant que les débats interminables et débiles tournent en rond, nous giclons autant d’étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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DESIR CHINOIS
Kinds
Les démocrates Verts
Against
Bad Les Républicains
Les gris doivent être gentils
Noeud de Cravate et costume gris
Plus en bureaucrates du parti
Mais humeur
Les 12 salopards
On ne peut reculer
Mercredi 13 décembre 2023
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La Mode illustrée, no. 25, 18 juin 1871, Paris. Noeud de cravate en mousseline. Cravate en mousseline. Noeud de cravate pensée. Noeud de chevelure. Noeud de cravate en crêpe de chine. Noeud de chevelure nuancé. Noeud de cravate en ruban de taffetas. Noeud de cravate. Noeud de cravate en rubans de reps. Noeud de cravate nuance. Noeud de cravate nuance. Noeud de cravate en crêpe de chine et dentelle. Noeud de cravate er satin et taffetas. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
#la mode illustrée#19th century#1800s#1870s#1871#periodical#fashion#fashion plate#retouch#Forney#dress#cravate#noeud#bow#tie#lace#muslin#taffeta#ribbons#crepe de chine#crepe#rose
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Noeud de cravate
Le noeud Eldredge est complexe mais vous distinguera avec sa forme originale. Inventé par Jeffrey Eldredge en 2007, ce noeud de cravate original est réalisée en utilisant la petite extrémité et ce dernier ne tombe pas mais est cachée derrière le col de la chemise. Le Noeud Eldridge est grand que le Windsor et crée un effet de tresse
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(Précédemment, dans le Cœur a ses Raisons HPI rewatch...)
Bon alors, pour pleins de raisons cet épisode est l’un de mes préférés de la saison 1, c’est parti ?
“Allergique aux fouines, aux furets, aux belettes... Aux cochons d’inde. Et aux hamsters aussi.” Outre le fait que cette réplique est magique, c’est moi ou Gilles en sait beaucoup trop sur le dossier médical de Karadec ?
Déjà Morgane qui commence par sauver la vie de Karadec dès les cinq premières minutes, I -- I need to lie down 😱
Bigre, Morgane s’y connaît bien en grenouilles dites-moi, bon, elle on sait pourquoi, mais quelqu’un peut m’expliquer pourquoi Bonnemain reconnaît une phyllobates terribilis comme ça, à l’oeil nu ? Ils ont ça dans la formation de médecine légale ?
La tension sexuelle entre Morgane et Bonnemain quand il lui décrit les effets du poison, mais je meurs 😅
Fondamentalement, la raison pour laquelle j’adore cet épisode, c’est parce que chaque seconde de coltar!Karadec est un pur délice. 🤩
Comment Gillles est dix fois plus inquiet que Morgane au sujet de l’état de Karadec... Il a un méga crush sur lui, en fait, c’est pas possible....
Ah. Le fameux trope de la Copine du Yoga™. Serait-ce donc une référence à Friends ? 🤔
“Un monsieur qui s’est fort disputé avec elle”, mais quel enfant de douze ans parle comme ça, sérieusement ? Qui a écrit ces dialogues ?
“Ça va ta fesse ? Je peux voir ?” *lui refait son noeud de cravate même pas deux minutes plus tard* heu, Céline, tu veux qu’on en parle de cette tension monstre entre Adam et toi ou ça va aller ? #Hadam
Putain je viens de réaliser que c’est les parents de la victime en mode “notre fille a renoué avec son mec de jeunesse” qui trigger le fait que Morgane aille “en urgence” parler de Romain à sa mère, je -- 😭😭
En parlant d’Agnès, justement, revoir cette scène en sachant qu’elle sait c’est un coup de poignard. Et finalement son “Romain t’a quittée”, elle essayait de lui dire la vérité en fait.... 😩
J’adore comment à chaque fois que Karadec fait une remarque du style “vous avez remarqué ? C’est calme aujourd’hui”/”ça me fait du bien de bosser tranquille”/etc, ça conjure Morgane et elle apparaît ? 👻
“Vous voulez qu’on planque ensemble ?” asjksjkaksjajks 😂
Franchement la scène complètement chaotique du coup de fil avec les aller-retours sur le haut parleur et Morgane qui déballe son repas de la façon la plus messy possible, c’est du peak comedy
C’est quand même fucked up de se taper la mère adoptive de son enfant biologique, non ? (sauf si la partie adoption intervient après la partie tapage, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit lol)
“Elle ne l’aurait pas fait.” “Boh, y’avait des chances quand même” 😆 😆
Cette juxtaposition de Gilles et Daphné qui du coup se retrouvent à prendre un verre en tête-à-tête pendant que Morgane et Adam restent tout seuls au bureau à la nuit tombée, comment ça sent le multi-shipping à plein nez... 🔥
D’ailleurs. La. Déception. De. Karadec. Quand Morgane rentre chez elle. He’s pining already, c’est fou ! 🥵
Morgane qui s’incruste dans ce que je suis obligée d’appeler le Karadate ! Le fake dating ! La facial journey d’Adam !! Morgane, my love, read the room ! 😅
Quand on y réfléchit, c’est quand même une des affaires les plus tristes de la série, ce pauvre gamin avait deux mamans, bah maintenant il en a zéro, et puis la scène où l’ex-taulard rencontre son fils pour la première fois, mais c’est tellement triiiiiste bordel 😰
Ok. Bon. Compte-tenu de ce qu’on apprend en saison 2, on est d’accord que Céline a un dossier pipeauté entre les mains. Du coup, pourquoi il y a les photos du repêchage d’un corps ? Romain a fait un petit shooting en bord de Deûle avec le vil Facchin ?📷 Quelqu’un dans le gang des Branquignols s’y connaît en Photoshop ? Ou alors ils ont pris la photo d’un autre corps, mais qui, et sachant qu’il fallait qu’il ressemble un minimum à la description, ça paraît galère non ?
Oui, je sais, je sais, je réfléchis trop, mais c’est surtout pour me concentrer sur des faits et ne pas penser AU JEU D’AUDREY QUAND CÉLINE LUI ANNONCE QU’ILS PENSENT QUE C’EST ROMAIN ET QU’IL EST MORT NI AU REGARD INQUIET DE KARADEC QUI CONCLUT L’ÉPISODE 💔 😭 😱
Bonus : Je veux ce T-shirt chat 😻
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Tie or bow tie? ******** Cravate ou noeud papillon ? * #atchoumthecat #werewolfsyndrome #werewolfcat #hypertrichosis #persian #canadiancat #cats #catsofinstagram #cats_of_instagram #happycat #buzzfeedanimals #meow #animalsinfluence #meowed #gato #chatduquébec #catsofcanada #canadiancats (à Repentigny, Quebec) https://www.instagram.com/p/ClEPnE8Lj-2/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Venez découvrir une sélection unique packs avec cravates, noeuds papillon et pochette assorties! #noeudpapillon#cravate#francais#mariage#bow#smart#bowtie#tie#men#homme#gentleman#gentlemens#gq#mensfashion#noeud#dapper#dandy#fashion#outfit#wedding#suit#man#paris#chic#fashion#lifestyle#mode#love#lux#newbrand
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Cannes!MV 🎬
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